Le Courrier de la Gueoula n°902

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Lumières du Chabbath

BAMIDBAR

1er & 2 Sivan 5777 Entrée : 21h21 - Sortie : 22h42

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L’Hebdomadaire qui remet les pendules à l’heure ... de la Délivrance

Du 25/05 au 1/06/2017

Pendant ces quelques jours, en ce Chabbath ultime, de préparation à l’événement du Don de la Torah, pour la 3329ème fois, que faire, que penser pour ne pas manquer la Révélation, celle qui frappe à notre porte cette année ?

Le pouvoir de la Torah

En

effet, bien que toute la Torah ait effectivement été donnée, et que selon l’adage bien connu, il n’en soit rien resté làHaut, cela ne concerne que l’essence de la Torah, et non ses développements, les innovations sans nombre qui sont révélées à chaque génération, chaque année, chaque jour. Or, ces innovations ne sont rendues possibles que grâce à l’envoi d’influx nouveaux, chaque année à la même date. Mieux encore, ces dons sont d’une qualité de plus en plus élevée, selon le principe de «Maaline Bakodech» (on ne peut que progresser lorsqu’il s’agit de transcendance). Mais tout cela s’est répété tout au long des siècles, alors quoi de neuf aujourd’hui? Et quelle action nouvelle nous est demandée, plutôt que de commémorer un événement passé, de refaire indéfiniment les mêmes gestes? Pour y répondre, il importe de faire la distinction entre le Don de la Torah, qui se déverse vers nous du haut du Sinaï, et la réception de la Torah, qui dépend totalement de nous, de nos forces, de notre préparation, en un mot de notre volonté. Quant à l’outil dont nous devons nous servir, il consiste en la Torah et les Commandements que nous avons reçus jusque-là, d’année en année et de siècle en siècle, qui sont à présent notre propriété et même notre nature.

Que savons-nous de son impact?

Qu’avons-nous appris au fil des années, de cette Torah que le Créateur nous a fait le privilège de nous donner ? Que les dimensions spirituelles et le monde matériel ne sont pas séparés. Que l’ancien clivage, qui laissait les uns s’adonner aux joies de l’esprit, pendant que les autres se vautraient dans les jouissances matérialistes, est désormais caduque, depuis que l’intention ayant présidé à la Création fut révélée aux hommes : recontruire ce monde, l’ordonner et le structurer pour en faire la Demeure permanente de l’Infini. Et cela, grâce aux lois et directives de la Torah, qui confèrent un véritable impact sur le monde, sur l’existence, sur les faits et péripéties de la matière. Les commandements, conseils et orientations de la Torah en matière de conduite des affaires, de santé, de politique ou de sécurité ne sont pas des extrapolations, mais des Mitzvoth que l’on applique au même titre que celui d’agiter le Loulav lors de la Fête de Soukoth! D’ailleurs, qui peut connaître l’impact d’un tel geste sur les ennemis d’Israël, troublant leurs desseins et les jetant dans la confusion? Qui peut savoir à quel point la crécelle agitée par un petit enfant juif au moment où il entend le nom d’Haman dans la lecture de la Méguila disloque à jamais les funestes projets des héritiers spirituels de ce tyran ? Lorsque les bons conseils prodigués par le

Guide sprituel de la génération se sont heurtés à l’oreille fermée des dirigeants d’Israël, alors que la Providence Divine accumule les miracles pour que les rescapés de Son peuple puissent revenir sur leur terre et y restaurer la royauté messianique, que reste t-il à faire, sinon œuvrer par la voie secrète mais efficace de la Torah, pour influencer les nations non juives, désireuses au fond d’elles-mêmes (souvent à leur insu) de participer à cette restauration, à proclamer le droit inaliénable d’Israël à habiter sa terre ? Ainsi, et puisque toute révélation se fait au moyen de la Torah, lorsqu’on l’étudie et qu’on en applique les directives, cela inclut les enseignements que nous dispensera le Machia’h («Une Torah nouvelle sortira de Moi», dit le Midrach), et dont une introduction, un avantgoût, nous ont été donnés par le canal de la ‘Hassidouth, selon les propres termes du Rabbi. Par conséquent, le devoir incombe à tous d’étudier ce qui se rapporte au Machia’h et à la Délivrance dans tous les textes de la Torah, et en particulier ce qui se trouve dans les sources cachées, aujourd’hui révélées par la ‘Hassidouth, pour que la conséquence s’en fasse immédiatement sentir de manière tangible, par la présence visible du Libérateur. Qu’il soit de la Volonté Divine que nous recevions cette année cette Torah nouvelle, de la bouche même du Machia’h!


BAMIDBAR

En introduction au Don de la Torah D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h

Selon un principe légal régissant les lectures hebdomadaires de la Torah, «on lira toujours «Bémidbar Sinaï (notre Sidra) avant Atsérêt», c’est-à-dire la Fête de Chavouoth (Rambam, Lois de la Téfilah) … raison de ce choix est de nous rappeler, comme le nom et le début de cette Sidra l’indiquent, que la Torah fut donnée dans un désert. Pourquoi fut-elle donnée dans un désert ? Le Midrach répond que cela nous enseigne : «De même que le désert est un lieu abandonné (revendiqué par personne en particulier), de même en est-il de la Torah, qui peut-être reçue par toute personne qui en manifeste la volonté». Cela constitue donc une préparation à la réception de la Torah, qui coïncide avec la Fête de Chavouoth. Comment s’y prépare t-on ? En comprenant au préalable que la Torah fut donnée en un lieu n’appartenant à personne en particulier : «Toute personne qui le veut, peut venir la recevoir».

La

Tout le monde y a droit

Le concept de désert – lieu abandonné par définition – désigne un domaine sans propriétaire. Ni propriété privée, ni domaine public (dont la propriété est celle de la collectivité), ce domaine n’a aucun propriétaire, et c’est pourquoi toute personne peut y faire valoir des droits. Pourtant, cela soulève une question : Nous savons que le don de la Torah aux enfants d’Israël ne fut pas l’occasion d’un abandon de la Torah par l’E-ternel pour faire de celle-ci un bien en deshérence, que chacun peut s’approprier. Mais, au contraire, «Il nous donna Sa Torah» (selon le texte de la Béra’kha prononcée lors de la lecture), de telle sorte qu’elle devint notre propriété, sans que nous ayons à l’acquérir, comme l’affirme le verset disant : «La Torah que Moché nous a ordonnée est l’héritage de la Communauté de Yaacov». Toute personne participant de «la Communauté de Yaacov» hérite à sa naissance de la Torah dans son ensemble. Par conséquent, pourquoi la Torah fut-elle donnée précisément dans un lieu sans propriétaire ?

Deux dimensions globales

La réponse à cette question apparaîtra après avoir pris connaissance de l’existence des deux dimensions de la Torah. Celle-ci peut-être perçue telle qu’elle est à sa racine, unifiée

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à D-ieu. Mais elle peut être également appréhendée dans la forme qu’elle adopte ici-bas, pour accomplir son œuvre. Ainsi, lorsqu’on parle du «domaine public», il s’agit de la dimension de la Torah qui concerne les «six-cent-mille âmes d’Israël» (à l’exemple du «domaine public», ainsi délimité parce que 600.000 personnes par jour peuvent y transiter), qui correspondent également aux «six-cent-mille lettres de la Torah». Cette dimension leur appartient d’office par héritage, et il s’agit de la forme adoptée par la Torah pour œuvrer dans le monde, exprimée principalement par l’étude de la partie révélée, appelée «Niglé» (le Talmud et les Décisionnaires). Quant au «désert», lieu sans propriétaire, ce terme désigne allusivement la dimension de la Torah sans rapport avec le monde. C’est cette dimension qui fait dire au Zohar «la Torah et D-ieu ne font qu’un», car la Torah en soi est inaccessible à la propriété de qui que ce soit, fût-ce de la collectivité. C’est cette absence de lien qui donne le droit à quiconque le veut de l’acquérir. Cette dimension est celle de la mystique, et plus encore celle de la transcendance de la Torah, véhiculée par l’enseignement de la ‘Hassidouth.

Une Torah nouvelle

Tout cela explique le fait que la Torah fut donnée dans un désert, domaine sans propriétaire. Et cela nous enseigne que la perfection en matière de réception de la Torah est atteinte lorsque l’on reçoit même la dimension qui est au-delà de tout rapport avec le monde. Car c’est pour que l’on puisse recevoir cette dernière que D-ieu dut précisément la donner en un lieu en deshérence. Cette perfection rappelée plus haut sera accomplie dans les temps à venir, selon la promesse disaant «Une Torah nouvelle sortira de Moi» (Yéchaya 51,4) : il s’agit bien de la dimension unifiée à D-ieu, supérieure à tout rapport avec le monde. C’est aussi pourquoi le verset précise «sortira de Moi»: il est nécessaire qu’elle «sorte» du domaine divin, qu’elle cesse de Lui appartenir, pour que «toute personne qui le veut puisse l’acquérir». (Si’ha du Chabbath Behar-Be’houkotaï 5751)


La Guéoula en Questions

Sur le Seuil de la Délivrance

ès le début du conflit consécutif à l’invasion du Koweit par les troupes irakiennes, et au sein de la panique engendrée par la crainte d’une généralisation de ce conflit, une voix différente s’était fait entendre, celle du Rabbi de Loubavich. Citant le Midrach «Yalkout Chimoni», qui avait prophétisé la révélation du Machia’h lorsqu’un conflit exactement identique à celui-là éclaterait, le Rabbi entreprit d’apaiser les esprits, en montrant aux habitants du Pays d’Israël qu’ils n’avaient rien à craindre, et il commença surtout à annoncer et à faire connaître l’imminence de la Délivrance…

D

Lettre de la convocation pour la réunion, et déclaration de l’ acceptation de la royaut,é avec les réponses du Rabbi.

Le Rabbi encourage à poursuivre, malgré les difficultés (suite de la narration de Rav David Na’hchon) (A la suite des réactions de certains ‘hassidim, qui «digéraient» avec difficulté les termes nouveaux employés par le Rabbi et surtout l’orientation résolument messianique qu’il avait imprimée à l’action de ‘Habad, et en rendaient responsables Rav Na’hchon et ses amis, le climat était devenu tellement tendu pour ces derniers au 770 qu’ils s’étaient mis à douter de leur propre action et envisageaient à présent de rentrer en Israël). «Aussi», relate Rav Na’hchon, «je décidai d’écrire au Rabbi, en ces termes : «Si les initiatives que nous avons entreprises ne conviennent pas à la volonté du Rabbi, je suis prêt à tout laisser et à partir». Je rédigeai donc un billet, en pleurant abondamment, car je pensais vraiment que quelque chose ne convenait pas. On était dimanche, et j’avais l’intention de passer devant le Rabbi pour le dollar, après avoir remis mon billet au Secrétariat pour lecture immédiate par le Rabbi. Lorsque commença la distribution des dollars, et que nous arrivâmes, Avi Taub et moi, devant le Rabbi, je déclarai : «Nous avons l’intention de retourner en Eretz». En général, lorsqu’on informait le Rabbi que l’on voyageait en Eretz-Israël, le Rabbi donnait aussitôt de l’argent «pour la Tsédaka en Terre Sainte», et il souhaitait que «le voyage soit un succès». Cette fois-là, ce fut comme si le Rabbi n’avait pas entendu, et il nous donna

un autre dollar. Avec le premier dollar, le Rabbi nous dit «Béra’kha VéHatzla’ha» (Bénédiction et Réussite). Lorsque je lui eus dit que nous comptions retourner en Eretz, le Rabbi ne répondit rien, mais il me tendit le second dollar, avec les mots «Kiflaïm-Le’touchiya» (approximativement : «Double mesure pour la réussite »). De son côté,Avi Taub s’était dit que si «cela ne marchait pas » (si on ne parvenait pas à savoir clairement) pour moi, lui parlerait ouvertement. Il passa donc après moi et dit au Rabbi : «Nous voyageons aujourd’hui pour Eretz-Israël». De nouveau, le Rabbi lui tendit un second dollar, avec les mêmes mots, mais en aanglais : Double portion of bénédictions», puis, s’adressant à nous deux (en Yiddish) : «Merci pour les livres». Il se trouve que ce même dimanche, comme je l’appris dans la soirée, un journaliste de l’hebdomadaire «Israël Chélanou», nommé Chemouel Chmouéli, qui avait eu vent des rumeurs autour de ce qui s’était passé ce Chabbath, avait décidé d’en avoir le cœur net et d’interroger le Rabbi à ce sujet. Il s’appuyait sur le fait que le Rabbi s’entretenait toujours longuement avec lui lors de la distribution des dollars. Aussi était-il passé devant le Rabbi et avait-il demandé: «Est-il vrai que, selon la rumeur, le Rabbi aurait dit qu’il fallait se tenir à distance de «Na’hchon et de son groupe» ? Le secrétaire tenta de le pousser en avant dès qu’il eut posé cette question, mais la réponse du Rabbi fut claire et sans équivoque : «Si je m’arrêtais à toutes les rumeurs, il ne me resterait plus de temps, ni pour prier ni pour les autres activités. Par conséquent, je n’ai aucun rapport avec les rumeurs, ni de ce côté ni de l’autre». J’attendais le lendemain (une autre réponse) mais je constatais que le Rabbi ne répondait pas à notre information sur notre volonté de quitter les Etats-Unis. D’autre part, nous ne savions que faire, car certaines personnes expliquaient que le Rabbi n’avait pas dit clairement que nous devions poursuivre la collecte des signatures (sur l’acceptation de sa royauté) et que cela pouvait signifier qu’il nous fallait nous contenter des 250 signatures déjà récoltées. En clair: que nous arrêtions de semer le «désordre», Quant à moi, je ne cessais de me dire : «Le Rabbi m’a pourtant répondu par écrit, ce n’est pas un jeu». Les Machpiyim décident, et le Rabbi confirme, qu’il faut poursuivre la collecte des signatures Du fait des rumeurs négatives et mensongères qui continuaient de se répandre, je résolus de provoquer une réunion, avec le bureau des Machpiyim du «Comité Machia’h». Nous convoquâmes donc tous les Machpiyim de CrownHeights, ainsi que tous les Rabbanim les plus importants…et la réunion eut effectivement lieu. Nous leur expliquâmes d’une part tous les bruits qui couraient, et d’autre part les réactions du Rabbi. Leur réponse fut nette: «Tant que tu n’as pas entendu du Rabbi lui-même un avis contraire, tu continues avec le même éclat!» L’un de mes compagnons, Rav Chmarya Harel, se tenait au 770, avec la bouteille de vodka que nous avions reçue du Rabbi le Chabbath précédent, et chaque personne que nous lui adressions pour qu’elle signe la déclaration, recevait, après s’être exécutée, un «Lé’haïm» de cette bouteille. (à suivre) 3


Son intervention personnelle Ils ont vécu ce Miracle

A l’époque actuelle d’introduction à la Délivrance, nous découvrons chaque jour des faits prodigieux, en particulier lorsqu’il est question de l’intervention pesonnelle du Rabbi, roi Machia’h…

L’

un des émissaires qui oeuvrent à Natanya avec les jeunes se nomme Rav Yaacov Gurfinkel, et il relate ici une découverte de ce fait, qu’il fit il y a quelques se-

maines… «Cela m’est arrivé alors qu’au cours d’un voyage d’agrément, j’avais pris place, en compagnie de mes proches, dans un bateau. A côté de nous était assis un homme d’une cinquantaine d’années, qui présentait une particularité : il ne semblait pas appartenir à un quelconque courant religieux, et en même temps, au revers du col de sa chemisette était fixé un petit drapeau «Machia’h». Je ne pus me retenir et décidai d’éclaircir ce fait, curieux à mes yeux. J’engageai une conversation avec lui, au cours de laquelle il se présenta comme se prénommant Mi’khaël. A ma question directe de savoir l’origine de ce drapeau qu’il arborait à son revers, il donna sur-le-champ une réponse claire : le Rabbi lui avait sauvé la vie. «Aussi, je porte ce drapeau en signe de reconnaissance. C’est bien le minimum que je peux faire pour lui », expliqua t-il. J’appris ainsi que Mi’khaël, habitant de l’un des villages de la région de Taana’kh, avait été affecté, il y a une quinzaine d’années, de problèmes cardiaques, et que son état nécessita, à un moment donné, une intervention chirurgicale. Mais cette intervention n’eut pas les effets bénéfiques escomptés, et son état ne s’améliora pas. Un peu plus tard, les médecins lui firent savoir qu’il n’y avait pas d’autre issue qu’une nouvelle intervention, tout en l’avertissant clairement qu’il y avait de fortes probabilités pour qu’il ne survive pas à l’opération, et que, même dans le cas où il survivrait, il n’y aurait qu’un mince espoir pour qu’il puisse reprendre une vie normale. A cette époque, il suivait les cours de Torah que dispensait le Rav Yits’hak Yadguer, aussi, sur les conseils de ce dernier, il décida décrire au Rabbi, roi Machia’h, afin de soliciter son avis par le canal des «Igueroth-Kodech». La réponse qu’il reçut comprenait «de bonnes nouvelles», ainsi que l’indication de «se concerter avec un médecin ami», et l’orientation générale de la lettre penchait en faveur de l’opération. «Lorsque je reçus une telle Béra’kha», raconte Mi’khaël, «je décidai d’opter pour l’intervention, mais quand j’en parlai à ma femme, elle en eut très peur et ne fut pas consentante. Je n’avais pas d’autre solution que de lui proposer d’écrire à son tour au Rabbi, en s’adressant au Rav Yadguer. Ils prirent donc rendez-vous, et elle rédigea sa lettre, en y exposant ses craintes de ne pas me voir survivre à l’opération. La lettre fut introduite dans un volume des «Igueroth-Kodech», mais, à la stupéfaction générale, nous nous 4

aperçûmes qu’il s’agissait du même volume, et de la page où j’avais reçu ma réponse ! Ma femme ne pouvait pas ne pas y voir une claire réponse du Rabbi, et elle donna son consentement à l’opération», conclut Mi’khaël. Et c’est ainsi qu’il se présenta, avec la bénédiction du Rabbi, roi Machia’h, pour subir l’intervention au jour fixé… Or, alors qu’on le préparait, survint une complication qui mit sa vie en danger. Voyant cela, il s’adressa en pensée au Rabbi, pour lui dire : «Ne m’avez-vous pas béni pour que tout se passe bien?» A cet instant, raconte t-il, il vit le Rabbi, roi Machia’h, qui se tenait près de lui dans le bloc opératoire, et qui levait le bras, avec le geste bien connu signifiant «Nous vaincrons!». C’est de cet instant que la complication disparut, et que la situation redevint normale, au point que l’on put commencer à opérer. Il vit alors le Rabbi s’éloigner lentement, se diriger vers la porte et sortir… L’intervention, D-ieu soit loué, réussit totalement. «Quinze ans se sont passés», conclut Mi’khaël, et je n’ai pas eu besoin de faire appel aux médecins, D-ieu merci, car je suis en bonne santé. Vous comprenez à présent pourquoi ce petit drapeau ne me quitte jamais ! »

SUITE À DES DIFFICULTÉS DE TRÉSORERIE souhaite de ses amis et fidèles un geste de solidarité pour lui permettre de poursuivre sa mission de propager le message du Rabbi, roi Machiah’, sur l’imminence de la Délivrance Chèques à l’ordre de Chaarei Binah 7 rue Monte Cristo 75020 Paris


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