MACHIA’H NOW ! N°363 - CHABBAT PARACHAT TETSE 10 ELLOUL 5777 - 01/09/2017
VIVE LE ROI
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La nouvelle Yéchiva en plein coeur de Jérusalem. Voir p.4 Actuel
L’amour entre Israël et D.ieu et le Grand Mariage… Une fois de plus, cette semaine, le Dvar Mal’hout nous décrit notre mission du moment, à savoir… de recevoir notre salaire pour tout le travail effectué en exil. Et puis aussi, de nous préparer au grand mariage entre Israël et D.ieu dont les préparatifs arrivent à leur terme. La cérémonie de la Houppa et des Kiddouchin se tiendra immédiatement au Troisième Temple lors de l’ère messianique dans laquelle nous évoluons actuellement. Dans les discours de l’Admour Haemtsahi qui concernent le mariage, celui-ci explique et commente abondamment cet amour infini entre le ‘Hatan (D.ieu) et la Kalla (Israël). Aussi bien l’attente que le manque entre ces deux entités pousse
l’amour à son paroxysme alors qu’advient le moment où le Roi des rois reçoit la fiancée dans Son palais et surtout,mais surtout qu’arrive ce que la fiancée désire plus que tout, et c’est l’étreinte de son ‘Hatan, du Fiancé divin… Mais dans un discours du Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h (Parachat Bealote’ha 5741-1981), il décrit la situation d’une femme mariée, dont le mari se voit obligé de remplir ses devoirs envers elle en fonction de sa fortune personnelle selon la loi. Sauf que dans le cas présent, il s’agit d’un roi très spécial, il s’agit du Roi des rois, le Saint béni soit-Il ! Par conséquent, la femme de ce roi sera donc une reine, mais pas une reine du commun, une reine extraordinaire et merveilleuse, ce sera Knesset Israël, et donc ce que ce mari doit lui fournir, pour la combler, sera du niveau de l’Infini, du perpétuel et du concret. Tout cela représente, en effet, la récompense et le salaire que le Saint béni Soit-Il se doit de nous offrir immédiatement. Et ce trésor est icimême, dans un luxueux coffre doré et plein de toutes les pierres précieuse qui existent en ce monde. A nous de dévoiler immédiatement ce trésor matériel et spirituel juste maintenant dans cette ère messianique actuelle ! (Gabriel Beckouche)
Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd !
L’Edit Royal Dvar Mal’hout Extraits du discours du Rabbi de Loubavitch Roi Machia’h Chlita Gagner la guerre en toute sérénité
Chabbat Parachat Tetsé - 14 Elloul 5751-1991
Chaque Chabbat, nous lisons deux Parachiot (1), l’une lors de l’office du matin et l’autre, à celui de l’après-midi. Ainsi lisons-nous ce Chabbat matin la Paracha de Ki Tetsé et nous commençons cet après-midi la Paracha de Ki Tavo qui suit immédiatement. Au-delà de leur juxtaposition dans l’ordre de la Torah, le fait que ces deux Parachiot soient lues le même Chabbat souligne d’autant plus la relation qui existe entre elles. Or, il semble de prime abord que les deux Parachiot lues ce Chabbat soient totalement opposées aussi bien dans les messages véhiculés par leurs noms respectifs que dans leurs contenus. En effet, les noms « Ki Tetsé, quand tu sortiras » et « Ki Tavo, quand tu rentreras » sont, à l’évidence, porteurs de sens totalement opposés. D’autre part, la Paracha de Ki Tetsé traite de la sortie en guerre : une situation qui, même si la guerre est finalement gagnée, est marquée par l’absence de calme et de tranquillité. En revanche, la Paracha de Ki Tavo évoque la rentrée et l’installation en terre d’Israël où le peuple vivra en parfaite sérénité, dans la réalisation du verset « Et tu te réjouiras de tous les biens que l’Eternel ton D.ieu t’aura donné » (2). En outre, les aspects du service divin qui ressortent de ces deux Parachiot sont également profondément différents : Ki Testé, « Quand tu sortiras en guerre », évoque la « sortie en guerre » de l’âme juive vers le « champ de bataille » que constituent le monde matériel et l’exil avec comme mission et comme enjeu le raffinement du corps et du monde ; Ki Tavo, « Quand tu rentreras sur la terre », évoque le service de D.ieu du temps où les Juifs résidaient en paix sur leur terre, à l’époque du Temple. La rétribution au moment de la tâche L’antagonisme entre les deux Parachiot semble encore plus fort d’après le sens principal que l’on attribue en ce jour à la Paracha Ki Tavo : la rentrée prochaine en terre d’Israël au moment de la délivrance messianique. En effet, d’après cette lecture, nos deux Parachiot évoquent respectivement deux périodes diamétralement opposées : Ki Tetsé, celle de la tâche qui nous est impartie dans le plan divin ; Ki Tavo, celle de la réception de la rétribution pour l’accomplissement de cette tâche.
« Quand tu sortiras en guerre contre ton ennemi » (4) : «L’Écriture parle d’une guerre de conquête facultative Mil’hemet HaRéchout». Cela est, a priori, surprenant, car, comment peut-on dire que le service de D.ieu soit facultatif (« Réchout ») ? Il est pourtant notoire que l’homme a l’obligation de combattre son mauvais penchant et de raffiner son corps et le monde autour de lui ! De cette dernière idée découle une interrogation globale sur le sens même de la notion de rétribution pour le service divin : un ouvrier a le choix de travailler comme de ne pas travailler. Lorsqu’il travaille, il acquiert, de ce fait, un salaire. D’un autre côté, l’esclave, qui est tenu de servir son maître, n’acquiert aucun salaire. Or, c’est dans cette dernière catégorie que se trouve le Peuple Juif vis-à-vis de D.ieu, comme l’exprime le verset « Car c’est à moi que les Enfants d’Israël appartiennent comme esclaves » (5). Ainsi donc, en vertu de quoi méritons-nous une récompense pour le service divin que nous effectuons en pratiquant le Judaïsme ? La réponse à cela est contenue dans la formulation du verset «Quand tu sortiras en guerre». En effet, lorsque l’âme descend ici-bas pour y livrer un combat contre les pulsions du corps et de l’âme animale ainsi que pour raffiner le monde matériel, elle sort de sa place véritable, de là où elle se trouvait depuis la Création, au-dessus de l’ensemble des mondes. Elle y était tellement élevée que les Sages enseignent qu’avant de créer le monde, D.ieu a consulté les « âmes des Justes », lorsqu’elles étaient unies et fondues dans l’Essence divine (6). S’il est vrai qu’aujourd’hui, quand les Enfants d’Israël se trouvent dans le monde, ils ont l’obligation de raffiner leur corps et de servir D.ieu, il n’en reste pas moins que, du point de vue de l’essence de leurs âmes, la Création tout entière fut accomplie sur la base de leur volonté et il en est de même pour leur engagement au sein de celle-ci. Ainsi, de ce point de vue là, il s’agit bien d’une « guerre facultative, Mil’hémet HaRéchout », pour laquelle les Enfants d’Israël recevront une rétribution.
Une guerre livrée dans la tranquillité Telle est ainsi la finalité de la descente de l’âme divine ici-bas : transformer le monde pour en faire une demeure digne de l’Essence divine. Et la rétribution pour l’accomplissement de cette tâche sera, en conséquence, la grande révélation divine qui caractérisera l’avènement messianique en vertu du principe selon lequel « la récompense pour une Mitsva est de la même nature que la Mitsva elle-même ». La révélaCela dépend de ce que l’on considère Pour comprendre correctement ce sujet, il est tion divine dont les Enfants d’Israël jouiront à nécessaire de se pencher sur le commentaire de l’ère messianique sera le salaire pour le service Rachi sur le premier verset de notre Paracha divin qu’ils auront effectué en temps d’exil.
Cependant, comme nous l’avons dit précédemment, le paiement du salaire doit se faire le jour même de l’accomplissement du travail. C’est la raison pour laquelle chacune des Mitsvot que nous accomplissons actuellement donne lieu à la pénétration d’une grande lumière divine dans ce monde qui permet à l’individu d’accéder à une « délivrance personnelle ». Seul le dévoilement direct de cette lumière dans le monde matériel manque et aura lieu lors de la délivrance messianique. Et puisque chaque Juif a la capacité d’amener la délivrance, (comme l’enseigne Maïmonide lorsqu’il écrit que n’importe quelle Mistva peut déclencher la délivrance pour le monde entier), il y a donc aussi aujourd’hui pour chaque Juif la récompense qui appartient aux temps messianiques, et il ne lui reste qu’à la dévoiler à travers l’ajout d’une bonne action. Et puisque, avant de créer le monde, D.ieu était seul et remplissait l’espace dans lequel se fit la création et que, lorsque l’âme descend aujourd’hui ici-bas, elle doit se souvenir de son origine, qu’elle est une parcelle du Divin venue d’En-Haut, et de sa mission qui est d’amener à la révélation de la divinité dans ce monde matériel, ainsi, avant même qu’elle se mette à la tâche, elle mérite déjà de ressentir ce qui sera le salaire aux temps messianiques : le dévoilement divin qui s’opère dans l’âme dès le début de son service divin. C’est pourquoi la Torah fait suivre à la Paracha de Ki Tetsé celle de Ki Tavo. Pour nous enseigner que, même lorsque l’on se trouve en situation de guerre contre le corps et ses pulsions animales, il faut savoir qu’il n’y a pas à s’émouvoir de cela et que, au contraire, il nous est possible de mener ce combat dans le calme et la sérénité en se rappelant quelle fut la situation du monde avant la création et quelle sera celle qu’il connaîtra lors de la rédemption : un monde de divinité. Ainsi, il n’y a pas lieu de craindre le monde. A travers le service divin en son sein, nous ne pouvons qu’atteindre de nouveaux sommets, y compris au cours même de ce labeur, jusqu’à même atteindre des degrés qui dépassent et transcendent totalement le monde. Outre cela, cette tâche doit s’effectuer dans une parfaite tranquillité, à savoir sans problèmes ni perturbations d’ordre spirituel ou matériel, ainsi que dans la largesse matérielle, aussi bien comme moyen de mener à bien sa mission dans le monde que comme la perception du salaire pour celle-ci qui, comme nous l’avons dit, doit intervenir le jour même du travail effectué. Notes : 1/ Sections du Pentateuque, 2/ Deutéronome 26, 11, 3/ Deutéronome 24, 15, 4/ Deutéronome 21, 10, 5/ Lévitique 25, 55, 6/ Midrache Béréchit Rabbah 8, 7, 7/ Deutéronome 26, 1, 8/ Cantique des cantiques, 6, 3, 9/ Psaumes 149, 2, 10/ Psaumes 104, 31, 11/ Psaumes 89, 52
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La Tseddaka qui sauve de la mort
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Cela faisait déjà un certain temps qu’elle avait dans l’idée de se rendre au Beit ‘Habad de la ville, « Là-bas ils vous aideront. Vous écrirez votre demande et vous verrez de grands miracles », lui avait-on promis sans autre explication. Une voix intérieure lui soufflait, à elle, Orna Haddad citoyenne de Bat Yam, que là-bas se trouvait la solution à ses problèmes.
Les difficultés submergeaient son quotidien, cela devenait insupportable. Des affaires financières portées aux tribunaux, elle ne savait plus d’où cela pleuvait sur elle. Le Rav Zimroni Tsik, Chalia’h de Bat Yam, écouta tout son récit et tout son lot de soucis. Il lui expliqua comment écrire au Rabbi Roi Machia’h Chlita et « avec l’aide de D.ieu, il est certain que vous entendrez de bonnes nouvelles ». Après avoir écrit, elle introduisit sa lettre dans un volume des Igueroth Kodech et déclara, émue « Ye’hi Adoneinou Morénou VeRabbénou Mele’h HaMachia’h Léolam Vaèd ! ». Le Rav Zimroni regarda le contenu de la réponse et dit : « Barou’h Hachem, il y a ici de bonnes nouvelles. Comme réceptacle de bénédiction, le Rabbi Roi Machia’h Chlita vous demande de mettre quelques pièces à la Tseddaka chaque jour ». « Mais je n’ai pas de boîte de Tseddaka », lui répondit Mme Haddad. « Aucun problème, vous pouvez improviser de cette façon. Prenez un pot vide, collez dessus une étiquette sur laquelle vous inscrirez le mot « Tseddaka » et voilà, vous avez-là une boîte de Tseddaka ». « Mais quel intérêt de mettre des pièces dans une boîte ? » dit Orna. « Ecoutez, la Tseddaka possède de multiples qualités au point où nos Sages ont dit d’elle « La Tseddaka sauve de la mort ! ».
Un peu plus tard, Mme Haddad nous raconta que ces mots sur la Tseddaka qui « sauve de la mort » furent gravés en elle d’une manière tout à fait anormale : « Je suis sortie du Beit ‘Habad avec un sentiment mitigé. D’un côté j’avais une promesse de bonnes nouvelles, mais d’autre part, les mots « sauve de la mort » résonnaient à mes oreilles de manière lancinante. Il en fut de même lorsque je rentrais chez moi, je décrivais mon entretien à ma famille et les informais de ma nouvelle décision, on n’entame plus de journée sans mettre de la Tseddaka au préalable. J’improvisai immédiatement une boîte de Tseddaka alors que ma fille inscrivais sur un morceau de papier le mot « Tseddaka » en gros caractères et à cela nous avons joint un photo du « Machia’h ». Les jours suivants, chaque matin, nous organisions une sorte de cérémonie de « départ de la maison », nous nous assemblions à côté de la boîte de Tseddaka, chacun y introduisait quelques pièces et « en avant pour une bonne journée ». Mardi 20 Tamouz 5772, alors que j’allais terminer mon travail dans le magasin où je travaille, situé dans la rue Balfour à Bat Yam. Je devais partir de là pour me rendre au centreville afin de rencontrer l’avocate qui s’occupe de mes dossiers juridiques, mais quelque chose m’empêchait de sortir du magasin. Je
Machia’h & Guéoula Elloul : le mois de la Guéoula
ne comprenais pas mon propre comportement. Je savais très bien que si j’avais du retard, l’avocate partirait en fin de compte de son bureau. Soudainement, je me repris et sortais rapidement du magasin en lançant à la collègue qui me relayait « je m’en vais »… Je me dirigeai vers la station de bus la plus proche tout en distinguant un bus qui arrivait. Ce n’était pas ma ligne mais une pulsion intérieure me poussa à y monter tout de même, cela m’avancera bien de quelques stations me dis-je… La suite de l’histoire me fut relatée par mon amie Melly, quelques heures après, alors que je l’appelais. « Orna, es-tu au courant qu’aujourd’hui tu as échappé à une mort certaine !? ». J’étais un instant sous le choc « qu’est ce que tu veux dire ? » répondis-je, « Quelques secondes après que tu sois à bord de l’autobus, un véhicule arriva à toute vitesse, le conducteur en avait perdu le contrôle et écrasa les gens se trouvant dans la station, l’abris-bus a été pratiquement arraché, un véritable ouragan, indescriptible, il y a des victimes, que D.ieu les protège ». Cela me prit bien quelques bonnes secondes à me remettre de l’émotion, puis je m’écriais : « C’est par le mérite de la Tseddaka « la Tseddaka sauve de la mort », je te raconterais plus tard… ». (Traduit de la Si’hat HaGuéoula)
Notre génération est celle de la délivrance Dans notre génération, des dimensions nouvelles se sont rajoutées à la date du Chabbat 14 Elloul. En effet, la veille de ce Chabbat, le 13 Elloul, marque l’anniversaire du mariage de mon beau-père, le Rabbi, et le merL’association de l’octroi de la rétribution et de la sérénité avec la conti- credi précédant, le 11 Elloul, fut l’anniversaire du mariage de son père, le nuation de la tâche est liée avec le mois de Elloul, dans lequel nous nous Rabbi Rachab, et son lendemain, le dimanche 15 Elloul, sera l’annivertrouvons. Ce mois est celui du bilan lors duquel nous identifions ce qui saire de l’ouverture de la Yéchiva « Tom’hei Tmimim ». nous reste à accomplir de la tâche impartie à l’année écoulée afin de l’achever et de se préparer à la nouvelle année. Il y a donc, à l’intérieur de Concrètement ce seul mois, la récompense pour le service de l’année écoulée et le début Il nous faut aujourd’hui faire savoir en tous lieux que : 1. Nous nous tedu service de l’année nouvelle. Le salaire s’exprime également dans les nons à la conclusion de notre tâche exprimée par le verset « Quand tu lettres hébraïques du mot « Elloul » qui sont les initiales des mots du ver- sortiras en guerre contre ton ennemi » et au début de la période de la réset « Ani Lédodi, Védodi Li, Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé tribution, le salaire des Justes exprimée par le verset « Quand tu rentreras est à moi » (8). Le simple fait de pouvoir s’attacher à D.ieu (Le bien-aimé), sur la terre... Tu en prendras possession et tu t’y établiras ». Ainsi, notre est en soi la plus grande récompense : le mariage des Enfants d’Israël service actuel doit être conforme à cet esprit au travers, notamment, de avec le Saint béni soit-Il lors de la délivrance messianique, lorsque s’élè- l’étude des sujets relatifs au Machia’h, à la délivrance et au Temple, dans vera, « Tinassé » la royauté du Machia’h. Tout ceci est lié avec l’année ac- la sérénité et la joie, ainsi que la tenue de Farbrenguens, réunions ‘Hastuelle, 5751 (1991, Ndt), qui en hébreu forme le mot « Tinassé », liée aussi sidiques joyeuses, en relation également avec la joie liée au mariage. 2. bien au fait que la royauté du Machia’h « s’élèvera », qu’au mariage, La mission particulière de « Tom’hei Tmimim » est d’être des « lumières « Nissouïne », (de la même racine grammaticale) de D.ieu et du Peuple qui éclairent » dans le monde entier et chaque foyer juif doit être à l’image Juif. Ainsi, le mois de Elloul de l’année 5751 est le moment le plus propice de cette Yéchiva, à travers l’étude de la ‘Hassidout en plus de l’étude de la pour la délivrance, aujourd’hui même, car « Le jour même tu lui don- Torah en général. 3. Il est nécessaire d’organiser une campagne pour proneras son salaire » ! Au sein du mois de Elloul lui-même, nous sommes curer à tous les nécessiteux trente jours avant la fête de quoi passer dile 14ème jour du mois qui est : a/ la veille du quinzième jour lors duquel gnement la fête de Souccot afin qu’ils puissent s’y préparer dans la la Lune est pleine, ce qui fait allusion à la plénitude que connaîtront les sérénité, et, avant cela, se préoccuper de leurs besoins pour la fête de Roch Enfants d’Israël (qui sont comparés à la Lune) lors de l’ère messianique, Hachana. Que la volonté du Saint béni soit-Il soit que, grâce aux bonnes et b/ trente jours avant la fête de Souccot, « le temps de notre joie », qui décisions qui sont prises dans ce qui précède, nous méritions qu’Il donne porte en elle la plénitude du service divin du peuple juif : « Israël se réjouit à chacun et chacune du Peuple Juif tout ce dont il ou elle a besoin, en parde son Créateur » (9), ainsi que l’octroi du salaire de la part de D.ieu : ticulier et ce qu’il y a de plus important : la délivrance véritable à travers « D.ieu se réjouit de Ses créatures » (10). la venue du Machia’h de manière immédiate. (Dvar Mal’hout)
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E W S La Newsletter de cette semaine est dédiée à la bonne santé de Henri ‘Haïm Ben Julia
Ouverture 1er Elloul 5777
Petites Annonces
Jérusalem Cours de Torah en français Centre ville de Jérusalem au Merkaz Machia’h & Guéoula. 8, rue Yaavets. Cours en français du dimanche au jeudi sur le Tanya à 9h15 (hommes) et à 14h00 sur le Dvar Mal’hout (femmes) par le Rav Gabriel Beckouche - Infos 053-2770419
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La Newsletter de cette semaine est dédiée à la prompte guérison de Its’hak Ben Dobé Bina La Newsletter de cette semaine est dédiée à la prompte guérison de Esther Bat Sol L E
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Pour la réussite de: ‘Hanna Bat Mercedès Sarah, Line Bat Mercedès Sarah, Michaël Ben Mercedès Sarah, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa Sarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval. Pour la bonne santé de: Sivan Bat Sarah Hadassa Leilouï Nichmat de: Julia Bat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël, Serouya Beya Bat Myriam, Moché Maurice Ben Yossef et Fifine, Sylvia Hassiba Bat Nissim et Yona Ben Sarah
La Newsletter de cette semaine est dédiée à l’élévation de l’âme de Norbert Avraham Ben Gavriel et Pnina Le journal « Vive le roi Machia’h, Now ! » est un hebdomadaire édité par l’association « Vive le roi Machia’h », loi 1901 (Paris) – Directrice de la publication, Menou’ha Ra’hel Beckouche – Rédacteur en chef et graphisme, Gabriel Beckouche Diffusion à Jérusalem, centre Machia’h & Guéoula Diffusion à Nathanya, Rav Its’hak Pachter.
Horaires de Chabbat ________________
Chabbat Tetsé Jérusalem : 18h27 - Sortie : 19h38 Tel Aviv : 18h44 - Sortie : 19h40 ‘Haïfa : 18h37 - Sortie : 19h40