Gueoula news n°43 Paracha Tazria Metsora

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Guéoula NEWS

BH

N°43 - Hebdomadaire - Chabbat Tazria-Metsora - Edition française gueoulanews@gmail.com - www.viveleroi770.com - 058-4770055

Le journal qui ouvre les yeux sur le monde et constate que la Guéoula est là, présente dans le monde, dans la nature, dans le monde des sciences, dans l’air du temps...

Recherche médicale

Une greffe de neurones

Représentation artistique

Pour la première fois, une équipe de scientifiques franco-belge vient de réparer le cortex cérébral d’une souris adulte grâce à une greffe de neurones. Une avancée remarquable qui pourrait permettre à long terme de réparer des lésions cérébrales chez l’être humain. C’est une première mondiale, une équipe de scientifiques dirigée par Afsaneh Gaillard, chercheuse à l’Université de Poitiers (Vienne). « Nous sommes les premiers à montrer que l’on peut réparer du cortex, en l’occurrence du cortex visuel. Pendant longtemps on a cru que le cerveau était un organe figé, qui n’évoluait plus une fois lésé. Depuis dix ans le discours a changé », nous explique Afsaneh Gaillard. (SP)

Horaires de Chabbat à Jérusalem Parachat Tazria-Metsora Entrée : 18h33 - Sortie : 19h47

Yé’hi Adoneinou Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

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COLORPRINT Im pr e s s ion N um é r ique 072-2424245 (John) www.printil.co.il

L’unité d’Israël

Editorial

A de nombreuses reprises, le Dvar Mal’hout nous enseigne la grandeur de l’amour du prochain, mais parfois, il demande l’unité du Peuple Juif, l’unité d’Israël. Quelle différence entre les deux notions ? L’amour de son prochain expliqué par l’Admour Hazaken dans le Tanya, c’est le fait qu’un Juif élève son âme au-dessus de son corps pour faire abstraction de lui-même afin de faire profiter d’un bien quelconque à autrui. Cette abnégation provoquera une grande lumière dans tous les mondes ainsi que sur son âme. Mais l’unité d’Israël possède une dimension d’ensemble que Ahavat Israël n’a pas. En effet, faire abstraction de soi au profit de son prochain n’a rien à voir avec l’annulation de soi pour tout le peuple. Se fondre dans un tout et n’être qu’un des membres d’un grand corps, c’est cela l’unité d’Israël. Et cela nous est demandé actuellement, nous unir avec tous les Juifs en même temps, afin d’accueillir le Machia’h qui va dévoiler la Guéoula de manière immédiate par le mérite de l’unité d’Israël… (GB) High-Tech

Les scientifiques travaillent depuis une dizaine d’années à développer une technologie basée sur des memristors (raccourci pour « memory » et « resistor » en anglais), qui promettent des ordinateurs qui n’auront jamais besoin de démarrer et fonctionneront de manière plus proche du cerveau humain – comme les neurones qui peuvent conserver des informations et effectuer des opérations logiques. Aujourd’hui, des scientifiques de la Northwestern University aux Etats-Unis ont fait une nouvelle percée qui pourrait rendre possibles des capacités de calcul « brain-like » ou « similaire

au cerveau». Les memristors sont considérés comme particulièrement intéressant en raison de leur potentiel à permettre la création d’ordinateurs fonctionnant comme le cerveau. Contrairement à la mémoire flash, ils sont rapides. Contrairement à la mémoire vive (RAM), ils se souviennent de leur état – toutes les informations qu’ils détenaient – quand ils ne sont plus alimentés énergétiquement. Ils exigent également moins d’énergie pour fonctionner, plantent rarement, et sont à l’abri du rayonnement. Le problème, c’est que ce sont des appareils électroniques à deux électrodes, ce qui entraîne chez eux le fait qu’ils sont adaptables que par des changements de la tension appliquée depuis l’extérieur. (BN)

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Shaoul Yossef Ben Yehouda Famille Benchimol

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Its’hak Ben Miriam Famille Médina

Sur le modèle du cerveau


T o r a h

Dvar Mal’hout

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Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita, Parachat Tazria-Metsora 5751-1991

Bonne nouvelles

Un Beit ‘Habad pour les fêtes

Cette année, comme à l’accoutumée, à ‘Hevron, la ville des Patriarches, les foules de Juifs de tous les courants se sont rassemblés pour honorer le caveau des Avot. A cette occasion, les élèves de la Yéchiva Loubavitch de Tsfat se sont mobilisés pour ouvrir des stands dont le but était tout d’abord de diffuser la nouvelle de la Guéoula immédiate, mais aussi de permettre à tous de s’attacher au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h et de lui écrire pour demander sa bénédiction par l’intermédiaire des Igueroth Kodech. Une magnifique réussite. (SG)

Une nouvelle campagne de Tsivot Hachem

Pour cette été 5775, le mouvement de jeunesse « Tsivot Hachem » a lancé une nouvelle campagne dénommée : « Sur le sentier de la Guéoula ». Tsivot Hachem est implanté dans des centaines de points en Israël et permettra aux enfants et ados de se connecter avec l’esprit de joie qui caractérise la période de la Guéoula avec une foule d’activité. Chacun et chacune recevra la nouvelle BD : « Machal-Guéoula ». (RZ)

A l’occasion du 11 Nissan 5775 : Les bicyclettes de la Guéoula envahissent Tel Aviv Un énorme essaim de vélos, tous munis du drapeau Machia’h a déferlé sur la grande ville. Un immense témoignage d’amour et un grand cadeau au Rabbi pour son anniversaire. (GB)

Une grande réussite pour le « Siyoum Dvar Mal’hout »

Au centre de Jérusalem se trouve le Merkaz Machia’h et Guéoula ‘Habad du Rav Doron Oren. Il s’agit d’une Yéchiva et d’un Collel qui existe depuis près de quinze ans. Le programme chargé de cette maison d’étude Rav Doron Oren comprend un volet consacré au Dvar Mal’hout qui est étudié avec soin chaque semaine. A l’occasion de la clôture de son cycle annuel et de l’ouverture de celui de l’année 5775, il a été organisé une extraordinaire soirée d’étude ou des Rabbanim ont exposé leur analyse personnelle du Dvar Mal’hout. Le Rav Noam Israël Harpaz a ouvert l’espace conférences suivit du Rav Zalman Nautik et du Rav ‘Haïm Nisselevitch. Puis, a eu lieu un grand Farbrengen, une réunion ‘hassidique animée par le Rav Chimon Vissendler, pendant laquelle ‘hassidim et Juifs attachés au Merkaz nous ont rejoint en nombre. Le Farbrengen pendant ‘Hol Hamoèd a duré jusqu’aux peRav Harpaz et Rav Vissendler tites heures. (GB)

G u é o u l a

Naissance et dévoilement du Machia’h

Puisque la délivrance est en ellemême un révélateur de la nature profonde de l’exil. Ainsi, après une introduction générale aux deux ParaLa Galout, l’exil et la Guéoula, la chiot « Une femme ayant conçu et délivrance, ressemblent aux deux qui enfantera un garçon » fait allusujets de nos Parachiot, les plaies sion à tout le travail de l’exil qui perdu lépreux (Metsora) font allusion met d’arriver à la délivrance véritable à l’exil, la Galout. Et leur purificaet complète qui n’est suivie d’aucun tion, font allusion à la Guéoula, la exil. L’on se doit de relier tout cela rédemption. avec le mois dans lequel nous entrons, le mois de « Iyar » : Iyar comL’exil, dont la principale définition est porte les initiales des noms : le voile de la lumière divine, comme il Avraham, Its’hak, Yaacov et Ra’hel. est écrit : « Nous ne voyons plus nos Ce sont les quatre pieds de la Mersignes (1) », jusqu’à en arriver à kava, du Char Céleste (3). Les trois l’obscurité, une obscurité de plus en patriarches correspondent aux trois plus opaque, une obscurité de fin attributs, Bonté, Justice et Harmonie d’exil, mais de par sa racine et son (des deux), et ils représentent les origine, l’exil possède les vertus les Oroth, les lumières. Et Ra’hel, de plus élevées, « des lumières d’enson côté, représente la Mal’hout, la Haut », qui sont au-dessus de tout Royauté (l’assemblée d’Israël) et elle revêtement dans un réceptacle, auest du niveau des Kelim, des Récepdessus de tout dévoilement. Mais tacles (4). Et leur assemblage à tous puisque leur élévation transcende le dans le nom de ce mois « Iyar », remonde, lorsqu’elles s’y habillent, apprésente la descente paraissent alors tous et le dévoilement des les sujets indésirables lumières (même les de l’exil. plus élevées) dans les Mais puisqu’à l’origine, réceptacles. il s’agit d’un concept De plus, « Ra’hel » reextrêmement élevé, présente l’élévation de des lumières célestes « nos actions et notre au-delà de tout dévoitravail, pendant tout le lement, ainsi, même temps de l’exil » afin lorsqu’elles descendent en bas dans d’amener la délivrance, comme il est un voile et un obscurcissement tota- écrit (5) « Ra’hel pleure au sujet de lement opaque, jusqu’à s’habiller ses fils… car il n’est plus là ». « Il dans le contraire de la pureté, il ne n’est plus là », alors qu’il aurait dû s’agit que de l’extérieur et des niêtre écrit, « Ils ne sont plus là ». Mais veaux les plus bas qui équivalent à c’est du Saint béni soit-Il qu’il s’agit, des plaies externes, comme celles car, lors de l’exil, le Saint béni soit-Il du lépreux uniquement. monte vers le haut (et donc n’est Ainsi, la réparation de tout ceci se plus là – 6). Et donc, par l’action de fait grâce à « nos actes et notre traRa’hel (l’assemblée d’Israël) pendant vail, pendant toute la durée de l’exil l’exil, vient la délivrance, comme il (2) », c’est-à-dire la transformation est écrit : « Il y a un salaire à ton tradu concept d’exil en celui de délivail… et tes fils reviendront dans vrance, de Guéoula, comme nous leurs frontières (7) ». Les lumières avons déjà expliqué que grâce à l’at- qui se sont élevées vers les niveaux traction et au dévoilement du Alef, les plus hauts (le but de l’exil), des(Aloufo Chel Olam, le Maître du cendront et se révéleront ici-bas, monde, c’est-à-dire Hachem, Luiainsi, s’annulera d’elle-même, la posmême) on transforme la Gola (l’exil) sibilité de capter l’influence des extéen Guéoula (délivrance). rieurs (écorces impures), « comme la Le don de soi en temps d’exil ainsi brebis (Ra’hel) silencieuse devant que l’abnégation permettront le déceux qui la tondent (8)». Jusqu’à en voilement du plus haut niveau de arriver à tout le contraire du temps l’âme que l’on appelle la « Ye’hida » de l’exil, puisqu’arrive une délivrance qui est attachée au « Ya’hid qui n’est suivie d’aucun exil. (l’unique) » qui se tient au-dessus de toute la création, qui fait que les luNotes : 1/ Ps.64-9 - 2/ Tanya - 3/ Meorei Or a, mières les plus élevées se dévoilent 84 - 4/ Likoutei Si’hot vol. 26, p.46 - 5/ Jérémie 31.14 - 6/ Zohar - 7/ 15.16 - 8/ Isaie 53.7 - 9/ dans les réceptacles. Baba Batra 10a

Crêpes Party !

Matinée de cours pour femmes Mercredi matin à 10h30 Beit Machia’h de Talpiot-Arnona

058-4770055


H i s t o i r e s Le sauveur inconnu

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G u é o u l a

Le ciel avait pris une apparence de fer. De jour en jour parvenaient des nouvelles inquiétantes de la guerre et de la progression de l’armée infernale du dictateur nazi. Celle-ci avançait et gagnait rapidement du terrain et menaçait l’Europe d’une conquête totale. « La solution finale » n’en était déjà plus au stade de projet, mais devenait une réalité quotidienne.

La famille Sofer habitait en Belgique. Le père de famille était engagé dans l’armée belge en tant qu’officier et fut blessé immédiatement dès les premiers combats. Il fut transféré dans un lointain centre hospitalier, sans que sa famille ne puisse s’informer de son état. La mère et sa fille restant seules, décidèrent de chercher refuge en France. Peu de temps après, elles se retrouvèrent de nouveau sous la menace de la conquête nazie, en France cette fois-ci. La mère s’appelait Frida, elle réussit à trouver une cachette pour sa fille Sarah dans une famille de fermiers français dans la ville de Pau. Ceux-ci se montrèrent à la hauteur de justes des nations et élevèrent Sarah en même temps que leurs quatre filles et lui procurèrent même une alimentation Cachère. De plus, ils firent bien attention à ce qu’elle n’ait pas à transgresser le Chabbat et racontaient à tous qu’elle était une cousine. Quelques jours passèrent quand soudain, Frida fut attrapée et envoyée vers la terrible destination… le camp d’Auschwitz. Sur place, les prisonnières furent séparées dans des baraquements. Dans chaque baraquement, étaient installés des espèces d’immenses étagères qui leur servaient de lits. Des versions contradictoires leur furent racontées concernant leur avenir, les travaux qu’elles devraient accomplir, des rumeurs persistantes passaient de bouche à oreille parlant d’une fin amère. Chaque jour, les soldats nazis réunissaient les hommes et les femmes et ceux-ci devaient se tenir en file pour les « douches » afin d’être transférés dans d’autres lieux, si l’on peut dire. On ne les revoyait plus. Même la fumée qui s’échappait du crématorium ne laissait plus de doute sur la réelle nature de ces douches. Il n’était pas laissé d’autre choix aux prisonniers et entre eux, ils se demandaient ce qui était mieux ou pire… Le tour de Frida arriva, elle passa une journée entière d’attente en compagnie d’un groupe de prisonnières pour les « douches », le petit groupe repartait et revenait car la file était encore longue. Ce jour-là, il y eut de nombreux incidents techniques et à la tombée de la nuit elle fut l’une des dernières qui ne purent se rendre aux « douches ». Avec un sourire narquois l’officier de service leur dit : « Puisque vous avez attendu toute la journée, demain, vous serez les premières à entrer ». Et il les renvoya à leur baraquement. Par la suite, lorsque Mme Sofer fut questionnée sur la façon dont elle passa cette nuit-là et quelles furent ses pensées en sachant que le matin suivant serait le dernier de sa vie, elle répondit : « Nous avons chanté, mes amies et moi, le chant « Ani Maamin Beémouna Chéléma Beviat HaMachia’h ! Je crois d’une foi parfaite en la

venue du Machia’h ! », jusqu’à que l’on nous ordonne d’arrêter… » Elle ne ferma pas l’œil de la nuit. De tristes réflexions et des pensées affligeantes se succédaient dans son esprit. Soudain, un officier-supérieur nazi fit irruption et navigua entre le lits des femmes endormies en éclairant leur visage d’une torche électrique. En passant à côté d’elle, il observa un instant son visage et lui demanda en allemand : « Vous êtes Mme Sofer ? ». Elle était terrifiée : « Que me veut cet officier nazi ? » elle fut saisie d’une pensée, mais par habitude de cet endroit épouvantable, elle finit par répondre : « Oui ». L’officier lui fit signe du doigt en disant : « Venez avec moi ». Sans aucune idée sur l’endroit vers lequel on la dirigeait, elle se retrouva le suivant à travers le camp. Ils passèrent à côté des gardiens nazis, ceux-ci les regardèrent tous les deux, ne disant mot, comme si c’était tout à fait normal. « La promenade » de nuit se poursuivit un certain temps aux yeux de tous les soldats nazis qui se trouvaient en chaque recoin, et, sans raison apparente, la vision d’une femme marchant derrière un officier nazi en pleine nuit n’attirait l’attention d’aucun d’entre eux. Poursuivant leur chemin, ils se retrouvèrent à l’entrée du camp. L’officier poussa le portail, et, se tournant vers elle, il lui dit : « Suivez-moi ». Abasourdie, elle le suivit jusqu’à la gare mitoyenne au camp. Il passa avec elle tous les barrages et le prodige se reproduisait à chaque reprise, personne ne bronchait ! Dans la station, un train se préparait à prendre incessamment le départ. L’officier lui dit alors : « Montez dans le train, attendez à l’intérieur et n’en descendez point ! ». Il se tint sur place encore un peu pour s’assurer qu’elle était bien montée, puis il tourna les talons et partit. Machia’h & Guéoula

La bénédiction pour le Machia’h Et il faudra donner à ceci une grande publicité en tout endroit : Afin de provoquer le dévoilement et l’arrivée du Machia’h de manière immédiate, chaque Juif (hommes, étudiants en Torah (Issa’har), ainsi que les hommes d’affaires (Zevouloun), ainsi que les femmes et les enfants, chacun selon ses possibilités) devra rajouter de l’étude de Torah et plus particulièrement que son étude portera sur les sujets du Machia’h et de la Guéoula, la délivrance. Il serait bon que cette étude soit publique, avec un minimum de dix

Le train prit le départ et Frida était assise dans le wagon, toute seule, embarrassée et surprise. Elle se demandait s’il valait mieux sortir de ce wagon, quelle était sa destination ? Quel comportement adopter dans ce train lancé à toute allure ? Près de trois jours s’écoulèrent sans manger et sans boire, et aussi, sans comprendre ce qu’il lui arrivait. Ce n’est que le troisième jour qu’elle commença à reprendre ses esprits. Elle n’avait pas la moindre idée de l’endroit où se trouvait le train mais elle décida qu’elle descendrait au prochain arrêt. Lorsque le train s’arrêta, elle en descendit et commença à errer dans les rues de la ville. Elle était apeurée. Qu’était-il censé se passer si elle tombait sur un gendarme ou un inspecteur alors qu’elle n’avait aucun papier sur elle ? Soudain… Elle manqua de s’évanouir. Elle fut en face, ni plus ni moins que de sa propre fille, Sarah qui courrait en sa direction en hurlant de toutes ses forces : « Maman ! ». Avec des larmes de joies la mère tomba dans les bras de sa fille. La Providence Divine l’avait entraîné à descendre exactement à l’endroit où résidait sa fille à ce moment-là. Qui était donc se mystérieux officier nazi qui l’avait fait sortir de l’enfer sur terre ? Jusqu’à la fin de sa vie tout ceci resta une énigme. Et lorsqu’on lui posa la célèbre question : « Comment croire en D.ieu après la Shoa ? », elle répondit : « Comment ne pas croire en Lui après la Shoa ! ». Elle avait coutume de raconter que même dans les moments les plus sombres, elle et ses amies puisaient leurs forces grâce à la foi en la venue du Machia’h. Que ces instants de foi se tiennent pour nous maintenant aussi, afin de déclencher sa venue immédiate. (Cette histoire a été racontée par Rav Zouche Zilbersteïn, petit-fils de Mme Frida Sofer qu’il a entendu de sa grand-mère) personnes car il y a une grande qualité dans cela et surtout dans le fait d’étudier avec émerveillement, joie, émotion, car grâce à tout cela, sa soif de délivrance et l’attente du Machia’h augmentera. Il faudra aussi augmenter la qualité de l’accomplissement des Mitsvot et principalement celle de la Tseddaka qui rapproche la Guéoula (9). Et en plus de tout cela, et c’est le principal, que tout ceci s’accomplisse de la manière la plus concrète... Ainsi nous pourrons remercier D.ieu et Le bénir pour la naissance et le dévoilement du Machia’h : « Che’heyanou, Vekiyémanou, Véhiguiyanou, Lizman Hazé (Qui nous a fait vivre, exister, et nous a amené en cet instant) ». (Dvar Mal’hout)


L ’ è r e Nature

Le sixième sens du poisson

Grâce à son sixième sens, le poisson est sensible aux changements de son environnement et peut s’y adapter. Des chercheurs de la New York University ont découvert que le réseau de capteurs sensoriels à l’origine de ce sixième sens fonctionne comme une antenne de télévision. A une différence près. L’antenne hydrodynamique du poisson, comme la surnomme le groupe de scientifiques, ne capte pas les signaux électromagnétiques, mais plutôt les variations de pression d’eau. Elle permet ainsi au poisson de s'adapter à son environnement en adoptant certains comportements.

Des chercheurs avaient établi par le passé que la ligne latérale du poisson, un organe sensoriel formé de canaux munis de récepteurs, était à l’origine de ce sixième sens. L’équipe de la NYU explique pourquoi ces canaux sont concentrés dans certaines parties du corps, notamment près du nez. « Ils sont concentrés aux endroits où les variations de pression sont les plus importantes ». De fait, le poisson peut mieux saisir les changements et s’adapter à son environnement. « Le système de canaux s’apparente à une antenne configurée pour détecter efficacement les variations de pression », expliquent les chercheurs. Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs ont fait appel à un taxidermiste afin de fabriquer une truite en plastique, réplique fidèle d’un modèle vivant. Ils ont par la suite placé l’animal dans un tunnel d’eau et simulé son environnement réel en produisant des courants pour évaluer les pressions ressenties par la truite. « Si nous avions installé des capteurs de pression sur un poisson vivant, il ne se serait pas

Petites Annonces

Cours de Torah Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h&Guéoula. 8, rue Yaavetz. Farbrengen Koa’h Nissan jeudi soir avec la présence du Rav Zimroni Tsik. Pour plus d’infos : 054-5731430 Exclusif ! Le livre du Dvar Mal’hout (discours du Rabbi Chlita MHM 1991-1992) en français est enfin disponible... 054-9204694

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comporté de manière naturelle. C’est pourquoi nous avons utilisé cette technique créative », a énoncé un des auteurs de l’étude à Science Daily. Dans le Likoutei Torah de l’Admour Hazaken à la Parachat Chemini, nous pouvons trouver la description du plus grand des poissons, le Léviathan. L’histoire du Léviathan est principalement connue dans le cadre de la rédemption au sujet du combat que le Saint béni soit-Il mettra en scène à notre intention, celui du Chor Habar contre le Léviathan. Le Chor Habar étant un immense buffle vivant sur terre et le Léviathan, un monstre marin qui sommeille sous les océans en attendant le combat des titans. Ceuxci vont se retrouver dans les airs (car dotés d’ailes) et en fin de compte, l’un égorgera l’autre, c’est à dire que l’un provoquera l’élévation spirituelle de l’autre. L’Admour Hazaken explique que le Chor Habar représente les Baalé Techouva alors que le Léviathan représente les grands Tsaddikim qui vivent aux fonds des mers (le monde caché, les mondes supérieurs les plus élevés). L’exemple du Tsaddik qui est donné par l’Admour Hazaken est celui de Rabbi Chimon Bar Yo’haï car « d’un coup d’ailes, il s’élève de niveau en niveau ». Nous approchons de la grande Hilloula de ce Tsaddik qui est comparé à un extraordinaire mariage et notre rôle sera de participer à cette grande joie de Lag Baomer. Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h dit à son propos, que l’on ne doit pas dire de Rachbi : « que sa mémoire nous protège » ou autre expression de ce genre, car Rabbi Chimon est avec nous, bien vivant et il produit de nombreux miracles et prodiges surtout lors de Lag Baomer. Il peut ramener le monde entier, le rendre méritant et gagner le jugement et donc, amener la Guéoula de manière immédiate. C’est pourquoi nous profiterons du jour de Lag Baomer pour participer à une Parade, un défilé en l’honneur de Rabbi Chimon, et ainsi, nous agirons pour l’unité d’Israël, et entrainerons la Guéoula immédiate. (DBV-GN)

Cours en français Le jeudi soir à 20h30. Farbrengen et cours sur le Dvar Mal’hout au 1, rue Uruguay à Kiryat Yuval, 2ème étage appart.19. 053-6234177

SOS pour famille en difficulté à aider en urgence 054-5927701

Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Cours tous les jours. 054-4449770

Guéoula News

Pour plus d’infos, contactez : Menou’ha Ra’hel Beckouche au

058-4770055 gueoulanews@gmail.com

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Nouveau ! Un site de cours en français sur les Ala’hotes, ‘Hassidout, Tana’h etc. Par le Rav Chaoul Sillam : www.daatmenahem.co.il Retrouvez-nous sur Facebook, tapez «Guéoula News»

Pour soutenir Guéoula News, et l’aider à étendre sa diffusion, pour toute annonce ou dédicace contactez-nous au :

058.4770055

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Julie Pnina

G u é o u l a

Recherche médicale

Nano-aiguilles prometteuses

Des chercheurs de l’Imperial College de Londres et l’Institut de recherche méthodiste de Houston ont développé des nano-aiguilles en silicium biodégradable qui peuvent fournir du matériel génétique afin de stimuler la croissance des vaisseaux sanguins. Ils pourraient peut-être même être utilisés pour reprogrammer les cellules vivantes au besoin, de manière sûre et non invasive. Les scientifiques sont à la recherche de moyens efficaces pour stimuler l’angiogenèse, c’est-à-dire la capacité du corps à développer de nouveaux vaisseaux sanguins, afin d’aider à la transplantation d’organes. Les anciennes approches ont varié depuis la croissance de vaisseaux en laboratoire pour une transplantation future jusqu’aux injections et pansements moins invasives. L’aspect passionnant de cette méthode est qu’elle pourrait être utilisée non seulement pour la repousse des vaisseaux sanguins (qui est en soi une grande réussite), mais peut-être aussi un jour pour reprogrammer génétiquement des cellules pour qu’elles effectuent des fonctions spécifiques. (Imp) Santé

Guérir plus vite

Dans un avenir pas si lointain, les victimes de brûlures pourront être en mesure de guérir 50% plus rapidement que ce qui est possible aujourd’hui. Ceci, grâce à un pansement biodégradable qui applique des cellules cultivées de la peau directement sur l’endroit de la plaie. Le biomatériau développé est une collaboration entre l’Université autonome de l’Etat de Morelos (UAEM) au Mexique et le Centre de recherche scientifique du Yucatan. Les chercheurs ont isolé des cellules cutanées (kératinocytes), les ont cultivées en colonies dans le laboratoire, puis les ont appliqué sur un pansement de gaze. Lorsqu’il a été appliqué à des brûlures, le matériau a libéré les cellules à l’endroit exact de la plaie, où elles ont libéré des protéines déclenchant la croissance de la peau. (IHT) Environnement

Une algue nettoyeuse

L’algue pourrait en effet être une source potentielle de biocarburant, mais elle peut également trouver une utilisation dans des choses comme des suppléments nutritionnels et des cosmétiques. Quand elle est cultivée commercialement, sa croissance est habituellement facilitée par des engrais chimiques. Mais le coût des produits chimiques réduit les profits, et des engrais sont aussi nécessaires pour les cultures plus traditionnelles. C’est pourquoi des scientifiques de l’Université Rice recherchent à faire pousser des algues dans l’eau de déchets municipaux – l’eau renfermerait déjà son propre engrais gratuit, que les algues pourraient aider à nettoyer. (MA)

Dvar Méle’h - Paroles du roi

Plus que la Yé’hida

Nous avons maintes fois souligné que la délivrance véritable et complète, par notre juste Machia’h, sera obtenue quand chacun mettra en évidence la parcelle du Machia’h qu’il porte en lui, la partie la plus profonde de son âme, la Yé’hida. Mais à ce sujet, il faut, en outre, ajouter une précision et une rectification. Ces propos faisaient effectivement référence à l’essence de l’âme, qui est l’aspect véritable du Machia’h, lui-même essence d’Israël, à un stade bien plus élevé que la Yé’hida. (Dvar Mal’hout Toledot 5752) L E

C A R N E T

Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Esther Bat Pnina Leilouï Nichmat de : Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël et Serouya Beya Bat Myriam


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