Newsletter de la Guéoula n°143 - Paracha Miketz - Spécial ‘Hanouka 5772 - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - viveleroi770@gmail.com Bonnes Nouvelles
Hanouka 5772 : la fête de la Guéoula !
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Lors de Youd Teth Kislev 5772, un moment chargé en joies et en Farbrengen, nous avons fait ressortir le Roch Hachana de la ‘Hassidout qui est comparée à l’huile dans le Dvar Mal’hout, et c’est cette même huile qui va nous permettre de comprendre et de pratiquer une fête de ‘Hanouka totalement au dessus des limites de la nature.
Jérusalem Centre Le Beit Machia’h de Jérusalem «Keren Or ‘Hannah» pour femmes Yaffa Saadoun 054-5770612 Har ‘Homa : Rav Chlomo Yossef Tsion 050-4147725 Cours de Pureté familiale (héb) dimanche 20h30 Activités pour les enfants le Chabbat (distribution de prix) Cours de Tanya le mercredi 20h30 (fr) Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le dimanche soir à 19h45 (mixte) Mardi (héb) 20h00 Tanya et Dvar Mal’hout, 050-7080871 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv : 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv : 054-4833764 Beit Machia’h Mochava Guermanite (Jérusalem) : Cours de femmes à 17h00 au 57, rue Emek Refaïm (Sarah Partouche) 02-6510801 Le journal «Vive le Roi Machia’h Now!» recherche un sponsor pour élargir sa diffusion 050-7080871 viveleroi770@gmail.com
Une fête en dehors de toutes les normes pendant laquelle le Rabbi Roi Machia’h Chlita va conquérir le cœur de tous les Juifs et celui des non-Juifs pour y faire pénétrer la lumière de l’Essence divine, en chacun et chacune, dans les endroits les plus élevés comme les plus bas. Chacun est prêt et déjà, pointent à l’horizon, les lueurs enflammées de la délivrance, de la Guéoula, celle qui ne sera plus suivie d’un exil, c’est à dire, la délivrance que l’on appelle « véritable et complète ». La lumière de ‘Hanouka est la plus puissante d’entre toutes les lumières car c’est la plus spirituelle de toutes les fêtes. Au point que la ‘Hassidout est en évidence partout, tous la connaissent et tous la reconnaissent. Chacun comprend qu’il en a besoin et qu’elle fait partie de sa structure interne. Car elle met en évidence la bonté que chacun porte en lui et avec laquelle il illumine la parcelle du monde qui lui est impartie. Ce que fait Yossef, le juste, celui qui est passé du stade le plus bas, celui d’esclave hébreu, à celui de chef d’Etat, un événement qui n’a pas son précédent dans l’histoire. Un jeune de dix-sept ans qui va montrer au monde entier par son Bitoul, son humilité, que rien ne peut faire entrave à la parole de D.ieu qui courre et va s’accomplir rapidement, comme dans l’histoire du rêve de Pharaon. On retrouve Yossef beaucoup plus tard, à notre époque et entre temps, il a pris la direction du Peuple Juif, il accomplit miracle sur miracle sur prodige et détruit l’Egypte d’aujourd’hui pour en faire un assemblage de bourgade alors qu’elle était la deuxième puissance mondiale, la Russie… Il s’agit de Yossef Its’hak, le précédent Rabbi de Loubavitch, Machia’h Ben Yossef comme l’a surnommé le Rabbi actuel, le Machia’h Ben David. Et c’est ce même Yossef qui va annoncer au Peuple Juif que le temps de notre délivrance est bien là et que nous avons terminé le travail de purification du monde. Pourquoi s’appelle t-il aussi Its’hak ? Parce que la délivrance est avant tout une délivrance de toutes nos peines et que va surgir du fond
de nous, un rire que l’on avait depuis longtemps oublié, celui de la Guéoula. Et lui aussi nous montre que la parole de D.ieu courre et va s’accomplir dans les plus brefs délais, la parole qui annonce la délivrance véritable et complète. Or Miketz, Ketz Hayamim veut dire « à la fin », et le Dvar Mal’hout nous explique qu’il s’agit bel et bien de la fin de la Galout, de l’exil et de plus, Ketz Hayemin (dans le livre de Daniel) nous parle du début de la Guéoula. Exactement la période dans laquelle on se trouve. Et rien n’y fera, nous arrivons dans une ère de bonheur absolu pour notre Peuple, c’est le moment pendant lequel nous serons tous unis entre nous et en même temps, unis avec le Créateur. Ce que nous devons faire maintenant est de nous réunir encore plus lors de réunions ‘hassidiques, des Farbrengen, des moments d’éternité pendant lesquels nous chantons et dansons, allumons les bougies de ‘Hanouka et parlons de notre Torah et de notre Roi, le Roi Machia’h et nous nous écrions tous dans la plus grande joie : « Vive le Roi Machia’h Now, Mamach »…
www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé de « Miketz » - Chabbat Roch ‘Hodech Tevet 5752-1992
Je l’ai oint de Mon huile d’onction La nouveauté des jours de fêtes de ‘Hanouka par rapport aux autres jours de fêtes, est que lors des autres fêtes (et de même pour les Chabbatot), il y a une obligation de consommer un repas dont la majeur partie est constituée de pain et d’eau, mais aussi de viande et de vin. Ce qui n’est pas le cas de ‘Hanouka : « la majorité des repas que l’on y consomme sont des repas facultatifs car les Sages n’ont pas statué de festin de réjouissance (Choul’han Arou’h 670.2) », mais « ils en ont fait des jours de fêtes de louanges et de reconnaissance (Chabbat 21b) ». Et l’essentiel de ces jours de fêtes sont l’allumages des bougies qu’ils ont fixé à propos du miracle de l’huile (Rachi). Et l’explication de ceci est que le miracle de ‘Hanouka tient dans la victoire sur les grecs qui ont voulu : « leur faire oublier Ta Torah et les faire transgresser les décrets émanant de Ta Volonté (liturgie de ‘Hanouka) », il s’agit d’une victoire spirituelle (contrairement au miracle de Pourim qui était de sauver le Peuple Juif du décret d’Aman portant sur le corps des enfants d’Israël. Et de même pour le miracle de Pessa’h pendant lequel les enfants d’Israël ont été sauvés de l’esclavage d’Egypte), c’est pour cela que le miracle n’a pas été célébré par la joie d’un festin qui est lié au sauvetage du corps, mais par l’allumage de bougies, comme il est dit : «Une bougie de Mitsva et une Torah de lumière (Proverbes 6.23)». Nous devons tout d’abord comprendre le sens spirituel des objets matériels par lesquels ont été célébrés les jours de fêtes, le pain, l’eau et le vin (pour les repas des jours de fêtes) et l’huile de l’allumage des bougies de ‘Hanouka. Il est dit dans Likoutei Torah sur le « Cantique des cantiques », que le pain, l’eau, le vin et l’huile font référence à différents niveaux de la Torah : le pain et l’eau sont la Torah révélée, le vin est la Kabbale, « le secret », le côté caché de la Torah et l’huile fait allusion au «secrets des secrets» de la Torah. Or, l’huile ne peut se boire seule, mais uniquement lorsqu’elle est mélangée avec d’autres aliments, de plus elle surnage au-dessus de tous ces aliments, elle fait donc allusion au « luminaire de la Torah », l’intériorité de la Torah. Et le dévoilement de l’huile, « les secret des secrets » de la Torah, lors
du miracle de ‘Hanouka, s’opère lors de Youd Teth Kislev, le 19 Kislev, car à compter de ce jour a eu lieu l’essentiel de la « diffusion des sources du Baal Chem Tov, l’enseignement de la ‘Hassidout, l’huile de la Torah, vers l’extérieur (Torat Chalom p.112) ». Tout ceci est relié avec la Parachat Mikets, car le nom de la Parachat : « Mikets » est relié avec « Kets HaYamim, la fin des jours (Or Hatorah) », la fin de l’exil et «Kets HaYemin, la fin de la droite (fin du livre de Daniel)», c’est-à-dire le début de la Guéoula, de la délivrance, le mot « Mikets » peut aussi signifier « au commencement (Ibn Ezra – Chela’h 13.25) ». Et l’on doit dire que ces deux notions « Kets HaYamim » et « Kets HaYemin », la fin de la Galout et le début de la Guéoula, sont tous deux reliés avec le dévoilement du Chemen, de l’huile de la Torah dans notre génération, car on y trouve la domination de l’obscurité, d’une part, et le rapprochement de l’arrivée du Machia’h, car l’augmenta-
tion de l’obscurité est une preuve de la fin de l’exil (Kets HaYamim) et la proximité de la venue du Machia’h, est reliée au début de la Guéoula, de la délivrance (Kets HaYemin). De plus, puisque notre génération est la dernière de l’exil, la fin de l’exil, et la première de la délivrance, le début de la délivrance, nous nous trouvons dans des jours choisis pour appartenir à la délivrance. Que ce soit du côté de la Paracha Mikets (Kets HaYamim et Kets HaYemin) que du côté des jours de ‘Hanouka qui ont été fixés suite au miracle de l’huile, qui appartient au verset « Je l’ai oint de Mon huile d’onction (Psaume 89.21) » et plus précisément en ce Chabbat de ‘Hanouka, car le Chabbat est lié avec la Guéoula (le monde futur qui est entièrement Chabbat – fin du traité Tamid), comme fixé en cette année, après la cinquième bougie, jour de la seconde délivrance de l’Admour Hazaken, et en ce jour de Roch ‘Hodech qui désigne le renouvellement d’Israël, «qui vont se renouve-
ler comme la lune (Sanhédrin42a)», lors de la délivrance véritable et complète. Et dans les sujets qui rapprochent la délivrance dans la réalité de manière dévoilée : Nous devons nous renforcer dans la foi, le désir et l’attente de la venue du Machia’h au point que ce soit visible sur nous, car tant que le Machia’h ne s’est pas dévoilé de manière concrète, on ressente que le manque s’est introduit dans notre vie… De plus, et c’est le principal, il nous faut rajouter dans l’étude, la diffusion de l’intériorité de la Torah, l’huile de la Torah, d’organiser des réunions ‘hassidiques joyeuses et donner l’argent de ‘Hanouka (avant ou après Chabbat – Ndt). Et que soit Sa Volonté, avant même que l’on rajoute dans tous les sujets de ‘Hanouka, que le Saint béni soitIl nous donne concrètement notre «Argent de ‘Hanouka» (pas seulement comme un cadeau, mais bien comme le règlement d’une dette) car « Israël est un jeune et Je l’aime (Oshea 11.10) » en amenant ce qui nous est le plus urgent et le plus indispensable, la Guéoula Haamitith VeHachléma, la délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du Roi Machia’h et grâce à lui la « ‘Hanouka (inauguration) » l’inauguration du troisième Temple qui descendra déjà construit du ciel (Rachi et Tossefot sur Soucca 41a) et le jeûne du 10 Tevet sera transformé en jour de fête et en joie comme il est dit : «Ainsi parle l’Eternel, D.ieu des Armées… le dixième jeûne sera pour la maison de Yehuda, un jour d’allégresse, de joie, transformé en jours de fêtes (Za’haria 8.19)».
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Histoire
GUEOULA
De Gola à Guéoula
Contre tout avis médical Un miracle, ou une suite de miracles, comme le peuple juif en vit quotidiennement, et tels qu’ils ont été vécus par David et Victoria Rubinstein, de Kyriat Chmoné… Le fait qu’ils étaient mariés depuis trois ans sans que leur union n’ait été bénie par la naissance d’un enfant les préoccupait beaucoup. L’opinion des médecins n’allait pas non plus dans le sens d’un encouragement. Se basant sur les résultats d’une suite d’examens en profondeur que le couple dut subir, les médecins déclarent à l’épouse que “elle ne devait pas conserver d’espoir quant à une éventuelle maternité, de façon naturelle et régulière”. L’état d’esprit du couple, après un tel diagnostic, n’a de toute évidence pas besoin d’être décrit, mais ils ne pouvaient cependant pas accepter facilement une telle “condamnation”. C’est ce qui explique que lors d’une rencontre avec Rav Its’hak Lipch, dirigeant du Beth ‘Habad de Tsfat, ils entreprirent de raconter à ce dernier la cause de leur souci majeur. Le Rav Lipch sentit immédiatement la profondeur de la détresse du couple et leur conseilla, comme de juste, d’écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita par l’intermédiaire des Iguerot Kodech afin de solliciter sa bénédiction. Le Rav Lipch leur dit : “On a vu des miracles étonnants, même contre l’avis des médecins, et particulièrement dans le domaine qui vous concerne”, leur expliqua-t-il. L’ouverture d’un volume de l’ouvrage révèla d’emblée une réponse stupéfiante du Rabbi : «Bénédiction de Mazal Tov pour la naissance de votre fille…». En fait, deux mois plus tard, le couple vit la réalisation de cette bénédiction : contre tous les avis médicaux entendus précédemment, et sans avoir procédé à un traitement quelconque, Victoria attendait un enfant, grâce à D.ieu. Quelques mois plus tard, des douleurs apparurent alors que la grossesse n’était pas tout à fait arrivée à son terme et, devant ce problème, la jeune femme fut hospitalisée à ‘Rivka-Ziv’, un établissement de Tsfat. Là, la décision unanime des médecins fut sans appel: il fallait procéder à une opération. C’était, selon eux, la seule solution pour lui sauver la vie, compte tenu de la situation antérieure difficile. “Car, lui dirent-ils, le but est d’éviter des complications au moment de l’accouchement”. “Il me semble que c’est le moment de solliciter de nouveau le Rabbi afin de recevoir sa bénédiction”, pensa Victoria quand elle entendit la décision des médecins. Elle se mit en devoir d’écrire. La réponse qu’elle reçut se trouvait à la page 235 du volume 9 des Iguerot Kodech : «et puisqu’un médecin dit qu’il n’est pas nécessaire de recourir à une opération… vous devez vous conformer à cet avis».
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Face à une telle réponse, le couple décida et fit savoir qu’il était opposé à une intervention chirurgicale… Peu de temps après, ils firent la connaissance d’un responsable ‘Habad à qui, de fil en aiguille, ils racontèrent la fantastique réponse du Rabbi à leur requête. L’homme leur fit alors remarquer qu’à son avis, il fallait prêter plus d’attention à cette réponse : “Il est écrit qu’un médecin n’estime pas nécessaire de recourir à l’opération, et c’est pourquoi vous devez vous conformer à son avis. Mais avez-vous trouvé un tel médecin?” Les époux Rubinstein admirent qu’en effet, ils n’avaient pas trouvé de médecin exprimant un tel diagnostic, parce qu’ils ne l’avaient tout bonnement pas cherché, préférant pour leur part se reposer sur l’allusion qu’ils discernaient dans la réponse du Rabbi. “Et bien, vous devriez vous efforcer de trouver un tel avis, pour au moins réaliser ce que le Rabbi vous indique.” L’effort donna ses résultats, et le couple trouva enfin un médecin qui, après s’être attentivement penché sur les clichés et conclusions d’examens, leur fit savoir, qu’à son point de vue, il ne fallait pas considérer l’opération comme la seule solution à ce problème et qu’il était possible que la naissance soit tout à fait normale. Lorsque Victoria Rubinstein communiqua sa décision à l’équipe médicale de l’hôpital, les praticiens en demeurèrent bouche-bée : “Comment pouvez-vous prendre une responsabilité aussi importante? A notre avis, vous mettez tout simplement votre vie en danger !” conclurent-ils. En face d’eux, le couple était parfaitement calme, totalement convaincu d’exécuter la directive du Rabbi Roi Machia’h Chlita. Le contraste était saisissant ! En fait, il ne s’écoula que deux semaines pour que l’accouchement arrive enfin à son terme, et que Madame Rubinstein mette au monde, en un moment heureux, une petite fille qu’ils nommèrent Perla. Pour une longue vie et de bonnes années de bonheur !
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Pour la diffusion de la lumière de l’âme Juive
L’exil, dont la principale définition est le voile de la lumière divine, comme il est écrit : «Nous ne voyons plus nos signes etc. (Ps.649)», jusqu’à en arriver à l’obscurité, une obscurité de plus en plus opaque, une obscurité de fin d’exil, mais de par sa racine et son origine, l’exil possède les vertus les plus élevées, « des lumières d’en-Haut », qui sont au-dessus de tout revêtement dans un réceptacle, au-dessus de tout dévoilement. Ainsi, la réparation de tout ceci se fait grâce à « nos actes et notre travail, pendant toute la durée de l’exil (Tanya) », c’est-à-dire la transformation du concept d’exil en celui de délivrance, de Guéoula, comme nous avons déjà expliqué que grâce à l’attraction et au dévoilement du Alef, (Aloufo Chel Olam, le Maître du monde, c’est-à-dire Hachem, Luimême) on transforme la Gola (l’exil) en Guéoula (délivrance). Et il faudra donner à ceci une grande publicité en tout endroit : Afin de provoquer le dévoilement et l’arrivée du Machia’h de manière immédiate, chaque Juif (hommes, étudiants en Torah (Issa’har), ainsi que les hommes d’affaires (Zevouloun), ainsi que les femmes et les enfants, chacun selon ses possibilités) devra rajouter de l’étude de Torah et plus particulièrement que son étude portera sur les sujets du Machia’h et de la Guéoula, la délivrance. Il serait bon que cette étude soit publique, avec un minimum de dix personnes car il y a une grande qualité dans cela et surtout dans le fait d’étudier avec émerveillement, joie, émotion, car grâce à tout cela, sa soif de délivrance et l’attente du Machia’h augmentera. Il faudra aussi augmenter la qualité de l’accomplissement des Mitsvot et principalement celle de la Tseddaka qui rapproche la Guéoula (Baba Batra 10a). Et en plus de tout cela, et c’est le principal, que tout ceci s’accomplisse de la manière la plus concrète, en dessous de 10 Tefa’him. Ainsi nous pourrons remercier D.ieu et Le bénir pour la naissance et le dévoilement du Machia’h : « Che’heyanou, Vekiyémanou, Véhiguiyanou, Lizman Hazé (Qui nous a fait vivre, exister, et nous à amené en cet instant) ». Extrait du Dvar Mal’hout Tazria Metsora 5751-1991
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Igueroth Kodech
Lettre du Rabbi Roi Machia’h Chlita
Actuel
La science et la Guéoula La venue du Machia’h sera soudaine comme le Rabbi Roi Machia’h Chlita le précise « en un clin d’œil ». Mais de cette précision il serait faux de conclure que ce dévoilement n’ait rien à voir avec le temps qui le précède. Il sera au contraire l’aboutissement du long travail que le Peuple Juif a accompli en exil.
Par la grâce de D.ieu, Mercredi de ‘Hanouka 5703 Je vous salue et vous bénis, Nous vous adressons, par courrier séparé, un exemplaire de la lettre de mon beaupère(1), le Rabbi Chlita, pour le jour du jeûne(2) et les jours suivants. Il est inutile de vous préciser l’importance de la diffuser le plus largement dans votre ville et dans tous les endroits où vous exercez votre influence, par exemple en l’accrochant au mur de la synagogue. De même, il vous a été adressé, avant Roch Hachana, différentes publications appelant également à la Techouva et basées sur les propos de mon beau-père, le Rabbi Chlita. Je suis surpris de n’avoir, pour l’heure, aucune réponse de votre part, à ce propos. Vous n’avez pas même confirmé que vous les avez bien reçues. Le but des lumières de ‘Hanouka est d’éclairer l’extérieur et le domaine public. Et le Torah Or souligne à quel point cela est important en la présente époque, celle du talon du Machia’h. Bien plus, la Hala’ha tranche que celui qui réside à l’étage, faisant ainsi allusion à ceux qui connaissent, à titre personnel, une plus grande élévation, doit, puisqu’il n’a pas de porte, c’est-à-dire pas d’accès direct aux attraits de ce monde, allumer les lumières de ‘Hanouka près de sa fenêtre, qui donne sur le domaine public. Avec ma bénédiction de Techouva immédiate, délivrance immédiate, Mena’hem Schneerson Directeur du comité exécutif(3) Notes (1) Lançant un appel à la Techouva pour réduire les souffrances des terribles persécutions nazies. (2) Du 10 Tévet. (3) De Ma’hané Israël.
Les non-Juifs se prépareront aussi à cet événement. Non comme une nécessité morale et spirituelle mais plutôt pour que l’innovation qu’apportera le Machia’h soit pour eux quelque chose de psychologiquement acceptable. C’est par le biais de la science qu’ils se prépareront. Sans qu’ils ne le veuillent et sans même qu’ils n’en soient conscients, les non-Juifs tracent depuis près de deux siècles la voie de l’ère messianique. Quelle sera en effet l’innovation que le Machia’h apportera au monde? A travers différents textes des Prophètes, l’unité divine de la création et son dévoiement apparaît comme le thème commun à toutes les promesses. On verra alors comment chaque détail, chaque parcelle de notre univers participe de la même volonté : celle de D.ieu. Derrière la diversité du monde apparaîtra la force motrice de tous les éléments qui le composent. L’humanité entière verra matériellement que D.ieu est Un. Or, la science avance elle aussi, inconsciemment ou non sur ce chemin comme on peut le constater aujourd’hui avec les dernières découvertes qui concernent l’infiniment petit. Pendant des millénaires l’homme ne savait pas toujours ce qui existait au-delà des frontières de son propre village. Le moindre déplacement prenait des jours voire des semaines ou des mois. Les hommes vivaient sur une seule terre mais
Le Carnet : La Newsletter de cette semaine est dédiée à l'élévation de l'âme de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Rabbanite Tsipora Tsik, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, Rav Chalom Kalmenson Mazal Tov pour le Pidyone HaBen de Israël Ben Yaëlle ainsi que pour l’anniversaire de Gabriel Ben Mercedes Sarah
leur monde était morcelé. Puis, lentement, le progrès scientifique a réduit les distances. La vitesse des communications a fait prendre conscience à l’homme que le point le plus lointain du globe est aujourd’hui plus proche de lui et que le moindre événement peut être connu par des millions d’individus au même instant. L’unité physique du monde prépare les esprits à l’unité divine ! Et l’on découvre que dans l’infiniment petit, se cache la grandeur de D.ieu comme nous l’explique le Torah Or (dans le discours « Ce qu’est ‘Hanouka »). Mais ce n’est pas tout. Ce bouleversement scientifique ne peut rester étranger au Judaïsme. Puisque tout ce qui existe n’a été créé que pour la gloire de D.ieu, le Juif doit aussi avoir une part dans cette révolution : celle de tirer profit du progrès en l’utilisant pour la science de D.ieu, la Torah et plus actuellement, la ‘Hassidout. Si le téléphone et tous ses dérivés permettent à l’humanité d’accepter l’idée que le monde est «un », le but réel pour lequel ils ont été créés se situe sur un plan supérieur, rapprocher deux Juifs par le biais des paroles de Torah qu’ils échangeront grâce aux nouveaux outils de communication. Mais notre rôle aujourd’hui est surtout de faire en sorte d’informer d’autres Juifs que la Délivrance messianique est imminente comme le demande à maintes reprise le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita.
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Allumage des Bougies de Chabbat Parachat Miketz Jérusalem Entrée : 16h05 Sortie : 17h20