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Lumières du Chabbath
VAYÉTSê
6 & 7 Kislev 5778 Entrée : 16h43 - Sortie : 17h52
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L’Hebdomadaire qui remet les pendules à l’heure ... de la Délivrance
Du 23 au 30/11/2017
Nous venons d’entrer dans le mois de Kislev, que le Rabbi désigne comme «le mois de la Délivrance et des miracles», et comme en témoignent les anniversaires commémorant la progression de la lumière, par la révélation progressive de la ‘Hassidouth dans le monde…
Au-delà des limites! insi en est-il du 9, du 10, du 14 et du 19-20 Kislev, ces jours mémorables d’une histoire quasi-contemporaine où le courage et le dépassement de soi pour diffuser les sources ésotériques de la Torah donnèrent la victoire aux soldats de la lumière et firent progresser le monde vers la révélation messianique. Mais la leçon magistrale réside dans le premier jour de ce mois, ce Roch ‘Hodech dont le caractère global s’étend au mois tout entier et qui porte désormais pour l’éternité un événement irremplaçable: le retour du Rabbi à la vie active, après avoir dépassé et vaincu, il y a exactement 40 ans, les limites de la condition humaine. Rappelons les faits, tels qu’ils furent perçus par notre vision limitée. Lors des danses de Chemini-Atséreth, le Rabbi fut frappé, du moins selon le rapport des médecins, d’une gravissime attaque cardiaque. Il ne s’en plaignit pas, ne montrant qu’une pâleur extrême, et tint à faire Kidouch dans la Soukah avant de rejoindre son bureau. A partir de ce moment, et sur l’avis du Rabbi qui dirigeait les événements, le bureau fut transformé en hôpital par l’installation d’un matériel médical adéquat. Une équipe de cardiologues se relaya à son chevet, et tous exprimèrent leur étonnement devant l’absence de plaintes du Rabbi, alors que selon l’un d’entre-eux, il avait supporté une souffrance qui dépassait les limites de la tolérance humaine. Et seulement quarante-huit heures après cette attaque, à la sortie de Sim’hath-Torah, le Rabbi demanda à parler aux ‘hassidim, et il prononça depuis son bureau un discours de Torah qui dura près de vingt-cinq minutes. Puis il demanda qu’on lui apporte le courrier qui s’était
n’avait jamais cessé de conduire les événements. A l’issue de cinq semaines, pendant lesquelles il avait continué de travailler, prononçant chaque semaine un discours de ‘Hassidouth depuis son bureau, le Rabbi reprit son rythme habituel d’activité, et, le premier jour de Kislev, il sortit de son bureau et rentra chez lui.
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Le Rabbi maîtrise la situation
accumulé depuis le début de la Fête, et commença à y répondre. Au médecin qui s’étonnait et suggérait qu’il serait préférable que le Rabbi se repose encore deux semaines, il répondit: «Est-ce que le Juif qui m’écrit aujourd ‘hui a moins besoin d’aide et de conseils que celui qui va m’écrire dans deux semaines?», et le Rabbi d’expliquer que s’il attendait pour répondre, d’autres lettres allaient s’ajouter aux précédentes et qu’il aurait alors un travail encore plus important. Un détail capital mérite d’être rapporté, ayant trait à la première nuit après l’attaque. Vers cinq heures du matin, le moniteur branché sur le cœur du Rabbi signala une absence totale de tension artérielle et un arrêt des pulsations. Les médecins versèrent alors une goutte d’une certaine substance dans la perfusion, selon la directive du spécialiste, mais sans effet. Ils contactèrent immédiatement le spécialiste, qui leur indiqua d’ajouter une seconde goutte, qui était la limite extrême que le corps pouvait supporter. A ce moment, et sans attendre la seconde goutte, et alors que tous les présents s’attendaient au pire, la tension artérielle commença à remonter et le cœur se mit à battre normalement, pendant que le Rabbi ouvrait les yeux.De l’avis de son secrétaire, le Rabbi
Certes, les ‘hassidim n’oublient jamais, depuis cette date, de fêter cette miraculeuse guérison, par un «banquet de reconnaissance à D-ieu», mais la véritable leçon réside dans le fait suivant: le Rabbi n’est pas arrêté par les limites inhérentes à l’existence humaine. Il n’a pas vraiment besoin de notre aide, telle que nous la concevons et l’imaginons. Il n’attend de nous que l’exécution des directives qu’il nous a données et que nous seuls pouvons accomplir, en l’occurrence l’acceptation de la présence messianique et son entérinement par la pleine acceptation sur nous de son autorité. C’est cela seul qui lui importe, et toutes les déclarations d’attachement n’ont aucune valeur dès lors que l’on délaisse l’obéissance à ses directives. Ne jamais oublier qu’aujourd’hui encore, le Rabbi maîtrise la situation, que pour lui les limites physiques autant que spirituelles n’ont aucun effet, et que, très prochainement, lorsque nous mériterons de le revoir, et qu’il nous demandera comment nous avons fait pour ne pas succomber devant une si grande épreuve, nous pourrons alors répondre que tous les arguments nécessaires à cela se trouvaient dans l’étude de ses textes. Un seul moteur doit être le nôtre : la volonté. Celle de «contempler de nos yeux physiques notre roi, le roi Machia’h» !
VAYÉTSê
Il ne faut plus qu’ouvrir les yeux!
D e l a To r a h d u M a c h i a ’ h
La Si’ha, dont nous présentons ici un extrait a été prononcée en 5752 (Chabbath Vayetsê), et, à ce titre, elle est d’une importance capitale, comme toutes les Si’hoth des deux années les plus récentes («Dvar Mal’khouth»), pour comprendre notre actuelle situation par rapport à la Délivrance prochaine. Une étude attentive des idées exposées permettra au lecteur d’assimiler le message adressé à la génération par le Rabbi, roi Machia’h, afin de réaliser la mission finale : installer le Machia’h en ce monde et promouvoir ainsi la Délivrance. out ce qui vient d’être dit s’appliquait déjà aux Juifs de toutes les générations. A fortiori en est-il pour la génération et l’époque présentes, puisque selon les indices signalés par nos Maîtres (dans le Talmud et les Midrachim) nous nous trouvons déjà en pleine période de délivrance. Comme nous l’avons mentionné maintes fois ces derniers temps, après l’abondance prodigieuse des bonnes actions au long des générations, en particulier après le service accompli par les Maîtres de la ‘Hassidouth (dont les anniversaires de libération, de naissance et d’élévation tombent en ce mois de Kislev) jusqu’au Rabbi, mon maître et beaupère, nous avons achevé toute l’œuvre de décantation. Cela inclut également la purification de «Essav, qui est Edom» qui était déjà considéré par Yaacov comme ayant été décanté à son époque, et qui l’est aujourd’hui dans le sens le plus complet, après tant de siècles de travail spirituel, comme on peut le constater au vu de la conduite des nations (celles qui constituent l’exil d’Edom). En effet, le modèle des régimes de tolérance et de générosité s’est répandu dans de nombreux pays, comme on le voit actuellement. Aussi peut-on comprendre que l’on se trouve dans une situation où toute la dimension physique du monde a été complètement affinée, constituant de ce fait un réceptacle adéquat pour les lumières et influences spirituelles, ce qui inclut (en premier lieu) la lumière du Machia’h et de la Délivrance. Jusqu’à pouvoir également accueillir la révélation de l’Essence infinie de D-ieu, à travers l’essence du Machia’h (bien eu-delà de ses caractères spirituels) dont l’action révélera l’essence de chaque Juif.
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Un homme en chaque génération, apte à être le Machia’h
La seule chose qui manque encore est le fait que le Juif ouvre ses yeux comme il le faudrait, et qu’il voit à quel point tout est déjà prêt pour la Délivrance. En effet, déjà s’y trouvent la «Table dressée», le «Léviathan», le «Bœuf sauvage» et le «Vin conservé» (tous ces éléments représentent des concepts ésotériques se rapportant au «Festin du Futur», une connaissance du Divin conforme aux prophéties, et 2
dont le Rabbi affirme qu’ils sont déjà présents). Et les Juifs sont déjà assis à cette Table, en compagnie du Machia’h, puisque nos ouvrages enseignent qu’«en chaque génération se trouve un homme de la descendance de Yéhouda qui est apte à être le Machia’h». En notre génération, c’est notre «Nassi», mon maître et beaupère le Rabbi, et quarante ans après son départ de ce monde, il y a maintenant «un cœur pour savoir, des yeux pour voir et des oreilles pour entendre». Par conséquent, il ne manque que cela : qu’ils ouvrent ce «cœur pour savoir», ces «yeux pour voir» et ces «oreilles pour entendre», et qu’ils y emploient leurs 248 organes et leurs 365 nerfs, physiquement parlant, en plus de l’étude de la Torah et de la pratique des Commandements. Qu’ils étudient la dimension profonde de la Torah, telle qu’elle est révélée par la ‘Hassidouth, ainsi que les directives de nos Rabbis. Qu’ils étudient les thèmes de la Délivrance, de telle sorte que cela ouvrira leur cœur, leurs yeux et leurs oreilles, afin qu’ils comprennent, voient et entendent simplement, dans les faits matériels, la présence de la Délivrance concrète, et pour qu’ils reçoivent l’enseignement du Machia’h de façon visuelle. Car tout cela est déjà présent, et il ne faut plus qu’ouvrir les yeux pour le voir !
Quant à l’action concrète
Puisque l’âme est parfaitement liée au corps (un Machia’h «en chair et en os») et que tout est prêt pour la Délivrance, il faut réaliser des actions qui révéleront cela de manière concrète. Jusqu’à organiser des réunions ‘hassidiques tout au long des jours de ‘Hanouka, pour illuminer l’environnement «depuis le seuil vers l’extérieur», et ce, de manière croissante chaque jour. Et tout cela sans oublier cette pratique qui s’est implantée de manière progressive à notre époque, d’étudier les thèmes de la Délivrance et du Machia’h, pour être prêt et préparer les autres à la Délivrance véritable et complète. Qu’il soit donc de la Volonté Divine que le fait d’en parler et de prendre de bonnes résolutions provoque immédiatement la révélation de la Délivrance par l’action du Machia’h, aux yeux de tout Israël! (Séfer Ha Si’hoth 5752, 1er Partie, p.151)
La Guéoula en Questions
Machia’h présumé…et même un peu plus ! Nous sommes heureux de pouvoir présenter au public francophone cet ouvrage adapté d’un fascicule édité en 5711 en Israël, et qui se propose de démontrer que toutes les conditions mentionnées par Rambam, à la fin des «Lois des rois» (chapitre 11, loi 4), se sont concrétisées – depuis l’année 5752-1992 ! – en la personne de notre maître, guide et Rabbi, le roi Machia’h.
Présentation générale (suite) Habituellement, on comprend la loi 4 (du chapitre 11 des « Lois des rois») selon le sens voulant que la définition et l’essence du Machia’h ne peuvent concerner qu’une personne qui parvient à réaliser les faits mentionnés dans cette loi. Et que ce serait pour cela que Rambam écrit que celui qui n’accomplit qu’une partie de ces réalisations n’est que «Machia’h présumé» (une ébauche du Machia’h), mais que s’il les réussit toutes, et construit le Sanctuaire à Jérusalem, il est alors le «Machia’h certain», puisqu’il parachève la définition et l’essence du Machia’h. Pourtant, selon ce que nous expliquions précédemment, une telle lecture est contestable à la base. En effet, puisque la personnalité du roi Machia’h doit être présente et existante avant qu’il n’accomplisse ses premières réalisations, et que c’est parce qu’il a été distingué pour cela qu’il réussira et parviendra à les accomplir, on comprend que les signes qui révèlent son identité (les «tests de son authenticité») ne résident pas dans le fait qu’il accomplit toutes ces réalisations. Mais que bien avant cela il y a des indices qui révèlent qu’il est bien l’élu de D-ieu a choisi pour être le roi Machia’h, celui qui accomplira tous ces faits. Les bases de ces affirmations sont tirées de la Si’ha du Rabbi (volume 18, paragraphe 13), que nous citons ici : «C’est exactement comme pour le prophète, au sujet duquel le test de l’authenticité réside dans la prédiction qu’il fait d’événements à venir dans le monde et que cette prédiction se confirme (comme il est dit : «Et si tu demandes : comment saurons-nous…», c’est-à-dire que le test de son authenticité porte sur son caractère de prophète, qui consiste à prédire). De la même façon au sujet du Machia’h (bien qu’il soit également un grand prophète, mais) sa définition et son caractère résident dans le terme «roi Machia’h». On comprend nécessairement que le test et l’indice de son authenticité résident dans le fait qu’il s’identifie à la Torah et à son accomplissement: «S’il s’élève un roi de la Maison de David, qui médite la Torah et accomplit ses Commandements» (fin de citation). Le Rabbi établit un parallèle entre le test d’authenticité du Machia’h et l’identification du prophète. Or, il est évident que même après que l’on ait vérifié l’authenticité de ce dernier, il n’a pas pour autant terminé sa mission, mais qu’alors s’applique à lui toute la définition du prophète, comme le devoir pour tous d’obéir à tout ce qu’il dira et ordonnera. Cela signifie que l’indice (ou le test) n’est qu’un critère de révé-
lation, et non un critère existenciel. Car, bien que l’acte accompli (ici, la prédiction) soit de la même nature que ce qu’il accomplira par la suite, ce n’est pourtant qu’un début—un «avant-goût»-et les prophéties principales, générales et contraignantes, ne commenceront qu’après que l’on aura appris qu’il s’agit bien d’un prophète. On en trouve un exemple à propos de notre maître Moché, à qui l’E-ternel remet des signes à exécuter devant les Enfants d’Israël (après qu’il ait argué du fait qu’ils ne le croiront pas et ne lui obéiront pas). On comprend bien que ces signes ne constituent pas toute sa mission, mais ne sont que des critères d’identification, pour que l’on sache qu’il est l’homme qui a été choisi pour réaliser la sortie d’Egypte. Il en va de même au sujet du Machia’h : Les critères de «présomption qu’il est Machia’h» et de «Machia’h confirmé» ne constituent donc pas son essence, ni sa mission, et ne sont que des paramètres d’identification, de la même nature et du même «domaine» que ses réalisations futures. On comprend ainsi que ce qu’écrit le Rambam : «Il construit le Sanctuaire sur son emplacement et réunit les exilés d’Israël» (et également selon certaines versions: «Il vaincra tous les peuples autour de lui»), n’exprime pas l’intention de répéter exactement les réalisations messianiques exposées dans la loi 1 (la définition et la mission du Machia’h) mais représente plutôt des critères d’identification, par le fait qu’il réalise des actions du même type que ses réalisations futures, évoquées dans la loi 1. (à suivre)
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La révélation des secrets enfouis
Ils ont vécu ce Miracle
La diffusion du Judaïsme et la participation du public le plus large aux Mitzvoth constituent aujourd’hui des objectifs vitaux. Celles-ci possèdent une efficience encore plus forte lorsqu’elles sont accomplies au «770», la Maison d’Etude du Rabbi, roi Machia’h… est Sarit ‘Hadach, l’une des principales responsables de ces activités dans la Synagogue des femmes, au 770, qui raconte : «Ici, les miracles et circonstances prodigieuses ne cessent de se dérouler sous nos yeux, au point que l’on n’a pas le temps de les référencer. L’un des vecteurs principaux de ces prodiges est constitué par les demandes écrites à l’intention du Rabbi, roi Machia’h, par le canal des «Igueroth-Kodech», que les visiteuses et invitées du monde entier rédigent pendant leur séjour. Pour une partie non négligeable d’entre elles, c’est la première fois, et cela m’occupe souvent pendant de longues heures. L’an dernier, quelques jours avant le 22 Chevat (la date où se tiennent les Assises Mondiales des Emissaires féminines du Rabbi), une importante délégation arriva de France, composée de femmes et de jeunes filles. L’une des femmes s’adressa à moi, me demandant de la guider pour écrire au Rabbi, roi Machia’h, au moyen des «Igueroth-Kodech», les volumes contenant les réponses du Rabbi. Elle était accompagnée d’une fillette de 10 ans, qu’elle me présenta comme sa fille. Elle me déclara que cet acte d’écrire au Rabbi serait pour elle quelque chose de nouveau, bien qu’elle en eût entendu parler. Je lui indiquai donc les procédures de préparation, l’acte de se laver les mains, celui de donner quelques pièces à la Tsédaka, et celui de prendre sur soi une bonne résolution en matière de Judaïsme. Puis elle écrivit sa lettre et l’introduisit dans l’un des volumes, après avoir clamé «Yéhi Adonénou…» Je lus la réponse, qui consistait en la directive de se renforcer en Torah et dans la pratique des Mitzvoth, ainsi que de scolariser sa fille dans un établissement juif. Je la questionnai à ce sujet et elle me répondit par la négative, et je remarquai que ses yeux s’embuaient en me répondant: «Le père de l’enfant n’est pas juif, aussi ne voulais-je pas causer à celui-ci des conflits supplémentaires en l’envoyant dans une école juive. Mais vous allez être étonnée», ajouta t-elle, «de savoir que mon mari, bien que non-juif, aurait voulu que sa fille étudie dans une école juive». «Etes-vous certaine qu’il n’est pas juif?» lui demandai-je soudain. «Je vous pose cette question parce que la réponse du Rabbi s’adresse à un couple juif, et qu’il leur demande d’envoyer leur fille dans une école juive». La Béra’kha du Rabbi formulait le vœu que cette femme et son mari élèvent leur fille pour la Torah, la ‘houpa et les bonnes actions. Et j’ajoutai, quant à moi, que la tournure de la lettre me prêtait à penser que son mari était juif. Mon conseil était donc qu’ils devaient vérifier ce fait de manière fondamentale. Elle me révéla alors qu’ils avaient effectivement fait des recherches, par le passé, sur la judéité du mari, mais que, comme ses parents étaient des immigrants de Russie et qu’il ne possédait pas de documents à ce sujet, ils n’avaient pas poursuivi leurs recherches, et au-
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cune preuve n’avait été établie. Les conséquences ultérieures de mon conseil me parvinrent il y a peu de temps, par le canal de la fille de l’émissaire ‘Habad de la localité où résidait le couple, lorsqu’elle vint au «770»: «Peu de temps après le retour en France de cette femme et de sa fille, elle exposa le sujet à son époux, lui proposant de vérifier une fois encore ses probabilités de judéité. Celui-ci voulut comprendre ce qui motivait cette volonté de recherche, et elle lui raconta sa lettre, écrite au «770», et la réponse du Rabbi, qui laissait apparaître qu’il était juif. Ils s’adressèrent donc au Tribunal Rabbinique, lui demandant une vérification intégrale, et le Tribunal accepta de se livrer à cette recherche. Or, après maintes démarches, discussions et débats, ils finirent par découvrir que cet homme était on ne peut plus juif!!» «Vous pouvez vous imaginer», conclut notre interlocutrice», à quel point il est important d’accorder toute son attention aux réponses précises du Rabbi, roi Machia’h, dans les «Igueroth-Kodech».Voilà un cas où il avait béni ce couple pour qu’ils élèvent ensemble leur fille dans la voie de la Torah, pour la ‘Houpa et les bonnes actions. Et tout cela s’est vérifié dans tous les détails!». v"c
GRANDE CONFÉRENCE
L’URGENCE DES SEPTS LOIS POUR L’HUMANITÉ ACTUELLE sur le thème
Donnée par le Rav Pachter Le Dimanche 26 novembre 2017 à 18h30 précises à la Synagogue “SEVEN SEVENTY” 3 rue Henri-Ribière (place des Fêtes) 75019 Paris Tous publics - Entrée libre (portes ouvertes jusqu’à 19h00)