Vive le roi Machia'h Now ! n°322

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MACHIA’H N° 322 - CHABBAT PARACHAT EKEV CHABBAT 23 MENA’HEM-AV 5776 QUI BENIT LE MOIS D’ELLOUL - 27/08/2016

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VIVE LE ROI

Hebdomadaire - Edition française - www.viveleroi770.com viveleroi770@gmail.com - 058-4770055

NOW !

Editorial

Le mois d’Elloul en Guéoula Ce Chabbat est le jour-charnière entre l’année 5776 et celle qui vient, l’année 5777. En effet, ce Chabbat Parachat Ekev vient bénir le mois d’Elloul qui, lui, est un mois entièrement consacré à la préparation des fêtes de Tichri de la nouvelle année. Mais quel est le point central d’un mois d’Elloul en période de Guéoula ? Dans le Dvar Mal’hout de cette semaine, il existe une indication pour expliquer la grandeur de ce mois où « le roi est dans les champs », accessible à tous. Son visage est bienveillant et souriant et il agrée les demandes de chacun. Ce point est, en fait, la préparation à cet entretien avec le roi dans les champs, c’est à dire le bilan de l’année qui vient de s’écouler afin de proposer au Roi des rois, un plan d’action pour la nouvelle année. Par exemple, cette année, on a fait quelques bonnes actions qui vont au-delà des prières, des Mitsvot que chacun fait selon ses moyens. Comme des réunions ‘hassidiques dans la joie de la Guéoula, de l’aide aux familles en difficulté, des cours de Torah, de la Tseddaka substantielle, en bref des actions d’éclat qui vont illuminer les jours profanes de l’année, ou alors un Chabbat organisé avec des cours, des conférences, de grands repas, des chants et des danses de Guéoula. On essayera de faire ce genre de choses exceptionnelles cette année aussi, afin de montrer au Roi de quoi nous sommes capables et Lui, en retour, investira sur nous en nous accordant Ses bénédictions matérielles et spirituelles. Et l’on verra, d’une part, le dévoilement de notre étincelle de Machia’h, et l’on ressentira la Présence Divine qui se dévoile lors de ce genre de manifestations. Du coup, on aura plus besoin de rectifier les actions indésirables car on aura plus le temps ni l’envie d’en commettre, et on vivra réellement la Délivrance finale. Tel est le mois d’Elloul dans l’ère messianique, lors de la Guéoula actuelle ! (GB)

3000 Soldats de Tsivot Hachem au Gan Israël

Les enfants de Tsivot Hachem, suite aux multiples camps de vacance, se sont réunis cette semaine pour une grande manifestation sous la direction du Rav David Na’hchon. Celle-ci a eu lieu dans le grand parc aquatique « Le Memadien » à Tel Aviv, après les discours et les représentations des moniteurs, les enfants ont eu accès au parc pour leur plus grand plaisir. Photos ‘Haïm Touitou (CI)

Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


L’Edit Royal Dvar Mal’hout Résumé du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Chabbat Parachat Ekev - 23 Mena’hem-Av 5751-1991 Voir la Guéoula

Il est notoire que, parmi les mois de l’année, le mois de Elloul est le plus approprié à l’introspection et l’examen de soi (« ‘Hechbone Nefech ») afin de rectifier les errements de l’année qui s’achève et se préparer comme il convient à l’année nouvelle. À l’approche du mois de Elloul, il convient dès lors de s’interroger sur la façon dont cette introspection doit être menée et à quelles modifications de notre comportement elle doit donner lieu.

long et profond effort. En revanche, l’âme d’un Juif est totalement au-delà des limitations de ce monde, étant une parcelle du Divin « Mamach concrète » comme le dit le Tanya, c’est-à-dire qu’elle garde son caractère divin même lorsqu’elle est revêtue du corps, ici-bas, dans le monde matériel et « concret ». Et, de par les forces de son âme, le Juif peut s’affranchir de la nécessité de progresser petit à petit et peut d’emblée exiger de luimême de servir D.ieu à la perfection, d’une façon qui relève du « Chabbat », d’une façon « céleste », jusqu’à accomplir des merveilles et toucher à la perfection messianique, « le jour qui sera entièrement Chabbat et repos pour la vie éternelle » (3). Il ressort de tout ce qui précède que le Juif doit toujours servir D.ieu sur deux plans. D’un côté, il doit toujours servir D.ieu de façon structurée et ordonnée, en progressant étape par étape. Et cela doit toujours être le cas, même dans des jours aussi élevés que Yom Kippour ou Sim’hat Torah (et pour preuve : ces jours sont également intégrés au déroulement de la semaine qui est progressif). D’un autre côté, un Juif doit toujours, même les jours profanes, servir D.ieu « du haut vers le bas » en accomplissant son devoir à la perfection en puisant dans les forces de son âme le niveau de « Chabbat » qui est en soi. (A l’instar de Chamaï qui vivait toute la semaine en fonction du Chabbat, réservant toute nourriture de qualité qu’il trouvait en semaine pour « l’honneur du Chabbat ».)

Dans la mesure où le mois de Elloul est celui du bilan récapitulatif de l’ensemble de l’année, il exprime d’autant plus le rôle de l’homme de servir son Créateur, notamment dans l’acrostiche formé par ses lettres « Ani Lédodi Védodi Li, Je suis à mon bien-aimé (D.ieu) et mon bien-aimé est à moi » (1). Ce verset exprime en effet le lien entre le Juif et D.ieu, soit dans le service de D.ieu à travers l’étude de la Torah et l’accomplissement des Mitsvot (« Je suis à mon bien-aimé »), soit dans l’assistance que D.ieu prodigue à l’homme (« mon bien-aimé est à moi »). Le mois de Elloul enseigne donc qu’il ne convient pas d’attendre passivement que D.ieu se manifeste, mais, au contraire, que l’essentiel et la base de cette relation est l’effort de l’homme, exprimé par le début du verset « Je suis à mon bien-aimé », auquel l’assisD’un point de vue général, on retrouve ces deux nitance divine fait suite. veaux dans deux catégories au sein du peuple juif : Et bien que, pour pouvoir initier cet effort, nous re- le service divin de certains Juifs est essentiellement cevions déjà une aide d’En-Haut (comme l’in- l’étude de la Torah, qui est au-delà du monde, alors fluence des Treize Attributs de Miséricorde divine que celui de certains autres est axé sur le rapport qui sont révélés pendant le mois de Elloul), nous au monde à travers l’exercice de leur profession. devons être conscients que là n’est pas l’essentiel : ce n’est qu’à travers l’accomplissement de notre Quel est le plus important ? mission par nos propres forces que nous pouvons Dans la mesure où, comme nous l’avons dit plus mériter une manifestation divine qui soit intégrée haut, l’essentiel est l’effort du Juif (« Je suis à mon et perceptible et d’une plus grande intensité bien-aimé ») et l’assistance divine n’intervient que dans un deuxième temps, ainsi en est-il en ce qui (« mon bien-aimé est à moi »). Ceci étant établi, nous avons vu que la seconde par- concerne les deux approches du service de D.ieu : tie du nom « Elloul », les lettres Vav et Lamed qui l’essentiel et la base est précisément lorsque font allusion aux mots « Védodi Li, mon bien-aimé l’homme sert D.ieu avec sa dimension physique est à moi », représente l’aide que D.ieu apporte à qu’il élève « du bas vers le haut » et ce n’est qu’enl’homme. Cependant, dans la mesure où il s’agit suite que vient le service de D.ieu avec son âme. également d’une partie du nom du mois du bilan du service de l’homme, il est clair que cela fait aussi La raison à cela est simple. Puisque D.ieu souhaite référence à un niveau de ce service. C’est lorsque avant tout que ce monde-ci, le monde matériel, soit l’homme sert D.ieu « d’En-haut », c’est-à-dire en raffiné et élevé, il est clair qu’il est nécessaire d’acfaisant totalement abstraction des difficultés que complir cette tâche au sein du monde et en fonction de ses paramètres. Il est vrai que ce travail le monde peut opposer à son service de D.ieu. exige beaucoup de temps et d’efforts et qu’il faut avancer étape par étape, mais il n’est pas possible L’âme et le corps Ces deux approches du service de D.ieu existent de sauter directement à des stades plus élevés, car depuis la Création du monde. En effet, celui-ci fut on s’apercevra en définitive que le monde n’est pas créé le premier jour (dimanche) pour enseigner à apte à en soutenir la révélation. servir D.ieu « du bas vers le haut » et, d’autre part, Certes, chaque Juif a reçu une âme particulièreles livres de Kabbalah enseignent qu’un Chabbat a ment élevée qui peut accomplir son œuvre « du précédé la Création du monde (2) dont la perfec- haut vers le bas », mais cela ne peut que venir tion a béni et investi les jours de la Création, ensei- s’ajouter à l’essentiel qui est le travail « d’en bas ». Il ne faut pas croire que, de cette façon, l’élévation gnant l’approche « du haut vers le bas ». finale sera moindre. Au contraire, c’est préciCes deux approches se retrouvent chez chaque sément ainsi que nous parviendrons à la réJuif. Le corps fut créé à partir de la terre et, pour le vélation de l’Essence de D.ieu (« Atsmout raffiner et l’élever, il est nécessaire de mener un OuMahout »).

En résumé, le mois de Elloul présente trois approches du service de D.ieu : 1/ « Ani Lédodi - Je suis à mon bien-aimé », le service « du bas vers le haut », limité en fonction des capacités du monde, mais qui a pour avantage d’exercer une influence en profondeur ; 2/ « Védodi Li -mon bien-aimé est à moi », le service « du haut vers le bas », une attitude que rien ne limite, mais qui ne pénètre pas le monde ; 3/ « Elloul », la conjonction des deux approches précédentes, de sorte que le service illimité de D.ieu pénètre également le monde.

Tout se retrouve dans la Paracha Nous pouvons, dès lors, comprendre le lien de ce qui précède avec la Paracha que nous lisons ce Chabbat, Ekev : Le terme « Ekev » possède deux sens : le sens simple est que D.ieu va accorder une rétribution pour l’accomplissement de Ses commandements (« Vehaya Ekev Tichmeoun - Suite à votre obéissance à ces lois [...] Il bénira le fruit de tes entrailles et le fruit de ton sol... » (4)) Rachi, cependant, donne une autre interprétation : « Ekev » désigne, parmi les commandements, ceux auxquels l’homme attribue peu d’importance et qu’il a tendance à négliger, à « piétiner » de son « talon » qui se dit en hébreu « Ekev ». Deux questions se posent face à ces deux interprétations : 1/ pourquoi Rachi n’a-t-il pas traduit ce mot selon le sens le plus simple et le plus évident ? 2/ quel est le rapport entre ces deux interprétations ? La réponse à cela est que D.ieu récompensera certes l’accomplissement de Ses commandements (comme l’enseigne la première interprétation), mais la façon d’y parvenir est précisément en commençant par les « petites » choses, les commandements que l’homme « foule de ses talons ». Rachi a donc choisi cette interprétation pour enseigner que là est l’essentiel et la base du service divin et que ce n’est qu’en passant par là que l’on peut ensuite parvenir à la perfection.

La génération de la délivrance Cet enseignement est lié de façon particulière à la période actuelle et à notre génération, la génération de la délivrance (comme il est de coutume, ces derniers temps, de relier chaque sujet à la délivrance messianique). Notre époque est appelée dans le Talmud « Ikvéta DeMéchi’ha, le talon du Messie », expression qui revêt deux significations : 1/ Il s’agit de la génération la plus basse de l’histoire de l’humanité, comme le talon qui est la partie la plus basse du corps (et c’est pour cela qu’elle est marquée par l’accroissement de l’insolence et autres maux) 2/ Elle est « Ekev », la fin de l’exil dans laquelle le Machia’h va arriver incessamment. La relation entre ces deux sens est que, comme nous l’avons vu plus haut, c’est précisément du fait que cette génération est la plus basse, que l’œuvre du peuple juif pour l’élever marque la dernière étape de l’exil et son parachèvement, ce qui nous amène ensuite immédiatement à la délivrance complète, à l’ère messianique dans laquelle il y aura l’association parfaite du « haut » et du « bas ».

Notes : 1/ Cantique des cantiques, 6.3, 2/ Pardess chaar 4, chap. 7 et autres, 3/ fin du traité Tamid, 4/ Deutéronome 7.12-13, 5/ Midrache Béréchit Rabba § 95, 6/ Midrache Téhilim 146, 8


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Surmonter l’épreuve

Rav Oren Raz est l’émissaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h dans la ville de S. Cristobal de Las Casas, au sud du Mexique. Né et éduqué dans les Kibboutzim d’Israël, il a longtemps « bourlingué » avant de rencontrer ‘Habad, d’étudier à Tsfat, de recevoir son ordination rabbinique et de se marier…

Ayant cherché un lieu pour s’y établir et y accomplir la mission fixée par le Rabbi, et après avoir visité de nombreux pays, Rav Oren se décida pour S. Cristobal, située à 2000 mètres d’altitude, près de la frontière du Guatemala, une ville qui attire de nombreux israéliens, et il s’y fixa avec son épouse et ses quatre enfants. L’installation de son Beit ‘Habad, dans une baraque de bois, et l’accomplissement de sa mission ne furent pas une sinécure et les revenus de la famille étaient pour le moins difficiles. Ce qui ne l’empêchait pas de travailler avec ardeur à la diffusion du Judaïsme et connaître des résultats spirituels encourageants. Une nuit, sa femme fit un rêve, dont l’impact sur le couple n’est pas prêt de s’effacer. Elle se trouvait à New-York, Brooklyn, au 770, quartier général de Loubavitch, devant le Rabbi qui lui déclara que leurs problèmes matériels allaient disparaître. Puis, sans transition, elle était invitée à une réception de mariage, dont les participants n’avaient pas l’air d’être très pratiquants, lorsqu’une femme s’approcha d’elle, vêtue, en revanche comme une orthodoxe, et lui disait : « Je vais vous mettre en contact avec des gens qui vont vous aider ». Rav Oren savait qu’un rêve dans lequel le Rabbi est impliqué n’est jamais sans importance. Aussi guetta t-il un signe, qui ne tarda pas à se manifester. Deux semaines plus tard, un appel de Mexico, la capitale, lui apprenait en substance qu’une famille aisée, qui désirait passer ses vacances à S. Cristobal, manifestait son désir d’être invitée au Beit ‘Habad, pour y séjourner, en même temps, dans une atmosphère juive. « Mon épouse – disait le correspondant – est en contact avec la famille du gouverneur, et nous arrangerons notre séjour pour vous causer le minimum de dérangement. Nous serons logés à l’hôtel, et nous vous demandons simplement de nous inviter pour les repas ». Le Rav Oren accepta évidemment, et toute sa famille travailla pendant le délai imparti à préparer le séjour de ces visiteurs, malgré la pauvreté de leurs moyens et la modestie de leur cadre de vie. Au jour dit, une luxueuse limousine amena leurs invités de l’aéroport. Lorsqu’elle entra dans la maison de ‘Habad, la mère de famille remarquant le portrait du Rabbi qui ornait l’un des murs, déclara aussitôt : « Je suis liée à Loubavitch ». Leur séjour se passa merveilleusement bien, et lorsque vint le moment de se quitter, le père dit au Rav qu’il avait bien remarqué les efforts qu’il avait déployé pour leur hospitalité, et qu’il tenait à l’en remercier par un don pour financer une nouvelle installation de celui-ci. De fait, dix jours plus tard, un appel téléphonique de l’homme, l’informait qu’un chèque était à sa disposition, qui serait libellé du montant nécessaire à l’achat de la nouvelle maison. Néanmoins, ce geste était assorti de deux conditions que l’émissaire jugea contraires à la volonté du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h et donc, sans hésiter, le Rav

Oren refusa l’offre : « Je renonce à votre offre généreuse », eut-il le courage de déclarer, et il raccrocha. Sa décision, qu’il avait prise en toute conscience et qu’il ne remettait pas en cause, le laissa abattu pendant une semaine. En effet, il ne pouvait oublier le rêve prémonitoire de son épouse, et il se demandait pourquoi une telle épreuve l’avait frappé. Mais il comprenait simultanément, qu’il avait eu la bonne réaction, car, aussi forte qu’elle puisse être et même parée des atours de la plus sainte justification, une épreuve reste irrecevable. Quelques mois plus tard, apparut enfin la clé de

cette énigme. Un couple de vacanciers, qui avaient été reçus à leur tour au Beit ‘Habad, tinrent à manifester leur reconnaissance aux émissaires qui les avaient si chaleureusement accueillis et leur offrirent, sans conditions, le financement d’un nouveau bâtiment. « La leçon de cette expérience - conclut le Rav Oren Raz – est qu’il faut tenir bon face à toute épreuve, et que le moyen d’être fort est d’être totalement annulé à la volonté du mandant, en l’occurrence, le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. (Le Courrier de la Guéoula n°855)

Machia’h & Guéoula Le bilan de cette année : Machia’h maintenant ! Le bilan auquel un Juif doit aujourd’hui parvenir est que, d’après tous les comptes et d’après tous les signes que D.ieu a inscrits dans Sa Torah, la délivrance messianique aurait déjà du intervenir depuis longtemps !

En particulier après les « trois semaines » lors desquelles on a étudié les lois relatives à la construction du Temple et nous nous tenons aujourd’hui au Chabbat qui bénit le mois de Elloul dans lequel le Roi, D.ieu « sort dans les champs » et accueille chacun avec joie et bienveillance, et nous nous trouvons ici au « 770 » en compagnie de nombreuses dizaines de Juifs, nous avons donc le droit et la grande responsabilité de nous écrier et d’exiger de D.ieu « Ad Mataï ?! Jusqu’à quand ?! ». Car, en vérité, étant donné que nous avons achevé notre tâche dans cet exil, comment est-il possible que le Machia’h ne vienne pas encore ?!... Il est possible que la raison à cela tienne dans la réponse que le Machia’h a faite au Baal Chem Tov lorsque celuici lui a demandé « Quand viendras-tu, Maître ? » : « Lorsque tes sources se répandront à l’extérieur ». Ainsi, au fil des époques, les Rabbis de ‘Habad se sont-ils consacrés à la diffusion des sources du Baal Chem Tov aux quatre coins du monde. Et, en plus des développements et des approfondissements extraordinaires qui ont été apportés à l’enseignement de la ‘Hassidout, il y a eut une diffusion telle que cet enseignement est parvenu à chaque communauté et à chaque cercle au sein du peuple juif et dans le monde entier. Et, puisque le Machia’h n’est pas encore venu, il est possible qu’il y ait une catégorie de Juifs à laquelle la ‘Hassidout n’est pas encore parvenue. J’ai pensé qu’il y a en fait une sorte d’écriture dans laquelle la ‘Hassidout n’avait pas été traduite : il s’agit de l’écriture en « Braille » qui permet aux non-voyants de « lire » un texte en reconnaissant des signes spécifiques à travers le toucher. Il s’agit là véritablement de « diffusion des sources à l’extérieur », car le fait

même que l’on n’ait pas encore traduit la ‘Hassidout en Braille, malgré tout ce qui a été fait jusqu’à présent, montre bien qu’il s’agit d’une dimension véritablement « extérieure ».

Le Braille a été conquis ! Cependant, ces derniers jours, il y a eu une nouveauté importante : le Tanya, œuvre centrale de la ‘Hassidout, a été imprimé en Braille ! Et même si le livre n’est pas encore parvenu à tous les nonvoyants du monde, le fait même qu’il existe offre à tous les Juifs qui ont besoin de ce biais un accès à l’étude de la ‘Hassidout. En particulier dès lors que ce livre est parvenu au « 770 », la maison de mon beau-père, le Rabbi (précédent, Ndt), à partir de laquelle nous avons eu le mérite de poursuivre son œuvre et qui est l’origine de la diffusion de la ‘Hassidout dans le monde entier. Il faut également souligner que le Tanya est appelé la « Torah écrite » de la ‘Hassidout, de sorte que toute la ‘Hassidout est contenue dans ce livre. Concrètement, il faut donc que se produise immédiatement la délivrance messianique ! Alors, les non-voyants guériront de leur infirmité et verront clairement (5). Ils guériront même avant tous ceux qui ont besoin d’une guérison et verront comme tout le monde (6). En outre, il ne sera plus nécessaire de lire lors de l’ère messianique, car le Machia’h enseignera à tous à travers la vision, de sorte que tous verront les sujets profonds de la ‘Hassidout et n’auront donc pas besoin de les lire dans des livres. Que D.ieu fasse que, grâce à l’étude du Tanya en Braille, ils soient immédiatement guéris, dans l’instant qui précède la délivrance, et qu’ils puissent déjà étudier la Torah dans les meilleures conditions jusqu’à la révélation de la « Nouvelle Torah qui sortira de Moi » lors de l’ère messianique. Et l’essentiel : que la délivrance par notre juste Machia’h vienne immédiatement. (Dvar Mal’hout)


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Un Sefer Torah pour la Yéchiva du roi Machia’h

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Mercredi, 20 Mena’hem-Av, aura lieu l’inauguration d’un Sefer Torah au Centre Machia’h et Guéoula à Jérusalem au centre ville. Les danses se tiendront à la suite du rassemblement pour le Sefer Torah des enfants d’Israël. Cette manifestation sera suivie d’un grand repas. Centre Machia’h et Guéoula, 8, Re’hov Yaavets à Jérusalem. (GN)

Grandes réunions ‘hassidiques avec le Rav Pin’has Pachter

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Igueroth Kodech

et vivez les merveilles de la Guéoula viveleroi770@gmail.com Petites Annonces

Un invité de marque en provenance de Paris, l’éditeur du journal « Le Courrier de la Guéoula » et importante figure du ‘hassidisme français, le Rav Pin’has Pachter a donné deux grandes réunions ‘hassidiques à l’approche de la Hilloula de Rabbi Lévi Its’hak, le père du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h. Il a mit un point d’honneur sur la dernière mission qui nous a été confiée : « Accueillir le Machia’h de la manière la plus concrète ! ». (GN)

Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours pour les non-Juifs sur les sept lois Noa’hides. Mercredi à 17h30, inauguration d’un Sefer Torah pour le Centre Machia’h & Guéoula au 8, rue Yaavets. Infos 053-2770419

Un Beit ‘Habad au 770 vient d’être créé

Une grande première au 770, la maison du Machia’h à NewYork, la ‘hassida et émissaire du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, Sarit ‘Hadach, suite aux demandes de plus en plus nombreuses d’écrire dans les Igueroth Kodech, et suite aux besoins des milliers de visiteurs qui viennent se connecter au Beit HaMikdach en miniature qu’est le 770, a organisé au sein même du bâtiment un véritable Beit ‘Habad en proposant : Invitation de gens seuls ou en groupes dans les familles locales, repas de Chabbat, études avec des élèves de la Yéchiva à tout moment de la journée, visites organisées du 770 etc. Pour plus d’informations : bm770@gmail.com ou par téléphone pour les réservations : 072-2242647 ou au 072-2243221… Bon voyage ! (HG)

Préparatifs pour la Hilloula de Rabbi Lévi Its’hak Schneerson

On s’apprête à accueillir dans la ville de Alma Ata (Kazakhstan) des centaines de Juifs à l’occasion du 20 Mena’hem-Av, jour de la Hilloula du père du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h, Rabbi Lévi Its’hak de mémoire bénie. Des voyages organisés à destination du Kazakhstan partiront des quatre coins du globe afin d’honorer et de prier chez Rabbi Lévi Its’hak. Ceci afin de bénéficier des nombreux miracles de la Guéoula. (GN)

Une réunion ‘hassidique à Ashdod City pour les jeunes

Le Centre Beit Mena’hem, sous l’égide du Rav Raphaël Morial (correspondant du journal «Vive le roi Machia’h Now !» à Ashdod), a organisé une réunion ‘hassidique pour les jeunes avec, comme invité, le Rav Gaye Malka. Le but de ce genre de Farbrenguen est de réunir les jeunes et de leur donner les bases du Judaïsme dont ils ont été privés et de leur transmettre de nouvelles bases pour la vie. (HG)

Beit Machia’h à Har ‘Homa Rav Shlomo Yossef Tsion. Chabbat à 18h00, réunion des enfants pour la récitation des Psoukim, Paracha glaces et surprises dans le jardin à côté du Matnass à Har ‘Homa. Cours tous les jours en hébreu. Taharat HaMichpa’ha pour les femmes. Infos : 054-4449770

Pour soutenir la Newsletter de la Guéoula 058-4770055 ou gueoulanews@gmail.com L E

C A R N E T

Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Mercedès Sarah Bat Fifine, Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah

La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina

Retouches Textile & Création

Sur Jérusalem Yaël : 058-4452490 La Newsletter de cette semaine est dédiée à prompte guérison de Henri ‘Haïm Ben Julia Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.

Horaires de Chabbat à Jérusalem Chabbat Parachat Ekev : Entrée : 18h34 - Sortie : 19h46

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