MACHIA’H N° 317 - CHABBAT PARACHAT PIN’HAS CHABBAT 17 TAMOUZ 5776 - 23/07/2016
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VIVE LE ROI
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Rav Chay Chourouk, un ‘hassid hors du commun à Tel-Aviv... Expo-photo sur le Chalia’h en rollers page 4 Editorial
Une vision élargie
La semaine dernière a été marquée par l’événement du « Machia’h au Kikar », or on sait que la délivrance se dévoile suite à une bonne pensée, une bonne parole ou une bonne action que l’on accomplit ici-bas. Or, lorsque ce sont des dizaines de milliers de Juifs qui se réunissent, ils provoquent un mouvement de centaines de milliers de bonnes pensées, paroles et actions qui influent sur la Création toute entière, sans parler des mondes supérieurs qui s’illuminent de la lumière divine ainsi que sur toutes les Nechamot (les âmes) de tous les Juifs de tous les temps. Alors, l’effet provoqué est celui d’une réaction en chaîne dont le résultat est la révélation suprême de la délivrance véritable et complète...
Formez de nombreux disciples, l’intention de la Michna est de parler d’élèves qui eux même pourront enseigner la Torah aux générations futures, mais le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h lui révèle un nouveau sens, une signification actuelle... Formez des disciples parmi les non-Juifs et enseignez leur les sept Commandements qui leur sont impartis. Les sept Mitsvot Bné Noa’h. La semaine dernière, alors que je me rendais à la Yéchiva dans le tramway de Jérusalem, je m’installais face à deux jeunes, il s’agissait de deux jeunes arabes, une mine sévère se lisait sur leur visage. Je sortis de ma poche une carte de visite sur laquelle sont mentionnées en arabes les sept Mitsvot, avec la photo du Rabbi, du Machia’h, (puisque c’est comme cela que l’appellent les arabes !). Je gardais le silence pendant qu’ils lisaient la carte. Et d’un coup, les visages se transformèrent et les jeunes se mirent à sourire et l’un d’eux me dit : « Si le monde entier pouvait accomplir ce qu’il est écrit sur cette carte, ce serait la paix dans le monde ! ». Et voilà la prise de conscience que chaque être humain résidant sur cette terre doit avoir lors de cette période de Guéoula. D’une part que le Machia’h est ici, et par ailleurs, qu’il est très facile pour chaque être humain de se connecter avec son rôle ultime... Servir son Créateur. Hachem aime profondément chacune de Ses créatures et ne désire pas sa perte, mais son retour vers de vraies valeurs, celles que nous a enseigné Moché Rabbénou et que nous explique, jour après jour, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. Tel est aussi notre travail aujourd’hui, enseigner au monde, les sept Mitsvot, diffuser et nous vivrons encore d’autres merveilles, d’autres prodiges, nos yeux s’ouvriront et verrons que, concrètement, c’est la Guéoula ! (GB)
Photo : Ovlac
Le 12, 13 Tamouz jusqu’au 17 Tamouz 5776
Lors des jours de la délivrance du Rabbi Yossef Its’hak de Loubavitch, ont lieu des réunions ‘hassidiques (des occasions de se rassembler lors de cette année du Hakel) dans tous les coins du pays et c’est à nous de relever le défi et de participer non seulement lundi et mardi à ces moments de fête, mais aussi les jours suivants et même, et surtout pendant ce Chabbat qui tombera le 17 Tamouz, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h demande de nous réjouir en ce jour comme une grande fête qui est à l’image de la délivrance, lorsque ces jeûnes se transformeront en jours de fêtes, de joie et d’allégresse ! (GN) Vous êtes Chalia’h du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h et vous êtes en contact avec un public francophone. Commandez la Newsletter de la Guéoula « Vive le Roi Machia’h ». Contactez-nous à
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Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !
L’Edit Royal Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Pin’has - 24 Tamouz 5751-1991 La Terre d’Israël chez soi
L’une des nouveautés essentielles de notre Paracha est le sujet du partage de la Terre d’Israël à chaque Juif. Alors que nous sommes à l’orée de la délivrance véritable et complète. Alors que chacun peut témoigner de tous les signes évidents de la délivrance (comme évoqué dernièrement à plusieurs reprises), il est clair que nous pouvons en tirer un enseignement en ce qui concerne l’héritage et le partage de la Terre d’Israël tout simplement, lors de la délivrance (1).
A la lumière de l’histoire du Tsema’h Tseddek qui avait donné la directive à un Juif qui voulait monter en Terre d’Israël afin d’y habiter et d’y servir D.ieu : « Fais d’ici la Terre d’Israël » et puisque cette anecdote a été publiée (par le Rabbi mon beau-père) à l’attention de chaque Juif, il s’agit donc là d’un enseignement de portée générale que même lorsque nous nous trouvons « ici », en dehors de Terre Sainte, en temps d’exil (même lors de son dernier instant), nous devons ici et maintenant faire « Eretz Israël ». Nous allons expliquer en quoi constitue le travail de « faire ici la Terre d’Israël », car a priori et selon la loi, il s’agit de deux espaces différents, « ici » et la Terre d’Israël ! La perfection de l’accomplissement de la Torah et des Mitsvot des Enfants d’Israël ne prends un réel relief qu’en Terre d’Israël. Mais même, tout en étant ici, en cet endroit et à cette époque d’exil, un Juif prie (le visage tourné vers la Terre d’Israël) en disant trois fois par jour pendant la semaine : « Rassemble-nous des quatre coins du monde vers notre Terre »… Et plus particulièrement dans ces dernières générations, ces dernières époques et actuellement, selon tous les signes de la délivrance : « Voici (le Machia’h) qui arrive (2) » et donc dans ce cas, que veut dire aujourd’hui « Fais d’ici la Terre d’Israël » ?! Et de plus en sachant que dans l’instant qui suit nous sortons de l’exil et nous partons en Terre d’Israël de la manière la plus littérale.
Le cri du Goral Nous comprendrons tout ceci à la lumière de notre Paracha. En ce qui concerne le partage de la Terre qui avait lieu selon le « Goral (le tirage au sort) ». Rachi (26.56) explique que le Goral, lui-même parlait, le ticket sortant poussait un cri et disait « je suis le tirage au sort et je désigne telle frontière pour telle tribu ». Quel est donc le sens et l’intérêt d’un tel miracle car nous savons que le Saint béni soit-Il ne fait pas de miracle en vain (3). Pourquoi donc ce miracle eut-il lieu, il aurait pu sortir en tant que loterie qui n’avait pas un réel besoin de s’exprimer oralement ?! Et même si le Saint béni soit-Il a voulu montrer aux enfants d’Israël que le Goral était véridique selon la parole de l’Eternel (et non aléatoire) tout cela en soi était déjà un miracle et tous pouvaient voir que le Goral relevait de l’Esprit Saint : « Eléazar le Prêtre était revêtu du Pectoral et annonçait par Roua’h HaKodech (l’Esprit Saint) que telle tribu héritait de telles frontières (4) », et ceci montrait aux Enfants d’Israël que le Goral était authentique, la question reste donc ; pourquoi avait-on besoin du miracle que le « Goral s’exprimait oralement » ? Pour éclaircir cela, nous pouvons avancer que le
Saint béni soit-Il avait ordonné que « Seul, la voix du Goral départagerait la Terre (5) » et par le seul truchement du Goral et non d’une autre manière. C’est pour cette raison que le partage et le choix de toutes les parcelles de la Terre devra être désignée par le Goral lui-même. C’est pour cela que seul le Goral ne pouvait partager la Terre de manière parfaite et donc : « Le Goral lui-même criait etc. », et c’est par ce fait que le Goral agissait au mieux lors de ce partage, car il « disait », lui-même de la manière la plus claire et distincte que « telle frontière ira à telle tribu ».
Le prélude, un événement en soi Afin que la conquête et l’installation sur la Terre atteigne le sommet de la perfection, en pensée, parole et action, il faut que tous les détails du service divin s’accomplissent aussi dans la perfection. Et même les sujets qui ne font partie que de la préparation, de l’introduction à ce travail, même s’ils ne sont pas le but en soi, ou qu’ils ne sont qu’un détail du travail doivent aussi atteindre les sommets de la perfection en pensée, parole et action. Un dicton du Rabbi Rachab nous en apporte une preuve : « Chaque chose qu’accomplit une personne profonde, il s’y implique totalement ». Lors d’une réunion ‘hassidique (Itvaadout), le Rabbi Rachab avait senti que les jeunes étudiants chantaient un Nigoune, une mélodie avec précipitation car ce Nigoune devait introduire un discours de ‘Hassidout. Or le Rabbi Rachab consacra à ce fait une discussion complète en disant que le travail d’un Juif est de faire chaque action le plus parfaitement possible, même si cette action n’est qu’un prélude à une autre. Car lorsque nous nous trouvons dans le feu d’une action, nous devons nous y impliquer totalement (6). « En général, et ceci est un grand principe que là où nous nous trouvons, nous devons y être en vérité », « là où nous sommes, c’est là que nous devons être, tout le temps que je consacre à ce sujet, je dois m’y investir car c’est bien ici que je dois être », et après, on pourra s’engager dans autre chose et c’est comme cela qu’on pourra l’accomplir avec plénitude… Plus profondément ; puisque le but d’une demeure dans ce monde-ci est une intention première d’Hachem qui est Un. Et l’accomplissement de ce but ne peut être atteint que par tout ce qui forme ce monde inférieur, y compris les choses qui ne forment qu’une préparation pour d’autres choses, du côté de cette intention qui est ancrée en Son Essence, qu’Il soit béni, il existe en chaque objet dans le monde, la puissance de l’Infini divin, la force de l’Essence inhérente à chaque objet qui fait de cet objet une chose véritable, comportant un but et une intention. C’est pour cette raison que le travail doit être fait de la manière la plus parfaite, en pensée, parole et action. De manière plus particulière ; il doit en être de même dans la pensée, parole et action elles-mêmes. La pensée et la parole sont un prélude à l’action qui, elle, est essentielle (7). Et puisqu’elles entraînent l’action, et que cette action est fondée sur cette pensée et cette parole, ces deux notions relèvent elles-mêmes une importance bien précise. Nous pouvons retrouver ce même phénomène dans tout l’ensemble de l’enchaînement des mondes. Toute la construction d’une demeure en ce monde se fait par la force et la base des mondes supérieurs, mais aussi rejaillit par une élévation et un dévoilement de la puissance du Ein Sof, de l’Infini divin sur
ces mêmes mondes supérieurs grâce au travail dans ce monde-ci. Ce sujet est particulièrement souligné cette année car Chabbat de la Parachat Pin’has est aussi le Chabbat qui bénit le début du mois de Mena’hem-Av qui tombera vendredi. Même si dans la Torah (8), ce mois s’appelle «Av», il est une coutume Juive de le surnommer «Mena’hem-Av», on ajoute le mot «Mena’hem». De plus, on lit d’abord le mot «Mena’hem». L’une des raisons à cela est que «Mena’hem, le consolateur», fait allusion à la consolation de la délivrance qui est l’intention et le but (de la chute) du mois de Av. De plus, Mena’hem (la délivrance) est un début qui vient avant tout sujet évoquant la chute comme l’ont expliqué nos Sages (9) à propos du verset : « Et l’esprit de D.ieu planait sur les eaux (10) » car immédiatement dès la Création, préexistait déjà « l’Esprit du Machia’h » puisque la délivrance est le fondement et l’intention profonde de tous les sujets, ainsi que celui du « Av, le père », qui est la racine et l’origine de toute chose. Tout ceci donne la force par la suite, lorsque vient la chute (extérieurement et momentanément), l’on s’apercevra que tout appartient à l’élévation comme nous pouvons constater que dans le mot délivrance, Guéoula, se cache le mot Gola (exil) augmenté de la lettre Alef, car par le dévoilement de « Aloufo Chel Olam, le Maître du monde », l’exil, lui-même devient Guéoula, délivrance. Et, alors que nous sommes dans le Chabbat qui bénit Mena’hem-Av, nous pouvons remarquer de manière claire l’intention de la situation d’exil « ici » et ceci donne plus de forces pour faire « d’ici Eretz Israël » et amener la délivrance, la Guéoula dans la Gola. Dans l’action concrète En ce qui concerne les sujets liés au travail de « faire ici la Terre d’Israël » et qui appartiennent au « neuf jours » (qui commencent vendredi), nous avons la coutume (12), d’organiser des « Siyoum », la conclusion de traités talmudiques pendant chacun de ces neufs jours de Roch ‘Hodech jusqu’au 9 Av, (de même lors de la veille, de manière permise selon le Choul’han Arou’h). La raison à cela est que pendant cette période, nous cherchons tous les moyens permis de rajouter dans les bonnes choses et la joie et par cela, dévoiler le bien caché dans la chute se reflétant ces jours-là, à commencer par « Les ordres de l’Eternel sont droits et réjouissent le cœur (13) » c’est pour cela que l’on provoque la joie de la conclusion de la Torah (14). Et grâce au fait que les Enfants d’Israël accompliront leur travail de « faire d’ici Eretz Israël », de s’habituer à la Guéoula, la délivrance, nous entrons immédiatement par des danses pour la Guéoula, et nous irons tous en dansant en Eretz Israël et chacun héritera de sa parcelle, lors du partage de la Terre d’Israël dans le monde futur « pour les treize tribus » par l’entremise du Saint béni soit-Il Luimême, « C’est le Saint béni soit-Il qui la leur distribue Lui-même (15) » et comme nous l’avons dit, la Terre d’Israël, dans le futur, s’étendra au monde entier.
Notes : 1/ Baba Batra 122a – 2/ Chir Hachirim 2.8 – 3/ Commentaires du Ran 8 – 4/ Rachi id.54 – 5/ Dans notre Paracha 26.55 – 6/ Torat Chalom p.52 – 7/ Avot 1.17 – 8/ Michna Taanit 4.5/6 – 9/ Berechit Rabba Ch.2 – Baal Hatourim sur le verset – 10/ Berechit 1.2 – 11/ Michna Sanhédrine 37a – 12/ Sefer HaMinaguim ‘Habad p.46 – 13/ Psaumes 19.9 – 14/ Ramo Yoré Déa Ch.246 – 15/ Baba Kama 122a
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Le miracle de Perla Bra’ha…
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Dans le Dvar Mal’hout Parachat Vayéchev, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h demande de relater les miracles et merveilles qu’Hachem produit pour nous, afin de remercier et de comprendre à quel point nous sommes entrés dans l’époque messianique. C’est dans la plus grande joie que nous remercions Hachem pour le miracle sans précédent qu’Il a produit pour notre fille Perla Bra’ha.
L’histoire débuta lors de la Hilloula de la Rabbanite Menou’ha Ra’hel (dont mon épouse porte le nom), le 24 Chevat (février) de l’année 5775-2015. Un vendredi après-midi, alors que nous étions en pleins préparatifs pour le Chabbat où notre fille, Perla Bra’ha, devait fêter son anniversaire de 13 ans qui tombait le dimanche 26 Chevat. Vers 12h30, elle revint de l’école et décida, avant de rentrer à la maison, d’aller faire quelques achats (pour son anniversaire de l’école au Beit ‘Haya Mouchka), à Talpiot (Jérusalem), chez Maxstock. Elle revint de ses courses aux alentours de 13h00 et remonta le chemin qui conduisait à la maison. En traversant la route, un taxi roulant à toute vitesse, ne vit pas notre fille et la renversa, la projetant sur le trottoir. A cet endroit, le carrefour est réputé pour ses nombreux accidents meurtriers. Une ambulance vint immédiatement chercher Perla Bra’ha, inconsciente et le visage en sang, et la transporta aux urgences de l’hôpital Ein Kerem à Jérusalem. Pendant ce temps, nous étions, mon épouse et moi en plein préparatifs de Chabbat et, alors que je demandai à quelle heure Perla était-elle censée rentrer à la maison, le téléphone de mon épouse sonna et au bout du fil, une infirmière de l’hôpital Ein Kerem qui nous demandait de venir au chevet de notre fille accidentée. Inutile de décrire la panique et la peur qui nous saisirent immédiatement. Liraz, un ami, vint nous chercher pour nous conduire, en urgence, à l’hôpital. Je m’étais muni d’un volume des Igueroth Kodech et dans la voiture, après avoir dit par trois fois « Ye’hi Adoneinou », j’ouvris le saint livre et une courte lettre me dit que par le mérite de la diffusion des sources (dans laquelle nous sommes engagés depuis près de sept ans avec la publication du journal que vous tenez en main), nous verrons des miracles et des prodiges… Sur place, la situation n’était pas brillante, on nous annonça que notre fille avait une fracture du nez, clavicule démise et perforation du poumon. Nous n’avions pas encore de résultats sur d’éventuels traumatismes crâniens. Mon épouse décida de passer le Chabbat à ses côtés. A la sortie de Chabbat (plein de prières, psaumes et demandes de bénédictions au Farbrenguen), je me précipitai à l’hôpital et à ma grande surprise je vis ma fille éveillée, certes branchée à des perfusions, bandée et plâtrée, mais éveillée. Je passais la nuit à ses côtés et le lendemain matin vers 9h00, une équipe de médecins, accompagnée de spécialistes et d’un professeur en médecine vinrent examiner ma fille. Ils me demandèrent de sortir mais je fis comme si je n’avais pas compris et restais sur place pour entendre leur délibérations. Et c’est là que je compris l’ampleur du miracle que le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h avait concrétisé pour nous. Les médecins décrivirent la situation et le type de convalescence que l’on pouvait espérer dans ce genre de cas. Le professeur, muni des radios et des résultats des
Hôpital Hadassa Ein Kerem
examens, était visiblement troublé, il dit : « Je ne comprends pas comment le rétablissement de cette patiente est en train d’évoluer… A mon sens, elle en avait au moins pour quelques mois d’immobilisation et de rééducation. Mais là, l’évolution des fractures s’opère à une vitesse accélérée et je pense que dans quelques jours, elle pourra sortir de l’hôpital ». En effet, deux jours après, Perla Bra’ha revint à la
maison après avoir fêté son anniversaire à l’hôpital avec ses copines de classe. Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h avait pris soin de notre fille, d’une part en préservant sa vie, contre toute attente dans un tel cas, mais en plus de cela, elle avait bénéficié d’un rétablissement éclair, comme personne n’en avait vu, parole de professeur en médecine… Merci Hachem ! (Gabriel Beckouche de Guéoula News)
Dvar Mal’hout Parachat Pin’has
La Guéoula dans le temps et dans l’espace Chaque Juif possède une parcelle et une mission dans le monde que lui a attribué le Saint béni soitIl. L’un sera homme d’affaire (Zevouloun), un autre étudiera la Torah (Issa’har), et à chaque genre, sera attribuée un autre style de mission dans le monde. De plus, chacun se trouve dans une autre partie géographique qui lui a été désignée par le Saint béni soit-Il car sa mission se passe justement en cet endroit. De même en ce qui concerne le temps, chaque minute, chaque heure, chaque jour, chaque mois, chaque année et chaque période possède un travail et un rôle spécifique. Et même si chaque endroit, chaque moment et la mission de chacun en ce monde, ne sont qu’un petit point d’un ensemble universel, de l’espace et du temps, il se peut que l’on en arrive à se demander : « Que se serait-il passé, si j’avais vécu ailleurs ou à une autre époque… mon travail aurait été tout autre, et certainement meilleur que le mien actuellement… ». L’on pourrait aussi se poser la question : « Puisque mon travail se passe uniquement dans un petit coin du monde, dans les infimes détails de la vie, quel peut-être l’implication de mon comportement, peut-être que tout ceci n’a aucune influence sur le monde ? ». Et plus encore, l’on se dira : « Comment peut-on me demander d’amener la Guéoula, la délivrance au monde entier alors que mon travail est tellement insignifiant aussi bien dans le temps que dans l’espace ? ». Pourtant, la réponse donnée à chacun et chacune de l’ensemble des Enfants d’Israël est : « Tu as un ordre du Nassi, du chef de la génération : « Fais ici la Terre d’Israël », ton travail doit s’exprimer dans la pensée (non pas en se concentrant sur ce qu’il se passe à l’autre bout du monde ou lors d’une autre période) en se donnant à fond (en pensée, parole et action), en faisant « d’ici la Terre d’Israël » en ton en-
droit et à chaque instant de ton temps personnel. Et grâce à cela, tu agiras dans le monde entier parce que dans ta parcelle sont comprises toutes les parcelles du monde ». En aillant en tête que « chacun doit se dire que le monde a été créé pour moi (11) ». Et puisque le monde a été créé pour lui, il est clair qu’il possède la force d’agir dans le monde entier par le fait que sa parcelle à lui contient le monde entier. De cela nous entendons que chacun, quelque soit son rôle dans le monde, possède la force de faire « ici (toute) la Terre d’Israël », et par cela, d’agir dans le monde entier. Et même s’il est un homme d’affaire et non le gérant d’une synagogue, en fait, il pourrait se dire quel rapport ai-je avec la sainteté de la Terre d’Israël (cela relève plus d’une synagogue ou d’une maison d’étude), sans compter qu’il peut participer à la construction d’une synagogue et d’une maison d’étude par ses moyens financiers. Son travail personnel, à lui aussi, contient tous les sujets du travail et des parcelles de la « Terre d’Israël ». Ainsi, chaque Juif possède la responsabilité d’amener la délivrance au monde entier, car c’est là la perfection de son travail personnel, en pensée, parole et action. Y compris dans les plus infimes détails, en une minute en un endroit (« ici »), il a le pouvoir de le transformer en « Terre d’Israël », et par cela, amener la délivrance complète dans le monde entier ! En termes simples : Alors que nous nous tenons juste avant la délivrance, chaque Juif et chaque Juive doit s’habituer à la Guéoula, la délivrance et se placer lui-même dans une situation et un état d’esprit de Guéoula, par la transformation de sa propre journée en un jour de « délivrance privée » et de transformer son endroit personnel en « Terre d’Israël » par le fait qu’il accomplit son travail ici et maintenant de la manière la plus parfaite en pensée, parole et action.
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Le ‘hassid avec les rollers
Les habitants de Tel-Aviv ou ceux qui y séjournent on put remarquer un ‘hassid géant qui sillonne les rues sur des patins à roulettes, avec un drapeau jaune portant l’inscription « Machia’h ». De plus, à l’approche des fêtes, il se déguise et vers Roch Hachana, il prend l’allure d’un immense poulet des Kaparot, à Souccot, il déambule avec une Soucca, à Lag Baomer, déguisé en Rabbi Chimeon, il vogue sur un tapis volant. En bref, un personnage sortant de l’ordinaire qui s’est fait remarqué depuis quelques années par les photographes telaviviens. Ce mois-ci, une galerie d’art lui a ouvert les portes afin qu’il expose les photos dont il est le sujet. Le succès inattendu de cette expo a défrayé la chronique. Au 21 de la rue Gordon, se sont réunis douze artistes qui ont travaillé sur les clichés décrivant les activités du Rav Chay Chourouk du Beit ‘Habad « Beit ‘Hadach LaMidrach » qui travaille avec la jeunesse sur la rue Ben Yehuda. Il y donne des cours, des réunions ‘hassidiques et aide principalement le Chalia’h Rav David Its’hak Aziza à Tel-Aviv dans les activités du Beit ‘Habad. (GN)
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Le plus petit Beit ‘Habad du monde... Les maisons minuscules sont une question d’équilibre. Plus elles sont petites, moins elles ont à tendance à être confortable. Et si elles sont trop grandes, vous pouvez tout aussi bien vivre dans une maison de taille normale. Wind River Tiner Homes, une société américaine basée dans le Tennessee a récemment terminé une petite maison déconnectée du réseau électrique, qui apparaît comme étant ce juste équilibre, offrant un espace de rangement suffisant, un bel intérieur, et beaucoup de confort dans la maison aussi. La Chimera mesure 2,4 x 7,62m, un mini-Beit ‘Habad que l’on peut garer pratiquement n’importe où ! (IHT-GN)
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C A R N E T
Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Mercedès Sarah Bat Fifine, Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah
La Newsletter de cette semaine est dédiée à la Réfoua Chéléma de Daniel ‘Haïm Ra’hamim Ben Sarah
COLORPRINT 072-2424245 Horaires de Chabbat à Jérusalem Chabbat Parachat Pin’has : Entrée : 19h07 - Sortie : 20h22
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