Revue presse Worldwide Festival Leysin 2013 by Worldwide Festival WF

REVUE DE PRESSE LEYSIN 1ère EDITION du 20 au 24 MARS 2013

SOMMAIRE

PRESSE ECRITE RADIO / TV WEB

p1-9 p 10 - 14 p 15 - 28

PRESSE

Titre : Metro Pays : Uk Tirage : 1 359 044 ex. Langue : Anglais

PRESSE

Titre : Neue Z端rcher Zeitung Pays : Suisse Tirage : 132 660 ex. Langue : Allemand

PRESSE

Titre : Le Dauphiné Pays : France Tirage : 259 000 ex. Langue : Français

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hivernale delaversion Lapromotion duWorldwide Festival estpassée auxGlaisins

I e bar restaurantThe MarL cel, installé aux Glaisins, recevait poru une soirée exceptionnellele DJ Gilles Peterson. Cette soirée s'inscrit dans rme toumée gui amèneraensuite Gilles Petersonà Beme, Genèveet Zurich pour la promotion de la versionhivernafe du Worldwide Festivalgu'il organise à Lepin en Suisse dtu20 au24 môrs. Ce festival $riste à Sètedepuis plusieurs pnnées attirant une foule &glo -saxonnetrès importantÔ. Dans cette nouvelle versiôn, le public porura associl'r,s'ille souhaite,skietmusfoue avec des forfaits spéciaux.Le prognammeest

très riche avec notamment Hudson Mohawke, Goldie, Mc GQ Rocket Numberline, Neneh Cherry, Machinedrum, LV Coreless, Karima Nôze, Benji B Lefto, Anushka, DJ Rashad, Deetron Simbad, Food For Ya Soul, Thristian bPm, Flako, Chief, Tioumaca, Sassy J Kalabrese Rumpelsoundsystem, Ga-rfid, Fred Bemard, Romare, Ngoc Lan, Blague & Dkair, Horasse & Lemonick... et Gilles Peterson. Ce dernier s'est fait connaître en lançant le label Acid Jazz avec Eddie Piller. Ce label a permis l'émergence de noms connus conrme Brand New Heavies, Jamiroquai, Corduroy, le James Taylor ,!r\

Quartet ou encore Snowboy. Gilles Peterson esi apprécié des inities pouravoirporté les couleurs de la Black Music en remixant du jazz et de la soul. Il est rlevenu une'légende dans lc monde musical et est actucllement propriétaire de labels à Londres et propose r(rgulièrenrent des compilations de ses ceuwes. De très nombreux adeptes de cette musique se sont rendus au Marccl pour une soirée unique ou Gilles Peterson proposait des mix de son cnr accompagné des Superfriends. Un moment resté inoubliable pour beaucoup de ses fans. n.f,. aa

pourcette seprépare deMaudCouturier; GillesPebnon,aooompagné phoro DUM.K soiÉeexceptionnelle.

PRESSE

Titre : 20 minutes Pays : Suisse Tirage : 210 000 ex. Langue : Franรงais

PRESSE

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TENDANCE

Les clubbers font du ski

THÉÂTRE

Midi Libre midilibre.fr DIMANCHE 17 MARS 2013

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Le festival “L’Effet Scènes“ (18 au 24 mars) réunit 69 établissements

Quand les Scènes nationales jouent les premiers rôles

Les clubbers font du ski

Les quatre théâtres labellisés de la région unissent leurs forces. Gros plan sur ce réseau.

■ Le Worldwide lance sa version hivernale en Suisse, à Leysin. DR

Cette nuit, aux Angles, Elisa do Brasil était aux platines pour la dernière étape de Garosnow. Mercredi prochain, à Leysin, en Suisse, le festival Sétois Worldwide de Gilles Peterson lance son pendant hivernal. À la fin du mois, en Andorre, Electrosnow propose aussi sa première édition avec une pléthore de DJs. C’est la tendance : les stations de ski, soucieuses de diversification, s’ouvrent aux festivals. « Cela permet de renouveler la fréquentation touristique. La concurrence fait rage et certaines ont une baisse importante de clientèle », analyse Boris Picq de SnapShot, structure montpelliéraine qui organise le Worldwide. « Pour nous, l’idée c’est de se donner rendez-vous sur les pentes enneigées avec une démarche artistique atypique, comme à Sète », résume l’organisateur. Avec trois rendezvous : l’après-midi en haut des pistes sur la terrasse d’un resto-tournant, en début de soirée en bas des pistes et la nuit dans un club de tennis couvert customisé en salle de spectacle. Pour Leyzin, c’est l’équipe montpelliéraine qui a démarché la commune. « Gilles Péterson est francosuisse et connaît bien le secteur. Quand on est arrivés, ils se sont dits : “C’est qui ces cow-boys ?”, rigole Boris Picq. On leur a montré ce que l’on fait à Sète et le projet a été validé par les habitants. » Pour SnapShot aussi, c’est une façon de se diversifier et, en temps de crise, d’embaucher. « Le succès commercial de l’édition de Sète nous permet de lancer Leysin et de recruter, nous sommes désormais dix personnes. » Y. P.

Pratique Worldwide de Leysin se déroule du 20 au 24 mars. Fidèle à sa philosophie d’éclectisme musical, le festival alterne têtes d’affiche (Neneh Cherry, Nôze, Goldie...) et dernières trouvailles de Gilles Peterson (Troumaca, Karizma, etc.), le maestro étant bien évidemment là. Infos et tarifs : www.worldwidefestival.com ElectroSnow, station Gandvalira en Andorre, les 30, 31 mars et 1er avril, table plus sur les grosses pointures techno (Miss Kittin, Michael Mayer, Carl Craig...). Site : www.electrosnow.com

es statistiques impressionnent : 71 établissements, 3,5 millions d’entrées annuelles, 400 créations coproduites chaque saison. Les Scènes nationales profitent de leur festival L’Effet Scènes (du 18 au 24 mars) pour se livrer à une démonstration de force, mettre en valeur leur rôle et leur réseau qui quadrille toute la France (exceptée la Corse). Le label Scène nationale a été créé en 1991 par le ministère de la Culture pour pousser plus loin la décentralisation opérée par les centres dramatiques ou chorégraphiques nationaux (CDN) cantonnés dans les capitales régionales. Cette deuxième génération de théâtres s’est, elle, installée dans des villes moyennes avec une mission de diffusion sur les zones rurales environnantes. Quatre Scènes nationales se sont successivement implantées en Languedoc-Roussillon : à Alès (en 1991), à Sète et Narbonne (en 1993), et récemment à Perpignan (en 2012). « L’irrigation du territoire qui complétera l’œuvre de décentralisation se fera sur notre réseau », affirme Yvon Tranchant. Directeur à Sète, il plaide pour une programmation « inscrite dans la durée, produisant du sens, stimulant la curiosité grâce à des spectacles aboutis et, surtout, en évitant de faire des coups sans lendemain ».

La danse au pays du rugby La direction d’une scène nationale est moins prestigieuse que celle, plus convoitée, d’un CDN. Mais elle garantit davantage de stabilité. « La durée est une chance pour installer une programmation et créer une relation de confiance avec le public. A Alès, le Cratère est devenu une référence au fil des ans », commente Denis Lafaurie. Ce vétéran, en poste depuis la naissance des Scènes nationales, se félicite aussi de la prise de conscience des collectivités de tutelle : « Les élus se

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sont rendu compte que la culture pouvait constituer un axe essentiel pour le développement des villes, un véritable investissement qui ne procédait plus d’une gestion à la bonne franquette. » A Narbonne, Dominique Massadau raconte comment une population sans tradition théâtrale s’est « approprié » un équipement construit non loin du stade de rugby. La danse s’est alors installée au pays de l’Ovalie. Jean-Claude Gallot, Maguy Marin, Régine Chopinot : les grands chorégraphes sont venus à Narbonne. Chaque Scène nationale possède une spécificité. Mais toutes sont pluridisciplinaires : art dramatique, musique, cirque, danse... Patron de l’Archipel de Perpignan, le très Catalan Domènec Reixac dévelop-

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pe, lui, « une vocation transfrontalière » avec l’Espagne, privilégiant l’identité méditerranéenne, accueillant des compagnies régionales. Par le biais de résidences, les Scènes nationales accompagnent de nombreux artistes. Les coproductions permettent aussi de rentabiliser les spectacles. La baisse des subventions rend impérative cette mutualisation. C’est une spécialité de Sète qui possède une unité de production. Pour la saison 2014/2015, les quatre Scènes nationales de la région envisagent un beau partenariat avec le Théâtre national de l’Odéon à Paris pour monter Les Fausses confidences avec Isabelle Huppert. Les scènes de province peuvent aussi jouer les premiers rôles. JEAN-MARIE GAVALDA

jmgavalda@midilibre.com

FESTIVAL

L’Effet Scènes

Du 18 au 24 mars, L’Effet Scènes donne un coup de projecteur sur la diversité de programmation des Scènes nationales. Alès montre de la danse, Por un Fio. Narbonne programme une Semaine audoise du jeune public mais aussi un ouvrage lyrique, Tosca, présenté par L’Opéra Nomade. Sète affiche L’Acteur nucléaire de Claude Buchwald, artiste associé en résidence pour cette saison. Perpignan accueille le festival électro Tilt ainsi qu’une pièce inspirée de La Chèvre de Monsieur Seguin,

■ Le Worldwide lance sa version hivernale en Suisse, à Leysin. DR

● www.scènes-nationales.fr

Nelson Monfort déclare sa flamme à Trenet Le journaliste sportif écrit une biographie du fou chantant qui aurait eu cent ans cette année.

D’où vous vient cet amour pour Charles Trenet ? De son passage à l’Olympia en 1975. J’ai été captivé par ses mélodies, sa manière si courtoise d’introduire chaque chanson, son immense respect de

la langue française. Malheureusement, je ne l’ai jamais rencontré. Je le regrette. J’aurais tellement aimé être une petite souris et assister à ses déjeuners au Fouquet’s qui démarraient à 13 h et s’achevaient à 18 h. C’étaient, paraît-il, des instants merveilleux, pétillants d’intelligence et de drôleries. Qu’est-ce qui vous séduit autant chez Trenet ? Il y a deux Trenet, l’un mélancolique qui n’a pas été très heureux dans sa vie et l’autre gai et joyeux. Le premier se cachait dans ses chansons. Je n’ai pas voulu faire une biographie mais une déclaration d’amour, un portrait en chansons, car elles expliquent mieux que tout quel homme il était. Sa ponctualité légendaire, son côté maniaque… Fidèle par exemple est sans doute

l’une des plus autobiographiques. Mais plus qu’un chanteur, Trenet était un poète et un grand musicien. Un créateur. Pour ce livre, je me suis replongé avec délectation dans son œuvre. Et puis Trenet, c’est l’homme d’un pays, d’une région. Je pense toujours en écoutant La Mer comment il a écrit ce texte dans un train qui longeait la Méditerranée et les étangs… Votre chanson préférée ? Fidèle car c’est celle qui illustre le plus son amour des prénoms et des paysages. Mais j’aime aussi des moins connues : Mon cœur s’envole, Marie tu dors ou Gilles, je t’achète une automobile. Ce sont des merveilles. La vie de Trenet après 1971 me touche beaucoup. Recueilli par LAURE JOANIN

■ Monfort : « Je m’insurge qu’on n’entende plus Trenet à la radio. »

Titre : Midi Libre Pays : France Tirage : 155 026 ex. Langue : Français

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Quand les Scèn jouent les prem

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adaptée par Jean-Lambert Wild : Comment ai-je pu tenir là-dedans ?

Il publie “Le Roman de Charles Trenet“ aux Editions du Rocher

On vous savait fan de sport, pas de chanson. Comment est né ce livre ? Les Editions du Rocher m’ont proposé des biographies de sportifs mais j’ai préféré écrire sur la chanson française, mon autre passion. D’abord un Ferrat, un choix de cœur, puis naturellement Trenet. Pour le centième anniversaire de sa naissance, je voulais lui rendre hommage et le remettre au cœur de nos vies. Je m’insurge que l’on ne l’entende plus sur les ondes, alors que sa cote est encore immense auprès du public.

TENDANCE

Les Scènes nationales profitent de Cette nuit, aux Angles, Elisa leur festival L’Effet Scènes (du 18 au do Brasil était aux platines 24 mars) pour se livrer à une démonspour la dernière étape de Gatration de force, mettre en valeur leur rosnow. Mercredi prochain, à rôle et leur réseau qui quadrille toute Leysin, en Suisse, le festival la France (exceptée la Corse). Sétois Worldwide de Gilles PeLe label Scène nationale a été créé en terson lance son pendant hi1991 par le ministère de la Culture vernal. À la fin du mois, en Anpour pousser plus loin la décentralisadorre, Electrosnow propose tion opérée par les centres dramatiaussi sa première édition avec ques ou chorégraphiques nationaux une pléthore de DJs. C’est la (CDN) cantonnés dans les capitales rétendance : les stations de ski, gionales. Cette deuxième génération soucieuses de diversification, de théâtres s’est, elle, installée dans s’ouvrent aux festivals. des villes moyennes avec une mission « Cela permet de renouveler la de diffusion sur les zones rurales envifréquentation touristique. La ronnantes. Quatre Scènes nationales concurrence fait rage et cerse sont successivement implantées en taines ont une baisse imporLanguedoc-Roussillon : à Alès (en tante de clientèle », analyse 1991), à Sète et Narbonne (en 1993), Boris Picq de SnapShot, strucet récemment à Perpignan (en 2012). ture montpelliéraine qui orga« L’irrigation du territoire qui complétera l’œuvre de décentralisation se nise le Worldwide. fera sur notre réseau », affirme Yvon « Pour nous, l’idée c’est de se Tranchant. Directeur à Sète, il plaide donner rendez-vous sur les pour une programmation « inscrite pentes enneigées avec une dédans la durée, produisant du sens, marche artistique atypique, stimulant la curiosité grâce à des comme à Sète », résume l’orgaspectacles aboutis et, surtout, en évinisateur. Avec trois rendeztant de faire des coups sans lendeTHÉÂTRE vous : l’après-midi en haut des main ». pistes sur la terrasse d’un resto-tournant, en début de La danse au pays du rugby soirée en bas des pistes et la La direction d’une scène nationale est nuit dans un club de tennis moins prestigieuse que celle, plus couvert customisé en salle de convoitée, d’un CDN. Mais elle garanspectacle. Pour Leyzin, c’est tit davantage de stabilité. « La durée l’équipe montpelliéraine qui a est une chance pour installer une prodémarché la commune. grammation et créer une relation de « Gilles Péterson est francoconfiance avec le public. A Alès, le suisse et connaît bien le secCratère est devenu une référence au teur. Quand on est arrivés, fil des ans », commente Denis Lafauils se sont dits : “C’est qui ces rie. Ce vétéran, en poste depuis la naiscow-boys ?”, rigole Boris Picq. sance des Scènes nationales, se féliciOn leur a montré ce que l’on te aussi de la prise de conscience des fait à Sète et le projet a été vacollectivités de tutelle : « Les élus se lidé par les habitants. » Pour SnapShot aussi, c’est une façon de se diversifier et, LIVRE es de statistiques impressionnent : en temps crise, d’embaucher. «71 Le succès commercial 3,5 millions établissements, de l’édition de Sète nous perd’entrées annuelles, 400 créamet de lancer Leysin et de recruter,tions nous coproduites sommes désor-chaque saison. Les dix Scènes nationales profitent de mais personnes. »

Il publie “Le Roman de Cha

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Nelson Monfort dé

P. Le leur festival L’Effet Y.Scènes (du 18 au journaliste sportif écrit une biographie 24 mars) pour se livrer à une démonsOn vous savait fan de sport, la langue française. Malheureu- l’ tration de force, mettre enpas valeur leur Comment sement, je ne l’ai jamais ren- q de chanson. rôle et leur réseau qui quadrille est né cetoute livre ? contré. Je le regrette. J’aurais t 5604-)3 7899:7897; Worldwide de Leysin se Les Editions du Rocher m’ont tellement aimé être une petite97; u la France (exceptée la Corse). déroule du 20 au 24 mars. proposé des biographies de souris et assister à ses déjeu- t Le label nationale asportifs été créé Fidèle à saScène philosophie maisen j’ai préféré écrire ners au Fouquet’s qui démar- r d’éclectisme musical, 1991 par le ministère desurlala Culture chanson française, mon raient à 13 h et s’achevaient à d le festival alterneplus têtes loin la décentralisaautre passion. D’abord un Fer- 18 h. C’étaient, paraît-il, des n pour pousser rat, un choix de cœur, puis na- instants merveilleux, pétillants d d’affiche (Neneh Cherry, tion opérée par les centres dramatiturellement Trenet. Pour le d’intelligence et de drôleries. jo Nôze, Goldie...) et ques outrouvailles chorégraphiques nationaux centième anniversaire de sa dernières de 7899:7897; 97; m Qu’est-ce qui5604-)3 vous séduit naissance, je voulais lui rendre t Gilles Peterson (Troumaca, (CDN) cantonnés dans les capitales réautant chez Trenet ? et le remettre au n Karizma, etc.), le maestro Il y a deux Trenet, l’un mélangionales. Cette deuxièmehommage génération cœur de nos vies. Je m’insurge étant bien évidemment là. colique qui n’a pas été très heu- V de théâtres s’est, elle, installée dans que l’on ne l’entende plus sur Infos et tarifs : reux dans sa vie et l’autre gai F ondes, alors que sa cote est des villes moyennes avec les une mission www.worldwidefestival.com et joyeux. Le premier se ca- t encore immense auprès du pude diffusionstation sur les zones rurales envichait dans ses chansons. Je n ElectroSnow, blic. n’ai pas voulu faire une biograj’ Gandvalira en Andorre, ronnantes. Quatre Scènes nationales 5=,2A4-4)33%1 ' 9,% -04-)3; 3; c D’où vous vient cet amour phie mais une déclaration les 30, 31 mars et 1 avril, se sont successivement implantées enTrenet ? pour Charles d’amour, un portrait en chanM table plus sur les grosses Languedoc-Roussillon : àDe Alès (en à l’Olympia en sons, car elles expliquent t son passage pointures techno (Miss 1975. J’ai été captivé par ses mieux que tout quel homme il s 1991), à Sète et Narbonne (en 1993), Kittin, Michael Mayer, sa manière si cour- était. Sa ponctualité légendai- T Carl Craig...). Siteà : Perpignanmélodies, et récemment (end’introduire 2012). toise chaque chan- re, son côté maniaque… Fidè- b «www.electrosnow.com L’irrigation du territoire son,qui son comimmense respect de le par exemple est sans doute plétera l’œuvre de décentralisation se 5604-)3 7899:7897; 97; fera sur notre réseau », affirme Yvon Tranchant. Directeur à Sète, il plaide pour une programmation « inscrite sont rendu compte que la culture poudans la durée, produisant du sens, vait constituer un axe essentiel pour stimulant la curiosité grâce à des le développement des villes, un véritaspectacles aboutis et, surtout, en évi- ble investissement qui ne procédait tant de faire des coups sans lende- plus d’une gestion à la bonne franmain ». quette. » A Narbonne, Dominique Massadau raLa danse au pays du rugby

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Pratique

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PRESSE

Titre : Eco des Pays de Savoie Pays : France Tirage : 12 000 ex. Langue : Franรงais

PRESSE

Titre : L’Essor Savoyard Pays : France Tirage : 6 400 ex. Langue : Français

Titre :Sonomag Pays : France Tirage : non communiqué Langue : Français

TV-RADIO

RADIO - TV

PASSAGES EN RADIO

WEB

Du 27 mars au 3 avril 2013 - N° 653 - www.leregional.ch

L’ACCENT DE VOTRE RÉGION

Bex célèbre la gym et l’amour

Pully a mal à ses trains

Collombey s’inquiète

Du 11 au 13 avril, le gala annuel de la société de Gym de Bex rassemblera 1000 personnes pour un spectacle alliant gym rythmique et ballets chorégraphiques, sur fond d’histoire d’amour.

Le Conseil communal octroie 4.3 millions au réaménagement de la gare. Mais des critiques s’élèvent contre la desserte de la ville: «Deux trains par heure, c’est peu!». page 7

La faillite de Magro menace 60 emplois à Collombey. Selon le syndicat Unia, un espoir subsiste: la direction serait en quête d’un éventuel repreneur. page 21

page 26

Lausanne, Lavaux, Oron, Riviera, Chablais

Du 28 mars au 3 avril 2013 - N° 653- www.leregional.ch

OPINION Ça déraille aux CFF

Vevey est champion romand

S.Trolliet

Emmené par son attaquant vedette Fabien Favre, Vevey a écrasé Lancy-Chênois 33 à 19 dimanche 24 mars. En gagnant son ultime rencontre de la saison, le club de la Riviera devient champion romand de 2e ligue et obtient sa promotion en 1re ligue Suisse. Face à ce nouveau défi, le club devra se doter des moyens financiers nécessaires à renforcer l’équipe s’il veut page 26 affronter ses futurs adversaires à armes égales. Le point avec son président. AUTO-MOTO 28 à 30

Régions 5 à 25

Sports

Culture

Agenda 38 et 39

A chaque augmentation de leurs tarifs, les CFF expliquent avoir de hautes exigences pour la sécurité des voyageurs. Mais, au vu des derniers événements, nous comprenons enfin pourquoi les trains suisses sont si chers. Il suffit de reprendre le faux syllogisme des CFF: Dérailler coûte cher! Les bons trains ne déraillent pas. Donc les bons trains ne coûtent pas cher... Ah! ...mais alors, ils sont où ceux-là? Mais l’on peut adopter une autre logique. Les bons trains coûtent cher! Les bons trains qui déraillent coûtent encore plus cher. Donc, plus on déraille aux CFF ...mieux ça vaut.. car ça rapporte. Allons-nous vers un bonus au déraillement? Les CFF travaillent sur une puce permettant le paiement automatique de chaque ticket. Prévoient-ils dans ce développement que les voyageurs ne soient débités que lorsque les trains sont à l’heure, sans dérailler ni collision, aussi minime soit-elle? A moins que la logique continue et qu’ils soient débités deux fois au moindre incident? Affaire à suivre sur la bonne voie sans trop dérailler! Nina Brissot

WEB

Contact presse Â

Beverly Rais : promo@worldwidefestival.com Franck Alfier : contact@worldwidefestival.com