BH
N°13 - Hebdomadaire Chabbat Parachat Devarim Chabbat ‘Hazon
Edition française
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Savoir remercier pour les miracles de la Guéoula, de la délivrance actuelle
Parfois nous vivons des situations qui sortent de l’ordinaire. Chacun de nous peut observer les effets de la Providence divine. Or, on connaît tous la première partie du dialogue entre le Baal Chem Tov et le roi Machia’h qu’ils ont tenu lorsqu’à Roch Hachana, Rabbi Israël Baal Chem Tov a connu l’élévation et s’est rendu là-haut, dans les palais célestes. Il a visité celui du Machia’h et lui a demandé : « Maître, quand allez vous venir ? ». La réponse fut : « lorsque tes sources (la ‘Hassidout) se répandront à l’extérieur ». Mais ce que le Machia’h lui révéla par la suite est moins connu, il lui dit : « Lorsque tous accompliront des unifications célestes comme tu le fais ». L’Admour Hazaken, dans son Likoutei Torah nous explique ce qu’est une unification céleste. Il s’agit tout simplement d’observer la main de D.ieu dans le monde, ce que l’on appelle communément la « Achga’ha Pratite », l’effet de la Providence divine. Nous pouvons remarquer aujourd’hui que plus personne n’ignore ce qu’est la Providence divine au point que chaque rencontre que l’on fait avec un ami, par exemple, ou à chaque bonne chose qui se passe que l’on attendait pas forcément, nous nous exclamons : « Quelle Achga’ha Pratite ! ». Et tout cela se reproduit sans cesse mais chaque fois avec plus de force, plus de fréquence. Nous pouvons tous observer aujourd’hui et encore plus avec les événement ici, en Is-
raël, que même nos ennemis disent : « Leur D.ieu change la trajectoire des missiles ». Les miracles que nous voyons de nos yeux s’amplifient sans cesse car ce sont les merveilles, les Niflaot qui nous ont été promis lors de la Guéoula actuelle. Celui que nous avons découvert récemment a fait la une des médias. Les tunnels de Gaza ont été découverts quatre mois avant Roch Hachana pendant lequel devait avoir lieu (D.ieu préserve) une attaque de grande envergure (selon les plans retrouvés par nos soldats, que D.ieu les protège) à partir de ces galeries creusées par nos ennemis, que leur nom soit effacé. C’est exactement lorsque nous observons ce genre d’événement, que nous remercions D.ieu et chaque jour, pour les bonnes choses, pour tout ce qui se passe dans notre vie et ce qu’Il fait pour nous, nous disons des Tehilim, les psaumes, nous nous renforçons dans l’étude et l’accomplissement des Mitsvot, les dons à la Tseddaka nous étudions le Dvar Mal’hout avec toujours plus de vigueur et c’est comme cela que nous remercions D.ieu pour tout ce qu’Il fait pour nous et toute cette protection pour laquelle Il met toute l’armée des cieux au travail… Merci Hachem ! (GB)
Biotechnologie
Rewalk : L’exosquelette électronique
Il se compose d’une armature motorisée située au niveau des jambes, de capteurs et d’un sac à dos contenant un boitier de commande informatique et des batteries rechargeables. Il permet aux personnes souffrant de paralysie au niveau des jambes de se tenir debout, de s’assoir, de marcher et de grimper ou de descendre des escaliers. Pour Amit Goffer, inventeur de Rewalk et souffrant lui-même de paralysie, cet appareillage permet aux handicapés d’avoir une meilleure qualité de vie. Kate Parkin, directeur du service de rééducation du NYU medical centre, ajoute que les bienfaits de Rewalk s’expriment à deux niveaux : « Physiquement, ce système permet de solliciter différents muscles et permet un meilleur gonflement des poumons, en plaçant le patient en station debout. Psychologiquement, il permet à son utilisateur de vivre debout et de s’adresser à ses interlocuteurs dans les yeux, gagnant en estime de soi. » Aucune date de commercialisation n’a été donnée pour le moment. Son prix devrait se situer entre dix et douze milles euros. (Israël Valley)
H or ai r es de Cha b bat Parachat Devarim - Jérusalem Entrée : 19h00 - Sortie : 20h14
Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd
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Dvar Mal’hout
Extraits du discours Du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita Chabbat Devarim 9 Ména’hem-Av 5751-1991 Le contexte au 770 Des centaines de personnes de tous âges s’unissent en une danse d’une joie indescriptible. Des anciens à la barbe blanche et des jeunes gens, des érudits distingués et de simples travailleurs se rejoignent en un chant exubérant. Dans la rue, des passants s’arrêtent devant la synagogue, intrigués par la rumeur qui s’en échappe. Attirés par l’éclat de la réjouissance, ils entrent prendre part à la fête. Cette brève description ne se rapporte pas à Pourim ou à Sim’hat Torah, mais à la nuit suivant Tichea BéAv. Les prophètes ont promis que, à l’ère messianique, ce jour, ainsi que tous les jeûnes commémorant des épreuves traversées par le peuple juif, deviendraient autant de jours de joie et d’allégresse (1). A la fin du 9 Mena’hem-Av 5751-1991, chacun a pu avoir un avant-goût de ces célébrations auprès du Rabbi de Loubavitch, Méle’h Machia’h Chlita. Peu avant la fin du jeûne, le Rabbi entra dans le 770, eastern parkway à Brooklyn (sa synagogue et maison d’étude) de manière complètement inattendue et fit un court mais intense discours. Après la prière du soir, et à la fin du jeûne, sur le point de partir, il entonna le chant de Sim’hat Torah de son père, Rabbi Lévi Its’hak. Les ‘hassidim y répondirent par la joie que l’on a décrite. A quelques différences de détail prés, les mêmes événements se reproduisirent le lendemain. Revenant du tombeau de son beau-père, le précédent Rabbi de Loubavitch, le Rabbi Roi Machia’h Chlita, fit la prière de l’après-midi et celle du soir avec les ‘hassidim. Puis, il prononça un nouveau discours qu’il fit suivre d’une distribution de dollars pour la Tsedakka, à toute l’assistance. Pendant cette distribution, il encouragea tous ceux qui étaient là à chanter joyeusement. Après sa sortie du 770, les chants et les danses se poursuivirent pendant un long moment. Ce chapitre présente le contenu de ces deux discours. Toutefois, il faut se garder de communiquer, en ces matières, uniquement des idées. Tous ceux qui assistèrent à ces événements ressentirent l’imminence de la Guéoula, la délivrance, de la venue de Machia’h et le profond désir de la voir intervenir à l’instant. C’est précisément ce que le Rabbi veut nous transmettre : la vision de la délivrance, non pas comme une construction abstraite, mais comme une réalité concrète, à venir dans l’immédiat. Nous sommes à présent depuis quelque temps au seuil de la délivrance, il faut nous tenir prêts, le moment est venu de le franchir.
L’anniversaire du Machia’h Une source de puissance Nos Sages enseignent (2) que Machia’h est né Tichea BéAv, le 9 Av, au jour de la destruction du Temple ; Il ne s’agit pas là d’une simple précision historique. Bien au contraire, le but recherché est que, chaque année, cette date communique un nouvel élan à l’avènement de l’ère messianique. En effet, pour citer nos Sages (3), l’anniversaire est le jour où la source spirituelle de l’homme concerné irradie avec davantage de force. L’anniversaire du Machia’h est le temps où luimême, ainsi que la Délivrance qui lui est liée, reçoivent un surcroît de puissance. Ceci hâte encore la venue de cette époque où la délivrance apparaîtra manifeste. On désigne habituellement la délivrance sous le nom de « délivrance véritable et complète ». Ce dernier mot implique que la rédemption touche chaque élément de l’existence et inclut chaque Juif. C’est là que réside une des différences entre la délivrance future et celles qui se sont déjà produites dans notre histoire. Lors de la sortie d’Egypte, les Juifs jugés indignes de la libération moururent pendant la plaie de l’obscurité (4). De même, lors du retour en Israël conduit par Ezra, la majeure partie du peuple juif resta en exil à Babylone. A l’inverse, la délivrance future comprendra tous les membres de notre peuple : chacun quittera cet exil.
Pour qui Moché pria-t-il ? Cette idée projette une lumière particulière sur un événement relaté par la Torah. Au début de la Paracha de Vaet’hanane (qu’on lira à Min’ha de ce Chabbat), Moché raconte au peuple juif comment il implora D.ieu de le laisser entrer en Israël. Bien qu’ayant essuyé un refus, il continua de prier (5) dans ce sens jusqu’à ce que D.ieu lui dise (6) : « Cela suffit… ne M’en parle plus ». Plus encore, il est hautement improbable que Moïse ait cessé d’implorer, même après en avoir reçu l’ordre. Son désir d’entrer en Israël – et cela est certainement tout aussi vrai pour chaque Juif – ne connaissait pas de limite. Dès lors, il était prêt à se sacrifier pour lui, jusqu’à poursuivre ses supplications alors que cela lui avait été interdit. On peut même supposer que, se tenant sur le mont Nébo et contemplant la terre promise avant sa mort, il continuait encore à prier. Mais, pour qui Moché priait-il ? S’il avait été le seul concerné par sa demande, il aurait, très probablement, été exaucé. On sait que la prière a, de manière générale, un immense pouvoir, et combien plus quand il s’agit de celle d’un Tsad-
dik, d’un juste dont nos Sages enseignent (7) : « le Tsaddik décrète et D.ieu accomplit ».
Le berger de son peuple De fait, Moché ne se préoccupait pas de luimême. Nos Sages le décrivent comme le « berger du peuple juif (8) ». Aussi, ne pouvait-il concevoir son propre avenir sans son troupeau. Or, il avait été décrété que tout cette génération mourrait dans le désert, Moché ne pouvait donc, ni ne voulait, entrer en Israël sans elle. Comment serait-il entré en terre promise en laissant son troupeau en arrière ? Par conséquent, ses prières avaient trait au peuple juif tout entier. Il demandait ainsi à D.ieu de lui permettre de les conduire tous en Israël et d’inaugurer la Délivrance finale.
Notes : 1 – Zacharie 8.19, 2 – Talmud de Jérusalem, traité Bra’hot 2.4, Ei’ha Rabba 1.51, 3 – Talmud de Jérusalem, traité Roch Hachana 3.8, 4 – Voir le commentaire de Rachi sur Chemot (Exode) 13.18, 5 – Voir le commentaire de Rachi sur Devarim 3.23, qui note que le mot « Vaèt’hanane » en hébreu a pour valeur numérique 515. Moché fit donc 515 prières pour demander à D.ieu de le laisser entrer en Israël, 6 – Devarim 3.26, 7 – Midrach Tan’houma, Vayéra 19, 8 – Midrach Rabba Chemot 2.2, 9 – Tanya Ch.42
Une étincelle de Moché
Toutes ces idées concernent aujourd’hui chacun d’entre nous. Les prières de Moché implorant qu’intervienne la délivrance ne sont pas qu’une histoire du temps passé. Ce sont là des forces en action pour en hâter l’avènement. Par ailleurs, chaque Juif détient une étincelle de Moché, partie intégrante de son âme (9). C’est elle qui pousse chacun à prier pour la délivrance, à crier Ad Mataï – « Jusqu’à quand ? Combien de temps encore devons-nous rester en exil ? » Cette prière sera certainement exaucée dans un avenir proche et, tous ensemble, avec Moché, et le peuple Juif tout entier, nous entrerons en Israël dans la délivrance véritable et complète. Puisse tout cela arriver dans un futur immédiat.
H i s t o i r e s Perdue de vue
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La distribution du dollar de bénédiction au Centre ‘Habad Mondial à Brooklyn New-York. Une file longue, presque infinie serpente et se déroule pour arriver face au visage rayonnant du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h… Parmi les milliers de personnes se trouve le Rav Mendel, l’un des émissaires du Rabbi au cœur des Etats-Unis d’Amérique. Plongé dans sa lecture des psaumes qu’il prononce avec concentration, il ne pense qu’à sa rencontre avec le Rabbi et la bénédiction qu’il recevra dans un moment. Cependant, il lève les yeux quelques fois de son livre pour observer l’étrange phénomène de cette file contenant tout et n’importe quoi, de toutes les « espèces » de l’espèce humaine, une foule bariolée qui défile devant lui. Impossible d’en éviter le spectacle. L’un des spécimens qui fait partie de ce tableau vaut à lui seul le coup d’œil. Emu à l’extrême, nerveux, il réinstalle sans cesse la nouvelle Kippa sur sa tête qu’il vient certainement d’acquérir pour l’occasion. Celui-ci à bien l’air d’un israélien typique qui regarde aux alentours avec un désarroi grandissant, il ne sait apparemment pas comment passer convenablement les instants qui le séparent de sa rencontre avec le chef de la génération, le Rabbi. Le Rav Mendel cessa momentanément de lire les Tehilim. En tant qu’émissaire du Rabbi, il avait conscience que son rôle ne se bornait pas à sa ville d’origine, mais l’accompagnait en tout endroit où se trouvent des Juifs. Il décida d’entreprendre une conversation avec notre israélien désemparé en lui serrant chaleureusement la main, se présenta et lui lança : « Alors, c’est la première fois, non ? ». Pour le Rav Mendel, cette question était une pure entrée en matière car pour lui, il était clair que la réponse serait positive. Son compagnon, ne put dire un mot car ses lèvres étaient scellées par l’émotion, il ne réagit qu’en replaçant sa Kippa correctement sur sa tête. Le récit qu’il relata par la suite au Rav Mendel leur fit passer le reste du temps jusqu’à leur tour. « Tout a commencé » dit l’israélien prénommé Dani « dans mon enfance, quelque part dans le centre du pays. Alors que j’étais encore un petit enfant, mes parents ont divorcé. C’était un divorce difficile, chacun luttait pour lui-même, pour l’argent et pour nous, les enfants ». Il sourit, mais d’un sourire amer. « En fin de compte, je ne sais pas exactement ni pourquoi, ni comment, mais ce fut notre père qui nous éleva. Il le fit avec énormément d’amour et s’investit totalement à la tâche. Pourtant, il nous empêcha de prendre contact avec notre mère de toute son énergie. Des années durant, je ne la voyais jamais. Je ne savais rien d’elle et je n’avais aucun moyen
de la contacter ». Dani poursuivit la description de cette séparation douloureuse que les enfants eurent à supporter. Il se confia et dit que lorsque lui et son frère atteignirent l’âge adulte, ils fondèrent eux-mêmes un foyer et il semblait que la plaie se fut refermée. Il se trouve qu’il n’en était rien et à chaque tournant de leur vie, la blessure refaisait surface. Le Rav Mendel avançait lentement derrière Dani, tous les deux, éléments de la longue file d’attente. Il se demandait ce que tout cela avait à voir avec sa question de départ : « Comment en êtes vous venu à vouloir rencontrer le Rabbi ? ». Dani laissa la question en suspens un long moment et poursuivit : « C’est ainsi que je vivais ma vie. Je me suis marié, j’ai eu des enfants et je les élevais alors que le trou béant du lien avec ma mère ne se refermait pas. Je sentais que je devais remplir ce vide, pour moimême, pour ma santé mentale. La mission qui consistait à la retrouver apparaissait comme impossible. Mon père, de son côté, tenait ferme sur ses positions, il effaçait toujours ingénieusement toute allusion, tout signal qui pouvait nous mener vers elle ». Dani respira profondément. « Il y a un mois, alors que nous étions en ballade avec la famille à Manhattan, nous fûmes soudainement face à une sorte d’étrange et immense véhicule bariolé de dessins et de mots en hébreu. Par la suite, on m’a expliqué qu’il s’agissait d’un « Tank ‘Habad », le célèbre Tank de Mivtsaïm. Nous ne sommes pas pratiquants mais mes enfants sont fiers de leur judéité. Ils m’ont obligé à traverser la rue et à entrer dans le Tank des Mivtsaïm. Les jeunes ‘hassidim
m’ont demandé de poser les Téfilines et mes enfants ont conclu l’affaire, j’ai donc mis les Téfilines. Pendant que je les rangeais, les ‘hassidim m’ont expliqué qui était le Rabbi et comment le rencontrer le dimanche, pendant la distribution du dollar de bénédiction. Apparemment la Mitsva avait pincé certaines cordes en mon âme et je leur ai parlé de ma mère perdue de vue. C’est alors qu’ils insistèrent pour une éventuelle rencontre avec le Rabbi. J’étais d’accord. « Chez lui, les miracles roulent sous les tables et avec l’aide de D.ieu, vous bénéficierez, sans doute, du vôtre aussi ». « Le dimanche d’après, je me trouvais dans la voiture, roulant en direction du QG de ‘Habad et marchais en direction de la file des dollars. J’étais vraiment ému lorsque je me fus face à son visage resplendissant de sainteté. Je ne pouvais ouvrir la bouche. Le Rabbi me tendit un dollar et dit : « Bénédiction et réussite » et immédiatement après cela, il m’en tendit un autre et m’accorda une bénédiction pour mon voyage en terre sainte. Je n’avais pas cela dans mes plans. Mais je voulais exploiter cette bénédiction et donc je pris le premier avion pour Israël. Quelques jours après – la voix de Dani vacilla – alors que je me promenais dans les rues de Tel Aviv, de manière tout à fait inattendue, une femme m’arrêta dans la rue et mi-douteuse mi-décidée me lança : « Dani ? ». C’était elle, c’était ma mère… Et maintenant je suis là pour dire merci. Et dans trois semaines, ma mère aussi sera là pour lui dire merci ». (Traduit de Haguéoula)
Actuel
Miracle de la Guéoula
A Gaza, une balle tirée a partir d'une mitraillette kalachnikov a touché une grenade qui était accrochée au gilet pare-balles d'un soldat de Tsahal. Par effet de la Providence divine, la balle n'a pas traversé le gilet et la grenade n'a pas explosé. Apparemment la balle venait de loin et a touché le soldat avec relativement peu de puissance - et grâce à cela elle n'a réussi qu'a pénétrer la grenade et à être arrêtée. Cette grenade est fabriquée par l'industrie militaire israélienne et a été améliorée suite à une série de problèmes de sécurité constatés au sein de Tsahal, comme par exemple des éclats qui les faisaient exploser. Ces grenades n'explosent plus quand elle sont touchées par des éclats, comme cela fut le cas par le passé alors qu'elles étaient rivées aux gilets pare-balles des combattants. Grâce à D.ieu, un nouveau miracle de la Guéoula. (GN)
L ’ è r e Science
Le futur, c’est maintenant
Lorsqu’Albert Einstein démontra que le temps est une valeur relative, il soutenait la théorie selon laquelle un homme lancé dans une fusée qui se déplace à la vitesse de la lumière voit sa perception du temps changer du tout au tout par rapport à celle d’un homme vivant sur terre…
Actuellement, les chercheurs analysent le phénomène temps en profondeur et non sous l’angle de la vitesse. Ils ont découvert que le cerveau enregistre le temps de façon aléatoire et donc ; deux observateurs se trouvant au même endroit côte à côte perçoivent le temps différemment. Pour prouver que le temps n’est nullement objectivement fixe pour tous, comme nous le pensons habituellement, il est encore aujourd’hui besoin d’une longue démonstration. Mais nous pouvons tout au moins ressentir le temps par l’expérience et nous rendre compte de ses variations par exemple, on peut parfois avoir l’impression que quelques minutes paraissent des heures. L’observation prouve que lors d’une chute d’une quarantaine de mètres, le cerveau perd 4 fois plus de données qu’en situation stable. Et ainsi, il semble à ce moment là que la chute a duré 4 fois plus de temps que ce qu’elle prend en temps réel. Petites Annonces Cours de Torah Jérusalem Beit Machia’h du centre ville 8, rue Yaavets. Cours en français le Jeudi à 14h00 sur les Ala’hot et le Dvar Mal’hout 054-5731430
Baka Chabbat : Minyane ‘Habad à 10h30 suivi de Farbrengen et Min’ha. Synagogue Tefila LeDavid - 1, rue Dan
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Une question se pose cependant. Existe t-il une forme d’expérience qui «arrêterait» le temps complètement et nous introduirait dans une dimension d’éternité ? Dans notre littérature, est mentionné à maintes reprises le concept de « Monde Futur ». A première vue, ces mots représentent l’époque se situant après la rédemption. Mais le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h explique cette idée de manière nouvelle, plus profonde : Le monde futur représente dans son essence la possibilité d’attirer le futur vers le présent. Apporter dans le moment que nous vivons la matérialisation de la Guéoula, la délivrance finale. Aujourd’hui, le Rabbi nous annonce que la Guéoula est déjà là, maintenant, et donc qu’elle est déjà sortie de son ordre chronologique. Il nous dit que nous avons actuellement la possibilité de la vivre à chaque instant, mais comment ? En fait la Guéoula ne dépend plus du temps, mais du réceptacle que nous lui offrons pour se dévoiler à chacun de nous. Et pour créer ce réceptacle, cela dépend de nos bonnes actions. De l’expression de l’amour que nous portons à notre prochain, de l’étude de la Torah centrée sur les sujets qui parlent de la Guéoula, du Machia’h et plus particulièrement lorsque elle est mentionnée dans la ‘Hassidout ‘Habad. Et là où elle se trouve dans son élément le plus réaliste, dans l’enseignement du Rabbi. Prier avec ferveur et prier surtout pour la Guéoula et bien sûr, la Mitsva de notre époque actuelle, dispenser la Tseddaka avec largesse. C’est ainsi que nous pourrons découvrir comment : « voici que (Machia’h) est déjà là ». (Traduit de Haguéoula)
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Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme : Gabriel Beckouche - Secrétariat : Léa Bensimon - Correspondant à Paris : ‘Haïm Benchoam 0177127044 - Site : www.viveleroi770.com Email : gueoulanews@gmail.com - Tél. 058-4770055 ou 0177501175
G u é o u l a Médecine
Le ligament croisé nouvelle génération
Son inventeur Idan Tobis, explique que juste après l’opération, le patient peut marcher sans problème. « C’est la magie de cette invention ! Cela prend un, deux ou trois mois et les athlètes peuvent reprendre la compétition. C’est totalement différent que de perdre une saison ou devoir stopper sa carrière ». La rupture de ligament croisé antérieur est encore plus fréquente chez les sportifs occasionnels que chez les professionnels. Elle survient suite à une tension maximale du ligament, causée par le changement soudain de direction pendant la course ou le saut. Le « Knee-T-Nol » mis au point par Tavor bénéficie aujourd’hui à 14 patients en Israël.
Insuffisance rénale
Découverte capitale en Israël
Une étude menée par des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv et de l’Université Stanford montre que, contrairement à l’opinion admise, nos reins sont capables de se régénérer d’eux-mêmes. Elle ouvre ainsi la voie à de nouveaux traitements et est même susceptible, dans l’avenir, d’éviter les transplantations rénales. L’étude, réalisée en collaboration entre les équipes du Dr Benjamin Dekel de l’Ecole de Médecine de l’Université de Tel-Aviv et du Centre médical Sheba, et du Dr. Irving L. Weissman de l’Institut de Biologie des cellules souches de l’Université Stanford en Californie a été publiée dans la revue Cell Reports. « Cette étude renverse l’idée selon laquelle nos reins sont des organes statiques » affirme le Professeur Benjamin Dekel, spécialisé dans la recherche sur les cellules souches, la génétique et la néphrologie. « Notre objectif était d’utiliser une nouvelle technique pour aborder un problème ancien ». Les chercheurs ont été surpris de constater que le processus de régénération du rein était constant et suivait un modèle spécifique. Bientôt existera un traitement de l’insuffisance rénale évitant transplantation d’organes et autres désagréments. (IV)
Igueroth Kodech
Pour consulter les Igueroth Kodech et vivre les miracles de la Guéoula
058-4770055 L E
C A R N E T
Pour la réussite de : De nos soldats qu’Hachem les protège ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary Chlomo Ben Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine, ‘Haya Ayala Bat Zahava Jacqueline et Morde’haï Tsvi Ben Ra’hel Leilouï Nichmat de : Norbert Avraham Ben Pnina, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Yossef Abitbol Ben Clara, Ruth Sarah Isska Bat Gabi, Julia Bat Elie, Rachel Bat Elie, Yaakov Naftali Ben Rachel Dvora, Guilad Mi’haël Ben Bat-Galim, Eyal Ben Iris Tchoura, Dror ‘Ben Sarah et les soldats qui ont donné leur vie pour le pays.