Gueoula news n°52 Parachat 'Houkat

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Editorial

La vitamine IK Parfois, nous sommes sujet au doute. Quelque chose ne tourne pas rond, provoque un souci et soudain… c’est la Galout, l’exil intérieur qui nous tourmente. S’il on observe de l’extérieur ce phénomène, on s’aperçoit que cette souffrance est toute subjective, que d’autres, plus combatifs s’en seraient sortis ou mieux, ne seraient même pas entrés dans cette voie.

Guéoula

BH

N°52 - Hebdomadaire - Chabbat Parachat ‘Houkat Edition française - gueoulanews@gmail.com www.viveleroi770.com - 058-4770055

NEWS

Mais lorsque l’on parle de notre période de Guéoula, il est facile de vaincre le doute, comment ? En lui imposant un face à face avec la vérité, avec le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. Notre rôle actuel est d’aider nos frères Juifs à voir qu’il est possible d’en finir avec le doute, puisque l’on s’en remet à la Achga’ha Pratite, la divine providence. Or aujourd’hui, notre génération est faible et il lui faut une vitamine supplémentaire. Ce plus que l’on doit proposer à chacun s’appelle Igueroth Kodech. C’est comme si on demandait au Rabbi ou à Hachem : « Que dois-je faire dans le cas présent ? ». Et la réponse se trouve dans les pages du livre, il suffit de s’engager à accomplir ce qu’il nous sera demandé… Et c’est comme cela que les Nissim et les Niflaot, les miracles et les merveilles de la Guéoula s’étendent devant nous comme un tapis rouge devant des présidents, des rois… Et tout cela dépend de nous, la délivrance arrive, Machia’h arrive, faisons le entrer, il sera accueilli dans la plus grande joie. (GB)

La photo de la semaine Le célèbre chanteur Saadia

La Newsletter de cette semaine est dédiée au bon Mazal et Zivoug Hagoun de Yossi Ben Sarah et Méir Ben Sarah La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Julie Pnina Yortseit : Dimanche 11 Tamouz 5775

Le journal qui ouvre les yeux sur le monde et constate que la Guéoula est là, présente dans le monde, dans la nature, dans le monde des sciences, dans l’air du temps... La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Shaoul Yossef Ben Yehouda Famille Benchimol

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Horaires de Chabbat Jérusalem

Parachat ‘Houkat Entrée : 19h13 - Sortie : 20h30

www.viveleroi770.com Vidéos inédites, Dvar Mal’hout et articles en français

Yé’hi Adoneinou Moréinou VéRabénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


T o r a h

Dvar Mal’hout

Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita, Parachat ‘Houkat 5751-1991

Bonnes Nouvelles

Au Festival, dimanche soir… Dimanche, cette semaine, en soirée, la foule a déferlé, hommes, femmes et enfants dans l’Amphithéâtre de Bat Yam. Des ‘hassidim, des proches de ‘Habad et des Juifs de tous bords étaient présents pour assister au Festival « Machia’h & Guéoula » organisé par l’Association pour la Délivrance véritable et complète. De nombreux Rabbanim, émissaires du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h et personnalités ont honoré de leur présence la grande soirée en l’honneur de Guimel Tamouz. Photo : ‘Haim Touitou (AH)

Téfilines de la Guéoula Suite à de nombreuses demandes pour la « préparation à la Bar Mitsva gratuite », on peut contacter à Bat Yam sud, le Rav Méir Abitbol, responsable du Beit Machia’h au 052-5520770. Dans d’autres villes ou quartiers, contactez le Beit Machia’h le plus proche. (HG)

Le Gâteau de la Guéoula L’une des internautes à envoyé au site de la Guéoula une photo de ce magnifique gâteau déjà connue sur le web. Si vous aussi, vous avez une idée de recette ou une photo de Guéoula inédite, envoyez-la à gueoulanews@gmail.com La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Julie Pnina Bat Avraham

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G u é o u l a

Une multitude de merveilles, une foule de prodiges

vélation. C’est également la raison pour laquelle la Chabbat 10 Tamouz est à proximité de la célébration de la délivrance du 12 Tamouz : en ce jour où mon beau-père, le Rabbi fut libéré de Dans le Judaïsme, la notion de date est compo- prison, commença une nouvelle période dans la sée de deux éléments : le compte du jour dans diffusion de la partie profonde de la Torah. En la semaine et le compte du jour dans le mois. Le particulier suite à son arrivée aux États-Unis, cela jour de la semaine est défini par la course du a pris une ampleur sans aucune mesure avec la Soleil, comme le dit le verset « Ce fut le soir, ce situation précédente, jusqu’à atteindre le monde fut le matin – un jour » (1), alors que les jours du entier. Et depuis lors cette révélation et cette diffumois sont définis par le cycle de la Lune. sion se poursuivent et s’amplifient à travers ses disciples, et les disciples de ses disciples (en parNous sommes aujourd’hui Chabbat, c’est-à-dire ticulier ceux qui ont eu le mérite de le voir matéle septième jour de la semaine, et le dixième jour riellement face à face, car une telle vision agit sur du mois. Il nous incombe donc de tirer des ensei- la personne, au point que ce qu’elle a vu devient gnements de chacun de ces aspects séparément, apparent sur elle), car « le Nassi est tout » (5) et il ainsi que de leur conjonction en ce jour. Et donne les forces nécessaires à tous les Juifs de puisqu’il s’agit du Chabbat de la Paracha de ‘Hou- cette génération. Bienheureux ceux qui particikat et que nous sommes dans le mois de Tamouz, pent d’une façon ou d’une autre à cette diffusion il nous faut également trouver le lien qui relie ce de la ‘Hassidout. jour, cette Paracha et le mois de Tamouz ainsi que Cette révélation donne les forces d’introduire et les jours particuliers qui suivent (et sont bénis par) de révéler le niveau du divin qui dépasse le cette Paracha : les 12 et 13 Tamouz, annivermonde (« dix ») à l’intérieur du monde (« sept ») saires de la libération de mon beau-père le Rabbi et ainsi d’amener la délivrance messianique. (en 5687 – 1927) et le 17 Tamouz, jeûne commémoratif de la percée de la muraille de Jérusalem L’enseignement concret par les Babyloniens. À ce qui précède s’ajoute la Ces différences existent également au sein de la nécessité fondamentale de trouver le lien entre ce Torah et dans les Commandements. jour et la délivrance messianique, le sujet d’actua- Chaque Juif doit donc avoir à cœur d’étudier lité le plus essentiel qui soi, comme nous l’avons aussi bien la partie « révélée » de la Torah (le Taldit ces derniers temps à plusieurs reprises (2). mud) et sa partie profonde et mystique (notamment révélée dans la ‘Hassidout), ainsi que de s’investir aussi bien dans le geste d’une mitsva que dans son esprit (« kavana »), et, à chaque fois, de faire les deux choses simultanément. Je propose donc que, en plus des études quotidiennes que chacun s’est fixées, on rajoute chaque jour (chacun selon sa capacité) une étude spéciale dans laquelle on étudiera un sujet talmudique et un sujet de ‘Hassidout (au moins approfondir un sujet dans chacun de ces domaines), en particulier un sujet qui unifie le Talmud et la ‘Hassidout, c’est-à-dire qui amène l’explication simple du sujet tel qu’elle ressort du Talmud avec son explication profonde, comme on le trouve en particulier dans les enseignements de nos Rabbis qui sont publiés ces derniers temps. Révélé ou caché Je propose de parfaire sa pratique des CommanOn retrouve cela au sein même de la Torah : la dements (« hidour mitsva »), en mettant l’accent partie « révélée » de la Torah orale, le Talmud, sur le fait qu’avec le geste concret de la mistva, il permet de découvrir le bien révélé et la partie pro- y ait toujours l’intention et la ferveur (« kavana ») fonde, ésotérique de la Torah, permet de révéler correspondantes, à la perfection (chacun selon le bien caché. On constate, en effet, qu’en révésa capacité). lant l’« âme » d’une chose qui semble superficiel- Je propose de dépasser la stricte obligation dans lement négative, la ‘Hassidout permet d’en l’accomplissement des mitsvot. Dans le don de percevoir le bien inhérent. C’est là l’une des raiTséddaka, par exemple, bien qu’en soi l’intention sons pour lesquelles la révélation totale de la par- ne change rien au résultat, tant que le pauvre retie profonde de la Torah (le rajout des trois çoit, on sait néanmoins que cette mistva est corfacultés intellectuelles qui composent la Sagesse rectement réalisée lorsque le don est divine) qui caractérisera l’ère messianique, ainsi accompagné d’un visage souriant, etc. De même, que « l’avant-goût» de cela qui marque ces deril existe une Tséddaka dans la parole, comme nières générations (progressivement depuis le Ari lorsque l’on prodigue de bons conseils, ou que Zal, le Baal Chem Tov puis la ‘Hassidout ‘Habad l’on dit du bien de quelqu’un, ainsi qu’une Tsédde l’Admour Hazakène et ses successeurs, révé- daka dans la pensée, lorsque l’on pense du bien lant toujours plus les secrets de la Torah) est la de quelqu’un. conséquence de notre service de D.ieu dans la Dans tout ce qui précède, il ne faut pas se longueur exceptionnelle de ce dernier exil (bien contenter de le faire soi-même, mais aussi plus long que l’exil en Égypte qui amena à la ré«aimer son prochain comme soi-même» en l’invélation de la Torah « révélée »). En effet, on fluençant de sorte qu’il accomplisse les mêmes pourrait se demander ce qui fait qu’aujourd’hui, choses que «soi-même». en des temps marqués par une telle obscurité spirituelle, nous méritons la révélation des profon- Notes : 1/ Genèse 1, 6 – 2/ Voir le discours du 28 Nissan 5751 et les suivants – 3/ Isaïe 58, 5; voir Tanya Iguéret Hatechouva, deurs de la Torah. La réponse à cela est que c’est précisément le fait de servir D.ieu ici-bas, en fin du chap. 2 – 4/ Tanya Iguéret Hakodech, chap. 22, p. 134b – Rachi sur ‘Houkat 21, 21 – 6/ Lois des rois, chap. 11, § 4 – 7/ particulier dans un tel exil, qui nous vaut cette ré- 5/ Michée 7, 15 – 8/ Isaïe 26, 19 – 9/ Exode 15, 17

Le 17 Tamouz : le « bien » dans Tamouz Les jours de jeûne sont qualifiés de « jour bienvenu de l’Eternel » (3), car ils sont essentiellement bons, leur bien étant caché derrière les événements malheureux au sujet desquels on jeûne. Le Tanya compare ces événements à l’action d’un roi dont le fils unique s’est souillé et qui le lave luimême car il l’aime tellement (4). Cependant, lorsque le 17 Tamouz tombe un Chabbat, non seulement le jeûne est repoussé, mais il y a même une obligation de rajouter dans le plaisir du Chabbat à travers un repas encore meilleur qu’à l’accoutumée. Ainsi, le Chabbat 17 Tamouz conjugue deux qualités: le bien révélé du Chabbat, et la révélation du bien intrinsèque du 17 Tamouz.


H i s t o i r e s

Rabbi, est-ce toi le Machia’h ?

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G u é o u l a

occasions et nous avions tout fait pour transmettre cette foi à nos enfants, mais en arriver là était pour moi, un échec terrible. J’en ressentis une Yossef-Its’hak a intégré, à partir de la 5ème, une école ‘Habad dont le directeur et les pro- grands souffrance, d’autant que Yossef-Itshak était avec sa jumelle, la concrétisation de la béfesseurs ne considèrent pas le fait que le Rabbi est toujours présent, depuis le trois Ta- nédiction du Rabbi. Je n’ai rien dit. Pas un mot n’est sorti de ma bouche et j’ai prié... Je me soumouz 5754-1994. Mon fils, qui a aujourd’hui viens avoir beaucoup prié. 20 ans, a toujours été élevé dans l’amour du Le lendemain très tôt le matin, mon fils m’a apRabbi à tel point, qu’il n’a eu connaissance de la date de Guimel Tamouz qu’à l’âge de 13 pelé et je suis entrée dans sa chambre, les yeux à peine ouverts, il me dit : « Maman, maintenant ans, lorsque nous avons été au 770, la synagogue et maison d’étude du Rabbi, pour fêter je sais, je suis certain que le Rabbi est le Mason Anahat Téfilines (pose des Téfilines pour chiah !!! ». Mon étonnement était grand d’autant que quelques heures auparavant, ses pensées la Bar Mitsva). étaient à l’extrême opposé. Je me suis assise à Dans cette école, depuis le premier jour lors du- ses cotés et lui ai demandé pour quelle raison. Il s’assit sur son lit et me raconta. « Hier, je n’ai quel il a arboré une kippa portant la phrase « Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h pas mis de temps à m’endormir et immédiatement, j’ai rêvé. Je me suis retrouvé avec tous les HaMachia’h Léolam Vaèd ! (Que vive notre roi notre maitre, notre Rabbi roi Machia’h pour l’éter- élèves dans la synagogue de l’école, là où chaque matin, nous prions Cha’harit. Tout le nité) », il a été catalogué comme étant un jeune monde était présent. Tout le monde ; tous les élève sérieux mais écervelé au sujet du Rabbi. élèves, tous les professeurs et même le Cette situation lui causait de la peine, directeur. Tous debout, face au Sefer surtout lorsque tour à tour, des profesTorah. C’était Cha’harit. L’homme qui meseurs plus âgés le prenaient à partie. Il nait la prière portait un Talith qui couvrait se faisait violence et gardait, en son aussi sa tête. Il était de dos, je ne pouvais cœur, une frustration car il ne comprenait donc le voir mais au fond de moi, je sapas comment le fait tellement évident que vais que c’était le Rabbi. J’en étais le Rabbi est le Moché Rabbénou de la convaincu, c’était lui, je le sentais. A ce génération, ne soit pas la conviction de moment précis, j’ai pensé très fort que s’il était chaque Juif et à fortiori, celle des responsables ici, aujourd’hui, présent parmi nous dans cette et des professeurs de cette école ‘Habad. Quatre ans passèrent dans cette ambiance et les école, ce n’était pas pour rien. Le Rabbi ne vient mots venant de l’extérieur commencèrent à s’in- pas pour rien dans un endroit, même en rêve. J’ai donc pensé très fort que c’était le bon mosinuer dans sa tête, à tel point qu’un jour, il me dit : « après tout, maman, qui me dit que le Rabbi ment pour lui poser ma question ! Et dans ma tête j’ai formulé la pensée suivante : « Rabbi est est le Machia’h ? Où sont les preuves ? ». ce toi le Machia’h ? ». C’est à ce moment précis Je n’ai rien répondu car manquant de connaissances à ce sujet, ma foi étant mon seul critère à que le Rabbi s’est retourné. Oui c’était bien le cette époque, je n’ai pu lui répondre... Grande fut Rabbi, Maman, qui menait la prière ! Il s’est retourné vers moi, m’a regardé droit dans les yeux ma déception ; mon mari et moi avions tenu à et m’a fait un signe de tête du haut vers le bas, placer nos enfants dans un cursus ‘Habad afin un signe sans conteste, le signe que j’attendais d’y trouver des alliés et tout ce que nous avions et qui a répondu à ma question ! gagné était ce moment d’interrogation et de remise en cause ? Il est vrai que nous avions eu le Maman, aujourd’hui je crois d’une foi entière en la venue du Machia’h… Et bien qu’il tarde, j’atmérite de voir le Rabbi face à face à plusieurs tendrai chaque jour sa venue ! ». (Mylène Attal) sorte qu’en étant encore dans les limites (metsarim, comme Mistraïm, l’Égypte) de l’exil, il y aura déjà une multiplication de prodiges. Pourquoi le dernier miracle ? Et cette multiplication de prodiges se fera de En préparation à la fête de la délivrance du 12 et 13 Tamouz, il faut organiser des Farbrengen sorte que lorsque l’on demandera à un Juif « Quel est le dernier prodige que tu as vu ? », il ‘hassidiques dans lesquels chacun aidera son prochain à rajouter dans la Torah et les Mitsvot, répondra «comment ça le dernier?! Il y a et il y aura encore “une multiplication de ainsi que dans la diffusion des sources mes prodiges” !» Et «multiplication» de la ‘Hassidout. Et que D.ieu veuille dans la Torah signifie encore et encore, qu’avant même les 12 et 13 Tamouz il jusqu’à dépasser toute limite. Jusqu’à y ait la Délivrance messianique de ce qu’immédiatement il y ait la Délisorte que les « trois semaines » qui vrance, lorsque «comme à l’époque de débutent par le 17 Tamouz se transforta sortie d’Égypte, Je te ferai voir des ment « en joie et en allégresse et en prodiges» (7), qui seront prodigieux fêtes solennelles ». Il y aura alors la venue du Machia’h et la révélation du Machia’h, comparativement à ceux d’Égypte, aussi bien qualitativement que quantitativement. « un Roi de la lignée de David, érudit dans la Et alors « se lèveront et chanteront ceux qui giLoi, adonné aux commandements comme David son aïeul (…) qui amène tout Israël à sui- sent dans la poussière » (8), et mon beau-père, le Rabbi sera parmi eux et à leur tête, avec tous vre les chemins de la Torah et à en fortifier les positions, et qui mène les guerres de D.ieu» et les Enfants d’Israël – des âmes saines dans qui réussira, construira le Temple en son endroit des corps sains – et avec nos jeunes et nos vieux, avec nos fils et nos filles, nous volerons et rassemblera les exilés d’Israël, comme l’a sur les nuages du ciel vers la terre sainte, vers statué le Rambam (6). Et ceci se fera de la façon exprimée par le ver- Jérusalem la ville sainte, vers la montagne sainte, vers le troisième temple, « le sanctuaire set dont le nom « RaMBaM » est l’acrostiche : « Rabot Moftaï Beerets Mistraïm – que Tu as, ô Eternel, édifié de Tes mains » (9). Multiplier Mes prodiges en terre d’Égypte », de (Dvar Mal’hout) Machia’h & Guéoula

Un enfant du futur !

Bonjour ! Moi c’est Illanit. Je n’ai jamais réellement rencontré le Rabbi mais vous allez comprendre par la suite comment lui est venu a moi.

C’était pendant l’année 5770 - 2010, j’étais enceinte de mon enfant. J’étais à cinq mois de grossesse lorsque mon obstétricien me dit qu’il ne pense pas que mon enfant sera viable je ne l’écoutais même pas car pour moi un bébé naît à neuf mois de grossesse... Quelque jour plus tard, je ressentis une pointe à l’estomac. Impossible de respirer et transportée à l’hôpital en urgence, on me dit que l’on va m’extraire le bébé ! Je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Je faisais une préeclampsie avec une hausse de tension à 24... Les médecins me firent tenir quelques semaines et à six mois de grossesse j’accouchais d’un petit bébé de 32 cm pesant 500 grammes... Bien entendu il se trouvait en réanimation et son cœur s’arrêtait de battre. Il est mort deux fois ! Une fois pendant 10 secondes et une autre durant 30 secondes ils le réanimaient sans cesse. Je ne voyais pas le bout du tunnel. Au bout d’une semaine, je m’endormis en pleurant. Je n’y croyais pas et pour moi, mon fils allais partir et je ne le reverrai plus jamais. Cette nuit-là je fis un rêve. Le Rabbi vint me voir et me désigna un enfant et il se mit à rire. Mon mari et moi, on le regardait et on lui a demandé qui était ce petit. Il nous répondit : « ce petit garçon a cinq ans. Il se porte très bien et c’est le vôtre. Il ne faut pas s’inquiéter. Vous ferez un ajout dans le domaine du Judaisme quelque chose que vous ne faites pas encore. Puis, il partit en direction de sa voiture, tout en riant ! Je me réveillai et décidais de me couvrir la tête et de m’habiller Tsniout (pudiquement)... J’avais une Emouna, une confiance telle que personne ne pouvait m’enlever. Je disais des Tehilim tous les jour, la prière et bien sur la Tsniout... Aujourd’hui mon fils Lior a cinq ans et grâce à D.ieu, il se porte très bien. Un peu petit pour son âge, mais il est magnifique. Je remercie le Rabbi de m’avoir ouvert les yeux et de m’avoir guidée sur le bon chemin Barou’h Hachem. Des bonnes nouvelles à vous tous amen. (Groupe FB «Racontons notre histoire personnelle avec le Rabbi»)

La Newsletter de cette semaine est dédiée au bon anniversaire et à la bonne santé de ‘Haya Mouchka Bat Esther Valérie La Newsletter de cette semaine est dédiée au bon Mazal (Zivoug Hagoun) de ‘Hanna Julie Bat Esther Hélène La Newsletter de cette semaine est dédiée à la bonne santé de Naama Rachel Bat Esther Hélène


L ’ è r e Recherche médicale

Guérir la fibromyalgie

Des chercheurs de l’Université de Tel-Aviv, en collaboration avec une équipe de l’Université Rice aux Etats-Unis ainsi que de plusieurs centres médicaux en Israël, ont réussi à améliorer considérablement l’état de patientes souffrant de fibromyalgie, syndrome de douleur chronique qui touche principalement les femmes et n’avait jusqu’à présent pas de traitement.

Ils utilisent une méthode innovante basée sur la médecine hyperbare (augmentant la pression athmosphérique). Au cours de la recherche, ils ont également réussi à localiser la source de la maladie dans le cerveau. L’étude, qui vient d’être publiée, est susceptible de soulager la souffrance de millions de femmes dans le monde entier. La fibromyalgie est un syndrome de douleur chronique qui touche environ 2 à 4% de la population du monde occidental, dont 90% de femmes. Elle peut survenir dans trois situations : à la suite d’un traumatisme crânien, d’une infection impliquant le système nerveux ou d’un stress mental difficile et persistant. Son origine était jusqu’à présent inconnue, ce qui explique l’efficacité limitée des traitements existants, limités aux symptômes. La nouvelle étude a permis de détecter la cause principale de la maladie: la perturbation des mécanismes du cerveau responsables du traitement de la douleur, et offre donc pour la première fois un traitement efficace. Le Dr. Efrati, l’un des fondateurs de cette thérapie, rappelle : « Au cours de précédentes études, nous avions découvert qu’on pouvait améliorer de manière significative l’état de victimes d’accident vasculaire cérébral et de traumatismes crâniens par l’administration d’oxyPetites Annonces

Cours de Torah Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h&Guéoula. Infos : 054-5731430 Exclusif ! Le livre du Dvar Mal’hout (discours du Rabbi Chlita MHM 1991-1992) en français 054-9204694 Cours en français Le Mardi soir à 20h30.

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gène hyperbare (à une pression supérieure à la pression atmosphérique). Nous avons constaté que le traitement en chambre hyperbare régénère les tissus du cerveau chez ces patients et les répare, même de nombreuses années après la blessure ». Soigner grâce à la pression est une idée nouvelle dans son domaine de traitement des pathologies, mais est-ce que la pression est une nécessité dans le Judaïsme ? Trouver un être humain, capable d’étudier un sujet quelques heures par jour, de se consacrer à la méditation et à un service divin, trois fois par jour, d’accomplir 613 taches et d’assurer la subsistance de sa famille n’est pas une chose évidente. Une telle personne serait vite débordée et ne pourrait assurer la distance sur du long terme. Peut-être serait-il le directeur d’une multinationale, ou le président d’un Etat. Mais pourtant, c’est là le quotidien de chaque Juif, il étudie, prie, accomplit les Mitsvot, et tout cela de la meilleure manière et dans les moindres détails. Un exemple à ce sujet, avait été donné par un enseignant à la Yéchiva : « Imaginez une automobile qui doit attendre les 200km par heure, son moteur est huilé, les différents mécanismes sont réglés de manière optimale, le confort de conduite est parfait. Le seul problème est que les pneus ne sont pas sous pression, que se passerait-il ? ». La pression que subit un Juif, est bénéfique pour lui, comme le Rabbi Méle’h HaMachia’h Chlita l’avait dit au sujet du Rabbi Yossef Its’hak, le Rabbi précédent, il n’y a que lorsque l’olive est pressée qu’elle donne de l’huile, en effet le Rabbi a vaincu l’exil de Russie par des souffrances personnelles. Par contre lors de la Guéoula, c’est grâce à la plus grande joie, au plaisir dans l’étude et le service de D.ieu que nous accueillons le roi Machia’h de manière immédiate… (SW-GN)

Cours mixte sur le livre du Tanya et le Dvar Mal’hout. Arnona- Talpiot au 19, re’hov Chalom Yehouda. Réponses dans les Igueroth Kodech. pour toutes informations : 058-4770055

Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Cours tous les jours. Farbrengen le jeudi soir à partir de 21h00. Infos : 054-4449770

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Recherche médicale

Des muscles en 3D

Au cours des prochaines années, de nombreuses innovations médicales imprimées en 3D seront en passe de devenir des réalités médicales. Les vaisseaux sanguins, les tissus, même les organes bioimprimés en 3D seront tous en cours de développement. Cependant, un étudiant doctorant de Nottingham a montré que la technologie d’impression 3D peut faire beaucoup plus pour le monde médical que juste de la bioimpression. Pour Fergal Coulter, un candidat doctorant à l’Université de Nottingham Trent, utilise les techniques d’impression et de numérisation 3D pour créer des muscles artificiels. Ce projet concerne un genre très spécial de muscles artificiels: les actionneurs élastomères diélectriques, ils peuvent être utilisés dans des prothèses bio-robotiques imprimées en 3D, donc ceci peut potentiellement vraiment faire une grande différence. (BN)

Des infirmiers microscopiques

Les nanorobots ont un grand potentiel dans le domaine de la médecine. Ceci est largement dû à la possibilité de fournir de manière très ciblée des médicaments, un résultat qui pourrait réduire les effets secondaires et annuler le besoin de procédures invasives. Mais comment ces particules microscopiques pourraient mieux naviguer dans les fluides du corps est un énorme domaine d’intérêt pour les scientifiques. Des chercheurs proposent aujourd’hui une nouvelle technique grâce à laquelle des nanorobots pourraient être fabriqués pour nager rapidement à travers les fluides tels que le sang, atteindre leur destination et délivrer le produit curatif. (IHT)

Une clé de soin providentielle

Débordant d’éléments nutritifs, d’antioxydants et de graisses saines, l’avocat – autrement connu comme le beurre de la nature – renferme une multitude de bienfaits pour la santé à l’intérieur de sa grossière peau tannée. Mais de nouvelles recherches pointent maintenant à ce qui pourrait être son plus précieux secret. Un chercheur canadien a découvert un lipide dans l’avocat qui pourrait se révéler clé pour combattre la leucémie en attaquant la maladie mortelle à sa base, à savoir les cellules souches hautement élastiques qui gèrent la maladie et rendent son traitement, une tâche difficile. (IHT)

Dvar Méle’h - Paroles du roi

Il n’y a rien à comprendre, Machia’h est là !

Certains prétendront que ce qui vient d’être dit les dépasse et qu’ils ne peuvent en aucune façon le comprendre. Mais, peu importe qu’ils le comprennent ou non et l’on ne peut surtout pas attendre qu’ils y parviennent. Qu’ils interprètent donc comme ils le veulent l’affirmation selon laquelle le chef de la génération en est le Machia’h. Mais, en tout état de cause, qu’ils soient un Chalia’h, qu’ils mènent à bien la mission confiée par le chef de notre génération, en particulier la diffusion de la foi en la venue du Machia’h et la nécessité de l’attendre. C’est ainsi qu’ils hâteront sa révélation concrète. (Discours du Rabbi, veille de Sim’hat Torah 5746-1985) L E

C A R N E T

Pour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Esther Bat Pnina Leilouï Nichmat de : Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël et Serouya Beya Bat Myriam


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