N°157 - Chabbat HaGadol - Parachat Tsav - Hebdomadaire - Contact : 050-7080871 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com
Bonnes Nouvelles
Editorial
Nissan 5772 : Le cri de joie… Photo de la semaine
Jérusalem Har ‘Homa Cours de Tanya femmes dimanche soir 20h45 Rav Avi Assouline 054-6357709 Beit Machia’h Har ‘Homa Cours et Farbrengen Rav Shlomo Yossef Tsion 050-4147725 - 34, rue Rav Its’hak Nissim Talpiot-Arnona : cours (fr) de Tanya et Dvar Mal’hout le dimanche soir à 20h00 Pour la vente du ‘Hametz 050-7080871 Chabbat plein, Chabbat HaGadol à la Yéchiva «Ouparatsta» à Talpiot 30nis pour les repas par personne - Inscriptions : 050-7080871 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Pour soutenir la Newsletter de la Guéoula et le site www.viveleroi770.com contactez Menou’ha Ra’hel au 050-7080871 ou ‘Haïm à Paris au 077-7601391 Pour écrire au Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h par l’intermédiaire des
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Dans le livre du Tanya, au chapitre 46, nous pouvons trouver une image concernant le mérite dont nous, Juifs, bénéficions. Il s’agit d’une parabole qu’explique l’Admour Hazaken au sujet du roi d’une nation, et nous prendrons donc cette métaphore pour base de cet article. Dans un pays lointain, vivait un grand roi, et lors d’une fête nationale, avait lieu un fastueux défilé en son honneur. Tout l’itinéraire du carrosse royal avait été soigneusement dessiné sur la carte de la ville en évitant, bien entendu, les quartiers défavorisés afin de ne pas heurter la sensibilité du monarque. Or, l’on ne pouvait prévoir qu’un homme, réduit à un niveau de pauvreté à la limite de la décence, vivait dans l’un des beaux quartiers de la ville dans un dépotoir car il en fallait bien, même dans les rues les plus riches. Cette homme n’était vu ni connu de personne, et habitait cette poubelle géante et se nourrissait de tous les déchets qui y étaient quotidiennement déversés. Il était à peine vêtu et son apparence extérieure était effrayante par le manque d’hygiène… Et donc, voici notre défilé qui démarre en cette belle journée avec force trompettes et fanfares, une parade royale multicolore et magnifique. Le roi apparaissait à la fenêtre de son carrosse pour faire des signes de la main à toute la population venue l’accueillir en ce grand jour. Mais soudain, un fait totalement imprévu advint. Alors que le carrosse royal roulait bon train, notre pauvre hère se hisse au dessus des immondices pour apercevoir l’événement et… rencontre les yeux du roi dans son luxueux véhicule. Et c’est le choc ! Le roi fait stopper d’un geste toute les festivités. Silence absolu… Et il descend du carrosse. Toute la ville est tenue en haleine à ce spectacle. Il se dirige alors d’un pas ferme vers le honteux logis du malheureux qui observe les yeux écarquillés. Le roi offre la main à l’homme qui suit le mouvement et sort de sa cachette. « Oh ! » s’écrit le peuple. Et contre toute attente, le roi entraîne le pauvre homme vers le carrosse royal, le fait entrer dans le véhicule qui démarre fissa en direction du palais.
Arrivé sur place, le roi lui-même, amène l’homme dans ses appartements royaux, dans sa chambre personnelle, puis dans sa salle de bain et se met à retirer tous les habits, toutes les loques immondes du pauvre. Il le fait entrer dans la baignoire, le lave, le savonne, le frotte, le rince et le sèche. Puis il le parfume et l’aide à s’habiller avec des vêtements de noble de la cour du roi. Mais ce n’est pas tout, il lui parle aussi comme à un ami, sans demander aucun compte, aucun renseignement sur lui, il le met en confiance avec une grande douceur. Aucun homme ne pourrait tenir une telle expérience sans que son cœur ne se brise et qu’il ne devienne fou d’amour et de reconnaissance pour le roi… Par la suite, le roi installa notre homme dans un logement confortable et lui offrit un poste parmi les gens de la cour. Et la vie de l’ancien démuni prit une toute autre allure… Un jour, le roi convoqua notre homme dans la salle du trône et lui tint ce langage : « Mon ami, mon frère, je t’ai
fait venir ici aujourd’hui pour te faire une proposition unique en son genre, tends l’oreille s’il te plaît ». L’homme avait bien changé à ce moment-là, il portait les habits à la dernière mode, était coiffé par les plus grands coiffeurs, parfumé et manucuré, il avait même prit un peu d’embonpoint. Celui-ci se demandait quelle pouvait bien être la proposition du roi à son égard. Puis le roi reprit : «Mon ami, mon frère, ce n’est autre que ma fille que je te donne aujourd’hui en mariage afin que notre alliance soit éternelle… Qu’en distu?». Et c’est ici que l’histoire se divise en trois possibilités qui s’offrent à notre homme et c’est vous, cher lecteur, qui allez choisir quelle est la meilleure, quel est la réponse que notre homme doit choisir… Tout d’abord, il regarde le roi apeuré et lui dit : « Mon roi, mon cher roi m’a placé dans une position aujourd’hui que je ne puis risquer de perdre et c’est donc à cause de cette crainte que j’accepte la proposition royale… ». (suite en page 4)
www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat HaGadol Parachat Tsav - 8 Nissan 5752-1992
La prière de Moché, l’homme-D.ieu Le mois de Nissan s’appelle le « Mois de la Guéoula (1)» en raison de son point central, la fête de Pessa’h, le « Temps de notre liberté (2) » et ceci est souligné plus précisément pendant le Chabbat qui précède Pessa’h. Le nom «Nissan» vient du mot «Ness, le miracle» et plus encore, «Nissan» (qui comporte deux «Noun») fait allusion aux «Nissei Nissim, les miracles des miracles (4)», les miracles et les merveilles que le Saint béni soit-Il a fait aux enfants d’Israël pendant ce mois lorsqu’Il les fit sortir d’Egypte. Ce qui stigmatise le comportement miraculeux de ce mois-ci. Les « Nissei Nissim », sont encore plus présents pendant le Chabbat qui précède et bénit la fête de Pessa’h. Ce Chabbat se nomme Chabbat Hagadol, le «grand Chabbat» car en ce Chabbat a été effectué un grand miracle (7) : «Et Il frappa l’Egypte par ses premiersnés(8)» (comme l’explique l’Admour Hazaken dans son Choul’hane Aroukh), «Et l’on a fixé le souvenir de ce miracle pendant ce Chabbat et on le nomma : Chabbat Hagadol». Et de plus, «C’est pendant Chabbat Hagadol qu’intervint l’amorce de la délivrance et des miracles (10)», et c’est pour cette raison que nous lisons pendant ce Chabbat «Avadim Haïnou, la majeure partie de la Haggada (11)». Le premier et le dernier Un autre point important de la délivrance d’Egypte dans la Torah, est que cette délivrance eu lieu par l’intermédiaire de Moché Rabbeinou, le sauveur d’Israël. Et la Torah relate longuement la manière dont le Saint béni soit-Il a choisi Moché précisément pour être le sauveur d’Israël. Jusqu’au moment où Moché a demandé à ce que D.ieu « Envoie celui qui est dans Ta main (12) », or D.ieu n’accéda point à la prière de Moché car Il voulait que Moché soit l’envoyé de D.ieu pour sauver les enfants d’Israël et non pas un autre. De cela on comprend la profonde appartenance de Moché avec la Guéoula, ainsi, il possède la puissance de sauver les enfants d’Israël. Et comme le disent nos Sages : «Il est le premier sauveur et le dernier sauveur (13)». Moché est appelé :
Le cadeau des nations pour le 11 Nissan Et on peut exploiter un autre événement pour renforcer tout ceci : Par Providence divine, est sortie la décision n°104 dont la valeur numérique est «Tsadé (orthographe différente de la lettre Tsaddik, Ndt)» de la maison des députés de ce pays (fondés de pouvoir du pays tout entier) fixé à l’occasion du onzième jour de ce mois de Nissan de cette année, comme le «Jour de l’Education» en ce qui concerne ce pays et tous les pays et citoyens du monde. le dernier sauveur, même en ce qui concerne la délivrance véritable et complète de ce dernier exil, comme il a été dit à son propos : «Comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles», et toute délivrance intervient par la force de Moché. L’homme-D.ieu Et l’on peut comprendre pourquoi Moché est le premier et dernier sauveur d’Israël. Puisqu’il est du niveau de « Tefila LeMoché Ich HaElokim, prière de Moché, il l’homme-D.ieu (Ps.90.1) », possède la force d’entraîner la délivrance par le dévoilement de la force du « Sans-limites » dans le monde et ainsi, de délivrer les enfants d’Israël de toutes les limites et frontières, même celles de l’écorce d’impureté et d’idolâtrie de l’Egypte. Et par cette puissance, d’accomplir, non des miracles qui se revêtent dans la nature, mais aussi, des miracles qui transcendent totalement les voies de la nature jusqu’à en arriver à des Niflaot, des merveilles. Et ce sera une délivrance qui ne précède plus aucun exil, du niveau où le monde entier sera une habitation pour Lui, qu’Il soit béni, une demeure fixe et éternelle. Des prophéties et des miracles Il y a, en conclusion de tout ce qui a été dit, un enseignement pour chaque Juif qui l’aidera dans son
travail personnel : Alors que nous sommes dans l’année où «Areinou Niflaoth, Tu nous montreras des merveilles», et plus particulièrement dans le mois de Nissan, dans la semaine de la fête de Pessa’h, temps de notre liberté, et à la lumière des évènements et des derniers miracles que nous avons vécu, dévoilés aux yeux de chair et aux yeux de tous les peuples (la guerre du Golfe – Ndt). Ceci doit éveiller encore plus chez chaque Juif, la volonté et la force de faire son travail de manière miraculeuse, jusqu’à en arriver aux «miracles des miracles», cela ne suffit pas qu’il s’élève de sa situation qui, jusqu’à présent était d’étudier la Torah et d’accomplir les Mitsvot à la perfection, mais il doit s’élever dans ces domaines de niveau en niveau, jusqu’à ce qu’il en arrive au «Grand Miracle», véritable relié à «Grand est l’Eternel et digne de nombreuses louanges (Ps.48.2)». Et il y a, dans tout cela, un grand encouragement que l’on peut trouver dans le Psaume Tsaddik, 90, «Prière de Moché, l’hommeD.ieu», et Moché donne de la force à chaque Juif par le canal du niveau de Moché qu’il possède en lui et qui dévoilera en lui-même, le Tsaddik qui est en lui «Et tout ton peuple est constitué de Tsaddikim, justes (Isaie 60.21)» relié à «L’Eternel est juste en toutes Ses voies (Ps.145.17)».
La Tseddaka dans la largesse Et en ce qui concerne notre période (14) : Il s’agit de fournir tous les besoins de la fête à tous ceux qui en ont besoin, les ingrédients du Séder (les Matsot, les quatre coupes de vin etc.) et les besoins de Yom Tov (des habits de fête et les aliments de la fête), et tout ce qui s’en suit. Et ceux qui organisent un Seder public, et qui ne veulent pas organiser le deuxième Seder par manque de moyens, doivent séparer les dépenses en deux parties et recevront la bénédiction d’Hachem afin que finalement, les deux Seder se passent dans la largesse. Et que soit Sa Volonté, que s’accomplisse déjà la prière de Moché en chacun à la perfection, de la manière la plus immédiate Mamach, et le principal, dans le troisième Temple. Notes 1 – Chemot Rabba Ch.15-11 2 – Prière et Kiddouch de la fête de Pessa’h, voir Likoutei Si’hot vol.11 p.71 3 – Midrach Leka’h Tov sur Bo 12.2 4 – Bra’hot 57a, Rachi, ‘Hidouchei Haggadot du Maarcha 5 – Zohar II 63b, 88a 6 – Voir Si’hat Bo et Itvaadout qui suit 5744 7 – Chabbat 87b, Tossefot – Tour et Choul’han Arou’h Admour Hazaken, lois de Pessa’h 8 – Tehilim 136.10, Midrach Tehilim, Rachi et Metsoudat David au même endroit 9 – Au même endroit, Tossefot, et le Tour explique ce miracle. Voir Likoutei Si’hot vol 12 p.33 et notes 10 – Choul’han Arou’h Admour Hazaken par.2 11 – Idem du Ramo au par.1 12 – Chemot 13 13 – Zohar I 253a, Chaar Hapsoukim Vaye’hi, Torah Or début Michpatim, Likoutei Si’hot vol.11 p.8 etc. 14 – Guittin 10b
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Le Rabbi Roi Machia’h Chlita : Au delà de la Prophétie… Cette année, quelques semaines avant Pourim, j’ai fait un petit séjour en Erets Israël avec ma famille. Un matin, j’ai eu l’occasion de faire la prière dans la Synagogue et maison d’étude des ‘hassidim d’Alexander, à Bné Brak. A l’issue de la Téfila, un homme âgé m’aborde, se présentant sous le nom de M. Zussman, et son apparence générale fait penser à un Juif de la tendance « lituanienne ». Il a vu, sur ma pochette de Talith et Téfiline l’esquisse brodée du « 770 », et il me demande si je fais partie des ‘hassidei ‘Habad. A ma réponse affirmative, son visage s’éclaire et c’est avec une satisfaction visible qu’il déclare vouloir me raconter « une extraordinaire histoire d’un miracle, en rapport avec le Rabbi de Loubavitch ». « Cela est arrivé pendant l’hiver 5752 (1992) », commença t-il, « lorsque je reçus un appel téléphonique d’une parente, affiliée avec son mari à l’école ‘hassidique de Gour. Elle me fait savoir qu’elle est pour le moment hospitalisée à « TelHachomer » et me demande de manière urgente de venir la visiter. Je prends cet appel en priorité et me rends aussitôt à son chevet. Mon cœur se serre en la découvrant ainsi, allongée sans forces sur ce lit d’hôpital, et ma douleur est encore accrue du fait que je la sais dans les derniers mois de grossesse. Lorsqu’elle prend conscience de ma présence, elle ne perd pas un instant et entreprend de me relater sa situation. Elle me dit qu’elle ne se sentait pas bien ces derniers temps, et que s’étant rendue à l’hôpital pour faire le point sur son état de santé, elle apprit par les médecins qu’elle avait une tumeur au foie. « Le seul traitement que nous puissions tenter », lui dit l’un des médecins, « est une chimiothérapie, ce qui entraînera d’office la mort, D.ieu préserve, du fœtus ». C’est avec des larmes qu’elle poursuit son récit, me racontant comment elle et son mari rendirent visite à quantités de Rabbanim, Kabbalistes et Rabbis réputés, mais que cela n’avait pas donné de résultats concrets. Tous avaient certes promis de prier pour elle, mais aucun ne s’était engagé au-delà du souhait. Un instant avant de sombrer dans le désespoir, elle entendit parler du Rabbi de Loubavitch et des miracles stupéfiants qu’il avait réalisés. C’est à cet effet qu’elle m’avait demandé de venir auprès d’elle, car elle savait que je me rendais fréquemment à New York pour mes affaires, et elle me demandait d’essayer lors de mon prochain voyage, d’entrer en contact avec le Rabbi et de solliciter sa Bérakha. « Je vous dis en vérité, que j’étais quelque peu étonné de sa demande. Elle faisait partie des
‘Hassidim de Gour, aussi pourquoi avait-elle besoin de consulter le Rabbi de Loubavitch ? Mais, devant sa souffrance et sa demande pathétique, je lui promis que j’accéderais à sa volonté. Très peu de temps après cette visite, je devais m’envoler pour New York. Je n’oubliai pas sa requête, et, avant même de m’occuper de mes affaires, je me rendis à « Crown Heights », le quartier général du Rabbi. Ce jour-là était le 26 Adar Richone 5752 (1992), dont je sus plus tard qu’il avait été le dernier dimanche où le Rabbi distribuait des dollars. Des milliers de personnes attendaient, en une file qui s’étirait tout au long de la rue. J’attendis, quant à moi, plus de quatre heures et demie, dans cette file qui avançait avec lenteur. Lorsque je fus en vue du Rabbi, je m’aperçus que chaque personne ne parvenait qu’avec difficulté à échanger quelques mots avec lui, avant d’être poussée vers la sortie. J’eus la crainte de ne pouvoir formuler ma demande, aussi, lorsque je parvins devant le Rabbi, j’attrapai avec force la table derrière laquelle il se tenait, et je débitai toute mon histoire, sans prêter attention à l’entourage. Le Rabbi écouta tout ce que je racontais, me tendis deux dollars, «pour moi et pour ma parente» et il ajouta : « Elle n’a pas la maladie en question, et ne doit donc pas procéder à un avor-
tement, ‘Hass Véchalom. Elle souffre d’un autre problème de santé, que les médecins doivent trouver ». Je sortis de devant le Rabbi, complètement stupéfait. Je ne m’étais pas attendu une seconde à un tel verdict de la part du Rabbi. Cela n’était ni une Bérakha ni une promesse de prier pour elle, mais un fait absolu, énoncé sans artifice. Je ne perdis pas une minute, et j’appelai tout de suite la jeune femme, lui racontant avec émotion la réponse du Rabbi. Les choses ne traînèrent pas, et ce même jour elle quittait l’hôpital « Tel Hachomer », pour aller consulter dans un autre établissement. Là, les médecins reçurent le dossier de leurs collègues de Tel Hachomer, et entreprirent d’examiner la patiente. Ils étaient sceptiques quant à un changement de diagnostic, mais grande fut leur stupéfaction de découvrir, après une série fort longue d’examens, qu’elle souffrait d’une autre affection, et non d’une tumeur... « Aujourd’hui », conclut M. Zussman, « elle se porte parfaitement bien, et elle est l’heureuse mère d’un garçon de douze ans, qui était né sans problèmes quelques mois après cette histoire ». «Le Courrier de la Guéoula» édité par l’Association Chaaré Bina - Paris
A l’occasion de l’anniversaire du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h, le site www.viveleroi770.com change de look...
Editorial (suite)
Ou alors, il dit : « Mon roi, mon cher roi, suite à ce que vous avez fait pour moi, je n’étais rien du tout et même moins que cela, et vous m’avez sorti de la tombe pour me redonner la vie, et afin de vous remercier de tout cela, j’accepte avec amour et sans conditions la main de votre fille ». Ou encore, il dit… En fait il ne dit rien du tout, il marque un temps, et soudain, comme pris par un vent de folie, il se met à pousser un cri, un long cri et se met à danser, à se rouler par terre de joie, danse de nouveau et prend le roi par les mains et l’entraîne dans une ronde sans fin… Alors quelle possibilité choisissez-vous ?… Mais il est temps d’expliquer cette parabole et d’en tirer les conclusions en ce qui nous concerne. Le roi, bien évidemment, c’est le Saint béni soit-Il et le pauvre, c’est nous, les Juifs. Il est descendu d’un univers élevé au dessus de toute imagination pour s’abaisser à notre monde, Il nous a sorti d’Egypte et de tous les exils et nous a donné la main de Sa fille, la Torah. Comment réagir ? Va t-on accepter par crainte de tout perdre ? ou alors par amour et reconnaissance de tout ce qu’Il a fait pour nous ? Ou encore par la joie la plus grande, la plus folle, par les danses et les cabrioles ?
Actuel
www.viveleroi770.com Un Sefer Torah pour Rav Kalmenson Rav Kalmenson était un être extraordinaire, qui n’avait peur que de D.ieu. Pour accomplir les demandes du Rabbi précédent, et du Rabbi Roi Machia’h Chlita, il n’a pas reculé, même devant les plus grandes difficultés, ainsi que face à la mort.
Il a, en 1947, à la demande du Rabbi précédent, servi de relais entre le Rabbi en Amérique, et ceux restés de l’autre coté du rideau de fer, et aidé le plus grand nombre de ‘hassidim à quitter les pays communistes. On apprend de là que l’abnégation et le don de soi étaient pour lui un mode de vie. En 1960, Rav Kalmenson s’installe, avec sa famille, à Aubervilliers. Il crée alors la communauté d’Aubervilliers, et, à la demande du Rabbi, l’école Chné-or. Rav Kalmenson faisait du porte à porte afin d’encourager les jeunes et adolescents à venir dans une école Juive et Madame Kalmenson fut la première femme en France à passer le permis camion pour servir de chauffeur. Rav Kalmenson pouvait remuer ciel et terre pour son école, pour ses enfants comme il le disait lui même. Malheureusement, il nous a quitte trop tôt. Aussi, je suis persuadée que Rav Kalmenson chamboulera les cieux entiers, pour exiger d’Hachem et du Rabbi la pérennité de Son école, mais surtout, la délivrance véritable et immédiate. Chnéoriens, Chnéoriennes, Rav Kalmenson était et restera à jamais considéré par tous comme notre grand-père ! D’autre part, il a ramené des milliers d’âmes à la Techouva, et en a poussé bien plus à continuer à avancer dans le chemin de la Torah, et des Mitsvot. Il a sauvé des centaines de vies de la mort, ou de la perdition. Il a tout donné à chacun de nous, même à ceux qui ne le connaissaient pas. Il a donné toute sa vie pour la torah et les Mitsvot, et surtout pour son école. Un des
mots qui l’a toujours caractérisé est « Ahavat Israël ». Il a toujours donné aux autres, avant de penser à lui-même. A nous, maintenant, de lui donner une infime partie de nous même ! Un Sefer Torah est écrit en sa mémoire. Participez à cette action pour le remercier, lui rendre hommage ! De plus, le Rabbi a dit qu’il y avait 600000 lettres dans un Sefer Torah, tels que les 600000 âmes juives existantes, qui ont reçus la Torah au mont Sinaï. Contact : 0665649682 ou ravkalmenson@hotmail.fr
Aujourd’hui, ce n’est pas seulement la Torah qu’Hachem nous offre, c’est la délivrance finale, la liberté totale, car ce n’est plus de l’Egypte que nous allons sortir, mais c’est de toute souffrance, de toute peur, de toutes les maladies, de toutes les nations que nous allons être libérés ! Alors… Comment réagir ? Il est clair que c’est par la folie, la danse et les cabrioles qui expriment une joie illimitée que nous allons réagir, par un grand cri de joie en accueillant le Roi Machia’h en criant tous ensemble : « Vive le Roi Machia’h Now ! Mamach ! »… Allumage des Bougies Chabbat HaGadol Parachat Tsav Jérusalem Entrée : 18h22 Sortie : 19h34
Le Carnet : Refoua Chéléma, Bonne santé pour Ben Chalom Reuven Ben Daniéla Adina ainsi que pour Raphaël Ouriel Ben Drora, Mina Guila Bat ‘Hanna, Adiel Ben Bra’ha et Bryan Aharon Ben Léa. Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham Haddad, Haya Clara Bat Chmouel, Chimon Ben Avraham et Yonathan Raphaël Sandler, Arié Alexandre et Gabriel Issa’har Sandler et Myriam ‘Hanna Monsonégo qu’ils reviennent tous immédiatement avec le Machia’h