N°155 - Chabbat Paracha Vayakel-Pékoudei - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com
Bonnes Nouvelles
Editorial
Adar 5772 : Transformez votre vie dès maintenant ! Marbim BeSim’ha
Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmes dimanche soir 20h45 Rav Avi Assouline 054-6357709 Beit Machia’h Har ‘Homa Cours et Farbrengen Rav Shlomo Yossef Tsion 050-4147725 - 34, rue Rav Its’hak Nissim Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le dimanche soir à 20h00 Mardi (héb) 20h00 Tanya et Dvar Mal’hout 050-7080871 Centre-ville Beit Machia’h Keren Or ‘Hanna Cours et Itvaadout pour femmes 67, rue Yaffo Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Beit Machia’h Mochava Guermanite : Cours pour femmes le mercredi à 17h00 au 57, rue Emek Refaïm (Sarah Partouche) 02-6510801 Annonce Travaux électricité Jérusalem et Elad 050-4106329 Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des
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Dans notre génération, celle de la délivrance véritable et complète, chacun et chacune peut entrer dans un Beit ‘Habad et demander à ce que sa vie change et évolue vers un avenir meilleur dans l’optique de la Guéoula dont nous a tellement parlé le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h. Quel est le secret, comment ce miracle est-il possible, d’où vient cette ouverture, la réalisation de son vœu le plus cher ? La clé nous a été transmise à de nombreuses reprises dans le Dvar Mal’hout qui nous dit que tout est en dépôt dans un coffre, et la clé du coffre a été donnée à chacun, il suffit qu’un Juif désire y puiser car la récompense est d’ores et déjà disponible. Et quelle est cette clé si précieuse? Le Rabbi Roi Machia’h Chlita nous donne la réponse en nous disant qu’il s’agit de rencontrer le Prince de la génération, le Roi Machia’h lui-même, et qu’il accomplit toutes les demandes en échange d’un progrès, d’un simple acte supplémentaire dans la pratique des Mitsvot, des Commandements divins ou de l’étude la Torah et plus particulièrement de la ‘Hassidout et encore plus précisément du célèbre Dvar Mal’hout (discours des années 1991-1992). Mais aujourd’hui, alors que de voir le Rabbi Roi Machia’h Chlita n’est plus aussi évident qu’à l’époque (bien qu’il se dévoile à de nombreuses personnes de manière matérielle), il nous suffit d’aller dans un Beit ‘Habad, ou chez un Chalia’h du Rabbi Roi Machia’h Chlita pour y consulter les incontournables livres des Igueroth Kodech. Des centaines de milliers de miracles, dont le récit nous prendrait des siècles, se réalisent grâce à eux tous les jours aux quatre coins du monde. Actuellement, à l’ère de la Guéoula, où l’évolution de la technologie nous per-
met de communiquer instantanément et sans limites, nous pouvons aujourd’hui ouvrir les Igueroth Kodech sur internet ou sur son Iphone en direct et chez soi. Prendre une décision de rajouter par exemple une pièce à la Tseddaka le matin, un psaume, un Tehilim, ne serait-ce que son propre Tehilim, une Mitsva que nous ne faisions pas encore, se renforcer dans Chabbat, Cacherout, éducation des enfants, allumage des bougies pour les femmes et jeunes filles Juives, Tefilin pour les hommes, étude de la Torah (la plus importante des Mitsvot et qui les vaut toutes) et principalement sur les sujets de Guéoula et de Machia’h*.
Nous connecter avec un futur de joie et de grandeur, grâce à la parole de Royauté du Rabbi Roi Machia’h Chlita, et faire des miracles pour nousmêmes et notre entourage, chanter, danser et remercier D.ieu pour tout ce qu’Il fait pour nous à chaque instant, telle est la porte qui s’ouvre à nous aujourd’hui. Alors, entrons dans le monde de la délivrance véritable et complète et faisons entrer le Machia’h dans notre maison comme l’a dit le Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h au grand Rav d’Israël, le Rav Morde’haï Eliahou de mémoire bénie. Maintenant, notre mission est de transmettre ce message autour de nous pour apaiser, rassurer, guérir et réjouir tous ceux que nous connaissons, tout notre entourage, car comme le dit la chanson: « Le Rabbi a dit : «c’est la Guéoula !», il n’y a rien à comprendre, Machia’h est là... ». Alors connectons nous, transmettons ce message à notre famille, nos amis et déclarons tous ensemble dans la joie de Adar et dans la Sim’ha de la Guéoula : « Vive le Roi Machia’h Now, Mamach ! ». *Pour plus d’informations écrivez-nous par email : viveleroi770@gmail.com
www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Vayakel 5752-1992
La divinité est la base où la réalité se renouvelle à chaque instant Vayakel parle du rassemblement des enfants d’Israël. Et Pékoudei parle du compte des dons au Michkan.
Il existe une autre explication, enseignement et indication que contiennent en soi les noms «Vayakel» et «Pékoudei» en ce qui concerne l’ensemble du service de l’homme envers son Créateur. Car à ce niveau-là, Vayakel fait allusion au rassemblement des sujets du Sanctuaire et Pékoudei au compte des enfants d’Israël. Car le travail se fait à travers deux optiques ; celle de « Vayakel » et celle de « Pékoudei ». Vayakel, qui permet de rassembler toutes les vertus de l’homme, les dix forces de son âme et les trois vêtements de l’âme, la pensée, la parole et l’action de tous les enfants d’Israël et tous les sujets du monde par lesquels se fait le travail des Juifs, sont rassemblés vers le Michkan, le Sanctuaire. Et Pékoudei, fait le compte de tous les petits détails des sujets du monde, et comment les exploiter au service du Sanctuaire. Lorsque l’on médite sur la réalité de chaque détail (Pékoudei), on ressent à prime abord l’existence du monde, une réalité de grande importance d’un niveau spécifique. Et donc notre travail sera d’asservir cette réalité et de l’exploiter pour construire le Sanctuaire comme dans la Michna (fin de Kiddouchin) « J’ai été créé pour servir mon Créateur » dans laquelle est ressentie en premier lieu la réalité du « J’ai », du « Je », et la nouveauté ici est que la réalité du monde est une base et que s’y renouvelle la divinité à chaque moment. Et lorsque l’on débute à partir du niveau global qui tend à tout rassembler pour la constitution du Sanctuaire (Vayakel), on ressentira a priori Son Existence, qu’Il soit béni. « Et ils Me feront un Sanctuaire », « En Mon Nom ». On ressentira principalement, non pas son existence qui est exploitée
par les besoins du Sanctuaire, mais ils ressentiront que toute leur existence n’est autre qu’un Sanctuaire, pour Lui qu’Il soit béni, c’est ce que l’on appelle : La divinité est la base où la réalité se renouvelle à chaque instant. L’attraction vers le bas et l’élévation du bas vers le haut Le travail selon la Parachat «Pékoudei » est du niveau d’attraction et de dévoilement de la divinité dans la réalité du monde, un niveau de divinité qui appartient au monde. Et le travail selon « Vayakel », et du niveau d’élévation, rassembler et élever tous les sujets du monde grâce à leur extraction des limites du monde afin de les élever à un niveau de divinité qui est au-dessus du monde. Et l’on trouvera, en fait, que dans la Parachat « Pékoudei », on ressent davantage la constitution d’une résidence pour D.ieu dans ce monde-ci. Alors que Vayakel, on ressentira plus que la résidence est « Pour Lui, qu’Il soit béni ». Que dans chaque chose, il y aura le dévoilement de Son Essence, qu’Il soit béni.
On retrouve tout cela précisément dans cette année (57521992) «Ce sera une année de merveilles en tout» « Des merveilles en tout », cela signifie que dans tous les sujets, mais point tellement dans les préoccupations personnelles, l’on voit des merveilles dans l’actualité, dans les événements qui nous entourent, et plus particulièrement dans les merveilles qui concernent la délivrance véritable et complète, « comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je vous montrerai des merveilles » (Micha 7-15). Et pour activer et rapprocher tout ceci de la manière la plus concrète, on doit rajouter plus d’attention et plus de force dans l’amour du prochain, dans l’unité d’Israël, (l’annulation de la cause de l’exil), on montrera plus par là, l’élévation du niveau de chacun qui est une « Parcelle divine d’En-Haut, véritablement, Mamach ». En parlant d’un langage doux et avec affection, même lorsque l’on doit contraindre, comme pour le cas d’un père avec son fils « celui qui retient son bâton, hait son fils » (Proverbes 13-24) où même un coup sera donné avec amour.
Et l’on devra rajouter dans la Mitsva de Tseddaka car « Grande est la charité qui rapproche la délivrance ». Et que la volonté soit, et c’est le principal, qu’une bonne décision en ce sens amènera immédiatement la récompense. En contrepartie de « La Tseddaka que le Saint béni soitIl a fait à Israël lorsqu’Il les a dispersé parmi les nations » (Pessa’him 87b). Grâce à cela, Hachem fera envers nous la véritable Teddaka, « Sonne du Grand Choffar pour nous libérer… Et réunis-nous des quatre coins du monde vers notre Terre » (Prière de la Amida). « Avec nos jeunes, nos vieux… nos fils et nos filles » (Bo 14-9). « Une grande assemblée (Et Moshé réuni toute l’assemblée des enfants d’Israël) reviendra ici » (Jérémie 31-7), vers notre Terre Sainte, à Jérusalem, ville Sainte, sur la montagne Sainte, vers le troisième Temple (triple, qui contient et le premier et le second Temple – Zohar Hadach), vers le Saint des saints, vers l’armoire Sainte, qui contient les premières et les secondes Tables de la Loi. Que soit reconstruit le Temple de manière immédiatement, Mamach.
www.viveleroi770.com Gueoula
Histoire
Je suis (déjà) venu dans mon jardin On doit s’élever au dessus de la nature que l’on a reçue du Saint béni soit-Il, au dessus de la nature de « la seconde âme d’Israël, qui est une parcelle de Divinité véritable ». Pour y parvenir, cette âme doit descendre ici-bas, ainsi qu’il est dit : « Il m’a installé dans l’obscurité ». Dès lors, se réalisent les termes du verset : « Attire-moi, nous courrons vers Toi », nous au pluriel, soit à la fois l’âme divine et l’âme animale.
C’est pour cela que l’âme est descendue « d’une cime élevée vers une fosse profonde », afin de connaître l’élévation. Elle peut ainsi se hisser vers un stade qui transcende les notions de descente et d’élévation. Dès lors, D.ieu possède effectivement une demeure parmi les créatures inférieures, là où se trouvait, au préalable, Sa résidence essentielle. Or, un homme réside dans sa maison, non seulement par la partie révélée de sa vie, mais aussi par l’essence même de sa personne, comme cela est expliqué par ailleurs, à propos des quatre coudées qui constituent le domaine de l’homme. Ce qui est dit, à leur propos, s’applique, a fortiori, à la maison et à la résidence de l’homme, qui est protégée par les Lumières qui l’entourent. Grâce à nos actions et nos accomplissements, pendant le temps de l’exil, en n’étant pas affecté par les raisonnements, les limites et les entraves, en n’ayant pas honte devant les moqueurs, nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour servir D.ieu en Le craignant, en éprouvant la crainte qui est inspirée par Sa grandeur, celle qui résulte de la honte que l’on ressent, face à Lui. Dès lors, la Crainte inférieure et la Crainte supérieure ne formeront qu’un
seul et même niveau et nous parviendrons à l’intégrité de cette crainte. De la sorte, nous pourrons reconstruire Jérusalem, dans sa dimension spirituelle. Ce sera l’édifice de la Crainte parfaite, puis il y aura sa reconstruction au sens le plus littéral, car l’acte est essentiel. Il s’agira alors véritablement de Jérusalem et, à proprement parler, de sa construction. Par la suite, « Jérusalem restera ville ouverte ». Tout ceci résulte de « la justice de Sa prodigalité », du « bienfait que fit le Saint béni soit-Il en les disséminant parmi les nations ». Là, les Juifs mènent les combats de D.ieu et ils emportent la victoire, grâce à l’attribut de Netsa’h, lié au Nom divin Tsevaot. De la sorte, il sera établi que « l’Eternité d’Israël ne mentira pas et ne se dédira pas » par l’intermédiaire de la royauté de la maison de David, de laquelle émanera notre juste Machia’h, lors de la délivrance véritable et complète. Ceci se passera très bientôt, très vite et réellement de nos jours. Alors, «l’honneur de D.ieu se révélera et toute chair ensemble verra» , car «adviendra le règne de D.ieu», très bientôt et réellement de nos jours. Discours Bati Legani 5741-1981
Voir le Rabbi Roi Machia’h Chlita … Rav Yoël Forst, l’un des responsables du Beit ’Habad de Herzélia, écoute avec attention ce que lui raconte Mme Na’hmouka, une habitante de la ville, venue là pour lui faire part de ses problèmes : « Je ne comprends pas ce qui nous arrive, dit-elle. Des problèmes sans arrêt. Incompréhensible, comme si un mauvais esprit était entré chez nous ». «La première chose que je puisse vous conseiller est de faire vérifier vos Mezouzot. Et de rédiger une lettre au Rabbi Roi Machia’h Chlita, par l’intermédiaire des Igueroth Kodech. Tenez, voici une feuille de papier et un stylo. Si vous voulez vous laver les mains, vous pouvez écrire immédiatement», lui répond Rav Forst. La femme s’exécute, et après avoir rédigé sa lettre, elle prononce à voix haute « Ye’hi Adoneinou... », introduit la missive dans l’ouvrage, et tend celui-ci au responsable, pour qu’il lui donne lecture de la réponse. Le Rabbi répond : « Elle doit étudier la Torah ! ». Madame Na’hmouka accepte sur le champ de suivre un cours, pour les femmes, qui traite de la Guéoula et du Machia’h, et qui se donne chaque mardi, au Beit ‘Habad. Le mardi suivant, elle est présente au cours, et elle le suit avec le plus vif intérêt. Après le cours, un événement lui arrive, qu’elle raconte ainsi le lendemain : « Je me suis endormie aussitôt rentrée, et j’ai fait un rêve étrange. Une forme humaine, que je ne pouvais identifier s’approchait de la porte de ma maison, tenant un objet que je reconnus pour être un livre. L’homme déposa le livre sur le seuil, puis il disparut, me laissant un sentiment pénible ». Soudain, brillant comme le jour, m’apparut le Rabbi Roi Machia’h Chlita lui-même, qui s’adressa à moi : « Cette Biblelà, qui est ponctuée et voyellisée, vous devez la faire sortir de chez vous ! ». Il me répéta cette ordre trois fois, avec une énergie particulière. A mon réveil, le lendemain matin, je me demandais de quel livre le Rabbi m’avait parlé. Ses paroles résonnaient encore dans ma tête, pendant que j’essayais de me rappeler quels ouvrages je possédais en bibliothèque. Soudain je vis le livre qui était posé là, sur la table. Il avait attiré mon attention parce que je n’avais, à ma
connaissance, posé aucun ouvrage sur la table, avant d’aller me coucher ! Je le pris, et l’ouvris : c’était une Bible voyellisée ! « Comment ce livre est-il arrivé ici? », me demandais-je, sachant que j’étais seule ce jour là. Puis, je me souvins que quelques années plus tôt, mon mari avait trouvé ce livre, un jour, à la porte de la maison, et qu’il l’avait rangé dans la bibliothèque. Ce que je ne pouvais expliquer, cependant, était le fait que l’ouvrage se trouvait sur la table. Je courus chez ma voisine, et lui racontai tout mon rêve et le reste, avec une émotion que je ne pouvais contenir. Mais elle exprima son scepticisme devant le peu de fiabilité de la vision que j’avais eue du Rabbi me demandant de jeter une Bible hors de la maison : « Malgré tout, conclut-elle, tu devrais en parler au Beit ‘Habad ». Madame Na’hmouka arriva chez le Rav Yoël, ce matin-là, et elle lui tend le livre en question, pour qu’il lui explique ce qui pose problème. Rav Yoël parcourut l’ouvrage des yeux, et soudain, il blêmit : « Mais c’est un ouvrage interdit ! », laisset-il échapper en gémissant. Il saisit le livre des deux mains, le déchira, et en jeta les morceaux à la poubelle. « Je comprend à présent de quel «mauvais esprit» vous me parliez, et pourquoi la bénédiction ne résidait pas chez vous, lui explique-t-il. Ce n’est pas un ouvrage de Torah, c’est un livre chrétien, appelé «nouveau testament», D.ieu nous en préserve. Un livre qu’on ne doit pas garder chez soi. Quel privilège avez-vous eu de voir le Rabbi Roi Machia’h Chlita venir en personne pour vous en informer ?! ».
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Dans les jours qui viennent, reliant Pourim à Pessa’h, chaque femme ou jeune fille Juive doit méditer au rôle important assumé par les femmes, dans ces fêtes et à l’enseignement qui en découle. Les femmes sont tenues de respecter les Mitsvot spécifiques aux fêtes de Pourim et de Pessa’h, comme la Meguila ou la Haggadah. En effet, elles prirent part et contribuèrent aux miracles qui se passèrent « en ces jours-ci, à cette époque-là ». La Meguila d’Esther établit clairement de quelle manière celle-ci révéla le grand miracle pour tout Israël, de sorte que le jeûne précédant la fête et la Meguila portent son nom. Le Midrach raconte de quelle manière les femmes contribuèrent également à la fête de Pessa’h, temps de notre liberté. Pendant la dure période de l’exil d’Egypte, les femmes surent maintenir le moral et la confiance en D.ieu de leur mari. Elles éduquèrent des générations de Juifs fidèles, qui eurent le mérite de recevoir la Torah, en tant qu’héritage éternel, sur le mont Sinaï, de même que notre Terre Sainte, qui sera restaurée et rebâtie, par notre juste Machia’h, très bientôt et de nos jours. La manière dont les femmes et les jeunes filles conduisirent vers ces grands miracles fut différente, dans chacune de ces fêtes. A Pessa’h, l’influence des femmes était essentiellement orientée vers leur foyer, ainsi qu’il est dit: « L’honneur de la fille du roi se trouve à l’intérieur ». Elle s’exprima par la pudeur et la vie de famille. A Pourim, conformément aux besoins du moment et aux instructions tranchées des Grands d’Israël et de ceux qui inspirent la crainte de D.ieu, une femme juive dut intervenir en usant pleinement de son influence, au profit de tout le peuple. Elle le fit avec abnégation, mettant sa vie en danger pour sauver notre peuple. Les fêtes de Pourim et de Pessa’h sont deux témoignages éternels, établissant que la femme juive, au sein de son foyer ou bien à l’extérieur, dès que la situation l’exige, offre son ardeur et son existence pour la Torah et les Mitsvot, la pureté familiale, l’éducation judicieuse des enfants, valeurs qui constituent les fondements de la perpétuation et de la délivrance de notre peuple. Femmes et jeunes filles juives ! Imitez l’exemple des femmes vertueuses de toutes les époques. Car, pour une large part, le sort de notre peuple dépend de vous et se trouve dans vos mains. Lorsque l’on fait sincèrement don de sa personne pour réaliser les objectifs divins, le Tout Puissant vient en aide, comme Il le fit pour Esther et toutes les difficultés disparaissent. Dès lors, Il accorde des bénédictions célestes, enfants, santé et prospérité matérielle, tout le bien physique et moral. Avec ma bénédiction, Mena’hem Schneerson, Lettre du 12 Adar Chéni 5714-1954 Allumage des Bougies Chabbat Parachat Vayakel-Pékoudei Jérusalem Entrée : 17h12 Sortie : 18h24
La délivrance actuelle doit suivre son cours Actuel
Gueoula Lettre aux femmes Juives
Alors que les roquettes pleuvent sur le sud du pays et que nous sommes victimes des ignobles pourparlers des chefs du gouvernement avec l’ennemi, il est temps que chacun de nous prennent la ferme décision de refuser toute la politique de compromis qui règne en pièce maîtresse dans l’état Juif à l’encontre de la Torah de vérité et du Choul’han Arou’h, notre code de lois.
Nous sommes, certes, dans la période messianique annoncée par le chef de la génération, mais celle-ci ne se dévoile qu’au ralenti à cause de la faiblesse d’esprit de tous les gouvernements israéliens successifs. Il est évident que désormais, chacun, chaque membre du Peuple Juif, et chaque Juif qui vit dans le Pays d’Israël, a pour devoir de se révolter contre un état qui ne désire pas la sécurité de ses citoyens, mais au contraire, souhaite au mépris de toute logique de défense, trouver grâce aux yeux des nations du monde en piétinant toute morale, et toutes les lois ancestrales qui régissent la vie d’un Juif simple jusqu’à la vie d’un pays Juif tout entier. La base, est de nous protéger à tous, la base est de nous défendre grâce à une armée puissante et, aussi, la base est de penser à l’avenir de notre Terre pour l’étendre au maximum, afin que toutes les villes et villages, toutes les communautés et collectivités Juives puissent vivre et évoluer en toute sécurité. Dans les paroles de nos Sages nous pouvons trouver que « La Terre d’Israël s’étendra vers les autres terres » et que la promesse qui a été faite à Avraham, le Patriarche, n’a toujours pas été réalisée, celle de lui octroyer la terre des trois peuples, le Kini, le Knizi et le Kadmoni. Tout ceci doit avoir lieu dans l’immédiat, c’est à dire que les pays qui nous entourent nous ont été promis par le Saint béni soit-Il, et nous devons, non seulement les réclamer à D.ieu, mais aussi les conquérir de manière concrète et tout ceci dans le calme et sans coup férir, tout simplement parce que c’est une promesse divine. Il est temps de vivre la délivrance, d’ouvrir les yeux et c’est à nous d’influencer les chefs du gouvernement, afin qu’ils se réveillent et exigent ce qui nous est dû. Sinon, l’actualité nous parle et nous demande à nous de faire nos bagages ! C’est ton pays ou le mien, il faut choisir… Et c’est maintenant ! Nous n’avons plus de temps à perdre et il faut mettre fin à tout développement d’un pays ennemi au sein-même du Pays d’Israël, il faut taper du poing sur la table et relever la tête, car c’est ce que nous demande notre D.ieu dans Sa Torah éternelle, de vie et de vérité, car si l’on nous attaque, c’est une preuve indéniable que
nous devons non seulement nous défendre comme tous les pays du monde, mais, de plus, nous devons attaquer nos ennemis et les anéantir jusqu’aux fondations pour poser les bases d’un Pays d’Israël qui craint D.ieu et qui est fier de Sa Torah qui est son plus puissant héritage comme le dit Rachi dans son commentaire du premier verset de la Torah. C’est aussi cela la délivrance qui se dévoile et que rien au monde ne doit freiner, c’est la sécurité du Peuple Juif avant tout, le développement du Peuple Juif sur son territoire, et l’intégrité du territoire Juif aux yeux des nations du monde. Et c’est ce que le monde attend, même nos ennemis alentours.
Ils attendent de voir si nous sommes réellement le Peuple de la Bible, le Peuple Saint, le Peuple élu, celui qui n’a de force que l’Eternel en qui il croit, et en son roi, le roi David, le Machia’h, notre juste, celui qui a déjà prophétisé tout ce qui arrive actuellement, il y a juste quelques dizaines d’années. Il est grand temps de nous soumettre à ses paroles et à imposer notre loi et notre foi aux nations alentours afin qu’ils craignent l’Eternel qui est notre seule force… AG, lecteur
Le Carnet : Refoua Chéléma, Bonne santé pour Ben Chalom Reuven Ben Daniéla Adina ainsi que pour Raphaël Ouriel Ben Drora, Mina Guila Bat ‘Hanna et Adiel Ben Bra’ha. Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, Rav Chalom Kalmenson, Meïr Ben Messaoud, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham Haddad, Rabbanite Sarah Zohara Bat Bra’ha, Haya Clara Bat Chmouel, Chimon Ben Avraham qu’ils reviennent tous immédiatement avec le Machia’h