MACHIA’H N° 321 - CHABBAT PARACHAT VAET’HANAN CHABBAT 16 MENA’HEM-AV 5776 - 20/08/2016
VIVE LE ROI
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SPECIAL 15 M MENA’HE AV
BH
NOW !
Le grand voyage de la Yéchiva de Mitspé Itsar
Editorial
La belle vie (éternelle)…
Une avancée phénoménale vient de se produire dans le processus de la délivrance immédiate. Un miracle sans précédent est encore une fois passé totalement inaperçu et pourtant celui-ci aurait dû faire la première page des journaux israéliens (tout du moins). En effet, il ne s’est rien passé de grave en Terre d’Israël pendant les trois semaines qui seront vite transformés en jours de joie !
C’est exactement ce genre de merveilles qui sont mis en exergue dans le verset 4 du psaume 136 : « LeOssei Niflaot Guedolot Levado Ki Leolam ‘Hasdo (A Celui qui accomplit, Lui seul, de grandes merveilles, car Sa grâce est éternelle) », c’est à dire qu’Hachem nous fait des miracles et des merveilles dont Lui seul a connaissance ! Et ce sont les plus grands prodiges de la délivrance actuelle. Pas de guerre, ni d’attentats, point de catastrophe dans cette période pourtant si célèbre pour ce genre d’évènements. C’est pour cela que ce journal existe, pour nous faire remarquer la puissance de notre D.ieu et surtout pour Le remercier de tout cela. Donc, merci Hachem de nous avoir sauvé et merci de nous ouvrir les yeux afin que nous soyons conscient de Sa délivrance qui se passe ici et maintenant ! Merci Hachem pour nous avoir donné aussi le jour de fête du 15 Av, qui par sa haute sainteté nous permettra de vivre des moments de joies et de réunions ‘hassidiques. Car le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h nous a fait prendre conscience dans le Dvar Mal’hout de l’importance de ce jour pour nous réjouir, pour augmenter notre étude de la Torah la nuit mais aussi pour vous souhaiter une bonne et douce année de Guéoula ! Or, notre rôle, à présent, est de le dire à tout le monde, d’annoncer autour de nous que la délivrance est là, Machia’h est là et que c’est le Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h Chlita. Nous sommes déjà sauvés, alors il nous reste juste à accueillir le Machia’h, notre juste, tous les jours, jusqu’à ce qu’il se dévoile à nos yeux, immédiatement ! (GB)
NB : Nous remercions à cette occasion le Rav Its’hak Pachter (pour de bons jours et de bonnes années) qui diffuse le journal « Vive le roi Machia’h Now ! », à Nathanya, ville de la Guéoula !
Dix sept jours de voyage
A l’occasion de la fin d’année d’étude, la Yéchiva de Mitspé Itsar s’est concocté un extraordinaire voyage de dix sept jours dénommé « Attraction et études ». Une partie du séjour fut offert sous forme de randonnées, une autre fut plus connectée aux joies des attractions sportives. En bref, un moment plein de joie et de retrouvailles avec la nature. (CI)
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Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !
L’Edit Royal Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat «Na’hamou» Parachat Vaet’hanan - 16 Mena’hem-Av 5751-1991 La révélation de l’Infini Il est un principe selon lequel la « Haftara » qui est lue chaque Chabbat est liée, dans son contenu, avec la Paracha hebdomadaire dont elle suit la lecture. Ceci est vrai même dans les cas où la Haftara évoque principalement les évènements qui se sont historiquement déroulés dans cette période de l’année. Ainsi, la Haftara de ce Chabbat, « Na’hamou Na’hamou ‘Ami - Consolez, consolez Mon peuple » (1) qui vient apporter la consolation après la période de la destruction du Temple, estelle également liée à la Paracha de cette semaine, celle de « Vaét’hanane ». Ce lien apparaît a priori de façon évidente : la Haftara évoque la double consolation - pour la destruction du premier et du second Temple - que constituera l’édification du troisième Temple, un édifice éternel dans une délivrance éternelle. La Paracha, quant à elle, rapporte la demande de Moïse à D.ieu de rentrer en Terre Sainte. Or, si cette prière avait été exaucée, le peuple d’Israël serait alors entré sur sa terre avec Moïse et cela aurait immédiatement constitué une délivrance complète et éternelle et le Temple qui aurait alors été bâti aurait été éternel lui aussi. Il convient cependant de nuancer cette similitude. En effet, dans la Paracha de Vaét’hanane, il est également mentionné que la requête de Moïse ne fut pas accordée et que c’est finalement Josué qui fit entrer le peuple en Terre Sainte. À cause de cela, cette entrée ne fut pas totalement aboutie, ce qui permit par la suite que le Temple fut détruit. Or, dans la Haftara, il est fait mention de la consolation redoublée à travers la construction d’un Temple éternel lors d’une délivrance éternelle qui supprimera définitivement l’exil ! Ainsi, bien que la Paracha souligne la nécessité de la consolation, elle n’apparaît cependant pas liée au contenu de la Haftara. La multiplication sans proportions Pour résoudre cette difficulté, il convient de s’attarder sur la dimension messianique de cette Haftara : « Consolez, consolez Mon peuple » n’est pas seulement évocateur de la délivrance par la mention de la consolation, mais aussi par sa formulation redoublée. En effet, le Midrache (2) cite cinq lettres des Écritures qui sont doublées en relation avec la délivrance messianique, telle que l’injonction divine à l’adresse d’Avraham « Le’h Le’ha Va pour toi », liée à sa délivrance d’Ur en Chaldée pour aller vers la terre promise, ou encore « Pakod Pakadti Et’hem - Je me suis souvenu de vous », les paroles divines annonciatrices de la délivrance que Moïse rapporta aux Enfants d’Israël en Égypte en entamant sa mission. Le verset « Kiflaïm létouchiah - multiple d’après la sagesse de la Torah » (3) fait également allusion à la délivrance, car « Touchiah » est à rapprocher de « Yéchou’ah - la délivrance ».
Le rapport entre la délivrance et le doublement vient du fait que ce dernier ne représente pas seulement la multiplication par deux, mais évoque l’accroissement à l’infini (car aucune limite n’est précisée quant au nombre de doublements à effectuer). Or, l’infini est une caractéristique de l’ère messianique, car celle-ci tout comme le troisième Temple seront éternels, c’est-à-dire infinis dans le temps. En outre, la répétition de « Na’hamou Na’hamou ‘Ami - Consolez, consolez Mon peuple » est encore plus évocatrice de la délivrance que « Le’h le’ha », « Pakod Pakadti » ou autres, car, contrairement aux autres cas, il s’agit de la répétition du même mot, qui garde le même sens dans ses deux occurrences. En effet, lorsque la répétition n’est pas parfaitement identique, les deux termes désignent différentes modalités de délivrance, chacune possédant ses qualités exclusives. Cela exprime alors une perfection atteinte par la somme de différentes qualités et ne constitue donc pas l’expression d’une véritable infinité. En revanche, la répétition de « Na’hamou Na’hamou » évoque l’infini absolu (qui contient en lui toutes les modalités éventuelles de la délivrance). Ceci est d’autant plus clair sachant que cette expression est prononcée par D.ieu Lui-même, qui est le véritable Infini. Toutes les qualités On peut cependant poser la question suivante : dans la mesure où la consolation divine se concrétisera à travers la reconstruction du Temple (et non par des paroles apaisantes, par exemple), en quoi le fait que celle-ci suive la destruction deux fois répétée du Temple, joue-t-il ? Il semble en effet, a priori, que le troisième Temple ne fera que remplacer le deuxième. Dès lors, en quoi s’agit-il d’une « double » consolation ? La réponse à cela tient dans le fait que les deux premiers Temples représentèrent des niveaux différents : le premier Temple se distingua par un très haut dévoilement divin. Seul celui-ci, d’ailleurs, contint l’Arche Sainte renfermant les Tables de la Loi, définie comme le « lieu de repos de la Présence Divine ». Le second Temple, à l’opposé, fut caractérisé par une plus grande pénétration de la sainteté à l’intérieur du monde : il dura plus longtemps (420 ans au lieu de 410 ans pour le premier) et ses dimensions furent plus grandes. Le troisième Temple, quant à lui, possédera les qualités respectives du premier et du second Temples. Il ne s’agira cependant pas de qualités distinctes et opposées, car ce Temple sera caractérisé par l’infini absolu et conjuguera donc naturellement toutes les qualités possibles. On y trouvera dès lors le plus haut dévoilement divin, la plus grande pénétration des dimensions matérielles et la conjonction des deux en une seule qualité. C’est pourquoi ce Temple sera non seulement « troisième », mais aussi « triple » dans sa qualité.
Telle est donc la « double consolation » exprimée par le début de notre Haftara : « Na’hamou Na’hamou ‘Ami - Consolez, consolez Mon peuple ». La Paracha de la Délivrance Il apparaît que cette qualité est également présente dans notre Paracha, Vaet’hanane. En effet, celle-ci est caractérisée par la répétition des Dix Commandements (qui ont déjà été écrits dans la Paracha de Yitro). Cette double apparition des Dix Commandements dans le texte de la Torah s’explique par le fait que leur première mention souligne l’ampleur de la révélation divine qui eut lieu au Sinaï, alors que leur seconde occurrence met plus en avant l’acceptation et l’intégration de ces principes par les Enfants d’Israël. Cependant, comme nous l’avons dit plus haut, la répétition symbolise également l’accroissement à l’infini. La répétition du Don de la Torah fait donc aussi référence à la révélation des degrés infinis de la Torah qui aura lieu dans les temps messianiques. Celle-ci conjuguera les deux qualités évoquées, la révélation d’En-Haut et l’intégration en bas, auxquelles s’ajoutera leur conjonction en un seul mouvement, s’agissant de la révélation de l’Infini absolu. Le 15 Av désigne la pleine lune du mois dans lequel est né le Machia’h et dans lequel son « Mazal » est donc le plus fort, ce qui rappelle et exprime que la destruction du Temple dans ce mois eut lieu uniquement dans le but qu’il soit reconstruit dans ce mois. La veille du Chabbat évoque la perfection de la préparation à la délivrance qui est appelée « Le jour qui sera entièrement Chabbat et repos pour une vie éternelle ». Trois choses Dans le troisième chapitre des « Pirkei Avot » que nous lisons ce Chabbat, il est dit « Considère trois choses et tu n’en viendras pas à fauter » suite à quoi vient l’énumération de ces trois choses. Cependant, il est possible d’expliquer cette phrase de la Michna en elle-même : « Considère » : réfléchis et médite profondément jusqu’à ce que la vérité de la chose t’apparaisse comme si tu la voyais de tes yeux. « Trois choses » : c’est-à-dire le troisième Temple qui aura trois qualités : 1. la qualité du premier Temple, 2. la qualité du second Temple, 3. la réunion de ces deux qualités ensemble. Et grâce à cela nous mériterons immédiatement de voir concrètement la troisième délivrance avec le troisième Temple et nous mériterons la « nouvelle Torah » qui sera alors révélée et à l’accomplissement de la prière de Moïse « Laisse-moi traverser que je voie ce bon pays... cette belle montagne (c’est Jérusalem - Rachi) et le Liban (c’est le Temple - Rachi) ». Notes : 1/ Isaïe 40, 1 – 2/ Yalkout Chimoni Lekh Lekha § 64 et autres – 3/ Job 11, 6 – 4/ fin du traité Taanit, voir Rachi – 5/ Isaïe 51, 4 ; Midrache Vayikra Rabbah 13, 3 – 6/ Midrache Yalkout Chimoni Isaïe § 499
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Tombés du ciel !
La demande inscrite dans le Dvar Mal’hout de la Parachat Vayéchev 5752 est celle de diffuser les miracles et prodiges qu’Hachem produit à notre encontre lors de cette période de délivrance messianique. Ainsi, mettrons-nous en pratique cet enseignement, afin de remercier Hachem de nous montrer les signes actuels de la Guéoula immédiate.
L’histoire se passe, il y a deux semaines de cela alors que le Rav Raphaël Silman et moi-même travaillons au « Mivtsa Michnaïot ». Une opération sur la ville de Jérusalem dont le but est de donner à chaque patron d’entreprise, un temps d’étude quotidien sur un chapitre de la Michna afin que chaque magasin, entreprise ou agence, rétablisse un bon niveau économique puisque d’après les Igueroth Kodech que nous avons ouvert, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h donnait sa bénédiction pour cette étude dans le but d’augmenter les revenus des entreprises situées au centre de Jérusalem et aux alentours. Il est à noter à ce propos que « Michna » possède la même valeur numérique que « Parnassa (les finances) »… Alors que nous visitions des entreprises dans le quartier industriel de Talpiot à Jérusalem, nous sommes entrés dans une agence dont le travail est de vendre des véhicules ayant servis à la location pendant quelques années, voire quelques mois. Le chef de cette agence s’appelle Avraham, la quarantaine, d’origine marocaine, sympathique et avenant, traditionnaliste, mais n’en portant pas encore les signes extérieurs. Nous étions déjà venu lui proposer ce type d’étude, mais, il n’en avait pas bien compris le sens, malgré les Igueroth Kodech que nous avions ouvert, alors pour lui, qui conseillaient vivement d’en entreprendre l’étude. Cette fois-ci, nous le rencontrâmes entouré d’amis qui, apparemment, lui donnaient des conseils, mais, saturé de leurs paroles, il se tourna vers nous et nous demanda d’entrer dans son bureau. Il nous confia que son agence était en fin de course et : « Je ne sais plus quoi faire, je me suis tourné vers toutes sortes de « Segoulot », de rabbins bien intentionnés, j’ai suivi leurs conseils, mais cela fait deux mois qu’aucun client n’a franchit le seuil de cette porte ! J’ai dit à mon épouse que je pensais sérieusement fermer mon entreprise et elle m’a dit de me tourner vers le Saint béni soit-Il, mais je ne sais plus quoi faire, je mets les Téfilines et encore plusieurs bonnes choses, mais rien ne se passe… ». Rav Raphaël lui répondit : « Nous vous avons déjà parlé de la puissance des Michnaïot. Il serait bon que vous étudiez régulièrement ces textes qui sont à l’origine de la loi orale et des Ala’hotes. Voudriezvous que nous en étudions une avec vous ? Ensuite nous demanderons conseil dans les Igueroth Kodech pour vous, d’accord ? » - « Allons-y » répondit-il, à cours de ressources. Rav Raphaël ouvrit alors l’un des fascicules dans lequels se trouve un chapitre de la Michna commenté par le Kehati et lui en lut le contenu en en expliquant les termes. Lorsqu’il eut terminé, nous lui demandâmes ce qu’il désirait comme bénédiction dans les Igueroth Kodech. Il demanda : « La bonne santé et la réussite financière ! ». Après avoir prononcé trois fois « Ye’hi Adoneinou… », je lui lu la réponse et en fait, la lettre parlait exactement d’une bonne santé et d’un retour à la réussite économique. La lettre se concluait exacte-
ment en ces termes, mais je n’eu pas le temps de lire la fin de la lettre car, il se passa quelques chose qui m’en empêcha. Un Juif, qui entra d’entre les voitures en exposition, le téléphone à l’oreille, d’une apparence tout à fait honorable, il évoluait rapidement entre les automobiles et lança à notre ami : « La mégane, ici, quelle est son histoire ? ». Avraham surpris, lui en donna la description technique et lui spécifia que la boîte à vitesse en est manuelle. Le personnage, déjà entré dans le bureau, lui dit que c’était regrettable, parce que c’est pour sa fille et qu’il ne voulait pas qu’elle ait à se prendre la tête avec ça. Avraham lui rétorqua, que la boîte
manuelle est bien plus sûre que l’automatique et sur ce, le Juif lui demanda s’il pouvait avoir une réduction. Avraham la lui accorda sur le champs et c’est alors que le nouveau client lui présenta une carte de crédit et lui dit : « en une fois s’il vous plaît », Avraham, encore une fois surpris, lui dit qu’en vingt années de bons et loyaux services dans cette agence, il n’avait jamais vu un seul paiement en carte bleue. En bref, il trouva un ami qui, lui, travaillait avec ce système et qui acceptait de faire pour lui, la transaction. Ce que nous vivions à ce moment-là, était comme une sorte de rêve éveillé. Un homme, désespéré, prêt à fermer son entreprise, après l’étude de la Michna voit devant lui un client qui en moins de deux minutes est prêt à acheter une voiture avec sa carte de crédit ! Lorsque nous sommes sortis de cette agence, les amis d’Avraham nous ont regardé comme si nous étions apparus, tels des anges du ciel tombés du ciel, ou quelque chose comme ça… (Gabriel Beckouche de l’équipe de Guéoula News)
Machia’h & Guéoula
Un tournant extrême En relation avec le 15 Av, à partir duquel les nuits recommencent à s’allonger sensiblement, nos Sages ont donné l’instruction suivante : « À partir du 15 Av, celui qui rajoute du temps de la nuit sur celui du jour à l’étude de la Torah, rajoute du temps à sa vie » (4). Cet enseignement est a priori surprenant, car il est de toute façon du devoir d’un Juif d’exploiter tout le temps dont il dispose pour l’étude de la Torah dans la mesure de ses capacités. Ainsi, l’ajout dans l’étude auquel il est ici fait référence ne peut être qu’un ajout qui transcende toute limitation !
Comme le dit notre Paracha : « Tu aimeras l’Éternel ton D.ieu... ‘Be’hol Méodé’ha’ - de tout ton pouvoir », littéralement « de toute ta profusion » (car « Méod » signifie « beaucoup »), c’est-à-dire au-delà de tes limites (‘Méodé’ha’ - ‘ce qui est pour toi beaucoup’), ce qui te lie avec l’Infini divin. Il s’agit donc d’une préparation adéquate à l’ajout infini dans l’étude de la Torah qui aura lieu lors de la révélation messianique de la « nouvelle Torah (qui) sortira de Moi » (5). Et, grâce à cela, on parviendra à la plénitude du « rajout du temps à la vie » au-delà de toute limite : la vie éternelle. Tout ceci est d’autant plus accentué cette année qui est, d’après tous les signes, «l’année dans laquelle le roi Machia’h se dévoilera» (6), (en plus du compte selon lequel nous sommes historiquement à « la veille de Chabbat après le milieu du jour » à partir de l’an 5751), et dont l’écriture en lettres hébraïques forme l’acrostiche de « Ce sera
une année de prodiges que Je leur montrerai ». Sachant en particulier que, tout au long de l’année, on a assisté (et on assistera encore) à des évènements de l’ordre du prodige, chacun plus « prodigieux » que le précédent, ce qui suscite à chaque fois une nouvelle émotion. Ceci inclut le « prodige » qui se déroule ces joursci : le congrès des ‘hassidim et des émissaires à Moscou, capitale de la Russie, pour débattre de la façon d’amplifier l’œuvre de renforcement du Judaïsme et de diffusion de la ‘Hassidout dans le monde entier. On voit de quelle façon ce pays qui avait, dans le passé, combattu l’œuvre de mon beau-père, le Rabbi précédent, accueille et honore ses disciples et ses émissaires qui perpétuent son action. Ainsi, alors que nous nous trouvons à la fin de cette année, après le mois de Nissan, le mois de la délivrance, et les mois suivants et que nous commençons à nous préparer au mois de Elloul, il est évident que la délivrance messianique doit intervenir immédiatement. Et, puisque nous nous trouvons au seuil de la délivrance lors de laquelle tout sera dévoilé de façon infinie, il convient que nous commencions à « goûter » à cet infini dès à présent (selon la coutume de goûter aux « plats » du Chabbat la veille du Chabbat) en rajoutant à l’étude de la Torah et à la pratique du Judaïsme d’une façon qui transcende toute limite, en particulier dans l’étude de la partie profonde de la Torah, la ‘Hassidout, et dans l’étude des sujets qui traitent de la délivrance messianique. Il est bon d’organiser en cela des cours collectifs rassemblant au moins dix hommes. (Dvar Mal’hout)
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Un camp d’été en Pennsylvanie
Une réussite sans précédent pour le camp d’été des « ‘Hayalei Hamele’h (les soldats du roi) », qui se déroula dans les montagnes de Pennsylvanie. Le souvenir qu’emporteront les jeunes participants à ce camp d’été sera une énergie nouvelle à investir dans leurs études mais aussi la photo de groupe où chacun pourra revoir ses amis. (CI)
Retracer l’itinéraire
Dans le cadre de ses activités d’été, la Yéchiva de Brunoy a organisé un parcours sur les traces du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h dans la grande capitale française. Tout d’abord dans les premières années, alors qu’il résidait à Paris avec son épouse, la Rabbanite ‘Haya Mouchka, et plus tard, alors qu’il était venu de New-York accueillir sa mère, la Rabbanite ‘Hanna. Cette merveilleuse journée a été planifiée à l’attention des élèves du Chiour Alef Métivta. (CI)
Kiddouch Lévana dans la joie de la Guéoula
Dimanche soir, à 21h30, dans la rue piétonne Ben-Yehouda au centre ville de Jérusalem, ont eu lieu les danses pour accueillir le roi Machia’h dans la plus grande joie à l’occasion de la cérémonie de la sanctification de la lune (Kiddouch Lévana). Cet événement mensuel est organisé par la Yéchivat « HaMele’h HaMachia’h ‘Habad » dirigée par le Rav Doron Oren. Des centaines de jeunes étaient présents entraînés par les jeunes « Ba’hourim » de la Yéchiva, dans les danses enflammées de la Guéoula avec les drapeaux jaunes du Machia’h qui unissent le Peuple Juif en cette période messianique. Photos : ‘Hanan Yaacov Lev et Méïr Braunsteïn (GN)
Le Comics Tanya
Ces derniers mois, dans le centre de Jérusalem, on a pu rencontrer le ‘Hassid Eliahou Dekel, qui diffuse avec force et courage la bande dessinée « Hadere’h Arouka Ou Ktsara (le chemin long et court) », une fantastique illustration de l’œuvre magistrale de Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi qui a écrit ce livre saint avec lequel nous allons dès maintenant, à la rencontre du roi Machia’h ! Pour se procurer la bande dessinée, Eliahou Dekel : 058-7521585 (GN)
Photo de la semaine
Au 770, les danses de la Guéoula avec le délégué de Guéoula News, le ‘Hassid Rav Its’hak Marks à New-York
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Igueroth Kodech
et vivez les merveilles de la Guéoula viveleroi770@gmail.com Nouveau cours de Tanya à Jérusalem par le Rav Gabriel Beckouche - Lundi à 17h00 à la vieille ville au 20, re’hov Beth-El 1er étage Deborah : 052-3862960
Retouches Textile & Création
Sur Jérusalem Yaël : 058-4452490 Petites Annonces
Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours pour les non-Juifs sur les sept lois Noa’hides. Infos 053-2770419
Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Chabbat à 18h00, réunion des enfants pour la récitation des Psoukim, Paracha glaces et surprises dans le jardin à côté du Matnass à Har ‘Homa. Cours tous les jours en hébreu. Taharat HaMichpa’ha pour les femmes. Grand Farbrenguen du 15 Av avec le Rav Gabriel Beckouche - Jeudi soir à 21h00 au 17, re’hov HaMamatsi, Har ‘Homa - Grand repas et ambiance de Guéoula ! Infos : 054-4449770
Pour soutenir la Newsletter de la Guéoula 058-4770055 ou gueoulanews@gmail.com L E
C A R N E T
Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Mercedès Sarah Bat Fifine, Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah
La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.
Horaires de Chabbat à Jérusalem Chabbat Parachat Vaét’hanan : Entrée : 18h42 - Sortie : 19h54
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