BH
N°11 - Hebdomadaire Chabbat Parachat Mattot
Edition française
High-Tech
Une application d’urgence
Gros succès d’une application pour signaler son enlèvement en Israël. Soixante mille téléchargements en à peine deux semaines, le succès est édifiant. Il revient à l’application SOS, développée par la start-up israélienne Now Force à la suite de l’enlèvement de trois adolescents le 12 juin en Israël et retrouvés morts dix-huit jours plus tard.
L’application, gratuite, a été créée à la demande de l’organisation de secouristes bénévoles United Hatzalah, explique le Jerusalem Post. Son fonctionnement est simple : d’un glissement de doigt, le détenteur du smartphone active un signal de détresse qui prévient l’ONG et les autorités israéliennes et permet sa géolocalisation immédiate. Avec cette application, le problème que posent les longues procédures et délais imposés aux autorités pour avoir la permission de tracer le signal d’un téléphone portable est levé. Mais son utilité va plus loin : quand la victime d’un enlèvement tente de prévenir ses proches ou la police, elle prend des risques qui peuvent parfois lui coûter la vie. C’est apparemment ce qui est arrivé aux trois adolescents Israéliens, dont la mort a choqué tout le pays.
Editorial
Le compte à rebours vers la Guéoula !
C’est sûr qu’il est bon de résoudre les problèmes de tous types et d’aller consulter un rav, un psy, un conseiller ou autre mais là n’est pas la question. Réalisons aujourd’hui que la solution à tous les problèmes et principalement ceux que posent la guerre et son cortège de soucis et d’inquiétudes ne tient qu’en un seul point… La délivrance !
Et pour l’obtenir, nous, le Peuple Juif dans son ensemble et chacun en particulier, devons nous engager à renforcer tous les domaines que notre maître le Rabbi, nous a montré. Par exemple, et le plus haut niveau de la contre attaque spirituelle c’est de réunir dix Juifs et d’étudier ensemble tous les sujets de la Torah, les lois, la ‘Hassidout, le Tanya mais surtout ceux qui traitent de la venue du Machia’h, de la Guéoula et du troisième Temple. Ensuite, se renforcer et renforcer son entourage dans les Mivtsaïm du Rabbi. Comme les Tefilines, les mettre soi-même, les faire mettre autour de soi (les faire vérifier si cela n’a pas été fait). Poser des Mezouzot s’il en manque dans chaque pièce de la maison (les faire vérifier aussi). Acheter des livres de Torah et de ‘Hassidout. Avoir chez soi (et ci possible dans chaque pièce) une boîte de Tseddaka
qui protège et rapproche la délivrance. Appliquer les lois de la Cacherout des aliments avec plus de rigueur. Aimer son prochain comme il se doit. Acheter une lettre pour chacun dans un Sefer Torah. Etudier pour les couples mariés les lois de la pureté familiale. Eduquer ses enfants afin qu’ils prennent aussi des cours de Torah ou qu’ils étudient dans une école religieuse. Etudier tous les jours le ‘Houmach avec Rachi, dire la portion quotidienne des psaumes et celle du Tanya (placer un livre de ‘Hitat dans la voiture avec une boîte de Tseddaka). Pour les femmes et jeunes filles, allumer les bougies du Chabbat et des fêtes. Et bien entendu participer à un cours sur Machia’h et Guéoula (le Dvar Mal’hout sur la Paracha de la semaine) et correspondre avec le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h par l’intermédiaire des Igueroth Kodech afin de solliciter son conseil et sa bénédiction pour tous les sujets… Si chacun se renforce dans tout cela nous n’aurons même pas à combattre l’ennemi, il s’effacera de lui-même et nous verrons de nos yeux de chair les nuages du ciel qui viendront nous transporter par voie des airs au troisième Temple dans la plus grande joie lors de la délivrance véritable et complète de manière immédiate !!! (GB)
H or ai r es de Cha b bat Parachat Mattot - Jérusalem Entrée : 19h09 - Sortie : 20h25 Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd
T o r a h
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G u é o u l a
La Terre d’Israël chez soi
Dvar Mal’hout
Extraits du discours Du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita Chabbat Mattot (Pin’has) 24 Tamouz 5751-1991 L’une des nouveautés essentielles de notre Paracha est le sujet du partage de la Terre d’Israël à chaque Juif. Alors que nous sommes à l’orée de la délivrance véritable et complète. Alors que chacun peut témoigner de tous les signes évidents de la délivrance (comme évoqué dernièrement à plusieurs reprises), il est clair que nous pouvons en tirer un enseignement en ce qui concerne l’héritage et le partage de la Terre d’Israël tout simplement, lors de la délivrance (Baba Batra 122a).
A la lumière de l’histoire du Tsema’h Tseddek qui avait donné la directive à un Juif qui voulait monter en Terre d’Israël afin d’y habiter et d’y servir D.ieu : « Fais d’ici la Terre d’Israël » et puisque cette anecdote a été publiée (par le Rabbi mon beau-père) à l’attention de chaque Juif, il s’agit donc là d’un enseignement de portée générale que même lorsque nous nous trouvons « ici », en dehors de Terre Sainte, en temps d’exil (même lors de son dernier instant), nous devons ici et maintenant faire « Eretz Israël ». Nous allons expliquer en quoi constitue le travail de « faire ici la Terre d’Israël », car a priori et selon la loi, il s’agit de deux espaces différents, « ici » et la Terre d’Israël ! La perfection de l’accomplissement de la Torah et des Mitsvot des Enfants d’Israël ne prends un réel relief qu’en Terre d’Israël. Mais même, tout en étant ici, en cet endroit et à cette époque d’exil, un Juif prie (le visage tourné vers la Terre d’Israël) en disant trois fois par jour pendant la semaine : « Rassemble-nous des quatre coins du monde vers notre Terre »… Et plus particulièrement dans ces dernières générations, ces dernières époques et actuellement, selon tous les signes de la délivrance : « Voici (le Machia’h) qui arrive (Chir Hachirim 2.8) » et donc dans ce cas, que veut dire aujourd’hui « Fais d’ici la Terre d’Israël » ?! Et de plus en sachant que dans l’instant qui suit nous sortons de l’exil et nous partons en Terre d’Israël de la manière la plus littérale. La Guéoula dans le temps et dans l’espace Chaque Juif possède une parcelle et une mission dans le monde que lui a attribué le Saint béni soit-Il. L’un sera homme d’affaire (Zevouloun), un autre étudiera la Torah (Issa’har), et à chaque genre, sera attribuée un autre style de mission dans le monde. De plus, chacun se trouve dans une autre partie géographique qui lui a été désignée par le Saint béni soit-Il car sa
mission se passe justement en cet endroit. De même en ce qui concerne le temps, chaque minute, chaque heure, chaque jour, chaque mois, chaque année et chaque période possède un travail et un rôle spécifique. Et même si chaque endroit, chaque moment et la mission de chacun en ce monde, ne sont qu’un petit point d’un ensemble universel, de l’espace et du temps, il se peut que l’on en arrive à se demander : « Que se serait-il passé, si j’avais vécu ailleurs ou à une autre époque… mon travail aurait été tout autre, et certainement meilleur que le mien actuellement… ». L’on pourrait aussi se poser la question : « Puisque mon travail se passe uniquement dans un petit coin du monde, dans les infimes détails de la vie, quel peut-être l’implication de mon comportement, peut-être que tout ceci n’a aucune influence sur le monde ? ». Et plus encore, l’on se dira : « Comment peut-on me demander d’amener la Guéoula, la délivrance au monde entier alors que mon travail est tellement insignifiant aussi bien dans le temps que dans l’espace ? ». Pourtant, la réponse donnée à chacun et chacune de l’ensemble des Enfants d’Israël est : « Tu as un ordre du Nassi, du chef de la génération : « Fais ici la Terre d’Israël », ton travail doit s’exprimer dans la pensée (non pas en se concentrant sur ce qu’il se passe à l’autre bout du monde ou lors d’une autre période) en se donnant à fond (en pensée, parole et action), en faisant « d’ici la Terre d’Israël » en ton endroit et à chaque instant de ton temps personnel. Et grâce à cela, tu agiras dans le monde entier parce que dans ta parcelle sont comprises toutes les parcelles du monde ». En aillant en tête que « chacun doit se dire que
Eretz Israël et la Guéoula
le monde a été créé pour moi (Michna Sanhédrine 37a) ». Et puisque le monde a été créé pour lui, il est clair qu’il possède la force d’agir dans le monde entier par le fait que sa parcelle à lui contient le monde entier. De cela nous entendons que chacun, quelque soit son rôle dans le monde, possède la force de faire « ici (toute) la Terre d’Israël », et par cela, d’agir dans le monde entier. Et même s’il est un homme d’affaire et non le gérant d’une synagogue, en fait, il pourrait se dire quel rapport ai-je avec la sainteté de la Terre d’Israël (cela relève plus d’une synagogue ou d’une maison d’étude), sans compter qu’il peut participer à la construction d’une synagogue et d’une maison d’étude par ses moyens financiers. Son travail personnel, à lui aussi, contient tous les sujets du travail et des parcelles de la « Terre d’Israël ». Ainsi, chaque Juif possède la responsabilité d’amener la délivrance au monde entier, car c’est là la perfection de son travail personnel, en pensée, parole et action. Y compris dans les plus infimes détails, en une minute en un endroit (« ici »), il a le pouvoir de le transformer en « Terre d’Israël », et par cela, amener la délivrance complète dans le monde entier ! En termes simples : Alors que nous nous tenons juste avant la délivrance, chaque Juif et chaque Juive doit s’habituer à la Guéoula, la délivrance et se placer lui-même dans une situation et un état d’esprit de Guéoula, par la transformation de sa propre journée en un jour de « délivrance privée » et de transformer son endroit personnel en « Terre d’Israël » par le fait qu’il accomplit son travail ici et maintenant de la manière la plus parfaite en pensée, parole et action.
Grâce au fait que les Enfants d’Israël accompliront leur travail de « faire d’ici Eretz Israël », de s’habituer à la Guéoula, la délivrance, nous entrons immédiatement par des danses pour la Guéoula, et nous irons tous en dansant en Eretz Israël et chacun héritera de sa parcelle, lors du partage de la Terre d’Israël dans le monde futur « pour les treize tribus » par l’entremise du Saint béni soit-Il Lui-même, « C’est le Saint béni soit-Il qui la leur distribue Lui-même (Baba Kama 122a) » et comme nous l’avons dit, la Terre d’Israël, dans le futur, s’étendra au monde entier.
H i s t o i r e s Le cadeau de mariage
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Vendredi à midi. Café Joe, rue Alterman. Tel Aviv. Chimon Barrouche est assis seul à une table. Il se sentait vraiment seul. Autrefois, il venait s’asseoir à une table de café le vendredi avec sa femme. Ils discutaient de toutes sortes de choses, de tout et de rien et de leur évolution dans la grande mélodie de la vie. Mais aujourd’hui, tout avait changé. Ils avaient divorcé. Les enfants étaient avec elle… et il était resté seul. Quelque chose d’inhabituel fit apparition dans son champ de vision : un religieux ! Les religieux ne sont pas exactement le type de clientèle qui fréquente le café Joe. Qu’est ce qu’un tel homme fait ici ? Soudain il réalisa… mais bien sûr, c’est un ‘hassid ‘Habad qui propose aux gens assis, de mettre les Téfilines. Et Chimon aussi était parmi ceux qui retroussaient leur manche gauche. Cela faisait longtemps qu’il n’avait pas mis les Tefilines et l’aspect de ce ‘hassid ‘Habad était tout à fait sympathique. ‘Haim Rivkin, ainsi s’appelait ce ‘hassid fut le lien qui attacha Chimon avec la Communauté du Beit ‘Habad du quartier de Néot Aféka que tient le Rav Iddo Rahav. La Communauté était une réponse extraordinaire à la solitude de Chimon. Il se connecta rapidement avec chacun et plus spécialement avec le Rav Iddo. C’est sous son égide que Chimon fit ses premiers pas dans le monde du Judaïsme. Et chaque pas suivant, Chimon se sentait de mieux en mieux. Mais Chimon avait du mal avec l’un des domaines du Judaïsme. Lorsqu’il rencontrait ses enfants, son ex-femme était présente. Et le Rav Iddo lui fit comprendre avec tact qu’une telle rencontre n’avait pas lieu d’être, mais Chimon n’intégra pas le message, peut-être ne voulait-il pas comprendre ce type d’information. Pourtant, de l’amer sortit le doux et un beau jour, au Beit ‘Habad, on parlait à bâton rompu du sujet actuel, « les Igueroth Kodech ». Le lien que l’on établi aujourd’hui avec les volumes des correspondances du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita. Selon les dires du Rabbi, lui-même, les ‘hassidim ont pris l’habitude de questionner le Rabbi sur tous les sujets en introduisant une lettre entre les pages d’un des volumes de ses correspondances et s’est ainsi que l’on peut recevoir la bénédiction. En général dans la page qui s’est ouverte, on peut trouver un conseil du Rabbi relié avec le sujet en
question et comment se comporter en tel ou tel cas. Chimon fut réellement impressionné. Depuis quelques temps, certains regrets s’étaient fait jour dans son cœur et dans celui de son ex-femme au sujet du divorce. Ils pensaient même parfois se remarier. C’était là l’occasion pour Chimon de demander ce que pensait le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h à ce sujet. Le Rav Iddo montra à Chimon la marche à suivre pour écrire. Peu après, celui-ci introduisit la lettre entre les pages d’un des volumes des Igueroth Kodech. Lorsqu’il ouvrit le livre, les premiers mots qui lui sautèrent aux yeux furent en clair : « Il est bon que l’homme habite avec son épouse ». « Quelle réponse limpide ! », s’enthousiasma le Rav Iddo. Chimon était sur un nuage. Il appela immédiatement son exfemme et lui décrivit son expérience. Celleci exprima sa volonté de se joindre à lui dans ce sens. Sous les conseil du Rav Iddo, les deux convinrent d’une date pour le mariage renouvelé aux alentours de la fête de Pessa’h. Mais pour diverses raisons, celuici n’a pu avoir lieu en son temps. Ce temps, lui, qui fit son effet et ne fut pas véritablement bienfaisant pour la suite des événements entre Chimon et son « ex-future » épouse et Chimon identifia un réel problème qui entravait le projet. Une discussion carte sur table avec le Rav Iddo aida Chimon à comprendre qu’en fait, tout dépendait de lui. « Pourquoi ne fait tu pas ce qu’il faut ? », lui livra le Rav Iddo du fond du cœur. A ce moment-là, Chimon comprit que pesait sur lui la décision de fonder avec ce remariage une maison juive dans tous les sens du terme avec un accomplissement complet de la Torah et des Mitsvot. Il appela son ex-femme et ils discutèrent ferme sur tous les points et décidèrent ensemble de se remarier, mais cette fois-ci… En vérité ! « Dans deux semaines, c’est le mois d’Elloul » dit le Rav Iddo. « On vous mariera ici, au Beit ‘Habad ». Entre temps, la se-
conde bénédiction que Chimon avait demandé dans sa lettre, sur la Parnassa (les finances), s’accomplit, elle aussi. Chimon était associé dans une affaire de distributeurs d’eau purifiée et avec la bénédiction du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, les commandes allaient bon train. L’une de ces commandes venait de ‘Hédera. Or, Chimon fit le lien avec une ancienne commande qui n’avait pu être concrétisée, elle aussi à ‘Hédera. Il rechercha les coordonnées de la cliente, une certaine Mme Myriam Staker. Il l’appela et lui demanda si elle avait toujours besoin de l’appareil en question. Elle était intéressée et Chimon se déplaça à son domicile. Point d’argent pour Chimon de cette visite car le propriétaire de l’appartement refusa les menus travaux qu’impliquait l’installation de l’appareil. Pourtant, Chimon ressortit tout de même avec de l’argent, mais d’un tout autre genre… Chimon raconta à Mme Staker son histoire et qu’il allait se remarier très bientôt par le mérite de ‘Habad. Or, Mme Staker, qui elle aussi était attachée au mouvement ‘Habad, fut grandement émue. Dans son portemonnaie, elle possédait quelques dollars qu’elle avait reçu de la main du Rabbi, elle décida d’en offrir un en cadeau à Chimon : « Voici mon cadeau pour votre mariage si particulier ». Chimon ne savait comment la remercier. Son rêve était de recevoir un dollar du Rabbi. Il observa de près ce dollar providentiel et son regard se fixa sur la phrase qui était manuscrite sur le billet : « Reçu le premier jour du mois d’Elloul », il était stupéfait et se mit à frissonner. Le frisson qui parcouru Chimon à ce moment-là, il le transmit à tous les invités lors de son mariage qui se produisait le premier du mois d’Elloul. Ce mariage dansait aux couleurs des drapeaux ‘Habad. « Je suis sûr », dit Chimon, que c’est le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h lui-même qui m’a offert ce dollar pour le jour de ma ‘Houppa, afin que l’on mérite de fonder un édifice éternel ! ». (Traduit de HaGuéoula)
L ’ è r e
High Tech
Le « Dôme de Fer »
En dehors d’Israël on avait tendance à oublier que les meilleurs chercheurs israéliens s’occupent toujours de la Défense du pays. Des milliers de scientifiques collaborent avec Tsahal pour protéger Israël. L’un des chercheurs qui a mis au point ce système est le Rav Moché Binyamin un ‘hassid ‘Habad. Celui-ci travaille à Jérusalem et tout au long de la mise au point du système de défense a avant toute opération demandé son avis au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h par l’intermédiaire des Igueroth Kodech. Le miracle du High Tech débute tout d’abord par les Igueroth Kodech…
Le système de défense anti-missile israélien « Dôme de fer » (« Kipat Barzel », en hébreu) est l’un des éléments centraux du système de défense développé par Israël depuis le milieu des années 1990. Le Dôme de fer recourt à de petits missiles guidés par radar, pouvant anéantir en plein vol des roquettes de courte portée − de 4 à 70 kilomètres – et des obus d’artillerie et de mortier. Chaque batterie du Dôme de fer comprend un radar de détection et de pistage, un logiciel de contrôle de tir et trois lanceurs équipés chacun de vingt missiles d’interception. Le système repère la trajectoire de la roquette depuis son lancement. Si elle doit s’abattre sur une zone habitée, il tire un missile pour l’intercepter en vol. La première batterie a été installée en mars 2011 dans la région de Bersheeva, à 40 kilomètres de la bande de Gaza et à portée des roquettes Grad de conception russe. Trois autres ont été installées près des villes côtières d’Ashkelon et Ashdod, au sud de Tel-Aviv, et près de Nétivot, à 20 kilomètres de la bande de Gaza.
Petites Annonces Cours de Torah Jérusalem Beit Machia’h du centre ville 8, rue Yaavets. Cours en français le Jeudi à 14h00 sur les Ala’hot et le Dvar Mal’hout 054-5731430
Baka Chabbat : Minyane ‘Habad à 10h30 suivi de Farbrengen et Min’ha. Synagogue Tefila LeDavid - 1, rue Dan
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Une cinquième batterie a été installée fin 2012 à Tel-Aviv. Une batterie supplémentaire a été déployée depuis. Ces batteries sont semi-mobiles. Les lanceurs sont posés sur des bases de conteneurs. Une batterie serait à elle seule en mesure de défendre efficacement une ville comme Ashkelon (100 000 habitants). Selon les experts militaires, un total de 13 batteries est nécessaire pour assurer la couverture complète du territoire israélien. Face à des salves simultanées de projectiles, le système risque en effet de saturer en raison du nombre limité de batteries disponibles. Le commandement des batteries est confié à un chef de batterie, qui se réfère à un commandement central. Le temps de prise de décision pour une interception est court, environ deux minutes entre le lancement et l’impact d’un projectile, note Joseph Henrotin, rédacteur en chef de la revue Défense et Sécurité Internationales (DSI). Cela explique que l’interception se fasse près du point d’impact, une fois que le système s’est verrouillé sur la cible. D’autres dispositifs d’interception complètent ce système. Depuis 2010, les Etats-Unis et Israël développent le système de défense « Baguette magique » et son missile « Fronde de David » (« Kala David »). Ce système est dirigé contre les missiles de courte portée (supérieure à 70
Achéologie
km mais inférieure à 250 km), les roquettes de longue portée, les gros calibres (dont les ogives peuvent aller jusqu’à une demi tonne) et les missiles de croisière. Ce système est toujours en développement. Il a toutefois été intégré à l’une des batteries du Dôme de fer. Il est davantage destiné à être déployé dans le nord d’Israël pour intercepter les roquettes du mouvement chiite libanais Hezbollah, de plus longue portée que celles des mouvements palestiniens de la bande de Gaza. Le système «Arrow» (« la flèche » ou « ‘Hetz » en hébreu), opérationnel depuis 2000, protège Israël des missiles balistiques d’une portée supérieure à 250 kilomètres. Washington finance la moitié de son coût annuel. Le programme «Arrow II» a été développé par Boeing et Israël Aerospace Industries (IAI), à partir de 1995, pour éliminer les missiles balistiques conventionnels à plus longue portée, en particulier iraniens (d’une portée de plus de 1600 km). Pour contrer une éventuelle attaque nucléaire de Téhéran, Israël a développé un intercepteur qui peut localiser et entrer en collision avec des missiles balistiques au-delà de l’atmosphère terrestre : «Arrow III». La conception, confiée à IAI et Boeing, a été lancée en 2008. Il devrait être opérationnel en 2015, estiment les autorités israéliennes. (GN)
Léviathan, grand buffle et le vin vieux ?
Dans le nord d’Eretz Israël, sur le site d’un palais cananéen vieux de 3700 ans, la plus grande cave à vin du Moyen-Orient a été mise à jour. L’analyse chimique d’une quarantaine de jarres (correspondant, en volume, à 3000 de nos bouteilles actuelles) a révélé la présence d’acides tartriques et phénoliques, composants de base de tous les vins, ainsi que du miel, de la menthe, de la résine, des baies de genièvre et de la cannelle. Un mélange dont le goût ressemblerait à celui du vin résiné, la Retsina, encore fabriqué en Grèce. (FD-SA)
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Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme : Gabriel Beckouche - Secrétariat : Léa Bensimon - Correspondant à Paris : ‘Haïm Benchoam 0177127044 - Site : www.viveleroi770.com Email : viveleroi770@gmail.com - Tél. 058-4770055 ou 0177501175
Igueroth Kodech
Pour consulter les Igueroth Kodech et vivre les miracles de la Guéoula
058-4770055 L E
C A R N E T
Pour la réussite de : De nos soldats qu’Hachem les protège ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary Chlomo Ben Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine, ‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline et Morde’haï Tsvi Ben Ra’hel Leilouï Nichmat de : Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara, Ruth Sarah Isska Bat Gabi, Julia Bat Elie, Rachel Bat Elie, Ra’hamim Ben Raphaël, Yaakov Naftali Ben Rachel Dvora, Guilad Mi’haël Ben Bat-Galim, Eyal Ben Iris Tchoura et Dror ‘Ben Sarah.
Pour vos dédicaces : 058-4770055