Magazine
wawa Le magazine du Brabant wallon
Nicolas Colsaerts
Février 2013 Numéro 01
Seul sur sa planète alvéolée…
Edito Et nous voici embarqués dans une nouvelle aventure ! Découvrez votre nouveau magazine local sur la région du Brabant Wallon… Le WaWa. Bien sûr certains de nos partenaires ont été surpris, voir étonné de ce nom à la consonance assez originale il faut bien l’avouer. On vous explique… Il y a bien longtemps existait un «vicinal» cher à quelques anciens de la vallée de la Lasne, la WaWa. La WaWa reliait donc directement Wavre à Waterloo… Et nous ne manquerons de vous en dire plus via notre site web : www.wawamagazine.com Car comme tout bon magazine qui se respecte nous allions au papier le numérique et non seulement nous vous offrons la possibilité d’y télécharger le magazine mais également de le consulter en ligne. Mais www.wawamagazine.com ne s’arrête pas là, il vous offre la possibilité de poster vos annonces et vos évènements gratuitement. Avec près de 1000 visiteurs par jour vous avouerez que ce n’est pas mal pour un début ! Le site est mis à jour quotidiennement et de nombreux concours vous seront proposés. A noter ce mois-ci par exemple 100 places de cinéma Wellington et 30 places pour la Aula Magna à remporter. Last but not least chez WaWa on aime les gens qui bougent et qui font avancer le Brabant Wallon, alors vous avez une idée ? Une envie ? Vous voulez vous exprimer ? Vous voulez que l’on parle de vous ? Peu importe votre domaine le WaWa est toujours ouvert pour vous aider ou pour collaborer, alors… N’hésitez pas à nous contacter ! Le plus important : Prenez du plaisir dans la vie, prenez du plaisir avec le WaWa ! Jean-François de Lavareille.
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Sommaire
Seul sur sa planète alvéolée…
8 24 38
Le Roi Vert est dans le Brabant Wallon
Le Chouchou lasnois…
Wawa Magazine
48 56
Passage à Taba
Editeur responsable Jean-François de Lavareille Rue du Collège 114 - 1050 Bruxelles Rédaction Coralie Denis Pierre Chaudoir Jean-François de Lavareille Photographe Jean-François de Lavareille
« Pimp My House » : Petit Prince, Transforme-Moi Ma Maison
Infographie Pica Mundo sprl Contacts magazine, rédaction et publicité Jean-François de Lavareille : 0479 96 60 91 Avertissement: • Nous déclinons toute responsabilité pour le contenu des publicités. • Le contenu des articles n’engage que les personnes interrogées. • Aucun article ne peut être reproduit même partiellement sans l’autorisation expresse de la rédaction. • Ne pas jeter le magazine sur la voie publique
Seul sur sa planète alvéolée… Le golf avec 55.000 membres est le 6e sport pratiqué en Belgique. Plus de 60 millions de golfeurs le situe à une très belle 4e place dont 6,9 millions en Europe et plus de 32.000 parcours répartis sur notre planète dont 13 parcours de 18 trous dans le Brabant Wallon. Photos : Philippe Gaudy
La Ryder Cup, tout belge sait maintenant que c’est le 3e événement sportif mondial au niveau télévisuel avec 750 millions de téléspectateurs. Si on vous dit en plus que lors des prochains Jeux Olympiques, le golf fait son retour, vous aurez compris que le golf devient un sport incontournable et surtout populaire dans le monde. Nicolas Colsaerts, né à Bruxelles, vient de fêter ses 30 ans et il brille de mille feux sur la planète golfique. C’est un phénomène par son talent, sa touche de balle et une longueur qui lui vaut deux surnoms. Un officiel sur le circuit : Belgian Bomber. Un plus folklorique dans le monde du golf belge grâce au camarade Alain Jeukens : Den Kartache Peij. En participant à 33 tournois en 2012, il a parcouru à pied plus de 2.000 kilomètres en foulant
les plus beaux fairways du monde. On peut dés lors comprendre qu’après avoir été champion du Monde de Match-play, intégré le saint du saint dans l’équipe européenne qui a terrassé les américains sur leur territoire avec une victoire inouïe face à Tiger Woods, c’est un de nos plus beaux fleurons du sport belge actuel. Nicolas Colsaerts est très fier de voir flotter un drapeau belge sur un tournoi. Son arrière grand-père prit part aux Jeux Olympiques d’Anvers en 1920 et il lui tint à cœur de faire partie de la fête en 2016 au Brésil. Nicolas a découvert le golf sur l’hippodrome de Boitsfort pour rejoindre le très sympathique club de Rigenée. Il y a rencontré celui qu’il le suit depuis comme coach technique : Michel Vanmeerbeek. C’est son fils Richard qui gère sa préparation physique dans son centre de
Crossfit. Vincent Borremans est d’abord son ami et confident avant d’être son agent. Vincent vit à Waterloo et il a tout fait dans le golf par passion. C’est un « tof » comme on dit en Belgique. Sa passion a porté Nicolas quand, durant une saison, le montant de ses gains se résumait à…. 8.000 euros.
depuis toujours. Ce sont les mêmes sponsors qui le soutiennent depuis des années. Souvent d’abord des amis passionnés.
Groupe complètement atypique sur le circuit face aux monstres du marketing sportif. L’entourage de Nicolas, c’est « les copains d’abord ». Son ami d’enfance Jérôme Theunis le suit pas à pas pour l’aider dans la préparation des tournois, Blaise Erpicum est son osthéopathe et Philippe Gaudy est son photographe attitré
Ses parents, résidents à Rixensart, le suivent parcimonieusement. Danielle discrète tente de s’approprier avec son petit de 188 centimètres des petits moments de tendresse. Patrick est en éclaireur très loin devant pour voir arriver les balles. Il use des dizaines de paires de ciseaux pour rassembler tout ce que la presse mondiale
Il a noué avec Brian Nilsson une amitié qui a créé sa deuxième famille en Thaïlande où vit son caddy australien.
écrit sur leur prodige. Pas besoin de les trier. Ils sont tous positifs. Nicolas est d’abord un gars gentil. Simple. Accessible. Humble. Drôle. Il suffit de le mettre devant un groupe de jeunes pour qu’il devienne dithyrambique avec des yeux qui brillent de mille feux. Il aime la vie. Il est avec son caractère belge très apprécié par la planète golf. Il a tout pour lui. Il est doué, il est gentil, il gagne, il est disponible, il aime le golf, … Tout porte à croire que le meilleur est à venir. Tout le monde s’accorde sur ce point. En 2013, il peut, grâce à sa 35ème place mondiale, choisir ses tournois sur le circuit américain. Il jouera moins mais il sera dans des compétitions où sera réuni le gratin du golf mondial. Le père Noêl a apporté un cadeau formidable. Une invitation pour participer au Masters à Augusta au mois d’avril. S’il se prend une veste, c’est qu’il aura gagné la Green Jacket. Le rêve de tout golfeur. Le golf reste pour lui un véritable plaisir comme plus ou moins 10.000 personnes dans le Brabant Wallon. Si vous voulez essayer sans vous prendre la tête, Wawa Magazine vous recommande un club accessible au sein duquel Nicolas a passé son adolescence soit le golf de Rigenée à Villers-la-Ville : www.rigenee.be, Nathalie@rigenee.be ou 071/87 77 65
Mini-interview de Nicolas Quelles sont tes bonnes adresses dans le Brabant Wallon pour manger et boire un verre ? Je vais vous étonner, mais je voyage beaucoup et je vois ce que font les autres : Je trouve que cela manque en qualité, en artisanat et simplicité. Les vraies frites, un véritable spécialiste en viande, un italien comme en Italie, un spare
ribs digne de ce nom, une croquette aux crevettes comme aux Armes de Bruxelles à la belle époque. Il manque d’incontournables, d’institution sérieuse, un service efficace et aimable… ou bien, et c’est bien possible, je ne les pas encore rencontrés… Ton plat préféré ? J’an ai plusieurs, mais quand je reviens en Belgique, il ne me faut que quelques heures pour me retrouver à une bonne table bruxelloise pour commander des croquettes crevettes et une sole meunière. Ta boisson favorite ? Là encore, je vais pointer une exclusivité belge, non pas la gueuze car je ne bois jamais de bière mais bien l’Ice Tea pétillant qui n’existe que dans notre pays… un régal ! Augusta. Cela évoque quoi pour toi ? Le Masters c’est mythique, ce sont des souvenirs de jeunesse à regarder tard ce tournoi vissé à la télévision, la Veste Verte, la tradition, la beauté du parcours, y jouer est un rêve fou d’adolescent ! Tes parcours préférés dans le monde ? J’ai eu la chance de jouer Cypress Point, haut lieu de la célèbre 17 Miles Drive sur la péninsule de Monterrey, à côté de Pebble Beach, c’est le plus bel endroit que je connaisse. J’ai été ébloui, il faisait magnifique, ce fut un recueillement. En Europe, j’ai un faible pour l’Old Course de St Andrews et je trouve que le parcours dessiné par Ernie Els à Anahita est très certainement la perle de l’Océan Indien ! Pour tout savoir et suivre les performances et émotions de Nicolas Colsaerts, voici les liens importants : Site internet : www.nicolascolsaerts.be Sa page Facebook : www.facebook.com/nicolas.colsaerts
Le monde magique de Bernard Depoorter C’est avec un immense plaisir que l’équipe du WaWa magazine s’est rendue dans l’univers féérique du jeune couturier wavrien Bernard Depoorter. A l’abri des regards, il nous reçoit dans sa demeure familiale aux allures romantiques et baroques. L’accueil chaleureux du couturier et les multiples bougies nous donnent directement le ton… Nous venons d’entrer dans un autre monde. Tout de suite, nous comprenons que le jeune homme est particulièrement attaché à l’art de vivre et la beauté des choses. Dans le salon où nous nous trouvons, rien n’est laissé au hasard. Les éléments qui nous entourent définiront d’ailleurs parfaitement la personnalité de Bernard tout au long de notre rencontre. D’élégants modèles vêtus de robes noires signées Depoorter sont placées dans les coins du salon. S’ajoute à cela une bibliothèque qui apporte un peu de couleur avec ses innombrables couvertures ainsi que plusieurs objets conservés ou œuvres chinées par l’artiste. A l’image de cette décoration dosée, chacun des choix de Bernard, chacune de ses créations sont inspirées par des histoires, des époques, un meuble, un livre, … Pour l’artiste la source d’inspiration est partout et tout le temps…
Photos : Florence D’elle
Les débuts de Bernard Depoorter Tout commence à l’âge de sept-huit ans lorsque Bernard découvre d’anciens vêtements dans les greniers de ses grands parents. Tout de suite, le jeune garçon développe une curiosité pour les arts décoratifs. Sa fibre artistique se déclare tout spécialement au contact des robes brodées d’époque. À dix-neuf ans, Bernard sait qu’il veut exploiter cette sensibilité. Davantage inspiré par l’univers glamour et baroque des grandes maisons de couture parisiennes que par l’univers minimaliste et classi-
que belge, Bernard se lance. Ses books sous le bras, il part en France vivre son rêve. Dominique Sirop, Jean-Louis Scherrer ou encore Christian Dior ouvrent leurs portes et nourrissent l’apprenti couturier de leur savoir. De plus, au-delà de cette richesse culturelle, les grands couturiers parisiens apprennent à Bernard Depoorter à échapper aux pièges de la création. Petit à petit, le jeune artiste détecte comment trouver l’équilibre dans ses réalisations. « La meilleure école pour un métier comme le mien est de se nourrir sur le terrain, bien que je pense que l’on
ne cesse d’apprendre tout au long de sa vie ». En 2004, la carrière de Bernard Depoorter démarre avec de prestigieuses commandes de robes à Paris. Ces nouvelles relations donnent un coup de pouce au jeune couturier. Il enchaine alors les défilés en Belgique et à Paris. Pour ces événements, il prend beaucoup de soin à choisir le lieu et présente régulièrement ses collections dans des châteaux. « Je suis très attaché à la protection du patrimoine. Les châteaux sont des lieux remplis d’âme qui m’inspirent. Mes collections sont parfaitement mises en valeur dans ces endroits magiques. » La marque de fabrique Les créations de Bernard Depoorter sez par la doublure en soie de couleur violette et le noir au même titre que la rose anglaise globuleuse et fermée que l’on retrouve sur ses robes. Depuis quelque temps Bernard s’oriente vers de nouveaux tons et choisit des couleurs en demi-teintes. « Je ne vais jamais prendre un rouge ou un vert vif. J’opterai plus pour un rouge sang, un caramel, un cognac, ou encore un vert olive,… Je travaille beaucoup et, de plus en plus d’ailleurs, sur la palette de couleurs. Je veux apporter une subtilité avec un aspect parfois vieilli ou délavé. » La maison Depoorter se démarque aussi par l’approche de la coupe. Les collections sont influencées par les années cinquante. « Pour moi, ces références sont in-
temporelles. Je les réinterprète chaque saison, elles me plaisent énormément. Viennent aussi se greffer à ce standard quelques influences folk des années vingt et trente ». Puisée dans ses nombreux livres, à la vue d’un film ou encore d’une femme, l’inspiration est partout. Très attaché à l’histoire et conscient qu’elle est propice à de nouvelles inspirations, Bernard passe beaucoup de temps à analyser des architectures, des époques et des cultures lointaines. De fil en aiguille, les idées pour les collections futures s’étoffent. « La difficulté n’est pas d’avoir des idées, elle se trouve dans le tri de celles-ci. Je dois garder à l’esprit différentes contraintes telles que le coût, le temps et la conjoncture. » En dehors des trois à quatre collections capsules par an, la maison Depoorter propose une grande collection annuelle. De son côté, l’artiste travaille toujours sur trois à quatre collections à la fois. « Je construis toujours une collection à partir d’un tissu. J’en ai besoin pour imaginer la robe. Je fais de nombreux brouillons que je trie au fur et à mesure. Je sais également que je dois adapter mes idées à la clientèle belge qui est particulièrement classique. » En dehors de ses créations, Bernard Depoorter est en permanente recherche d’une nouvelle aire, en conservant les valeurs qui lui sont chères, il se prépare à une révolution vestimentaire. Le jeune couturier constate que depuis 20 ans il n y a plus de réelle nouveauté, les modes se réinterprètent perpétuellement. « Je constate que
beaucoup de domaines tournent en rond. Je pense à la mode mais aussi au cinéma, …». Le concept Le jeune homme est visiblement très sensible au monde qui l’entoure, il s’interroge et se positionne. Cette ouverture d’esprit est le témoin de l’écoute qu’il consacre aux femmes. Il se pose les bonnes questions. Prenant exemple la femme d’affaires de 35 ans et plus ; Quels sont ses besoins ? Comment peut-elle se sentir bien dans sa tenue tout au long d’une journée ? Prenant en compte l’évolution permanente de la société, le couturier constate que le comportement vestimentaire de la femme est directement influencé. « Le luxe n’est plus d’afficher des logos comme au début des années 2000, le luxe est de profiter d’une doublure en soie. » Fidèle à ses valeurs, Bernard Depoorter, propose à ses clientes une approche conviviale et personnalisée. Ses créations ne sont pas disponibles en boutique. Pour les découvrir, il faut se rendre dans ses ateliers, là où tout se passe. « J’ai décidé de sortir de cette dictature qui impose une surconsommation, des stocks à l’infini et des clientes parfois peu conseillées. Je pense que ce système ne tourne plus et qu’il faut revenir à l’essentiel. » Le concept du couturier est de proposer ce qu’il appelle du « prêt-à-couture ». Par exemple, il réalise une robe noire qu’il pourra customiser à souhait avec des accessoires amovibles, modesties, cols ou encore boutons artisanaux. Une démarche qui permet à la clientèle de mettre sa robe pour diverses occasions, dans différents contextes. « Je veux proposer à mes clientes autre chose que le vêtement presque parfois jetable de la grande distribution. Les robes que je crée ont chacune une histoire qui les rendent uniques ». En accord avec son temps, Le couturier travaille le tissu naturel, garantit le made in Belgium et encourage l’artisan à l’instar des grandes industries. Pour s’offrir la petite robe noire de base à customiser ensuite à souhait, il faudra prévoir un budget entre 500€ et 1500€. La robe sur-mesure, elle, pourra être créée à partir de 2000€. Bernard Depoorter apporte une touche à la fois fraiche et intemporelle à ses créations tout en conservant les codes de la haute couture.
Ce qui lui vaut d’ailleurs de se démarquer auprès de nombreuses célébrités comme la chanteuse Lara Fabian, la princesse Claire ou encore de l’animatrice télé Armelle. « Il y a beaucoup de jeunes talents en Belgique que ce soit dans la couture, la joaillerie, le mobilier, la gastronomie,… C’est un honneur pour des jeunes comme moi de pouvoir habiller des ambassadrices qui mettent mon travail en avant. En plus, elles sont de très bonnes conseillères, je reste toujours à l’écoute des avis qu’elles me donnent. Lorsque je crée une collection, avant de la dévoiler, je la présente toujours à mes meilleures clientes et aux femmes de mon entourage qu’elles aient 16 ou 60 ans. » La tribu Depoorter Le jeune couturier est, depuis toujours, particulièrement encouragé par sa famille. Bernard est très attaché aux valeurs familiales. Il se trame autour de lui un élan de dynamisme remarquable pendant les périodes de défilés et tout au long de l’année de préparation. « Je suis en parfaite fusion avec mes parents et mes sœurs. La famille est primordiale, sans elle, ma carrière ne serait pas ce qu’elle est. Elle m’a permis de prendre les bonnes décisions, de me protéger quand il le fallait et de me rappeler qu’un artiste doit rester raisonnable dans ses choix. Je pense que dans la vie, il faut être ouvert aux conseils des ainés. J’ai d’ailleurs beaucoup de discussions avec des personnes de soixante ans et plus, elles m’apprennent tellement de choses. Lorsqu’on est jeune, on est encore que des apprentis de la vie. » La tribu Depoorter ne serait pas au complet si nous n’abordions pas les animaux de compagnie que possède Bernard. Il nous confie qu’au rez-de-chaussée de
sa maison, il héberge un couple de paons nommés Victor et Constance. « C’est un animal qui peut sembler très vaniteux mais je trouve qu’il a beaucoup de grâce (rires). Mes arrières grands parents en possédaient déjà dans cette maison et j’ai voulu réintroduire cet oiseau si particulier. Il s’agit presque d’un ‘’code Depoorter ‘’puisque l’on retrouve la plume dans mes collections et le motif sur le carrelage d’époque de la cuisine. Mes paons m’inspirent beaucoup ». Le cabinet de curiosité Le partage étant une notion que le jeune homme garde toujours à l’esprit, il a pour projet d’aménager la bâtisse industrielle attenant à la maison historique pour recevoir encore mieux sa clientèle. Il pourra dès lors partager avec ses clientes une ambiance où se croisent passions, découvertes et trouvailles en tous genres. Bref un art de vivre qui lui est propre. Dans les nouveaux espaces, le couturier projette aussi d’ouvrir un atelier uniquement dédié à la rose en soie. « C’est un artisanat qui se perd et je tiens à retrouver les outils adéquats pour perpétuer la fabrication de cet accessoire majestueux ». Le projet est de mêler les différents univers, de l’atelier rempli de tissus à la maison pourvue d’histoire passant par la cour intérieure où résonnent encore les souvenirs d’enfance. À venir Outre les nombreux projets collection annuelle, Bernard Depoorter cette année va proposer une robe spécialement imaginée pour les jeunes femmes en collaboration avec la créatrice Nathalie Didden. www.bernarddepoorter.com
CESSION, LA MAISON DE L’EXCELLENCE. DE L’ART HORLOGER ET JOAILLIER Partager l’amour d’une passion, façonner une création à partir d’une envie et garantir un service des plus complets, sont les éléments que réunit le joaillier-horloger Xavier Cession depuis vingt ans.
Née il y a presque cinquante ans, la bijouterie située face à l’Hôtel de Ville de Wavre est devenue aujourd’hui un véritable lieu d’exception. Passionné et séduit par la haute horlogerie, Xavier Cession a enrichi ses connaissances auprès des plus grandes écoles et a effectué de nombreux stages au sein de prestigieuses manufactures suisses. Il a multiplié les spécialisations et diplômes tant en horlogerie et joaillerie qu’en gemmologie. « Mon rêve était de pouvoir présenter un jour mes propres créations et de partager mon amour pour la haute horlogerie », nous confie-t-il. Quelques temps après, et muni d’un savoir-faire exceptionnel, Xavier Cession prend les commandes de la bijouterie face à l’Hôtel de Ville. « Je tenais vraiment à pouvoir m’installer à Wavre, dans ma ville d’origine ». Mené de main de maître depuis vingt ans par Xavier Cession, l’endroit se veut intimiste et privilégié. Entièrement aménagé par Stéphane Goosse, le décorateur et ami de Xavier Cession, l’espace a gardé toute sa quintessence et sa magie pour offrir à sa clientèle l’opportunité de se confier en toute sérénité. « J’aime recevoir les clients comme j’aime être reçu », explique-t-il. Les créations Cession sont réalisées à la main et toutes imaginées par le joaillier-horloger. Elles sont élaborées en l’espace de six semaines et ornées des matériaux les plus précieux. L’or est sans doute le matériau le plus apprécié par l’artisan. « L’or est malléable et se prête à toutes mes créations. Je peux le façonner selon mon inspiration pour mettre les pierres en valeur ».
La Maison Cession affectionne tout particulièrement le travail sur mesure. « Il s’agit pour moi du moment le plus intense,… », nous confie Xavier Cession. «… On organise en général un rendez-vous où j’essaie de connaître les envies de la cliente et c’est là que toute la magie opère. J’écoute les demandes de la cliente et de la personne qui l’accompagne, j’y ajoute ma touche personnelle en traduisant le tout par un dessin. La cliente peut alors visualiser la création avant la réalisation. Ce moment partagé est exceptionnel ». Pour célébrer les vingt ans de la joaillerie Cession, la Maison prépare un livre qui la représente et
Création Cession
illustre au mieux ses créations. Pour marquer cet anniversaire exclusif, Xavier Cession et son équipe apposent en ce moment une dernière main sur une toute nouvelle création. Il s’agira d’une bague croisillon qui engagera le pas vers un modèle de style nouveau. Toujours soucieux de proposer un panel à la hauteur des attentes de sa clientèle, le joaillierhorloger épingle en exclusivité les marques représentées chez Cession. « Jaeger-LeCoultre, pour moi la manufacture de haute horlogerie Suisse par excellence. Leurs créations cadrent parfaitement avec mon état d’esprit ; sobriété, discrétion et maîtrise de l’art horloger. Ils réalisent depuis 180 ans des pièces exceptionnelles ». « Roberto Coin est une marque présente aux quatre coins de la planète. Il propose des pièces de haute joaillerie complètement différentes des miennes. C’est cette complémentarité qui m’intéresse ». « En horlogerie, je représente aussi Breitling qui n’est plus à présenter. Ce sont des gardetemps précieux appréciés par tous et particulièrement par les pilotes ». « Baume et Mercier, la marque d’horlogerie suisse qui arrive cette année avec une nou-
veauté de taille appelée la Clifton ». « Hermès qui vient de racheter une Manufacture suisse, ce qui permet d’atteindre une fois de plus une qualité tout à fait intéressante ». « Nous proposons aussi des pièces horlogères d’exception de Montblanc qui possède la célèbre manufacture suisse Villeret ». « En joaillerie, notre clientèle peut découvrir la marque Eden. Il s’agit d’un joaillier belge contemporain très intéressant ». « Pour les amateurs de couleurs, nous proposons la lumineuse marque italo-belge Bigli ». « Enfin, nous représentons le joaillier italien présent chez les plus grands, Mattioli ». Une gamme étoffée, qui ne manquera jamais de séduire les amateurs de qualité et d’excellence…
Place de l’Hôtel de Ville 17 1300 Wavre Tél : 010/22 43 49 www.cession.be
r es Ă gagner su 30 plac awamagazine.com www.w
Un soir de décembre, mon camarade Maxence Lacombe m’envoie un SMS me disant que nous recevons le lendemain dans l’émission « Les Flingueurs de l’Info » sur Twizz : Paul-Loup Sulitzer. Il vient de se faire retirer la légion d’honneur. J’apprends par la même occasion qu’il vit en Belgique. Une rapide coup d’œil sur le net me convainc que ce mec vit une existence pas du tout comme les autres. Il accepte de nous parler en exclusivité. Waouw !!!!! « Fils de résistant, portant le prénom de son oncle mort à Auschwitz en tant que combattant, auteur français le plus traduit et le plus lu dans le monde, Paul-Loup Sulitzer n’a eu de cesse que d’exporter la culture française et de donner aux français le goût d’entreprendre et de réaliser leurs rêves. Sa carrière lui a d’ailleurs valu les honneurs de la République et les félicitations des Présidents successifs. Il est très peiné par cette décision. Son exclusion se base sur sa condamnation à 15 mois de
prison avec sursis et 100.000 euros d’amende pour recel d’abus de biens sociaux dans le cadre de l’Angolagate. La plupart des chefs d’inculpation de M. Sulitzer n’ont finalement pas été retenus et ce dernier n’a été condamné que pour « recel d’abus de biens sociaux». Ce délit constitue une spécificité juridique française sous laquelle tombe chaque année des milliers de personnes. M. Sulitzer n’a pas fait appel de cette décision intervenue au terme d’une longue procédure intervenue au terme d’une longue procédure qui a eu pour lui de graves conséquences. » - Extrait de son communiqué de presse. Il arrive au studio. Il a le pas ralenti par son AVC. Appuyé sur une canne. Le phrasé est toutefois fort. Il me relate notre très courte conversation chez Filigranes une année auparavant. Je suis scié. La mécanique tourne comme une horloge. Comme le moulin d’une voiture italienne au cheval cabré. L’homme est blessé par le coup dur que lui porte son
pays. Il est debout. Fier. Touché dans sa fierté mais souriant. Regardant l’avenir sereinement dans le blanc des yeux. Sans rancœur. A une question évoquant la mère de ses enfants qui l’a rincé jusqu’au bout, il répond avec panache : « Elle a pris les œufs mais elle n’a pas la poule. ».
Vivant dorénavant en Belgique, sur la place principale d’Ohain, il est arrivé discrètement. Sans faire de bruits. Sans provoquer de tempête médiatique. « Dans la crise actuelle qui frappe de plein fouet de nombreux français, Paul-Loup Sulitzer a même été obligé de trouver un emploi de 16 mois en Belgique afin de ne
Le Roi Vert est dans le Brabant Wallon
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L’interview est étonnante. Il est bord cadre. Il va craquer. Balancer. Comme il a eu en face de lui tous les cadors du PAF (paysage audiovisuel français), ce n’est pas des petits belges qui vont le déstabiliser. On cherche à le faire exploser mais mot après mot, il reste jovial. Confiant. Serein. Nous avons eu l’impression de voir un homme se re-construire. De re-bondir. De naître. De re-naître. C’est toujours beau une naissance. Nous avons été les sagesfemmes d’une nouvelle vie. Sans forceps. Sans péridurale. Et désormais sans rosette mais avec une belle envie de manger la vie. Il fait partie de la race des seigneurs. On lui prépare un film tant sa vie est un authentique roman. Des salles obscures pour un personnage très lumineux… Moteurs. Action.
Interview expresso
pas grossir les rangs des demandeurs d’emplois ! » - Extrait de son communiqué de presse. Il avait été annoncé mort à son arrivée en 2004, il ressort sous une « standing ovation » du personnel hospitalier qui n’en revient pas de sa faculté à survivre.
Pourquoi êtes-vous venu vous installer à Ohain ? Je suis venu parce qu’un de mes amis Edouard Hendryks m’a invité à rester à Lasne commune proche de Bruxelles et de mon ami Frédéric Cornard avec lequel j’ai un contrat. Lasne est une commune romantique et très belle. Votre impression sur la Belgique a-t-elle changé depuis que vous y vivez ? Mon impression sur la Belgique n’a pas changé depuis que je m’y suis installé BHV, NVA. Cela signifie quoi pour vous ? Je pense qu’il s’agit là des initiales de Bart de Villers et d’un parti politique
Comment perçoit-on la France vue depuis la Belgique ? La France subit de plein fouet une crise politique, financière et morale. Bref, en deux mots une transition. UN proverbe chinois dit : « Souhaites à ton pire ennemi une période de transition » Que préférez-vous dans le caractère des belges ? La convivialité, la sympathie, la simplicité et une vision internationale Quelle est la blague sur les belges qui ne vous fait plus rire ? Comment reconnait on un belge dans un magasin de chaussures, c’est le seul qui essaie les boîtes Arno, Geluck, Brel, Poelvoorde… Ils sont tous nés dans le même moule ? Le talent et l’humour les réunissent. Quelle est la première mesure que vous prendriez si vous deveniez le premier ministre belge ? De rester indépendant et d’avoir mes propres convictions, mes propres lois et d’essayer autant que peut se faire de rester unis
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La Belgique. C’est le paradis terrestre pour les plaisirs culinaires ? La Belgique est un endroit où l’on mange extrêmement bien. Il y a tout avec les brasseries authentiques mais aussi de grands restaurants étoilés Quels sont vos endroits fétiches pour vous détendre ? J’aime beaucoup Knokke-leZoute, le Zwin et les Ardennes La garde rapprochée de Paul-Loup Sulitzer est composée de qui ? Cette information, je la garde pour moi par confidentialité pour mes amis et partenaires A tous ceux qui vous méprisent, vous avez envie de dire quoi ? Ils ne me connaissent pas. J’espère pour eux qu’ils pourront faire dans leur vie autant de choses que j’ai pu faire et rendre
autant de services que j’en ai rendus sur le plan humain Une fée vous offre trois vœux. Vous demandez quoi ? La santé, l’amour et le pouvoir de continuer à faire ce que j’ai toujours fait le mieux : de beaux livres et de grandes affaires. Françoise Hollande en un mot, cela vous évoque quoi ? Un Président sur qui il tombe un environnement épouvantable à qui je souhaite beaucoup de chance (j’ai l’impression qu’il en a) Quelle est la question que vous aimeriez que l’on vous pose ? Avez-vous des sentiments et de l’humanité ? Vous auriez 18 ans aujourd’hui. Que créeriezvous comme business ? Je me lancerais dans les nouvelles technologies numéri-
ques et trouverais une idée qui s’adapte à ce monde nouveau Quelle est la maxime de votre existence ? En anglais, on dit comme le coureur automobile : « Never Give Up » Derrière tout grand homme se cache une grande femme. Vous cachez qui ? Cela fait partie de mon jardin secret Votre héros préféré ? Votre acteur/trice préféré(e) ? Votre sportif(ve) favorite ? Marlon Brando et Alain Delon, Gene Tiereny (champion ski), Jean-Baptiste Grange et Marcel Cerda Sur une île déserte. Vous emportez quoi ? La bible et la photo de mon père
Depuis presque 20 ans, Chloé et Michel vous reçoivent dans leur restaurant avec toujours le même plaisir et le même savoir-faire. Au coin du feu en hiver ou sur la magnifique terrasse en été, ils vous proposent une carte variée, des menus découvertes ainsi qu’ un lunch au choix à 16 euros servi aussi le samedi midi.
32 chemin de l’herbe 1325 Bonlez Ouvert de 12h à 14h et 19h15à 22h Fermé le dimanche soir et le lundi Réservations : Tel 010.68.89.61 chemindelherbe@skynet.be Ouvert le dimanche midi www.32chemindelherbe.com
Ouvert le dimanche midi
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Insolite, vous avez dit ? Le Kopi Luwak est le café le plus cher du monde. Il est récolté dans les excréments d’une civette asiatique, le luwak Serge Gainsbourg avait une soeur jumelle nommée Liliane
Dans certains États des États-Unis le port du casque n’est pas obligatoire en moto.
La devise de l’Union européenne est In varietate concordia signifiant « Unie dans la diversité ».
Certaines lucioles émettent suffisamment de lumière pour vous permettre de lire un livre en pleine nuit
Le Délirium Café, un bar situé à Bruxelles, détient le record du bar proposant le plus grand choix de bières au monde, avec plus de 2004 bières à sa carte.
Une vache peut monter un escalier mais pas le descendre
La fontaine présente sur le logo Schweppes est celle que la marque fit construire en 1851 lors de la première Exposition Universelle (à Londres), où la marque acquit d¹un coup une renommée mondiale.
Votre corps utilise 300 muscles simplement pour se tenir en équilibre, lorsque vous êtes debout.
Votre corps contient assez de fer pour fabriquer deux petits clous
Les habitants de la commune française de Vaux-lès-Mouron se nomment les Vauriens
Il est impossible d¹éternuer avec les yeux ouverts.
Le mot Tanzanie est la contraction des noms de deux anciens pays : le Tanganyika et Zanzibar.
Certains ours courent aussi vite qu’un cheval.
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Un cheveu humain peut supporter le poids de 3 kg.
Le Chouchou lasnois‌
Savez-vous que vit à Lasne un Olympien ? Une race à part de sportifs qui a participé aux Jeux Olympiques ? Alexandre De Saedeleer est, en effet, un des piliers de l’équipe nationale de hockey sur gazon qui a terminé à une brillante 5ème place aux derniers Jeux de Londres.
Coup de coeur WaWa ! Le Lynx Hockey Club de ittre. Le club a été créé afin de permettre à la commune de solliciter les subsides pour la construction d’une infrastructure dédiée à la pratique du hockey. Nous nous retrouvons avec 4 équipes : 2 équipes de poussins (4-5 ans), 1 équipe écureuils garçons (6-7 ans), et 1 équipe écureuils filles (6-7 ans). Les entraînements se donnent sur un terrain en gazon naturel pour le moment, le terrain de foot de l’ASF Virginal, et lorsque le temps ne le permet pas, entraînement en salle à la salle de
De nature plutôt discrète, le plus jeune des trois garçons vit, à Ohain, entouré de sa maman et de ses deux frères ainés, François et Thibault. Tous vivent par et pour le hockey. François gère avec son oncle et sa maman, le magasin Hockey Player à Ixelles. Thibault dirige l’énorme école des jeunes du Waterloo Ducks. Les trois frangins ont eu l’occasion de jouer ensemble dans l’équipe fanion du Waterloo Ducks qui est un des fers de lance du hockey belge en fournissant une majorité de joueurs de notre équipe nationale. « Chouchou », c’est le numéro 23 qu’il arbore fièrement depuis toujours. Propulsé à 15 ans en équipe première, il a permis à son équipe de remporter depuis 2006 trois titres de champion de Belgique. Depuis plus jeune âge, il grandit dans les équipes nationales où il excelle. Très vite, il rejoint l’équipe des Red Lions comme titulaire. En 2005, il reçoit même le stick d’Or du Meilleur Espoir.
gymnastique de l’école libre de Virginal. Nous sommes toujours à la recherche de sponsors. La visibilité devrait être assez bonne dès la saison prochaine, car nous devrions disposer d’un terrain très rapidement... mais chut, c’est encore un secret... Pour toute information, info@ittrehockey.be ou site www.ittrehockey.be
Avant les Jeux Olympiques de Pékin en 2008, c’est la claque. Il est le 17ème joueur sur la liste. Le sélectionneur n’a droit qu’à 16 joueurs. Le rêve de devenir olympien comme son papa en 1972 à Munich s’effondre. « Coco », le surnom de Michel De Saedeleer, étant décédé des suites d’une longue maladie une année auparavant. En véritable passionné de sports qu’il était, au sein du COIB et de la fédération de hockey, le Waterloo Ducks lui doit beaucoup de son succès dû à sa clairvoyance sur le blé qui montait. Alexandre De Saedeleer accompagne le groupe en Chine sans pouvoir jouer. Le coup est rude mais il s’accroche. Quatre ans plus tard à Londres, il a brillé de mille feux en patron d’une défense contre les plus grandes équipes du monde. De plus, il a révélé aux amateurs de hockey de véritables talents de journaliste en livrant ses impressions chaque jour sur un site digne des plus grands champions.
Il partage son temps entre les entraînements nationaux (quasi quotidiens), ceux du Waterloo Ducks et l’encadrement des jeunes. Toujours avec énormément de passion. Il est devenu un très bel athlète de 183 cm à la toise et d’un poids idéal de 77 kg. A 25 ans, il est l’un des plus âgés des Red Lions. Son regard est déjà porté vers le Brésil. Prochaine destination des Jeux. L’encadrement soumet l’équipe à un professionnalisme qui ne permet plus le moindre écart. Marc Lammers, le nouvel entraineur hollandais, est sans pitié. Mais de ce côté, pas de panique. « Chouchou », c’est un sérieux. Appliqué. Consciencieux. Travailleur. En plus du hockey, il taquine un peu la balle de golf à Rigenée avec beaucoup de talent avec ses partenaires.
D’ici là, il sera le guide parfait pour les jeunes pousses du Waterloo Ducks en tentant de devenir Champion de Belgique. Le club waterlootois, à la moitié du championnat, caracole en tête avec onze victoires sur treize matches. Tous les rêves sont donc permis. Par ailleurs, si vous cherchez un diplômé en Gestion d’Entreprise obtenue à l’Ichec et un sportif habitué au stress intense, il est à la recherche d’un challenge professionnel. Si Alexandre De Saedeleer est devenu votre Chouchou, suivez ses péripéties sportives sur son site officiel : www.ads23.com
Mini interview Quel est ton premier souvenir de hockey ? On m’avait mis dans une équipe lors de mon premier entrainement mais après quelques minutes j’avais remarqué une autre équipe plus attrayante donc j’ai quitté mon équipe et je suis allé dans l’autre, et je suis resté avec cette bonne bande jusqu’en scolaires J Ton rêve de hockeyeur ? De décrocher une médaille aux Jeux Olympiques Comment définis-tu le Waterloo Ducks ? Convivial, ambitieux et dynamique Les endroits que tu aimes dans le Brabant Wallon pour sortir ? Quelques bars à Waterloo (Oscar, Touchdown
où on peut suivre tous les sports à la tv, Amusoir, …) Quels sont les titres qui tournent le plus dans ton iPod ? Je suis assez bon public pour la musique donc j’aime un peu de tout. J’ai récemment acheté le CD « Génération Goldman » Quel est le dernier film qui t’a fait vibrer ? Ce n’est pas un film mais une série « HOMELAND »… assez vibrant !
People / club Aspria Royal La Rasante Le 9 novembre 2012. Le club Aspria Royal La Rasante a présenté les huiles sur toiles de robes de Haute Couture d’Essia Gammar, les chapeaux de «La Chapelière» Mélanie Massoni et la collection «Amazone» du styliste Bernard Depoorter en présence de S.A.R. Le prince Laurent. Ces créations belges ont fait le bonheur des amateurs d’élégance et de raffinement.
Mme Essia Gammar entourée de M. et Mme Moureau Taymans d’Eypernon Huiles sur toile sur la Haute Couture de Mme Essia Gammar
M. Miguel Van Ackere, M. et Mme Brian Morris, S.A.R. le prince Laurent
M. Pierre Marcolini et une amie
M. Miguel Van Ackere, M. et Mme Brian Morris, S.A.R. le prince Laurent
Mme Dolores Muñiz Sanchez, Mme Essia Gammar et Mme Sabine Bonte Mme Essia Gammar devant ses toiles
Mme Essia Gammar et S.A.R. la princesse Alexander de Windisch-Graetz
Chapeau de «La Chapelière» Mme Mélanie Massoni
M. et Mme Vincent de Maeyer
Chapeau de «La Chapelière» Mme Mélanie Massoni devant une toile de Mme Essia Gammar
Robe de M. Bernard Depoorter, collection «Amazone».
Robe de Bernard Depoorter, collection «Amazone».
M. Harold Gammar, Mlle Laura Parisi et M. Elliott Hardy.
Mme Véronique Gilson, Mme Nathalie Samson et la baronne Martine de Crombrugghe de Picqendaele
Mme Nathalie Didden, M. Bernard Depoorter et la comtesse Frédéric d’Aspremont.
M. et Mme Miguel Van Ackere et M. Michel Gronemberger
M. Pierre Samon Marnier, Mme Mélanie Massoni et son père M. Jean-Pierre Massoni.
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Passage à Taba On ne peut pas passer à côté, on a tous un «ami» sur Facebook qui a posté quelques photos de Taba, nouvelle destination à la mode…
Nichée au pied du mont Sinaï la station balnéaire de Taba borde la Mer Rouge dans le golfe d’Aqaba. Au Carrefour d’Eilat (Israël) et Aqaba en Jordanie, Taba fait face à l’Arabie Saoudite… Terre des Bédouins. cette péninsule triangulaire fait le lien entre l’Afrique et l’Asie. Mais pourquoi un tel engouement pour cette destination où le soleil se couche derrière les montagnes dès 17h30…? Les infrastructures hôtelières n’y sont bien sûr pas étrangères, encore moins le magnifique parcours de golf où les amateurs de la petite balle prendront énormément de plaisir dans un decorum de rêve sous le regard impassible de dromadaires en liberté… Mais les atouts principaux de ce site sont certainement son eau crystalline qui offre un monde sousmarin de toute beauté… Diversité, couleurs, la vie coralienne et ses “habitants” ne manqueront pas de vous surprendre grâce à sa faible profondeur.
Les amateurs de snorkeling en auront plein les yeux ! Les magnifiques plages également ne sont pas en reste, paisibles et spacieuses ells vous offrent le calme et la sérénité… Et enfin les amateurs d’excursion ne manqueront pas le “Coloured Canyon ”, le Mont Sinaï (Cadre du périple de Moïse où Dieu lui fut révélé sous la forme du Buisson ardent), le monastère Sainte Catherine ou encore de faire une petite pointe jusqu’au magnifique site de Pétra en Jordanie ! Nous vous conseillons : Le Mövenpick Taba Le Radisson Blu Taba L’InterContinental Taba Le Marriott Taba Heights Sans oublier le Club Med Sinai Bay Galerie photos: www.wawamagazine.com
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Puli reportage
Soltis, Un rayon de soleil dans votre maison ! Créée en 2008 par trois jeunes entrepreneurs et avec plus de 1500 installations à son actif, la société Soltis favorise l’énergie verte dans les foyers de belges. Panneaux photovoltaïques, pompes à chaleur ou encore isolation de la toiture, Soltis propose à sa clientèle un service complet et adapté à ses réels besoins en économie d’énergie Aujourd’hui, Soltis c’est une équipe d’une trentaine de personnes composée d’ingénieurs, de technico-commerciaux, de coordinateurs, d’installateurs,… qui vous garantissent un suivi impeccable du conseil à la concrétisation du projet.
Le photovoltaïque : Pourquoi et pour qui ? Opter pour les panneaux photovoltaïques c’est profiter d’une technologie en accord avec son époque. Une technologie directement imaginée pour les particuliers mais aussi pour les entreprises qui souhaitent réduire leur frais fixes tout en devenant éco-responsables et véhiculer une image verte auprès de leur clientèle.
te, Lorsque vous serez décidés à passer au vert, des installateurs de l’équipe Soltis réaliseront l’aménagement nécessaire. Ils installeront les panneaux sur votre toit et relieront le tout à votre compteur. En un jour de travail, votre maison produira toute l’énergie nécessaire à vos besoins de manière à devenir autonome. Vous deviendrez alors de véritables producteurs d’énergie solaire.
Une démarche est simple et efficace Sur base de vos factures d’électricité actuelles et de l’orientation de votre maison, un technicien spécialisé vous remettra un devis gratuit et personnalisé. Ensui-
Prime, budget et financement Ce type d’installation est particulièrement encouragé par la région. Les personnes qui optent pour le photovoltaïque reçoivent des certificats verts qui permettent de ré-
cupérer une certaine somme en fonction de la production. En cumulant l’économie de votre facture d’électricité + le revenu des certificats verts, le retour sur investissement se situe entre 3 et 5 ans. - La législation quant aux panneaux photovoltaïques devrait être revue sans doute à la baisse dans les semaines à venir par le Ministre Wallon de l’Energie. Si vous avez le projet d’installer des panneaux photovoltaïques chez vous et que vous souhaitez encore bénéficiez de la législation en cours, soyez prévoyant et passez au vert avant son adoption. En ce qui concerne le financement, il existe différentes façons d’opérer. Pour les entreprises, il est possible de faire appel à des tiers investisseurs. Il s’agit d’une société externe qui investit dans les panneaux photovoltaïques de l’entreprise et se rémunèrent à travers les certificats
verts à récupérer tout au long de la production. Les entreprises peuvent également opter pour un leasing classique. Pour les particuliers, il existe des prêts verts. Ces derniers offrent notamment la possibilité de rembourser une fois par an, lorsque les certificats verts seront perçus. Le groupement d’achat Soucieux de proposer des solutions compétitives pour sa clientèle. Soltis a mis au point un système d’achat groupé. Ce concept permet de proposer l’achat à moindre coût à l’échelle du nombre d’acheteurs. Par exemple, quelques voisins décident d’opter pour des panneaux photovoltaïques, chaque budget individuel bénéficiera d’une remise. « Plus vous êtes, moins c’est ça coûte». Pour plus d’infos sur les groupements d’achat en cours, visitez le site web www.soltis.be .
Puli reportage
NOUVEAU ! Soltis sera présent à partir du 21 février au salon Batibouw Palais 10 Stand 002 avec tous ses produits et présentera en nouveauté la pompe à chaleur la plus efficace du marché pour chauffer votre eau. Conçue et fabriquée en Belgique, elle est garantie 10 ans !
Les produits Soltis Soltis vous propose différents types de modules photovoltaïques adaptés à chaque budget dont les panneaux Sunpower à haut rendement garantis 25 ans.
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« Pimp My House » : Petit Prince, Transforme-Moi Ma Maison L’achat d’un bien immobilier représente une étape importante dans la vie de chacun. Quant au plaisir de le décorer ! Il y a là l’écho d’un aboutissement réel qui marquera le début d’une nouvelle aventure associée à cette maison originale, ce bel appartement que nous aurons réussi à sublimer. Chaque jour notre lieu de vie nous aidera à surmonter les aléas d’une vie quotidienne souvent stressante et monotone. Le choix d’une décoration appropriée est dans notre intérêt, nous nous sentirons bien dans notre nouvelle demeure ! A nous la liberté d’imaginer les aménagements les plus fous, les transformations les plus inattendues et les couleurs qui égayeront nos pièces. En marge de la sélection de biens immobiliers de qualité, il y a donc toujours un travail de décoration sous-jacent. C’est pourquoi la rencontre de deux professionnels Véronique Schatten et David Bianchini, respectivement associés à une agence immobilière qui a pignon sur rue « Engel & Völkers » à Wavre et à une maison de décoration en pleine essor « Maison Bianchini » à Dion-Valmont, était quasi inévitable. Tous deux passionnés par les espaces, les goûts, les couleurs et les volumes de nos résidences. C’est dans le quartier du Bercuit que David, notre décorateur passionné, nous livre ses coups de cœur
dans la maison de Véronique qui est une maison d’ « atmosphère » qui regorge de souvenirs de voyages et de pièces uniques très différentes. Si les thèmes récurrents sont liés aux chiens et aux chevaux, face à cette variété d’objets et de tableaux nous cherchons un fil conducteur : « Le cœur » s’exclame Véronique ! Et pour cause, il faut oser ! Les nombreuses pièces de cette maison sont colorées et à l’image d’une propriétaire épicurienne qui aime recevoir et transformer les volumes. Son secret ? « Il faut accentuer les défauts ». Si une pièce est longue et étroite, il ne faut pas hésiter à mettre en avant ce qui nous dérange mais de manière astucieuse. On peint les murs et les plafonds de la même couleur, on choisit des meubles tout en longueur et le résultat est étonnant : une splendide cuisine où les invités se plaisent à discuter. La convivialité d’un lieu ne s’explique pas tout le temps, « je trouve cette salle à manger petite », nous confie Véronique « et pourtant tout le monde adore ». David l’explique par un conseil déco simple : les tentures rouges foncé de la même couleur que les murs (pas le plafond dans ce cas). Nombreux sont ceux qui ont peur de mélanger les styles, nous apprenons que c’est le contraire qui est effrayant. La décoration est changeante et évolutive. Nos professionnels passionnés s’accordent sur
le besoin, voire la nécessité de changer son décor, « changer les tableaux de place, varier des tentures selon des couleurs été et hiver » et ne pas avoir peur d’occuper les espaces et les mettre en valeur. Véronique va plus loin, elle imagine, il y a cinq ans, la construction d’un bâtiment annexe l’« Orangerie ». Si le style classique de la maison principale est respecté, l’intérieur de ce nouvel appendice est moderne et lumineux. Au rez-de chaussée, un garage facilement transformable en salle des fêtes ; à l’étage, des bureaux avec une cuisine indépendante, des placards étendus sur tout le long de la pièce et qui passent malgré tout assez inaperçus grâce à une couleur blanc cassé, la même que celle des murs. Les hauts meubles réalisés sur mesure - tables, bureaux, chaises – magnifient un espace serein, où les plafonds paraissent encore plus hauts qu’ils ne le sont déjà. Le plancher n’est pas travaillé et est en accord avec une prédominance de meubles en bois blanc. Véronique Schatten nous dévoile l’importance
d’aménager son bien à long terme et de ne jamais avoir peur du changement, des transformations et des nouvelles idées. « Il faut avoir plein de projets, sinon c’est ennuyeux » ! Quant à cette rencontre de nos deux professionnels de l’immobilier et de la décoration, elle reflète finalement une harmonie évidente. Même pas peur de tout bouleverser, il y a dans ces deux métiers presque un talent d’alchimiste commun, ils vous suggéreront les idées qui feront de votre bien un lieu avec un décor en or. Merci Petit Prince. Véronique Schatten Engel & Völkers Wavre S.A. 15 Rue du Pont du Christ 1300 Wavre www.engelvoelkers.com David Bianchini Chaussée de Huy, 105b 1325 Dion-Valmont Ouvert le vendredi de 10h à 21h Nouveau : ouvert le samedi et le dimanche de 11h à 18h30 Les autres jours sur rendez-vous au 0478 17 11 15. www.decobianchini.com Plus d’articles déco via :
AGENDA LES MISÉRABLES” EN AVANT-PREMIÈRE UNE SOIRÉE EXCEPTIONNELLE
LE CENTRE CULTUREL DE WATERLOO PRESENTE… QUELQU’UN DE BIEN !
Le Centre culturel de Waterloo propose le mardi 19 février à 17h, une soirée exclusive avec la projection en avant-première de l’adaptation cinématographique de la comédie musicale Les Misérables précédée d’une lecture d’un extrait de l’intégrale des Misérables.
Pour le plaisir des jeunes, des moins jeunes et de tous les fans de concerts, le Centre culturel de Waterloo accueille le chanteur belge Antoine Hénaut, le 23 février 2013 à 20h.
En vue de célébrer les 150 ans des Misérables, le Centre culturel de Waterloo a entamé, lors de sa saison 2010-2011, la lecture publique de l’intégrale de l’œuvre de Victor Hugo. Ainsi chaque semaine, plusieurs lecteurs se rassemblent aux quatre coins de Waterloo pour lire cette œuvre imposante. Le Centre culturel invite le public à découvrir un nouvel extrait avant de plonger dans l’adaptation cinématographique de Tom Hooper, présentée en avant-première. Cette version des Misérables est très attendue en Europe car depuis sa sortie en décembre dernier aux Etats-Unis, le film bat des records d’audience. Au-delà d’une distribution particulièrement alléchante (Hugh Jackman, Russell Crowe, Anne Hathaway et Sacha Baron Cohen notamment), le film propose des effets exceptionnels à la hauteur de l’œuvre de Victor Hugo. Ces acteurs de talents interprètent, chantent et investissent les personnages avec brio. Le film a d’ailleurs été récompensé ce 13 janvier par l’attribution de 3 Golden Globes Majeurs. Une soirée exceptionnelle dédiée à Victor Hugo à vivre en famille, au tarif avantageux de 6 euros. Mardi 19 février, de 17h à 20h Au cinéma Wellington Tarif unique de 6 euros Réservation possible auprès du Centre culturel de Waterloo : 02 354 47 66
Le Centre culturel de Waterloo participe à la tournée Asspropro et propose le concert de ce jeune talent originaire du Hainaut. Antoine Hénaut aime jouer avec les mots et les sonorités… d’ailleurs, son nom de scène le confirme. C’est avec son premier album 36.000 qu’il enflammera la scène de la salle Jules Bastin, le samedi 23 février à 20h. Un concert de chansons françaises entre amour et humour. Chanteur à textes influencé par Benabar, Benjamin Biolay ou Thomas Fersen et dont la voix fait penser à M, Antoine Hénaut est un gars cool et terre à terre. Ce genre de gars qu’il décrit dans Quelqu’un de bien, le titre principal de son EP sorti en 2011. Ce jeune artiste de 26 ans écrit depuis l’âge de 13 ans ; des histoires, des nouvelles et maintenant des chansons. Il a même prêté sa plume au célèbre groupe Suarez. 36000 son premier album produit par Aurélio Mattern, le leader de Lucy Lucy, est sorti en septembre 2012. Il raconte avec l’humour caractéristique d’Antoine, les petits travers tristes ou joyeux du quotidien. Samedi 23 février, 20h Salle Jules Bastin (Bâtiment de la commune – Rue Fr. Libert, 28) Tarif : 10 euros/ Prévente 6 euros / Abonné 5 euros Réservation : www.centre-culturel-waterloo.be
AGENDA Vendredi 15 février 2013 OTTIGNIES – LOUVAIN-LA-NEUVE Exposition « Game Over »
Venez vous réchauffer les oreilles et, qui sait, laisser votre enfant vous guider vers de nouvelles aventures.
Les jeux vidéos rendent violent, sont tant mauvais pour les yeux que pour les relations sociales, de toutes façons ils sont réservés aux ados !
Au Tilt Chemin du Meunier 44 De 10h à 16h30 T. 02/633.51.21
Cette exposition vient vous prouver tout le contraire et casser les clichés. Venez découvrir l’autre face du jeu vidéo : histoire, conférences, tables-ronde, championnats… que d’aventures au programme. Forum des Halles Place de l’Université 1 De 10h à 17h T. 010/47.83.99 Festival « Universatil » L’Universatil, un cocktail détonnant : 20 soirs, 4 pièces de théâtres créées par des étudiants passionnés, 10 concerts, 3 lundis spéciaux, un bar à bières spéciales, de multiple rencontres. Une invitation festive et excitante!
Exposition « L’Eau en Haïti » L’association Objectif Ô, a été créée à l’initiative de Jean-Denis Lejeune dans le but d’apporter des solutions concrètes au problème de l’accès à l’eau potable dans les pays en voie de développement L’exposition de la vingtaine de panneaux photos qui compose la mallette pédagogique, présentée au Musée de l’Eau et de la Fontaine, permettra aux jeunes de comprendre la problématique de l’accès à l’eau potable dans son ensemble Musée de l’Eau et de la Fontaine Avenue Herbert Hoover 63 T. 02/654.19.23
Place des Sciences T. 0493/23.26.62 RIXENSART Animation « Gargouille, nanouche et pantoufle » Pour les enfants à partir de 3 ans jusqu’à 12 ans. Au creux de l’hiver, munis de vos pantoufles, nous partirons à la découverte des peuples nomades, troubadours et autres enchanteurs. Au milieu de la place du village, du son des gargouilles au grattement des guitares sèches, nous vous proposons en toute simplicité une belle approche des musiques du monde.
Pour la suite de l’agenda complet, passez en ligne sur wawamagazine.com