Guéoula NEWS
BH
N°37 - Hebdomadaire - Chabbat Terouma - Edition française gueoulanews@gmail.com - www.viveleroi770.com - 058-4770055
Le journal qui ouvre les yeux sur le monde et constate que la Guéoula est là, présente dans le monde, dans la nature, dans le monde des sciences, dans l’air du temps...
Dans la joie de la Guéoula ! Nous entrons cette semaine dans le mois de Adar. Or le mois du signe des poissons d’après le Dvar Mal’hout de cette semaine semble être le moment le plus « Mazal » de tous les mois. De plus, on est dans la joie, on multiplie et on décuple cette joie pendant ce mois-ci et on l’entraîne avec nous sur toute l’année… La joie permet avant tout d’abolir tous les décrets. Elle fait en sorte que, selon le Zohar, le visage d’en-bas puisse illuminer le visage d’en-haut, en d’autre termes, on rend Hachem heureux et par conséquent Il nous le rend selon Ses mesures à Lui c’est à dire à l’infini ! Mais surtout… la joie nous permet de nous connecter avec la Guéoula car la caractéristique principale de la délivrance finale, est de dévoiler un niveau de joie encore inconnu et qui promet de nous faire danser lors de la ronde que nous allons faire avec D.ieu Lui-même… (GB) Pharmaceutique
Un robot qui trouve des remèdes
Jour après jour, les robots révolutionnent le domaine de la médecine ! Un modèle particulièrement avancé, Eve, est capable de découvrir des composants de médicaments contre des maladies encore dangereuses et mal soignées. Le tout de manière plus efficace et plus rapide que les humains. La Newsletter de cette semaine est dédiée à la Refoua Shelema de Paul Jacques Shaoul Ben Jeanne Rivka et Josselyne Zayza Bat Dora Daya Yvonne
Eve est extrêmement intelligente, elle est capable de rendre la découverte de médicaments beaucoup plus rapide et efficace, et elle a coûté pas moins de un million de dollars environ. Eve, c’est le nouveau robot médical conçu par des chercheurs des universités d’Aberystwyth et de Cambridge. Eve a été créée pour automatiser les premières étapes de la recherche de médicaments, tâche pour laquelle elle s’avère plutôt efficace puisqu’elle est capable d’analyser des milliers de composants par jour là où un humain, évidemment, peut difficilement en faire autant. (DGS) La Newsletter de cette semaine est dédiée à la Refoua Shelema de Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel Merci Hachem pour le miracle ! Bon Anniversaire de ses 13 ans
Cette semaine, on vous fait voyager aux confins de la galaxie à la découverte de ce qui a été surnommé « la main de D.ieu ». Cette image prise par le télescope de l’Observatoire européen austral, dévoile toute la beauté de cette nébuleuse mystérieuse qui prend la forme étonnante d’une main. L’épais nuage de gaz et de poussières illuminé par des étoiles du voisinage est très rarement repérable par les astronomes. Profitez donc. Exceptionnel ! Matinée de cours pour femmes sur le sujet de la Guéoula
à l’occasion de Roch ‘Hodech Adar
Crêpe Party
Ce Mercredi à 11h00 - Pour vous inscrire 058-4770055 Beit Machia’h Talpiot - Jérusalem
Horaires de Chabbat Parachat Terouma - Jérusalem Entrée : 16h54 - Sortie : 18h06
Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd
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Dvar Mal’hout
Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita Parachat Terouma 5752-1992 On introduira par une bénédiction, parce que nous sommes à l’entrée du mois de Adar, et selon la Guémara (1) : « Lorsqu’arrive le mois d’Adar, on rajoute dans la joie » et par la suite, il est dit « Le Mazal (d’Israël) est fort », il est alors évident que les Juifs sont bénis de toutes bénédictions. Et plus particulièrement la principale bénédiction, la plus actuelle, celle de la délivrance immédiate et complète. Le début du mois de Adar tombe dans la semaine de la Paracha Terouma. Il doit donc y avoir un lien entre la joie du mois de Adar, le bon Mazal d’Israël et la Paracha Terouma. Lorsque l’on remarque l’ordonnance de D.ieu dans le premier verset : « Ils prélèveront pour Moi… Et voici ce qu’ils Me prélèveront d’euxmêmes : de l’or et de l’argent et du cuivre etc. », la célèbre question revient de nouveau, pourquoi dans ce que l’on prélève pour construire le Sanctuaire, énumère-t-on l’or en priorité, au lieu d’utiliser un ordre allant du plus simple au plus précieux ? Une autre question se pose en ce qui concerne la construction-même du sanctuaire. Comment est-il possible que D.ieu réside dans le monde, dans une maison, et ce, dans le but de se faire connaître aux enfants d’Israël, alors que le prophète s’étonne : « Les cieux et les cieux des cieux ne peuvent Te contenir ». Or, un simple homme, une simple femme et même un petit enfant sont les détenteurs de ce pouvoir, de faire résider la divinité sur terre, chez chacun. C’est pour cela que de prendre un « prélèvement pour Moi », doit se faire « pour Moi, pour Mon Nom », ainsi que de faire un sanctuaire doit se faire « pour Mon Nom ». Cela veut dire avec amour, et même un sage, dit le Rambam, n’atteint pas forcément ce niveau. Et un Juif, qui pourtant n’appartient pas à ce degré-là, sera habitué à se comporter avec la crainte de D.ieu. Car par la suite, il comprendra qu’il doit servir D.ieu par amour. C’est comme cela qu’il peut faire résider la Présence Divine dans le Sanctuaire, au sujet duquel D.ieu dit : « Je résiderai parmi eux ». Le Juif, c’est de l’or ! Grâce à tout cela, on peut donner un sens à la prépondérance de l’or dans les dons au Sanctuaire : L’or ne fait pas allusion à l’importance du matériau lui-même. Il fait allusion au Juif, à son importance et à son niveau. Car le Juif, tel qu’il vit en bas dans ce monde-ci, est non seulement le fils du Roi (2), mais un roi lui-même. Le Juif appartient au niveau de l’or, car c’est par sa force qu’il peut construire le Sanctuaire de D.ieu.
Et puisque le Juif est riche spirituellement, du niveau de l’or ; matériellement, se concrétisera alors automatiquement la richesse, de l’or à profusion. Ce qui nous enseigne qu’un Juif doit être riche de la manière la plus concrète. Et même s’il ne l’est pas concrètement, ce qu’à D.ieu ne plaise, cela ne veut pas dire que cette richesse n’existe pas, mais que le Juif doit la dévoiler grâce à son travail.
Y a t-il un Mazal pour Israël ? De cela, on comprendra le lien avec le mois d’Adar dans les propos de la Guemara. « Israël n’a pas de Mazal », suite à cette affirmation, que signifie « Le Mazal d’Israël est puissant pendant le mois d’Adar » ? Apparemment, cela signifie qu’Israël est au-dessus de l’influence des étoiles. Mais selon la Hassidout, « Eïn Mazal LeIsraël, Israël n’a pas de Mazal », le Maguid de Mézeritch explique que le Mazal d’Israël est le « Eïn », c’est-à-dire, le Bitoul, l’annulation de l’ego. Et donc, puisque la construction du Sanctuaire a duré du 23 Adar à Roch Hodech Nissan, cet événement se passe pendant que le Juif possède un Mazal fort et puissant. Ceci est aussi lié au fait que « lorsqu’entre Adar, l’on rajoute dans la joie ». Et la joie principale du Juif est que même lorsqu’il est au plus bas, dans un monde qui voile et cache la divinité, même alors, il est attaché au Saint béni soit-Il, même en bas, il est le fils unique de D.ieu. Et c’est D.ieu, luimême qui déclare que le premier bien matériel du Juif est l’or. Et c’est comme cela qu’il atteindra les niveaux de joie les plus élevés. La qualité principale de la joie est qu’elle agit et s’insère dans tous les domaines de l’homme. Machia’h & Guéoula
Servez D.ieu dans la joie
De fait, puisque l’on doit rajouter de la joie, alors que toute l’année on accomplit « Servez D.ieu dans la joie (6) » comme le décrète le Ramo à la fin du Choul’hane Arou’h (Ora’h Haïm) : « Celui qui a bon cœur est toujours en festin ». Dans la joie, il doit y avoir toujours du nouveau et celui qui s’empresse est digne de louanges, ce qui signifie que l’on rajoute chaque jour plus de joie. Concrètement, chaque Juif rajoutera de la joie pour lui-même et aussi pour l’autre, dans l’étude de la Torah, de la Hassidout, ainsi que dans l’accomplissement des Mitsvot au niveau le plus haut. On réjouira sa famille, le mari réjouira son épouse, les parents réjouiront leurs enfants, dans ce qui peut les réjouir. Et on réjouira son entourage et on obtiendra par
La joie et la bénédiction du mois de Adar
Lorsqu’un homme est joyeux, il vit une vie joyeuse ; d’une joie qui se reflète dans tous ses actes, dans tous ce qui entre en contact avec lui. De plus, il rend joyeux les gens autour de lui. Et toute cette joie amène avec elle plus de réussite dans toutes ses actions et dans toute sa vie comme on peut le constater dans la réalité. De plus, grâce à la joie, on reçoit en cadeau la vie éternelle du monde futur comme le disent nos Sages : « Voici des comiques qui sont joyeux et réjouissent les hommes, ils seront présents dans le monde futur (3) ». Et l’on appartiendra aussi à ce monde-ci, car la vie ici sera plus véritable, joyeuse et réussie.
Le sujet d’actualité Malgré toutes les interprétations du verset de notre Paracha : « Il Me feront un sanctuaire et Je résiderai parmi eux », le sens simple ne sort pas de son contexte (4). La loi à appliquer concrètement est l’obligation qu’ont les enfants d’Israël de construire le Temple. Et en ce qui nous concerne, l’intention est de construire le troisième Temple de la manière la plus concrète, comme le dit le décret du Rambam, qu’il sera construit par le Machia’h notre juste, « Et il le construira à son endroit (5) » et toujours selon ses paroles, « chacun doit y participer par son argent, hommes et femmes comme pour le Sanctuaire du désert », il en est de même pour le troisième Temple, chacun doit y participer par ses dons, hommes, femmes et on peut aussi mentionner les enfants (comme ce fut le cas pour le Sanctuaire).
Notes : 1/ Taanit 29a, 2/ Chabbat 67a, 3/ Taanit 22a, 4/ Chabbat 63a, 5/ Lois des rois ch.11, 6/ Psaumes 100-2
cela, le monde futur et ce monde-ci. Et que cette dernière minute de Galout, d’exil soit la première de la Guéoula, de la délivrance, dans la joie, grâce au mérite des femmes justes d’Israël, nous sommes sortis d’Egypte et par leur mérite se dévoilera la Guéoula. Et nous passerons immédiatement à la vie éternelle lors de la délivrance véritable et complète car nous sommes dans la génération de mon beau-père le Rabbi, prince de notre génération dont le nom est « Yossef Its’hak » qui fait allusion au rire à l’humour et à la joie. Et tous les enfants d’Israël avec nos jeunes, nos vieux, nos fils et nos filles, avec leur or et leur argent, avec toutes les synagogues et les maisons d’étude on se dirige tous vers la Terre Sainte, à Jérusalem, ville Sainte, dans le troisième et triple Beit HaMikdach, immédiatement à l’instant concrètement, Mamach. (Dvar Mal’hout)
H i s t o i r e s Un champ en Israël
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G u é o u l a
Lors de l’allocution de la Parachat Vayéchev, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h a annoncé que le fait de raconter les miracles et les prodiges que D.ieu fait à notre encontre rapproche la délivrance. C’est dans cet esprit que Chimon Partouche nous raconte : « Alors que j’avais environ sept ans, pendant Chabbat, j’ai fait un rêve qui avait plutôt l’allure d’un cauchemar dans lequel je courrais certainement pour fuir quelque chose. Quand soudain l’ambiance effrayante du rêve se dissipa pour laisser place à un sentiment de sérénité. En effet, alors que je me trouvais sur un pont, j’aperçu le Rabbi de Loubavitch qui se tenait sur le côté. Il me regardait sans parler et son regard m’apaisa. Je m’approchais alors de lui comme pour me réfugier. Il me tendit une sorte de carte de visite sur laquelle était inscrit le nom de ma tante « Evelyne Uzan » en lettres d’or. La beauté de cette carte me frappa au point où je m’en rappelais clairement à mon réveil. Le matin, je racontais à mon père les détails de mon rêve et il me dit que puisque nous étions invités au repas de Chabbat midi dans une famille de ‘Hassidim de Loubavitch, nous pourrons leur demander conseil. Alors que je m’amusais avec les enfants de la famille Bellaïche, mon père me demanda de le suivre au salon pour parler avec le chef de famille de mon rêve. Celui-ci nous conseilla d’ouvrir les Igueroth Kodech à ce sujet. Ce que nous fîmes immédiatement en nous lavant les mains au préalable. La lettre parlait d’un champ qui était en Terre Sainte au sujet duquel nous rencontrions certaines difficultés. Le Rabbi nous donna des directives à suivre afin de régler cette histoire à notre avantage. Pour ma part je ne vit aucun rapport avec ce qui m’était connu à l’époque. Mais le visage de mon père avait changé et il dit : « C’est incroyable, ma sœur Evelyne possède en gérance le terrain de mon père se trouvant en Israël et justement elle rencontre exactement les problèmes cités par le Rabbi ». Après ce Chabbat, mon père fit parvenir à ma tante une copie de la lettre. Celle-ci fut bien surprise d’y voir le problème qu’elle rencontrait mais surtout elle y trouva des solutions qu’elle put mettre en application et en effet, tout rentra dans l’ordre grâce à D.ieu ». (Propos recueillis par Guéoula News)
Sim’ha & Guéoula
Le rire qui redonne la santé
« Les médicaments sont devenus tellement chers que ça vous enlève l’envie de tomber malade! ». L’hilarité permet aux tensions physiques de s’évacuer. La preuve ? Dans une situation stressante, n’avez-vous jamais été pris d’un rire nerveux, parfois jusqu’aux larmes ? Après ce tumulte intérieur, le corps cède à une irrésistible détente, d’autant plus que le système nerveux central et les glandes endocrines se lancent dans la production de substances relaxantes. Le cerveau produit des endorphines, les hormones du plaisir, une sorte de morphine naturelle dont l’action sur la douleur n’est pas négligeable. Ce n’est pas un hasard si les clowns investissent désormais les couloirs des hôpitaux et les services pédiatriques.
Attention ! Le rire peut être dangereux pour vos microbes. En effet, le rire provoque une augmentation d’immunoglobuline A favorisant ainsi les défenses contre les maladies respiratoires. Les travaux du Dr. Lee S. Berk de l’Université de Loma Linda en Californie, a mis en évidence une augmentation de l’immunité des rieurs envers des cellules malades. Au niveau musculaire, le rire a des effets relaxants qui s’apparentent à une gymnastique douce. Une onde musculaire se propage progressivement en partant du sourire au niveau facial (relâchement des muscles masticatoires). Elle passe ensuite les muscles thoraciques, puis les muscles abdominaux (massage des organes internes, relaxation du diaphragme) et enfin les muscles du dos des cuisses. Au niveau respiratoire, le rire produit une séquence composée d’une inspiration brève suivie d’une pause puis d’une expiration lente et saccadée. La quantité d’air ventilé augmente, pouvant atteindre les deux litres, au lieu du demi-litre ventilé en période habituelle.
Au niveau neuro-hormonal, le rire augmente la synthèse des hormones de la série des endorphines qui ont une action anti douleur, diminuent l’anxiété et régularisent l’humeur. Le rire entraîne en particulier une augmentation de la synthèse de la sérotonine, neuromédiateur qui est diminué dans la dépression. De plus, le rire peut calmer une crise d’asthme Le rire a des vertus anti-âge Les glandes surrénales, elles, sécrètent des catécholamines, des hormones qui chassent l’anxiété, impliquées également dans le bon fonctionnement du système immunitaire et dans la lutte contre les inflammations articulaires. Après une bonne rigolade, plus de problème d’insomnie, car la stimulation d’un neurotransmetteur, lasérotonine, influe sur la qualité de l’endormissement. Véritable antidote au mal-être, aux angoisses et aux petits troubles quotidiens, le rire est sans doute le meilleur élixir de jouvence. On sait aujourd’hui que les centenaires ont un tempérament optimiste. Bourrés d’humour, ils n’hésitent pas à rire en toutes occasions.
Lors de la Guéoula Les textes ‘hassidiques et principalement ceux du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h nous parlent de la joie, du rire de l’importance de l’humour. Et ce, même dans les pires occasions. Alors que nous vivons cette période de Guéoula qui vient estomper près de deux mille ans d’exil, toute la réalité tend à rendre tout événement positif et ce qui pourrait sembler malencontreux, cache en lui encore plus de bien, de miracles et d’occasion de se réjouir. Et donc, alors que nous entrons dans le mois d’Adar, on multiplie la joie, les rires et tout ce qui à trait à la bonne humeur, et tout ceci est un immense trampoline sur lequel on saute et on s’élève de plus en plus haut pour atteindre et saisir à pleines mains la joie de la Guéoula. Cette joie que nous attendons depuis la Création du monde et qui n’a aucun antécédent… La joie la plus « joyeuse », la plus immense que personne n’ait jamais connu ! (GN)
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Musique
Capacités cérébrales
Des chercheurs canadiens affirment que la pratique prolongée de la musique avant 14 ans serait bénéfique pour le cerveau. En effet, elle permet une meilleure compréhension d’un discours, et une fois la personne devenue adulte, retarde le déclin cognitif et donc des maladies caractérisée par des pertes de mémoire.
La pratique de la musique, on le sait, est indispensable à l’éveil et au développement des enfants. Pourtant, on ignorait jusque-là qu’elle contribuait à long terme à la « santé » de notre cerveau. Des chercheurs de l’Institut de recherche Rotman (Canada) ont publié des résultats étonnants affirmant entre autres que la pratique de la musique avant l’âge de 14 ans et poursuivie pendant 10 ans avait un effet notoire sur les capacités du cerveau. Les chercheurs ont pris pour sujets 20 adultes de 55 à 75 ans sans problème auditif, parmi eux 10 musiciens et 10 personnes n’ayant pas reçu de formation musicale. Ils ont ensuite fait écouter des morceaux de discours à leurs cobayes et dans le même temps l’équipe analysait l’activité neuronale grâce à un électroencéphalogramme qui montrait en temps réel l’activité du cerveau en réponse à des stimuli. Et les résultats sont surprenants ! D’après les chercheurs, la pratique de la musique permettrait aussi de retarder le déclin cognitif, c’est-à-dire une perte progressive des capacités cérébrales telles que la mémoire, l’orientation, l’expression… L’étude de ces scientifiques a donc mis en évidence que les musiciens âgés avaient une « réponse du comportement cérébral deux à trois fois plus performante que les autres ». Ainsi, leur cerveau répond Petites Annonces
Cours de Torah Jérusalem - Beit Machia’h du centre ville au 8, rue Yaavets. Igueroth Kodech sur rendez-vous 054-5731430
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plus rapidement à des stimuli extérieurs, une capacité qui perdure avec l’âge. La musique dans le Judaïsme joue un rôle essentiel. Chaque prière et chaque moment d’étude est accompagné d’une mélodie spécifique et tout ceci remonte à l’époque du Temple, pendant laquelle le service des Cohanim, des prêtres était invariablement accompagné par les chants finement harmonieux des Léviim qui étaient des artistes complets puisqu’ils étaient dès leur jeune âge initiés à l’art musical, au chant et à l’instrument. En remontant plus loin encore, nous pouvons remarquer le cas du roi David qui dès son enfance était un musicien qui accompagnait ses extraordinaires chants de louange par la lyre et autres instruments. Les prophètes, eux-mêmes ne pouvaient déclencher l’inspiration divine qu’à la condition que des musiciens ne jouent devant eux leurs mélodies joyeuses. Et ces dernières générations qui ont vu naître le ‘Hassidisme, une vision de la Torah tout à fait nouvelle fait appel à la plus grande joie en toutes circonstances. Le « Nigun (mélodie ‘hassidique) », vient soutenir invariablement toute manifestation d’attachement au Créateur, que ce soit prière, étude, réunion ‘hassidique ou même méditation portant sur la grandeur de D.ieu, contemplation de la Création, de la nature… Mais aujourd’hui, à l’aube de la délivrance ultime, de la Guéoula, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h nous enjoint à augmenter singulièrement les manifestations de joie et de remerciements à D.ieu. C’est donc par des chants et des danses, des rires et toutes démonstration d’allégresse que nous allons accueillir le Machia’h et la Guéoula, alors réjouissons nous au plus haut point pour nous connecter au point de départ d’une joie qui ne fera qu’augmenter et se multiplier vers une joie inimaginable, la Sim’ha de la Guéoula Haamitite Vehachéléma de manière immédiate. (DGS-GN)
Cours en français Le jeudi soir à 20h30. Farbrengen et cours sur le Dvar Mal’hout au 1, rue Uruguay à Kiryat Yuval, 2ème étage appart.19. Par le Rav Gabriel Beckouche 053-6234177 Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Cours tous les jours. Jeudi soir Youd Chevat, grand Farbrengen Nouveau ! Le mercredi à
La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Julie Pnina
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20h30, cours en français de Tanya pour les femmes par Mme ‘Haya Sarah Benchimol. 17 Re’hov Hamamtsi (Tour d’eau) à Har ‘Homa. 054-7150646
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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Shaoul Yossef Ben Yehouda Famille Benchimol
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Chirurgie
Un bébé sauvé par un nouveau cœur
Un bébé prématuré a reçu une transplantation cardiaque à l'âge de six jours en Arizona, dans le sud des États-Unis, faisant de lui le plus jeune patient à avoir jamais été transplanté cardiaque dans le pays. « Selon nos informations, Oliver est le plus jeune receveur » cardiaque du pays, à « 34 semaines et 3 jours de gestation », a affirmé sa mère Caylyn Otto, citée dans un communiqué de l'hôpital. L'opération a duré dix heures. Le bébé est toujours hospitalisé et ses poumons sont toujours faibles mais il « va remarquablement bien » et pèse 2,8 kg, d'après l'hôpital. « Après avoir attendu le pire, Oliver est, pour nous, un véritable miracle », a conclu le père de l'enfant. (LL) Nature
Une vieille Tortue
Jonathan commence à avoir la peau quelque peu ridée. Et pour cause, âgée de 183 ans, cette tortue serait la plus vieille créature terrestre encore en vie. De quoi attirer de multiples curieux désireux d’apercevoir le plus vieux résident de la surface de la planète. Les animaux les plus vieux encore en vie vivent dans les profondeurs des océans. Mais en ce qui concerne la surface terrestre, cette tortue détient la première place (une autre tortue nommée Esmeralda, serait plus âgée, mais il est difficile de confirmer avec certitude son âge). Pour ne pas troubler la tranquillité de cet « ancêtre », personne n’est autorisé à l’approcher à l’exception de son vétérinaire qui lui apporte son repas chaque jour : un seau de salade. Il est néanmoins possible de l’observer depuis un corridor. Santé
Le clou du miracle
Il sert comme parfum pour la cérémonie de la Avdalla (à la sortie du Chabbat), mais le clou de girofle a aussi des propriétés de purification et de protection incroyables. Si vous êtes troublé par des problèmes de digestion, mâchez un ou deux clous de girofle. Cette épice aide aussi pour la santé cardiaque et le diabète. Cette épice aide à protéger les dommages causés aux cellules de votre corps et contribuent à stimuler l’énergie dans toutes les parties de votre corps. La présence d’eugénol dans les clous de girofle leur donnent un arôme agréable et contribue à engourdir la douleur dentaire et à se débarrasser des bactéries dans la bouche. (GN)
Dvar Méle’h - Paroles du roi
Il n’est nul besoin de susciter, chez un Juif, le désir de se renforcer et d’agir concrètement pour hâter l’avènement du matin de la délivrance. Il suffit simplement de l’éveiller du sommeil dans lequel il se trouve. Dès lors, il fera tout ce qui est en son pouvoir pour que le Machia’h vienne au plus vite. (Likoutei Si’hot Emor 5751-1991) L E
C A R N E T
Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Esther Bat Pnina Leilouï Nichmat de : Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba et Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël
La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Tamar Bat Saada et Chemtov
Guéoula News
Pour plus d’infos, contactez : Menou’ha Ra’hel Beckouche au
058-4770055 gueoulanews@gmail.com