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Le colza est une culture surveillée tout au long de son cycle. En désherbage, le tour de plaine régulier est essentiel pour gérer les impasses ou positionner au mieux l’herbicide.

DÉSHERBAGE DU COLZA Interventions à vue en postlevée plébiscitées

En 2021, le colza est bien la culture de l’agilité. À cause des problèmes de levées récurrents dus à la sécheresse estivale, le désherbage glisse vers la post-levée avec un raisonnement adapté à la flore adventice. À chaque conduite de la culture, TCS ou non, avec ou sans plantes compagnes, l’objectif est aussi de moduler les doses en pré-levée et post-levée précoce. Le bon compromis entre efficacité, préservation de l’eau et optimisation des coûts est recherché.

De nouvelles stratégies pour réussir l’implantation du colza se déploient sur le terrain, avec comme objectif semer plus tôt, dès que possible en août, sur un sol humide. Les paramètres du désherbage évoluent en conséquence. «Il vaut mieux miser sur une stratégie de désherbage à vue qui évite d’engager un investissement dès le départ, témoigne Damien Bellois, agriculteur à Saint-Ange-et-Torçay, en Eure-et-Loir TERRES OLEOPRO (285ha, dont 90ha de colza avec une rotation « Si on laboure, c’est plus facile colza-blé-orge). Si jamais la culture est compromise, alors les herbicides sélectionnés doivent me d’attendre que le colza soit au stade 4 feuilles pour intervenir tout en post-levée », permettre de semer un blé en octobre, une fois la estime Fabrice Moulard, parcelle de colza labourée.» agriculteur dans l’Eure. En Normandie, l’implantation du colza se gère sans trop de difficultés. Fabrice Moulard, agriculteur dans l’Eure à Villiers-en-Désœuvre (217ha, dont 49ha de colza), raisonne son désherbage en lien avec le niveau de pression adventice et son mode de travail du sol. En TCS, il est resté en 2020 sur la pré-levée avec Altiplano (clomazone + napropamide) pour son large spectre d’efficacité. Le rattrapage est assuré à l’aide d’un anti-graminée. «J’ai des sérieux problèmes de géranium, explique-t-il, quelques sanves et récemment, du torilis. Absente de nos régions jusqu’en 2010, elle gagne du terrain en zones argilo-calcaires. Mais pour 2021, je

regarde pour traiter en post-levée sur dicot’ dans certains cas, afin d’ajuster le programme à chaque problématique de parcelles.»

Traitements en post-levée salvateurs

L’essentiel de la stratégie de désherbage sur colza repose sur des applications de pré-levée. Mais depuis deux ans, gérer exclusivement en postlevée est envisageable. Six herbicides sont autorisés contre les dicotylédones: Mozzar/Belkar, Fox, Atic Aqua, Callisto, Cent 7, Ielo/Yagoo/Biwix. Ces solutions rendent moins dépendant de la météo: les chlorés ne fonctionnent pas avec la sécheresse et un risque de phytotoxicité existe avec les pluies excessives. Elles ne restreignent pas le choix des cultures, en cas de non levées. En permettant de «tirer à vue» dans une stratégie de rattrapage, elles facilitent la réduction des usages de produits composés de chlore et couvrent des dicotylédones difficiles à éliminer. C’est l’option choisie par l’exploitant Damien Bellois. «Le premier passage, indique-t-il, c’est pour un nettoyage avec un herbicide à la fois anti-graminées et anti-dicotylédones afin de bien préparer le terrain et permettre au colza de se développer.» Il applique Rapsan TDI (metazachlore + quinmérac) en modulant la dose à

L’AVIS D’EXPERT

Les conseils de Dominique Delaunay, de la chambre d’agriculture d’Eure-et-Loir

« Ajuster le désherbage à la flore de chaque parcelle, c’est la seule façon d’optimiser le coût et limiter les apports de chlore. Je recommande toujours de laisser une bande-témoin pour évaluer la pertinence de ce choix. La colonisation par les adventices sera moins forte avec un semis précoce, réalisé vers le 10 août, mais il faut surveiller dès la levée du colza. Pour des repousses de graminées en septembre, Agil ou Pilot, de la famille des Fop, sont les meilleurs. En cas de résistances et si on veut limiter le métazachlore, Springbok, qui contient aussi du DTMA-P, est une bonne alternative. Calisto est intéressant à cette période, notamment sur Sanves. En programme avec Cent 7, les ravenelles et les radis sont bien gérés. Atic Aqua fonctionne sur lycopsis. À l’automne 2020, un essai tout en post-levée avec Mozzar à 0,5 L/ha sur anthrisque a montré 90 % d’efficacité. Complété par Kerb à 1,875 L/ha, le coût d’un tel programme exclusivement en post-levée avoisine 100 €/ha. »

1L/ha en pré-levée, soit 40% de la dose. Il complète avec un second passage de Mozzar (halauxifen-méthyl + picloram) à 0,25L/ha. «J’ai des ronds de géranium très importants, précise l’exploitant, ce produit finit le nettoyage avec un traitement localisé.» D’autant qu’appliqué à la mi-octobre, à partir du stade 4 feuilles du colza, il détruit en même temps le couvert de féveroles associées au colza semé sur 10ha pour perturber les altises. «Je garde ainsi suffisamment longtemps la plante compagne.» Arnaud Lerouge, associé avec son frère Alexandre sur 370ha à Saint-Germain (Vienne), valide l’intérêt de cet herbicide sur adventices jeunes: «Pas plus grosses qu’une pièce de 2€». Sur sa sole de colza, il rencontre des problèmes d’ombellifères levant tardivement en octobre. «Selon la nature des sols, le

lieu des parcelles avec des niveaux de pluies très différents, les levées de colza et d’adventices sont très échelonnées, au point que le dernier passage avec Mozzar à 0,3L/ha, c’était avant Noël! En raison du climat doux de l’automne, il a poussé jusqu’à cette période», détaille-t-il. Il a conservé une base en post-précoce, «pour ne pas avoir de concurrence vis-à-vis de l’accès à l’eau « En raison des levées échelonnées du colza, au moment-clé de la levée». Son choix: le désherbage se raisonne au cas par cas jusqu’à l’hiver », rappellent Arnaud Lerouge (à gauche) et son frère Alexandre, agriculteurs Alabama (dmta-p, métazachlore et quinmérac) dosé à 1L/ha sur sol limoneux dans la Vienne. et 2L/ha sur sol argileux. «C’est une bonne solution grâce à son large spectre d’action, indique Arnaud Lerouge. Elle permet de donner toutes les chances au colza.» Et de la chance, il en faut: «Jusqu’au mois de décembre, on a bien pensé devoir retourner certaines parcelles, confie-t-il. D’où l’intérêt d’un raisonnement, au cas par cas.»

LEROUGE

Arrivés sur le marché en 2019, Mozzar et Fox s’appliquent dès le stade 4-6 feuilles du colza.

Enjeu des repousses de céréales et de la culture associée

Le cas par cas, c’est aussi la stratégie d’Emmanuel Leveugle, agriculteur sur 60ha près de Cambrai, dans le Nord. En agriculture de conservation des sols, sa priorité ce sont les repousses de céréales.

N. TIERS

L’AVIS DES AGRICULTEURS David Gourmaud,

agriculteur à Paizay-le-Sec, dans la Vienne (205ha)

Réduire l’IFT herbicide colza grâce aux cultures associées

Depuis deux ans, David Gourmaud expérimente des stratégies de désherbage avec un objectif de réduction des IFT et de recours à plus d’agronomie, notamment avec l’allongement de la rotation. Il ne revient sur le colza que tous les cinq ou six ans. Il a semé 26 ha en 2020. « Ma problématique d’adventices, c’est surtout du ray-grass, du vulpin et des crucifères, sans pour autant avoir une pression énorme », explique-t-il. En travail très simplifié depuis deux ans, la gestion des levées est toujours compliquée. « Mon objectif est d’avoir 4 feuilles au 10 septembre. Pas toujours facile à tenir. Cette campagne, tout est sorti fin août, alors que l’année précédente, tout était échelonné. Je pratique le désherbage à vue, impossible autrement. Comme j’ai semé tôt, j’ai pu appliquer Alabama, choisi pour son large spectre d’action en post-précoce, dès mi-septembre en condition de sol humide, à 1 L/ha au lieu de 2,5 L. » La bonne couverture du sol avec les plantes associées a fait le reste: un mélange de fenugrec et trèfle semé à 5 + 5 kg/ha. « J’obtiens un gain d’IFT herbicide colza total de 30 %, indique-t-il. Néanmoins, je dois conserver l’anti-graminées en rattrapage. Et chaque année, j’ajuste. Il y a deux ans, j’ai pratiqué un mélange de Colzor trio, Alabama et Fox en petites doses en deux passages. » Le coût du programme est de 30 € pour la campagne 2020-2021.

L. BENOÎT

Alexandre Lefrançois,

agriculteur à Veulettes-sur-Mer, en Seine-Maritime (90ha)

«La souplesse de positionnement, un pointclé avec l’efficacité des herbicides»

En post-levée, il faut pouvoir intervenir avant l’hiver sans fragiliser les sols. Au-delà de son efficacité, la souplesse de positionnement d’un herbicide est importante. Alexandre Lefrançois sème début septembre 10 ha de colza associé à du fenugrec et de la vesce pour gérer la pression des grosses altises. Pour lui, aucun problème de levées en raison de l’humidité qu’apporte le climat maritime. « Avec des sols sableux, j’ai en revanche une flore de matricaires, renouées des oiseaux, laiterons et un début de souci avec du ray-grass apporté par le passage des moissonneuses, témoigne-t-il. Une graine de matricaire, ce sont des milliers de graines l’année suivante, je ne veux pas me laisser déborder. Je conserve le traitement de pré-lévée avec Tiaco à 2 kg/ha au lieu de 3 kg/ha, composé de clomazone et napropamide. Ensuite, c’est un désherbage à vue avec Ielo (propyzamide), à 1,4 L/ha pour bien finir de nettoyer la matricaire et le ray-grass. » Il l’a programmé le 23 novembre, le plus tard possible, sur sol ressuyé. « Mon objectif est d’éliminer les plantes associées, car avec notre climat, on ne peut pas compter sur les gelées tardives. Le colza couvre ensuite suffisamment le sol pour empêcher les levées. » Le coût du programme s’élève à 105 €/ha. Avec cette stratégie, il espère un rendement compris entre 40 et 45 q/ha.

Publi-communiqué

REUSSIR L’IMPLANTATION DU COLZA Levier désherbage : contrôler dès le départ les vulpins et ray-grass, les adventices les plus présentes.

En 1000 ha

400 385

Les adventices les plus présentes dans vos colzas*

290

175

Ray-grass en novembre, colza pénalisé

90 75 70 55 45 45

Vulpin Ray-grass Géraniums Rep. céréales Matricaires Gaillet Ravenelles Sanve Chenopode Coquelicot

En 2020, les vulpins et les ray-grass sont

devenues les adventices les plus présentes

dans les colzas*. L’enjeu est de les contrôler dès le départ de la culture (août, septembre) afi n de faciliter l’implantation du colza. Avec leur souplesse d’emploi en post

semis-prélevée et post-levée précoce du

colza, les solutions de désherbage racinaires BASF Alabama®, Anitop®, Springbok® vous permettent de choisir les meilleures conditions météorologiques pour l’application de l’herbicide, soit dès le semis si le sol est frais, soit juste après le retour des pluies en post-levée précoce du colza (cotylédons à 2 feuilles), si les conditions sont très sèches au semis. Leur large spectre sur graminées et dicotylédones évite d’avoir à multiplier les interventions en post-levée. Ils sont utilisables sur les colzas cultivés avec des couverts associés.

*source panel ADquation 2020, 1490 interviews

Pour un colza bien implanté, prenez le contrôle dès le départ MÉMO PRATIQUE

Quels sont les autres leviers pour bien réussir son implantation ?

Outre le désherbage, 4 autres leviers contribuent à la réussite de l’implantation afi n d’obtenir un colza robuste. 1 Le semis et la fertilisation avant ou au semis : avec un bon lit de semence, en conservant l’humidité du sol et en semant tôt, dès qu’une pluie est annoncée. 2 Le choix de la variété : en choisissant une variété à bon développement végétatif. 3 Le traitement des semences : pour permettre un meilleur démarrage de la culture. 4 Les couverts associés : contribuent à la lutte contre les grosses altises et à la nutrition azotée.

« Réussir l’implantation du colza », fl ashez ce code pour retrouver les résultats de notre sondage réalisé en décembre 2020 auprès de plus 900 agriculteurs ou sur https://www.agro.basf.fr/fr/cultures/colza/reussir_implantation_colza/ resultats_sondage_implantation_2021/

BASF France SAS - Division Agro – 21, chemin de la Sauvegarde – 69134 Ecully Cedex. N° d’agrément : IF02022 - Distribution de produits phytopharmaceutiques à des utilisateurs professionnels. Détenteur d’homologation : BASF. ® Marques déposées BASF. Avant toute utilisation, assurez-vous que celle-ci est indispensable. Privilégiez chaque fois que possible les méthodes alternatives et les produits présentant le risque le plus faible pour la santé humaine et animale et pour l’environnement, conformément aux principes de la protection intégrée, consultez http://agriculture.gouv.fr/ecophyto. Usages, doses conditions et restrictions d’emploi : se référer à l’étiquette du produit et/ou www. agro.basf.fr et/ou www.phytodata. com. Annule et remplace toute version précédente. Il appartient à l’utilisateur de ce produit de s’assurer, avant toute application, auprès du N° Vert qu’il dispose bien de la dernière version à jour de ce document. Avril 2021. Alabama® : AMM n°2120075 – 200 g/l métazachlore + 200 g/l diméthénamide-P + 100 g/l quinmérac – SE (suspo-émulsion) ; Anitop® : AMM n°2190639 - Composition : 300 g/l métazachlore + 100 g/l diméthénamide-P + 100 g/l quinmérac - SE (suspo-émulsion) - Springbok® : AMM : n°2090112 - 200 g/L métazachlore + 200 g/L diméthénamide-P - EC (concentré émulsionnable).

Alabama® : SGH07, SGH08, SGH09 - ATTENTION - EUH401 : Respectez les instructions d’utilisation a n d’éviter les risques pour la santé humaine et l’environnement - H317 : Peut provoquer une allergie cutanée - H351 : Susceptible de provoquer le cancer - H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme ; Anitop® : SGH07, SGH08, SGH09 - Attention - H317 : Peut provoquer une allergie cutanée - H351 : Susceptible de provoquer le cancer - H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme - EUH401 : Respectez les instructions d’utilisation a n d’éviter les risques pour la santé humaine et l’environnement. Springbok® : SGH07, SGH08, SGH09 - Danger - EUH401 : Respectez les instructions d’utilisation a n d’éviter les risques pour la santé humaine et l’environnement - H302 : Nocif en cas d’ingestion - H304 : Peut être mortel en cas d’ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires - H317 : Peut provoquer une allergie cutanée - H319 : Provoque une sévère irritation des yeux - H351 : Susceptible de provoquer le cancer - H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme.

SGH07 SGH08 SGH09

Faute de gel hivernal, Mozzar et Ielo peuvent détruire les couverts associés dès mi-novembre.

Les rattrapages ou les compléments de post-levée se raisonnent début octobre grâce au tour de plaine.

«Les petits grains de blé peuvent se retrouver dans l’andain de la moissonneuse-batteuse, raconte-t-il. Ceux qui ne gèrent pas cette levée les voient apparaître en bandes denses au bout de trois semaines tous les 7m. En se développant, les céréales concurrencent le colza pour l’eau. Celui-ci ne lève plus. Alors pour régler le problème, j’applique Agil de la famille des Fop ou Centurion (cléthodime) si j’ai du vulpin, en post-levée au stade 3 feuilles du blé. Puis je complète avec un passage de Kerb, en novembre/décembre, quand le sol est froid, afin que la molécule se dégrade durant l’hiver.» Il rappelle En réalité augmentée, accédez à un article de Terre-net l’importance du respect des bonnes pratiques de traitement: bonne qui vous aidera à réfléchir à l’implantation de votre colza hygrométrie, addition d’huile, matières actives alternées, jamais la pour la campagne à venir.

pleine dose, et ajustement du programme selon la flore et les conditions. Comme il l’a fait pour une fèverole semée à la volée suivie d’un semis de colza, sur un sol hydromorphe. «J’ai utilisé l’herbicide Fox (bifenox) à 1L/ha tardivement pour réguler la féverole associée en octobre et pour régler en même temps un gros problème de ravenelles, se remémore-t-il. J’avais carrément un tapis au sol, avec en plus de la moutarde et plus ponctuellement de la matricaire. Le large spectre « Avec un antidicot’ de post- de Fox a permis de détruire la culture associée, car nous levée, on peut attendre, c’est intéressant pour ajuster le programme », n’avons pas eu d’hiver froid.» Depuis, le gel a pourtant fait des dégâts en avril, fragilisant les parcelles attaconsidère Damien Bellois, quées par les altises à l’automne. Preuve qu’il ne lâche agriculteur en Eure-et-Loir. pas la culture, Emmanuel Leveugle compte expérimenter en 2021 une stratégie plutôt innovante (voir encadré ci-dessous) misant non seulement sur les propriétés d’étouffement des plantes compagnes, mais aussi sur leur effet antagoniste vis-à-vis de certaines adventices. ■

BELLOIS

TERRES OLEOPRO

L’AVIS DE L’AGRICULTEUR

Emmanuel Leveugle, agriculteur près de Cambrai, dans le Nord (60ha)

«Expérimentons des alternatives!»

« Je mets au point un semoir à base de dents vibrantes pour chasser d’emblée les pailles et passer en semis direct sur chaumes. La dent va secouer la paille, créer une terre fine et éviter que la paille ne forme un pli dans le lit de semence et ne l’assèche. Je vais ensuite semer à 30 cm, avec un espacement suffisant pour mettre la plante compagne dans l’interrang et non sur la ligne de semis. De fait, elle jouera plus vite un rôle dans le désherbage en limitant les levées d’adventices. Dans ce cadre, je vais expérimenter diverses plantes compagnes, telles que la cameline pour son effet allélopathique sur mauvaises herbes comme la renouée. »

Pour un colza bien implanté, prenez le contrôle dès le départ des vulpins et ray-grass.

Utilisable en post semis-prélevée et post-levée précoce du colza

Effi cace sur vulpin, ray-grass et dicotylédones en un seul passage Effi cace sur géraniums dès la levée du colza dès la levée du colza

Compatible avec les couverts associés

BASF France SAS - Division Agro - 21, chemin de la Sauvegarde - 69134 Ecully Cedex. N° agrément : IF02022 - Distribution de produits phytopharmaceutiques à des utilisateurs professionnels. Alabama® : Marque déposée BASF ; AMM : n°2120075 ; Composition : diméthénamide-P (200 g/l) + métazachlore (200 g/l) + quinmérac (100 g/l) ; Formulation : SE. Détenteur d’homologation : BASF France SAS. ® Marque déposée BASF. Avant toute utilisation, assurez-vous que celle-ci est indispensable. Privilégiez chaque fois que possible les méthodes alternatives et les produits présentant le risque le plus faible pour la santé humaine et animale et pour l’environnement, conformément aux principes de la protection intégrée, consultez http://agriculture.gouv.fr/ecophyto. Usages, doses conditions et restrictions d’emploi : se référer à l’étiquette du produit et/ou www.agro.basf.fr et/ou www.phytodata.com - Avril 2021.

Alabama® : SGH07 - SGH08 - SGH09 - ATTENTION - H317 : Peut provoquer une allergie cutanée. H351 : Susceptible de provoquer le cancer. H400 : Très toxique pour les organismes aquatiques. H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets néfastes à long terme. EUH401 : Respectez les instructions d’utilisation a n d’éviter les risques pour la santé humaine et l’environnement.

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