E.R. Johan Basiliades, Rue du Lombard 57, 1000 Bruxelles; Bureau de dépot Bruxelles X - Trimesteriel mars 2016 P 916659
BXLLIB Magazine libéral - mars - 2016
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Bruxelles
KAZERNEDOSSIN Open Vld Bruxelles-Capitale rend visite
à la Kazerne Dossin et rend hommage aux victimes de la déportation.
Le 12 janvier 2016 les membres du groupe politique Open Vld du parlement de la Région de BruxellesCapitale ont visité la Kazerne Dossin à Malines. Ce musée, qui a été rénové en 2012, offre un regard unique sur une page sombre de notre histoire commune. La caserne s’est vu attribuée plusieurs rôles au cours de son histoire mais dès l’été 1942 son affectation devint des plus sinistres. La position centrale de la caserne dans notre pays était un critère de choix pour l’envahisseur allemand qui la choisissait comme Sammellanger, le lieu de rassemblement des Juifs et Tsiganes pour leur déportation. Entre juillet 1942 et septembre 944 28 transport ferroviaires en partance de Malines ont transporter pas moins de 25.482 Juifs et 352 Tsiganes vers des camps de concentration comme Auschwitz-Birkenau. Deux tiers des déportés furent immédiatement gazés à leur arrivée et 1.395 personnes ont survécu assez longtemps pour voir leurs
Magazine LIBERAL
camps libérés par les alliés. L’émotion fût forte chez toutes les personnes qui ont assisté à la visite. « Ceci ne peut laisser personne indifférent », nous confiait Carla Dejonghe. Stefan Cornelis : « En tant que libéraux nous sommes néanmoins convaincus que la liberté de penser et celle de confession de tout un chacun ne peut être que bénéfique à la société, à condition que celles – ci n’entravent pas les libertés d’autrui. La tolérance est un des fondements du libéralisme ». « Ces évènements nous concerne tous et nous devons tout mettre en œuvre pour que les générations futures ne les oublient pas et ne les répètent pas. Nous avons un devoir de mémoire », répliquait René Coppens. « De surcroit, ce qui m’a marqué c’est le rôle que le bourgmestre libéral de Bruxelles de l’époque - Joseph Vandemeulebroek - a joué lors de l’occupation. Il a tout mis en œuvre pour rendre le travail de l’occupant allemand le plus pénible possible et son acte public de protestation en juin 1941 prouve qu’il est important dans de telles situations de montrer l’exemple en tant que personnage public et de prendre ses responsabilités », nous raconte Els Ampe.
Bruxelles
de gauche à droite: Carla Dejonghe, René Coppens, Stefan Cornelis, Els Ampe Magazine LIBÉRAL
Région Bruxelles-Capitale
René Coppens accueille le premier coordinateur culturel à Ganshoren
L
’échevin de la Culture néerlandophone, René Coppens, a désigné en début d’année le premier coordinateur culturel de Ganshoren. Sa tâche consistera dans la coordination des différents aspects de la politique culturelle de la commune. Le coordinateur culturel communal devra garantir l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation de la politique culturelle de la commune. « La politique culturelle communale contient 8 objectifs que nous souhaitons réaliser dans les années à venir, en collaboration avec les partenaires locaux (CC De Zeyp, la bibliothèque et les organisations socio-culturelles) », selon René Coppens. « Il s’agit entre autre d’une meilleure information des citoyens à propos de l’offre culturelle, d’organiser plus régulièrement des activités dans l’espace public, d’avoir une
plus grande implication des jeunes et des minorités ethnoculturelles et d’une meilleure communication envers les seniors ». Le coordinateur culturel aura la mission de consolider et de développer la collaboration entre les chefs de services d’autre départements communaux, le centre culturel, la bibliothèque et les associations socio-culturelles. Il dirigera aussi le service communal Nederlandse cultuur et devra apporter un nouveau souffle à la vie culturelle de Ganshoren. Le coordinateur communal sera joignable à la maison communale de Ganshoren où il aura son bureau.
RENE COPPENS Député bruxellois
OPEN VLD
LA VILLE AU FÉMININ
Beaucoup de choses peuvent être évitées avec des caméras de sécurité et des portiques, mais pas tout. La présence d’agents de la STIB sur le terrain reste essentielle LIBERALE Nieuwsbrief
CARLA DEJONGHE Députée bruxelloise
Carla Dejonghe: « Je ne pense pas qu’on puisse accuser la STIB d’immobilisme à ce sujet depuis les dernières années. De nombreuses propositions que j’ai faites par le passé ont dès lors été mises en pratique. La mesure la plus remarquée est sans doute l’instauration des portiques d’entrée qui ont un effet positif incontestable. L’incident qui s’est produit à Madou prouve malheureusement que ces portiques ne résolvent pas tout. La sensibilisation reste le moyen ultime de combattre ce fléau. Un bon nombre de campagnes de sensibilisation très utiles se sont vus interrompues par le Ministre de la Mobilité bruxellois il y a quelques années. Celles-ci devraient être réinstaurées et élargies. C’est un problème vaste avec de nombreuses facettes mais l’accent peut, selon moi, être mis sur les transports publics qui font partie intégrante de l’espace public
Région Bruxelles-Capitale
L
’incident qui s’est produit dans le métro bruxellois en janvier a suscité l’émoi général dans la presse. Resituons les faits : une étudiante de la VUB se fait attaquer par un autre passager après qu’il ait eu des gestes obscènes à caractère sexuel à son égard. La jeune-fille décide de réagir face à ce comportement inadmissible et reçoit ensuite un coup de couvercle de poubelle par son agresseur. Aucun des autres passagers présents ne l’a aidée ou même réagi. Cet incident fait resurgir la question de la sécurité des femmes dans l’espace public et dans les transports en commun en générale. Il y a plus de 10 ans que Carla Dejonghe présentait les résultats d’une enquête sur le sentiment d’insécurité dans les transports en commun. Les résultats peu surprenants indiquent que ce sont surtout les femmes qui souffrent de ce sentiment d’insécurité dans le métro, le bus et le tram. N’y a-t-il donc aucun changement ?
bruxellois. Si cette prévention peut être reliée à plus investissement dans l’infrastructure, nous ferons de grands progrès ». A quels investissements pensez-vous ? Carla Dejonghe: « Beaucoup de choses peuvent être évitées avec des caméras de sécurité et des portiques, mais pas tout. La présence d’agents de la STIB sur le terrain reste essentielle. Je pense qu’une évaluation de cette présence et si oui ou non elle est suffisante serait la bienvenue. Une réévaluation de l’infrastructure s’impose également. Trop souvent, l’environnement dans lequel nous nous trouvons provoque un sentiment d’insécurité et incite à plus de comportements délinquants. Nous sous-estimons l’effet que peut avoir l’environnement sur l’état d’esprit des personnes. Un escalateur ou un éclairage défectueux, des dégradations et des graffitis, des abribus en piteux état: tout ceci contribue au fait qu’on ne se sente pas tout à fait à l’aise dans nos transports en commun. Il est vrai qu’une solution miracle n’existe pas, mais intervenir plus rapidement sur des petits dégâts diminuerait une partie du comportement délinquant ». Vous voulez également que le citoyen ait son mot à dire concernant le réseau de transports publics ? Carla Dejonghe: « En effet. Les navetteurs sont interrogés régulièrement à propos de différents sujets. L’opinion des utilisateurs intéresse la STIB. Il me semble utile que le prochain sondage se concentre plus sur les femmes et les seniors: les groupes qui selon plusieurs enquêtes ressentent le plus ce sentiment d’insécurité. Dans quelles stations ces personnes se sentent-elles le moins en sé-
curité et pour quelles raisons ? En tenant compte de ces réponses la STIB pourra mieux se faire une opinion des travaux d’infrastructures à effectuer ainsi que les endroits où la présence d’agents de sécurité serait la plus efficace. Tout le monde en bénéficierait ». Vous êtes aussi l’auteur de la proposition d’un arrêt de bus entre deux arrêts. De quoi s’agit-il ? Carla Dejonghe: « Le concept nous vient de Montréal. Les femmes des banlieues y ont le droit, en soirée ou la nuit, de demander au chauffeur de bus de les déposer entre deux arrêts. De cette façon leur trajet vers la maison est moins long. J’ai plaidé pour l’instauration de ce système à Bruxelles, pour les femmes et pour les seniors. Ceci serait unique en Europe. Un projet pilote d’‘entre deux arrêts’ a bien eu lieu à Bruxelles, mais uniquement sur le réseau Noctis, ignorant de ce fait le bût du système. Les bus Noctis ne roulent que les weekends à partir de minuit et est axé principalement sur un public de noctambules. Il aurait été plus logique de choisir une zone problématique à Bruxelles et d’y instaurer, par exemple en hiver à partir de 19h30, ce projet pilote pour les femmes et les seniors. Je vais par conséquent le suggérer une nouvelle fois au ministre compétant. Je suis convaincue que de telles solutions pragmatiques sont également la meilleure façon d’augmenter le nombre de voyageurs ».
OPEN VLD
Guy VANHENGEL et Els AMPE raconte Charles BULS Depuis 15 ans déjà Guy Vanhengel est l’architecte du développement de l’enseignement néerlandophone dans notre capitale. Els Ampe est depuis 3 ans l’échevine à la Ville de Bruxelles et l’architecte du piétonnier sur les grands boulevards. Ces deux libéraux marchent sur les traces du bourgmestre bruxellois Charles Buls (18731914), une figure de proue du libéralisme belge, un fervent défenseur de l’enseignement obligatoire, des droits linguistiques des néerlandophones dans la capitale et véritable urbaniste des temps modernes ! Cent ans après sa mort, les idées de Buls semblent plus actuelles que jamais. L’AMVB (Archief en Museum van het Vlaams Leven in Brussel) lui consacre une exposition et des conférences. Le Willemsfonds publie une nouvelle biographie ainsi qu’une réédition de son journal de bord de son voyage en Thailande, avec la préface signé prof. Stouthuysen. Els Ampe nous offre une réédition billingue du livre ‘Esthétique des villes’ avec une introduction actuelle. Buls, le libéral, est plus actuel que jamais. Nous avons rencontré ses héritiers politiques. Guy VANHENGEL: « Buls était, en son temps, une vraie personnalité. Un socio-libérale, un pragmatique et un conciliateur. Il était membre du Willemsfonds. Un ami Magazine LIBERAL
proche de Julius Hoste et d’Emanuel Hiel. Il est donc tout à fait évident qu’en tant que Bruxellois néerlandophones nous lui portions une affection toute particulière ». Il était également un grand défenseur de l’enseignement obligatoire ? Guy VANHENGEL: « C’est une constante au long de sa carrière. Il crée en 1864 la Ligue de l’enseignement. Il créa également la Modelschool (Hoofdstedelijk Atheneum Karel Buls) et au crépuscule de sa carrière politique (1906) il rassembla 60.000 personnes dans les rues de Bruxelles pour manifester en faveur d’une scolarité obligatoire ? Buls mérite le nom de bourgmestre pédagogue ». On vous appelle aussi souvent le ministre pédagogue. Guy VANHENGEL: « Il est
La connaissance du néerlandais à Bruxelles passe aussi par notre enseignement. Guy VANHENGEL: « Il y a deux sortes de flamingants. Il y a ceux qui ne font que se plaindre et puis il y a ceux qui, dans la tradition de Buls et du Willemsfonds, mettent tout en œuvre pour promouvoir notre langue. Ce que nous avons réalisé pour l’enseignement néerlandophone à Bruxelles est, selon moi, la plus belle concrétisation de la cause flamande. C’est la réussite des néerlandophones à Bruxelles ». Els AMPE: « En tant que ministre, Guy n’a peut-être pas hissé les drapeaux flamands sur les toits bruxellois mais c’est grâce à son projet pour notre enseignement que nous pouvons entendre des milliers de jeunes parler le néerlandais dans le métro ou dans le tram ».
Guy Vanhengel Ministre
Les idées de Buls reçoivent aussi un nouvel élan quand nous parlons d’un centreville piétonnier. Qu’en pensez-vous Els ? Els AMPE: « Pour Buls, l’accessibilité du centre historique bruxellois pour les piétons était un atout économique dans le tourisme international de l’époque. C’est également ce que nous essayons de faire avec le piétonnier: nous promouvons Bruxelles en tant que capitale du shopping, de la joie de vivre, des évènements et des visites culturelles. Nous utilisons l’espace public pour créer de la prospérité et des emplois ». Buls en tant que porte-parole des commerçants ? Els AMPE: « Buls était un petit indépendant: un joaillier. Esthétique des villes était son exposé sur la façon d’envisager l’urbanisme. Son souhait était de marier le besoin d’une mobilité moderne avec le respect pour l’activité commerçante, les habitants et les contribuables. Mais il avait également l’ambition d’exploiter la beauté et le pouvoir d’attraction de la ville. Son approche était des plus pragmatique et moderne ».
Région Bruxelles-Capitale
vrai que certains amis libéraux m’ont déjà donné ce surnom. Investir dans l’éducation est tellement important dans notre vision politique: ce n’est qu’avec un enseignement de qualité que nous pouvons offrir des opportunités à tout un chacun. Une infrastructure attrayante motive les enseignants, les élèves et les parents ».
Charles Buls Bourgmestre
Els Ampe Echevine
LECTURE -Charles Buls, Croquis Siamois, récit de voyage illustré (1901), Introduction par Patrick Stouthuysen, (Liberaal Archief, ASP en Willemsfonds 2013) -Charles Buls, Esthétique des villes/Esthetiek der steden, introduction et traduction par Els Ampe, (ASP, Liberaal Archief, Willemsfonds, 2015)
statue Charles Buls Marché aux Herbes
-Yvo J.D. Peeters, Karel Buls, burgemeester en bruggenbouwer tussen twee culturen, (Willemsfonds 2014)
OPEN VLD
statut. Sur base des réponses fournies des conclusions étonnantes ont pu être tirées.
Des enseignants motivés mais soucieux de la charge de travail Voilà ce qui ressort d’une enquête organisée par la députée flamande, Ann Brusseel, auprès des enseignants de l’enseignement primaire et secondaire. 3.513 enseignants y ont participé, dont 274 bruxellois. Ils ont répondu, sur base volontaire et de façon anonyme, à 78 questions à propos des différents aspects de leur job : leur ressenti, l’encadrement, leur charge de travail, l’ambiance au travail, la formation en continue et leur
L’éducation doit rester une priorité La charge de travail qu’entraine les tâches supplémentaires devient problématique et enseigner risque de ne plus être au cœur du métier d’enseignant. Ann Brusseel: « Le politique doit déterminer les fondements de notre éducation. Enseigner est en premier lieu une histoire de passion. Mais on peut difficilement espérer que chaque enseignant soit maître de toutes les problématiques sociales à l’école. C’est pour cela qu’il nous faut favoriser le travail d’équipe et un meilleur soutien digital doit être adopté dans toutes les écoles ». Les nominations et les carrières linéaires sont dépassés. Plus de la moitié des participants est en faveur de remplacer les nominations par des contrats à durée indéterminées, ce qui permettrait plus de flexibilité dans l’enseignement.
Défi bruxellois = les déplacements domicile-lieu de travail : Les enseignants bruxellois mettent plus de temps pour se rendre au boulot que leurs collègues flamands. Mettre l’accent sur psycho-médicosocial. 51% des enseignants bruxellois déclarent que leur école ne possède pas de programme ni de coordinateur de soins à la hauteur et 25% ne déclare avoir aucune opinion à ce sujet. C’est totalement l’inverse en Flandre. Les défis concernant la diversité et les élèves allophones à Bruxelles sont énormes (souvent plus de 70% des élèves). Heureusement la majorité des enseignants interrogés s’estiment capable de relever ces défis. Ann Brusseel compte mettre à profit les résultats obtenus et espère que cela incitera la Ministre de l’Education, Hilde Crevits, à tenir compte des préoccupations du corps enseignant. Vous trouverez l’analyse complète des résultats de l’enquête sur www.annbrusseel.be.
ANN BRUSSEEL
Députée flamande
“Je pense que les Bruxellois apprécient mon approche pragmatique” La popularité de Maggie De Block ne cesse de croître chez les Bruxellois. Le dernier sondage paru dans Le Soir, prouve une nouvelle fois qu’avec ses 54%, la libérale néerlandophone garde une longueur d’avance face à des poids lourds politiques francophones tels que Didier Reynders (MR), Elio Di Rupo (PS) et même Charles Michel (MR). Les Bruxellois apprécient la ministre originaire de la périphérie. Et ce sentiment est réciproque. Maggie De Block: « J’ai fait mes études secondaires à l’Athénée Royal de Laeken. J’ai étudié la médecine à la VUB et j’ai fait mes stages à l’hôpital Saint-Pierre, à Brugman, à Bracops à Anderlecht et à UZ-VUB ».
Ministre des Affaires sociales et de la Santé publique Magazine LIBERAL
« Cela m’a fait découvrir la ville est ses habitants comme une population très multiculturelle et conviviale. En tant que ministre fédérale je me suis toujours investie pour l’ensemble de la population: le Nord, le Sud et Bruxelles ». Quand, des centaines de sans-abris risquaient de se retrouver à la rue durant l’hiver, j’ai pris les mesures nécessaires qui étaient principalement bénéfiques pour Bruxelles. En matière de santé publique Bruxelles possède également une plus-value non négligeable: son expertise. L’hôpital Saint-Pierre est un de nos trois hôpitaux de référence en matière d’ébola ». « Je crois que ma popularité auprès des Bruxellois ne peut pas être attribuée à mes talents linguistiques. Sans doute qu’ils apprécient mon approche pragmatique ».
Région Bruxelles-Capitale
La ‘Brussels Audi Academy’
L
a décision d’attribuer la production de la nouvelle SUV Q6 e-tron électrique à Audi Bruxelles est une excellente nouvelle pour notre Région bruxelloise ainsi que pour les 2.500 employés. La bonne collaboration entre Audi, le Gouvernement bruxellois, les communautés et le Gouvernement fédéral a contribué en grande partie à ce magnifique résultat. Afin de maîtriser les nouvelles procédures de production, une formation devra être donné au personnel. C’est pour cela que je plaide en faveur d’un développement d’une ‘Brussels Audi Academy’. Celle-ci sera capable de former les jeunes à une carrière dans l’industrie de l’automobile ainsi que faire face aux défis d’apprentissage que requiert ce domaine. Le maintien et le développement éventuel de cette industrie à la pointe de la technologie est essentiel pour Bruxelles et ses environs.
Participez au Cabinet Citoyen !
J
e souhaiterai renouveler le projet Cabinet Citoyen pour augmenter l’implication des citoyens dans ma politique pour la jeunesse. Avez-vous des idées concernant la diversité dans l’animation socio-éducative: comment pouvons-nous améliorer la participation dans nos mouvements de jeunesse, nos maisons de jeunes et nos plaines de jeux ? Comment rendre l’animation socio-éducative plus bariolée ? Comment réveiller chez nos jeunes cette inspiration et cette envie pour la diversité ? Comment rapprocher les différentes associations de jeunesse ? Faites-nous parvenir vos idées et rejoignez-nous, avec 150 autres participants, pour débattre de la politique pour la jeunesse du futur. Tout le monde est le bienve-
SVEN GATZ
Ministre flamand de la Culture, des Médias, de la Jeunesse et de Bruxelles
STEFAN CORNELIS Député bruxellois
Un nouveau centre d’aide sociale voit le jour
L
e nouveau centre d’aide sociale flambant neuf Het Begin - anciennement connu comme De Vaartkapoen a vu le jour dans la rue des Béguines à Molenbeek. C’est un endroit où les seniors peuvent trouver des réponses à toutes leurs questions de santé ainsi qu’un endroit de rencontre et de détente. « Avec cette initiative le Haut-Molenbeek possède une vraie filière de soin, ce qui est une bonne chose », nous dit la députée bruxelloise Khadija Zamouri. Mais cela entraîne, selon elle, aussi la question de l’implication réelle du quartier dans le processus. Le nouvel emplacement du centre est néanmoins synonyme de plus d’espace pour ses utilisateurs, ce qui en soi est une bonne chose, selon Khadija Zamouri.
KHADIJA ZAMOURI Députée bruxelloise OPEN VLD
Le dernier championnat du monde de cyclo-cross à Zolder restera dans les annales avec une première malheureuse: le premier cas de fraude mécanique dû à un moteur caché dans un vélo. Le monde cycliste faisait déjà face depuis quelques temps de nombreuses rumeurs à ce sujet et depuis 2010 l’Union Cycliste Internationale (UCI) effectue des contrôles. L’incident a suscité de vives réactions ainsi que le souhait de traiter ceci comme tout autre cas de dopage ‘normal’. En d’autres termes, la sanction envers le dopage mécanique devrait être équivalent à d’autres formes de dopage. Le Ministre flamand du Sport, Philippe Muyters (N-VA) parle d’une suspension minimale de 4 ans. Selon lui, le traitement égal de toutes formes de dopages est conforme à la philosophie de l’Agence Mondiale Antidopage (AMA). C’est là où le bât blesse. Lionel Bajart a soulevé la question à propos de la sanction égale. Ni l’AMA, ni le décret flamand antidopage, ni la liste des substances et procédés interdits ne font mention de dopage mécanique. Une sanction unique n’est donc pas évidente sans une modification du décret antidopage et la liste des substances et procédés interdits. L’UCI, par contre, a bel et bien intégré cette transgression dans ses règlements. Il ne s’agit dans ce cas-là que d’une suspension minimale de 6 mois. Ceci est donc une sanction substantiellement amoindri.
UN SPORT
Lionel Bajart : « La politique sportive flamande veut promouvoir le sport sain et éthique. Il est donc normal de sanctionner toutes formes de dopages de la même façon. La réglementation actuelle ne permet hélas pas à l’agence antidopage de contrôler le dopage mécanique car les textes ne prévoient que le prélèvement de matrices biologiques. » Une lacune dans la législation. Le Ministre Muyters a confirmé cette constatation de Lionel Bajart et a déclaré de s’y attaquer en tant que Ministre flamand du Sport et de s’entretenir avec AMA pour une uniformité mondiale à ce sujet. Lionel Bajart : « Qui ne souhaite pas d’un futur où le sport serait honnête et où les sportifs de doivent pas se résigner parce que tout le monde le fait ? Nous devons toutefois adapter la législation pour œuvrer pour un sport propre et augmenter la lutte contre toutes les formes d’améliorations sportives, connues et (encore) inconnues. En effet, les découvertes biologiques, pharmaceutiques, génétiques, technologiques et nanotechnologiques n’arrêtent pas. Une adaptation au comptegoutte de la règlementation, formulée de façon trop limitative, affaiblirait sa raison d’être et cela ne peut pas être le bût ».
PROPRE LIBERALE Nieuwsbrief
LIONEL BAJART
Député flamand
Willemsfonds
COLLAGE
BRUSSEL ACHTER DE SCHERMEN (BRUXELLES se révèle)
Forest National avec STEFAN CORNELIS
Forest National avec STEFAN CORNELIS
Cantillon avec CARLA DEJONGHE AB avec SVEN GATZ
Cantillon avec CARLA DEJONGHE
AB avec SVEN GATZ
Kasterlinden avec GUY VANHENGEL
Bruxelles se révèle
Algemene vergadering OSB met bezoek aan de Dossin-kazerne 25/03/2014
SUM PROJECT réaménagement boulevard du centre avec ELS AMPE
Nos activités ne s’arrêtent pas là. Dans les prochains mois nous découvrirons le Parlement bruxellois (16/04, 23/04, 04/06), le Parlement fédéral (03/06), le siège du Benelux (18/05), la VRT (30/04), le stade Constant Vanden Stock (02/05) et la Basilique de Koekelberg (07/05). Pour plus d’information visiter www.willemsfondsbrussel.be
Magazine LIBERAL
Willemsfonds
Cours de NÉERLANDAIS ECOLE WILLEMSFONDS
L’HISTOIRE
Oui, apprendre le néerlandais est plus facile que vous ne le pensez.
Les origines de nos « Cours de néerlandais » remontent à 1880. Cette année-là, le Willemsfonds de Bruxelles décida d’organiser des cours de néerlandais. Des annonces parurent dans divers journaux. Les retombées furent immédiates avec 140 inscrits! Les cours avaient lieu dans les locaux de l’Ecole communale n° 10 de la Rue de Rollebeek. La popularité de ces cours ne cessa de croître jusqu’à nos jours. L’école fut officiellement reconnue par le “Ministère de l’éducation publique” le 27-09-1937. De nos jours, nous dispensons des cours pour environ 1000 élèves enthousiastes par an. Ce succès est dû à plusieurs facteurs dont la qualité de nos cours et notre approche didactique ainsi que la nécessité toujours croissante de connaître les deux langues nationales pour pouvoir trouver un emploi. C’est aussi le premier pas vers l’intégration.
LES COURS
Les cours s’adressent: aux personnes qui n’ont encore aucune connaissance du néerlandais (= débutants) ; à ceux qui ont déjà un certain niveau et qui veulent progresser ; aux personnes de niveau « approfondi » qui désirent perfectionner et entretenir leur néerlandais. Les participants sont donc répartis dans plusieurs groupes d’élèves d’après leur connaissance (10 niveaux différents au total). Plusieurs formules s’offrent à vous. CONTACT Tél : 02/513.47.55 (DIM de 9h à 12h30 / LU, MA, ME et JE de 18h à 21h30 / LU, MA et VE de 9h30 à 12h.) Fax : 02/513.12.82 Courriel : willemsfondscours@skynet.be Directeur : M. Santiago Nobus
COURS NORMAL
COURS ACCELERES
Ces cours se donnent 1 fois 3 heures par semaine de septembre à juin. Niveaux « débutant » et « moyen » (du niveau 1 au 6) Niveau « approfondi » (du 7 au 10) Le dimanche de 9h20 à 12h00 En semaine en soirée de 18h10 à 20h50
Ces cours accélérés s’adressent aux débutants, ainsi qu’aux niveaux 2, 3 et 4 (+ niv.5 en février). En soirée 2 fois 3 heures par semaine d’octobre à janvier Horaire : de 18h10 à 21h25 d’octobre à décembre et de 18h10 à 20h50 en janvier En soirée 2 fois 3 heures par semaine de février à juin Horaire : de 18h10 à 20h50 de février à juin
1 FOIS PAR SEMAINE
2 FOIS PAR SEMAINE
Magazine LIBÉRAL
NEWSFLASH
CARLA
NEWS FLASH
DEJONGHE Deputée bruxelloise
Etant donné le coût salarial élevé, la voiture de société reste très populaire. Je plaide depuis des années pour que les employés puissent avoir le choix entre une voiture ou un “chèque logement”, une alternative financièrement équivalente, aussi bien pour l’employeur que pour l’employé. Tout le monde n’a pas toujours besoin d’une voiture.
« Mon homologue bruxellois et moimême avons donné, au début de cette année, le coup d’envoi pour la GATZ construction de la nouvelle maison Ministre flamand de la de jeunesse De Branding sur la Place Culture, des Médias, de la Cardinal Mercier à Jette. Ceci ne Jeunesse et de Bruxelles s’est pas fait avec la traditionnelle pose de la première pierre mais avec le dévoilement d’une bache créée spécialement pour l’occasion. L’excellente collaboration entre la commune de Jette, la VGC et la Flandre a rendu cette réalisation possible et je m’en réjouis ». SVEN
E REN NS PE COP
La commune de Koekelberg construit une crèche qui accueillera 24 enfants et 25 logements sociaux dans son centre historique (rue Jean Jacquet- rue De Neep). La commune a également l’intention de prêter une plus grande attention aux personnes à mobilité réduite. « Koekelberg investi fortement dans son cœur historique et je m’en réjouis ». KHADIJA
Le 5 mars dernier la nouvelle bibliothèque néerlandophone de Ganshoren fût inaugurée en présence du bourgmestre Hervé Gillard, de l’échevin de la Culture néerlandophone René Coppens ainsi que le Ministre flamand de la Culture, Sven Gatz. Ganshoren était, jusqu’à présent la seule commune en Belgique avec une bibliothèque communale bilingue et perdait de ce fait bon nombre de fonds.
ZAMOURI Députée bruxelloise
RENE COPPENS Député bruxellois
Magazine LIBERAL
NEWSFLASH
Enfin! La première pierre du nouveau centre culturel d’Uccle, le ‘Candelaershuys’, a été posée! Après des années de prospection et de réfléxion concernant les défis urbains et de l’emplacement du nouveau bâtiment, sa construction a débuté depuis la première moitié de janvier 2016. Stefan Cornelis et Jean-Luc Vanraes se réjouissent de ce nouveau début pour Uccle et pour ses nombreux passionés de culture néerlandophones et francophones.
Avec 300 participants, la deuxième édition de Technopolitics était un véritable succès. Cette année le concept de « disruptive télécom » était à mis à l’honneur. Les trois orateurs de choix étaient: le Ministre de l’Agenda numérique Alexander De Croo, Martine Tempels (B2B Telenet) et professeur Pieter Ballon (VUB). ELS AMPE Députée bruxelloise Échevine de la Ville de Bruxelles
STEFAN CORNELIS Député bruxellois
ANN BRUSSEEL Députée flamande et sénatrice
L’Open VLD a toujours été un précurseur quand il s’agit des droits des personnes lesbiennes, gays, bisexuelles et transsexuelles (LGBT). C’est à cet effet que nous avons fondé ‘OUT of the Blue’. La députée flamande Ann Brusseel, qui s’engage depuis de nombreuses années dans ce dossier, deviendra la présidente de ce nouveau réseau.
Notre “Frederiksborg” est depuis plus de 6 mois le seul et unique pub danois de Bruxelles. Nous craignions la disparition de ce patrimoine après l’annonce du départ du patron âgé de 88 ans. Heureusement la relève est assurée car un jeune successeur s’est déjà présenté. « C’est une très bonne nouvelle », nous dit Lionel Bajart. « Open VLD ne souhaite rien de plus que de voir prospérer l’horeca à Ganshoren ».
LIONEL BAJART Député flamand
Saviez-vous que … La suppression du bonus logement n’entraîne, toutes proportions gardées, pas d’inconvénients pour les ménages à doubles revenus, puisqu’outre l’abattement majoré, ils bénéficient deux fois de la diminution de l’impôt des personnes physiques, de 1,5%. Une réduction d’impôt qui d’ailleurs se poursuivra, même si le crédit hypothécaire est remboursé ! GUY VANHENGEL Ministre bruxellois des Finances, du Budget et des Relations extérieures
AG EN DA BBQ FAMILIAL
BRUXELLES - 22 MAI - KUNSTHUMANIORA GO! Open Vld Bruxelles-Ville organise le dimanche 22 mai 2016 son premier barbecue familial. N’hésitez pas de venir avec vos enfants, de l’animation est prévue. Une alternative végétarienne sera également prévue et notre bar apéritif vous accueillera dès 11h30 au Kunsthumaniora GO ! rue Karel Bogaerd 4 1020 Laeken. Inscription: info@elsampe.be ou 02/549.65.22
DRINK Du PRINTEMPS
GANSHOREN - 29 MAI - GC DE ZEYP Open Vld Ganshoren et Willemsfonds Ganshoren ont le plaisir de vous inviter à leur Drink de Printemps qui aura lieu le dimanche 29 mei 2016 de 11h à 13h au GC De Zeyp. Nous aurons l’honneur d’accueillir le ministre Guy Vanhengel. Plus d’info: rene.coppens@parlement.brussels ou 02/549.65.25
SOIRÉE ORIENTALE
WOLUWE-ST-PIERRE - 4 JUIN - GBS STOKKEL Venez dégustez une savoureuse sélection d’entrées suivi d’un buffet de plats avec différentes saveurs venues d’Orient. Prix: € 16 en prévente - € 19 sur place. Info et réservations: mvangenck@bruparl.irisnet.be of 02/213.71.46
Envie de nous rejoindre? 0 Je souhaite devenir membre en versant € 10 au BE30 0013 0727 9811 avec la mention cotisation 2016 afin de recevoir un pack de bienvenue. 0 Je ne souhaite pas devenir membre, mais je souhaite recevoir plus d’informations sur Open Vld dans la Région de Bruxelles-Capitale. Nom et prénom: ........................................................Rue: ................................................. Numéro: .............. Boîte: ....... Commune: ........................... E-Mail: ............................................................................ Envoyez cette bande à: Thomas Ryckalts Rue du Lombard 57 1000 Bruxelles ou par mail à info@vldbrussel.be