Vive le roi Machiah Now ! n°359

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MACHIA’H NOW ! N°359 - CHABBAT PARACHAT DEVARIM 5 MENA’HEM-AV 5777 - 28/07/2017

VIVE LE ROI

Hebdomadaire - Edition française - www.viveleroi770.com viveleroi770@gmail.com - 058-4770055

Editorial

S’élever d’un niveau Chacun de nous possède un point faible plus ou moins évident. Mais cette faiblesse n’existe que du fait d’une détresse intérieure. Mais aussi à cause de l’exil de notre âme divine dans les références chimériques de ce monde. Et pourtant, le décor est bel et bien déjà installé, le troisième Temple n’attend que nous pour se révéler sur le mont Moriah. Alors ? En fait la question reste : « Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux, qu’est-ce qu’on attend pour faire la fête ?! ». Oui en ces neufs jours

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qui nous séparent du neuf Av, faire la fête et être heureux (par exemple en faisant des conclusions de traités talmudiques) car nous ne pleurons plus vraiment le passé, nous attendons trop le futur immédiat et si on ouvrait les yeux, on verrait tout simplement à quel point la délivrance est effective dans le monde. De qui a-t-on peur, qui craint-on pour nous unir avec notre D.ieu de manière éternelle ? Car, oui, c’est ça la Guéoula. Malheureusement, les Juifs se mortifient même en dehors des trois semaines car ils font semblant d’ignorer toutes ces merveilleuses informations à savoir : « La Guéoula et le Machia’h sont là ! et ils nous attendent pour le grand mariage, celui de l’Assemblée d’Israël, la Che’hina et Hachem, notre D.ieu. Alors élevons-nous d’un seul niveau, ouvrons les yeux et sortons de la Galout. Tout simplement ! (GB)

Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !


L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita

Tichea BeAv : Le jour le plus joyeux de l’année ! Des centaines de personnes de tous âges s’unissent en une danse d’une joie indescriptible. Des anciens à la barbe blanche et des jeunes gens, des érudits distingués et de simples travailleurs se rejoignent en un chant exubérant. Dans la rue, des passants s’arrêtent devant la synagogue, intrigués par la rumeur qui s’en échappe. Attirés par l’éclat de la réjouissance, ils entrent prendre part à la fête. Cette brève description ne se rapporte pas à Pourim ou à Sim’hat Torah, mais à la nuit qui suivit Tichea BéAv. Les prophètes ont promis que, à l’ère messianique, ce jour, ainsi que tous les jeûnes commémorant des épreuves traversées par le peuple juif, deviendraient autant de jours de joie et d’allégresse (1). A la fin du 9 Mena’hem-Av 5751, chacun a pu avoir un avant-goût de ces célébrations auprès du Rabbi de Loubavitch, Mele’h HaMachia’h Chlita. Peu avant la fin du jeûne, le Rabbi entra dans le 770, Eastern Parkway à Brooklyn (Synagogue et maison d’étude du Rabbi) de manière complètement inattendue et fit un court mais intense discours. Après la prière du soir, et à la fin du jeûne, sur le point de partir, il entonna le chant de Sim’hat Torah de son père. Les ‘Hassidim y répondirent par cette joie extraordinaire… A quelques différences de détails près, les mêmes événements se reproduisirent le lendemain. Revenant du tombeau de son beau-père, le précédent Rabbi de Loubavitch, le Rabbi Chlita Mele’h HaMachia’h, fit la prière de l’après-midi et celle du soir avec les ‘hassidim. Puis, il prononça un nouveau discours qu’il fit suivre d’une distribution de dollars pour la Tseddaka, à toute l’assistance. Pendant cette distribution, il encouragea tous ceux qui étaient là à chanter joyeusement. Après sa sortie du 770, les chants et les danses se poursuivirent pendant un long moment. Ce chapitre présente le contenu de ces deux discours. Toutefois, il faut se garder de communiquer, en ces matières, uniquement des idées. Tous ceux qui assistèrent à ces événements ressentirent l’imminence de la délivrance, de la venue du Machia’h et le profond désir de la voir intervenir à l’instant. C’est précisément ce que le Rabbi veut nous transmettre : la vision de la délivrance, non pas comme une construction abstraite, mais comme une réalité concrète, à venir dans l’immédiat. Nous sommes à présent depuis

Chabbat Parachat Devarim 5751-1991

jusqu’à ce que D.ieu lui dise (6) : « Cela suffit… Ne M’en parle plus ». Plus encore, il est hautement improbable que Moïse ait cessé d’implorer, même après en avoir reçu l’ordre. Son désir d’entrer en Israël – et cela est certainement tout aussi vrai pour chaque Juif – ne connaissait pas de limite. Dès lors, il était prêt à se sacrifier pour lui, jusqu’à poursuivre ses supplications alors que cela lui avait été interdit. On peut même supposer que, se tenant sur le mont Nébo et contemplant la terre promise avant sa mort, il continuait encore à prier. Mais, pour qui Moché priait-il ? S’il avait été le seul concerné par sa demande, il aurait, très probablement, été exaucé. On sait que la prière quelque temps au seuil de la délivrance, il faut a, de manière générale, un immense pouvoir, nous tenir prêts, le moment est venu de le fran- et combien plus quand il s’agit de celle d’un Tsaddik, d’un Juste dont nos Sages enseignent chir… (7) : « le Tsaddik décrète et D.ieu accomplit ». Ticha BeAv comme Le berger de son peuple une source de puissance Nos Sages enseignent (2) que Machia’h est né De fait, Moché ne se préoccupait pas de luiTichea BéAv, le 9 Av, au jour de la destruction même. Nos Sages le décrivent comme le « berdu Beith HaMikdach ; Il ne s’agit pas là d’une ger du peuple juif (8) ». Aussi, ne pouvait-il simple précision historique. Bien au contraire, concevoir son propre avenir sans son troupeau. le but recherché est que, chaque année, cette Or, il avait été décrété que tout cette génération date communique un nouvel élan à l’avène- mourrait dans le désert, Moché ne pouvait donc, ni ne voulait, entrer en Israël sans elle. ment de l’ère messianique. En effet, pour citer nos sages (3), l’anniversaire Comment serait-il entré en terre promise en est le jour où la source spirituelle de l’homme laissant son troupeau en arrière ? concerné irradie avec davantage de force. L’an- Par conséquent, ses prières avaient trait au niversaire du Machia’h est le temps où lui- peuple juif tout entier. Il demandait ainsi à même, ainsi que la délivrance qui lui est liée, D.ieu de lui permettre de les conduire tous en reçoivent un surcroît de puissance. Ceci hâte Israël et d’inaugurer la délivrance finale. encore la venue de cette époque où la délivrance apparaîtra manifeste. Un étincelle de Moché en chaque Juif Toutes ces idées concernent aujourd’hui chaOn désigne habituellement la délivrance sous cun d’entre nous. Les prières de Moché implole nom de « délivrance véritable et complète ». rant qu’intervienne la délivrance ne sont pas Ce dernier mot implique que la rédemption qu’une histoire du temps passé. Ce sont là des touche chaque élément de l’existence et inclut forces en action pour en hâter l’avènement. Par chaque Juif. ailleurs, chaque Juif détient une étincelle de C’est là que réside une des différences entre la Moché, partie intégrante de son âme (9). C’est délivrance future et celles qui se sont déjà pro- elle qui pousse chacun à prier pour la déliduites dans notre histoire. Lors de la sortie vrance, à crier Ad Mataï – « Jusqu’à quand ? d’Egypte, les Juifs jugés indignes de la libéra- Combien de temps encore devons-nous rester tion moururent pendant la plaie de l’obscurité en exil ? » Cette prière sera certainement exau(4). De même, lors du retour en Israël conduit cée dans un avenir proche et, tous ensemble, par Ezra, la majeure partie du peuple juif resta avec Moché, et le peuple Juif tout entier, nous en exil à Babylone. A l’inverse, la délivrance fu- entrerons en Israël dans la Délivrance véritable ture comprendra tous les membres de notre et complète. Puisse tout cela arriver dans un peuple : chacun quittera cet exil. futur immédiat.

Pour qui Moché pria-t-il ? Cette idée projette une lumière particulière sur un événement relaté par la Torah. Au début de la Paracha de Vaet’hanane, Moché raconte au peuple Juif comment il implora D.ieu de le laisser entrer en Israël. Bien qu’ayant essuyé un refus, il continua de prier (5) dans ce sens

Notes : 1 – Zacharie 8.19, 2 – Talmud de Jérusalem, traité Bra’hot 2.4, Ei’ha Rabba 1.51, 3 – Talmud de Jérusalem, traité Roch Hachana 3.8, 4 – Voir le commentaire de Rachi sur Chemot (Exode) 13.18, 5 – Voir le commentaire de Rachi sur Devarim 3.23, qui note que le mot « Vaèt’hanane » en hébreu a pour valeur numérique 515. Moché fit donc 515 prières pour demander à D.ieu de le laisser entrer en Israël., 6 – Devarim 3.26, 7 – Midrach Tan’houma, Vayéra 19, 8 – Midrach Rabba Chemot 2.29 – Tanya Ch.42


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Votre influence s’exerce là où vous êtes

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Le canal pour se lier au Rabbi, roi Machia’h, à travers les «Igueroth-Kodech», les volumes de correspondance qu’il a fait éditer dans ce but, est maintenant universellement connu…

Il suffit d’en être témoin pour confirmer l’action permanente du Rabbi dans les domaines où on le sollicite. Rav Raphaël Corcos, responsable des «Tanks de Mitzvoth» dans la région d’«Emek Ayalon», à l’est de Ramleh, raconte l’une de ces expériences édifiantes, vécues il y a quelques mois: «Un jour où j’avais garé le Tank à proximité de l’échangeur de Latrun, près du Musée «Yad Léchirion», pour faire bénéficier de la Mitzvah des Téfiline les militaires de la base toute proche, je vis s’arrêter une voiture, occupée par un couple d’allure orthodoxe. Ils voulaient que je leur indique la route qui menait au parc d’attraction «Mini-Israël». Une conversation s’engagea, au cours de laquelle ils exprimèrent leur admiration pour l’œuvre que nous accomplissions. «Est-ce que vous avez des volumes de «Igueroth-Kodech» à bord de ce Tank?», me demanda soudain le mari. «Absolument», leur répondis-je, «et vous pouvez monter dans le Tank et écrire vous-mêmes». Ils garèrent leur véhicule et montèrent: «Je veux vous raconter de quoi il s’agit», expliqua le mari, «afin que vous nous guidiez quant à la manière de rédiger notre lettre. Et voici ce qu’il me raconta. Ce couple résidait à Nétivoth (dans le sud du pays). Il y a quelque temps, la femme envisagea la possibilité de déménager pour venir habiter à Jérusalem. Ils firent donc le voyage et trouvèrent un bon appartement dans cette ville. Ils arrivèrent même à un accord satisfaisant sur le prix demandé. Tout était donc pour le mieux, lorsque, sur la route du retour, ils sentirent tous deux, de manière inexpliquée, une crainte quant au bien-fondé de ce choix, et c’est pourquoi ils se réjouissaient grande-

ment de pouvoir consulter le Rabbi, roi Machia’h. Je les mis en garde sur le sérieux avec lequel il fallait questionner et tenir compte de la réponse, et ils exprimèrent leur accord, après quoi ils s’assirent pour rédiger leur lettre. Ils clamèrent «Ye’hi Adonénou…», et introduisirent la lettre dans le volume 16, qui s’ouvrit aux pages 228-229 (lettre 6004). Dès les premières lignes de la réponse, une stupéfaction totale se peignit sur leurs visages. Qu’on en juge plutôt : «…Et vous me demandez mon opinion à ce sujet. A savoir continuer ainsi ou s’efforcer d’aller habiter dans la grande ville, où se trouvent de nombreuses personnes craignant D.ieu». «C’était exactement la question», déclara le mari, «aller habiter Jérusalem, cette grande ville avec de nombreux habitants craignant D.ieu». Nous poursuivîmes notre lecture : «Puisque la Providence Divine vous a donné le mérite que votre voix soit entendue, que votre influence soit ressentie là où vous habitez… alors, non seulement ne devez-vous pas partir de là,

Machia’h & Guéoula Le Grand Festin

Si tout ce qui précède a toujours été valable pour les Juifs de toutes les générations, à plus forte raison est-ce pertinent aujourd’hui, alors que d’après les signes donnés par nos Sages nous nous trouvons déjà concrètement à l’étape de la Délivrance. Comme nous l’avons dit à plusieurs reprises, nous avons terminé tous les « Birourim, étapes du raffinement du monde », y compris celui de « Essav qui est Edom », comme nous le voyons aujourd’hui chez des peuples qui descendent de Essav et qui se comportent comme des « royaumes de bonté ». Il est donc clair que nous nous trouvons aujourd’hui dans une situation où le corps physique et le monde matériel ont été raffinés au point de pouvoir recevoir toutes les lumières et les sujets spirituels, ce qui inclut la lumière du Machia’h, la lumière de la Délivrance, jusqu’à la révélation de l’Essence Divine qui se révélera dans l’essence du Machia’h et, à travers cela, dans l’essence de chaque Juif. Et la seule chose qui manque est qu’un Juif ouvre les yeux correctement, et il verra comment tout est prêt pour la Délivrance ! Il y a déjà la « table dressée », il y a déjà le « Grand Buf-

mais vous y attacher au contraire encore plus, et chercher toutes sortes de tactiques, de ruses et de voies pour utiliser pleinement l’influence que vous avez». La réponse était extrêmement claire : il lui fallait rester sur place, particulièrement parce qu’il avait la possibilité d’y exercer son influence. On pouvait aisément se rendre compte que le couple ne s’attendait pas à une réponse aussi évidente. Lorsque je demandai au mari quelle était son activité, il s’avéra qu’il œuvrait effectivement avec les jeunes de la ville pour les fortifier dans le Judaïsme, dans l’étude de la Torah et la pratique des Mitzvoth. Le Rabbi, roi Machia’h, continuait de mettre en lumière l’importance de son travail : «Car, à notre époque et surtout pour notre génération, c’est une question de survie concrète, pas seulement l’acte de sauver des âmes pour l’autre monde, mais de sauver des vies en ce monde…». La fin de la lettre était vraiment émouvante, particulièrement au sujet de sa femme, qui avait été à l’origine de cette initiative : «J’ai bon espoir que ces lignes quantitativement peu nombreuses seront suffisantes…, et que vous trouverez également les mots adéquats et éloquents pour éclaircir ce sujet à l’intention de votre épouse». Cela impliquait que non seulement sa femme consente au contenu du message, concernant son œuvre de renforcement du Judaïsme dans leur localité, avec dévouement et don de soi, mais qu’elle s’y associe également… en l’augmentant et en l’illuminant». L’expression de leur visage était plus qu’éloquente: «C’est de la pure divinité», articulèrent-ils. (Tiré du Courrier de la Guéoula)

fle», le Léviathan et le « vin gardé » et les Juifs se trouvent déjà autour de la table, « la table de leur Père », (le Roi des rois, le Saint béni soit-Il), avec le Machia’h, comme il est écrit dans les livres qu’il y a dans chaque génération un homme qui est apte à être le Machia’h, et dans notre génération mon beau-père, le Rabbi ; et quarante ans après le départ de ce monde de mon beau-père le Rabbi, il y a déjà aussi « un cœur pour comprendre, des yeux pour voir et des oreilles pour entendre ».

Il faut seulement maintenant ouvrir le «cœur pour comprendre», ouvrir les «yeux pour voir» et ouvrir les «oreilles pour entendre» et, de la même manière, exploiter tous les 248 membres et les 365 nerfs de son corps physique, pour étudier la profondeur de la Torah telle qu’elle a été révélée dans la ‘Hassidout et pour accomplir les instructions des Rébbeïm, ce qui inclut d’étudier les sujets relatifs à la Délivrance de façon à ce que cela ouvre le cœur, les yeux et les oreilles, et que l’on comprenne, voit et ressente concrètement dans la matérialité du monde la Délivrance, et d’étudier la Torah du Machia’h (la partie profonde de la Torah) avec un niveau de « vision », car tout ceci est accessible, il suffit d’ouvrir les yeux et on verra cela ! (Dvar Mal’hout Vayetsé 5752)


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La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.

Horaires de Chabbat ________________

Chabbat Devarim Jérusalem : 19h03 - Sortie : 20h17 Tel Aviv : 19h20 - Sortie : 20h20 ‘Haïfa : 19h14 - Sortie : 20h21


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