N°180 - Chabbat Parachat Nitsavim - Spécial Roch Hachana 5773 - Hebdomadaire - Contact : 058-4770055 - www.viveleroi770.com - viveleroi770@gmail.com Bonnes Nouvelles
Editorial
5773 : Une année de délivrance définitive pour tout le Peuple Juif !
Photo de la semaine
Jérusalem Oro Chel Machia’h 6, rue Yavets - Itvaadout le jeudi soir Rav Doron Oren 052-3618770 Nouveau à Baka/Talpiot Cours pour femmes le mercredi matin à 10h30 en français au programme : Pureté familiale, expression ‘hassidique et ‘Havrouta (petit-déjeuner inclus) 058-4770055 Har ‘Homa - Beit Machia’h Exclusif au Beit Machia’h Jeudi soir 20h30 : Cours sur Machia’h et Guéoula par le Rav Morde’haï Siboni (fr) 050-4147725 Rav Shlomo Yossef Tsion - 34, rue Rav Its’hak Nissim Beit Machia’h Arnona Cours de Tanya et Dvar Mal’hout le mardi soir à 20h15 - Cours sur Pirkei Avot, le Chabbat à 17h30 19/5 rue Chalom Yehuda 058-4770055 Minyane ‘Habad à Baka Le Chabbat à 10h30 1, rue Dan à Baka suivi d’un Farbrengen, pour les offices de Roch Hachana, voir l’annonce en page 3 058-4770055 Katamon : Beit ‘Habad francophone de Katamon Rav Avraham ‘Haviv 054-4866072 Guilo : Beit ‘Habad francophone de Guilo Rav Its’hak ‘Haviv 054-4833764 Envoyez-nous vos infos communautaires viveleroi770@gmail.com
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En cette veille de Roch Hachana, est arrivé le temps du bilan, car c’est le moment de penser, d’où vienton et vers quoi nous dirigeons-nous ? L’année 5772 qui se termine, nous montre le monde d’une manière toute nouvelle. Les révolutions dans les pays arabes dont les dictatures tombent les unes après les autres, les découvertes de pierres précieuses au nord d’Israël, les progrès exponentiels de la médecine et des sciences, l’incroyable évolution des technologies de communication. Tout autant de preuves que la délivrance véritable et complète est actuelle et se dévoile bel et bien en cette année 5773 ! Nous devons faire le bilan de notre année, nous disent nos Sages, au mois d’Elloul. Mais comme nous sommes toujours pressés et n’avons le temps de rien en cette période de Guéoula, nous le faisons aujourd’hui, qu’importe la date du calendrier. Le Dvar Mal’hout (Parachat Vayigach 5752) nous apprend qu’un Juif doit se comporter en tant que « Baal HaBaït » du monde, car en fin de compte, tout lui revient. L’enseignement de Ki Testé, toujours dans le Dvar Mal’hout, nous apprend qu’est arrivée le temps de notre salaire, et que chacun peut, par un engagement qu’il rajoutera dans l’accomplissement de la Torah et des Mitsvot, piocher dans un coffre qui contient la récompense de chaque Juif. Néanmoins, il doit en priorité demander tout ce dont il a besoin afin de servir D.ieu dans la largesse, la bonne santé, entouré de sa famille ce qui fait partie des frais techniques et non du salaire. Le Dvar Mal’hout Choftim, nous annonce que nous possédons, au sein-même du Peuple Juif, un prophète de l’envergure de Moché Rabbénou, et qu’il est lui-même le Machia’h, car la prophétie ne revient en Israël massivement que lors du dévoilement du Machia’h. Le Dvar Mal’hout du 28 Sivan, nous dit que la maison de Rav à Babylone, contient le même dévoilement que dans le Temple, l’implication actuelle en est qu’aujourd’hui, celui qui veut profiter de ce niveau de Présence Divine, la Che’hina, peut se rendre à New York et passer les fêtes au 770 de la rue Eastern Parkway ! Et le Dvar Mal’hout Tavo, nous montre la grandeur du rapport entre D.ieu et nous, et nous montre que nous sommes totalement unis avec Son Essence, et qu’Il nous chérit comme la prunelle de Ses yeux (si l’on peut dire). Dans un tel état d’esprit, nous pouvons dans une joie extrême, nous installer à une table et écrire à D.ieu en étant sûr que cette lettre sera reçue et même répondue. Il suffit pour cela d’écrire
A la veille de Roch Hachana
au Rabbi Roi Machia’h Chlita par l’intermédiaire de ses saintes correspondances dénommées : « Igueroth Kodech ». Tout cela en prenant sur soi une bonne action, une pièce à la Tseddaka (qui accélère la délivrance nous dit le Tanya) en plus avant la prière, un chapitre de Tehilim en plus, la participation à un cours de ‘Hassidout dans son quartier ou autre… Nous pouvons donc nous apercevoir en faisant aussi bien le bilan de l’actualité matérielle que celui de l’actualité spirituelle (comme nous le montre le Dvar Mal’hout des années 5751-5752) que la délivrance est présente dans le monde à un point qui dépasse les rêves les plus extravagants. Et nous rajoutons de la lumière chaque jour et nous progressons dans l’amour du prochain et l’unité d’Israël, et nous méritons de voir la Guéoula et le Rabbi Roi Machia’h Chlita en nous écriant tous dans la plus grande joie, la joie de la Guéoula : « Vive le Roi Machia’h Now !!! » Mamach… Soyez tous inscrits et scellés pour une année de Guéoula!
www.viveleroi770.com L’Edit Royal - Dvar Mal’hout Résumé du discours du 29 Elloul 5751-1991 - Veille de Roch Hachana 5752-1991 du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita
Tous les Juifs sont des rois lors de la Guéoula ! En ce qui concerne les jugements de la Torah – qui sont plus en évidence ces jours-ci car ils sont appelés « les jours du jugement » (et débutent à partir de Roch Hachana) – il existe un décret du Saint béni soit-Il dans la Torah, que le jugement doit être rendu comme dans : « et la communauté le jugera… et la communauté le sauvera (1) », ce qui signifie que le jugement n’existe que pour « sauver » (jusqu’à la perfection du sauvetage, lors de la délivrance véritable et complète). Le verset «la communauté le sauvera » fait allusion au sauvetage de la situation présente lors de la délivrance totale. Car même pour ceux qui actuellement connaissent la largesse spirituelle et matérielle, et même pour ceux qui se trouvent en Terre Sainte, sur le mont Saint et là-bas, ils sont proches du Saint des saints et malgré tout, ils disent aussi : « A cause de nos fautes, nous avons été exilés de notre Terre (2) », car il n’y a toujours pas « le Sanctuaire, Seigneur, que Tes mains ont préparé (3) ». Et il n’y a toujours pas de « Tous sont installés sur la Terre » car ce n’est qu’alors que tout peut être accompli parfaitement, y compris la Mitsva du Jubilée (4) qui est liée avec la rédemption comme il est dit: « Où chacun retrouvera son bien, où chacun retournera à sa famille (5) », même pour celui qui dit : «J’aime mon maître (6) » et donc reste chez son maître lors de la septième année (7). Le nom du Machia’h Il faut remarquer que le lien qui existe entre la veille de Roch Hachana et la délivrance totale (car on sort vainqueur du jugement), est mis en relief lors de ces dernières générations grâce à l’anniversaire du Tsema’h Tseddek* en ce jour. Le nom du Tsema’h Tseddek (selon son ouvrage), est le nom du Machia’h notre juste qui a été appelé « Tsema’h (8) » et « Tseddek (9) ». Le lien évident entre le Machia’h et le Tsema’h Tseddek nous permet d’ajouter que le Tsema’h Tseddek est le troisième prince de la dynastie ‘Habad (10). Il comprend donc en lui tous les princes précédents, comme on peut le constater en étudiant son enseignement qui contient celui de ses prédécesseurs mais aussi celui de ses successeurs jusqu’au Rabbi Rayats, mon beau-père, prince de notre génération. Et puisque le rôle de nos Maîtres et princes, est de dévoiler l’intériorité de la Torah et de répandre les sources de
la ‘Hassidout à l’extérieur, ils sont donc tous liés au dévoilement du Machia’h notre juste, et plus particulièrement notre Maître, mon beaupère, le prince de notre génération, comme l’indique son nom « Yossef Yits’hak » en rappel du verset : « Le Seigneur étendra une seconde fois Sa main (11) », ainsi, il est clair que cette relation entre les Rebbeïm de ‘Habad et le Machia’h se trouve soulignée chez le Tsema’h Tseddek qui comprend en lui tous les princes ‘Habad. Et puisque lors de son anniversaire « Son Mazal est fort (12) », le nom du Machia’h domine, et puisque c’est son anniversaire, il fait tout ce qu’il peut et agit selon tous ses moyens afin que le nom du Machia’h se dévoile et mieux encore, afin que le Machia’h se dévoile lui-même (tel qu’il est au-dessus de son nom). Et selon le décret du Tour (13), à la veille de Roch Hachana, les enfants d’Israël « s’habillent en blanc et s’enveloppent de blanc », il est donc clair que dès la veille de Roch Hachana, on reçoit tous les dévoilements, les influences et les éclairages, et à plus forte raison, les forces spirituelles et matérielles. C’est Lui ! De plus, et c’est l’essentiel, que dés à présent, de la manière la plus immédiate, en cette veille de Roch Hachana, lors de l’anniversaire du Tsema’h Tseddek, se dévoile le Machia’h, notre juste, au point que nous : « Le montrons du doigt et déclarons, c’est Lui ! (14) », voici le Machia’h qui est appelé «Tsema’h», voici le Machia’h qui est appelé « Tseddek », voici le Machia’h qui est appelé « Yossef Yits’hak » (le nom de mon beau-père le Rabbi, prince de notre génération), et principalement, voici le Machia’h qui est appelé : «David, le roi oint», accompagné de Moché Rabbénou, «le premier sauveur qui et le dernier sau-
veur» et d’Israël, le Baal Chem Tov et de tous nos Saint Maîtres, Rebbéïm et princes, selon les initiales qui forment le mot «MIyaD (Moché, Israël et David), immédiatement», de la manière la plus rapide et immédiate Mamach. La preuve la plus claire Et de la manière la plus simple, chacun et chacune des enfants d’Israël et l’assemblée d’Israël, vont (Vayele’h) depuis l’exil, vers la délivrance vraie et définitive grâce au Machia’h notre juste, en dessous de dix palmes (de la manière la plus réelle, Ndt). Et tous les enfants d’Israël vont (Vayele’h) « Avec nos jeunes, nos vieux… nos fils et nos filles (15) » tout de suite, immédiatement « Au sein des nuages du ciel (16) », en Terre Sainte, et fêtent là-bas Roch Hachana, et là-bas, c’est-à-dire, à Jérusalem, ville Sainte, sur le mont Saint, dans le troisième et triple Temple, « Le Sanctuaire, Seigneur, que Tu as préparé de Tes mains », et plus précisément dans le Saint des saints, dans lequel se trouve la pierre angulaire qui soutient le monde (17), la pierre de soutènement qui existe de manière parfaite et dévoilée même aujourd’hui, sans aucun changement, à l’endroit du Saint des saints dans le Saint Temple. Ce qui conforte la demande et l’exigence des enfants d’Israël au sujet de la délivrance, car nous voyons dès maintenant de manière claire la pierre de soutènement, en ce bas monde, qui est le fondement de tout ce monde-ci, même maintenant, car elle demeure parfaite et sans aucun changement, à sa place.
Le Carnet : Pour la réussite de ‘Hanna Bat Mercedes, Line Bat Mercedes, Michaël Ben Mercedes, Henri ‘Haïm Ben Julia, Mena’hem Mendel Israël Ben Gabriel, David Ben Ruth, Jérémie Ben Ruth pour la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de Mercedès Sarah Bat Fifine, Galia Bat Alégra Leilouï Nichmat de Norbert Avraham Ben Pnina Beckouche, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Julia et Rachel Pessa'h, ‘Haya Sim’ha Bat Avraham et Yossef Abitbol Ben Clara.
La vraie vie Avec le troisième Temple, s’accomplit le verset : « Le troisième jour, il nous aura relevé pour que nous subsistions devant Lui (18) » d’une vraie vie, d’une vie éternelle, à commencer par la vie au sens le plus simple, soyez inscris et scellés, chaque Juif, chaque Juive, pour la vie au sens le plus simple, un corps en pleine santé et une âme en pleine santé, que ce soit matériellement et spirituellement. Et, tout de suite, immédiatement Mamach, que tout ceci soit transféré en Terre Sainte, à Jérusalem, la ville Sainte, sur le mont Saint, dans le troisième Temple, pour la troisième délivrance, qui contient aussi la dixième délivrance, la délivrance qui n’est suivie d’aucun exil (19), comme il en est fait mention lors du Seder de Pessa’h: « Comme aux jours de ta sortie d’Egypte, Je te montrerai des merveilles (20) ». De plus, et c’est l’essentiel, Miyad, immédiatement Mamach, puisque nous sommes en un jour favorable, à la veille de Roch Hachana avec toutes ses qualités d’élévation, et à ce propos, chacun profitera bien évidemment de ce jour, afin de rajouter sa participation à la Tseddaka et toutes bonnes choses, et plus particulièrement, les choses qui concernent ce jour, l’anniversaire du Tsema’h Tseddek, en étudiant son enseignement et en accédant à ses demandes. Et comme il a été dit, en ce jourmême, la délivrance va arriver, la Guéoula véritable et complète, par l’intermédiaire du Machia’h notre juste, tout de suite et immédiatement Mamach. Notes 1 – Massei 35.24, 25 – Voir aussi la Michna au début du traité Sanhédrin 2a, Roch Hachana 26a 2 – Moussaf de Yom Tov 3 – Bechala’h 15.17 4 – Ara’hin 32b, Rambam, lois de la Chemita et du Jubilée 10.8 - 5 – Behar 25.10 6 – Michpatim 21.5-6 - 7 – Voir Rachi sur Michpatim 21.6 et sur Behar - 8 – Zacharie 6.12 9 – Isaïe 11.5 - 10 – en correspondance avec la Sefira de Daat – voir Si’hot et lettres saintes du Rabbi Yossef Yits’hak - 11 – Isaïe 11.11 - 12 – Yerouchalmi Roch Hachana 3.8 - 13 – Ora’h Haïm, lois de Roch Hachana 581 - 14 – Chemot Rabba Ch.23, fin du traité Taanit - 15 – Bo 10.9 16 – Daniel 7.13 – Sanhédrin 98a - 17 – Yoma 54b - 18 – Osée 6.2, voir les commentaires - 19 – Me’hilta Bechala’h 15a… - 20 – Michée 7.15
www.viveleroi770.com Guéoula
Igueroth Kodech
L’homme qui a l’ouie fine entend sa voix et le voit On connaît la causerie de mon beau-père, le Rabbi selon laquelle il est une erreur de penser que seul un Rabbi, un Grand d’Israël, est en mesure de faire du bien à l’ensemble du Peuple Juif. En réalité, chaque Juif peut y parvenir par sa prière et par sa supplication. D.ieu, béni soitIl, prendra en compte notre pauvreté, Il entendra notre plainte, Il exaucera notre prière et Il accordera un salut global à tout le peuple juif, matériellement et spirituellement. De fait, nous avons, à l’heure actuelle, un comportement qui transcende la nature, comme on peut le vérifier et, de nos jours, «le faible dit : Je suis fort». C’est comme si l’on se préparait maintenant à escalader une montagne, un mont élevé, jusqu’à atteindre les quatre coudées de son sommet. C’est précisément à ce moment qu’il faut réunir toutes ses forces afin de parvenir au but, car il ne reste que quatre coudées à franchir. Dès lors chaque brin d’herbe que l’on découvre, chaque brindille, chaque caillou que l’on peut saisir par la main, sur lequel on appuie son pied ou son corps deviennent particulièrement précieux. La lumière qui éclaire, à ce moment, est indispensable. Quand elle brille, la clarté que l’on perçoit est bienfaisante et c’est grâce à elle que l’on se maintient. L’image de l’ascension d’une montagne figure dans la ‘Hassidout, qui parle de deux hommes, l’un se trouvant au sommet de la montagne et l’autre à son pied. Elle souligne que celui qui est en bas doit avoir de la force pour escalader, connaître les chemins, porter des vêtements adaptés afin de ne pas trébucher. Toutefois, s’il ne dispose pas de tout cela, il devra alors faire don de sa propre personne. En, pareil cas, tout objet auquel il peut se raccrocher, toute lumière qui l’éclaire ont une grande valeur. En cette période, nous nous trouvons à proximité du sommet de la montagne. De fait, on peut constater que la venue du Machia’h est proche, que celui-ci se trouve derrière le mur. L’homme qui a l’ouie fine entend sa voix et le voit. Il suffit de parcourir la petite distance qui reste. Pour cela, il faut accorder de la valeur à tout ce qui est précieux, il faut disposer de la lumière qui éclaire, c’est-à-dire de la Torah et de sa diffusion. On doit personnellement étudier la Torah et la propager. Car, c’est avant la lumière du jour que le sommeil est le plus
profond. Un effort est alors nécessaire pour ne pas sombrer dans la torpeur. Grâce à lui, on devient un réceptacle, capable de capter la lumière du jour. Chaque Juif est tenu d’en avoir conscience et, quand il rencontre un autre Juif, il doit lui dire : «Ecoute, mon frère, ne dors pas alors que le jour se lève!» (...) Il en sera ainsi grâce à l’effort émanant des forces qui entourent l’âme, à la foi, en particulier quand elle se révèle de la manière la plus forte, comme ce fut le cas lors de la sortie d’Egypte et la soumission au joug de la Royauté céleste. Ainsi, les forces intérieures et leurs manifestations sont présentes, fermes et brillantes. Avec ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit et pour me donner de bonnes nouvelles de tout cela. M. Schneerson (Extrait de la lettre n°8972)
Roch Hachana 5773 Les prières de Roch Hachana seront tenues à la Yéchiva Ouparatsta au 13, rue Hare’havim à Talpiot (derrière le Kanyon Hadar) Maariv : 18h45 - Cha’harit : 8h30 Min’ha (premier jour) : 17h45 Soyez tous inscrits et scellés pour une bonne et douce année 5773
Inscrits et scellés pour la délivrance véritable et complète La signification principale de Roch Hachana selon la ‘Hassidout n’est pas seulement l’aspect du jour de jugement, mais le fait d’éveiller de nouveau chez D.ieu la volonté de régner. Il est expliqué qu’il existe une sorte de budget annuel de vitalité pour tous les mondes supérieurs et inférieurs. Notre rôle à nous est donc d’éveiller de nouveau chez D.ieu cette volonté de faire vivre les mondes car pour Lui, qu’Il soit béni, tous les mondes ne sont rien devant Lui. Quel intérêt aurait-Il donc à vitaliser et créer de nouveau un monde aussi bas que le notre et des créatures comme nous. La seule véritable raison de créer le monde et toutes les créatures est la royauté, le fait que nous soyons son Peuple et qu’Il règne sur nous comme un roi. Et donc pour éveiller cette volonté de nouveau, nous devons «élire» le roi de nouveau, le Roi des rois et prendre sur nous le joug de sa royauté, comme on peut le constater dans toutes les prières de Roch Hachana. Et ce qu’il est écrit au sujet de Roch Hachana : «La Mitsva du jour est celle du Choffar», la ‘Hassidout commente et dit que lorsque l’on « élit » un roi, l’on sonne du Choffar et des trompettes et ceci est véritablement la signification du
Choffar, accompagner l’élection du roi. Dans le discours de la veille de Roch Hachana 5752-1991, le Rabbi Roi Machia’h Chlita dit que le sujet du joug de la royauté divine que l’on prend sur nous à Roch Hachana se retrouve dans le fait de prendre sur nous le joug de la royauté du Roi Machia’h, car la royauté de D.ieu se dévoile grâce au Roi Machia’h dont le rôle est le règne éternel de D.ieu sur terre. Il découle de tout ceci que ces jours-ci, nous devons tous nous unir afin de prendre sur nous la royauté du Rabbi Roi Machia’h Chlita de la manière la plus franche et la plus claire, du fond du cœur et ceci accélérera sensiblement le dévoilement de la délivrance aux yeux de tous car cela éveillera en lui la volonté de régner sur le Peuple Juif principalement et toute l’humanité de manière générale lors de la délivrance véritable et complète et nous dirons tous dans la plus grande joie en acclamant le Roi Machia’h : « Vive le Roi Machia’h, maintenant ! », Mamach… Rav Morde’haï Sibony
www.viveleroi770.com Récit
« Annulé, annulé »…
Paroles d’enfants En rentrant du Gan Israël, la petite Sarah annonce : « J’ai 2 papas !» Son père, un peu inquiet : « ah oui ?» « Ben oui ! Hashem…» Le père soudainement fier réplique « et qui ?» « Et le Rabbi ! » Sarah, 3 ans, Yerushalaim A la fin du Gan Israël, on montre une vidéo aux enfants des moments passés ensemble au camp. Pour terminer ce mini-reportage de souvenirs, la photo du Rabbi apparaît. Eliahou, consterné : « Quoi ?! Il était là et j’l’ai même pas vu ?! » Eliahou, 8 ans , Yerushalaim Réponse à une pensée Il y a quelques années, Madame A., vivant à Paris, n’arrivait pas à résoudre certaines difficultés. En allant se coucher, elle se dit qu’il serait judicieux d’écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita. Trop fatiguée pour le faire sur le moment, elle s’endormit en pensant à tout ce qu’elle devait évoquer, écrivant mentalement sa lettre au Rabbi. Le lendemain, elle oublia sa résolution... Deux semaines plus tard, elle reçut un courrier en provenance de New York, le Rabbi Roi Machia’h Chlita lui avait répondu point par point à une lettre qu’elle n’a jamais envoyée, ni même écrite autrement que dans sa pensée. Pidyone Nefech En cette période de fêtes, nous avons l’habitude d’écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita afin que chacun obtienne une bonne et douce année. En entête, nous écrivons «Li’hvod Kevod Kedouchat HaRabbi Mele’h HaMachia’h Chlita», puis «Ana Lérorer Ra’hamim Rabim Avouri Veavour» : et l’on écrit son nom, celui de sa mère ainsi que celui de celui des membres de sa famille en souhaitant une bonne et douce année en conclusion de la lettre. Puis nous transmettons cette lettre à un émissaire du Rabbi Roi Machia’h Chlita qui l’introduira pour nous dans un volume des Igueroth Kodech. Vous pouvez écrire et nous l’envoyer par la poste : Beit Machia’h Talpiot/Arnona Chalom Yehuda 19 - 93426 Jérusalem En vous souhaitant à tous d’être inscrits et scellés et que nous nous retrouvions tous au Troisième Temple de manière immédiate afin d’y fêter la fête de Roch Hachana avec le Rabbi Roi Machia’h Chlita. Allumage des Bougies Chabbat Parachat Nitsavim Jérusalem Entrée : 18h10 Sortie : 19h22
« Pour ma part, » me raconte Mme Riki Taharani de ‘Holone, « tout a commencé il y a deux mois, alors que j’étais en visite médicale au centre Assouta à Tel-Aviv. Le médecin qui examinait les résultats de mes examens avait l’air soucieux ». « Il y a un développement inquiétant dans une des artères. Il serait bon que vous fassiez un examen MRI de la tête ». Une semaine était passée après cet examen, et je reçus un appel téléphonique par lequel on me demandait de me rendre en urgence au centre médical d’Assouta. Le visage marqué du médecin me montrait clairement que le cas n’était pas si simple. « J’ai vu les résultats, vous devriez voir un spécialiste ». C’est ainsi que je rencontrai le Professeur Moché Adani, Chef de Service à Tel-Hachomer, qui me dit que lors du MRI, il était possible de distinguer quelque chose d’irrégulier. « Il semblerait qu’il s’agisse d’une tumeur. La question est de savoir s’il s’agit d’une tumeur bénigne ou le contraire. En tout état de cause, il faudra faire une opération du cerveau ». A la fin de l’entretient, il me dirigea vers le Docteur Tsvi Cohen, neuro-chirurgien à Tel-Hachomer ; il avait joint son diagnostic de découverte d’une tumeur, et l’obligation d’opérer. En préparation, il me fut demandé de faire un examen CT. On s’imagine bien les pensées qui me trottaient dans la tête. Je pleurais sans cesse. Ma mère me conseilla de me joindre à un cours de ‘hassidouth qui se tenait au domicile de la famille Tsour à ‘Holone, et là-bas j’écrivis au Rabbi Chlita pour demander sa bénédiction. La réponse indiquait clairement que je bénéficierai de miracles grandioses. On m’expliqua que je pouvais être rassurée. Ainsi, le résultat du CT était encourageant, mais n’avait pas changé le diagnostic. Mon rendez-vous fut fixé quelques jours plus tard, le 28 Mena’hem Av (28/08/2011) au centre Assouta. Je tremblais de tout mon corps. Je n’arrivais pas à concevoir une opération du cerveau. A ce moment-là, je me rendis avec ma mère chez le Rav Zimroni Tsik, responsable du Beth-‘Habad de Bat-Yam. Là, j’écrivis de nouveau et demandai une guérison complète. Je répétai par trois fois « Ye’hi Adonénou » et je reçus une réponse dans le volume 1 à la page 185 ; on pouvait y lire : « Et pour cette nouvelle année qui arrive pour le bien, je vous souhaite une bonne et douce année, et bientôt, le mal partira en fumée et l’année commencera avec toutes ses bénédictions et vous rentrerez chez vous en bonne santé ». Les mots «vous rentrerez chez vous en bonne santé» m’étaient bien destinés. Le dimanche 28 Mena’hem Av, j’arrivai au centre médical. Je subis les préparatifs et me tenais prête à me rendre en salle d’opération. Et voici qu’à 14 h 15 arriva le chirurgien qui devait m’opérer. Il m’annonça son intention de me faire passer à nouveau un examen MRI… Lors de mon entrée en salle d’examen, je por-
Rav Zimroni Tsik, Chalia’h du Roi Machia’h à Bat Yam
tai sous mon bras un ‘Hitat et murmurai quelques prières. A la suite de l’examen le chirurgien vient me trouver en me disant : « Nous pouvons apercevoir clairement un changement, il y a une question. Pour l’instant vous ne pouvez être opérée. Dans deux heures, vous subirez une nouvelle radio ». Le miracle commençait à se réaliser. A 17 h 45 après le nouvel examen, j’entendis s’élever la voix des infirmières qui criaient joyeuses : «Annulé, annulé»… Sur le moment je ne compris pas. Et c’est alors que vint me trouver le chirurgien au comble de l’excitation : « l’opération est annulée, la tumeur s’est évanouie et a disparue. C’est véritablement un miracle. Vous n’avez rien, vous pouvez rentrer chez vous ». Le lendemain, j’annonçai au Rabbi Roi Machia’h Chlita que sa bénédiction s’était réalisée : « Vous rentrerez chez vous en pleine santé ». La réponse dans les Iguéroth Kodech parlait de la fête de la libération du 19 Kislev. Le Rav Zimroni n’expliqua qu’il s’agissait clairement d’une invitation à organiser un repas de remerciement afin de diffuser le miracle. Le dimanche de la semaine suivante, au domicile de la famille Taharani fut organisé un repas de remerciement et de louanges à D.ieu avec la participation de la Rabbanit Tsik. Des dizaines d’amies de Riki participèrent et il leur fut conté le miracle de la source même de celle qui l’avait vécu, et chacune prit sur elle une bonne décision pour activer le dévoilement de la délivrance véritable et complète.
En cette veille de nouvelle année 5773, je prends sur moi une bonne décision pour amener le Machia’h
Prénom : ................................. Nom : .......................... Prénom de la mère :................. Téléphone : .................. Email......................... Adresse : .............................................. Bonne décision ............................................................................................................... Demande de bénédiction : .............................................................................................. En acceptant la royauté du Rabbi de Loubavitch en tant que Roi Machia’h, nous dévoilons la délivrance immédiate. (Nous introduirons ce coupon dans le livre des Igueroth Kodech) A retourner à : Beit Machia’h Talpiot/Arnona , 19/5, rue Chalom Yehuda - 93426 Jérusalem