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Lumières du Chabbath
TETSé
10 & 11 Elloul 5777 Entrée : 20h14 - Sortie : 21h19
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L’Hebdomadaire qui remet les pendules à l’heure ... de la Délivrance
Du 31/08 au 07/09/2017
A la lumière des enseignements de la Paracha, disant «lorsque tu sortiras en guerre contre ton ennemi, l’E-ternel ton D-ieu le livrera en ta main…», une question nous préoccupe…
Seul compte le but
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maine, en revanche, ils firent preuve de fermeté, lorsqu’il s’agissait de démanteler les implantation-verrous, de déloger des femmes et des enfants et de détruire synagogues et lieux d’étude. La solution, clairement indiquée par le Rabbi, de reprendre les lieux abandonnés, est toujours
Regarder la vérité en face
d’actualité, pour peu que les dirigeants acceptent de regarder la vérité en face, au lieu de distordre l’information pour qu’elle ressemble à ce qu’ils souhaitent: une tranquillité ressemblant à la paix. Comment tout cela a t-il pu arriver? La réponse se situe dans le domaine psychologique. Il y a pour chacun des cas nombreux où l’on sait ce qu’il faut faire pour résoudre tel ou tel problème, mais comme l’on ne se croit pas capable de réussir, on se console avec des demisuccès, après avoir réduit le niveau de ses aspirations. Tout cela pour éviter de regarder en face la vérité, qui peut être exigeante, donc dérangeante.
lors que les prières et les pensées des Juifs du monde, depuis des siècles, sont concentrées sur la reconstruction de la Demeure de D-ieu à Jérusalem et le retour de tous les exilés sur la terre d’Israël, souhait exacerbé encore depuis l’anniversaire, le 9 Av, de la destruction de ce lieu capital, comment accepter en même temps cette sorte de consensus des nations, qui légitime une soi-disant revendication arabe sur le même lieu? Comment expliquer le silence des dirigeants d’Israël (nous ne parlons pas des discours, qui ne servent qu’à masquer leur faiblesse) qui ont reculé honteusement sur une exigence de sécurité devant l’agitation arabe, ouvrant ainsi la porte à de futures pressions, à propos du lieu le plus sacré du Judaïsme, déguisé, à la faveur d’invasions médiévales, en lieu de prières musulman?
Depuis exactement un demi-siècle, à la fin de la Guerre des Six Jours, alors que l’E-ternel avait révélé aux yeux de toutes les nations du monde des prodiges dignes des guerres bibliques, les dirigeants successifs d’Israël n’ont cessé de ramper devant les moindres réclamations arabes, dégarnissant les zônes-tampons des frontières, et concédant de larges parcelles de territoires à ceux-là mêmes qui déclaraient leur volonté de détruire l’Etat Juif. Tout cela dans le but de plaire aux nations du monde. Comme cela avait été maintes fois dénoncé par le prophète et guide de notre peuple, l’irrespect par les différents gouvernements d’Israël, de la loi fixée dans le Chou’han-Arou’kh sur le devoir impératif d’empêcher toute incursion aux frontières, même au prix d’une violation du Chabbath, a entraîné la fragilisation de tout le pays devant les attaques ennemies. Dans un seul do-
Arrondir les angles
Il en va de même de la dernière mission, confiée à tous par le Rabbi, roi Machia’h, de nous préparer et de préparer le monde à recevoir le Machia’h. Le but en est clair: c’est la Délivrance totale et définitive, par l’action du Machia’h, et
il nous est interdit de nous contenter d’un «but moyen», inférieur à cette exigence. Aucun succès, même réel et concret, qui ne serait pas cette finalité, ne doit nous satisfaire. Certes, vivre de cette façon et avec un tel idéal, n’est pas chose facile, et il est bien plus réconfortant de se féliciter des résultats obtenus, quels qu’ils soient. Après tout, ne vaut-il pas mieux considérer le verre à moitié plein plutôt que se désoler de ce qu’il soit à moitié vide? Et c’est ce qui conduit certains à «arrondir les angles», à présenter la mission initiée par le Rabbi pour instaurer la Délivrance tout de suite, comme «le désir ardent de son âme pure pour renforcer la foi en la Délivrance» (ce sont les termes que nous avons lus), comme si l’on pouvait ignorer que le Rabbi avait désigné les efforts accomplis sans parvenir à ce but comme «le vide et le néant». Lorsque l’on n’est pas prêt, pour quelque cause que ce soit, à tout faire pour réaliser le but fixé, on est tenté de modifier quelque peu l’intitulé de ce but, pour le rendre conforme à la situation sur le terrain. Mais tout cela n’est pas vrai, et la destination unique à laquelle on doit aspirer et pour laquelle il faut investir tous nos efforts, est la victoire totale. Tout résultat partiel n’est acceptable que s’il est une étape dans la réalisation de cette victoire. Seul le roi Machia’h réalisera le retour d’Israël sur sa terre, et imposera le respect de cette souveraineté à tous les peuples, et non une quelconque idéologie. «Sur son trône», dit le rituel, «nul étranger ne s’assoiera». C’est donc lui qu’il faut demander, et non une situation de respectabilité partielle. Mais les choses doivent être dites entretemps clairement: «La terre d’Israël appartient au peuple d’Israël, et il est exclu d’en concéder la moindre parcelle à un autre peuple».
CHOFTIM
Une prophétie bien actuelle
D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h
Notre Sidra, parmi de nombreux autres sujets faisant l’objet d’un commandement, traite de la prophétie et des devoirs qui en découlent… insi, de même qu’il est fait obligation d’obéir à ceux que la Torah appelle «tes juges» («Et tu iras…vers le juge qui sera à cette époque», à toutes les époques), de même est-ce un devoir d’obéir au prophète, quelle qu’en soit l’époque. Le verset est sans équivoque : «C’est un prophète sorti de ton sein, un de tes frères comme moi, que l’E-ternel ton D-ieu suscitera pour toi, et c’est lui que vous devrez écouter! (Devarim 18, 15). Le Rambam écrit à ce sujet dans son «Michneh-Torah»: «Il fait partie des bases de la Loi de savoir que D-ieu donne l’inspiration prophétique aux êtres humains…», puis il indique abondamment en quoi consiste le devoir d’obéir au prophète. Du fait qu’il cite cette loi en préambule aux autres lois codifiées dans son ouvrage, en tant que «base de la Loi», nous en déduisons qu’elle concerne toutes les générations.
A
La prophétie n’a pas été annulée
Certes, nos Sages enseignent: «Depuis que sont morts les derniers prophètes, Hagaï, Ze’kharia et Malakhi, l’inspiration divine s’est retirée d’Israël». Mais il faut noter que le terme employé est «s’est retirée», et non «a été annulée» ou «a cessé». Ce retrait s’explique par le fait qu’il n’y avait pas d’homme apte à recevoir la prophétie. En effet, s’il s’était trouvé quelqu’un qui fût apte à la recueillir, l’inspiration prophétique aurait residé en lui à n’importe quelle époque. Nous en avons effectivement des preuves en la personne de nombreux sages chez qui régnait l’inspiration divine. D’ailleurs, parmi les conditions citées par le Rambam pour que soit présente la prophétie, il ne mentionne jamais une époque quelconque de l’Histoire, et il ne cite même pas le retrait de la prophétie à la mort des derniers prophètes bibliques. Mieux encore : dans son ouvrage «Lettre au Yémen», il affirme qu’à un certain moment, «la prophétie reviendra dans le peuple d’Israël» et qu’il n’y a aucun doute que le retour de la prophétie est l’introduction à la venue du Machia’h, comme il est écrit: «… vos fils et vos filles prophétiseront»(Yoël 3, 1).
La perfection de la prophétie
Car c’est une loi, pour les générations futures, de savoir que la révélation prophétique est toujours d’actualité, au point qu’elle puisse être un jour du type de celle de Moché, puisque le verset le dit expressément : «C’est un prophète sorti de leur sein, comme toi, que Je susciterai en leur faveur». (Devarim 18,18). En particulier lorsqu’il est question de la prophétie de notre légitime Machia’h, à propos de laquelle le Rambam tranche: «Il sera un grand prophète (d’un niveau) proche de celui de Moché notre maître». Il faut (toutefois) savoir que la révélation prophétique se trouve chez le Machia’h encore avant la Délivrance, en tant qu’échantillon et en tant que début de la perfection complète de cette révélation, qui sera présente après la Délivrance. En d’autres termes, ce ne sera pas une nouveauté qui apparaîtra après la Délivrance, mais quelque chose qui sera apparue avant. C’est pourquoi Rambam l’inclut dans son ouvrage, dans lequel il codifie également les lois du temps messianique.
Appliquer les directives de tes juges et conseillers
Par conséquent, il faut publier qu’il y a nécessité de recevoir les directives et les conseils du juge, du conseiller et du prophète de notre génération. Comme la Torah l’ordonne: «Je susciterai un prophète du sein de leurs frères, tout comme toi, et Je mettrai 2
Mes Paroles dans sa bouche et il leur dira ce que Je lui aurais ordonné, et c’est lui que vous écouterez». Le Rambam tranche à ce sujet, disant que si quelqu’un possède les qualités qui conviennent à un prophète et qu’il produit des signes et des prodiges – tout comme nous en avons vu et comme nous en voyons à la suite des bénédictions du Nassi de notre génération – eh bien nous ne croirons pas en lui à cause des signes seuls…mais du fait de la Mitzvah que Moché a ordonnée dans la Torah, lorsqu’il a dit : «s’il vous donne un signe, c’est lui que vous écouterez». Ou par le fait qu’«il annoncera des événements futurs et que ses paroles se réaliseront», comme on l’a vu chez mon maître et beau-père le Rabbi.
Publier qu’il y a un prophète
Plus encore : si un prophète atteste sur un autre prophète qu’il est prophète – comme cela est confirmé à propos du Nassi de notre génération, et comme cela s’est étendu à la génération suivante en la personne de ses disciples – ce dernier est présumé prophète et n’aura pas besoin d’examen. Il faudra alors lui obéir avant même qu’il produise un signe, il sera «interdit de spéculer sur son compte et de mettre en doute sa prophétie, interdit de le mettre à l’épreuve plus qu’il ne convient». Comme il est dit : «Vous n’éprouverez pas l’E-ternel votre D-ieu, comme vous l’avez éprouvé à Massa». Mais dès que l’on saura qu’il est prophète, l’on croira et l’on saura que l’E-ternel demeure en notre sein, l’on ne spéculera pas et l’on ne le soupçonnera pas…parce que l’on croit en les paroles du prophète, non parce que ce sont ses paroles, mais parce que ce sont les paroles de D-ieu par l’intermédiaire de ce prophète ! Et la directive implique qu’il faut publier à tous les hommes de la génération que nous avons ce privilège que D-ieu a choisi et nommé un être humain qui, de par sa stature personnelle est incomparablement plus élevé que les hommes de la génération, pour qu’il soit «tes juges», «tes conseillers», et le prophète de la génération. Pour qu’il donne des directives et des conseils sur le service (divin) de tous les enfants d’Israël et de tous les hommes de cette génération, dans tout ce qui concerne la Torah et les Mitzvoth, ainsi que la conduite de la vie quotidienne en général…, jusqu’à la prophétie principale, disant : «La Délivrance immédiate», alors c’est tout de suite que «le Machia’h vient». (Si’ha du Chabbath Choftim 5751)
TETSé
Accomplir la mission jusqu’à l’extrême limite D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h
Parmi les très nombreuses lois dont il est question dans la Sidra, aussi bien des lois communautaires qu’individuelles, civiles, pénales ou spirituelles, figurent les lois du divorce…
La
procédure est ainsi décrite (chapitre 24, verset 1) : «Et il rédigera à son intention une lettre de rupture …et la répudiera de la maison». Au sujet des motifs permettant le divorce, la Michnah (la dernière du traité Guittin) énonce trois opinions: «Beth-Chamaï (l’Ecole de Chamaï) enseigne: «L’homme ne répudie sa femme que s’il trouve à son sujet une conduite immorale…Beth-Hillel enseigne: «même si elle brûle son plat» (fait preuve de cruauté morale)… Quant à Rabbi Akiva, il estime que «même s’il trouve une autre femme plus agréable qu’elle», car il est dit «Or, si elle ne trouve pas grâce à ses yeux…» Les divergences entre Beth-Chamaï et BethHillel révèlent pour la plupart une tendance des premiers à pencher pour la sévérité et des seconds pour la tolérance. La raison en est que les âmes des premiers proviennent d’une racine spirituelle où domine l’Attribut de la rigueur, alors que les seconds plongent leurs racines dans l’Attribut de bonté. C’est cet Attribut qui leur fait trouver en toute circonstance le bien qui y est caché afin de le libérer et de l’élever dans la Transcendance.
Une permission incompréhensible
La permission de divorcer, de répudier sa femme, ne traduit certes pas un élan de bonté, mais plutôt une démarche de division, provenant de l’Attribut de rigueur, car la bonté, expression de l’amour, s’oppose à toute répudiation. Sur cette base, il semble contradictoire que Beth-Hillel – qui exprime l’Attribut de bonté – autorise le divorce plus facilement que Beth-Chamaï. A plus forte raison est-il incompréhensible que Rabbi Akiva – le plus porté à vanter les mérites d’Israël – permette de divorcer pour la seule cause que l’on aie trouvé une autre femme plus agréable! Si l’on transpose le même sujet sur le plan spirituel, la question est encore plus forte. En effet, «l’homme» et «la femme» sous-entendent l’E-ternel dans ses rapports avec l’âme collective d’Israël. Les opinions énoncées ici portent par conséquent sur les cas de «répudiation» d’Israël par son divin Epoux. Aussi, comment Beth-Hillel peut-il émettre une opinion plus rigoureuse (dans les faits) que BethChamaï ? Et comment Rabbi Akiva peut-il décider que même s’il n’existe aucune déficience (dans le service d’Israël) sauf un manque d’attrait, un divorce peut cependant être prononcé au détriment d’Israël ?
Quand peut-on changer de mission ?
Si l’on veut comprendre le sens de ces opinions, il faudra préalablement noter que les termes cités ici – l’homme et la femme – symbolisent également deux éléments propres à chacun : l’âme et le corps. Ainsi, «homme » est le concept qui désigne l’âme (à l’exemple de celui qui donne l’influx) et «femme » désigne le corps, ainsi que la parcelle du monde sur laquelle s’exerce l’influx de l’âme.
Or, toute âme se voit attribuer une mission particulière, en ce sens que la présence d’une personne en un lieu précis est voulue par la Providence pour qu’elle transforme ce lieu en demeure pour la Présence de D-ieu. Aussi, même s’il y rencontre des difficultés, et qu’il lui semble qu’une autre mission (ailleurs) s’avèrerait plus facile (et plus efficace), l’homme ne sera pas autorisé à quitter cette mission (à la répudier) pour une autre. D-ieu l’y a conduit, car cette mission est la sienne. C’est à ce sujet qu’existe une divergence d’opinions : à quel moment est-il permis de «divorcer» de cette mission pour se consacrer à un autre type de service? Beth-Chamaï estime : «l’homme ne répudie…que s’il trouve à son sujet une conduite immorale». La tournure négative de la phrase indique que – malgré les difficultés – il ne répudiera pas la mission qu’on lui a attribuée. Car il finira par trouver la réussite… sauf s’il y trouve une conduite immorale»: si, selon le code du «Choul’hanArou’kh», il ne peut plus rester dans cette mission, c’est le signe incontestable que cette mission n’est pas pour lui. Il faudra alors la laisser pour se tourner vers une autre. BethHillel va plus loin, en décidant que même si «elle lui brûle son plat»: lorsque l’homme constate que non seulement il ne réussit pas, mais que le corps et son domaine d’action dans le monde ont endommagé les aptitudes qui étaient les siennes auparavant, il lui sera permis de quitter cette mission pour se consacrer à une autre. Quant à Rabbi Akiva, il estime que, même si son service n’est pas lésé par sa mission, mais qu’il n’en éprouve pas du plaisir (il n’en ressent aucun goût), et puisque l’on doit servir au sein de la joie, il lui est permis de laisser cette mission pour une autre, qui lui procurera plus de satisfaction.
Ils seront méritants et la présence de D-ieu résidera avec eux
En fait, la loi pratique a été fixée selon l’opinion de Beth-Hillel. En effet, si aucun dommage n’est à constater du fait du cadre où s’exerce la mission – en dehors d’un manque de goût pour celle-ci – il sera interdit de s’en séparer. En revanche, si cette mission a endommagé les qualités dont il était pourvu auparavant («elle lui a brûlé son plat»), il lui sera permis, selon la loi, de quitter ce service pour un autre. Mais tout cela ressort du domaine de la loi stricte. La Guémara, en revanche, pour définir à quel point une séparation est tragique, déclare: «Celui qui répudie sa première épouse, même l’autel (fait de pierres) verse sur lui des larmes». Il convient donc que l’homme fasse preuve de rigueur pour poursuivre son service et accomplir la mission qui lui a été confiée, et ceci jusqu’à l’extrême limite de ses forces. Jusqu’à ce qu’en s’obstinant pour l’accomplir, en y mettant toute son âme, «l’homme et la femme réussissent» (selon l’expression de nos Sages, qui désigne l’harmonie retrouvée de l’âme et du corps) et la Présence Divine réside avec eux»: l’établissement de la Demeure de D-ieu dans ce bas monde. (Si’ha du 20 Mena’hem-Av 5719) 3
Un “autre” spécialiste
Ils ont vécu ce Miracle
«Vivre au présent les jours du Machia’h» signifie aussi vivre selon les directives du Rabbi, roi Machia’h portant sur la vie quotidienne, incluant les directives que l’on reçoit par le canal des «Igueroth Kodech»… faits sont relatés par le Rav Abraham Benchimon, d’Atlit, directeur de l’Association «Maïm ‘Hayim»: «Pendant la semaine qui vient de s’écouler, nous avons vécu des instants de grande tension», commence t-il à raconter au cours du «Farbrenguen» du Chabbath Mévare’khim, qui bénit le mois de Ména’hem-Av. «Tout avait commencé sept ans plus tôt, à la naissance de notre fille Naomi-Emouna-Myriam, lorsqu’on découvrit qu’elle souffrait d’un problème au cœur, qui nécessitait la pose d’un stimulateur cardiaque. Avec la Béra’kha du Rabbi, roi Machia’h, elle subit donc cette intervention à l’Hôpital Schneider, effectuée par un spécialiste des interventions cardiaques, le Professeur Frankel. On lui plaça ce stimulateur, qui était fait pour fonctionner sept ans, un délai qui s’est terminé il y a peu de temps. Dans ces conditions, nous prîmes contact avec l’Hôpital Schneider, et, après les examens préliminaires, ils décidèrent qu’effectivement cette intervention était nécessaire, mais qu’ils ne pouvaient pas encore fixer de date. Nous sortîmes de l’entretien avec des sentiments mitigés, puisque d’un côté cette opération était incontournable mais que de l’autre, aucune date n’avait encore été fixée. Or, à peine quelques minutes après avoir quitté le médecin, nous reçûmes un appel de l’Hôpital, qui nous informait de ce que la date de l’intervention venait d’être fixée…au lendemain! Nous étions très surpris, aussi nous décidâmes de consulter le Rabbi, roi Machia’h, pour savoir s’il fallait accepter cette date du lendemain. Nous rédigeâmes notre demande par le canal des «Igueroth Kodech», avec le volume qui était en notre possession, et la réponse contenait la directive de faire un don au «Kéren Hatzalah» (Fonds de Secours), puis «Que ce soit avec succès». Pendant que je réfléchissais pour savoir de quel «Kéren» la réponse parlait, je reçus une information téléphonique au sujet d’un «Kéren Hatzalah» en faveur de la famille du Rav Chimon Pizem, dont la maison venait de subir un incendie, celui qui s’était déclaré dans un quartier de Tsfat, un jour plus tôt, le 22 Tamouz. J’appelai aussitôt ce «Kéren Hatzalah» et leur fis part de mon modeste don. Nous constations, une fois de plus, à quel point les réponses du Rabbi, roi Machia’h, étaient en adéquation avec la Providence Divine. Le lendemain, mardi 24 Tamouz, nous arrivâmes à l’heure indiquée à l’hôpital. Notre petite fille subit toutes les préparations, et elle était déjà entrée au bloc opératoire, lorsqu’il s’avéra que le chirurgien ne serait pas le professeur Frankel. Nous voulions très fort que ce soit lui qui opère, du fait qu’il l’avait fait la première fois et qu’il connaissait tout son parcours de santé, mais devant l’urgence et le fait
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que nous ne pouvions rien changer, nous fûmes contraints d’accepter. Or, au moment précis où l’on s’apprêtait à endormir l’enfant, arriva une nouvelle urgente au sujet d’une intervention vitale qui devait être effectuée sur-le-champ. Le médecin nous fit donc savoir qu’il se voyait dans l’obligation de repousser l’opération à une date ultérieure. Nous étions passablement troublés, aussi nous entreprîmes d’écrire par le canal des «Igueroth Kodech», et la réponse nous parvint dans le volume 5, à la page 154: «J’ai reçu le Pan (abréviation de «Pidion Néfech», demande de Béra’kha)… et le médecin spécialiste ne vous donnant rien pour l’instant, il conviendrait que vous vous rendiez chez un autre spécialiste, car, selon la Torah, il faut se conduire également en conformité avec les voies naturelles…» A partir de ce moment, les choses commencèrent à s’arranger. On nous attribua un rendez-vous pour le lendemain, et nous apprîmes parallèlement que ce serait le professeur Frankel qui opérerait. Et de fait, le lendemain mercredi 25 Tamouz, ce fut bien «l’autre spécialiste» (conformément à la directive du Rabbi, roi Machia’h) qui procéda à l’intervention. Et le soir de ce même jour, on nous informa que nous pouvions ramener notre fille à la maison, selon l’assurance donnée par le Rabbi: «Que ce soit avec succès».
SUITE À DES DIFFICULTÉS DE TRÉSORERIE souhaite de ses amis et fidèles un geste de solidarité pour lui permettre de poursuivre sa mission de propager le message du Rabbi, roi Machiah’, sur l’imminence de la Délivrance Chèques à l’ordre de Chaarei Binah 7 rue Monte Cristo 75020 Paris