le journal des fluides N° 36

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L’ A C T U A L I T É M U L T I S E C T O R I E L L E D E S P R O D U I T S L I Q U I D E S

Pipelines

Comment entretenir ces kilomètres ? Expertise

Actualité

Crédit N. Pozdniakova - Fotolia

Entretien

JANV.-FÉV. 2010 - PRIX 14 %

N°36

Jean-Louis Sarna (Hermex) : « Nous sommes les seuls en France à avoir un agrément de potabilité »

Du robinet au transmetteur

Grundfos Dubaï

La précision des mesures dépend de la qualité Remporte un contrat de l’ensemble du système d’instrumentation de pompes de relevage



Sommaire ActuS Hermetic France change d’adresse..................................................................... P5 L’homogénéisation se dote d’une nouvelle gamme de mélangeurs.............. P6 801 pompes mélangeurs KSB pour 52 stations d’épuration chinoises..... P8 P.08

Enquête Les pipelines acheminent les fluides, qu’ils soient liquides ou gazeux, sur de longues distances. Le plus souvent enfouies sous la terre, ces canalisations incontournables de par leur poids économique, assurent P.20

P.09

des débits importants en toute discrétion. Si cette caractéristique est appréciable aux yeux de beaucoup, se pose alors la question de la maintenance de ces moyens de transport. Risques d’accidents et épreuve sous pression. ...............................................P15 Le pistonnage.........................................................................................................P16 Les racleurs instrumentés...................................................................................P17 Là où le racleur est inefficace ��������������������������������������������������������������������������� P19

Entretien Jean-Louis Sarna (Hermex) : « Nous sommes les seuls en France à avoir un agrément de potabilité ».................................................................P20

P.15

Expertise Du robinet au transmetteur ; la précision des mesures dépend de la qualité de l’ensemble du système d’instrumentation..................................................P24

Que choisir ? Les pompes centrifuges........................................................................................P28

P.24

P.28

Produits phares Débitmètre à ultrasons.........................................................................................P36

Cahier Juridique La responsabilité contractuelle..........................................................................P42

Parution / Web.............................................................................................P48

P.36

Agenda................................................................................................................P49

N°36 JANVIER-FéVRIER 2010 LE JOURNAL DES FLUIDES


Édito Gaz naturel : l’avenir est-il à l’Est ?

Crédit Marie Patricia/TOTAL

L’enquête de ce numéro portant sur les pipelines, attardons-nous un instant sur un des fluides typiques transportés par ces équipements : le Gaz. Selon les prévisions de l’Agence Internationale de l’énergie (AIE), la demande en gaz naturel devrait augmenter de près de 50 % en Europe d’ici 2020. Le vieux continent cherche ainsi à développer de nouvelles voies d’approvisionnement. La Russie semble être une des pistes privilégiées. Et pour cause, les ressources de gaz naturel sont gigantesques dans le pays de Pierre Le Grand. Selon les estimations de différents experts, elles oscilleraient entre 20 et 30 % des réserves mondiales de gaz, sans compter la zone de l’océan Arctique dont seulement 1/10e de la région a été à ce jour exploré. De son côté, le ministère russe de l’énergie affirme que la Russie pourrait fournir d’ici là 70 % du gaz importé par les pays européens. C’est en ce sens que deux projets de gazoducs paneuropéens ont été lancés, l’un passant sous la mer Baltique et baptisé « North Stream », l’autre, nommé « South Stream », traversant la Bulgarie, l’Italie et l’Autriche. On fêtait il y a peu la chute du mur de Berlin, donc de l’Union Soviétique. De solides relations « énergétiques » commencent à se mettre en place, comme le confirme la déclaration de Gérard Mestrallet, président-directeur général de GDF Suez : « la Russie est un partenaire incontournable, pour l’avenir et pour l’Europe ». Attention cependant à ne pas mettre notre approvisionnement énergétique entre les mains d’un seul fournisseur. Outre un statut de monopôle qui empêcherait de discuter les prix, nous serions dans une fâcheuse situation si l’envie lui prenait de fermer les robinets… Diversifier ses sources d’approvisionnement reste la règle de base en économie comme en géopolitique.

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LE JOURNAL DES FLUIDES janvier-février 2010 N°36


Sensus équipe la Maison de « La vache qui rit » de solutions de comptage d’énergie thermique Sensus, spécialiste des solutions de comptage d’eau et d’énergie thermique, a équipé de ses compteurs PolluTherm la Maison de La vache qui rit, musée entièrement dédié à la célèbre vache rouge qui a ouvert ses portes au printemps dernier dans le Jura. Installés par Hervé Thermique, spécialiste des installations de génie climatique et partenaire de Sensus depuis plusieurs années, ces compteurs d’énergie thermique s’insèrent dans un projet de bâtiment écoconçu, et poursuivent l’objectif de surveillance permanente de la consommation d’énergie du site pour respecter son équilibre thermique. Réalisée par le cabinet d’architecture Reichen et Robert & associés, la Maison utilise des solutions techniques de haute performance environnementale et s’est dotée de nombreux procédés d’optimisation énergétique : géothermie, 170 m de panneaux photovoltaïques, éclairage à basse consommation, charpente en bois de mélèze sans protection chimique,… Pour compléter ces installations environnementales, Sensus, en partenariat avec l’installateur Hervé Thermique, a fourni 6 compteurs d’énergie thermique de sa gamme PolluTherm, des calculateurs destinés à mesurer les consommations d’énergie des circuits de chauffage et de climatisation. Dotés d’un enregistreur de données de grande capacité, les compteurs PolluTherm de Sensus sont capables de stocker les deux index énergie (chaud et froid) séparément et peuvent également être utilisés dans les circuits combinés.

Hermetic France change d’adresse Après plus de 8 années chez Hermetic Pumpen, S.de Boissieu a cessé son activité au sein du groupe à la fin de l’année 2009. C’est Frédéric Lefebvre qui prend la suite. Les nouvelles coordonnées sont sésormais : 10, rue Louis Regnard - F 51220 Cormicy Tel. 06 20 88 67 69 - Fax 0049 761 5830 280 Mail : hermeticfrance@orange.fr Les adresses des autres agences Hermetic en France ne changent pas : - Mécaflux Hermetic pour le SAV - Tel 04.72.67.98.27 - Agence de Lyon –Méditerranée M.Y.Boehm Tel. 04.78.43.45.06 - Agence Est M.H.Ruf - Tel. 0049.761.696.4894

N°36 janvier-février 2010 LE JOURNAL DES FLUIDES


Actus L’homogénéisation se dote d’une nouvelle gamme de mélangeurs Dans la gamme de mélangeurs Ytron, l’homogénéisateur Z trouve une application dans de nombreux domaines de l’industrie agro-alimentaire. Sa construction est définie pour chaque application : La tête du réacteur peut recevoir de un à trois ensembles rotor-stator, eux-mêmes composés de trois rangées de dents. L’espace entre ces dents est variable et adaptée pour chaque process spécifique dans une plage de 0,5 à 10 mm. Associés à une variation de vitesse, la possibilité de modifier ces paramètres permet l’obtention d’un traitement maitrisé. Le principe en ligne garanti l’application d’un cisaillement parfaitement défini en un seul passage. Le produit est forcé au passage au travers du réacteur, garantissant ainsi un égal traitement et une parfaite reproductibilité des fabrications et procédés. Sa conception permet un démontage facile ce qui permet une adaptabilité rapide à chaque recette de fabrication. De part son entretien aisé et très facile à nettoyer (CIP/ SIP), l’homogénéisateur trouve sa place dans de nombreuses application en agro-alimentaire notamment : Le lissage de yaourt / fromage frais : installé après pasteurisation / maturation et avant le refroidissement, l’Ytron-Z applique un cisaillement maitrisé et contrôlé permettant la suppression des grains, la réduction de la synérèse (séparation du gel et du liquide). La texture du yaourt

est préservée tout en le rendant plus onctueux. Le nombre de rotor-stator, leurs ouvertures ainsi que la vitesse permettent une adaptation précise pour chaque produit et suivant l’effet recherché. - Le lissage de yaourt / fromage frais : installé après pasteurisation / maturation et avant le refroidissement, l’Ytron-Z applique un cisaillement maitrisé et contrôlé permettant la suppression des grains, la réduction de la synérèse (séparation du gel et du liquide). La texture du yaourt est préservée tout en le rendant plus onctueux. Le nombre de rotor-stator, leurs ouvertures ainsi que la vitesse permettent une adaptation précise pour chaque produit et suivant l’effet recherché. - Les jus et compotes de fruits : l’Ytron-Z remplace avantageusement les procédés conventionnels, où les concentrés sont traités par des homogénéisateurs hautes pressions, qui représentent un coût élevé, que ce soit en terme d’investissement, de consommation d’énergie et de maintenance. Ytron-Z permet de résoudre ces inconvénients, grâce au principe en ligne garantissant l’application d’un cisaillement parfaitement défini et reproductible en un seul passage. Utilisable pour des concentrés de jus de 12°Bx à 60°Bx dans une gamme de débits jusqu’à 25 m³/h avec des pertes

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ACTuS

de charge inférieures à 3 bar, pour des performances équivalentes ou améliorés par rapport aux process conventionnels. Mousses et émulsions : Grâce à son système pouvant comporter jusqu’à trois de trois ensembles rotor/stator dont les tailles d’ouverture sont définies pour chaque process, l’Ytron-Z permet la dispersion de plusieurs composants injectés en entrée, en fines bulles ou gouttelettes. Permettant ainsi la réalisation d’émulsions eau/huile et huile/eau ou de mousses d’une grande stabilité.

tion des Oxydes d’Azote contenus dans les gaz d’échappement des gros moteurs diesel. Plus exactement utilisé dans le cadre des normes environnementales régissant les émissions des moteurs diesel des poids lourds et des bus, sources de pollution importante et les réduire représente un grand défi technologique. Ce défi a été relevé grâce à une technologie d’avant garde appelée SCR, pour laquelle cette pompe doseuse utilisant un moteur pas à pas joue un rôle central. Le moteur pas à pas et la technique du dosage numérique, permettent un dosage très précis pour une large gamme de débit et une forte conversion des NOx (oxydes d’azote) avec un faible risque de rejet d’ammoniac. Les bénéfices écologiques sont considérables et le produit présente un grand potentiel sur le marché mondial.

georgin fête ses 70 ans C’est en 1939 que Marcel Geogin a débuté son activité dan un petit atelier de la rue Desnouettes à Paris. C’est là qu’il a fabriqué artisanalement ses premiers régulateurs électriques. Après 30 années d’exploitation, la société est reprise par Jean Denisselle et franchit une nouvelle étape en adjoignant à son activité d’origine les capteurs de pression et température. Peu après, l’émergence de l’électronique dans l’industrie conduit l’entreprise à créer le pôle « Sécurité Intrinsèque » nouvelle technologie pour zones explosibles, dont Georgin sera le précurseur. L’entreprise connaît son apogée entre les années 1974 et 1990, en accompagnant l’essor de l’énergie nucléaire en France. Aujourd’hui, un regain d’intérêt mondial pour l’énergie nucléaire et une ouverture accrue sur l’export, redonnent une nouvelle jeunesse à l’entreprise qui fête ses 70 printemps cette année. Forte de son savoir faire et de ses compétences, Geogin prépare dès aujourd’hui le futur avec ses clients et partenaires. La continuité de l’entreprise semble assurée avec l’arrivée récente du petit-fils de Jean Denisselle, qui reprendra très bientôt les rênes de l’entreprise.

grunfos récompensé à Pollutec Horizons Durant le salon Pollutec, un certain nombre de produits innovants ont été récompensés. Il y a eu 3 lauréats, dont Grundfos NoNOX (DK), pour les trophées européens de l’innovation environnementale (EEP Awards 2009). Le système de dosage d’urée Grundfos NoNOx UDS a reçu le trophée de l’innovation environnementale (3e trophée bronze) pour ses capacités techniques et sa technologie respectueuse de l’environnement. Adapté spécifiquement au secteur automobile, ce système offre une réponse à la réduc-

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Actus 801 pompes mélangeurs KSB pour 52 stations d’épuration chinoises

Crédit KSB

Le Groupe KSB a signé un contrat-cadre portant sur la livraison de pompes et mélangeurs destinés à 52 stations d’épuration communales chinoises. Il s’agit de 335 mélangeurs et propulseurs ainsi que 466 pompes à eaux usées de tailles et exécutions diverses. Les stations d’épuration sont en cours de réalisation dans le nord-est et l’ouest de la province Guangdong située dans le sud de la Chine. Au cours des dernières années, cette province a fortement étendu ses capacités d’épuration des eaux usées. Dans le delta de la rivière des perles, le Guangdong abrite des dizaines de milliers d’usines produisant environ un quart de toutes les exportations de la Chine. Les villes de Shenzhen, Guangzhou, Dongguan et Foshan, distantes de quelques kilomètres seulement, comptent une population estimée à 30 millions d’habitants. Malgré de nombreux inves-

Contrôle électrique unitaire de pompes Amarex N pour l’assainissement à KSB Lille.

tissements réalisés dans le passé, les capacités des stations d’épuration existantes sont de loin insuffisantes pour traiter les eaux usées industrielles et domestiques.

KSB a dû sélectionner et proposer les pompes et mélangeurs en un temps très court. Commandés en août, les groupes doivent, pour la moitié d’entre eux, être livrés dès fin 2009.

KSB a remporté le contrat en raison des expériences positives faites par le secteur des eaux usées chinois à l’occasion de commandes précédentes ­similaires.

CGR choisit Esker DeliveryWare pour dématérialiser ses bons de commande Esker, acteur majeur de la dématérialisation des échanges de documents, a été choisi par Le Comptoir Général de Robinetterie (CGR) pour automatiser le traitement de ses commandes clients, soit plus de 1 000 fax reçus par jour. Grâce à la solution Esker DeliveryWare, CGR a réduit considérablement le temps de saisie des commandes clients ; un gain de temps qui permet, notamment, à ses technico-commerciaux sédentaire (TCS) de répondre plus rapidement et plus efficacement aux besoins des clients. Grossiste en robinetterie et en accessoires à Reims, CGR dispose d’un catalogue de plus de 16 000 références produits qu’il s’engage à livrer dans toute la France en 24 heures. Le traitement des 1 000 bons de commandes clients reçus quotidiennement, essentiellement par fax, représente donc pour CGR un processus critique garant de la satisfaction de ses clients : livraison conforme à la commande passée (référence article, quantité, prix), respect

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des délais de livraison, suivi de commande… Afin de dématérialiser le traitement de ces bons de commande et ainsi libérer ses équipes techniques de la saisie manuelle des commandes, CGR a choisi la solution Esker DeliveryWare « La performance de la solution Esker DeliveryWare, sa souplesse et son évolutivité ainsi que la parfaite maîtrise d’Esker de la dématérialisation des processus de gestion des comptes clients ont été décisifs dans notre choix de la solution. Au-delà de la solution, nous avons également été convaincus par la disponibilité du support technique basé en France qui nous garantit une réactivité maximale » explique Fabrice Varloteaux, Directeur des Systèmes d’Informations de CGR. Concrètement, Esker DeliveryWare permet aujourd’hui à CGR de dématérialiser le traitement de plus de 1 000 bons de commande chaque jour, depuis la capture des données, jusqu’à la création de la commande dans l’ERP.


act US us ACT

Alfa Laval Packinox inaugure une nouvelle installation de formage pour ses échangeurs de chaleur à plaques Alfa Laval Packinox vient d’inaugurer une nouvelle installation de formage par explosion pour ses échangeurs à plaques soudées à Saint-Marcel (71) en présence de Lars Renström, Président et CEO du Groupe Alfa Laval. Cette nouvelle unité de production, installée sur le même site que l’ancienne, est la concrétisation d’un investissement de 11,5 millions d’euros. « Il s’agit du plus gros investissement jamais réalisé en France par le Groupe Alfa Laval » a commenté Lars Renström, président et CEO du Groupe Alfa Laval. L’ensemble de l’unité de formage a été prévu pour permettre de former des plaques de grandes dimensions, jusqu’à 14 mètres de long. Cette installation représente 7 800 m2 d’ateliers désormais couverts y compris la nouvelle piscine. Elle comprend quatre lignes de formage au lieu de deux. Tous les outils industriels utilisés sont neufs. La principale innovation dans le domaine des équipements consiste en des chariots guidés automatiquement avec des ouvertures de portes automatisées. Une assistance au déroulage de l’ex-

plosif a également été mise en place. Tous ces moyens contribuent aussi à l’amélioration des conditions de travail. Dans le futur, cette nouvelle usine permettra non seulement de pérenniser l’activité de l’entreprise mais aussi d’accroître les capacités de production d’Alfa Laval Packinox de l’ordre de 80 %.

échangeurs de chaleur Packinox Les échangeurs Packinox sont

principalement utilisés dans les raffineries de pétrole. Ils comptent parmi les plus imposants échangeurs de chaleur au monde. Malgré leur taille et au regard de leur surface d’échange, les échangeurs Packinox présentent en fait une capacité d’échange extrêmement compacte et une efficacité thermique et hydraulique optimisées. Leur conception entièrement soudée optimise leur utilisation entre 200 et 550 °C. Les échangeurs Packinox

combinent donc les avantages des échangeurs tubulaires, qui offrent une haute résistance mécanique et qui sont adaptés aux températures élevées, avec les performances thermohydrauliques supérieures et la compacité des échangeurs à plaques. Le résultat est une récupération de chaleur optimale et une perte de charge extrêmement faible.

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N°36 janvier-février 2010 LE JOURNAL DES FLUIDES


Actus KSB équipe des dragues de pompes spéciales Le Groupe KSB équipe de pompes spéciales, deux dragues construites dans un chantier naval hollandais. Le premier navire, destiné à un client belge, est une drague aspiratrice autopropulsée et disposant d’une cale de stockage. Elle est équipée de six pompes. Cinq d’entre elles sont des pompes pour matières solides (pompes slurry) construites aux états-Unis (Géorgie) par GIW, filiale de KSB. Les deux plus grands groupes motopompes pèsent chacun 5 500 kg. Ils disposent de roues à trois aubes d’un diamètre de 835 mm. Le corps et les roues sont en fonte spéciale très résistante à l’abrasion. En effet, les pompes transportent un mélange eau-sablegravier d’une densité pouvant atteindre 1,3 tonne/m3. Elles aspirent près de 2 500 tonnes de matières solides par heure jusqu’à une profondeur de 20 mètres. En outre, une pompe à volute,

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monocellulaire, de 160 kW, de la gamme Etanorm, est utilisée en pompe « de jetting » :

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elle alimente les buses qui délivrent des jets haute pression pour décoller le mélange sable-gravier. Ce dernier est ensuite refoulé dans la cale par les grosses pompes slurry. Cette pompe Etanorm intervient également lors du déchargement, pour diluer à nouveau le mélange sable-gravier en cale afin que les pompes slurry puissent le refouler hors du bateau. Tous les groupes motopompes sont équipés d’un moteur électrique à vitesse variable. Plusieurs génératrices diesel assurent l’alimentation électrique. La drague est auto-propulsée et peut au besoin servir de porteconteneurs. Le deuxième navire est une drague sans cale propre et non autonome destinée à un client aux Pays-Bas. Le mélange est transporté vers une installa-

tion de séparation à terre à l’aide de deux pompes spéciales montées en série via une conduite de refoulement pouvant atteindre 1 500 mètres. Les deux pompes de 5 400 kg chacune sont également fournies par GIW, la filiale américaine de KSB. Il s’agit d’une variante immergée dotée d’un corps haute pression, d’une roue et d’une plaque d’usure fabriqués dans une fonte spéciale développée par KSB, particulièrement résistante à l’abrasion. Le navire est en outre équipé de deux pompes « de jetting » de 160 kW et de trois pompes haute pression destinées à l’alimentation des garnitures de presse-étoupe des grosses pompes de dragage. Les pompes devraient être installées à partir de février 2010.



Actus Préservation des milieux aquatiques : 47 M€ d’aides débloquées L’agence de l’eau Adour-Garonne vient de décider une troisième vague d’aides en 2009 pour la préservation des milieux aquatiques du grand Sud-Ouest. Au total, 263 demandes d’aides financières ont été examinées, pour un montant de 47 M€, ce qui porte le niveau des interventions à 198 M€ cette année, soit 70 % de la dotation budgétaire prévue. 71 % de ces aides sont consacrées à la dépollution domestique, industrielle et agricole, tandis que les ressources et les milieux aquatiques mobilisent 23 % des engagements. 6 % sont utilisés à l’amélioration de nos connaissances, aux études générales et à l’action internationale. Les opérations relatives à la restauration et la gestion des milieux aquatiques affichent un engagement élevé, du fait des travaux générés par la tempête

Klaus, de dossiers d’aide à l’emploi et d’un important dossier de travaux pour permettre aux anguilles et aux saumons de descendre la Dordogne. Deux tiers pour les collectivités territoriales Les collectivités territoriales sont les principales bénéficiaires des dernières décisions, avec 24 M€ d’aide pour la dépollution domestique et près de 8 M€ pour la protection des ressources et l’alimentation en eau potable. Parmi les opérations importantes, il convient de citer : • la création de deux stations d’épuration et réseaux de collecte du syndicat intercommunal d’assainissement de Bis (65), • la construction de la nouvelle station d’épuration de la commune de Souillac (46).

Contrat de pompes de relevage pour GRUNDFOS Dubaï En février 2007, à l’occasion d’une conférence sur la gestion de l’eau à Dammam, au Royaume d’Arabie Saoudite, Grundfos Dubaï et les responsables produits venus du Danemark avaient pu exposer leur savoir-faire en matière de relevage d’eaux usées. Aussitôt après a commencé une longue période d’études et de négociations initiée par le Ministère de la gestion des eaux à Dammam. En 2009, ces échanges ont abouti à deux importantes commandes de pompes de relevage immergées de type S. La première avec le ministère comprend 6 pompes de 550 kW accompagnées de 3 autres équipées de moteurs 650 kW. La deuxième affaire a été conclue avec la société d’ingénierie Bandariyah pour 3 pompes de 450 kW installée à Alhassa, en Arabie Saoudite. Ces deux commandes ont été remportées face à nos principaux concurrents sur le marché grâce notamment à une étude technique très poussée et des preuves de fiabilité très recherchées en cette période de plein essor industriel du Royaume. Conformément aux spécifications, l’usine spécialisée de Grundfos en Corée du Sud a élaboré ces pompes et ces moteurs exceptionnels alimentés en 3x4160V. Au cours de cette opération, le service d’étu-

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Corée du Sud : Le directeur technique Poul Erik Christensen aux côtés des imposantes pompes de relevage de type S prêtes à être expédiées en Arabie Saoudite.

des techniques de Grundfos a effectué des calculs de dimensionnement précis aussi bien sur les pompes que sur les stations

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de pompage afin d’éliminer tout problème d’incompatibilité.



Enquête

Pipelines

Comment entretenir ces kilomètres ? Les pipelines acheminent les fluides, qu’ils soient liquides ou gazeux, sur de longues distances. Le plus souvent enfouies sous la terre, ces canalisations incontournables de par leur poids économique, assurent des débits importants en toute discrétion. Si cette caractéristique est appréciable aux yeux de beaucoup, se pose alors la question de la maintenance de ces moyens de transport… Au-delà de son apparence de l’échelon régional et national, sur les tubes de gazoducs gran- Risques d’accidents en équilibre avec le reste du réseau. Tandis que les oléoducs, en général, vont d’un lieu de stockage portuaire (Fossur-Mer, Marseille, Bordeaux, Nantes…) vers des raffineries, et ensuite vers des stockages de produits raffinés, ou directement vers de la distribution. Les tubes composants les pipelines sont en Acier alliés à haute résistante (aciers X60, X65 ou X70 selon les critères métallurgiques). En intérieur, l’acier est en contact direct avec le liquide ou le gaz, sauf

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simple tuyau, le pipeline est une canalisation particulière qui contribue aux enjeux économiques d’un pays. Selon la nature du fluide transporté, les professionnels distinguent l’oléoduc dans le cas de pétrole, du gazoduc dans le cas de gaz. D’un point de vue technique, il n’y a pas de différence entre un oléoduc et un gazoduc. Néanmoins, en France, les gazoducs appartiennent à un réseau maillé national dont chaque branche est gérée à

des dimensions où il y a bien souvent un revêtement interne en « Epikote », une marque déposée à l’instar de Sopalin. Cette peinture très fine du genre époxy, de couleur rouge en général, sert à s’affranchir des éventuels risques d’hydrogènes sulfurés, bien qu’il n’y ait pas de sulfures sur le méthane actuel. Effectivement, la combinaison de Sulfures et d’éventuelles traces d’humidité donne de l’acide sulfurique (H2S), ce qui peut découper l’acier de l’intérieur.

Globalement, le réseau français est en bon état. Il y a, malgré tout, de temps de temps de mauvaises surprises. à titre d’exemple, l’année 2009 a été une « Annus Horribilis », comme aurait dit Elisabeth II, la Reine d’Angleterre. Le milieu pétrochimique a été pas mal secoué entre la violente explosion du site TOTAL de Carling en juillet, les trois accidents de suite au mois d’août à la raffinerie TOTAL du Havre, et l’accident de SPSE qualifié de « véritable désastre écologique » par Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’Ecologie. Il s’agissait d’une fuite de 4 000 m³ de pétrole d’un oléoduc, reliant Fossur-Mer à l’Allemagne, dans la réserve naturelle de Coussouls de Crau (Bouches-du-Rhône). Il y a plus longtemps, en 1992, la rupture d’une canalisation située à 8,5 m de hauteur dans la raffinerie TOTAL de La Mède avait marqué les esprits. Elle avait laissé échapper un nuage gazeux d’hydrocarbure qui s’était enflammé dans l’unité de transformation des distillats en carburants. Six techniciens avaient trouvé la mort.

Différentes causes La cause première est la

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pendant 40 ou 50 ans, voir plus, en véhiculant en permanence les fluides. à condition de l’entretenir…

épreuve sous pression Afin de garantir la bonne tenue du réseau, il est nécessaire de réaliser une épreuve sous pression tous les 5 ou 10 ans. En quoi cela consiste-t-il ? à la fin de construction d’un ouvrage, on le remplit d’eau et on le teste en pression à, en général, 150 % de la pression d’exploitation à laquelle il va être soumis, que ce soit un oléoduc ou un gazoduc. Les gazoducs, eux, sont ensuite vidangés et séchés avant d’être mis en œuvre. En cas de scénario catastrophe, comme il peut arriver des dégâts à l’environnement, les tests sont effectués avec de l’eau. Lourd de conséquence, ces tests impliquent d’arrêter l’exploitation plus longtemps, trouver de l’eau en quantité suffisante et la retraiter ; or la loi sur l’eau limite ce genre de chose. Selon Francis Janowski, directeur d’« Action plus Service », société spécialisée dans l’entretien des pipelines, « l’épreu-

ve sous pression est, incontestablement, d’une précision redoutable. Par contre, pour schématiser, comme pour le contrôle technique d’une voiture, cela prouve la validité de l’engin au moment où vous le contrôlez, mais cela ne prouve

pas qu’il n’y aura pas d’incident technique 10 minutes après la sortie du garage ».

La lutte contre la corrosion Tout est fait pour lutter contre

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fuite, avec pollution de l’environnement, ou bien risque d’explosion dans certaines configurations mettant en jeu des gazoducs. Egalement les explosions par accumulation dans les endroits confinés. Et puis il y a également le risque humain. Suite aux attentats du 11 septembre 2001, beaucoup de sites ont été remaniés par crainte. Chez GDF, toutes les stations ont été remaniées de manière à ce que la partie où travaille le personnel soit séparée de la partie critique. Les bâtiments on été conçus autrement pour faire face à toutes éventualités. Le classement SEVESO, pour les risques industriels, ne concerne quasiment que des entreprises chimiques ou pétrochimiques. Enumérant 3 niveaux de dangerosité, il n’a pas été conçu par rapport aux attentats mais aux risques environnementaux… mais le risque environnemental peut être une conséquence d’un attentat. Néanmoins le pipeline est un moyen de transport qui reste un des plus économiques – par rapport aux camions ou aux trains – et des plus sécuritaires. à partir du moment où celui-ci est bien conçu et bien enterré, il peut fonctionner

... à condition de les entretenir.

La flexibilité est nécessaire pour que les racleurs puissent évoluer dans les coudes des canalisations.

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Les pipelines peuvent fonctionner en continu pendant 40 ou 50 ans, voire plus,...

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Crédit Action plus Service

enquête

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Enquête

Il arrive que des bouts de métaux circulent dans le pipeline.

la corrosion. à la conception, le revêtement extérieur est fabriqué avec du polyéthylène. à la pose, la corrosion est contrôlée, pour être ensuite vérifiée en permanence à la cadence de 6 mois ou un an, à l’aide d’un dispositif de protection cathodique. Des anodes sont posées

sur les pipelines. En effet, le phénomène de corrosion est un phénomène de translation d’ions, en général d’une anode vers une cathode. Pour éviter la translation d’ions entre le tuyau et son environnement, le tuyau est raccordé à des anodes et un courant micro-tension lui

à cause du choc pétrolier des années 70 et du ralentissement de production des années 80. Ceux-ci ne fonctionnent plus qu’à 20 ou 30 % de leurs capacités de conception, ce qui est très mauvais car comme l’évoquent les lois physiques concernant les écoulements hydrauliques, lorsque les vitesses d’écoulements sont correctes le régime est laminaire et rien ne se dépose, tandis que lorsque les vitesses sont basses, il risque d’y avoir des dépôts… dans les points bas.

Le pistonnage Enfin, pour nettoyer ces kilomètres de pipelines, il reste la méthode du pistonnage à intervalle régulier à l’aide d’un racleur. Ce dernier est passé en production, c’est-à-dire lorsque le fluide de production (pétrole ou gaz) est véhiculé à l’intérieur des canalisations. Très souvent le racleur circule à une vitesse comprise entre 1 et 2 m/s, « mais nous pouvons monter en nettoyage à 3 ou 5 m/s, ce qui produit plus de turbulence derrière. En effet, je considère qu’il y a deux actions dans le nettoyage : décrocher les incrustés, et une action de transport qui se fait grâce à la turbulence. Plus celle-ci est importante, plus on transportera loin », détaille Francis Janowski.

Racleur de nettoyage équipé de brosses.

Crédit Action plus Service

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Certains racleurs peuvent atteindre 6 mètres de longueur.

est injecté. Néanmoins, la protection cathodique n’est que le complément d’un revêtement efficace. Si jamais il y a un défaut dans le revêtement, soit parce qu’il a été arraché à la pose, soit parce qu’il a frotté sur un caillou et qu’il a été percé, les ions vont se diriger vers le champ de l’anode, et c’est l’anode qui va être consommée au lieu que soit l’acier du tuyau. Ces tuyaux sont installés avec des prises extérieures avec lesquelles on vérifie le potentiel en réalisant des relevés à intervalle régulier. « Lorsqu’on s’aperçoit que le potentiel a chuté en dessous d’une certaine valeur, cela veut dire que l’anode c’est consommée et qu’il faut donc réinjecter un peu plus jusqu’à temps qu’il n’y est plus d’anodes. Cela peut prendre 10, 15 ou 20 ans », explique Francis Janowski. En plus de çà ont été développés des systèmes de contrôle appelés « DCVG ». L’injection de courant est enregistrée avec de cours intervalles de coupures, ce qui permet de voir les défauts du revêtement. En ce qui concerne l’intérieur du tuyau, « un tube qui achemine en permanence, quoiqu’il transporte, en principe ne s’érode pas », lance Francis Janowski. Certains peuvent être « pourri » de l’intérieur

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enquête

Les racleurs instrumentés Un racleur instrumenté se compose généralement de 4 sections fonctionnellement distinctes : une unité de traction qui assure l’entraînement du racleur par le fluide transporté, une alimentation électrique embarquée, un système de mesure et un système d’acquisition et d’enregistrement des mesures. Ces différents systèmes sont regroupés dans des éléments reliés entre eux par des cardans assurant la flexibilité de l’ensemble. Cette flexibilité est nécessaire pour que les racleurs puissent évoluer dans les coudes des canalisations

à inspecter. Plus le diamètre de la canalisation est faible, plus il est nécessaire d’étirer les racleurs en longueur et de multiplier le nombre d’éléments afin d’embarquer tous les modules. Ceci conduit à des racleurs pouvant atteindre 6 mètres de longueur. Enfin les racleurs sont équipés d’une ou plusieurs roues codeuses qui permettent d’enregistrer la distance parcourue dans la canalisation afin de positionner ultérieurement les signaux relevés. Ils sont aussi souvent équipés d’un pendule qui permet de connaître l’orientation de l’outil à tout instant.

Les principales technologies de mesures Il existe un grand nombre de principes physiques utilisés pour les racleurs instrumentés. Voici quelques-unes des technologies les plus courantes : - Les racleurs de contrôle de géométrie sont généralement équipés d’une couronne circulaire déformable qui s’appuie sur la face interne du pipeline. Lorsque celui-ci n’est pas parfaitement circulaire, la couronne se déforme. Cette déformation est enregistrée ainsi que la position du racleur et permet, après dépouillement, de localiser et dimensionner les déformations (ovalisation, enfoncement) du tube. - Le contrôle de l’étanchéité : la technologie la plus utilisée pour détecter les fuites éventuelles utilise un enregistrement du bruit à l’intérieur du pipeline. Cet enregistrement se fait dans une bande de fréquence caractéristique d’un écoulement de fluide sous pression à travers un orifice et permet ainsi de détecter et

localiser une telle fuite. - La recherche de manques de métal : il s’agit là de l’usage essentiel des racleurs instrumentés dans un objectif de lutte contre la corrosion. Deux grandes familles d’outils existent à l’heure actuelle s’appuyant sur deux technologies distinctes : 1°) La fuite de flux magnéti-

que : cette technologie s’appuie sur de puissants aimants placés dans le racleur. Le flux magnétique longitudinal ainsi généré circule dans la paroi du tube entre les deux pôles de l’aimant. Il est calibré de sorte à saturer celle-ci et qu’une partie de ce flux circule dans le fluide et à l’extérieur du tube. Des capteurs sont placés

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Il existe différents modèles de racleurs. Ceux qui sont sans aucun équipement de mesure servent, soit à nettoyer les canalisations, soit à isoler les uns des autres différents produits incompatibles. Les racleurs d’isolement sont généralement équipés de coupelles particulières assurant à la fois leur propulsion et leur étanchéité. Les racleurs de nettoyage sont équipés de brosses, il en existe une grande variété pouvant traiter des problèmes spécifiques : élimination de paraffines, d’oxydes, de sédiments,… Pour ce qui est des racleurs instrumentés on distingue plusieurs types répondant à des finalités d’inspection différentes. Il existe ainsi, principalement, des racleurs de contrôle de la géométrie des tubes, des racleurs de détection des pertes de métal, des racleurs de contrôle d’étanchéité et des racleurs spécialisés dans la recherche de fissures longitudinales. Certains, comme c’est le cas lorsqu’il s’agit d’inspecter des gazoducs, sont équipés d’une caméra.

Il existe une grande variété de racleurs pouvant traiter des problèmes spécifiques : élimination de paraffines, d’oxydes, de sédiments,…

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Enquête

En général, le racleur circule à une vitesse comprise entre 1 et 2 m/s.

contre la paroi du tube et baignent dans ce flux. Lorsqu’un manque de métal est présent dans la paroi des tubes, le flux magnétique doit s’échapper un peu plus de la paroi pour pouvoir circuler et les capteurs réagissent à cette augmentation de la fuite de flux magnétique (Magnetic Flux Leakage ou MFL). Réagissant à des évolutions de signaux magnétiques, cette technologie donne un dimensionnement relatif des pertes de métal par rapport à l’épaisseur supposée des tubes. 2°) Les ultrasons : cette tech-

SécURIté DES cANALISAtIONS DE tRANSPORt : L’étAt SE PENchE SUR LE DOSSIER Le territoire national est traversé par 50 000 km de canalisations qui permettent de transporter du gaz, des hydrocarbures et des produits chimiques. Ces canalisations présentent des enjeux importants en terme de sécurité compte tenu des quantités de matières transportées sous très hautes pressions. Les canalisations de transport constituent un moyen de transport jugé parmi les plus sûrs. un plan d’actions a cependant été initié par le ministère du développement durable pour renforcer encore la sécurité de ce mode de transport. un arrêté ministériel du 4 août 2006 impose aux exploitants de déposer des étu-

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des de sécurité. Sur la base de ces études, des mesures de renforcement de la sécurité pourront être décidées aux endroits les plus sensibles (Exemples : à proximité d’immeubles de grande hauteur ou d’établissements recevant du public). Cet arrêté prévoit également la mise en œuvre de mesure de maîtrise de l’urbanisation à proximité des canalisations ainsi que la mise en place de plans d’intervention d’urgence. Enfin, ces ouvrages étant vieillissants, il est important de noter que des plans de surveillance et de maintenance sont également prescrits pour assurer un parfait entretien des canalisations.

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nologie utilise les temps de parcours d’une onde ultrasonore (perpendiculaire à la surface des tubes) dans le fluide transporté et le métal des tubes pour évaluer la distance entre le capteur et les faces internes et externes des tubes sur lesquelles l’onde se réfléchie partiellement. La différence de ces deux distances permet d’avoir une lecture directe de l’épaisseur du tube mais elle est très sensible à la propreté interne des tubes. Cette technologie nécessite que le fluide transporté puisse transmettre l’onde ultrasonore. Elle est donc inapplicable en milieu gazeux. Ainsi, pour inspecter un pipeline de gaz avec de tels outils, il est nécessaire d’introduire un batch de liquide (eau ou hydrocarbure) dans le pipeline ce qui peut poser de très importants problèmes d’évacuation de ce liquide et de séchage des conduites. Des technologies existent permettant un couplage dit sec pour utiliser les ultrasons en milieu gazeux, mais elles sont complexes, fragiles et relativement peu employées.

La recherche de fissures longitudinales Ce domaine d’application des racleurs est de développement récent. On retrouve là encore les technologies MFL et ultrasons. Les fissures longitudinales sont des défauts plans, très étroits et qui correspondent à des enlèvements de matière très faibles. Elles sont de ce fait invisibles pour les racleurs classiques de recherche de pertes de métal. - Le MFL Transverse : pour détecter les fissures longitudinales on utilise des champs magnétiques orientés perpendiculairement à l’axe des tubes de façon à ce que le flux


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13.02.2008

10:38 Uhr

Là où le racleur est inefficace Il existe, sur les canalisations, des accessoires un peu particuliers : les joints isolants. Il y en a normalement un à chaque extrémité, ou, éventuellement, à chaque sortie de terre, par exemple dans le cas de station intermédiaire. Ce sont des dispositifs qui permettent d’isoler les courants électriques vagabonds qui peuvent être préjudiciables, la corrosion étant un transfert d’ions, tout courant vagabond est sus-

ceptible, si le revêtement n’est pas bon, ou si le tube n’est pas bien isolé, de grappiller des ions métallurgiques. Pour y remédier, il faut installer des joints isolants. « Ces assemblages ont été testés avant d’être posés, il y a 30 ou 40 ans, mais ils restent quand même des assemblages mécaniques. Les joints vieillissent, subissent des mouvements de fatigue. De plus, en sortie de terre, ils souffrent de différentes contraintes : thermiques, mécaniques, etc. On c’est aperçu que sur des pipelines où tout allait bien, les seules pièces qui lâchaient étaient les joints isolants, ce qui entraînaient des fuites », raconte Francis Janowski. Le racleur instrumenté ne sait pas voir cela. Seule l’épreuve sous pression est capable de repérer ce genre de problème à l’origine de

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magnétique « voit » le flanc des fissures. Cellesci provoquent alors des réductions suffisantes de la section de la paroi métallique pour générer une augmentation détectable de la fuite du flux magnétique. Ces outils permettent actuellement la détection des grandes fissures ou des fissures très ouvertes (espacement important entre le deux flancs de fissure). - Les ultrasons : le faisceau ultrasonore utilisé pour la recherche de fissures est incliné ce qui lui permet de se réfléchir sur les faces des fissures. L’analyse des échos ainsi générés permet de localiser et mesurer les fissures. Ces outils sont capables de détecter et dimensionner de petits défauts mais nécessitent une grande redondance. Le dépouillement en est alors particulièrement long et coûteux. Pour les mêmes raisons que précédemment, cette technologie est d’une application très complexe dans les pipelines transportant du gaz.

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enquête

fuites.

Produits surfactants : le petit plus Enfin, si cela ne suffisait pas en terme de maintenance, il existe aussi des produits surfactants fabriqués par l’industrie chimique américaine qui peuvent être injectés pour limiter la corrosion. Malheureusement, plus la ligne est longue, plus l’opération devient délicate dans la mesure où ces produits se saturent très vite et ne sont déjà plus efficaces à la moitié du chemin. Quoi qu’il en soit, il reste derrière tous les moyens d’entretiens que nous avons évoqués plus haut, les campagnes de réparation. De quoi dormir sereinement à côté des pipelines. O.R.

L’opération de pistonnage complète l’épreuve sous pression, mais ne la remplace pas.

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Entretien Hermex

Jean-Louis Sarna : « Nous sommes les seuls en France à avoir un agrément de potabilité » En 40 années d’existence, hermex s’est fait un nom dans le domaine de la fabrication des silos et des cuves en polyester grâce notamment à une technique de fabrication qu’elle est la seule à maîtriser. Jean-Louis Sarna, directeur de l’entreprise et Alain beaulant, responsable des ventes nous dressent un état des lieux de leur profession : de son passé, de ses tendances et de son avenir.

Jean-Louis Sar

na

Le Journal des Fluides : Jean-Louis Sarna, vous dirigez hermex depuis 2006. Depuis quand la société existet-elle ? Jean-Louis Sarna : Hermex est une entreprise familiale créée en 1969 par Adolphe Tartar qui était auparavant négociant en aliments pour le bétail. Au cours de voyages en Suisse, il s’est aperçu que nos voisins utilisaient de nombreuses unités de stockage et il a décidé d’en fabriquer en France. Il a cherché une situation géographique bien implantée

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JDF : L’entreprise a donc démarré avec une première machine de fabrication de silos en polyester ? Jean-Louis Sarna : Oui. L’entreprise a fait l’acquisition auprès d’un constructeur Suisse d’une première machine développée spécifiquement pour cette activité. Cette machine était capable de fabriquer des unités de stockage de 3,18 m de diamètre, soit 80 m3 de stockage. Ses premières réalisations étaient destinées au stockage d’engrais liquides. Ensuite, pour augmenter les capacités de stockage, Adolphe Tartar a acheté un moule de 4,20 m de diamètre qui permet de monter à 160 m3 de capacité de stockage en virole monobloc. JDF : c’est-à-dire ? Jean-Louis Sarna : En une seule passe. Le moule permet de réaliser un diamètre, mais aussi une longueur maximale, ensuite, il est possible d’assembler deux

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viroles bout à bout et doubler ainsi la capacité de stockage. JDF : Il y a des limites ? Jean-Louis Sarna : Bien sûr, il y a des règles, avec des calculs de résistance des matériaux et des normes de sécurité à respecter. C’est le travail de notre Bureau d’Etudes de déterminer ce qu’il est possible de réaliser. Tous les produits fabriqués dans nos ateliers sont élaborés dans le Bureau d’études, les simples comme les compliqués. Bien sûr, si les simples ont été vus une fois ils sont reconduits, pour les plus compliqués, il est fait une

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dans le centre de la France, et au vu des conditions proposées par la commune de Bellegarde, il a choisi d’y installer son entreprise avec une dizaine de salariés. Ensuite, au fil des années, l’entreprise a compté jusqu’à 80 salariés. Aujourd’hui, Hermex emploie 47 personnes. Certaines tâches se sont automatisées.


entretien

étude systématique, avec un plan validé par le client. JDF : à quel secteur d’activité appartenaient les premiers clients ? Jean-Louis Sarna : Au secteur agricole, essentiellement pour le stockage d’engrais liquides.

JDF : Quelles sont les raisons qui poussent vos clients à préférer vos silos en polyester aux silos métalliques de vos concurrents ? Jean-Louis Sarna : Le polyester est très résistant, il n’y a pas de risque de corrosion, même avec des produits agressifs tel que le sel ou tous produits très corrosifs, l’entretien intérieur et extérieur est pratiquement nul.

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JDF : Et aujourd’hui, qui sont les donneurs d’ordre ? Jean-Louis Sarna : Les secteurs les plus importants sont toujours : l’agriculture, mais aussi, l’agroalimentaire, la plasturgie, l’environnement, la viabilité et l’industrie en général.

Fabrication du silo selon la technique de centrifugation.

Alain Beaulant : Il y a également des questions de coût des matériaux qui, suivant les époques, peuvent influencer le choix de nos clients.

JDF : Vos silos sont tous fabriqués sur-mesure ? Jean-Louis Sarna : Oui. Nous n’avons pas de produits en catalogue. Nous fabriquons tout d’abord la virole, l’ensemble qui constitue les parois extérieures, ainsi que le fond et la toiture. Tout le reste est installé à la demande du client. Pour fabriquer le silo, le client doit nous fournir les éléments concernant son produit à stocker c’est-à-dire : la densité du produit à stocker, le volume qu’il souhaite, les options telles que le diamètre de piquage par exemple et ensuite, c’est notre Bureau d’Etudes qui effectue les calculs. JDF : Votre activité connaît-elle des pics d’activités à certaines périodes de l’année ? Alain Beaulant : Pas franchement. Ce sont les aléas des affaires qui font que l’activité n’est jamais linéaire. Jean-Louis Sarna : Il y a aussi le fait que les lois concernant l’environnement étant de plus en plus strictes, les anciens modes de stockage tels que des wagons de chemin de fer ou d’anciennes citernes, sont de plus en plus écartés, pour être remplacés par des silos conformes à la réglementation. Bien sûr tous ces nouveaux silos ne sont pas en polyester et nous ne sommes pas les seuls à fournir des silos en polyester, mais nous avons une part de ce marché. JDF : Vous êtes nombreux sur ce secteur des silos en polyester ? Jean-Louis Sarna : Oui en France, nous sommes plusieurs à fabriquer des silos en polyester, mais nous sommes bien répartis sur le territoire.

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JDF : C’est le cas aujourd’hui ? Jean-Louis Sarna : Non. Aujourd’hui, les prix s’équilibrent.

Fabrication du silo en polyester sela la technique de l’enroulement filamentaire.

JDF : C’est mieux. Jean-Louis Sarna : Oui, c’est mieux, d’autant que nous sommes dans un secteur où les coûts de transport sont élevés du fait qu’ils s’effectuent majoritairement en convoi exceptionnel. JDF : Sur quel rayon géographique travaillez-vous ? Jean-Louis Sarna : Toute la France JDF : Et hors de France ? Alain Beaulant : Un petit peu. Nous ne démarchons pas à l’export, mais quand nous sommes interrogés d’Algérie, de Suisse ou d’ailleurs, nous répondons. JDF : Et parfois, la demande se concrétise ? Alain Beaulant : Oui, parfois, mais le silo et la cuve sont des produits qui s’exportent assez mal. Cependant, nous avons déjà vendu plusieurs cuves en Algérie avec des diamètres importants. Nous avons vendu aussi en Espagne, en Slovénie, en Turquie, il s’agit cependant de ventes au coup par coup en réponse à des appels d’offre. JDF : Comment se porte votre marché actuellement ?

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Entretien 20 % et l’agroalimentaire 25 %, le reste est en divers. JDF : Il y a des secteurs qui progressent ? Alain Beaulant : Oui, l’environnement par exemple. L’agriculture reste également un secteur porteur.

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JDF : Comment êtes vous organisé sur le plan commercial ? Alain Beaulant : Nous avons un service commercial dont je suis le responsable et nous avons trois technico-commerciaux qui se répartissent sur trois zones géographiques. Sur le site nous avons également deux secrétaires commerciales en liaison avec ces agents. Elles peuvent aussi prendre des commandes. Jean-Louis Sarna directeur d’Hermex et Alain Beaulant responsable des ventes.

Jean-Louis Sarna : Nous pouvons considérer que nous avons passé une période correcte. Nous resssentons cependant les effets de la crise. Nos clients finaux, dans certains métiers, nous expliquent qu’en fonction de la conjoncture, la décision d’investir sera peut être un peu reportée. JDF : Entre le moment où une commande est passée et le moment de la livraison, combien de temps se passe-t-il ? Alain Beaulant : C’est très variable, il y a des commandes en engrais liquides qui peuvent être livrées très rapidement dans les deux mois et il y a des affaires où il peut se passer un an et demi. Sur un produit sur-mesure, qui nécessite : un certain nombre d’aller et retour pour validation par le client; l’étude et la mise ne place des diverses options à ajouter; de prévoir les difficultés liées au transport de matériels volumineux (pas de convoi exceptionnel sur les routes en période de vacances d’été)... la durée peut atteindre quatre mois voire un peu plus.

JDF : Suivant la destination de la cuve, vous utilisez des matériaux différents ? Alain Beaulant : Non, pas de matériaux différents, mais nous devons adapter la matrice aux produits stockés, aux conditions de service et aux cahiers des charges de nos clients. JDF : Vous avez donc des résines alimentaires ? Alain Beaulant : Oui. Nous allons même au-delà puisque nous sommes les seuls en France à avoir un agrément de potabilité par exemple. Il s’agit d’une ACS (Attestation de Conformité Sanitaire) délivrée par le ministère de la santé. Cette attestation est beaucoup plus contraignante qu’une simple « alimentarité ». Il faut qu’au niveau de toutes les parois, tous les composants soient sur la liste positive des produits alimentaires afin qu’il n’y ait aucune migration vers le produit stocké. JDF : Quelle est votre capacité de production ? Jean-Louis Sarna : Quatre viroles en moyenne en huit heures. Deux viroles pour chacun des procédés.

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JDF : Comment se répartit votre chiffre d’affaires par activité ? Jean-Louis Sarna : L’agriculture représente en moyenne 25 % de l’activité, la plasturgie 20 %, l’environnement et la viabilité

JDF : Vous assurez vous-même le transport des cuves ? Jean-Louis Sarna : Non. Nous avons assuré le transport pendant de nombreuses années, mais aujourd’hui, nous confions cette prestation à une entreprise spécialisée. Nous avons jugé préférable de nous concentrer sur notre métier de fabricant de silos et de cuves.

Une fois la virole fabriquée, une multitude d’options sont possibles.

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à gauche échantillon de silo fabriqué par centrifugation ; à droite échantillon fabriqué par enroulement filamentaire.


JDF : Vous n’avez pas de stock ? Jean-Louis Sarna : Nous avons des viroles des diamètres les plus courants en stock, ensuite chaque commande étant fabriquée sur-mesure il est impossible d’avoir des silos finis en stock. JDF : Vos clients en silos ou cuves vous demandent-ils parfois des produits très élaborés ? Alain Beaulant : Oui, parfois nous livrons des cuves ou des silos isolés ou des cuves de process avec de nombreux aménagements. Nos clients nous demandent généralement d’installer tout ce qui est fixé sur le silo ou sur la cuve, non seulement les appareils tels que les sondes de niveau, les évents d’explosion, les filtres, les échelles, les agitateurs, les systèmes de réchauffage... mais aussi tous les aménagements que nous fabriquons nous mêmes tels que les cloisons intérieures ou les berces pour supporter les cuves, par exemple. L’avantage avec le polyester c’est qu’il n’y a quasiment pas de limites dans la forme des pièces à fabriquer. JDF : Vous avez les moules pour toutes ces options sur-mesure ? Jean-Louis Sarna : Nous avons mis au point des solutions économiques pour fabriquer des moules en acier, en bois ou en polyester. Tout dépend de la quantité de pièces à fabriquer. JDF : Vous livrez un produit fini prêt à être installé ? Alain Beaulant : Oui. Tous est monté et prêt à être raccordé sur site. JDF : Qui effectue la pose sur site ? Jean-Louis Sarna : Nous gérons la pose

sur site, avec les moyens dont dispose notre transporteur. S’il faut des moyens supplémentaires, pour faire le montage nous faisons venir une grue pour installer l’unité de stockage. Nous le faisons dans la mesure où notre client souhaite que nous prenions en charge cette prestation. Et si nous avons une affaire qui nécessite des spécialistes en polyester, nous avons une équipe qui se déplace. JDF : Tout votre personnel a été formé dans vos ateliers? Jean-Louis Sarna : Oui. Car il n’existe pas de formation à notre profession. Après un recrutement il faut de 3 à 6 mois pour former une personne à la connaissance des matières, la façon de les préparer, les découper, les assembler. JDF : Vous proposez deux modes de fabrication : l’une par centrifugation l’autre par enroulement filamentaire. Y a-t-il une différence sur le produit obtenu ? Alain Beaulant : Les produits issus du procédé par enroulement filamentaire entrent dans notre gamme Standard, tandis que ceux obtenus par centrifugation font partie de notre gamme Prestige. La finition est meilleure sur ce produit qui est plus haut de gamme. L’aspect n’est pas du tout le même selon le procédé employé. Le modèle Prestige contient plus de résine, il est donc plus cher d’environ 10 à 20 % que le modèle Standard. JDF Combien d’unités sortent chaque année de vos ateliers ? Alain Beaulant : Entre 400 et 450 unités.

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entretien

potentiel ? Alain Beaulant : Le domaine agricole nous offre un certain potentiel en renouvellement du fait des normes qui n’autorisent plus à stocker dans n’importe quelle condition. Par contre, sur la plasturgie, il n’y a aucun marché de renouvellement. Il y a même un marché de l’occasion. JDF : Comment voyez-vous l’avenir pour Hermex ? Jean-Louis Sarna : Bien que nous ayons une bonne dose d’optimisme, attendons de voir quels seront les effets de la crise. JDF : Y aura-t-il un jour une filiale Hermex à l’étranger ? Jean-Louis Sarna : ce n’est pas exclu. Nous en parlons régulièrement avec les actionnaires. Cela peut être envisagé. Pour l’instant nous cherchons plutôt des produits pour nous diversifier sur d’autres domaines que le stockage. Cependant il est difficile de savoir ce que sera le marché d’ici 5 ans. JDF : Vous êtes optimistes pour l’avenir ? Jean-Louis Sarna : à court terme, nos clients veulent voir dans quel sens tourne le vent pour investir, mais il y aura forcément une reprise. Nous devons donc être prêts. Disons que nous sommes relativement optimistes. Propos recueillis par Gaël d’Argentré

JDF : Quels secteurs vous offrent du

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Expertise

Du robinet au transmetteur ; la précision des mesures dépend de la qualité de l’ensemble du système d’instrumentation Basée aux États-Unis à Solon dans l’Ohio, la société Swagelok est l’un des principaux développeurs et fournisseurs de solutions pour systèmes fluides. Son directeur de l’ingénierie de projets, Bill Menz, nous explique comment du robinet au transmetteur, la ligne d’instrumentation de process affecte directement la rentabilité de l’installation. Les industries de transformation, notamment l’industrie chimique et pétrochimique, les raffineries, l’industrie pétrolière et gazière ainsi que l’industrie du papier, sont aujourd’hui confrontées à des coûts d’exploitation accrus, au manque de personnel qualifié, à une concurrence féroce et au besoin de produire plus avec des moyens réduits. Pour relever ces défis, de nombreuses sociétés se servent des avancées réalisées dans les technologies des commandes et de l’instrumentation pour

optimiser les performances de leurs usines. Ces progrès se situent souvent au niveau des composants électroniques qui fournissent des mesures d’une plus grande précision et des algorithmes de commande plus rapides, ce qui entraîne l’accroissement des capacités de production et l’amélioration des rendements des produits « conformes au cahier des charges ». Néanmoins, comme cela est le cas pour tout principe de mesure, la qualité du résultat et la fiabilité véritable des mesu-

res dépendent de la qualité des données fournies au dispositif de mesure. L’étanchéité de la vanne à interface de process et des raccordements non filetés ainsi que les propriétés de tenue en température dans les lignes d’impulsion et la haute fiabilité de la fermeture du manifold sont autant de raison pour considérer les composants acheminant le fluide dans une connexion d’instrumentation comme les applications à utilisation intensive les plus importantes de l’usine. La ligne d’instrumentation

Figure 1 : La ligne d’instrumentation de process – du « robinet au transmetteur » – est un réseau de dispositifs et de composants dont chacun est destiné à assurer une fonction spécifique.

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de process – du « robinet au transmetteur » – est un réseau de dispositifs et de composants dont chacun est destiné à assurer une fonction spécifique (figure 1). La ligne doit fonctionner comme une entité unique et non pas comme un ensemble de composants. Tout dysfonctionnement de l’un des composants peut altérer le système comme les données, ce qui peut entraîner des pertes de fluide dans le système, une production non conforme au cahier des charges et des frais liés à l’arrêt du système. Pour les concepteurs et les ingénieurs des industries de transformation, ces avancées technologiques ont fait des transmetteurs des composants plus utiles que jamais. Tout en prenant le temps nécessaire pour évaluer et choisir des transmetteurs, les ingénieurs doivent également garder à l’esprit qu’une mesure fiable dépend de l’ensemble de la ligne. Le bon fonctionnement d’un transmetteur et son effet positif sur le résultat net d’une installation reposent sur le bon choix des composants acheminant le fluide. Une attention insuffisante portée à ces


composants équivaut à investir de manière risquée et à augmenter les chances de voir votre système et vos données altérés. Il n’est pas exagéré de dire que la qualité de la mesure d’un système est égale à celle de l’ensemble de ses composants. Chacun de ces composants doit donc être choisi avec soin.

Vanne à interface de process La vanne à interface de process (VIP) ou vanne d’échantillonnage est la première vanne déviant le fluide de la ligne de process. Historiquement, la VIP la plus utilisée est le robinet-vanne, une vanne simple, multitour à vis et arcade permettant le remplacement des garnitures avec la vanne en service. La fabrication et l’utilisation des robinetsvannes demeurent largement répandues de nos jours, dues en grande partie à leur statut de produit hérité. Toutefois, à cause des limites inhérentes aux vannes monoblocs, on tend à s’éloigner de cette vanne d’isolement simple et à opter pour une famille plus récente de VIP, les vannes double arrêt et purge (DAP). Constituée d’un purgeur entouré de deux vannes d’isolement (ou vannes d’arrêt), la configuration DAP sécurise davantage les systèmes en éliminant la possibilité d’une montée en pression vers le transmetteur lors de la maintenance. Avec un robinet-vanne simple, des fuites peuvent se produire – et surviennent en fait fréquemment – entraînant une montée en pression. En fonctionnement normal, les deux vannes d’isolement de la configuration DAP sont ouvertes tandis que le purgeur est fermé, permettant ainsi au transmetteur de détecter les fluctuations de

la pression et donc d’en mesurer les variations. Cependant, au cours d’une opération d’entretien, il ne doit exister aucune pression dans le transmetteur. Une pression nulle au niveau du transmetteur est habituellement atteinte en isolant celui-ci de la pression de la ligne au moyen d’un manifold d’instrumentation. Néanmoins, lorsqu’une opération d’entretien du manifold ou des lignes d’impulsion s’avère nécessaire, une vanne à interface de process DAP peut constituer la meilleure solution. La procédure de maintenance commence par le raccordement d’un tube d’écoulement au purgeur de la vanne DAP. L’autre extrémité du tube est introduite dans un réceptacle. Un technicien ferme la première vanne d’isolement, la plus proche de la ligne de process, et ouvre le purgeur. La pression de la ligne s’évacue par la deuxième vanne d’isolement déjà ouverte, puis par le tube d’écoulement dans le réceptacle afin d’assurer que le fluide ne s’échappe pas dans l’environnement. La seconde vanne d’isolement est alors fermée pour garantir une pression nulle dans la ligne d’impulsion. En cas de fuite au niveau de la première vanne d’isolement, la deuxième vanne contient le fluide et le force à s’évacuer par le purgeur ouvert. Ce confinement secondaire constitue un dispositif de sécurité important pour les techniciens en charge de l’entretien des composants de la ligne d’instrumentation. La sécurité du personnel d’entretien est liée à l’absence de montées en pression imprévues. Pour une sécurité maximale lors de l’entretien du transmetteur, utilisez à la fois le manifold et la vanne DAP pour annuler la pression. Bien qu’il soit possible de

Crédit Swagelok

expertise

Figure 2 : La vanne DAP compacte intègre les trois vannes dans un ensemble unique et autonome.

fabriquer les vannes double arrêt et purge à partir de trois vannes distinctes, l’apparition de la vanne DAP compacte a bouleversé le paysage de l’instrumentation de process. La vanne DAP compacte intègre les trois vannes dans un ensemble unique et autonome. En plus de raccordement étanches et d’une sécurité accrue, les vannes DAP compactes présentent des avantages certains par rapport aux vannes constituées d’éléments séparés (figure 2) : • Des points de fuite moins nombreux ; • Une flexibilité dans la configuration du produit par l’utilisation de raccords à bride et d’orifices de tailles différentes ; • Plus de légèreté et un encombrement réduit, limitant ainsi le recours à des supports de structure pour le sys-

tème d’instrumentation et les dépenses engendrées par ces supports ; • Un coût moindre ; • Une installation plus facile et plus rapide ; • Un choix important de classes de pression et de matériaux compatibles avec des systèmes de tuyauterie spécifiques ; • Conçues et testées pour la sécurité incendie. Imaginées à l’origine dans les années 1980 par des ingénieurs britanniques travaillant dans l’industrie pétrolière offshore en Mer du Nord, les vannes DAP compactes sont nées d’un besoin de réduire la taille et le poids de l’ensemble à trois vannes ainsi que le nombre de points de fuite potentiels. La technologie est en train de se déplacer sur les exploitations pétrolières à terre où ses avantages sont également appréciés. L’Europe a commencé

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à adopter cette technologie de même que la région AsiePacifique. Cette évolution est plus lente aux États-Unis où le robinet-vanne continue à s’imposer. Les sociétés américaines pourraient pourtant tirer d’énormes avantages de la nouvelle génération de vannes à interface de process.

Vannes à boisseau sphérique et vannes à pointeau Dans la vanne DAP « classique », les deux vannes d’isolement sont des vannes à boisseau sphérique et le purgeur est une vanne à pointeau. Les larges orifices des vannes à boisseau sphérique réduisent les risques d’obturation et rendent cette configuration plus efficace pour des fluides à viscosité élevée. Pour cette raison, la vanne DAP classique est de plus en plus utilisée pour des activités en amont comme l’exploration pétrolière et gazière. Par comparaison, la vanne monobride, un deuxième type de vanne DAP compacte, est la plus compacte des vannes double arrêt et purge disponibles avec ses trois vannes à pointeau et sa

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bride unique. Les orifices plus petits des vannes à pointeau conviennent mieux aux fluides et aux hydrocarbures plus légers et moins visqueux. Les vannes monobrides sont donc plus recherchées pour des activités en aval, par exemple, dans l’industrie chimique ou dans les raffineries. Les meilleures vannes DAP, réalisées avec des joints d’une grande fiabilité, nécessitent une maintenance minimale et sont exemptes de fuites vers l’atmosphère et au niveau du siège. Plusieurs technologies sont disponibles pour ce qui est des vannes à boisseau sphérique et des vannes à pointeau constituant une vanne DAP : • Une de ces vannes à pointeau contient un embout de tige sphérique qui ne tourne pas lors de la fermeture. Dans ce cas, l’embout de tige sphérique est libre en rotation dans tous les plans plutôt que d’avoir une rotation liée à celle de la tige de la vanne. Lorsqu’un embout sphérique tourne avec la tige comme cela est le cas avec un embout sphérique immobile intégré à la tige, l’embout peut s’user et rayer le siège. De telles rayures endommagent le siège

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et, à force, finissent par provoquer des fuites. En revanche, lorsque l’embout de tige sphérique ne tourne pas en pénétrant dans le siège de la vanne, l’intégrité du siège est préservée. • La technologie des vannes à pointeau va encore plus loin avec certains embouts sphériques non rotatifs ou « contrôlés ». Un embout typique est un embout sphérique qui tourne dans tous les plans et qui est considéré « incontrôlé ». Chaque passage de l’embout dans le siège de la vanne imprime une « ligne d’étanchéité », une rayure circulaire sur la surface de l’embout. À cause de la libre rotation de l’embout dans tous les plans, une surface différente de l’embout se présente dans le siège à chaque fermeture de la vanne avec pour résultat un enchevêtrement de rayures sur la surface de l’embout. L’intégrité de la vanne est compromise aux points d’intersection de ces rayures, une situation que l’on peut qualifier de « perte de ligne d’étanchéité ». Idéalement, la surface de l’embout sphérique ne devrait comporter qu’une seule de ces lignes, identique à chaque fermeture de la vanne. Les embouts sphériques contrôlés parviennent à ce résultat. Les embouts contrôlés sont sphériques mais comportent un méplat situé au sommet de la sphère. Le méplat limite la rotation de l’embout dans un plan unique, autour de l’axe central. Le résultat est l’une des meilleures vannes dans cette catégorie, offrant une ligne d’étanchéité constante et une fermeture reproductible et étanche. • Une caractéristique supplémentaire à préciser dans une vanne à pointeau est la garniture située en dessous du

filetage qui évite la corrosion et l’encrassement des filets en les protégeant de tout contact avec le fluide du système lorsque la vanne est ouverte. Préférez des filetages écrouis ou laminés à froid qui sont plus résistants qui permettent un fonctionnement en douceur et dont la durée de vie est supérieure. • En outre, les vannes à pointeau de qualité supérieure intègrent un raccord articulé en deux parties situé audessus de la garniture, donc hors d’atteinte par le fluide du système. Cette configuration comprend un pointeau non rotatif. Comme l’embout sphérique non rotatif contrôlé, le pointeau non rotatif ou « embout en V » ne tourne pas avec la tige et ne s’use pas à l’intérieur du siège. Il se déplace uniquement le long de son axe vers le haut ou vers le bas. Il se met toujours en place correctement, offrant ainsi une étanchéité d’une haute fiabilité. En résumé, les embouts en V non rotatifs et les embouts sphériques non rotatifs contrôlés constituent les deux meilleurs choix lors de la spécification des vannes à pointeau DAP. • Comme pour les vannes à pointeau, les nouvelles technologies offrent de meilleurs choix dans la sélection des vannes à boisseau sphérique. Par exemple, des progrès sont en cours dans la conception des sièges des vannes à boisseau sphérique et plus précisément, dans la manière dont la pression est appliquée sur le siège. L’étanchéité dans les vannes à boisseau sphérique peut être créée par la force exercée par le fluide en mouvement contre le boisseau sphérique. Une force supplémentaire peut cependant s’avérer nécessaire pour compenser les


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variations de pression et de température. Cette force provient de composants ajoutés lors de la conception du siège. Une des méthodes permettant de fournir cette force supplémentaire réside dans les sièges précontraints. Le principe s’appuie soit sur un siège précontraint par ressort, soit sur un ressort, soit sur un joint torique inséré entre la vis d’extrémité et le siège. Dans le cas de pressions de système élevées, une force s’exerce vers l’aval sur le boisseau sphérique qui comprime le siège aval, ce qui assure l’étanchéité. Pour des pressions de système faibles, le siège précontraint compense la pression du système en appuyant sur le boisseau sphérique pour assurer l’étanchéité. Une autre avancée dans le domaine des vannes à boisseau sphérique DAP se situe au niveau du joint de tige précontraint également appelé joint à lèvre. Dans cette configuration, un ressort contenu dans une enveloppe en PTFE remplace la garniture de tige traditionnelle qui tend à s’user avec le temps. Le ressort applique constamment une force latérale, ce qui maintient une étanchéité positive contre la tige, élément important dans les situations où la pression du système est faible. Les autres avantages que l’on peut citer sont un couple de fonctionnement inférieur, une amélioration des performances et une compensation de l’usure de la garniture.

Choisir le bon transmetteur Les transmetteurs génèrent le signal électronique destiné au système de commande. Les configurations des transmet-

teurs électroniques modernes sont très diverses avec notamment des sorties analogiques standard (4 à 20 mA), des signaux de sortie numériques superposés (HART) ou des dispositifs de bus de terrain. Le « bon » transmetteur est le dispositif qui s’intègre facilement dans le schéma de commande d’une application donnée. Malgré la percée des dispositifs de bus de terrain ces dernières années, les schémas de commandes analogiques standard restent actuellement prédominants dans l’industrie de transformation. Le transmetteur standard 4 à 20 mA fournit des données représentatives de l’état du process, se raccorde facilement au système de commande et ne nécessite que rarement des adaptations (ex : carte d’entrée/sortie). Les transmetteurs avec protocole HART apportent des fonctionnalités supplémentaires en fournissant avec les informations principales des informations secondaires sur le process comme des diagnostics ou un historique de la maintenance. Les transmetteurs HART requièrent normalement une entrée/sor-

tie spéciale afin que les données numériques superposées puissent être utilisées par le système de commande. Ces transmetteurs, avec leurs fonctions avancées, permettent à l’utilisateur de profiter des nombreux avantages offerts par les protocoles de communication numérique tout en restant compatibles avec des installations 4 à 20 mA traditionnelles. Les transmetteurs pour bus de terrain utilisent un véritable protocole de communication numérique qui élimine le besoin d’un câblage individuel entre le transmetteur et le système de commande. Grâce à leur capacité à communiquer directement entre eux et avec les autres composants connectés au bus de terrain, ces dispositifs contribuent à réduire le câblage nécessaire dans un montage d’instrumentation. En plus des fonctionnalités avancées semblables à celles offertes par le protocole HART, les installations avec bus de terrain présentent également plusieurs avantages, notamment une diminution des coûts d’installation, des fonctions de diagnostics et d’interrogation à distance et des possibilités de commande

poste à poste. L’installation correcte du transmetteur est d’une importance cruciale. Les propriétaires d’installations doivent examiner ces détails concernant leur site et leur application susceptibles d’en compromettre les performances. Les facteurs à prendre en compte sont les vibrations, la température et les capacités d’accès au dispositif. Certains supports de montage traditionnels pour transmetteur/manifold peuvent se desserrer et transférer tout le poids de l’ensemble sur le raccordement de l’instrument. Une solution efficace consiste à utiliser l’idée d’une boucle d’instrumentation sans filetage et un support de montage pour transmetteur robuste, conçu pour atténuer les effets des vibrations. C’est lorsque vous parvenez à minimiser le nombre de raccords filetés dans votre boucle d’instrumentation que vous pouvez réaliser tous les avantages de votre investissement.

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que choisir ?

Les pompes centrifuges Largement utilisées dans le monde de l’industrie, les pompes centrifuges allient simplicité mécanique, source de

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longévité et volume d’encombrement réduit. Elles couvrent une grande plage d’utilisation. Le principe de fonctionnement repose sur un rotor qui exerce une force centrifuge. ce rotor met en mouvement le liquide et augmente sa pression. Dans ce « que choisir », vous constaterez que le choix des débits comme des matériaux est extrêmement vaste. Pour ces derniers, les équipementiers proposent des constructions dans divers types de plastiques, métaux ou céramiques. Agroalimentaire Armée, Marine Brasserie, viticulture Chimie Distribution d’eau Laboratoire Métallurgie

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5 - Pompes d’assainissement 5 - Contacter le constructeur. submersibles xFP (Nouvelle 6 - Les pompes MR ultraPure Grundfos Hermet gamme Glynwed Effex) et Glynwed AFP. Grundfos à anneau liquide sontHermetic stéPuissance : 1.3 à 1 000 kW. rilisables à la vapeur. Elles Débit : 710% à 11 50010% m³/h. 15% sont10% la solution10% idéale pour 15% HMT : 1 à 75 mCE. le pompage de mélanges de 45% 20% 20% 20% large gamme. 6 - Très Stock liquides 20% et de gaz.10% Elles sont 10% 50% 50% pour les produits 50% courants. 50% traditionnellement utilisées 10% 10% dans Hydrauliques adaptées à comme10% pompe de retour 10% 30% 10% et l’assainissement les 10% systèmes de nettoyage. 10% 30% 10% : Vortex Contrablock (forte section de 7 - Joints FPM (agrées FDA), passage). garniture mécanique simple 7 - Pièces d’adaptation sur carbure de MFVTA silicium/carbure Leroy PCB Leroy MFVTA PCB tout pied d’assise. Double de silicium, finition de surface enveloppe de refroidissement. Ra≤ 0.5µm ou Ra≤ 0.4µm Hydrauliques résistants à 30% 10% electropoli, 10% drain de volute10%25% 10 20% 20% 30% 25% l’abrasion et à la corrosion. 1/2»’’ Clamp. 40% 40% 20% 20% 30% 8 - CE, ACS, ATEx, ISO 8 Tous les matériaux en 20% 20% 9001, ISO 14001. acier inoxydable en15% contact 15% 15% avec le produit sont entière15% 20% 10% 20% 10% 10% 10% 10% 10 15% 9 - 1 à 2 ans. 15% ment traçables conformément à la norme EN10204 3.1.B. Les élastomères utilisés sont aux exigencesVerder de Technique Fluides conformes Travaini Verde Technique Fluides Travaini la FDA et, si des élastomères EPDM sont sélectionnés, 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% ceux-ci sont testés et certifiés 10% 10% 10% 50% 10% 10% 10% 10% 20% conformément aux disposi20% 10% 10% 10% 10%VI. tions de l’uSP de classe 30% 10% 10% main 10% 30%9 - 12 mois pièces et 10% 10% 10% 30% 10% 30% 10% 10% 10% d’œuvre à date de livraison. 10% 10%

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20% 10%LAVAL 1 - 34% ALFA 34% 60% 2 - Constructeur. 3 - Pompe MR ultraPure à anneau liquide. Alfa laval Alfa laval CSF 4-

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10% 65% 1 - EuROPuMPS Société25% 10% 10% 15% 2 - Importateur et construc10% 10% teur. X X 3 - Pompes, agitateurs, débitActivité Europumps Fluidcontrol Flux mètres. 10% 10% Europumps Fluidcontrol 410%

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Inox Group. Constructeur 3 - Pompes centrifuges prinX pompes CSF Inox/Omac, X cipalement, pompes àXvide. Alfa vannes laval Bardiani, échangeurs CSF Ensival 4tubulaires MBS. 10% 10% Abs 13% Alfa laval15% CSF Ensival 10% Flux 15% 15% - Pompes centrifuges mono 15% 10% 310% 10% 10% 10% 10% 30% 40% 15% 10% 10% 20% 25% 20% 24% et multi-étages, 10% 10% 10%hélico-centri- 30% 10% 10% 10% 10% 10% 15% 20% 30% 20% Equipements 16% 24% 20% fuges, auto-aspirantes. Pompes 15% 40% 10% 30% 10% 10% 65% 25% 16% 10% 20% 10% 10% % 40% 10% 20% à vis excentrée et 10% volumétriques % 25% 25% 34% 10% 10% 10% 10%10% 10% à lobes. Pompes 10% 60%pneumatiques 15% 10% 25% 10% 10% 10% 20% 15% 20% à piston. Vannes manuelles et 20% 10% 10% 30% 10% 10% 90% 15% 15% 50% 20% 20% Principaux secteurs pneumatiques. Echangeurs 10% 90% 15% 30% 50% 20% d’activité (≥›10%) tubulaires. 5 - Débits jusqu’à 10 000 m³/ Alfa laval CSF Ensival Europumps Fluidcontrol Flux 4h, pression jusqu’à 1 200 m, 5 - Contacter l’équipemenmétallurgies tier. Grundfos Hermetic Hydronobles fluide suivant Ingersoll ITT KSB 10% 10% 10% 10% 10% 15% ynwed Grundfos Hermetic Hydro fluide20% Ingersoll ITT KSB besoins, fontes au chrome, 20% 24% 6 - Haute fiabilité, gammes 10% 30% 10% Inox Duplex, Hastelloys, 16% 20% 40% 10% 10% importantes, polyvalence. 10% 15% 20% 40% ■ Agroalimentaire 10% Zirconium, nickel,20% titane. 10% 10% 10% 40% 45% % 10% 10% 30% 10% 15% 30% 25% 20% 10%7 - Fourniture 20% 40% d’ensembles ■ Armée, Marine 20% 45% 10% 30% 10% 40% 30% 6 - Flexibilité, forte expérien10%complets de pompages. 10% 10% 20% 15% 20% 10% 30% ■ Brasserie, viticulture 10% 10% 50% 20% 20% ce50% en métallurgies adaptées15%10% 10% 30% 90% 20% 10% 50% ■30%Chimie 8 - uL, CE, ATEx, ISO 20% 10% à la corrosion et à l’érosion, 10% 50% ■ Distribution d’eau 30% 10% 9001 10% services rapides 30% 30% etc. 10% 30%sur produits 20% 5 - CSF Inox 10% Group conçoit 30% standards. ■ Laboratoire 30% 0% 30% 30% 20% 9 - De 12 à 60 mois. et produit une vaste gamme ■ Métallurgie 7 Grand choix d’hydraulide pompes, Hermetic vannes, accessoiGrundfos Hydro fluide Ingersoll ITT ■ KSB Nutrition animale que adaptées aux problèmes Salmson ■ Pétro-chimie Savino res et échangeurs pour les Pierre Guerin Rutschi MFVTA PCB spécifiques. Salmson Savino industries MFVTA agroalimentaires, Pierre Guerin Rutschi Leroy 10% PCB ■ Pharmacie, cosmétique 10% 10% 15% 20% 20% 40% pharmaceutiques et45% les bois- 30% 8 - CE, ISO 9001/2000, 30% ■ Produits laitiers 10% 40% 10% 15% 10% 13% 15% 20% et hygi-10% ATEx. 50% 20%sons. Fonctionnalité 40% 30% 10% ■ d’effuents 25% 10% Traitement 10% 10% 13% 10% 15% 15% 20% 10% 30% 40% 30% 10% nénabilité des matériels, 40% 50% 30% 25% 20% ■ Intégrateurs 20% 10% 9 1 à 2 ans. 20% 15% 15% 40% connaissance des process. 30% 10% 20% 10% 10% ■ Autres15% secteurs15% 10% 20% 30% 10% 10% 30% sanitaire certi6 - Conception 30% 30% 15% 10% 10% 30% 10% 20% 10% 10% fiée,10% fiabilité et robustesse des10% 20% 20% 15% 10% 10%10% 10% 10% 10% 17% 10% 10% 10% 10% 15% 20% maintenabilité. 20% constructions, 10% 17% 10% 10% 10% 10% 15% 10% 10% 10% caractéristiques 7 - Exécutions, matières, Salmson Savinotechniques Pierre Guerin Rutschi MFVTA PCB élastomères, raccordements, Weir minirals X X X s Travaini grand choix d’options, etc.Verder Weir minirals X X X ique Fluides Travaini Verder 10% 10% 10% 13% 15% 15% 20% 40% 30% 50% 8 - 98/37/CE, Alimentaire 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 25% 10% 20% 40% CE n°1935/2004, ATEx, 40% 10% 10% % 10% 10% 10% 10% 10% 10%15% Les points forts 10% 20% 0% 10% 10% 10% 10% 50% 20% 20% 10% 15% 30% 40% certifications 3A et EHEDG, % 10% 10% 10% 10% 10% 20% 50% 10% 10% 10% 10% 20% uS-Fda, uSP IV, etc. 10% 10% 20% 15% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 20% 17% et main d’œu10% 10% 30% 9 - 1 an pièce 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10%10% 60% 20% 20% 10% 30% 10%20% 10% vre. 30% 10% 10% 60% 10% 20% 60% Les options X

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30% 1 - FLuIDCONTROL 10% 10% 25% 2 - Distributeur Jesco 10% (Allemagne) et 10% Debem 10% (Italie). Activité 3 - Pompes centrifuges PP et Ensival Europumps Fluidcontrol PVDF - Modèles MB. Ensival Europumps Fluidcontrol 10% 4 - 20% 10% 10% 20% 24% 10% 10% Equipements 16% 10% 10% 10% 10% 25%

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X 10% 10% 10% 45% 25% 10% 10% 10% 30% 10% 45% 10%10% 10% Les garanties 15% 15% 30% 25% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 30% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 25% 10% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 25% 10% 10% 10% 20%

15%

90%

10%

30%

X

1 - GLYNWED 10% 2 - Distributeur Friatec / Rheinhütte. 3 - Pompes centrifuges en métal, plastique massif et revêtement PFA, céramique. Pompes à hélice. Glynwed 4-

40%

10%

10% X

10%

10% 10%

70%

30% 25%

Flux

Alfa laval

30%

1 - FLux FRANCE10% 15% 10% 2 - Constructeur. 3 15% - Pompes centrifuges verticales. Flux 4-

65%

10%

10% 10%

5 - La pompe centrifuge verticale Flux F 640 PP en 5 - Simples, robustes, monoPolypropylèneKSBest utilisée metic Hydro fluide Ingersoll ITT bloc ou socle avec accouplepour le conditionnement et Hydro fluide Ingersoll ITT pour liquiment. Appropriées le KSB transfert de liquides diffi10% 10% 20% ■ Agroalimentaire 20% 40% d’une des sales et chargés, jusqu’à cilement inflammables 45% 30% 10% 40% ■ 30% Armée, Marine 10% 10% viscosité 500 centipoises, viscosité jusqu’à 2 500 mPas 20% ■ 20% Brasserie, viticulture modèles 30% jusqu’à à partir40% de conteneurs, réser10% 10% plusieurs30% 10% 40% 30% 20% ■ 10% Chimie 75 m3/h max. voirs, bassins à ciel ouvert, 10% 30% 10% ■ Distribution d’eau 20% etc. Leur utilisation peut être 630% - Prix compétitifs, délais30% 30% 20% mobile ou à poste fixe. ■ Laboratoire 10% courts. ■ Métallurgie 30% 30% 6 - 20% Large gamme, encombre30% 7 - Etanchéité joints, soufflet ■ Nutrition animale ment réduit, possibilités de ou garniture mécanique. Salmson Savinodes modè■ Pétro-chimie Pierre Guerin Rutschi marche en continu CB 8 - Contacter l’équipemen■ Pharmacie, cosmétique les sans garniture mécaniSalmson Savino Pierre Guerin Rutschi tier. ■ Produits laitiers que, expérience de plusieurs 10% 10% 13% 15% 15% 20% 40% 30% 50% ■ Traitement d’effuents décennies. 9 - Selon les applications. 10% 10% 15% ■ 20% Intégrateurs 13% 15% 7 - Des15% débits 20% 40% 15% 30% jusqu’à 74 m³/h 50% 30% ■ Autres secteurs10% 10% 10% et une hauteur de refoule20% 15% 15% 10% 10%ment maximum 10% de 35 m CE, 10% 10% 10% 20% 10% 17% 10% 10% motorisation10% % 10% de 0.37 10% kW à 10% 10% 10%5.5 kW, 10% IP 55 ou protection 20% caractéristiques10% 17% 10% 10% 10% 10% ADF selon EEx e II T3, avec techniques ou sans garniture mécaniques, Weir minirals X X X rder matériaux de construction acier inoxydable, Hastelloy C, Weir minirals X X X 10% 10% 10% 10% polypropylène et polyfluorure % 20% 20% 40% Les points 10% forts 10%de vinylidène, température 10% 50% 10% 10% 10% 10% 20% 20% de produit jusqu’à 100 °C, 40% 10% 10% 10% 10% 10% hauteur sous bride de20% 300 à 20% 10% 10% 4 000 mm. 60% 10% 20% 20% 20% 10% 10% % Les options 60% 8 ISO 9001 – 2008. 10% 60% 20% 20% 10% 10% 60% 9 - 12 mois.

%

X

50%

10% 10%

10%

5 - Débit jusqu’à 8 000 m3/h. Hauteur : 120 m maxi. Vaste Leroy choix de matériaux résistant à la corrosion et à l’abrasion : Alliages20% métalliques : 22 ; 30% Plastiques : 6 ; Céramiques : 2. 6 - Forte expérience (100 ans) 20% dans la corrosion (laboratoire 15% interd’essais). Implantation 15% nationale. 7 - Garniture d’étanchéité simple ou double, enveloppes Techniqueentraînement Fluides de réchauffage, magnétique, décharge hydro10% 10% dynamique. 10% 8 - ISO 9001/2000, 20% CE, ATEx. 10% 9 - 1 an de service. 10% 10%

MFVTA 10% 20%

20%

10

Travai

10% 1 10%

30%

10% 10%

X 10%

X

25%

20%

20% 65%

20


10% 10% 20% X

20%

X

10% 13% 12% 10% X

11% 10% 13% 10% 10% 10% 12% 10% 20% 25% 20% 20% 11%

25%

Abs

Abs

X 10% X

15% 20% 15% 10% 13% 34% 60% 12% 10% 10%

15% 10% 15% 15% 15% 15% 10% 10% 10%

11%

15%

34% 10% Alfa laval 25%

20%

60%34%

Alfa laval Abs

10% 60%

CSF

10%

15% 30%

CSF Alfa laval

10%

10%

10%

X X25%

25% 10% 15%

65% 10% 15%

40%

X

10%

X

10% 10% 10% 10% quE CHOISIR ? 10% 10% 10%

25%

40%

25% 10%

65% 15%

25%

Ensival

10%

25%

40%

10%

20%

16%Europumps Ensival 10%

15% Fluidcontrol 10% 10%

20%

Fluidcontrol Europumps

10%

30% 30% 10%

25% 10% 10%

Europumps

10%

Ensival CSF

25% 30%

65%

10%

24%

25% 15% 10% 20% 10% 15% 24% 30% 1 - HERMETIC Pumpen 20%

F

10%

10% 10%

Flux 20% Fluidcontrol

10%

10%

10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10%20% 15% 20% 20% 20% 10% 10% 24% 10% 20% 1 1 HYDRO FLuIDE Société 15% 10% 30% 10% 30 50% 16% 20% 40% 16% 10% 10% 2 Constructeur. 2 Constructeur. 2 Importateur Gorman10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 25% 10% 25% Rupp. 3 - Pompes et systèmes de 20%3 - Pompes 10% 10% 10% centrifuges étan15% 10% 10% 10% 20% 20% 15% 10% pompage à90% haute efficacité ches. 3 - Pompes auto-amorçan20% 30% 15% 50% 20% 10% Activité 90% 15% 50% 20% Glynwed Grundfos Hermetic Hydro Ingersoll ITT énergétique pour le génie clitesfluide pour liquides chargés. 10% 10% 70% - GRuNDFOS 10% 90%

10% 10%

Glynwed 20%

10%

10%

15%

15%

X 10% X

X

20%

10% 10%

70%

%

10% 15%

10%

15%

30%

10% 10% 15%

%

15%

4matique, l’adduction, la sur10%pression, le relevage et les 10% 15% process industriels. Grundfos Hermetic 20%Grundfos 10% Glynwed 450% 50% 10%

10%

10%

10% 50%

20%

20% 50%

10%15% 10% 45% 30% 10%10% 20%

45%

10%

30%

Hydro fluide Hermetic

15% 30% 10%

50%

Débits jusqu’à 10 000 m³/h - Pressions jusqu’à 10 bars. 10% 10% 20% 10% Passage libre de 76 mm. Ingersoll Hydro fluide 410% 10%

10% 20% 45% 10%

10% 10% 20% 10%

30%

30% 30%

10%

30%

10%

30% 40% ITT KSB IngersollEquipements ITT 30%

10% 10% 30% 40% 10% 10%

20% 30%40%

Principaux secteurs 30% (≥›10%) d’activité 20%

20%

20% 40% 30%

5 - Pompes totalement 10% étan10% S rotor noyé Pierre Guerin Rutschi PCB 30% Salmson 30%pour 30% 30% 20% 30% 10% 10% 30% 30% difficiles. Débit 1 200 m³/h, Hmt 1 000 m, 10% 15% 10% 10% 13% 15 20% d’eau fortement 20% 5 - 30% 40% De type normalisé ou température 50%5 - Pompage 25% de -180 à 10% Salmson Savino ■ Agroalimentaire Guerin chargée. Maintenance Rutschi 40%+480 spécifique àLeroy l’application, maxi préLeroy MFVTA20% ces PCB°C. Puissance Pierre Salmson Pierre Guerin Rutschi MFVTA PCB 20% 15% 15% ■ Armée, 30% pompes couvrent des besoins installée 1 000 kW. Pression ventive sur10% site. 10%Marine 20% ■ Brasserie, viticulture de quelques 10% 100 l/h à plus de PN 1 200 10% 15% de 13% 5 années, 15% 15% 10% 10% 10% 15% 10% 10% 20% 6 - Garantie % 13%10% 40% 20% 30% 50% 10% 15% ■ Chimie m³/h, pour30% des20% pres30% 1 000 25%6 - Protection de l’environne20% 40% 50% 10% 20% 17% plus de 3 000 modèles de 10% 25% 10 10% 10%10% 15% 10% 10% 10% 40% sions allant ■ Distribution d’eau 20% jusqu’à 50 bar. 40%opérateurs, usage pompes, plaque d’usure auto20% 20% ment et des 15% 15% 30% 20% 15% 10% 10% Moteurs équipés de variateurs ■ Laboratoire 30% 10% 10% intensif, maintenance très nettoyante. 20% de fréquence intégrés pour 15%réduite (le meilleur MTBF). ■ Métallurgie 10% 10% 10% 10% 15% 15% la régulation. Matériaux : 7 - Résistance chauffante, X X 15% Travaini ■10% Nutrition animale10%10% 10%10% 20%Weir minirals 10% 17%X Verder 15% Technique Fluides20% 10% 10% 10% 10% 20% 20% 17% 10% 10% 10% 10% 10% 7 - 10% Pompes de construction métallurgie adaptée aux Fonte, inox15% 304, 316, 316 L ■ Pétro-chimie spéciale sur demande. applications. ou titane. ■ Pharmacie, 10%cosmétique 10% 10% 10 10% 10% 10% 10% 10% 40%■ Produits 8 - ISO 9001, TÜV, 8 - ISO 10% 9001, ATEx. 20% 10%laitiers 10% 50% 10% ATEx, 10% 6 - Robustesse, fiabilité, 10%qua10% Weir minirals X X X 20% disponibilité nique Fluides lité, forte Travaini Verder Areva. X■ Traitement d’effuents X 20% Technique Fluides des Travaini Verder 9 - 5 ans. Weir minirals 10% 10% 10% 10% ■ Intégrateurs produits. 9 - 2 ans. 10% secteurs 10% 10% 10% 10% 10% ■10%Autres 10% 10%20% 10% 20% 30% dou10% 10% 7 - EFF1, 20% 10%10%10% 60% 10%10% garnitures 10% 10% 10% 10% 20% 40% 20% 10% 10% 10% 30% 40% 50% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 60% 10% 10% 10% 50% 10% 10% bles, entraînement magnéti10% 10% 20% 20% 20% 10% que,10% raccords spéciaux, joints 10% 10% 10% 10% 10% 20% haute performance, variation 10% caractéristiques 10% 30% 10% 10% de vitesse 60% 20% 10% 30% 10% capteurs 10% intégrée, 10% 20% 60% 20% 30% 10% techniques 10% 30% 10% 10% 10% 60% 10% 10% moteurs. X X X X 10%et10% 60% Xhydrauliques X 8 - ACS, ATEx, FDA, 3A, 10% 10% 10% 10% EHEDG, qHD, APSAD, ISO 10 10% 15% 20% 15% 20% 30% 25% 25% 40% 10% 10% 9001, ISO 14001. 10% 30% X X X Les points forts X X X X X X X X 10% 15% X 9 - 2 ans enX standard (exten10% 10% 10% 20% 20% sible sur certains modèles). 10% 10%10% 10% 10%

10%

10%

5%

Leroy

25% 65%

50% 10%

10%

MFVTA

20% 10%

25% 40%

20% 20%

15%

20%

40% 10% 15%

20% 20%

20% 65%

30% ches de10% type 10% applications

20%

10% 20%

20%

10% 30% 15%

10% 45% 10%10% 10% 15% 10% 25% 15%10% 10% 25% 30%10% 10% 10% 25% 10% 10%10% 10% 10% 20% 30% Les options 10% 10% 15% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10%10% 10% 10% 10% 25% 20% 10%10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 10% 20% La certification

20% 20% 30%

Les garanties

N°36 JANVIER-FéVRIER 2010 LE JOURNAL DES FLUIDES

1


X

10%

X

X

10% X

15%

que choisir ?

15% 15% % 10% 15% 10%

10% 15%

10% 10%

25% 65% 10%

15%

25%65% 15%

10% 25%

25% 30%

10% 10%

65%

10%

Abs

Alfa laval

30% 10% 10%

30%

10%

30% 10% 15% 25% 15% 10% 10%

10%

10% 10%

70%

25%

10% 10%

25%

X

10%

10% 10% 10% 10% 30% 30% 25% 40%

10% 40% 10%

25% 40%

X

X

10%

10%

10% 15%

90%

Ensival

Europumps

al

Europumps Ensival 10%

Fluidcontrol Fluidcontrol Europumps

Flux Flux

Fluidcontrol 10% Flux 10% 20% 24% 10% 10% 10% 10% 10% 16% 10% 20% 20% 40%10% 20% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 24% 20% 10% 30%16% 10%40% 16% 20% 40% 10% 1 10% - INGERSOLL-RAND 1 - ITT 10% France 10% 1 - KSB 10% 10% 15% 10% 10% 20% 10% 10% 10% Division ARO 30% 50% 10% 15% 10% 2 - Constructeur. 2 - Constructeur généraliste 15% 20% 10% 10% 10% 10% 2 - Constructeur de la pompe centrifuge. 15% de pompes15% 30% % 20% 3 - Matériel pour le transport 10% 15% 30% 50% ARO. pneumatiques 10%

20%

et le traitement de liquides clairs ou chargés. ITT 4-

3 - Pompes pneumatiques à Hydro fluide Ingersoll piston et à membranes. luide 4 - HydroIngersoll tic fluide

3 - Pompes centrifuges submersibles et de surface pour KSB adduction d’eau et traitement des eaux usées. KSB 20% 4 - 40%

ITT KSB ITT 10% 10% Ingersoll 30% 10% 40% 30% 10% 10% 20% 20% 40% 10% 10% 30% 10% 40% 20% 20% 40% 10% 30% 10% 45% 30% 10% 40% 20% 30% 30% 10% 10% 10% 20% 10% 30% 10% 30% 30% 30% 20% 20% 10% 30% 30% 0% 20% 30% 30% 30% 20% 5 - Pompes submersibles pour 20%

5 - énergie pneumatique. Pierre Guerin Rutschi

Salmsonde surface Savino liquides, pompes pour liquides clairs, système 5 - Robustesse et fiabilité Salmson Savino 6 - économie d’énergie (envie Guerin Rutschi uV, diffuseurs fines bulles. technique. Savino Salmson Pierre Guerin Rutschi B ron 35 % d’air en moins que 10% 15% 13% 15% 40% de vie 30% 50% les20% concurrents), durée 6 Haut rendement, fiabilité, 6 - Grande disponibilité de 10% 10% 15% 13% 15% 20% 40% 30% des membranes, distributeur matériel standard en stock. variantes (techniques, métal10% 15% 10% 20% 15% 15% 10% 13% 15% 20% 30% 50% 10% pneumatique quasi inusable. 40% 7 - 10% lurgique,…). 10% Liquides 20% 15% chauds, 15% KDF, 10% - Accessoires divers comme 10% peinture 10% 10% 10% 20% 10% 15%7 - Interchangeable et câbles10% spéciaux. avec la 15% 30% 720% 10%10% 17% 10% 10% 10% 10% 10% des produits installés. antipulsateurs, agitateurs, fil- 10%8 - ATEx, plupart 10% 10% CE, ISO10% 9001. 10% 10% 20% 17% tres produits, de 10%régulateurs 10% ISO 10% 10% 10% 10% 8 - CE, 10% ISO 9001, 20% 17% 10% 9 - 1 an sur pompes neuves 10% 10% 10% 10% pression produit, etc. 14001, ATEx, OHSAS après date de mise en serWeir minirals X X 18001. 8 - ATEx, FDA, XCE1945vice. 2005. X minirals X X 9 - 2 ans. Weir minirals X X er 10% 10% 10% 10% 20% X 9 - 5 ans. 20% 40%

10%

10% 10% 50% 60%10%

20% 40% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 20% 10%

10%

60%

20%

X

10% 10%

10%

60%

20% 10% X

10%

20% 20% 20%

10% 60%

60% 10%

10%

10% 10% 20% 20% 10% 10% 10% 10% 20%

X 10%

2

X

X

20%

20% 20% 10%

LE JOURNAL DES FLUIDES JANVIER-FéVRIER 2010 N°36

Grundfo

10%

10%

1 - LEROY-SOMER 20% 2 - Constructeur. 50% 50% 3 - Pompes centrifuges de 10% adduction/surpressurface, 10% sion, de forage, submersibles pour le relevage et l’assainissement des eaux usées et claires. Leroy 420%

10%

MFVTA 10%

30% 20%

20% 15%

15%

5 - Pompes d’adduction et Technique Fluides de surpression pour la distribution d’eau. Construction hydraulique moteur haut 10% 10%et rendement. 10% 20% 6 10% - Durabilité, économie d’énergie, rendement élevé. 10% 10% 7 - Variateur de vitesse, 10% 10% hydraulique en INOx 316L, différents choix de brides et raccords. 8 - CE, ISO X 9001, ATEx, ACS. 9 - 1 an. 10% 25%

20%

10%

Travain

10% 10 10%

30%

3

X 20%

20% 20%

10%

X

X X X 10% 10% 10% 45% 15% 30% 25% 10% 10% 10% 30% 10% 10% 10% 45% 15% 30% 10% 25% 10% 10% 10% 45% 15% 10% 10% 10% 15% 10% 30% 10% 10% 25% 10% 10% 10% 30% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 15% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 25% 10% 10% 10% 10% 10% 10%10% 10% 10%20% 10% 10% 10% 10% 10%25% 10% 10% 10% 10% 20%20% 10% 10% 10% 25% 10% 10% 10% 20% X

X

10% 10% 10% 10% 10% 20% 40%

Glynwed

20% 65%

20%


Abs

10% 10% 70% 10% Alfa laval 10%

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Grundfos

Grundfos

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Grundfos 50% 10% 50%

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quE CHOISIR ?

10% 10%

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10% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 20% 20% 20% 24% 10% 10% 10% 10% Europumps Fluidcontrol Flux 16% 20% 16% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 25% 25% 10% 10% 10% 10% 15% 20% 10% 10% 10% 20% 20% 10% 10% 24% 10% 15% 20% 15% 10% 30% 10% 20% 20% 10% 20% 16% 50% 15% 30% 10% 40% 90% 15% 20% 50% 20% 10% 10% 10% 10% 10% 15%

CSF

Hermetic

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Hermetic

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HermeticHydro fluide Hydro fluide

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10% 10% 10% 10% 20% 20% 10% 30% Ingersoll10% ITT 40%

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30%

10%

10%

KS

ITT

10% 30% 10% 20% 1 - MFVTA 1 - PCB 1 - PIERRE GuERIN Société 50% 10% 10% 15% 20% 10% 20% 40% 10% 10% 10% 10% 10% 45% 30% 10% 30% 2 - Développement et com2 - Constructeur et30% distribu2 - Constructeur et distribu- 40% 30% 30% 10% 30% 20% 10%10% 30% 30% 10% 2 30% 10% mercialisation de pompes teur marque CDR. teur (Packo). 30% 10% 30% 10% 50% 20% 50% centrifuges. 3 - Pompes centrifuges anti3 - Pompes centrifuges et Activité 10% 10% 3 - Pompes centrifuges ver- 30% corrosives. volumétriques. Sav 30% Salmson % 30% Guerin Pierre 10% centrifuges Salmson 30% 20% Leroy MFVTA PCB Guerin Rutschi Rutschi ticales, pompes Leroy MFVTA PCB Pierre 44horizontales à entrainement magnétique, pompes centrifu10% 15% 10% 10% 10% 13% 10% 10%50% 13% 15%15% 20%50% 20% ges30% Equipements 40% 20% 20% 40%Salmson horizontales multi-étagées. 25% 30% Savino 10% 25% Pierre Guerin Rutschi 10% eroy MFVTA PCB 40% 40% 20% 20% 20% 15% 415% 15% 30% 10%20% 10% 30%

%

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15% 20% 10% 5% Technique Fluides Travaini Technique Fluides

25% 20%

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10% 10% 15% 15% 10% 30% 10% 10% 10% 10% 10% secteurs 20% 10% 17% 10% Principaux 17% 10% 10% 10% 10% 10% 20% d’activité 15% (≥›10%) 15% 10% 10% 13%

15% 5 - Entraînement magnétique 5 - Jusqu’à 700 m³/h 20%Weir12 17%X 10% minirals revêtu ou PFA jusqu’à bars. Weir 10% 10% PP Verder minirals Travaini Verder

et

10% 10% X 10% 10% X

10% 10% 10% X 10% X

30 kW, entraînement magné6 - Conception et construction tique Inox jusqu’à 75 kW, 10% 10% 10% hygiénique, finition électro 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 10% 10% anti-corrosives10% ■ Agroalimentaire 5 - La pompe centrifuge horipompes PP 40%20% 40% 10% 10% 10% polie en standard, facilité de 50% 10% 10% 10% 10% Weir minirals X X X 10% 10% 10% 50% 10% 10% 10% que Fluides Travaini Verder 10% ■ Armée, Marine zontale RM permet des débits ou PVDF ou Inox jusqu’à 20% 20% 20% nettoyage, facilité10% de main■ Brasserie, viticulture 10% 10% de 10% 1 à 1 250 L/min et des 1 20010% m³/h. 10%qua10% tenance,10% délai, rapport 10% 10% 10% 20% ■ 10% Chimie hauteurs de10% refoulement de 5 % 10% 10% 10% 20% 6 Réactivité et conseils techlité/prix. 10% 30% 10% 10% 60% 40% 10% 10% 10% RM TS 30% 20% 60% 10% 10% 10% 20% à 6010% m.c.e. 20% ■ Distribution d’eau 50% courts,10% 10% niques, délais 10% Exécution 10% 30% rapport 30% 10% 10% 10% 10% 60% 20% 10% 10% 10% 60% 7 - Grand choix de garnitu-10% pour fonctionnement à sec. ■ Laboratoire 20% 10% qualité/prix. 10%res, variateur de vitesse, four10% ■ Métallurgie 20% 6 - Large gamme, qualité de 7 Option « marche à sec », certificats 3.1B, de 10% 10% nitures de20% 30% 10% 10% 10% ■ Nutrition animale 60% fabrication, innovation des 20% option enveloppe de réchaufrugosité. 30% 10% 10% % 10% 10% ■ 60% Pétro-chimie produits, exécutions spéciales, X X X X fage. X X X (suivant modèle), X■ Pharmacie, cosmétique X X X X X 8 - EHEDG fonctionnement à sec possible. 8 - ATEx 94/9, CE 98/37, CE, ATEx (suivant modèle). ■ Produits laitiers 10% 7 - Matériaux constructions 10% d’effuents 10% ISO 5199, ISO 2858. 10% 10% 10% 10% 15% ■ Traitement 20% 10% 15% 15% 20% 9 - 130% an. 15% 25% 20% 25% (PP , PVDF, Inox), joints 40%20% 30% 25% 25% 10% 10% 30% 40% 10% X X X Intégrateurs 10% 10% ■ 30%X X X X 9 2 ans. (FKM, EPDM, FEP, NBR), 10% 15% 10% 15% ■ Autres secteurs 10% 10% 10% alimentation mono ou tripha10% 10% 20% 20% 20% 10% 10%10% 10% 10% 10% 45% 10% 0% sée, motorisation de 0.06 kW 20% 15% 20% 15% 20% 10% 10% 30% 10% 25% 10% 25% 10% 10% 10% 10% 40% 10% 10% 10% 20% 30% kW, raccordements 10% 10% 25% 65% à 12.565% 20% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10%10% 20% 10% 20% 15% 20% (filetage, bride ou embout).20% 10% 10% caractéristiques 10% 20% 10% 10% 8 - ISO 9001 version 2000. 20% techniques 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 25% % 9 - 1 an. 10% 10% 10% 10% 20% 20%

Les points forts

Les options

La certification

Les garanties

N°36 JANVIER-FéVRIER 2010 LE JOURNAL DES FLUIDES


25% 15% 30% 10%

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que choisir ? 10%

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LE JOURNAL DES FLUIDES JANVIER-FéVRIER 2010 N°36

Grundfo

40% KSB 10%

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1 ITT - POMPES SALMSONKSB 1 - SAVINO BARBERA 30% 30% 20% 2 - Constructeur. 2 - Constructeur. ITT KSB 3 - Pompe centrifuge 20%nor- 40% 3 - Pompes et agitateurs anti40% malisée 30% sur socle pour appli- 20%corrosives en plastique. 40% Savino Salmson Rutschi cation 40% industrielle. 30% Pompe à 420%d’arbre canal latéral, à ligne 30% et 13% à plan de joint. Système 20% 10% 15% 15% 40% de surpression 30% 30% standard ou 10% 20% sur-mesure 30%l’industrie. 20% pour 15% 20%15% 10% et agiPompe submersible tateur immergé en10% assainis- 10% 10% 10% Salmson Savino sement. 17% 10% 10% 10% 10% 10% Salmson Savino 410% 15% 13% 15% 20% 40% 30% 5 - Pompes verticales et pom10% 15% 13% 10% 15% 20% 30%X Weir minirals40% X X pes horizontales pour liquier 50% 20% 10% 15% 15% 10% 10% des agressifs. Aucune partie 20% 15% 15% en contact avec le 10% 10% 10% 10% 10% 10%métallique10% 10% 10% 10% 20% 20% liquide. 40% 20% 17% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 50% 10% 10% 10% 10% 10% 20% 20% 6 -10% Pompes chimiques adap10% 17% 10% 10% 10% 10% 10% tées à la plupart des20% applica5 - Programme10% complet pertions industrielles. 60% 20% minirals X couvrir la quasiX - Les solutions techniques X 20% mettant de 5 10% 10% 60% Weir minirals X X multiples et le X 7 - Construction en PP, PVC, totalité des applications sur peuvent être PVDF, PE-HD. pompes centrifuges. matériel de la société répond 10% 10% 10% 10% 20% 10% 40% applications. 20%10% 10% 8 - ISO 9901/2000 et GOST10% 6 10% à de nombreuses 10% 10% 10% - Gammes standards offrant 20% 20% d’étude20% adapte les R (Russie). X 10% 10% un bon compromis technico-40%X Le bureau 10% 10% X X 10% solutions aux exigences des 20%20%9 - Selon les modèles et l’utiéconomique. 10% clients. 10% 10% lisation.20% 20% 7 - Sur-demande, grande sou20% 10%des 10% 10% 45% 10% 15% -15% Réactifs et proches 10% 10% 30%20% 60% 25% 6 60% plesse d’adaptation au besoin 20% 10% 10% 10% 30% 10% clients, solutions standards 10% 10% 60% 15% spécifique. ou spécifiques, mais 10% toujours 10% 10% 10% 8 - ISO 9001 version 2000,10% adaptées au besoin initial. 10% 10% 10% 10% 10% ATEx. X 10% X 20% 10% 7X -10% 25% Nombreuses options 10% 10% 10% 20% 9 12-24 mois. X X X (revêtementXCERAM, accouplement 10% 10% magnétique, moteurs 10% 45% 15% 30% 25% 10% ATEx…). 10% 10% 10% 10% 10% 45% 15% 30% 25% 10% 10% 10% 10% 8 ISO 9001, ISO 14001, 30% 10% 10% 10% 10% CE, ATEx, ACS… 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 9 - 2 ans minimum, extension 10% 10% 25% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 0%10% possible sur demande. 10% 10% 25% 10%

10%

10%

1 10% - POMPES RÜTSCHI uide Ingersoll 30% 2 Constructeur (Rütschi) et Hydro fluide Ingersoll distributeur (Aturia). 10% 10% 20% 320% - 10% Gamme complète de 10% 10% Pierre Guerin B 30% 10% horizonpompes centrifuges 10% 30% 10% tales ou verticales, de sur10% 10% face ou immergées. Jusqu’à 0% 20% 50%m³/h 10% 25 000 ; 1 500 kW à 30% % étanchéité d’arbre. Jusqu’à 30% 30% 30% 400 m³/h ; 150 10% kW à étanchéité absolue. Guerin Rutschi 20% 0% 4Pierre Guerin Rutschi

20%

10%

10%

10% 10% 20% 40% 10% 10% 10% 10% Ingersoll 10% Hydro fluide 10% ITT 20% 16% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 15% 20% 10% 15% 10% 10% 10% 10% 30% 20%15% 20% 30% 30% 10% 40% 15% 10% 30% 50% 20%

70%

10%

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50%

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1 - TECHNIquE DES 10% FLuIDES 2 - Importateur des marques Wilden, Jabsco, Lutz, Jesco, Leroy Flojet et Pan-World. 3 - Pompes centrifuges à 20% 30% entraînement magnétique, pompes centrifuges autoamorçantes, pompes centri20% fuges multi-étagées, pompes 15% pomcentrifuges15% normalisée, pes centrifuges 12/24 V, pompes centrifuges submersibles 12/24 V, pompes vide-futs. 4 - Technique Fluides 10% 10% 10%

20%

10%

MFVTA 10% 20%

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Travain

10% 10 10%

10% 10% 10% 10% 10%

5 - Débit de 5 L/mn à 1 000 m³/h, Hmt jusqu’à X 70 mCe, construction PP, PVDF, PTFE, Inox 316, fonte, bronze. 10% 25% 6 - Grande gamme de pompes à entraînement magnétique plastique d’un bon rapport qualité/prix. 65% 7 - Chambres d’amorçages. 8 - CE, ATEx. 9 - 1 an.

30%

X 20%

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Grundfos Hermetic

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Leroy MFVTA

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Hermetic Hydro fluide

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Hydro fluide Ingersoll 10%

Ingersoll ITT 10%

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ITT KSB

quE CHOISIR ? 10%

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Hydro fluide

30%

Pierre Guerin PCB

20%

30% 30%

Ingersoll

10% 10% 10% Pierre Guerin Rutschi

ITT

30% 30%

40% Salmson Rutschi 30%

30% 20%

30% Salmson Savino

KS

20%

10% 10% 20% 10% 15% 10% 10% 10% 13% 10% 10% 1 - TRAVAINI 1 VERDER 1 WEIR MINERALS Société 10% 10% 10% 13% 15% 15% 20% 20% 40% 20% 50% 40% 30% 50% 30% 25% 30% 30% 10% FRANCE 30%10% 10% 2 - Constructeur. 40% 10% 25% 2 - Constructeur 30% 30% 40% 2 des pompes 20% 20% 20% 15% 20% 15% 15% 30% Verdermag TB et u. 2 Distributeur des pompes 10% 30% 10% 10% 10% 3 20% - Pompes centrifuges monoHidrostal. étagées ISO 15% 2858 – DIN 15% 3 - Les pompes15% centrifuges 10% 10% 10% 10% 10% Activité 10% 15% Sav 17% Salmson 24256,20% pompes Verdermag TB à palier - Pompes roue Rutschi à vis 10% 20%Pierre3Guerin Leroy MFVTA 20% PCBet u, 10% 17% 15% 10% 10%à20% 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10% centrifuges 10% 50%

50%

unique et à compensation centrifuge. Installation en d’effet de fond10% sont construisubmersible, immersible et de 10% 15% 13% 15% 20% 20% 40% tes en25% fonte revêtue de E-TFE 50% surface. 10% Weir minirals X X X Equipements Weir minirals X X 40% Travaini Verder que Fluides Verder ou PFA avec pièces d’usure 420% 15% 15% 30% 10% en SiC (en standard) ou car10% 20% 10% 10% bone graphite. Le modèle TB 10% 10% 10% 10% 10% 10% 10%10% % 10% 10% 10% 10%10% 20% 15% 10% 10%10% 20% 20% 10% 40% 15% 40% 10% le10% transfert10% de flui- 10% 10% 10% 10%10% 50% 10% 20% 10%10% 10% 20% 50% 10% permet 17% 10% 10% 10% 15% 10%10% 10% 10% 20% 20% Principaux secteurs des chargés, produits chimi20% 10% 10% 10% 10% 10% jusqu’à 10% 10% ques avec particules d’activité (≥›10%) 20% 3.2 mm ou purs. 10% 30% 10% 10% 10% 10% 30% 10% 60% 10% 60% 20% 20% 20% 30% Verder Weir minirals X X 10% 10% 10% X 10% 10% 30% Travaini Technique Fluides 60% 10% % 10% 10% 60% 4-

%

multi-étagées, pompes centrifuges multi-étagées auto10% amorçantes. 30% Technique Fluides Travaini 20% 4-

10% 10%

10% 10% 10% 5 10% - Roue spécifique 20% brevetée 40% 10% 10% 10% ■ Agroalimentaire permettant de hauts rende20% XX X ■ X X Armée, Marine ments et évitant les10% bouchages. 10% 10% 3 ■ Brasserie, viticulture qu’à 45 m /h et 40 bars. 6 - 10% Faible coût d’exploita30% 10% 10% 10%10% à l’ISO 60% 10% 20% ■ 10% Chimie Conformité 10% 10% 10% 15% 15% 15% 45%20% 20% 25% 5199 & 20% tion, passage important, 15% 30% 20% 30% 10% 25% 20% 30% 10% 25%10% 10% 60%d’eau 25% libre 40% 10% 10% l’ISO 2858. ■ Distribution 40% 30% 10% 10% 10% 30% transfert délicat. 10% 15% 10% 15% ■ Laboratoire 6 - Robustesse, durabi10% 10% 10% 10% 7 - Construction ATEx, 10%10%■ Métallurgie centrifuges 20% 5 - Les pompes 20% 10% 10% lité et faible maintenance. 20% 20% 10% anti-abrasion. 10% métallurgie TB et u ont des débits 10% 10% 10% 10% 10% max 10% 10% ■ Nutrition 10% animale Adaptation du 10% 10% X 20% 65% aux exigences 10%X 25% X respectivement de 30010% m3/h 20%X 8 - ISO10% X X 10% 10% 10% ■ Pétro-chimie 9001, ISO 14001, 10% 10% 10% 20% X 20% client. 10% 20% 20% (TB) et de 85 m3/h (u), leurs OHSAS 18001, CE, ATEx. ■ Pharmacie, cosmétique 7 - Divers matériaux (fonte, hauteurs de refoulement sont 10% 10% ■ Produits laitiers 10% 10% 15% 20% 15% 9 12 mois (après mise en 20% acier 30% 25%inox AISI 316, hastel- 40% de 110 m et de 40 m. Elles 25% 10% 10% 10% ■ Traitement d’effuents 30% service) ou 18 mois (après loy…), divers montages de supportent une pression 10% ■ Intégrateurs 15% de mise à disposition). 10% garnitures mécaniques selon 10% 10% 21 bar et sont utilisables entre 20% 20% 10% 10% ■ Autres secteurs API, divers types de roues -29 °C et 120 °C. 10% 10% 10% 10% 20% 10% 10% 25% 65% (fermée, vortex …). 10% 6 - Convient aux liquides vola10% 10% 10% 20% 20% 8 - CE, ISO 9001/2000, tils, pas de cavitation, pas d’air ATEx. caractéristiques entraîné dans le fluide, pièces techniques standards en SiC remplaça9 - 1 an. bles, les particules ne peuvent pas entrer dans l’enceinte des aimants intérieurs, maintenance simple. Le modèle TB est Les points forts normalisé ISO 2858 ou ANSI 73.1. Taille max des particules : 3.2 mm (TB). 7 - Enveloppe de réchauffage, Les options variateur de vitesse, anti-marche à sec. 8 - CE, ISO 9001, ATEx, La certification ISO 2858 ou ANSI 73.1.

10% 10% 10%jus10% 5 - Pompes centrifuges 10% qu’à20% 500 m3/h et10% 15 bars, 10% X pompes Xmulti-étagées jus- X X 10%

10% 10%

50% XX

9 - 2 ans. Les garanties

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Produits phares Débitmètre à ultrasons Faure Herman complète sa gamme de débitmètres à ultrasons avec le FH8400. Ce nouveau débitmètre à ultrasons est dédié au comptage transactionnel de produits de faibles et moyennes viscosités. Il est adapté aux applications de transfert d’hydrocarbures, sur plateformes, pipelines, terminaux, postes de chargement et de déchargement, FSO, FPSO. Le principe de fonctionnement de ce débitmètre à ultrasons repose sur la méthode de la mesure de la différence du temps de transit des ultrasons. Il met en œuvre trois transducteurs qui sont amovibles en condition de service et associés à un convertisseur électronique compact. Ses avantages techniques sont la précision de mesure de +/- 0,15 % sur une grande plage de viscosité, la mesure multiproduits et bidirectionnelle, et la détection de phase. Disponible pour des tailles de 80 à 600 mm (3 à 24 pouces), le débitmètre à ultrasons est certifié OIML R117-1 / MID Classe 0.3.

cas, en dessous de la valeur légale exigée pour le rejet, et sa valeur en DCO est réduite de plus de 60 % par rapport aux procédés de traitement traditionnel. En 2008, c’est une nouvelle gamme d’évaporateur qui a vu le jour. Un look plus moderne, mais surtout une optimisation de l’installation pour une maintenance plus aisée et une consommation d’énergie plus faible. En 2009, c’est la nouvelle commande de pilotage qui vient parfaire la toute nouvelle gamme d’évaporateurs. Son écran tactile 10 pouces, la clarté de son design et de sa structure ainsi que l’absence de touches multifonctions, en permettent une utilisation intuitive. Grâce à ses nouvelles fonctions de programmation, le Vacudest devient une plus grande source d’économie puisque sont pilotés non seulement le Vacudest, mais aussi la totalité du matériel périphérique (cuves, neutralisation, etc.).

Evaporateurs sous vide

Pompe à membrane

La spécialité de la société allemande H2O est l’évaporation sous vide. Son produit phare : le Vacudest. Ce dernier est un évaporateur sous vide qui permet de traiter différents types d’effluents et qui offre la possibilité aux industriels de recycler le distillat obtenu pour fonctionner en rejet liquide nul. En 2007 est apparu sur le marché le Vacudest ClearCat. Il s’agit d’une technologie permettant de traiter les émulsions huileuses de manière sûre (émulsions de coupe usées, eaux de poteyage ou encore eaux de rinçage issues de procédés de dégraissage). Le distillat en sortie de traitement est clair et exempt d’huiles. Sa valeur en hydrocarbures se situe, dans la grande majorité des

La division ARO Fluid Technologies d´Ingersoll Rand complète sa gamme ARO EXP de pompes à membrane en y intégrant une pompe haute pression de trois pouces 2:1. Disponible en version acier inoxydable, la pompe PH30F est une solution pour toutes les applications imposant un transfert de liquides visqueux ou à forte teneur en matières solides à des pressions dépassant 6,9 bar. Ce sont notamment des applications d´élimination d´eau par filtre-presse, d´injection de coulis de céramique et de transfert de résine. En utilisant la surface effective des deux membranes en

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PRODU ITS PHARES

vue de doubler la pression produite, la pompe PH30F peut produire des pressions de débit de fluides allant jusqu´à 13,8 bar tout en maintenant un débit atteignant 590 litres/min. La pompe PH30F 2:1 peut aussi fournir des pics de pression dans les applications présentant des chutes de pression élevées en aval du système, ou lorsque la pression de l´air d´admission est inférieure au niveau d´exploitation souhaité. La pompe PH30F offre toutes les fonctions exclusives de la pompe Ingersoll Rand ARO EXP, dont les technologies de vannes brevetées SimulShiftTM et Quick DumpTM qui garantissent un fonctionnement sans calage et sans gel. En outre, en associant une conception à vissage robuste et des membranes alvéolées à longue durée de vie, la pompe PH30F garantit des durées de service accrues. la filtration ou la lubrification des circuits. Elle vise donc autant les applications industrielles que mobiles et elle est déjà introduite dans les domaines de l’automobile, les machines de fabrication des plastiques, les presses, les machines outils, et les éoliennes. Rexroth propose la série PGZ en 4 versions flasque/arbre d’entraînement. La pompe pourra être utilisée seule, mais aussi grâce à sa faible consommation, en combinaison avec la large gamme Rexroth de pompes hydrauliques. PGZ accepte des grades de viscosité importants et est silencieuse avec un bruit de fonctionnement à 1 450 tr/mn de seulement 60 dB.

Pompes hydrauliques La série de pompes PGZ du constructeur Bosch-Rexroth accepte des vitesses d’entraînement variables dans une large gamme de 200 à 3 000 tr/mn. La conception spécifique de son rotor (gerotor) permet d’optimiser le rendement pour toutes les applications hydrauliques à basse pression dans 8 cylindrées de 20 à 140 cm³. PGZ peut être facilement accouplée aux pompes en « solution Rexroth DvP » (vitesse d’entraînement variable). La nouvelle PGZ série 1X en conception gerotor, a été développée spécifiquement pour les applications sous faibles pressions jusqu’à 15 bar, telle que le refroidissement,

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Produits phares Pompes d’assainissement entraînées par des moteurs à rendement premium ABS présente ABS EffeX, une gamme de pompes submersibles entraînées par des moteurs à rendement premium qui réduisent la consommation énergétique et l’impact environnemental. La technologie de la gamme ABS EffeX résulte d’une conception plus robuste de la pompe et se traduit par moins de blocages et des coûts d’exploitations plus faibles. Répondant aux exigences de traitement des eaux usées, la gamme correspond à la législation à venir dans de nombreux pays, laissant envisager un rendement moteur supérieur pour les pompes submersibles. Son objectif principal est de fournir un fonctionnement fiable, comprenant des design innovants avec des marges de sécurité importantes et une meilleure résistance au blocage (passage libre d’au moins 75 mm). Intégrant le premier moteur à rendement premium IE3, conçu et testé conformément à la norme IEC 60034-30 (Norme de la commission électrotechnique internationale de 2008 définissant trois classes de rendement IE pour les moteurs à induction triphasés à cage, mono vitesse), en combinaison avec des hydrauliques optimisées, la nouvelle gamme ABS EffeX procure un bon rendement total.

et les détecteurs de débit et de niveau à dispersion thermique Thermatel séries TD/TG. Tous les produits hygiéniques Magnetrol ont été spécifiquement conçus pour procurer une fiabilité et une reproductibilité continue, même pour les applications les plus exigeantes. Ils ont tous reçu une homologation 3A et EHEDG pour utilisation dans des applications qui requièrent les niveaux de propreté les plus stricts et conviennent idéalement aux systèmes de nettoyage CIP et SIP. Au cœur de la famille de produits hygiéniques Magnetrol, on trouve l’Eclipse 705, un transmetteur à radar à ondes guidées. Avec plus de 6 000 installations réussies dans le monde entier dans des applications hygiéniques, l’Eclipse s’est révélé être l’instrument de mesure de niveau idéal pour de nombreuses entreprises dans le secteur des aliments et boissons, mais également dans les industries pharmaceutiques et biopharmaceutiques.

Membrane de filtration en matière plastique Mesure de niveaux de liquide Fournisseur d’appareils de mesure de niveau et de débit depuis plus de 75 ans, Magnetrol lance une gamme d’instruments de mesure de niveaux de liquides dédiés aux besoins des industries des sciences de la vie, ainsi que des aliments et boissons. Ce groupe de produits permet à l’entreprise de prendre pied dans les industries hygiéniques. Cette famille de produits hygiéniques a été conçue et développée à partir de standards exigeants. Le groupe de produits comprend les transmetteurs de niveau à radar à ondes guidées Eclipse 705, les détecteurs de niveau de liquide à ultrasons Echotel 960

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Pour son système portatif de purification d’eau LifeStraw Family, la société Vestergaard Frandsen a fait appel à la résine Ultrason E 6020 P, un polyéthersulfone (PESU) de BASF. Cette entreprise suisse fabrique des produits destinés à la prévention des maladies, principalement dans les pays en voie de développement. Dans les villages et les foyers, la transformation sur site de grandes quantités d’eau sale en eau potable, devient accessible grâce à la simplicité d’utilisation du dispositif en matière plastique LifeStraw Family. L’élément principal est un corps en matière plastique d’une trentaine de centimètres de long contenant des membranes de filtration en Ultrason E. Elles assurent une ultrafiltration (membranes UF) et retiennent les virus et les bactéries de l’eau sale de surface pouvant provenir de rivières, de lacs, de bidons de récupération d’eau de pluie ou même de flaques.


PRODU ITS PHARES

La résine hautes performances Ultrason E présente l’intérêt pour ces filtres de bien se prêter à la fabrication de membranes dotées de pores d’un diamètre précisément contrôlé, et donc de caractéristiques de filtration bien définies. L’emploi de cette station portative de purification diminue considérablement le risque de contracter une infection gastro-intestinale par ingestion d’eau sale. En plus d’être léger et facile à utiliser, le système LifeStraw Family est aussi bon marché. Il peut purifier sans problème au moins 18 000 litres d’eau sans nécessiter de batteries, d’électricité, de pièces de rechange, de produits chimiques ou de technologies complexes. L’eau ainsi purifiée a été testée et déclarée potable par l’EPA (Environmental Protection Agency), l’agence fédérale américaine chargée de l’application des législations environnementales.

illisibles à une certaine distance. Le « PG » d’ifm electronic est un manomètre à contact complètement électronique. L’appareil combine les caractéristiques d’un transmetteur de pression, avec une exactitude de 0,2 % sur le signal de sortie analogique (4… 20 mA), une sortie de commutation et la lisibilité d’un afficheur à aiguille. Le PG est basé sur une membrane céramique pure éprouvée sur de nombreux autres capteurs. ifm utilise le principe magnétique pour mettre en mouvement l’aiguille. Ce système est aujourd’hui employé dans les véhicules et sa résistance aux chocs et vibrations n’est plus à prouver. C’est pourquoi le remplissage d’huile n’est plus utile, contrairement aux manomètres à contact mécaniques. Sur l’afficheur, orientable, une couronne à LED montre les seuils d’enclenchement et de déclenchement, et les tendances. Les signaux de sortie et les fonctions du capteur peuvent être paramétrés via des boutons tactiles optiques et avec l’affichage LED. Le PG est proposé pour les gammes de pression de 100 mbar à 25 bar et approprié pour les applications sous vide. Son modernisme, son design aseptique et affleurant ainsi que sa protection IP 69K, font de ce capteur un outil fiable, sans usure, particulièrement adapté aux industries agroalimentaires et de process.

Transmetteur analogique avec affichage type « manomètre à contact » La nouvelle génération de capteurs de pression d’ifm electronic a souvent un affichage à LED ou LCD pour visualiser la pression. Ces valeurs sont difficilement lisibles ou complètement

Vanne de régulation KSB présente sa gamme BOA-CVE H qui vient compléter son offre de vannes de régulation. Destinée aux applications industrielles, la vanne peut être démontée en dévissant simplement la boulonnerie corps/chapeau, sans avoir besoin d’outils spéciaux, ce qui facilite les opérations d’entretien et/ou de remplacement des com-

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Produits phares posants internes, pour adapter, par exemple, la vanne à différentes tâches de régulation. Cette souplesse d’adaptation est encore accrue par le choix possible entre de nombreux diamètres de siège et de cône pour tous les diamètres nominaux. De par sa conception, il est possible d’utiliser le siège des deux côtés. Par conséquent, il n’est pas nécessaire de le remplacer immédiatement en cas d’endommagement ; il suffit de le permuter. Par ailleurs, en cas de besoin, on peut utiliser des cônes à étanchéité souple pour une étanchéité accrue. Autre avantage : les problèmes de cavitation et de bruit peuvent être résolus par l’installation de cônes paraboliques mais également de cônes perforés combinés avec des jupes perforées. En variante standard, l’étanchéité au droit de la tige est assurée par une garniture PTFE à joints chevron maintenue en pression par ressort. Dans le cas de températures plus élevées (> 250 °C), les garnitures sont en graphite pur. Une soupape de décharge, disponible en option pour les robinets supérieurs à DN 80, permet de sélectionner des actionneurs de petite taille, plus économiques. Les positionneurs sont électriques ou pneumatiques. Les positionneurs électriques standard sont prévus pour des signaux d’entrée et de sortie de 0/2 à 10 V ou de 0/4 à 20 mA. Les cas de régulation simples peuvent être en outre assurés par un système à trois positions. Les servomoteurs électriques sont disponibles en version 24 V ou 230 V. Les actionneurs sont disponibles, eux, en 4 tailles, avec des couples de manœuvre maxi de 14 000 N. Les actionneurs pneumatiques, de type à membrane, sont disponibles en trois tailles, avec un couple de manœuvre maxi de 20 700 N. De nombreux accessoires sont proposés pour ces actionneurs à membrane, tels que des transmetteurs de position, des électrovannes, etc. Les vannes BOA-CVE H (DN 20 à 150) sont réalisées en fonte à graphite sphéroïdal (JS1025) avec, au choix, une plage de pression nominale PN 16 ou 25.

Réducteurs HDO à arbres orthogonaux Avec l’arrivée des HDO 150 et HDO 160, la famille des réducteurs Bonfiglioli à arbres orthogonaux s’agrandit. Les couples maximum d’utilisation sont de 100 000 Nm pour le modèle HDO 150 et de 125 000 Nm pour le HDO 160, pour des rapports de réduction allant jusqu’à plus de 270/1. De conception modulaire, ils sont particulièrement silencieux (LpA≤85dBA). Ces HDO offrent aux utilisateurs un fonctionnement exempt de vibrations. Grâce à une simulation numérique réalisée avec des logiciels de calcul d’engrenages, d’analyse de système ou encore

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d’analyse vibro-acoustique, les épaisseurs de matière ont été optimisées et la quantité ainsi que la position des nervures internes ont été revues afin d’augmenter la rigidité de l’ensemble. Les modèles de tailles 130 à 160 sont constitués de 2 demi carters coupés dans le plan horizontal. Les engrenages sont rectifiés (qualité 6) et le fonctionnement des roulements a fait lui aussi l’objet d’une analyse afin d’optimiser leur choix et leur positionnement de manière à diminuer encore le bruit du réducteur. La compacité a été améliorée lors de la conception et du choix des sous-composants mécaniques. Les roulements choisis sont des SKF de type Explorer, qui permettent une charge supplémentaire de 15 % à volume équivalent. Plusieurs centaines de versions sont proposées au catalogue. Les réducteurs à arbres orthogonaux de la gamme HDO, existent en 7 tailles (de 100 à 160). Ils sont tous proposés avec de nombreuses options : brides de fixation, multiples sondes, arbres GV, systèmes de refroidissement (air/huile et eau/huile) ou de réchauffage et de nombreuses possibilités de « customisation » sont possibles. Les moteurs électriques proposés en complément sont disponibles au standard métrique ou pouce et les réducteurs sont également produits dans les deux systèmes. Ils ne nécessitent donc pas d’interface mécanique pour s’adapter d’un système à l’autre, ainsi le montage du moteur sur le réducteur se fait simplement tout en conservant une compacité optimale.

Débitmètres de comptage transactionnel GE Sensing & Inspection Technologies sort les deux débitmètres Sentinel LCT et Sentinel LNG. Sentinel LCT a été conçu pour le comptage transactionnel du brut et des produits pétroliers raffinés liquides. Sentinel LNG permet de mesurer précisément le gaz naturel liquéfié avec une meilleure précision que les mesures traditionnelles du niveau des navires et cuves. L’utilisation de la dynamique des fluides par modélisa-


PRODU ITS PHARES

tion numérique (computational fluid dynamics ou CFD) permet de garantir une grande précision, même dans les conditions où le débit évolue continuellement. Sentinel LCT est doté d’un certain nombre de fonctionnalités uniques et exclusives à GE, qui lui permettent de fonctionner indépendamment des changements de viscosité. Qu’il s’agisse de mesurer du carburant ou un brut lourd, la mesure du débit n’est pas touchée par les changements de viscosité, à la différence des débitmètres mécaniques qui doivent être éprouvés avec chaque changement de produit. Cela permet à l’utilisateur de gagner du temps et d’éviter des erreurs humaines, et de se passer complètement d’un spécialiste coûteux sur le site. Sentinel LCT utilise des diagnostics avancés pour réaliser des vérifications autonomes en continu et émet un avertissement en cas de problème. Un ordinateur de débit intégré permet de réaliser les corrections de pression, de température et de densité nécessaires selon API 11.1. Sentinel LNG est conçu spécifiquement pour mesurer le GNL cryogénique. Avec une incertitude de mesure de 0,2 à 0,25 % certifiée indépendamment, ce débitmètre peut remplacer des techniques de mesure du niveau des navires et des cuves. Lorsqu’une mesure de niveau exige plusieurs transducteurs de niveau, de pression et de température pour compenser les variations de densité, un seul appareil Sentinel LNG est requis pour mesurer le volume total au cours du chargement et du déchargement d’un navire ou des cuves. Les tableaux de piégeage des cuves et les facteurs de correction appliqués aux navires qui se déplacent sous l’effet des vagues sont désormais inutiles, ce qui permet d’obtenir une amélioration significative de la précision des mesures.

d’aluminium à haute résistance. Cette structure rigide et monobloc permet à Leroy-Somer de garantir un alignement précis des roulements et donc de maintenir un entrefer parfaitement concentrique sur toute la longueur du moteur. En outre, elle réduit le cogging. Le rotor et le stator ont été spécialement étudiés pour offrir une rigidité de l’arbre, une forte capacité de charge radiale et axiale, la possibilité de proposer le choix de plusieurs diamètres d’arbre. Les tôles magnétiques et les bobinages ont été conçus pour un bon rendement et une distorsion harmonique réduite. Les bobinages autorisent le fonctionnement sous des tensions 200-240 V et 400-480 V à des fréquences de découpage élevées. La conception modulaire des servomoteurs de la gamme Unimotor fm répond aux attentes des utilisateurs par de multiples possibilités d’adaptation mécanique et électrique : jusqu’à trois diamètres d’arbre, jusqu’à trois diamètres de bride, finition arbre claveté ou plein, exécution CEI ou NEMA, jusqu’à huit vitesses nominales, choix des retours vitesse (codeurs incrémentaux ou absolus 2 048 ou 4 096 ppt, sincos mono ou multi tours, technologie SLM, résolveur), gestion de l’espace…

Moteur autosynchrone pour systèmes d’entraînement servo Le servomoteur Unimotor fm, piloté par un servovariateur Digitax ST ou un variateur universel Unicrive SP de LeroySomer, est une réponse aux applications à haute dynamique. Associé à la gamme de servoréducteurs Dynabloc, il va couvrir une plage de couple élevée et permettre une grande compacité. Les nouveaux servomoteurs Unimotor fm, de protection IP 65 en standard, couvrent des besoins en couple de 0,75 à 410 N.m et disposent d’un couple crête élevé. Les carters sont moulés sous pression à partir d’une fonte

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Cahier juridique

La responsabilité contractuelle L’immixtion toujours plus importante des magistrats dans les contrats passés par les professionnels peut donner le sentiment à ces derniers que les conventions qu’ils ont conclues leur échappent. Il n’en demeure pas moins qu’en définissant précisément les obligations auxquelles ils se soumettent, et les sanctions attachées à leurs manquements éventuels, les professionnels limiteront l’aléa lié au traitement de leurs contentieux par les magistrats.

ce cahier juridique analyse : 1. les conditions dans lesquelles la défaillance d’un cocontractant est susceptible d’engager sa responsabilité 2. les cas d’exonération de responsabilité 3. les sanctions applicables en cas de manquements contractuels 4. les sanctions prévues par la loi et le juge 5. les sanctions prévues par les parties 6. le rôle du juge.

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C a h i e r j u r idique

1. Les conditions de mise en œuvre de la responsabilité contractuelle La simple déception d’un cocontractant ne suffit pas à engager la responsabilité contractuelle de son partenaire. La mise en jeu de la responsabilité contractuelle suppose, en effet, la réunion de plusieurs conditions. Ainsi, les juges requièrent 3 conditions pour admettre qu’un cocontractant voie sa responsabilité engagée. Ils exigent que soient démontrés une faute de la part du débiteur, un préjudice subi par le créancier et enfin, un lien entre la faute et le préjudice, appelé lien de causalité. Si l’une de ces trois conditions n’est pas satisfaite, les magistrats refuseront d’admettre la responsabilité de la partie mise en cause. - La faute se définit par la non exécution ou la mauvaise exécution de son obligation par la partie qui s’y est obligée. Il existe des degrés de distinction dans l’appréciation du caractère de cette faute, selon qu’elle constitue une faute grave ou légère, ou qu’elle revêt un caractère intentionnel ou non. Cette distinction présente un intérêt en cas de manœuvre frauduleuse ou de faute d’une particulière gravité dite « faute lourde », hypothèses dans lesquelles les clauses limitatives de responsabilité, si elles existent, ne pourront être appliquées. - Le préjudice est soit matériel (par exemple, perte d’une machine à la suite d’un incendie), soit corporel (travailleur brûlé suite à cet incendie), soit moral (souffrance psychologique). Il peut également consister en une perte ou un gain que l’une des parties aura manqué du fait de la faute de son cocontractant (dommage immatériel). - Enfin, le demandeur doit établir que le préjudice qu’il a subi a été provoqué par la faute de l’autre partie. Ce lien de causalité doit revêtir un caractère direct et certain, et comme il se peut que plusieurs causes aient pu générer le préjudice, les juges auront tendance à ne retenir que celle qui leur paraît la plus liée au dommage. L’idée est de ne pas faire supporter à un cocontractant des conséquences d’un dommage ne présentant qu’un lien trop indirect avec sa faute alléguée. Lorsque les trois conditions précitées sont réunies, la responsabilité d’un cocontractant sera engagée. Toutefois pour apprécier cette responsabilité, les

juges opèrent une distinction selon qu’une partie s’est engagée à atteindre un résultat (obligation de résultat) ou à mobiliser les moyens adéquats pour y parvenir (obligations de moyens). Lorsqu’une partie est débitrice d’une obligation de résultat, on considère qu’elle maîtrise les conditions de l’exécution de son contrat en en limitant l’aléa. Tel est le cas d’un entrepreneur qui a conclu un contrat de travaux avec un maître d’ouvrage.

Obligation de résultat et présomption de faute Le créancier d’une obligation de résultat n’aura qu’à démontrer que le résultat qui lui a été promis n’a pas été atteint pour mettre en jeu la responsabilité de son partenaire, sans que celui-ci puisse s’exonérer en justifiant de son absence de faute. Il y a donc présomption de l’existence d’une faute.

Lorsqu’une partie est débitrice d’une obligation de moyens, elle doit tout faire pour l’exécuter sans pour autant garantir un résultat. Concrètement, il peut s’agir d’un médecin généraliste qui ne peut assurer à son patient une guérison grâce à ses seules prescriptions. Le créancier d’une obligation de moyens doit rapporter la preuve de la faute de son cocontractant. Ainsi, un patient devra démontrer que tous les moyens n’ont pas été déployés par son praticien pour parvenir à sa guérison.

2. Les cas d’exonération de responsabilité Naturellement, le cocontractant défaillant tentera de s’exonérer de sa responsabilité, c’est-à-dire d’échapper aux conséquences qui résulteront de son inexécution. Pour ce faire, il lui appartiendra de démontrer qu’il a exécuté son obligation conformément à l’accord passé. Il est donc indispensable que les parties aient décrit, de façon suffisamment précise, leurs obligations. Le cocontractant défaillant pourra également s’exonérer en justifiant de circonstances qui l’ont empêché de s’exécuter. Ces circonstances – traditionnellement dénommées « causes d’exonération » – sont au nom-

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Cahier juridique bre de trois (force majeure, fait du tiers ou de la victime) et exonèrent, dans des conditions variables, le cocontractant de sa responsabilité. - La force majeure se définit comme l’impossibilité absolue d’exécuter son obligation en raison de circonstances insurmontables, imprévisibles et extérieures. Elle se rencontre le plus souvent en présence d’évènements naturels (tempêtes, orages, brouillard, neige, etc.), humains (émeutes, pillages, etc.) ou d’actes de pouvoirs publics (ordre de l’autorité). Lorsque la force majeure est à l’origine de l’inexécution d’une obligation, le contractant défaillant ne pourra voir sa responsabilité contractuelle engagée ; il sera totalement exonéré de son obligation de s’exécuter. Les évènements constitutifs d’un cas de force majeure sont toutefois rares, car ils doivent présenter des caractéristiques précises (irrésistibilité, imprévisibilité, extériorité). Un évènement irrésistible est celui qu’un individu normalement diligent ne peut empêcher, étant précisé que l’impossibilité de s’exécuter en découlant doit être totale et définitive. Le cocontractant défaillant doit néanmoins prendre toutes les mesures requises, quel qu’en soit le coût, pour éviter la réalisation de cet évènement lorsque celui-ci est prévisible (ainsi d’une tempête à l’origine de l’effondrement d’une grue alors qu’une procédure administrative d’alerte cyclonique avait été déclenchée, et que la grue aurait pu être démontée). Un évènement est imprévisible lorsque le cocontractant ne peut en prévoir la survenance. La jurisprudence admet restrictivement les cas dans lesquels

Le recours au contrat pour s’exonérer de responsabilité Des aménagements contractuels peuvent également permettre au cocontractant défaillant de s’exonérer de sa responsabilité et d’échapper aux conséquences juridiques de son manquement, notamment par le jeu de clauses prévoyant que sa responsabilité ne pourra être engagée qu’en raison de manquements expressément désignés.

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un professionnel peut se prévaloir de circonstances imprévisibles. Ainsi, l’hypothèse d’un vol à main armée n’est pas imprévisible pour un commissionnaire de transport, chargé de convoyer de l’argent. Enfin, un évènement ne sera qualifié d’extérieur que s’il ne relève pas de la sphère d’intervention du débiteur d’une obligation. Ainsi, le vice de la chose, ou son défaut, ne sont pas des cas de force majeure pour leur fabricant. - Le fait du tiers est l’intervention d’un tiers qui contribue à l’inexécution par un cocontractant de son obligation. Ce fait a une incidence variable selon qu’il est la cause exclusive du dommage, ou qu’il y a simplement contribué. Parfois, le fait du tiers est irrésistible et imprévisible pour le cocontractant ; il s’apparente alors à un cas de force majeure. La jurisprudence admet toutefois de plus en plus difficilement ce cas, afin de favoriser la victime d’une inexécution, notamment d’une obligation de sécurité. Le fait du tiers peut également contribuer à l’inexécution par un cocontractant de ses obligations, sans en être la cause exclusive. Le cocontractant reste alors intégralement responsable des conséquences de son manquement, à charge pour lui de se retourner contre le tiers coresponsable. Il convient de noter que dans le cadre d’opérations complexes nécessitant la réalisation simultanée de plusieurs contrats, le manquement d’un cocontractant à ses obligations pourra influer sur la bonne exécution de parties à un autre contrat. Cette inexécution constituera donc pour ces derniers le fait d’un tiers qui conduira à une exonération totale ou partielle de leur responsabilité. - Lorsque le fait de la victime, qui se prévaut de l’inexécution d’une obligation, est la cause exclusive de cette inexécution, la responsabilité du cocontractant défaillant ne pourra pas être engagée. En revanche, le fait de la victime qui a seulement contribué à l’inexécution de son obligation par son cocontractant, sans en être exclusivement à l’origine, constituera une cause d’exonération partielle à condition que ce fait soit constitutif d’une faute. Il y aura alors concours de cause du dommage : le cocon-


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tractant défaillant verra sa responsabilité réduite en fonction de la gravité de la faute de l’autre partie.

La prescription des actions en responsabilité La « victime » d’une inexécution ne pourra indéfiniment engager la responsabilité de son cocontractant. En effet, son action est enfermée dans un certain délai, au-delà duquel elle sera prescrite, et de ce fait irrecevable. Depuis la réforme en date du 17 juin 2008, ce délai est de 5 ans en matière contractuelle et en matière commerciale. L’article 2254 du Code civil a néanmoins élargi les possibilités d’aménagement contractuel de la prescription, en prévoyant que les parties pouvaient, d’un commun accord, en abréger ou en allonger la durée, sans que la prescription puisse être réduite à moins d’un an, ni étendue à plus de dix ans. Il est à noter que la prescription court à compter du « jour où le titulaire d’un droit a connu ou aurait dû connaître les faits lui permettant de l’exercer ». Ainsi, le point de départ de la prescription en matière contractuelle est le jour où la partie, victime d’une inexécution, est avisée du manquement de son cocontractant, ou aurait dû être en mesure de le constater (par exemple, la date de la délivrance de marchandises défectueuses). La loi du 17 juin 2008 a toutefois instauré un délai butoir de 20 ans, à compter du jour de la naissance du droit, au-delà duquel toute action est en principe impossible.

3. Les conséquences de la responsabilité contractuelle Le manquement d’une partie à ses obligations, dans le cadre de l’exécution d’un contrat, expose cette dernière à différents types de sanctions. Certaines sanctions sont l’œuvre du législateur et de la jurisprudence, d’autres sont le résultat des discussions intervenues entre les parties et figurent expressément dans la convention régularisée entre celles-ci.

- Les sanctions prévues par la loi et le juge En ce qui concerne les sanctions prévues par la loi et la jurisprudence, on peut, en premier lieu, identifier l’exception d’inexécution, qui est une sanction de nature privée. Elle émane de l’une des parties qui va se faire temporairement justice en refusant d’exécuter les obligations qui étaient à sa charge, en raison des manquements de son propre cocontractant. Ainsi, dans le cadre d’un contrat de vente l’acquéreur peut-il refuser de payer le prix convenu tant que l’intégralité de la marchandise ne lui a pas été remise. Cette mesure a pour objet de contraindre la partie défaillante à exécuter ses obligations sans recourir à la voie judiciaire. Il ne s’agit cependant que d’un outil de pression temporaire susceptible d’être soumis au contrôle du juge, qui, une fois saisi, pourra en apprécier le caractère justifié. Si la partie défaillante persiste dans son refus d’exécution, il est possible pour le cocontractant lésé de solliciter : - la résolution de son contrat, c’est-à-dire son anéantissement rétroactif (si c’est un contrat à exécution immédiate, comme le contrat de vente), - et la résiliation de celui-ci, c’est-à-dire sa disparition pour l’avenir (si c’est un contrat à exécution successive, tel que le contrat de bail). En plus de ces sanctions, le demandeur pourra solliciter l’octroi de dommages et intérêts venant indemniser le préjudice qu’il a subi du fait des manquements de la partie adverse, en application de l’article 1147 du Code Civil.

La réparation des seuls dommages prévisibles L’article 1150 du Code Civil dispose que seuls les dommages prévisibles – ayant pu être anticipés au moment de la conclusion du contrat – peuvent faire l’objet d’une indemnisation. une partie ne peut, en effet, réparer les préjudices dont elle n’était pas en mesure de soupçonner la survenance.

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Cahier juridique - Les sanctions prévues par les parties Les parties peuvent, par ailleurs, organiser elles-mêmes les sanctions de l’inexécution de leurs obligations. Ainsi, leur est-il possible de prévoir au contrat des clauses pénales fixant, de manière ferme, définitive et limitative, les sommes pouvant leur être allouées en cas de manquement contractuel. Quelle que soit l’étendue du dommage subi par la victime, celle-ci verra son préjudice indemnisé de manière forfaitaire par son cocontractant. Néanmoins, la jurisprudence a octroyé aux tribunaux un droit d’immixtion dans le contrat en leur permettant d’augmenter ou de diminuer l’indemnité prévue lorsque la clause pénale crée un déséquilibre trop important au détriment d’une des parties.

quelle est la validité des clauses limitatives ou exclusives de responsabilité ? Les parties peuvent également limiter ou exclure leur responsabilité aux termes de clauses limitatives ou exclusives de responsabilité. Le législateur a néanmoins encadré ce recours dans de nombreux domaines (garantie des vices cachés, transport aérien). Par ailleurs, la validité de ces clauses peut également être remise en cause lorsqu’elles heurtent l’équité. Ainsi la faute lourde ou le dol du débiteur défaillant sont de nature à faire échec à leur mise en œuvre. De même, les clauses permettant à l’une des parties d’échapper aux conséquences du manquement à l’une des obligations essentielles du contrat sont censurées par les tribunaux.

4. Le rôle du juge Alors même que les parties pensent avoir suffisamment encadré leur contrat, de nouvelles obligations sont susceptibles d’être mises à leur charge par le juge en cas de contentieux relatif à son exécution. En effet, le juge n’est pas forcément lié par les termes du contrat ; il peut mettre à la charge des parties des obligations qu’elles n’avaient pas prévues, en partant de l’hypothèse qu’elles sont implicitement requises par l’exigence de bonne foi. Il peut également

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modifier les obligations que les parties avaient choisi d’exécuter. - Ainsi, en cas de clause stipulée d’une manière obscure et ambigüe, le juge doit l’interpréter en faveur de la partie qui a contracté l’obligation (article 1162 du code civil : « Dans le doute, la convention s’interprète contre celui qui a stipulé et en faveur de celui qui a contracté l’obligation. »). Cela se vérifie notamment en droit de la consommation, où les clauses sont interprétées en faveur du consommateur. - Par ailleurs, dans le cas où les parties ont souhaité insérer dans le contrat une clause limitative de responsabilité, celle-ci pourra être déclarée non-écrite lorsque la partie qui s’en prévaut a manqué à l’une de ses obligations essentielles. Si une entreprise qui se fait fort d’acheminer du courrier en des délais très courts manque à cette obligation essentielle, et qu’elle invoque la clause qui viendrait limiter sa responsabilité, elle devra malgré tout payer à ses clients une somme équivalant à leur préjudice réel. - Au surplus, si le juge constate que les conditions d’exécution d’un marché forfaitaire - dont les prix sont en principe intangibles - ont connu un bouleversement tel qu’elles ne sont plus identiques à celles existant lors de la conclusion du contrat (nombreuses modifications apportées à un marché initial, concernant le volume et la nature des prestations fournies), il pourra admettre que le prix des prestations soit corrigé, à la hausse ou à la baisse. Il convient néanmoins de relever que le caractère imprévisible des évènements à l’origine de ce bouleversement ne justifie pas, à lui seul, que le juge corrige le prix d’un marché forfaitaire. - De surcroît, le juge écartera des contrats conclus entre des professionnels et des consommateurs, les clauses caractérisant un abus de puissance économique de la part du professionnel (clauses abusives). Le caractère abusif d’une clause s’apprécie en se référant à toutes les circonstances qui entourent la conclusion du contrat litigieux. - Enfin, outre les obligations explicitement listées dans le contrat, les juges ont mis à la charge des parties des obligations qu’elles n’avaient pas forcément


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prévues (obligations d’information, de conseil ou de sécurité). En effet, la jurisprudence reconnaît que les cocontractants peuvent parfois être tenus à de telles obligations, considérées comme inhérentes à l’objet du contrat en cause. Par exemple, la SNCF est tenue de faire en sorte que les clients empruntant son réseau ferré bénéficient d’une sécurité optimale durant leur trajet. Cette obligation de sécurité est une obligation de résultat qui impose au transporteur de démontrer que le dommage de la victime, qui lui reproche de n’avoir pas été conduit sain et sauf à destination, est dû à l’une des causes d’exonération précitées. L’immixtion toujours plus importante des magistrats dans les contrats passés par les professionnels peut donner le sentiment à ces derniers que les conventions qu’ils ont conclues leur échappent. Il n’en demeure pas moins qu’en définissant précisément les obliga-

tions auxquelles ils se soumettent, et les sanctions attachées à leurs manquements éventuels, les professionnels limiteront l’aléa lié au traitement de leurs contentieux par les magistrats.

Une obligation d’information à géométrie variable Les parties sont tenues de coopérer en s’informant mutuellement lors de la formation de leur contrat (obligation d’information et de conseil). Les professionnels sont notamment tenus d’aviser leurs clients en anticipant leur ignorance légitime et en attirant leur attention sur tel ou tel problème qui ne leur viendrait pas immédiatement à l’esprit. Le degré d’information diffère selon la nature du contrat et les compétences des parties. Dans le cas d’un rapport professionnel / non professionnel, elle sera naturellement plus importante.

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Par ution Web WWW. Applications industrielles des capteurs Le premier élément de la chaîne de mesure est le capteur. La grandeur physique à mesurer lui est directement appliquée. Le terme de sonde est plutôt réservé à l’élément du capteur situé localement au point de mesurage. à l’autre bout de la ligne de transmission, le récepteur adapte le signal à l’unité de traitement, le plus souvent numérique. Actuellement, de nombreux capteurs à électronique incorporée sont en réalité des ensembles capteur + transmetteur. Des capteurs sont directement raccordables à un réseau comme ethernet (transmission série rapide multi-point) ou communiquent par liaison sans fil. « Applications industrielles des capteurs » est un guide sur le choix des capteurs. Cet ouvrage est constitué de quatre volumes. Chaque volume commence par une présentation des principes technologiques fondamentaux et est suivi de modules thématiques représentant neuf secteurs industriels différents. Le premier volume concerne l’environnement, l’agroalimentaire, la sécurité alimentaire, la domotique, les loisirs et les télécommunications, le deuxième s’intéresse au secteur médical, à la chimie et la plasturgie. Le troisième volume concerne la sécurité, la défense et l’aéronautique, le quatrième traite de l’automobile et de l’énergie. Illustré d’exemples détaillés, cet ouvrage expose le choix et les limitations des capteurs. Il permet de mieux discuter avec un fournisseur et de mieux appréhender les contraintes de votre environnement. Ces modules peuvent être consultés de différentes manières grâce aux classements : par secteur industriel, par mesurande, par technologie. Titre : Applications industrielles des capteurs Auteur : André Migeon Éditeur : Hermes Science / Lavoisier

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Afssa.fr : la sécurité sanitaire des aliments

L’Afssa – Agence Française de sécurité sanitaire des aliments – est un établissement public indépendant de veille, d’alerte, d’expertise, de recherche et d’impulsion de la recherche qui contribue à la protection et à l’amélioration de la santé publique, de la santé. L’Afssa propose des solutions pour augmenter la performance de la décision publique et garantir un niveau de sécurité satisfaisant dans ses domaines d’expertise. L’Agence se trouve ainsi à la tête de missions opérationnelles parfaitement identifiées dont celles d’évaluer les risques et les bénéfices sanitaires et nutritionnels, de recommander des mesures de protection sanitaire, de conduire et d’impulser des travaux de recherche au niveau national, d’assurer la référence en matière de laboratoires ainsi que la veille, la surveillance et l’alerte et enfin de conduire des actions de formation et d’information. Créée en avril 1999 à la suite de différentes crises sanitaires, l’agence est placée sous la tutelle des ministères de la santé, de l’agriculture et de la consommation. Elle représente la France auprès de l’Agence européenne de sécurité des aliments. Sur le site Internet de l’agence, les rubriques « Actualité », « Nos rendez-vous » et « Magazines » tiennent informés les internautes. Mais le plus important pour les pressionnels restent les recommandations accessibles sur le site, comme par exemple la teneur en sel des aliments qui intéressera ceux qui œuvrent dans la filière agroalimentaire.

www.afssa.fr


Agenda Février

Juin

LES 1 ET 2 FEVRIER 2010 Biosquare, salon international des biotechnologies Genève – Suisse Tél. : 04 78 92 70 13 E-mail : karen.hilaire@biosquare.com Site Web : www.biosquare.com

DU 1 AU 3 JUIN 2010 Sepem Industries Est, salon des services, équipements, process et maintenance pour l’Est de la France Colmar – France Tél. : 05 53 49 53 00 E-mail : contact@even-pro.com Site Web : www.sepem-industries.com

DU 3 AU 5 FEVRIER 2010 Analyse industrielle, salon de l’analyse industrielle des process, des rejets gazeux, des gaz et de l’eau CNIT – Paris La Défense – France Tél. : 01 76 77 11 11 E-mail : info@comexpo-paris.com Site Web : www.analyse-expo.com

DU 1 AU 3 JUIN 2010 Pipeline Transport, salon de la fabrication des tubes et tuyaux et de leur utilisation dans l’industrie Kiev – Ukraine Tél. : (+380) 44 200-8091 E-mail : sv@ntk.kiev.ua Site Web : www.paton-expo.kiev.ua/fairs_en.php

Mars

Septembre

DU 9 AU 11 MARS 2010 CFIA, salon professionnel réunissant équipementiers, fournisseurs et prestataires de services de l’industrie agroalimentaire Rennes – France Tél. : 05 53 36 78 78 E-mail : nhennebique@agor.net Site Web : www.cfiaexpo.com DU 22 AU 26 MARS 2010 Industrie, salon des professionnels des technologies de production Paris – France Tél. : 01 44 31 83 31 E-mail : industrie@gl-events.com Site Web : http://www.industrie-expo.com LES 24 ET 25 MARS 2010 PCH Meetings, convention d’affaires des industries pharmaceutique, chimique et pétrochimique Espace Tête d’Or de Lyon – France Tél. : 01 41 86 41 86 E-mail : pchmeetings@adhes.com Site Web : www.pchmeetings.com

Avril

DU 19 AU 23 AVRIL Hannover Messe, salon international des industries et des techniques Hanovre – Allemagne Tél. : +49 (0)511 89 0 E-mail : info@messe.de Site Web : www.messe.de

DU 28 AU 30 SEPTEMBRE 2010 Sipec, salon de l’industrie pharmaceutique et cosmétologique Orléans – France Tél. : 02 38 95 25 00 E-mail : administration@sipec.net Site Web : www.sipec.net

Octobre

DU 5 AU 7 OCTOBRE 2010 CEPI, carrefour des équipements pour les process industriels Eurexpo Lyon – France Tél. : 01 44 31 82 33 E-mail : frederic.furmanek@gl-events.com Site Web : www.cepi-expo.com

PROCHAINS Rendez-Vous

N°37 Mars-Avril

Enquête

Les liquides pharmaceutiques

Que choisir ?

Dosage et remplissage

Cahier Juridique

Propriété industrielle : le cas des brevets

N°36 janvier-février 2010 LE JOURNAL DES FLUIDES

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Index RÉPERTOIRE DES ANNONCEURS ABS

IV de couv

ALFA LAVAL

p. 5

ANJOU POMPES

p. 11

CEERI YTRON CFIA

p. 9 III de couv

DONADON SDD SRL

p. 41

FLUX FRANCE

p. 37

IPA

p. 50

ITT

p. 6

PNR

p. 7

POLLUTEC POMPES GRUNDFOS

p. 13 II de couv

POMPES GUERIN

p. 17

WATSON MARLOW

p. 4

ZIEMANN

Éditions Fitamant – Rue Menez Caon – BP 16 29 560 Telgruc-sur-Mer Gérant Directeur de la publication, principal associé : Jacques Fitamant Rédaction Rédacteur en chef : Jacques Fitamant Tél. : 02 98 98 01 40 redac.chef.fluides@fitamant.fr Rédacteur Olivier Roussard redac.fluides@fitamant.fr Ont collaboré à ce numéro Gaël d’Argentré, Georges Filleau-Laporte, Bill Menz, Charlotte Roger. Mise en page Sonia Seznec Publicité Chef de publicité : Yann Le Besco Tél. : 02 98 98 01 44 – pub.fluides@fitamant.fr Assistante commerciale Véronique Walliser – Tél. : 02 98 98 01 40 pub@fitamant.fr Développement abonnements & diffusion Emmanuelle Le Meur – Tél. : 02 98 98 01 40 dev.com@fitamant.fr Abonnements et vente au numéro Tél. : 02 98 27 37 66 – abo@fitamant.fr Tarif vente et abonnements Prix du numéro : 14 € Prix de l’abonnement (6 numéros par an) France : 1 an 75 € Europe : 1 an 85 €

50

LE JOURNAL DES FLUIDES janvier-février 2010 N°36

p. 19

Le Journal des Fluides est édité par les Éditions Fitamant SNC au capital de 7 623 € 29 560 Telgruc sur Mer - France ISSN : 1765-4963 Registre du Commerce de Quimper B 388 019 820 N° TVA intracommunautaire : FR 11 38 80 19 820 AIP 0000833 Imprimé en Belgique par Kliemo Sauf accords spéciaux, les manuscrits, textes et photos envoyés à la rédaction ne sont jamais restitués. Toute représentation ou reproduction intégrale ou partielle faite sans le consentement de l’éditeur est illicite (art. L122-4 du code de la propriété intellectuelle). Toute copie doit avoir l’accord de centre français de droit de copie (CFC) 20 rue des Grands Augustins – 75006 PARIS Tél. : 01 44 07 47 70 Fax 01 46 34 67 19. Sauf stipulations contraires, tout document, cliché ou photo confié à la rédaction devra être libre de toute contrainte (y compris financière, redevance, droits…) pour lui en permettre l’édition sur tout support, y compris électronique. Le magazine décline toute responsabilité quant aux manuscrits et aux photos qui lui sont envoyés. Les informations contenues dans ce magazine sont placées sous la responsabilité de leurs auteurs. L’éditeur décline toute responsabilité en cas d’insertion erronée ou défectueuse. L’annonceur est seul responsable des informations transmises au support.


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