MACHIA’H N° 319 - CHABBAT PARACHAT MASSEI CHABBAT 2 MENA’HEM-AV 5776 - 06/08/2016
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VIVE LE ROI
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Editorial
Le monde entier est à notre service
Lorsque l’on pose la question autour de nous : « Quel est votre souci principal ? », 90% des réponses sont : « Les affaires, la Parnassa… ».
Or dans le Dvar Mal’hout de Guimel Tamouz (Parachat Kora’h) on peut lire ces lignes : « Lorsqu’un Juif mènera correctement à bien sa mission, en transcendant toute limitation et en s’investissant dans une démarche qui se déploie dans l’ordre naturel du monde, il verra comment le monde, la nature du monde et les peuples du monde l’aideront dans sa tâche. Et cela est particulièrement visible ces années récentes, dans lesquelles nous voyons des miracles dans le monde, qui s’habillent dans les voies naturelles. Comme ce fut le cas lors de la sortie d’Égypte, lorsqu’on en vint au moment où les Enfants d’Israël « dépouillèrent l’Égypte » de ses richesses, cela commença de façon miraculeuse, puis s’habilla dans les voies de la nature lorsque les Egyptiens forcèrent les Israélites à prendre plus que ce qu’ils leur avaient demandé ». Les nations du monde veulent nous servir, nous aider car ils ont compris que nous serons très bientôt délivrés et la vérité apparaîtra aux yeux de tous, que nous sommes le Peuple de D.ieu et que pour s’attacher à Lui, les non-Juifs doivent s’attacher à nous. Or, nous, le peuple saint par excellence, devons montrer l’exemple aux nations, un exemple d’honnêteté et de rectitude afin qu’ils acceptent d’accomplir les sept Mitsvot qui leurs sont imparties. Et lorsqu’ils accompliront les sept Commandements, ils comprendrons qu’ils ont tout intérêt à nous venir en aide (voir article en page 3) afin que chaque Juif, chaque Juive vive dans la largesse, la richesse comme un prince ou une princesse car c’est de nous que sortira l’enseignement divin, et c’est de l’élu de toute l’humanité, le roi Machia’h que sortira la « Torah ‘Hadacha Mi Iti Tetsé, la nouvelle Torah qui sortira de Moi ». Et le monde entier s’exclamera : « Vive le roi Machia’h ! ». (GB)
Le Chabbat Oufaratsta de l’organisme Mamach
Ce Chabbat, Parachat Matot, a eu lieu un grand moment de Guéoula et de Hakel, des centaines d’hommes, femmes et enfants, ce sont rendus à Kyriat Tiveon, un village-campus pour les jeunes. C’est là qu’a eu lieu ce Chabbat plein, avec en tant qu’invité principal, le Rav Zimroni Tsik, directeur du Beit ‘Habad de Bat Yam, et rédacteur en chef du journal « Si’hat HaGuéoula » qui sort, toutes les semaines à quelques dizaines de milliers d’exemplaires pour répandre en Israël la nouvelle de la délivrance immédiate. Il y eut une conférence pour les femmes, le soir et un Farbrenguen, pendant le repas du midi avec les hommes. Des cours se sont suivis pendant tout le Chabbat et les repas livrés par un traiteur furent copieux. Un Chabbat de Guéoula, Mamach ! (GN)
Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !
L’Edit Royal Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Matot-Massei - 2 Mena’hem-Av 5751-1991 Plus forts que jamais !
Lors de ce Chabbat, nous clôturons le Sefer Bamidbar qui conclu toute la Torah puisque le prochain livre, le Sefer Devarim, revient sur les quatre livres précédents ; c’est pourquoi nous disons «’Hazak, ‘Hazak Vénit’hazek » ce qui démontre la force du peuple Juif en ce qui concerne la Torah.
La ‘Hazaka (fait établi) est liée au chiffre Trois, et il s’agit ici d’un triple état de force (‘Hazak, ‘Hazak, ‘Hazak). Ceci souligne une expression de force même dans une situation où se présente une opposition. Alors que le chiffre Un atteste de la condition du bien et de la sainteté absolue, le chiffre Deux, entraîne la controverse, puisqu’il souligne la présence de l’autre, de l’opposant. Quant au chiffre Trois, il est cette force qui s’impose même en présence de l’opposition. Dans la force et la puissance du chiffre Trois, on désignera deux états de fait, dans l’expression de cette puissance : 1-La force d’en haut qui provient de l’épanchement de la lumière de sainteté laquelle ne subit aucun frein d’aucune sorte ; une lumière infinie ! 2La force d’en bas est cette puissance dévoilée dans le service de D.ieu, qui depuis le bas vers le haut, annule puis transforme l’opposant en sainteté.
Le travail de fusion Le premier temple de Chlomo, était tout entier de cette lumière venue d’en haut, ainsi qu’il est dit, « Et Chlomo s’est assis sur le trône de l’Éternel », ce ne fut pas une « maison » attachée aux mondes inférieurs de la matière et par conséquent il fut suivit par la destruction et par l’interruption de toute l’élévation du service du temple ! Le deuxième Beit HaMikdach construit par les Juifs montés de Babylonie était essentiellement un travail d’en bas ; aussi, bien que plus grand et plus beau que le premier temple, il y manquait les cinq miracles qui étaient l’apanage du premier temple par l’influence de la lumière venue d’en haut. Attaché à la matière plus fermement, il y resta installé plus longtemps mais il fut aussi détruit, et l’exil qui s’en suivit fut bien plus long ! Le troisième enfin, sera une fusion entre le supérieur et l’inférieur, de manière puissante, dans toute sa perfection ; par la délivrance éternelle, avec un temple éternel de la troisième délivrance liée au troisième, quatrième ou encore le cinquième qui nous prouve que la dernière délivrance est bien au-dessus du supérieur et de l’inférieur ; c’est pour cela qu’elle possède la faculté de les relier.
Le travail de toute une vie Un autre sujet sur la veille du Chabbat, comme il est dit, que celui qui fait des efforts la veille du Chabbat mangera le Chabbat. Cette veille de Chabbat est aussi la veille du Roch ‘Hodech Av, ainsi qu’il est écrit dans notre Paracha (Massei) : « Et Aharon s’est élevé sur la montagne de Orh où il mourut, là bas... dans le troisième mois, au premier (jour) du mois ». Ce jour est le jour de la Hilloula d’Aharon HaCohen, laquelle est de manière exceptionnelle, écrite dans le texte de la Torah. Et ce jour vient conclure le travail de toute une vie d’élévations, celle d’Aharon HaCohen, tout son service divin et toutes ses actions brillent du haut vers le bas et « entraînent des miracles au sein de la terre ».
La Torah nous enseigne que les nuées de gloire se sont retirées après le départ d’Aharon. Observons que si par le mérite de Moché, nous recevions la manne et que le puits de Myriam nous abreuvait en eau pure ; ces deux bienfaits miraculeux étaient toutefois dispensés avec mesure et limite ; pour la manne, une mesure de Omer par tête. Si les eaux jaillissaient sans interruption, elles étaient tout de même reçues de manière individuelle et limitée. Tandis que les nuées de gloire étaient du véritable niveau de « Makif », une lumière infinie qui entourait sans distinction tous les enfants d’Israël, totalement au dessus de toute notion de séparation. Ceci est aussi la qualité particulière d’Aharon HaCohen qui sans s’épargner un instant, distribuait son amour à tous les enfants d’Israël dans une influence qui visait à unifier tous les individus du peuple Juif en les soudant dans l’unité de l’amour d’Israël.
Je suis à mon bien aimé C’est sur ce point que nous définirons le lien entre l’élévation particulière d’Aharon et le jour de sa « Istalkout », l’élévation de son âme dans le cinquième mois, au premier (jour) du mois. Le cinquième niveau, est au-dessus de la séparation de l’enchaînement des mondes, et s’apparente au degré de Pharaon tel qu’il est dans les lumières de sainteté, et qui (de par étymologie) dévoile la puissance absolue des lumières qui se répandent sans aucun frein ! Tout ceci est lié aux nuées de gloire qui protégeaient le peuple Juif, en l’entourant de toute part et ces points sont cristallisés dans l’amour (d’Aharon) absolu et sans distinction aucune pour tout le peuple Juif. Alors, le cinquième mois, le premier jour du mois nous prépare au service de D.ieu si particulier de « Je suis à mon bien aimé et mon bien aimé est à moi ». « Je suis à mon bien aimé, Ani lé Dodi », l’influence du bas vers le haut, du mois de Elloul et « Mon bien aimé est à moi, Vé Dodi Li », l’influence, du haut vers le bas, du mois de Tichri.
Concrètement ! Ainsi, il existe une relation entre l’amour et la délivrance finale, pas seulement dans le fait que par l’amour, l’exil s’annule car la haine en était la cause, mais aussi puisque nous avons terminé les 42 étapes dans le « désert des nations », que nous nous trouvons déjà sur le Jourdain, à l’instant où le « Machia’h sent et juge », il est certain que la cause qui a provoqué l’exil a déjà été réparée. Nous devons donc insister sur l’amour de son prochain, Ahavat Israël, puisque le début de la délivrance finale est directement liée avec l’unité, avec l’amour qui est au-delà de la division et qui s’exprime depuis le cinquième niveau de l’âme du Juif appelée Yé’hida, l’unique. Cette dernière est égale pour tout Israël ; elle est une étincelle de l’âme du Machia’h (le Machia’h étant la Yé’hida générale du peuple Juif). Précisons que lorsque la Torah nous demande de rapprocher le Juif de la Torah, elle fait allusion en particulier à la Torah que nous étudierons dans le monde à venir, celui de la délivrance, tel qu’il est dit « une nouvelle Torah sortira de Moi ».
Influence et élévation Il faut lier cela avec les paroles de la Michna de cette semaine : « Rabbi Chimon dit : sois en éveil pour la lecture du Chéma et la Téfila ». Le Rabbi Chimon de notre Michna est Rabbi Chimon Ben Nétanel, il est
l’un des cinq élèves de Rabbi Yo’hana Ben Zakay. Si la Michna l’appelle simplement Rabbi Chimon, c’est pour marquer son lien avec Rabbi Chimon Bar Yo’hay pour qui la Torah est l’unique occupation. Pourtant on aurait pu penser que Rabbi Chimon insiste sur l’étude constante de la Torah comme il est dit « Torato Oumanouto », cependant il demande de faire attention (à l’heure) du Kiriat Shéma en employant le mot « Zaïr » qui est lié au fait de briller; ceci est une allusion au fait que l’étude de la Torah fait briller la lumière. A l’exemple d’Aharon qui rapprochait les créatures de la Torah (et non l’inverse) pour les élever véritablement au niveau de la Torah. Rabbi Chimon a introduit dans la Torah sa clarté et sa lumière par la lecture du Chéma qui est dans un niveau qui dépasse la division. Ce qui a permis d’unifier les deux manières de servir D.ieu dans la Torah: du haut vers le bas (Torah) et du bas vers le haut (lecture du Chéma et Téfila). Cependant, l’étude de la Torah peut s’effectuer de deux façons; la première consiste à dire des paroles de Torah et la seconde consiste à discuter de Torah afin d’aboutir à un éclaircissement concernant un sujet. Ces deux manières sont de façon générale, le reflet de la différence qui existe entre l’étude de la Torah (influence) et la Téfila (élévation).
Rajouter dans la joie prépare la délivrance Les sujets abordés plus hauts dépendent du temps, et concernent la conclusion de traités talmudiques fêtées pendant les neuf jours. Ces conclusions d’études ont le but de rajouter dans la joie de la Torah ; « lorsque je vois un disciple des Sages terminer un traité du Talmud, je fais de ce jour un jour de fête pour les Sages ». Il nous faut également rajouter en Tseddaka parce qu’elle rapproche la délivrance. Il faudra aussi, convier les « petits » aux conclusions d’études, c’est à dire, les enfants qui ne sont pas encore liés à l’intellect de la Torah. De la même façon que les conclusions de traités du Talmud la veille de Pessa’h nous préparent à la délivrance d’Égypte, les conclusions d’études durant les neuf jours nous préparent à la délivrance future et finale où D.ieu nous montrera des merveilles comme aux jours de notre sortie d’Égypte.
La délivrance ! Que par les bonnes décisions qui ont été prises, comme citées précédemment, nous rapprochions la troisième délivrance accompagnée du troisième Temple. Étant donné que sont déjà terminées les 42 étapes dans le « désert des nations » du temps de l’exil, que nous nous tenons « de l’autre coté du Jourdain » prêts à rentrer en Israël, dans la ville sainte de Jérusalem, avec le troisième Beit HaMikdach, et ce, jusqu’au saint des saints où se trouvent le Aron et les tables d’alliance. Alors se réveilleront et se lèveront ceux qui dorment dans la poussière, Aharon et Moché et avec eux, tous les Tsaddikim, et tous les princes d’Israël ainsi que le prince de notre génération (le Rabbi Rayats), ensemble, avec des âmes dans les corps de tout le peuple Juif de cette génération, où tous étudieront la nouvelle Torah de D.ieu. C’est alors que Moché nous montrera la délivrance du doigt et nous la verrons de façon dévoilée, concrète, que ce soit tout de suite et immédiatement !
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Ces non-Juifs qui veulent nous servir…
Le mot Guéoula (la délivrance) vient de l’étymologie de Guilouï (le dévoilement), et plus nous entrons et pénétrons dans cette époque, l’ère messianique, et plus se font jours les buts ultimes de la Guéoula. Le Rav et Machpia (maître-éducateur), Zalman Nautik de Jérusalem et enseignant à la Yéchiva ‘Habad de Richone Letsione a rapporté, lors de la réunion ‘hassidique de préparation au grand événement « Machia’h Bakikar », qui s’est tenue aux locaux de l’organisme Mamach à Bné Brak, un fait extraordinaire. « Je donne, une fois par semaine, un cours pour les femmes à Richone Letsione, certaines sont ‘Habad, d’autres traditionnalistes et d’autres encore, juste sympathisantes. En règle générale c’est un cours qui porte sur le Dvar Mal’hout. L’histoire se passe vendredi, il y a deux semaines. Je reçu un coup de téléphone de l’une des participantes au cours. « Rav, je voudrais partager avec vous quelque chose de peu commun. Il se peut que vous ne croyez pas à ce que je vais vous dire, mais tels sont les faits… J’ai reçu un message par whatsapp. Une femme qui se présente comme résidante à ‘Haïfa m’écrit : « Est-il vrai, à ce que l’on dit, que le Machia’h va arriver ? – après que j’eu répondu : « oui » elle poursuivit – est-il vrai que lorsque le Machia’h viendra, les non-Juifs seront les serviteurs des Juifs comme il est dit : « Et leurs rois seront tes nourriciers et leurs princesses, tes nourrices » ? – Je me demandais où elle voulait en venir ne sachant pas à qui j’avais affaire, mais je répondis que c’était la vérité. Et là, à ma grande surprise, elle m’écrivit – « Mon mari et moi, sommes catholiques, habitant à ‘Haïfa dans le quartier de Bat Galim, et d’après tous les signes, nous constatons que la délivrance va intervenir très prochainement. La délivrance du Peuple Juif pour l’éternité. Ainsi, nous désirons, mon mari et moi, nous porter volontaires pour travailler, une fois par semaine, dans une maison Juive. Peu nous importe dans quoi, nous sommes même prêts à faire le ménage, les sols ou autre. C’est très important pour nous de rendre service à n’importe quel Juif, afin que nous ayons ce mérite, lors de la délivrance du Peuple d’Israël ». J’eu grand peine à intégrer les propos de cette dame. Je me disais qu’il s’agissait peut-être d’un couple de non-Juifs, sans travail, prêts à tout accepter comme occupation. Et c’est là qu’intervint la seconde surprise. Lorsque je leur demandais quel était leur métier, elle me répondit, toujours par message, que son mari est mathématicien et conférencier à l’université de ‘Haïfa et qu’ellemême est gérante d’un grand supermarché à ‘Haifa. Un couple d’intellectuels, parents de deux enfants. Sur le moment, je ne sus quoi répliquer et lui dis : « Avant de vous répondre, je dois demander conseil à mon Rav ». « Ok, mais quand aurezvous une réponse ? », je répondis : « Mardi, j’ai un cours avec mon Rav et je lui poserai la question à cette occasion ». Je fus alors surprise pour la troisième fois, car elle écrivit : « Et, que pouvons nous faire, en attendant ? ». C’est alors que
j’eus la présence d’esprit de lui répondre : « En attendant, vous pouvez apprendre les sept Mitvot des enfants de Noé et les diffuser autour de vous, à vos amis ». Elle me demanda, alors, de lui faire parvenir de la documentation écrite en hébreu car tel était leur désir, de diffuser les sept Commandements des Bné Noa’h ! ». Et en effet, le mardi suivant, mon élève me montra sur son téléphone toute la conversation avec ce couple de non-Juifs. Je lui ai donc conseillé d’orienter ce couple vers le Rav Boaz Kali, spécialisé dans la diffusion des sept lois des Bné Noa’h afin qu’ils puissent recevoir des informations complètes. Dans le but qu’ils fassent parvenir cette documentation à tous leurs amis afin d’accélérer le processus de dévoilement de la Guéoula immédiate… (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)
Lois du Temple Un problème à résoudre Nous pouvons mieux comprendre ces concepts en examinant un sujet qui semble paradoxal dans les enseignements de Maïmonide. Dans son commentaire de la Michna, celui-ci explique les avantages qui résultent de l’étude des lois concernant le Second Temple : Lorsque –rapidement et de nos jours – le Temple sera reconstruit, il sera nécessaire de respecter et de suivre ce modèle, car il a été conçu dans un esprit prophétique, ainsi qu’il est dit : « Tout ce qui a été mis par écrit ici a été inspiré par la main de D.ieu qui m’a donné les instructions. (3)» Cette affirmation soulève un problème lorsqu’on la compare à une autre déclaration de Maïmonide dans son Michné Torah sur le même sujet : « Le modèle du Saint Temple construit par le roi Salomon est décrit dans le Livre des Rois, et le modèle de la construction du troisième Temple à l’ère messianique est décrit dans le livre d’Ézéchiel. Néanmoins, la description qui s’y trouve n’est ni expliquée ni élucidée. Ainsi, ceux qui ont construit le deuxième Temple, à l’époque d’Ezra, l’ont fait selon le modèle de celui du roi Salomon en y incluant des éléments détaillés par Ézéchiel. » Ainsi, d’après le Commentaire de la Michna, il apparaît que la construction du Temple de l’ère messianique suivra le modèle du premier et du second Temple, car leur modèle « fut inspiré par la main de D.ieu qui m’en a donné les instructions. » Ainsi, le fait d’étudier les lois de ces modèles précédents nous permettra d’être prêts pour la construction du Temple de l’ère messianique.
Par contre, dans le Michné Torah, il est clair que le modèle du Troisième Temple a sa source dans les prophéties d’Ézéchiel. Il est complètement différent du modèle des premier et deuxième Temples. En fait, les hommes qui ont construit le second Temple savaient qu’ils ne suivaient pas la vision d’Ézéchiel, mais ils n’avaient pas le choix, parce qu’ils ne comprenaient pas le sens exact de ses prophéties. Dès lors, on peut s’interroger sur l’utilité d’étudier les lois concernant le premier et le second Temples à l’heure actuelle. On peut toutefois imaginer qu’une telle étude n’est pas simplement une « promenade » dans l’histoire ancienne. Dans le futur très proche Il en est de même de notre sujet : lorsque nous étudions les lois du Temple, nous devons être conscients que, dans le futur très proche, nous participerons réellement à la construction du bâtiment dont nous étudions les lois. De plus, notre étude des lois concernant le Temple n’est pas seulement considérée comme si nous le construisions, mais elle sert aussi de catalyseur, hâtant ainsi l’arrivée du temps où nous accomplirons réellement cette mitsva d’une façon concrète. Alors nous mériterons de voir la réalisation de notre demande dans la prière du Moussaf des jours de Fêtes : « Reconstruis Ta Maison comme autrefois, et établis Ton Sanctuaire à sa place. Fais nous voir sa construction et réjouis-nous de son achèvement. » Puisse ceci avoir lieu très prochainement. Adapté de Likoutei Si’hot vol. 18 p. 411
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Une conférence quotidienne sur les lois du Temple
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Chaque jour pendant les trois semaines, au 770 à Brooklyn, NY, a lieu un cours magistral sur les lois du Beit HaMikdach (pendant les trois semaines) pour les élèves de la Yéchiva et ceux qui désirent y participer. Cette semaine la conférence fut tenue avec brio par le Roch Yéchiva de Tom’hei Temimim de Cincinnati, le Rav Guerchon Avtsan. Un cours basé sur le Rambam, le traité Midot et la prophétie de Ye’hezkiel. (CI)
Les experts confirment
Le commerce des diamants et des pierres précieuses en Terre d’Israël, est célèbre dans le monde entier. Mais serait-il possible que nous y trouvions des mines de diamants comme l’a prévu le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h ? Si l’on pose la question au Professeur William Griffin, expert en géologie mondialement connu, la réponse sera positive. Lors d’un interview qu’il a accordé au journal Globus, il a déclaré : « Il existe en Israël de grands gisements de pierres précieuses et de diamants ! ». Rien de bien nouveau pour Avi Taüb, directeur de la société Shefa Yamim, qui fait chaque jour de grandes découvertes en ce sens, ayant investi une fortune dans le forage dès le moment où il a entendu la déclaration du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h qu’il existe des pierres précieuses principalement dans le fleuve du Kichone. (GN)
Remercier le Mele’h HaMachia’h !
Acher Betsalel raconte : « Le 11 Nissan, cette année, nous avons vécu un grand miracle. Mon fils, Akiba prend régulièrement la ligne 12 à Jérusalem, et ce jour-là, en fin de journée, ne voyant pas mon fils rentrer, on s’est inquiétés et en entendant les informations nous avons appris qu’il y avait eu un attentat sur la ligne 12, on a appelé l’hôpital où avaient été envoyé les victimes et on nous a dit que notre fils était présent... Je me suis précipité sur les lieux et là je constate que mon fils Akiba était bien à l’hôpital, mais sain et sauf grâce à D.ieu ! En fait il avait l’habitude de s’asseoir sur l’un des sièges du fond et c’est justement là qu’a explosé le paquet piégé. Mais ce jour-là, je ne sais pas pourquoi, il décida de s’installer derrière le chauffeur, et il a été sauvé ! C’est pour cela que nous sommes ici présents, au 770 à New-York, pour remercier le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h pour le miracle qu’il a fait pour nous, et c’est ici que mon fils fêtera sa Bar-Mitsva... » (CI)
Pimento, un magasin qui fait Mivtsaïm
Cette semaine, l’équipe de Guéoula News est partie à Nathanya afin d’élargir sa diffusion hebdomadaire. Et c’est là que nous avons rencontré Michaël Bigio et son épouse qui tiennent un magasin d’épices (d’excellente Cacheroute). Ce couple ‘Habad n’hésite pas à proposer à sa clientèle masculine de mettre les Téfilines et pour les dames, des bougies du Chabbat. Ils distribuent aussi les feuillets de Torah et de diffusion des sources. Une anecdote que nous a cité Michaël : « Lorsque nous avons repris ce local pour y faire les travaux nécessaires à notre commerce, nous avons remarqué une chose que vous pouvez voir, juste là sur la devanture, cette immense photo du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, on a compris qu’on avait fait le bon choix en reprenant cette boutique ». Pimento, 73, re’hov Peta’h Tikva Nathanya - 09-8872497(GN)
La Photo de la semaine Les voitures de la Guéoula, on en fait des Tank de Mitsvot ! (Photo du Chabbat Oufaratsta)
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Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours pour les non-Juifs sur les sept lois Noa’hides. Infos 053-2770419
Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Chabbat à 18h00, réunion des enfants pour la récitation des Psoukim, Paracha glaces et surprises dans le jardin à côté du Matnass à Har ‘Homa. Cours tous les jours en hébreu. Taharat HaMichpa’ha pour les femmes. Infos : 054-4449770 Baby-Sitter Jeune fille sérieuse et responsable garde vos enfants à Har ‘Homa - 052-5201027
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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.
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