Newsletter n°150 - Paracha Yitro - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com Bonnes Nouvelles
Editorial
Chevat 5772 : La plus belle Terre La photo de la semaine
Jérusalem Har ‘Homa : Cours de Tanya femmes dimanche soir 20h45 Rav Avi Assouline 054-6357709 Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le dimanche soir à 20h00 Mardi (héb) 20h00 Tanya et Dvar Mal’hout 050-7080871 Baka Oufaratsta Soirée féminine 22 Chevat 20h00 Beit Harel 8, rue Gad à Baka Centre-ville Beit Machia’h Keren Or ‘Hanna Itvaadout pour femmes 22 Chevat - Repas de fête 14.02.2012 - 20h30 67, rue Yaffo Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Beit Machia’h Mochava Guermanite : Cours pour femmes le mercredi à 17h00 au 57, rue Emek Refaïm (Sarah Partouche) 02-6510801
Beit Machia’h Har ‘Homa Cours du lundi au mercredi Jeudi soir, Farbrengen pour les jeunes Rav Shlomo Yossef Tsion
050-4147725
34, rue Rav Its’hak Nissim zionmoshiach@gmail.com
Quelle différence entre le Don de la Torah dans la Parachat Yitro et les Dix Commandements que Moché Rabbénou répète au Peuple Juif lors de la quarantième année dans le désert et qui apparaît dans la Paracha Vaèt’hanane ? Dans le premier cas c’est D.ieu qui parle, dans le second c’est un homme, Moché le texte est presque identique, mais la signification spirituelle est toute différente… Le Dvar Mal’hout de cette semaine nous explique que lors du Don de la Torah, les premières Dibrot (les dix Commandements), ont été tout d’abord prononcées par D.ieu, et même si le Peuple Juif ne les a pas supportées car leurs âmes se sont envolées, Moché a servi d’intermédiaire par la suite mais c’est tout de même D.ieu qui parlait. Et donc, spirituellement D.ieu a donné la possibilité par le Don de la Torah de Lui faire une demeure en ce monde. Le fait que Moché a par la suite prononcé à nouveau ces mêmes paroles (avec quelques différences) a ouvert le canal pour créer une demeure pour D.ieu dans ce mondeci de la manière la plus matérielle. D.ieu ne veut pas transformer le monde, pour en faire un lieu désolé et y habiter seul. Il nous veut aussi, tel qu’on est, avec nos habits, notre façon d’être, celle qu’on a adopté en habitant aux quatre coins du monde. C’est cela la Guéoula, la délivrance véritable et complète, c’est le dévoilement de D.ieu, dans toute Sa grandeur, l’Essence-même du Saint béni soit-Il, dans notre monde, ici et maintenant ! Ce Chabbat nous avons l’honneur d’entendre les dix Commandements, et il sera donc nécessaire d’emmener toute la famille à la synagogue, même les petits enfants. Et le but de cette lecture est de nous rappeler notre devoir d’influencer notre entourage pour des cours plus nombreux, et le Dvar Mal’hout nous demande même de nous donner comme but d’influencer dix Juifs à étudier, à venir au cours et à pratiquer la Torah et les Mitsvot.
De plus, nous approchons de la Hilloula de la Rabbanite ‘Haya Mouchka, épouse du Rabbi Roi Machia’h Chlita, le 22 Chevat 5772 (15.02.12) et les femmes et jeunes filles sont invitées à participer aux réunions et repas de fêtes qui seront organisés à cette occasion, ce sera une grande opportunité de demander toutes les bénédictions. Pour recevoir et bénéficier d’un changement significatif dans sa vie et celle de sa famille, nous avons aujourd’hui la possibilité unique en son genre d’interroger le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des Igueroth Kodech et pour se faire, il suffit de se mettre en contact avec le Beit ‘Habad le plus proche de chez vous ou de nous écrire par email à viveleroi770@gmail.com et changer les choses dans tous les domaines de la vie, santé, situation économique, mariage, enfants etc. Roch Hachana, la fête des arbres c’est le 15 Chevat et nous apprenons par cette grande fête que les fruits de la Terre d’Israël sont les plus beaux fruits du monde. Pourquoi ? Justement parce qu’ils poussent sur notre Terre, la Terre Sainte d’Israël. Et cette Terre, reprendra ses fonctions sacrées lors de la Guéoula, car elle s’étendra dans le monde entier, et Jérusalem sera la Terre d’Israël et nous voyagerons sur les nuages du ciel vers le troisième Temple avec tous les Juifs du monde dans un grand amour tous unis dans la plus grande joie, les chants et les danses pour accueillir le Rabbi Roi Machia’h Chlita qui nous a délivré. Nous prononceront alors les bénédictions qui se diront lorsque nous le verrons, et ensuite, nous nous exclameront devant lui, dans la plus grande joie : «Vive le Roi Machia’h Now, Mamach !».
www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Parachat Yitro - Chabbat 20 Chevat 5752-1992
De la Torah à la nouvelle Torah Les dix Commandements sont écrits dans la Torah à deux reprises. Une fois dans notre Paracha, la Parachat Yitro (20.1) et la seconde, dans la « seconde Torah », le Livre Devarim (le Deutéronome) à la Paracha Vaet’hanane (5.6). Puisque les dix Commandements sont le fondement de toute la Torah et comprennent en eux toute la Torah ; on est contraint de dire que chacune des deux reprises a une signification bien précise. Les derniers « dix Commandements » ont été donnés par Moché. Moché qui est ce que l’on nomme « L’intermédiaire (entre D.ieu et le Juif) qui relie (le Juif et D.ieu) », entre « D.ieu et vous (Vaet’hanane 5.5) ». Puisqu’il est l’homme-D.ieu (Ps.90.1), une âme dans un corps, en bas, sur terre, il donne à chaque Juif, la possibilité et la force d’étudier la Torah avec toute la compréhension de l’esprit d’un homme sur terre. La nouveauté de « Et D.ieu a dit toutes ces choses (Yitro 20.1)», est que tous les enfants d’Israël ont entendu les Commandements de la bouche du Tout-Puissant Lui-même, sans aucun intermédiaire ! L’étude est la parole de D.ieu Le sens de tout ceci est que les deux « dix Commandements » sont nécessaires. Même si les premiers sont dits par Hachem directement, et qu’ils soient d’un niveau bien plus élevés que les seconds (prononcés par Moché), le fait que Moché les ait répété afin de les transmettre aux Juifs et qu’ils puissent les intérioriser et étudier la Torah en servant D.ieu ici-bas et pourront ainsi dévoiler le niveau de « Parole de D.ieu »
Chem Tov, et par lui, le dévoilement du onze, le premier sauveur est aussi le dernier sauveur, David, le roi Machia’h.
exactement comme elle s’est dévoilée lors du don de la Torah. C’est-à-dire que les dernières paroles dévoilent la perfection et le niveau des premières, jusqu’à dévoiler que l’étude de la Torah de chaque Juif est la parole d’Hachem, comme elle a été dite à Moché au mont Sinaï. Miyad, immédiatement Et en ce qui concerne notre génération, se dévoilent en même temps, les trois points : le Mem, (première lettre de Machia’h – dont le nom est Mena’hem, Sanhédrin 98b), puis le Youd, (premières lettres des prénoms du Rabbi Yossef Yits’hak) et le Daleth (Doram, leur génération, celle du Rabbi, prince de notre génération), dévoilement du 10, dixième jour du mois de Chevat qui contient le dévoilement de l’enseignement de la Hassidout, les sources du Baal
Que peut-on faire maintenant ? Que chacun d’entre-nous prenne sur lui d’influencer dans les jours qui viennent au-moins dix Juifs en ce qui concerne la Torah et les Mitsvot, et s’en occuper de toutes ses forces, ses forces intérieures et ses forces extérieures. Ceci est une demande destinée à chacun et chacune en Israël et dans notre génération, hommes, femmes et enfants… Sur les nuages du ciel Et en ce qui nous intéresse beaucoup plus particulièrement, c’est qu’immédiatement, vient la Guéoula véritable et complète de la manière la plus matérielle. Et la Synagogue, la maison d’étude et la maison de bonnes actions accompagnée des autres synagogues, maisons d’études et de bonnes actions avec tous les enfants d’Israël, accompagnés de nos jeunes, nos vieux etc., nos fils et nos filles (Bo 10.9), voleront vers la Terre Sainte à Jérusalem, ville Sainte, vers le Mont Saint et vers le troisième Temple, le Temple triple. Et de la manière la plus rapide et la plus immédiate, Mamach, avec toutes les explications que ce mot contient, à commencer du sens le plus simple : tout de suite, maintenant, Mamach, véritablement !
Gueoula
22 Chevat 5772 : Femmes Juives d’aujourd’hui, dévoilez la Guéoula ! On peut voir concrètement que dans un appartement de la manière la plus simple, la décoration, la beauté de l’appartement et les accessoires qu’ils soient matériels ou spirituels dépendent de la femme « la maîtresse de maison ». La beauté et l’art de rendre les choses belles dépend plus particulièrement de la femme, «une belle femme (celle qui rend les choses belles)»… Jusqu’au niveau où «La femme n’a été créée que pour la beauté», beauté spirituelle par laquelle découle la beauté matérielle. Il est important de préciser que toute maison juive tient sur trois Mitsvot : L’allumage des bougies de Chabbat et des jours de fête, une alimentation Cachère et la pureté familiale (Initiales du mot ‘Hen, le charme, la beauté, l’esthétique)… ainsi que l’éducation des enfants qui dépend de la mère.
fluence qui est accordée à l’enfant se prolonge bien plus tard, lorsqu’il grandit en un amour intérieur, il chérit alors, tout ce qui concerne la Torah et les Mitsvot. Et il y a un enseignement particulier pour les femmes et jeunes filles d’Israël, en générale et plus particulièrement pour les Chlou’hot, les femmes-émissaires, qu’elles aient une longue vie, envoyées par le Rabbi, Prince de notre génération qui se sont réunies de tous les coins Concours de décoration de tambourins avec en premier prix un drapeau et un Pin’s Machia’h, envoyez votre photo à viveleroi770@gmail.com Comme on peut constater par exemple cette bonne coutume qu’ont les mères juives de chanter à leurs enfants qui sont encore dans le berceau, que la Torah est la plus merveilleuse des choses, la plus douce, la plus belle… et l’in-
Le Carnet : Parnassa Tova pour Deborah Bat Sarah Refoua Chéléma, Bonne santé pour Ben Chalom Reuven Ben Daniéla Adina ainsi que pour Raphaël Ouriel Ben Drora, Mina Guila Bat ‘Hanna et Adiel Ben Bra’ha Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, Rav Chalom Kalmenson, Meïr Ben Messaoud, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham Haddad
www.viveleroi770.com du monde pour le « Rassemblement mondial des femmes-émissaires » : de faire de leur propre maison, une demeure pour la divinité « Et ils me feront un sanctuaire, et Je résiderai parmi eux », en chacun et chacune du Peuple Juif. A commencer d’ellesmêmes, de leurs maison, pour en faire un sanctuaire pour D.ieu, une maison de Torah, de prières et de bonnes actions, par leur comportement personnel et éduquer les enfants dans ce sens, faire d’eux-mêmes de beaux sanctuaires pour D.ieu. De plus nous devons imprégner la maison et toutes les chambres de la maison d’un esprit de Torah, de prière et de bonnes actions. Ainsi, il nous faut vérifier que chaque enfant possède personnellement : Un ‘Houmach (Pentateuque) et d’autres livres de Torah, un Sidour (livre de prière), une boîte de Tseddaka et de plus, un petit livre de Tanya personnel. Et actuellement, lors des dernières minutes qui précédent la Guéoula, il faut éveiller en chaque femme et jeune fille Juive, l’importance du mérite des femmes et jeunes filles d’Israël qui amènent la délivrance véritable et complète de manière immédiate et instantanée qui intervient par le mérite des femmes justes de la génération. « Et tous ceux qui résident dans la poussière se réveilleront et se réjouiront » et parmi eux, le Rabbi Rayats et sa fille (la Rabbanite ‘Haya Mouchka de mémoire bénie – Ndt) avec tous les justes et les femmes justes et toutes les âmes, avec tous les enfants d’Israël qui sont des âmes dans des corps pour de longues et bonnes années, une âme saine dans un corps sain, nous passons sans aucune interruption, à la vie éternelle lors de la délivrance véritable et complète par l’intermédiaire du Machia’h, notre juste, de manière immédiate Mamach, et en priorité, de manière instantanée Mamach, et tout simplement Mamach. (Dvar Mal’hout Yitro 22 Chevat 5752-1992)
Histoire
Un immense cadeau d’anniversaire Rav Chaï Salomon de Kfar ‘Habad raconte : « Dans le cadre de mon travail en tant que directeur du Portail ‘Habad-shop sur internet, je consacre ma vie à la diffusion du Judaïsme et de la ‘Hassidout dans le monde entier. Tout ceci grâce à la vente de livres et de produits de Judaïca. Un peu avant le mois de Tichri, le propriétaire des entrepôts que je loue à Kfar ‘Habad, m’annonce que j’ai deux mois pour vider les lieux car il veut disposer des locaux. J’ai pris cette nouvelle comme un éclair en pleine journée d’été ! Par ma propre expérience, je sais qu’il est pratiquement impossible de trouver un entrepôt disponible à Kfar ‘Habad. Mais tout de même je commençais à lancer ma recherche et je ne cessais de chercher qu’à l’approche des fêtes de Tichri. Aux alentours de la fête de Souccot, je voyageais chez le Rabbi Roi Machia’h Chlita au 770 pour participer au « temps de notre Joie ». Lorsque je suis revenu au pays, je commençais de nouveau à chercher de toutes mes forces un local pour ma marchandise, mais tout le problème semblait véritablement insoluble. Je ne connaissais pas la réussite dans cette recherche et un sentiment de désespoir commençait à m’envahir. Trois jours avant mon départ du local, je me suis retrouvé en partance pour le 770 de Kfar ‘Habad, la réplique trait pour trait du 770 de New York, la maison du Rabbi Roi Machia’h Chlita. Sur place, je sortais de mes affaires une feuille blanche et un stylo et rédigeais une demande de bénédiction en bonne et due forme. J’avais les larmes aux yeux, je ressentais que tout était fini, que je pourrais plus continuer dans mon travail actuel. J’écrivais dans ma lettre : « Tout mon travail vous est dédié, pour la diffusion des sources, s’il vous plaît, donnez moi un nouvel endroit afin que je poursuive mes activités ». Je plaçais ma lettre entre les pages du volume 12 des Igueroth Kodech et l’ouvrais à la page 220 et voici ce que je lisais : « Avec ma bénédiction. Au sujet de l’anniversaire de son épouse, qu’elle ait longue vie, pour une année de réussite matérielle et spirituelle et pour une satisfaction ‘hassidique de tous ses enfants qui auront longue vie… Au sujet de votre voiture, il serait bon d’en acquérir une nouvelle et il ne sera pas la peine de choisir entre la nouvelle de 1955 ou du modèle 1956 car celle de 1955 sera beaucoup moins chère. » Pendant quelques minutes, je perdis complètement le moral. Quel rapport ? Qui parle d’une voiture, je n’avais pas du tout en tête l’option d’un changement de voiture, je me satisfaisais d’une vieille
Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des
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ou par email : viveleroi770@gmail.com
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«bagnole» pour nos besoins et qui suffisait amplement. Et qui demandait une nouvelle voiture pour l’anniversaire de mon épouse ? Et je ne trouvais aucun rapport avec le sujet de l’entrepôt, le sujet qui me troublait au plus haut point ! Pourtant, le même soir, je reçu un signe clair de la concrétisation de la bénédiction demandée, lors de la réunion ‘hassidique de Roch ‘Hodech Kislev à laquelle je participais ce soir-là. En effet, pendant la soirée, je rencontrais le propriétaire des entrepôts qui me dit : « Alors, comment va ? Au fait, j’ai décidé de prolonger votre contrat de deux ans!». En une seconde, je compris pourquoi le Rabbi Roi Machia’h Chlita n’avait fait aucune allusion à ce sujet, car apparemment ce n’était pas un problème du tout. Deux semaines après devait avoir lieu l’anniversaire de mon épouse, le 13 Kislev. Le même jour, elle emmena les enfants à l’école en voiture. Mais lorsqu’elle arriva, elle vit que la maîtresse était en retard et alors qu’elle laissait le moteur de la voiture tourner, elle en descendit avec les enfants pour qu’ils s’amusent au jardin attenant. A peine une minute et demi plus tard, elle aperçut un fait peu commun, la voiture dont elle venait de sortir se mit à produire de la fumée pour en fin de compte s’enflammer complètement à l’endroit du moteur. Comme le moteur était en marche, on eut du mal à estimer le grand miracle qui se produit à ce momentlà, car elle et les enfants en étaient descendus. Peu de temps après, je roulais en voiture neuve, car je fus bien contraint d’en acheter une, et c’est ainsi que tout le puzzle fut mis en place et je compris la lettre des Igueroth Kodech et les directives qui y étaient incluses. S’il n’y avait pas eu l’incendie, tout cela n’aurait pas eu lieu et je n’aurais pas acheté une nouvelle voiture !». (Traduit de la Si’hat HaGéuoula)
Gueoula
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Les Juifs, vainqueurs de l’exil Nos sages disent qu’un fait est établi dès qu’il survient pour la troisième fois. Cela ne signifie pas que la force que renferme une telle action n’apparaît qu’à partir de la troisième fois. Bien au contraire, cette troisième fois vient établir que la première et la seconde possédaient d’ores et déjà toute la détermination nécessaire. Ainsi, elle apporte la garantie que cette même détermination deviendra perpétuelle et se poursuivra par la suite. On sait que l’humilité de Moché, notre maître, se marqua tout particulièrement envers la génération du talon du Machia’h, une génération orpheline, dont la perception et le service de D.ieu sont insignifiants par rapport à ce qu’ils furent à l’époque de Moché. Or, les Juifs sortent vainqueurs de cette épreuve et ils mettent en pratique la Torah et Mitsvot, malgré les moqueries dont ils font l’objet. Et, ces moqueurs sont, en l’occurrence, des Juifs. Bien plus, ils sont considérés comme respectant la Torah et Mitsvot. Malgré cela, ils ridiculisent la foi en Machia’h et en sa venue. De telles moqueries sont, de fait, une épreuve considérable. Malgré cela, les Juifs vont contre leur nature et ils n’éprouvent pas de honte face à ces moqueries. Plus encore, ils multiplient tous leur accomplissements dans le domaine de la Torah et des Mitsvot. Il est bien clair qu’il ne faut tenir aucun compte de telles marques de dérision. Les Juifs sont « la prunelle de l’œil du Saint béni soit-Il ». Aussi, lorsque quelqu’un adopte un comportement opposé à l’amour qu’il devrait témoigner au peuple d’Israël et se moque d’un autre Juif, il s’en prend non seulement à D.ieu Lui-même, non seulement à Son œil, mais même à la prunelle de Son œil . Comment imaginer de changer son comportement à cause d’un tel moqueur ? La réaction que l’on adoptera sera, tout au contraire, un engagement accru à la diffusion de la Torah et du Judaïsme, conformément aux enseignements de mon beau-père, le Rabbi, chef de notre génération. (Discours du Rabbi MHM Chabbat Yitro 5745-1985) Allumage des Bougies de Chabbat Yitro Jérusalem Entrée : 16h45 Sortie : 17h58
Le Machia’h en phénomène sociologique Il est difficile d’estimer l’influence du Rabbi Roi Machia’h Chlita sur l’ensemble des membres de cette génération, on parle entre autres de gens qui sont parfois dans des endroits très retirés et cet éloignement peut être certes, physique mais souvent spirituel. Il y a de cela 61 ans, dans le discours d’intronisation dont le nom est célèbre : « Bati Legani ». le Rabbi Roi Machia’h Chlita a dévoilé la cible de la septième génération (depuis le premier Rabbi de ‘Habad, l’Admour Hazaken jusqu’au septième, le Rabbi Roi Machia’h Chlita), à savoir : « Et voici ce que l’on attend de nous, la septième génération, car tous les septièmes sont chéris. Or, le fait que nous soyons dans la septième génération, cela n’intervient pas du fait de notre choix, ni du résultat de notre travail, et dans certains domaines, cela ne concorde pas avec notre désir, de toutes manières, c’est un fait, tous les septièmes sont chéris. Alors que nous sommes actuellement dans la période du talon du Machia’h, et à la fin de ce talon et notre rôle est de finaliser le dévoilement de la Che’hina, la Présence Divine sur terre, mais pas juste la Che’hina, mais surtout le Ikar Che’hina, le principal de la Che’hina précisément ici sur terre». Une révolution mondiale Un exemple concret de cette influence, « jusqu’au plus bas niveau » se reflète dans les paroles du Professeur Yoram Bilou, qui suit déjà depuis quelques années le Mouvement ‘Habad sous un angle académique. Yoram Bilou est professeur dans la section sociologie, anthropologie et psychologie de l’Université Hébraïque. Lorsque nous lui demandons de prendre la parole en tant qu’intervenant se considérant comme un observateur extérieur, il décrit la révolution qu’a entraîné le Rabbi Roi Machia’h Chlita grâce à ses émissaires dans le monde entier : « Il est impossible d’exagérer l’importance révolutionnaire du concept de la Chli’hout (l’envoi d’émissaires). L’impulsion qui entraîne vers le monde extérieur, vers les quatre coins du monde, loin de tout centre Juif, de toute Yéchiva, de la grande famille, de la maison, du foyer aimant, toute cette notion se tient en opposition totale à l’instinct de base des communautés orthodoxes qui est en règle générale, de s’enfermer dans
les quatre coudées du monde traditionnel connu et d’élever une muraille entre eux et le monde profane extérieur ». Tout autour du monde Dans son discours, il choisit de s’intéresser au fait que les ‘hassidim vivent en parfaite osmose avec le Rabbi Roi Machia’h Chlita en affirmant que le lien actuel qui les relie est bien plus puissant que par le passé : « Le fait de lui écrire par l’intermédiaire des Igueroth Kodech apporte à chacun une réponse, un conseil et une bénédiction d’une manière directe et immédiate. L’affichage de photos de lui en extérieur, les films en vidéo de rassemblement ‘hassidiques le montrent beaucoup plus que par le passé. Le 770, sa maison a été dupliquée à de nombreuses reprises en Terre d’Israël et de par le monde et ses dollars de bénédiction continuent à accomplir des miracles et des prodiges. Les ‘hassidim sont aujourd’hui à même par l’assistance des technologies avancées, digitales et virtuelles de ressentir sa présence beaucoup plus concrètement et savent qu’il est à l’écoute ». Vivant et existant Il y a deux ans de cela, M. Bilou a été invité à faire un discours lors d’une conférence au Centre du Patrimoine Mena’hem Begin sur le sujet « Le Rabbi est vivant », en présence d’un public universitaire. Les paroles qu’il a prononcé, face à ce public non-religieux (officiellement), ont permis de comprendre et
de cerner la puissante influence qu’exerce le Rabbi Roi Machia’h Chlita aujourd’hui, sur chacun et ce même aux yeux d’analystes qui ne pratiquent pas la Torah et les Mitsvot actuellement. Il a choisit, à ce moment là, de citer la Si’ha HaGuéoula par ces mots : « Le Rabbi Roi Machia’h Chlita est vivant et existant de la manière la plus réelle et le voile apparent ne change absolument rien à cette évidence, comme il l’a précisé dans son enseignement, il vit au 770, dans la maison, notre source de vie, et là, il attend de sauver le Peuple Juif. Même si quelques années sont passées depuis le 3 Tamouz 57541994, jour du voilement du Rabbi, alors que nous n’avons pas encore eu le mérite d’ouvrir les yeux, pourtant les preuves et les faits sont immuables. « Le Nassi est tout », il existe et vit et viendra nous sauver de manière immédiate concrètement ». Puis il a expliqué longuement de quelle façon cette réalité fait force de loi, se matérialise de plus en plus dans la vie quotidienne de chaque ‘hassid et il dit : « Je n’ai jamais rencontré à ce jour, au XXIème siècle, un personnage, un Rav que l’on verrait dans des endroits publics et privés, dans le monde entier plus que lui ». Ses paroles prouvent encore, qu’après le travail de notre génération, le monde est enfin prêt au dévoilement du Rabbi Roi Machia’h Chlita. (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)