XLMag N°1

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Y’a pas photo!

Dans un monde où le numérique a rendu cet art accessible à tous, y’a photos justement, y’a bel et bien photos même. Plus que jamais, les clichés se bousculent au portillon du net, espèce de gigantestque galerie du desespoir pour tous ceux qui rêvent de gloire et de reconnaissance. Tout le monde veut sa part du gâteau et prouver son savoir-faire, mais le gâteau ne pèse pas lourd et est vite consommé. La plupart des photographes amateurs se contentent des miettes, malheureusement, ça ne nourrit pas son monde. Dans cette course à l’échalotte, très très peu arrivent à percer et sortir du lot. C’est un peu comme si on ne mettait qu’un seul bar d’ouvert pendant les fêtes de Bayonne, imaginez-vous la ruée vers le comptoir, à moins de bien connaitre le barman, vous ne serez jamais servi... C’est dans cet optique que l’idée de créer notre magazine est née, XLMag se veut écolo, online et offline, mais aussi parce que nous recyclons vos photos.Toutes celles rentrées bredouilles d’une longue, longue croisade dans l’une des ces messageries surchargées de nos illustres collègues en kiosques. XLMag, c’est sur, ne vous promet pas la lune, s’auto-produit, a besoin de vous pour s’étoffer et ne demande qu’à le faire. Objectif Landes vous propose simplement une évasion haute en couleur, feuilletez les Landes et redemandez-nous en pour que puisse continuer l’aventure mode XL...

La rédac 7


Depuis plusieurs années déjà, Jeff Ruiz & Anthony Caldo sillonnent la côte

landaise à la recherche du cliché qui pourrait faire la différence. Dans l’eau ou depuis le sable, au coeur de l’action ou du haut d’une dune, les deux compères trouvent toujours du pixel à mettre en boîte. Quelques jolies parues sont bien à leur actif dans plusieurs mags de renom tels SurfSession, Bodyboard Mag, Désillusion, etc... Mais la concurrence est rude, surtout ici dans les Landes, alors que faire de tous ces clichés qui, au final, ne seront sélectionnés par personne et qui pourtant méritent un bien meilleur sort? C’est à force de se poser cette question là que l’idée de créer XLMag est née. Leur implication sur de multiples évènements sportifs se développait, et on les retrouvaient ainsi sur des contests de BMX, skate, FMX, basket et même de pelote basque. Il fallait développer un support qui permettrait de faire partager cette passion du sport par l’image. Avec le soutien de leurs proches, la collaboration amicale de plusieurs collègues photographes, des connexions intéressantes dans différentes disciplines et avec la confiance de quelques partenaires, c’est aujourd’hui un grand jour pour nos deux collègues qui voient enfin leurs efforts récompensés. Longue vie à XLMag...




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Patoch, 1er supporter du LOD!

«J’ai créé le Lords of Dirt en l’an de grâce 2007, dès mon arrivée

dans le Sud-Ouest en fait. Epris d’amour pour la région et étant déjà rider Pro, je n’avais qu’une seule envie : faire connaitre le bmx freestyle aux puristes de la glisse. En quelques mois à peine et avec l’aide précieuse de Patrice Nagouas, landais d’origine, nous avons pu lancer le tout 1er opus du Lords of Dirt. Rapidement, nous nous sommes rendus compte que le concept séduisait pas mal les gens et surtout que la liste des participants volontaires s’agrandissait. Du coup, des riders du monde entier ont foulé la terre de Tosse, colombiens, américains, sud-Africains, argentins, anglais et j’en passe... Les années défilaient et le show était de plus en plus prisé. Les visiteurs ne venaient plus uniquement du coin mais de la planète entière, n’ayant plus peur de traverser les mers, les océans et les distances les plus folles, pour venir supporter leurs athlètes, dans une ville dont ils n’avaient jamais entendu parler auparavant! 18


2010 fut une année phare pour le LOD et pour nous tous, l’évènement avait alors pris des proportions inimaginables trois ans plus tôt. Un cru décisif donc, qui nous a poussé à trouver un nouveau concept, de nouvelles idées ambitieuses adaptées à un spectacle qui n’en finissait plus de captiver. Il fallait oser, il était temps de passer à la vitesse supérieure, et c’est ce que nous avons fait. En effet, lassés des formats de compétitions classiques et surtout des tailles de bosses trop ancrées dans les normes, nous avons décidé de renommer la discipline qui devenait ainsi: SUPER DIRT Le relief de la piste passait en mode XXL (un X de plus que ton mag). Des jumps réservés à l’élite de la discipline, le gratin du bmx, rivalisant directement avec leurs confrères du freestyle MX. Le pari fut fou, risqué, audacieux, mais surtout...possible.





Après des mois de travail acharné donc, le tout nouveau spot de Tosse

est enfin sorti de terre. Un terrain de jeu inclassable, tout droit sorti de nos esprits torturés. (rires) Vraiment quelque chose de gigantesque, on s’est entendu dire que nous étions en plein délire et que tout ceci était juste improbable. Mais à aucun moment nous n’avons douté et quoiqu’il en soit, nous savions pertinament que les 1er tests allaient être réalisés par nous et uniqement nous, c’était notre logique de sécurité. Après quelques modifications du tracé pour obtenir une meilleure vitesse, le site était fin prêt à accueillir son petit monde. Une fois de plus, les riders Pro se sont rendu à Tosse pour devenir les maîtres de la ligne. Et l’édition 2011 fut sans aucun doute un succès total malgré une chaleur accablante. Un show très très chaud donc sous cette canicule, mais qui aura comme effet positif celui d’augmenter l’estime et le respect d’un public admiratif envers ces athlètes de l’extrême. Les prises de risque sont omniprésentes, les chutes font parti du jeu et malheureusement les blessures aussi. Mais c’est l’amplitude des tricks et des manoeuvres toujours de plus en plus folles qui l’emporte. L’adrénaline est toujours plus forte que tout dans ce genre de sports et c’est ce qui pousse les riders à aller plus haut, plus vite et à réaliser des figures toujours plus complexes tout ça rien que pour le plaisir de vos yeux. Voilà, le Lords 2011 à Tosse est déjà bouclé. Mais puisque nous ne sommes jamais satisfaits et que nous voulons pousser notre sport vers le haut, nous allons nous rendre maintenant du 7 au 9 Octobre au salon du ROC d’AZUR à Fréjus afin de lancer la seconde étape du tour. A l’instar de nos confrères américains créant des championnats tels que le DEW TOUR, nous souhaitons nous aussi offrir cette chance aux européens de participer, au sein même de la communauté, à un tour repoussant les limites du sport d’étape en étape. Surveillez de prêt le LORDS OF DIRT, qui en 2012, fera surement des petits partout en Europe!.. Keep it real!»

Patrick Guimez






Samedi 01 Octobre au matin, les exposants ont terminé d’installer leurs stands dans la salle des Bourdaines, le Salon va bientôt ouvrir ses portes aux premiers visiteurs.


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La toute 1ère édition du Salon des glisseurs a ouvert ses portes en levé

de rideau du Quik Pro 2011. Un salon entièrement dédié au hardware de la glisse en tout genre, salle des Bourdaines à Seignosse, et divisé en deux spots bien distincts. A l’intérieur : une centaine de stands professionnels venus vanter leurs matos (boards, skates, paddles, combi,...). «Un emplacement réservé aux surfeurs qui vont à l’eau, pas ceux qui restent au bar», se plait à commnenter Alain Sevellec, un des deux créateurs de l’évènement. A l’extérieur : d’autres stands, mais tout public cette fois, des restos, buvettes et des animations sont là pour faire le show. Ainsi une tente Urban Primitive vous propose tattoos, piercings, et démos de tags au rythme des DJ survoltés. Une rampe big air vous invite à jumper en bouée ou en ski avec réception sur coussin gonflable de taille XL. Un écran géant retransmet les plateaux télévisés qui ont lieu à l’intérieur. Un terrain de beach volley, des modules de skate et des essais de pyrogues hawaïennes sont là pour divertir les visiteurs sous un soleil estival. Le Salon a vu le jour grâce à une connexion parfaite entre deux personnes de talent: Alain Sevellec donc et Rémi Bertoche. Le 1er est tout simplement le créateur du disparu «Glissexpo» qui avait pris ses bases à Anglet dans les années 90. Pas timide pour un sou, Alain est un baroudeur au grand coeur à la dégaine baba cool, qui a donc déjà acquis une grande expérience en la matière et a su s’en servir pour les Glisseurs. Rémi lui, c’est l’artiste surfeur multi-tâche, qui tel un iphone aux multiples applications est capable de peindre, surfer, diriger son propre mag, son atelier, partir en tournée et revenir organiser les Aw’arts. Infatigable, Rémi s’investit toujours à fond dans ce qu’il entreprend, tout en restant toujours très cool. La réunion de ces deux personnages ne pouvait donner que du très bon!



A duo choc, parrain ad hoc, en la personne de Tom Frager, lui même glisseur émérite,

le Salon ne pouvait rêver mieux. Tom, qui était en plein bouclage studio de son dernier album, a accepté malgré tout l’invitation de son vieux pote Rémi, qu’il connait de longue date, ayant partagé les mêmes vagues et mêmes compéts il y a quelques années déjà. Le skieur Pro Enak Gavaggio, était lui aussi parrain de l’évènement. Ce rider de l’extrême s’étant fait remarqué aux Xgames US et aux derniers J.O est venu gratifier le Salon de sa présence venant partager ses connaissances parfaites de la glisse. L’explosive recrue d’Oxbow, Matt Méola, était également de la partie, venu se consacrer à une séance dédicasse et plateau TV le temps d’un après-midi. Patrick Florès, entraîneur national de l’équipe de France de surf apportait lui sa touche technique au Salon. Et bien sur l’incontournable Roland Calaudi était venu mettre l’ambiance.


Une bonne soirée Rock Food le dimanche soir, quoi de mieux pour relâcher un peu la pression des deux premiers jours d’expo et repartir de bon pied le lendemain. Une véritable réussite donc pour cette première édition, qui remercie pour l’occasion tous ces partenaires : Belambra, la MACS, Seignosse, Surf Session, SurfFM, North Communication, MC box Event, EuroSIMA, Rock food, Les Bourdaines, FPS, Freedom, Millenium Prod, Freesurfing Mag, 3Sesenta, Vendetta, M6 mobile et NRJ. Prenez d’ores et déjà rendez-vous l’an prochain pour renouveler cette expérience humaine de la board spirit conçue par des passionnés pour des passionnés. Et restez informer sur www.salondesglisseurs.com «les pieds dans l’eau et la tête dans les nuages!!!....»

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Reportage Anthony Caldo 37





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Bottom turn sur les stickers tout neufs Quiksilver. At home Capbreton!


Nous sommes le 1er Juillet 1977, pour tout le

monde, c’est un vendredi comme les autres au Sénégal, pour tout le monde certes, mais pas pour la famille Frager. Car c’est bel et bien en ce premier jour du mois que le petit Tom va ouvrir ses yeux, aussi bleus que le ciel de Dakar en plein été, pour la toute première fois. A cette heure là, la petite frimousse blondinette, qui fera craquer les filles quelques années plus tard, est encore bien loin de s’imaginer la fabuleuse destinée qui l’attend. Quatre années ont passé et la famille Frager a déménagé pour le Mali et sa capitale Bamako. Ils resteront ici quatre ans de plus avant de quitter l’Afrique définitivement. A l’âge de 8 ans, Tom grandit désormais en Guadeloupe, dans une famille nombreuse, mais dans laquelle les valeurs de respect et d’humilité seront incessamment inculquées. Il sait déjà qu’il faut travailler dur afin d’arriver à quelque chose dans la vie, et cet enseignement, qui lui servira plus tard, ne le quittera plus jamais. Il est alors au collège et continuera ses études jusqu’à la licence. Diplômé de sciences et techniques des activités physiques et sportives, c’est aussi le moment où s’initiera aux joies du surf. A 9 ans, Tom surfe les vagues de la Guadeloupe et progresse très vite, rapidement repéré, il va avoir la chance d’intégrer un pôle d’entrainement.

Suite à sa première finale aux championnats de France en 1993, il va rejoindre l’équipe de France junior et ainsi pouvoir participer, l’année suivante, aux championnats du monde se déroulant au Brésil ainsi qu’aux championnats d’Europe où il terminera à la 3ème place. Les compétitions s’enchainent et les podiums aussi, second aux championnats de France 95 et 96, troisième en 97, «et jamais derrière le même adversaire», se plait à raconter Tom, qui semble s’abonner à toutes les finales mais en se réservant inexplicablement que les secondes ou troisièmes place. Pour ainsi dire, une sorte de Poulidor du surf. Finale également à la Panaméricaine, Tom se classera devinez quoi...troisième, juste derrière CJ Hobgood, mais devant son frère Damien. Et finale encore et toujours à l’EPSA 4 étoiles de Guadeloupe cette fois, Tom devient alors le surfeur local le plus titré de sa génération. En 2001, victime d’une extension osseuse à la cheville, Tom doit se faire opérer. Il va devoir mettre la compétition de côté, et se consacrer au freesurf. Aujourd’hui sponsorisé par Quiksilver, il n’a rien perdu de son engagement dans les beach breaks landais, son home sweet home d’adoption, qu’il surfe maintenant depuis plus de 24 ans.

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Cet incident à la cheville, qui coupa court à sa carrière de sportif, va néanmoins lui ouvrir une

brèche toute aussi exaltante. Une reconversion qui lui trotte dans la tête depuis un petit moment déjà et à laquelle il va pouvoir maintenant se consacrer à 100%: la musique! Tout jeune déjà, chez les Frager, il y avait constamment un disque des Beatles, Janis Joplin, ou de Bob Dylan qui tournait, sans compter sur un oncle qui taquinait la guitare ou la batterie, difficile donc de passer à côté de cet univers. Pourtant le destin de Tom avait ses priorités et c’est seulement à l’âge de 23 ans et la licence de sport en poche que tout va se décanter. Tom va alors quitter la Guadeloupe et venir s’installer en métropole. Il a des oncles, tantes et cousins dans les Landes et sa grand-mère a même été adjointe au maire de Labenne pendant près de quinze ans. C’est donc tout naturellement qu’il choisi de venir s’installer sur Capbreton, jamais trop loin de l’océan, quand il décide de se consacrer à la musique. Nous sommes en 2001 et il va alors intégrer le CIAM à Bordeaux, école où il va faire des rencontres déterminantes avec plusieurs musiciens. L’envie d’aller plus loin dans ce domaine lui apparait à ce moment là comme une logique inéluctable. Du coup, l’année suivante, l’idée de monter un groupe va se concrétiser. Autour de Mathieu Rouch, Henry Daurel et Mathieu Derrien, des amis zikos qu’il vient de rencontrer va naître Gwayav’. Pendant près de 5 ans Gwayav’ va tourner dans les festivals et bars de la région. Le Casa ou encore le Rock Food de Roland vont ainsi donner leur chance à Tom et ses musiciens, qui va assurer des show cases avec ses propres premières compos ainsi que des reprises de Bob Marley ou Sublime. Petit à petit, ils vont se faire un nom et gagner plusieurs tremplins régionaux...


«Carnet de route» sortira début février 2012 13 titres inédits et 2 featuring originaux composeront ce dernier opus

Tom Frager & Gwayav’ en concert aux arènes de Soustons été 2011


Tom Frager et Gwayav’ se reconnaissent parfaitement dans ces influences reggae, pop/rock et

ska et c’est dans cette optique que va naître un premier album en 2006, «Bloom inside» va se vendre à plus de 5000 exemplaires. Tom et son groupe vont alors assurer quelques premières parties de spectacles qui vont asseoir leur popularité, on les retrouve ainsi avant les concerts d’Alpha Blondy, Patrice, Toots & the Maytals, Groundation, le Peuple de l’herbe ou encore Sizzla. C’est la reconnaissance, Gwayav’ se fait inviter aux plus grands festivals de musique, tels que les Francofolies de la Rochelle ou les Extravagances de Biarritz. Tom va alors se mettre à co-écrire avec d’autres artistes comme le triple champion du monde de surf Tom Curren ou bien Amen Viana, guitariste de Kéziah Jones. 400 dates de concerts en 7 ans, les chiffres seront encore plus étourdissants lorsqu’il va sortir son troisième album en 2009. En effet «Better Days Réeditions» va s’épuiser à quelques 150 000 exemplaires et plus de 200 000 singles, il sera couronné double disque de platine. L’album est une véritable mine à tubes : «Lady Mélody», «Home, » ou encore «Give me that love». C’est la consécration, Tom Frager sera nommé pour l’artiste révélation de l’année aux NRJ Music awards 2010 et clip N°1 de l’année en 2009. Tout va très vite et jamais Tom n’aurait imaginé en arriver là. Aidé et soutenu par sa famille, il a su braver 10 ans de «galère» avant d’atteindre les sommets. Mais Tom ne se repose pas sur ses lauriers. Il se remet aussitôt à l’écriture d’un tout nouvel album prévu début février, toujours avec Gwayav’, et dont le 1er single «Nouvelle vie» annonce déjà sur les ondes les prémices d’un futur grand succès à venir. «A coeur vaillant rien d’impossible» et la petite frimousse blondinette a fait bien du chemin!


Tom & Tim la Gwada en mode vintage!

Pour Tom, la famille c’est la base de tout! Photo «entre nous» juste avant la finale des championnats de Guadeloupe Master 2010





©Nicolas Risch «Les yeux dans les bleus»


«En version XL, la Nord en fait voir de toutes les couleurs» ©Antho Caldo




«Blake Thornton crucifie les Bourdaines» ©Djé/1moment 1image


©Pat Damestoy «Hugo Lagarde...sa place à l’ombre»


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©Stef Salerno «Turo, à bras le corps»



©Jeff Ruiz/Liquid Eye «Kick va au fond des choses»





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Crée, rédigé, mis en page et produit par Anthony Caldo & Jeff Ruiz XLMag Objectif Landes 2011 tous droits réservés Tél: 06.43.34.56.72/06.42.83.12.64 www.xlmag.fr jeff@xlmag.com antho@xlmag.com Ont collaboré à ce N°: Tom Frager (tomfrager.com)-Stephane Salerno (salernophoto.com)Pat Damestoy (lanitzprod.fr)-Nicolas Risch (nicolas-risch-photography.fr)Djé (1moment1image.com)-Patrick Guimez (artbmxmag.com)Rémi Bertoche (bertoche.com)-Alain Sevellec (salondesglisseurs.com)PhilipDesigns (philipdesigns.fr)-Guillaume Arrieta (pourlaptitehistoire.blogspot.com)Xavier Gès (facebook.com/xavierges)-Mathieu plessis (ideclik.com)Jérôme Bats-Hervé Belestin-Eric Forney Les rémunérations publicitaires de ce magazine ne couvrent que les frais de productions et de fonctionnement. XL Mag décline toute responsabilité quant aux textes et photos qui lui sont envoyés et qui demandent à être publiés. Ces articles n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs. Pour recevoir XL Mag Objectif Landes dans sa version papier, et concernant les modalités de paiement, contactez Anthony Caldo par mail antho@xlmag.com La direction se réserve le droit d’annuler la sortie papier d’XL Mag faute de commande suffisante. SNI imprimerie



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