Le plus fondamental, Le plus instinctif.
Point de vue
Essence
Introduction
Qu’est-ce qui est le plus fondamental ? Qu’est-ce
qui est le plus instinctif ? Ces deux questions mènent à la base. Aujourd’hui, beaucoup d’artistes expriment diversement des œuvres avec chaque philosophie. Leurs œuvres ont basé la philosophie donc elles sont aimées de tout le monde. Et ils font une forte impression sur l’esprit des gens. Leur caractère a bien gardé une essence. En ce cas, d’où vient - elle ? Elle attire seulement les yeux d’artiste ? Non, les artistes concentrent le quotidien des gens et d’eux-mêmes, ils recherchent l’essentiel en posant des questions infinies. Pour les artistes, la concentration devient bientôt leur curiosité, la question devient bientôt leur chemin et l’essence devient leur philosophie. Dans le film <La Grande Beauté> (La Grande Belleza), il exprimait son chemin qui pose questions infinies, Finn Juhl et Dieter Rams montraient‘Le plus fondamental’ou‘Le plus instinctif’par leur meuble et électroménager .Les œuvres meuvent l’esprit et le cœur de spectateur. Dans ce corpus, les œuvres ne sont pas somptueuses. Elles savent bien pour un inutile, donc elles ne le montrent pas sur leurs œuvres. Seo-Won PARK qui est directeur créatif, il concentre le but de publicité et il donne un message qui est simple et vigoureux.
Et aussi, j’ai analysé particulièrement leur point de vue et philosophie. Alors même que leurs essences ressemblent les unes les autres, mais elles expriment différemment par les points de vue. John Giorno est un Poète, se fait remarquer par ses idées et ses points de vue divers. Karajan donnait aussi des œuvres dépaysantes dans la vue qui est différente des autres. C’est le corpus tisse le point de vue divers et l’essence diverse. C’est un regroupement d’artistes qui font un objet formé par l’essence. Les artistes ne sont pas ostensibles, mais, ils sont des gloires de chaque domaine. Et leurs œuvres sont différentes, mais elles convergent une essence ou un point de vue nouveau. Donc, on peut recevoir plus fortement l’énergie de la communication. Aussi, on se souvient des points de vue. Dans le cas Mark Rothko, il pensait la distance entre le spectateur et l’œuvre. Il a dit qu’il faut supprimer un obstacle. Je crois qu’il voulait créer une atmosphère pure à cette époque. Pour cette raison, je crois que les artistes questionnent, recherchent, l’essence en supprimant les choses inutiles, et ils montrent un point de vue nouveau. Donc je regarde les œuvres formés par l’inconscient dans le détail dans ce corpus.
Finn Juhl
sommaire
Sol Lewitt
Mark Rothko
Peter Zumthor
Dieter Rams
John Giorno
Seo-won PARK
La Grande Bellezza
Herbert von Karajan
Mark Borthwick
Le plus beau fauteuil
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Finn Juhl Finn Juhl est un architecte et designer danois. Il est né le 30 janvier 1912 à Frederiksberg, mort le 17 mai 1989 à Ordrup. Il a eu un rôle important dans le design danois des années 40. Il a étudié l’architecture donc ses œuvres ont été différentes contre des meubles existants. Les œuvres ont attiré l’attention de public aux États-Unis dans l’exposition ‘Good Design’.
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Pelican Chair 1940
Conseil de tutelle de lâ&#x20AC;&#x2122;ONU en 1952
Finn Juhl avec Niels Vodder
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Finn Juhl a exposé le fauteuil Pélican (Pelican chair) pour la première fois. Au début, tout le monde a critiqué le fauteuil qui est comme un éléphant de mer fatigué. Mais plus tard, les gens l’ont aimé beaucoup, parce que son design était un peu inconnu au début, mais après, tout le monde a connu qu’il était un fauteuil commode près du corps. Le fauteuil a la belle courbe et il est confortable. Quand j’asseyais dans l’exposition, la pente et la position d’accotoir étaient très confortables. Surtout, j’avais l’impression d’une À l’occasion de l’expositiédeur par l’étoffe qu’il a choition, Finn Juhl a pu dessisie. Toutes les lignes sont lisses. ner une salle de Conseil de Il soignait beaucoup des détails. tutelle de l’O.N.U en 1952.
Finn Juhl a accompagné un artisan qui matérialisait son design. Il est Niels Vodder. En ce temps-là, les designers se sont distribué les rôles vers un designer ou un artisan. Finn Juhl a cherché les artisans, mais ils ont rechigné à faire accompagner de lui parce qu’il était très strict. Mais Niels Vodder en a accepté. Donc Finn Juhl a pu faire sa belle œuvre avec Niels Vodder.
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45 chair 1945
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Le nom est 45CHAIR parce qu’il a fabriqué en 1945. Il est un premier fauteuil qui a le dossier sans un cadre. Beaucoup de monde dit, ‘Le plus beau fauteuil du monde. ’, ‘Une mère de fauteuil moderne.’. Il a une chose qui est très spéciale. On doit concentrer l’accotoir et les côtés. Cet accotoir est en bois et il s’est rehaussé plus doux comme un tissu. Mais il faut le voir à côté du fauteuil. Cette partie était très impressionnante pour moi. Ça m’a évoqué la sculpture, Henry Moore. La partie de la sculpture qui semble un os de corps, était très impressionnante. Je le sentais par la voûte plantaire et après je touchais ma voûte plantaire. C’était un peu bizarre, mais j’avais l’impression de confortable. L’accotoir et la partie, ils me donnaient la même impression.
Puis j’ai l’impression de confortable. C’est un peu bizarre, mais c’est l’accotoir suggestif évidemment. En ce tempslà, le 45CHAIR était très exceptionnel qui a les courbes en échappant à la méthode classique. Il s’est jugé un chef d’œuvre dans l’histoire de design et tout le monde a fait l’éloge de ce fauteuil qui est parfait pour le design et la fonction aussi.
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Chieftain chair 1949
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C’est CHEFTAINE fauteuil. Le fauteuil s’est inspiré l’arme et l’outil primitif d’Afrique. Donc il a l’apparence excellente comme un chef. Et il est grandiose, il est plus grand que les autres fauteuils.
C’est le célèbre fauteuil que Frédéric IX de Danemark s’est assis dans l’exposition. Le jour d’après, Finn Juhl l’a appelé ‘Le fauteuil du roi’ ou ‘Le grand fauteuil’. L’étonnant est qu’il le fabriquait pendant un jour. C ‘est très excellent. Parce que j’ai pensé que la fabrication de fauteuil est de bâtir un petit bâtiment. Ce fauteuil est spécial entre ses œuvres et il est important pour lui. Parce qu’il a reçu cinq médailles d’or à Triennale de Milan en 1950 par ce fauteuil et il a obtenu le titre d’ouvrier qualifié avant son nom.
Ces expériences ont élevé le niveau de la qualité et ses œuvres sont devenus un symbole dans le meuble Scandinave. Le style Scandinave commençait de la nature donc il n’était pas étranger partout.
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Finn Juhl s’inspirait de la nature et il a fabriqué le meuble qui va bien ensemble avec l’environnement. Cela est un rôle important pour l’architecture aussi. Le bâtiment ne peut pas aussi être chic s’il ne va pas bien ensemble avec l’environnement. Je montre Zaha Hadid par exemple. Elle avait beaucoup des idées hardies et elle était très célèbre pour construire le bâtiment gigantesque avec l’ingénieur expert. Mais certaines personnes l’ont critiqué, parce que son bâtiment n’allait pas bien ensemble avec l’environnement. Moi aussi, j’ai pensé qu’elle a beaucoup l’avidité de temps en temps. Comme cela, ce n’est pas facile de construire qui va ensemble dans un cadre. Donc par là même, je crois que Finn Juhl a fait les œuvres avec l’essence d’ameublement. Il a concentré la composition naturelle (choix matériaux, le diamètre, l’apparence et l’angle). Aujourd’hui, il n’est pas ici, mais ses œuvres communiquent avec les gens en touchant le corps.
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Be - dimensionnel
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Sol Lewitt Lewitt Sol
Sol Lewitt est un artiste américain minimaliste et conceptuel et mort à New York à l’âge de 78 ans. Et il est célèbre dans les structures fondées sur un élément géométrique et il bien utilisait ‘le noir et blanc’. Son travail est reconnu dans le monde entier, Sol Lewitt est devenu « Le père du minimaliste » dans l’histoire de l’art.
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Wall Drawing #260
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Wall Drawing #260 nous donne un espace bi-dimensionnel et il montrait son point de vue qui est la logique de l’art minimal. Sol Lewitt dégrossissait le centre de logique par une langue naturelle et il formait l’œuvre géométrique. Dans le mur noir, il y a un dessin comme le motif d’Égypte. Au milieu de place, j’ai l’impression qu’être dans le mobile d’ Alexander Calder. Cette peinture semble un imprimé, mais elle est une œuvre dessinée avec un crayon doux. Et elle consistait complètement avec la mesure et le calcul de taille et les couleurs selon Sol Lewitt. Mais quelque truc et humour sont dedans. J’ai l’impression d’une moquerie quand je regarde les lignes libres. Il jouit correctement l’esthétique de tricherie. J’ai pensé qu’il veut prendre du temps montrant les courbes aux spectateurs dans l’espace. Les courbes se composaient de mesure exacte, mais ils ont l’air de danser comme enfant.
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Sur le coin de mur, il y a de diagramme d’explication. Il semble qu’il parle aux spectateurs, ‘D’accord, je vous explique la méthode d’œuvre.’ À cause de ça, Sol Lewitt efface les lignes après exposition. Il voulait montrer ce point de pouvoir redessiner par le diagramme. En fait, il ne dessine pas au mur dans la galerie. Il donne un ordre à ses assistants. Ses assistants ont copié la peinture (de Lewitt) à l’autre galerie. Il a dit qu’une œuvre se compose par l’idée, pas la main. Donc il insistait sur l’idée, pas la main pour créer une œuvre. Wall Drawings est une action qui garnit son point de vue.
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Sol Lewitt dira : « Je désirais créer une œuvre d’art qui soit aussi bi-dimensionnelle que possible : il paraît plus naturel de travailler à même le mur plutôt que de prendre un accessoire, de le travailler, puis de l’accrocher au mur Sol Lewitt, il essayait ‘le minimalisme amusant’. Le minimalisme est une expression qui a des couleurs et le cadre au minimum sans une décoration. Certaines personnes disent pour le minimalisme qu’il est un peu ennuyant, mais le minimalisme donne une curiosité pour l’intention d’artiste. Son travail créait toujours le motif (pattern). Et aussi, il le trouve bien dans le quotidien et il jouit ensemble. Donc j’ai impression qu’il nage librement sur le motif et il a l’air de savoir bien pour la suite. Parce que j’ai lis un livre « The Search for Solutions » de Horace Judson (un historien américain), il a dit, ‘‘Le trouver un motif ‘ est le savoir à l’avance pour la suite’.
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C’est comme la vie. Ça veut dire, la vie se répète tous les jours. Donc nous avons quelque motif et il se forme dans le quotidien. Il est simple, mais il est un mot-clé pour une vue d’ensemble. Nous pouvons imaginer le motif suivant et nous remarquons quelque motif dans notre quotidien. Donc je veux dire le mur ( de Lewitt ) comme ça, ‘Une abstraction de terre’. C’est lui qui a la dimension et la substance justement. Dans l’espace de Lewitt, les yeux deviennent l’unidimensionnel (point). Et la ligne devient une personne (bidimensionnel), la figure géométrique devient un quotidien (trois dimensions). En dernier, le mur devient la terre (quatrième dimension). Il nous donne l’ironie par les motifs positifs.
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Le silence
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Mark Rothko
Il est né à Dvinsk, aujourd’hui Daugavpils, le 25 septembre 1903 et mort le 25 février 1970, c’est un peintre américain. Considéré comme un des plus grands peintres abstraits de l’art contemporain. Cet artiste fît partie du mouvement expressionniste abstrait américain des années 50, et plus spécifiquement du groupe color field painting.
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Untitled / Black, Red over Black, on Red
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Untitled / Black,Red over Black, on Red (Sans titre (noir, rouge sur noir sur rouge) 1964) est une huile sur toile de 205 x 193 centimètres. Il présente deux rectangles, un rouge et un noir. Sur un fond rouge, un premier rectangle noir est disposé et domine plus de la moitié sur sa taille. Cette toile dégage sensiblement une ambiance ténébreuse dont les bords flous ont l’air de respecter. Il n’y a rien dedans, ce sont juste une huile colorante. Je crois que l’abstrait est seulement une masse des colorants, il est tout le bout du monde. Et ce n’est pas possible que la matière ‘Colorant’ contient l’âme. Si comment expliquer des gens qui sanglotent devant la matière ? L’abstrait prépare une surface où il est possible d’accepter leur sens fantaisistes. A la différence du figuratif qui a une structure précise. Mais il y a une raison paradoxale au fait que l’abstrait peut remporter la faveur du public. Un spectateur qui est conscient de soi, regarde sans curiosité son œuvre n’y trouver aucun in, alors qu’à l’opposé, un autre spectateur peut s’émouvoir et se laisser submerger par un sentiment totalement subjectif. La marge devient un alibi diversement interprétable. S’ils sont très touchés de son œuvre selon de chaque analyse, il n’y a rien à opposer à cela et marque par la même occasion un moyen réfutable .
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Barnett Newman
Robert Motherwell
Adolph Gottilieb
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Barnett Newman avait cette composition picturale signature le ‘ZIP’. C’est une ligne verticale sur un plan monochrome. Robert Motherwell a une action de peindre qui traverse sur un plan blanc. Adolph Gottilieb, composait une image multiforme qui installe un rond rouge en haut et une masse noire au pied. En comparaison à ses collègues qui inventaient une image à la composition géométrique et en quelque sorte définie. Mark Rothko a l’air d’avoir une composition qui tend à guider les gens vers une certaines empathie et forme de méditation. Sa composition aux couleurs primaires se veut sentimentale plus que l’image géométrique.
De ses 45 ans d’ activité on peut dégager quatre périodes distinctes qui sont le réalisme et surréalisme, la période de transition et le classicisme. Pendant ses périodes réalisme et surréalisme, il a peint des paysages de la ville et le métro à NewYork, ils influeront plus tard l’ensemble de ses œuvres. De la fin des années 1940 et au début des années 1950, les peintres abstraits américains abordaient une approche picturale particulière et recentrée sur leurs propres actes. « Regardes les peintres ».
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Le phénomène observé ressemble à une pratique religieuse et spirituelle. Un commentateur qui inscrit un écho de l’âme sur son tableau et une spectateur préparé à un message de la guérison et de profonde émotion, ils ressemblent à un père spirituel et un fidèle. Le spectateur qui crois ainsi être en communiante retrouver une émotion personnelle sur son tableau. Comme une projection espérée. Mais il n’y a pas de vue exacte. Je crois qu’ici réside le dilemme de l’abstraction . Ses œuvres répétaient un même motif, on a comme l’impression qu’il s’entraîne psychologiquement chaque fois qu’il peint. Concentrant ainsi son âme et la marge. L tableau avait une grande force. Je n’ai pas pu bien regardé le tableau parce que les couleurs étaient trop vives. Ce n’était absolument pas une œuvre joyeuse. Aujourd’hui, Mark Rothko est considéré comme un grand maître et tout le monde reconnaît en lui un symbole de la tristesse. Ceux qui ignorent qui est-il, pourront voir sa biographie sans explication. Je pense qu’il incarne le plus vif tableau en ce monde. Mark Rothko laissait son âme et son âme est ainsi encore vivante et perceptible.
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Une conception singulière de l’art de bâtir
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Peter Zumthor Peter Zumthor est un architecte suisse, il est né à Bâle le 26 avril 1943. En 1958, il s’est formé par Cabinetmaker. Il a étudié au Kunstgewerbeschule Basel et Pratt institut à New-York. La préservation of Monuments. En 1998, il reçoit le prix Carlsberg d’architecture pour le musée de Bregenz et les thermes de Vals et en 2014 et aussi, il reçoit le prix du FILAF d’argent au Festival international du livre d’art et du film de Perpignan pour son ouvrage réalisé avec Thomas Durisch, Peter Zumthor Buildings& Projects.
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Lewis Baltz
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Son travail de restauration, lui a permis d’étudier la construction et les qualités différents matériaux de construction rustique. Zumthor intègre ses connaissances de matériel à la construction et aux détails modernes. L’architecture est une émotion pour lui. Zumthor est touché tous les objets en soi. C’est de l’air et du bruit, du son, des couleurs, de la matière, de la forme, du toucher qu’il analyse.
À l’intérieur, il comporte le béton teinté et de la pierre, le clair-obscur maintenu grâce à des parois symétriques coupant l’espace et délimitant zones d’ombre et de lumière. La partie m’a fait beaucoup d’impressions. Elle est le style contenu idéal.
Les thermes de Vals constituent un complexe hôtelier et thermal situé dans le village de Vals dans le canton de Grisons en Suisse. Ils sont constitués d’une quinzaine de blocs au volume simple. Le tout a recouvert le toit végétal formé de plusieurs dalles de béton et de pierre, supportées par des câbles qui ramènent l’effort au sol.
Ce bâtiment ressemble l’œuvre de Lewis Baltz. Ils sont très simples et ils vont bien ensemble avec le paysage. Les bâtiments ont le contraste frappant. Et aussi, ils reflètent l’objet naturel.
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Peter Zumthor utilisait bien le paysage. Le toit va ensemble avec la montagne. J’ai l’impression d’être naturel. Il n’oppose jamais la nature. J’aime beaucoup sa façon. L’unique façade a ouvert vers la montagne. Cette façon donc Peter Zumthor définit la notion d’harmonie avec la nature. Peter Zumthor faisait en harmonisant avec ses œuvres. Dans le nombre, la meilleure œuvre est Thermes de Vals.
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Thermes de Vals ont la forme qui est un parallélépipède rectangle ou un protoplasme. Elles ont la forme géométrique et signifient une simplicité, une présence et une solidité, une globalité, etc. Et ils se transmettent le beau silence aux gens. Ses bâtiments sont simples, mais Peter Zumthor a la philosophie vivace. Dans ce bâtiment montre bien sa philosophie et l’essence d’architecture. Donc il a que le nécessaire dedans. Peter a dit, « L’espace doit avoir l’extérieur robuste et des lumières douces qui passent naturellement à l’intérieur.» Je veux expliquer avec quelque mot pour l’architecture de Peter Zumthor qui communique gravement la valeur d’architecture jusqu’à nos jours. C’est ‘Moins, c’est plus.’ Ou ‘un alchimiste de matériel’. Peter Zumthor a dit que l’action de construire doit enregistrer des sens (toucher, regarder, sentir) dedans. C’est beaucoup diffèrent avec la mode de jour. Il murmure aux gens qui vivent dans ce monde bruyant. La valeur fondamentale d’humain ne disparaît jamais, elle existe intimement toujours.
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Less but Better
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Dieter Rams Dieter Rams, il est un designer industriel allemand contemporain (né le 20 mai 1932), étroitement associé aux produits de consommation de la société Braun et à l’école fonctionnalise du design industriel. Dieter Rams a dessiné les produits avec une esthétique qui est la plus rationnelle après la Deuxième Guerre mondiale. Il est le designer qui fabrique les designs qui apparaissent intensivement le fonctionnalisme d’Allemand. Ses produits, ils parlent comme ça, « Less but Better ! »
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Braun T3, 1958
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Braun T3 est la première radio portable fabriquée à Braun en 1958. La surface est très chic et les coins sont douces. Cette radio est blanche, mais elle semble d’avoir deux couleurs à cause des petits trous et les fissures fines. Les trous disposaient en carré. J’ai donc l’impression que le regard passe du carré au cercle. Je ressentais la relation mutuelle entre le regard et la forme. Son design est bon qui n’a rien critique. Je ne peux pas dire qu’il est parfait, mais son intention est de faire la chose imparfait. Braun T3 n’a pas de couleur superflue. J’occupais beaucoup de temps pour le regarder, parce que je me sentais un confort par la ligne d’objet. C’est comme prendre un bon bol d’air en forêt. Il a l’air de faire fonction de répit.
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Ipod, 2004
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Braun T3 est devenu le premier modèle de Ipod. Son esprit influait sur tous le s p ro d u i t s m o d e r ne s d’Apple. La philosophie de Steeve Jobs et Jonathan Ive correspond à celle de Dieter Rams. Jonathan Ive, est célèbre pour être un admirateur de Dieter Rams. Il est designer pour Apple, il aime beaucoup se concentrer les détails. Il ressemble avec lui et il a dit que Dieter Rams était influencer le design Apple.
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Le deuxième objet est le tourne-disque SK-4. Il l’a fabriqué en 1966, le tourne-disque a signifié un nouveau départ dans le design produit. Depuis lors, Braun a bien marché grâce à son design unique. Toutes les lignes ont la coordination mutuelle, ce produit n’a pas besoin d’explication complémentaire pour l’usage. Le toucher est agréable et la distance entre des boutons est commode aussi.
Depuis Dieter Rams a produit les objets simples, il a montré la possibilité immense à Braun. Ainsi, il a pu bâtir sa philosophie inébranlable. De 1950 à 1960, il a innové toutes les étapes de travail et il a utilisé le système haute-fidélité ‘Atelier’ sur nombreux appareils de Braun. Après 1960, il a dessiné les appareils personnels, par exemple est un sèche-cheveux, un rasoir électrique. Les accessoires qu’il a produit à la fin de 20 siècle, consistaient en une forme simple et fonctionnelle comme la série de rasoir électrique ou la pendulette de bureau. Il a sélectionné un métal et un cuir noir à la matière principale.
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Je crois que son design est un grand design qui peut transmettre à la génération prochaine. Pour moi qui préfère du minimalisme, j’accompagne ses pensées quand je travaille :
1. Le bon design rend un produit compréhensible. Dans l’art aussi, la bonne œuvre n’a pas besoin beaucoup d’explication. Le produit compréhensible est toujours pratique et il s’emploie bien partout. 2. Le bon design est discret. Le bon design sort de la base donc il est inébranlable. 3. Le bon design est durable. Je crois que c’est très important et le respect d’environnement. Si on peut garder le produit longtemps, il est de bonne qualité. Il s’appelle « Classique ». Classique, il faut avoir bonne qualité et le respect d’environnement. 4. Le bon design est approfondi, jusqu’aux moindres détails. À mon avis, les détails font la différence de la qualité. Et ils perfectionnent le design de produit. Les excellents designers comptent cela beaucoup. 5. Le bon design est le minimum de design possible. C’est le plus important pour le minimalisme. L’homme a la tendance essentiellement d’avoir la facilité et simplicité. Le produit doit refléter cette tendance pour le résultat satisfaisant.
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Je recevais quelque conseil sur sa philosophie et j’étais d’accord avec lui. L’observation du quotidien, c’est un outil qui cherche l’essence. Quand j’avais mal à la tête, je regardais ses produits. Parce qu’ils sont comme un remède pour moi. J’ai l’impression que la philosophie s’est transformée en produit. De nombreux artistes travaillent en consultant sa philosophie. Par exemple, je cite trois designers.
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Naoto Fukasawa, est un dessinateur industriel japonais qui a fabriqué le lecteur CD mural de MUJI. Il poursuit la naturalité. Il recherche une réponse dans la simplicité et l'ordinaire. Il a dit que le design d’objet doit s'intégrer au quotidien. En cela qu’elle est similaire à celle de Dieter Rams. Naoto est un adepte de l'‘Affordance Design : capacité d’un objet à suggérer sa propre utilisation.
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Bang& Olufsen insuffle sa philosophie aux produits depuis que la maison a été fondée en 1925. Ils sont plus que de simples objets. Ils sont réputés depuis longtemps pour leur durabilité. Les produits doivent passer beaucoup de teste et ils sont fait à la main, de ce fait ils durent longtemps.
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Ces trois designers recherchent le design qui ne disparaît pas pendant longtemps et ils le respectent sincèrement. Dieter Rams met sa philosophie dans son produit et il partage la communication avec des gens. Je montre du respect pour ça. Son produit est simple et il ne faillit pas facilement. Il donne un répit et une tranquillité pour quelqu’un par le design minimalisme.
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Appeler un poème au telephone
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John Giorno
John Giorno est né le 4 décembre 1936 à New York, est un poète et artiste américain. Fréquentant l’underground new-yorkais dès le milieu des années 1960, il a été l’acteur principal du premier film d’Andy Warhol Sleep tourné en 1963. Une préoccupation importante a été de rendre la poésie accessible à la culture de masse. En 1968, il crée Dial - a- Poem qui est un service téléphonique de masse qui proposait des poèmes aux personnes qui composaient le numéro.
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Dial-A-Poem (1968)
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Le numéro 0 800 106 106 <Dial - a - Poem> est une installation de poème. Il y a un téléphone noir à cadran mobile. En face, une affiche était au mur. Elle a le numéro, le nom de poème et la date. Un spectateur décroche le téléphone et compose le numéro. Ensuite, John Giorno récite un poème dans l’appareil. Le spectateur écoute le poème. Il a l’air de téléphoner à quelqu’un.
Quand je l’ai vu à l’exposition, il y avait les poèmes qui ont des formes variées partout . Pour moi, c’était la première fois d’apprécier dynamiquement les poèmes. Je respecte son genre et c’était une nouvelle tentative. J’ai l’impression que le téléphone est un amplificateur de la communication entre l’artiste et le gens. Ses poèmes nous donnent une fraîcheur par la manière multiforme. Cette manière m’a fait une forte impression. Il a changé le point de vue et il l’a utilisé par la manière de la communication.
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Et pourquoi il sélectionnait obstinément un téléphone ? Aujourd’hui, tout le monde a un téléphone. Il a pensé que c’est possible de dispenser ses œuvres avec tous. Pour la voix enregistrée, il bornait de l’appréciation d’une œuvre ? Mon avis, oui. Il voulait rendre le poème accessible à tout le monde. Mais parfois, sa proposition peut borner de l’appréciation d’une œuvre à quelques gens. En fait, quand on écoute le poème dans le téléphone, on ne peut pas choisir la voix et la langue au début. Mon avis, ça peut borner l’appréciation des œuvres parfois. Chacun peut évoquer quelque voix et ambiance, mais la limitation fait forcement une image, selon des voix. Mais John Giorno essayait une nouvelle tentative.
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Vue de lâ&#x20AC;&#x2122;exposition UGO RONDINONE, Palais de Tokyo (2015)
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Il a montré de la forme d’un poème par son point de vue. C’était la bonne tentative et on pouvait voir une représentation dynamique d’un poème. Ses autres œuvres aussi, ils ont des formes différentes. Ce sont les poèmes qui impriment sur le papier. Ils se sont exposés au mur. Le contenu concentre bien les yeux de gens. Il semble un pop art et il a un humour aussi. Donc les spectateurs s’intéressent ses œuvres. J’ai évoqué l’œuvre de Jean Cocteau. Jean Cocteau a aussi exprimé la poésie par un dessin. Il essayait de recréer ‘La fantaisie de poésie’ avec tous les moyens que possible, par exemple le film, le roman, la peinture. Pour lui, le dessin était comme un poème dessiné les lignes. C’était impressionnant pour moi. John Giorno aussi, ses œuvres restaient longtemps dans la mémoire. Ses idées aidaient la compréhension de son point de vue. John Giorno concentrait la vie et il voulait communiquer aux gens avec ses idées et points de vue. Ses œuvres semblent être proches de quotidien et maintenant, il récite le poème à quelqu’un.
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Be Simple, Strong, Smart !
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Seo won PARK
Seo-Won PARK est un CEO d’entreprise communicante BIG ANT International. Au début, il partait avec quatre collègues, après trois ans, il a conquis les cinq festivals internationales de la créativité. Il a élargi la situation en recevant le prix sans interruption. Il a fourni la publicité et le design produit et branding. De gens lui disent comme ça, ‘ Seo-won et Big Ant sont fous ! ‘
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Pendant ses études, il y avait des avertissements de licencié et il a changé sa spécialisation par cinq fois. En conséquence il a fait sa spécialité de design finalement. BIG ANT International, il fait tous les domaines ; Publicité, CI, BI, Design, Marketing, Consulting par les nouvelles façons. C’est sa publicité qui est mondialement connu.
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Il y a un militaire qui braque le fusil. Si cette affiche met sur le poteau électrique, la bouche dirige automatiquement sur sa tête. Cette publicité qui est une série. Elle a situé à NewYork, en face de Siège des Nations Unies et NewYork Times. Depuis ce temps-là, il a reçu douzaine prix sur le festival international de créativité et sa publicité a publié sur le livre scolaire dans cinq pays. Il a bien utilisé l'esprit d'invention avec le poteau.
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On dit beaucoup cette expression, ‘C'est un prêté pour un rendu' (What goes around, comes around). Cette expression se sent 60% de la puissance, mais la publicité se sent 150% de puissance. Comme cela, la publicité transmet vigoureusement l'information. Je pense que la publicité est très importante de transmettre l'information aux gens en un moment. Mon avis j'estime beaucoup comme la publicité. Elle n'a plus besoin d'explication. Et elle est audacieuse.
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Le deuxième, il y a une p u b l ic i t é d ’ a b s t e n t i o n d e fumer. Cette publicité a eu un prix dans le festival à NewYork OneShow trois ans successifs. Un homme jette une cigarette dans la bouche de cendrier. La cigarette s'empile sur le poumon ensuite, L'eau jaune fuse de poumon au corps tout entier. Il l'a fabriqué par un panneau transparent pour le voir bien. Après le jour, des gens ne pouvaient pas s'approcher par le cendrier. Et après une se ma i ne , aucun p ouva i e nt pas entrer le parc qu'il y a le cendrier. Il l'a fait avec une idée résumée les expériences de quotidien.
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Quand il allait aux toilettes, il voyait de l'eau jaune qui transsude d'un bout de cigarette. Il l'a remarqué. Et quand il lisait un magazine, il voyait cette phrase, ‘Le corps humain consiste avec 70% de l'eau.' Il l'a remarqué aussi et après, il a fabriqué le cendrier avec les deux expériences. De fait, Seo Won s'est arrêté de fumer après avoir fait cette publicité.
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Tout le monde a passé les expériences mais il l’ a concentré et il l’a utilisé pour son projet. Je pense que l’expérience est très important pour faire une bonne idée. Ce n’est pas grave, c’est juste une attention pour le quotidien. Pour moi aussi, j’aime beaucoup de travail avec des idées intéressants du coup j’utilise le façon aussi. Je crois quelque expérience est un matériel essentiel partout. Ce qui compte, c’est d’exprimer des expériences. Il y a son d’autre œuvre plus bas. Tout le monde a passé les expériences, mais il les concentrait et il les utilisait pour son projet. Je crois que l'expérience est très importante pour faire une bonne idée. C'est juste une attention pour le quotidien et c'est un point de vue différent. Pour moi aussi, j'aime beaucoup de travail avec des idées intéressantes du coup j'utilise le point de vue aussi.
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C'est une publicité de chirurgie plastique. La publicité usuelle consistait par la vue de l'homme. Il y avait beaucoup de publicités qui insistaient excessivement seulement la beauté que les hommes veulent. À la première fois, il avait l'air un peu bizarre parce qu'il n'avait pas l'air d'une publicité usuelle. On peut savoir qu'est ce qu'il veut dire par la publicité en suivant, selon les images. De fait quand il montrait cette publicité aux clients qui l'ont demandé, les femmes médecins sympathisaient en riant avec sa publicité. Elles ont compris distinctement son intention. Seo-Won a choisi spécialement ‘Les femmes' par le client parce que les clients de chirurgie plastique sont 90% de femmes. Cette idée est venue de son observation et point de vue.
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Ses idées sont comme une œuvre de René Magritte, ‘Ceci n’est pas une pipe’. C’est un tableau dessiné une pipe, mais ce n’est pas vrai une pipe. Pour un créatif directeur, je pense qu’il faut voir un nouveau point de vue en échappant au point de vue préexistant. Il a dit, ‘L’idée sort d’une curiosité et passe l’observation, ensuite elle va devenir un produit. ‘ C’était très impressionnant, j’étais d’accord aussi. Aujourd’hui, BIG ANT International n’est pas une entreprise communicante parce qu’il n’a pas mis la publicité sur leur fin (but), c’est-à-dire, il n’a pas le mur de genre. Donc, il travaille la mode et le film aussi. Seo-Won PARK a dit, ‘BIG ANT International est ni une entreprise communicante ni entreprise design. On est une entreprise créative. ‘ Aujourd’hui, la grande fourmi exprime et communique ses idées au monde. Il le fait comment ? Simple, Strong, Smart !
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Bon voyage.
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La Grande Bellezza « La Grande Bellezza » est une comédie dramatique italienne coécrite et réalisée par Paolo Sorrentino, sortie en 2013. En 2013, le film est présenté en compétition au Festival de Cannes et en 2014 à la cérémonie des César où il n’obtient finalement aucune distinction. Le film est primé en 2014 aux Oscars où il reçoit l’Oscar du meilleur film en langue étrangère.
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Le film met en scène Jep Gambardella, incarné par Toni Servillo, un critique d’art désabusé qui s’adonne aux mondanités une fois la nuit venue. Il est le confident des soirées festives, de la chirurgie esthétique et de l’art contemporain. Jep traverse les siècles et s’emplit de la nostalgie, sans doute la source d’inspiration de son prochain ouvrage. La ville de Rome est le décor principal du film. Ce dernier est une balade dans laquelle on découvre les fontaines, places et palais les plus somptueux qu’abrite la capitale italienne. Elle passe lyriquement et elle nous donne le temps qui peut réfléchir et ranger des pensées. Le film semble montrer d’imagination à déception avec la balade.
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Le début commence par cette citation de Louis-Ferdinand Céline. « Voyager, c’est bien utile, ça fait travailler l’imagination. Tout le reste n’est que déceptions et fatigues. Notre voyage à nous est entièrement imaginaire. Voilà sa force. Il va de la vie à la mort. Hommes, bêtes, villes et choses, tout est imaginé. C’est un roman, rien qu’une histoire fictive. Littré le dit, lui qui ne se trompe jamais. Et puis d’abord, tout le monde peut en faire autant. Il suffit de fermer les yeux. C’est de l’autre côté de la vie. » - Louis-Ferdinand Céline Voyage au bout de la nuit
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Le réalisateur, il lançait le sens d’ensemble avec la citation aux spectateurs. Ce film nous donne la question, ‘Qu’est-ce qui la véritable beauté ? ‘. Les étrangers voyagent à Rome. Un touriste tombe devant une fontaine à cause du temps. Puis il montre la scène d’une soirée fougueuse. Il y a de l’alcool et du sexe et de la musique, des drogues. Mais Jeb évoque sa jeunesse en fumant. Ainsi, ce film pose le sens et la question ‘Comment vous pensez pour ça ? ‘ sur chaque scène. En même temps, la musique magnifique influence la concentration de pensée.
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Quelques scènes comparent entre une jeunesse et une vieillesse, une richesse et un honneur, un art et un argent, un mondain et une populaire, une croyance et une réalité. Normalement, un film philosophique est ennuyeux. Mais ce film ne donne pas seulement un interstice aux spectateurs. Le réalisateur montrait la ville qui est classique et il additionnait des couleurs riches avec la mode italienne dans ce film. Et aussi, la parole de Jep, attire les yeux. Sa parole enrichit la blague et la critique. Le réalisateur modulait la musique, selon le changement de sentiment et il montrait les couleurs vivantes pour ce faire bien sentir une réalité.
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Je montre une scène dans ce film, Jep trouve une petite fille qui se cache dans une Église. Elle le pose une question, ‘ Qui es - tu? ’ ‘ Qui suis - je ? ...... Je suis...’ Jep réponse. ‘ Non, tu n’es personne.’ Elle coupe la parole. Jep vasouille, ‘Personne? Mais je….je...’ En suite, la musique grandiose retentit. Cette scène apparaît une contradiction pour l’humain à travers Jep. Et elle mène les spectateurs au vide d’une existence. Cette partie suscite une pensée pour l’existence ou l’essence d’humain. Ça m’a fait beaucoup d’impressions. Je crois que la musique était excellente pour amplifier l’impression.
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Ce film montre l’art réel qui n’est pas pur. Jep tue toute la pureté. Il tuait le souvenir pureté d’Andrea et il piétinait son premier amour. Dans ce film, les grandes personnes méconnaissent la pureté. Ils se concentrent seulement la commercialisation. La pureté (beauté) a été piétinée par leur convoitise. Jep éprouvait du dégoût pour ça. Donc il partait pour rechercher ‘La pureté (beauté) ‘ à sa mémoire et il a réalisé la beauté qu’elle était dedans. Ce n’était pas spécial, mais ça donnait la pensée infinie. Je conjecture le film qui veut dire la beauté existe très proche de soi. Et je crois qu’il est un bon film qui fait face à la vie. Quelqu’un pourra devenir un philosophe aporétique après le voir. Et quelqu’un pourra avoir l’impression de néant pour la vie. Le message et la critique sont les plus fondamentaux. Je n’ai pas pu dire clairement la réponse pour ‘La grande beauté’ après le finir. Mais j’ai pu réfléchir encore pour la beauté et je pourrai chercher ‘la beauté’ tôt ou tard.
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Beethoven Symphony No.9 ‘choral’2
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Herbert von Karajan
Herbert von Karajan est un chef d’orchestre autrichien, né à Salzbourg le 5 avril 1908 et mort à Anif le 16 juillet 1989. Il fait ses débuts officiels de chef d’orchestre en 1929 en dirigeant Salomé de Richard Strauss à Salzbourg et devient, jusqu’en 1934, premier maître de chapelle de l’Opéra d’État d’Ulm.
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Karajan est un maestro célèbre. Son influence ne reste pas juste un domaine de chef d’orchestre. Il est un homme qui a tiré le chef d’orchestre à la position d’artiste. Et il a changé populairement la situation de classique. De nos jours, nous pouvons écouter facilement l’orchestre par CD ou VOD à cause de lui. Il a popularisé l’orchestre. Mais Karajan s’est soigné excessivement son image et il a reçu beaucoup de critiques parce que sa figure et ses gestes sont trop artificiels. Et aussi, il est monté haut en mettant la force de Nazi sur son dos. Il a transigé sûrement avec l’autorité et il a manié commercialement la musique. Mais s’il n’a pas apparu du 20e siècle, le classique pouvait se populariser d’aujourd’hui ? Peut-être la popularisation de classique se fut accomplie plus tard.
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Karajan a encore un sujet controversé jusqu’à aujourd’hui. Il est le chef d’orchestre qui tend à la perfection et un héros qui a reposé l’orchestre philharmonique Berlin à la place du monde. Mais il y a beaucoup de gens qui ont un regard impitoyable pour lui. Il s’est soigné aussi quand il dirige l’orchestre. Il dirigeait souvent les yeux fermés et il montrait dramatiquement la scène d’un jeu. Les gens ont remarqué ça qu’il a fait une direction mensongère. Mais il n’a pas été en train de faire une image vidéo, il n’a pas formé le propos de faire la musique. Selon de son intention, son énergie était brillante et son apparence et performance nous en imposaient. Ils montraient de l’aplomb imperturbable et la confiance en soi.
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Cette vidéo de Beethoven Symphony No.9 ‘choral’2 qu’il a fait. Sa transition est habile et grandiose. Ça nous donne une impression vivement et son classique entendent plus facile que l’ancienne. Il préfère un cantabile, mais il dirigeait la musique avec sa façon particulière. Surtout, il tient au vibrato et la sourdine. C’est pourquoi, les gens critiquaient avec les mots ‘Musique glacée’ ou ‘Intention excessive’. Mais son intention est une visualisation de la musique classique comme Paul Klée et Vassily Kandinsky. Ils ont fait aussi la visualisation d’un objet qui est invisible par leurs œuvres. Le chef d’orchestre n’a pas fait la musique, il rédige la vitesse. Et Karajan rédigeait la vision et l’audition par la visualisation de musique.
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Et après qu’il a fait le sonore et la mise en scène dans un studio pendant un an et trois mois, il a mis en vente 900 genres, la quantité de vente est vingt millions. Dans sa caractéristique de la musique. Une polyphonie de répertoire que presque tous peuvent comprendre. Un enregistrement divers. (de Baroque à moderne) Il voulait une façon créative dans la musique. Et il voulait montrer le classique à tout le monde. Karajan a trouvé la visualisation de la musique classique sous un autre point de vue. Et sa façon était créative et hardie. Sa tentative a été une fonction que tout le monde peut facilement voir le classique. Il est un artiste intrépide qui visualise la musique au premier.
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Lumière et Température
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Mark Borthwick
Mark Borthwick apaise le cœur avec des lumières et températures par son camera (Leika m6 summicron 35mm). Mark Borthwick est un photographe anglais et un directeur en scène et un musicien. Aujourd’hui, il habite à NewYork, Brooklyn. Il a travaillé avec comme des Garçons, Martin Margiela, Yohji Yamamoto et IBM, Max Mara et Vanessa Bruno.
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Ses photos sont souvent rafraîchissantes. Ils ont aussi un esprit fumeux. Il s’appelle un génie dans son domaine parce qu’il utilise seulement de lumière sans un photomètre et un éclairage. Le spectre solaire est fantastique, mais il n’a jamais utilisé quelque truc artificiel. Il travaille souvent avec l’éclairage naturel donc il y a d’éclair toujours sur les photos. Il se concentre son esprit sûrement sur l’air et la lumière.
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Il ne fait jamais couper et retoucher les photos. Ses photos montrent le calme et le chaud toutes les fois. Il n’intéresse pas contrôler de l’image. Il pense que l’image est libre et on peut comprendre la liberté par une maladresse. Donc le personnage ne pose jamais sur la photo. Il bouge seulement ou il rit ou il regarde quelque chose.
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‘Not in Fashion’ montre les travaux qui sont la photographies de mode et le croquis, la publicité et les photos de polaroÏd. Il exprime pour toutes les parts de vie avec la lumière et le sentiment. Je préfère ce qu’il n’y a pas grande technique. Et il n’a pas un standard sur son travail. Il n’a jamais dûment étudié dans un école de photographe. Donc ses photos sont énormément libre. Et j’avais l’impression d’un alanguissement plein de délice dans ses photos.
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Quelqu’un critique, ‘ C’est juste une photo commerciale ’ ou ‘ Il n’y a pas quelque sens ou philosophie dedans ’. Ça veut dire la photo est très légère. Mais ce n’est pas une chose obligatoire. Je crois que sa photo a une chose importante comme les vacances dans la vie. Elle ne concentrait pas seulement les sentiments. Elle nous donne la lumière et le temps que nous oubliaient facilement. Comme cela, la photo de Mark Borthwick est les vacances qu’on peut prendre du répit. Aujourd’hui, on utilise beaucoup l’application de mobile quand prendre la photo et ajoute des effets dedans. Et on s’habitue à la lumière fabriquée plutôt que la lumière naturelle. C’est un peu triste. Sous cet aspect, je pense qu’il a mis le but de photographie. À mon avis, on prend la photo normalement dans le but de garder un moment. Mark Borthwick aussi, il prend la photo dans le but de garder le moment donc il laisse la lumière et l’ambiance d’alors. Il nous donne le temps de réfléchir pour la pureté ou le point de vue qui est devenu familier. Le poids de sens ? Ce n’est pas important. Il y a déjà beaucoup de poids lourd en société. Mark Borthwick a l’air de raconter pour les gens en ce monde, « Regardez la lumière que vous avez oubliée. »
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Conclusion
A travers cette étude de corpus, j’ai pu prendre du temps pour m’intéresser de très près à des œuvres que, par le passé, j’ai déjà croisées mais sans leur prêter une attention particulière ou sans qu’elles aient pu susciter en moi un intérêt particulier. D’ordinaire, j’aime beaucoup lire. Mais à cause du manque de confiance en moi dans l’exercice de l’écriture, ce présent travail n’a pas été chose facile. Mais, en commençant ma composition sur les œuvres que je préfère habituellement, j’ai pu, au fil de la rédaction, les découvrir sous un angle différent et avec un regard différent. Même, parfois, entre deux mots de mon écriture, je parvenais à mieux saisir le sens de ces créations, à mieux les comprendre et par là même à en trouver une meilleure explication. D’une manière générale, j’apprécie beaucoup les œuvres à la forme dépouillée, sobres, simples et neutres, tels les œuvres travaillées un peu à la manière ‘’minimaliste’’. Cependant, je n’ai pas voulu réduire le cadre de mon corpus à ce mouvement artistique. Il y a deux raisons à cela. La première est que toutes les œuvres de mon corpus ne s’inscrivent pas dans ce courant. La seconde est que j’ai voulu concentrer mon étude sur l’essence de l’œuvre et les différents points de vue qu’elle permet. Aussi, j’ai divisé mon corpus en deux grandes catégories, l’une regroupant les œuvres qui recherchent cette essence, l’autre réunissant celles créées selon des points de vue différents. J’ai recouru à cette division pour une question de pratique et non pas d’après l’une quelconque classification prédéterminée qui prévoit un cadre tout prêt pour chacune d’elles. Au cours de la préparation de cette étude, j’ai rencontré beaucoup de difficultés pour traduire mes pensées en français qui n’est pas ma langue maternelle qui est le coréen. D’abord, il y a eu le problème de lexique, certainement dû à la différence culturelle et linguistique entre les deux langues : impossibilité de trouver des termes français sémantiquement identiques aux mots coréens que je voulais exprimer. Puis, un autre problème, celui-là plus lié à l’insuffisance de mes connaissances en français. De fait, quand j’arrivais à parfaitement exprimer l’idée dans ma langue maternelle, la phrase traduite en français n’avait ni queue ni tête, devenant incompréhensible à cause de l’agrammaticalité, l’incohérence de syntaxe et de structure.
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D’où, beaucoup de temps m’a été nécessaire car il m’a fallu passer par beaucoup d’étapes de reprises et de rectifications pour améliorer l’écriture de ce travail mais pendant tous ces parcours, je me suis toujours efforcée de garder dans l’esprit l’objectif de mon travail, à savoir la recherche de l’essence conformément à mes critères de choix d’œuvres de mon corpus. C’est pourquoi, je préférerais employer le terme de ‘’réinterprétation’’ plutôt que le terme de traduction pour parler de ce travail car le fait d’avoir eu, à nouveau, des moments de réflexion intense sur bien des œuvres, m’a permis de tenir un discours différent et nouveau. D’autre part, mon corpus fait mention d’un grand nombre de designers. Bien que je ne sois pas spécialiste en design, j’ai été satisfaite d’avoir eu l’opportunité de faire une mise au point de références diverses et variée relatives à mon style. Le fait de découvrir qu’il peut exister des ressemblances entre les œuvres de chacun d’eux, en dépit de l’empreinte personnelle et très différente qu’on peut voir dans leur création, a été une expérience enrichissante et intéressante pour moi. Derrière une œuvre qui a longtemps marqué les esprits il y a toujours une philosophie propre. Et compte tenu du caractère de mon corpus, je devais donc adopter une approche philosophique pour son analyse. Ainsi j’ai dû consacrer beaucoup plus de temps à l’analyse de chaque œuvre. La rédaction de ce présent travail est donc le résultat d’un certain nombre de réexamens puis de rectifications par moi qui ai toujours gardé à l’esprit ces ces trois notions-clé, l’inconscient, l’essence et les points de vues. Quoique ce travail ait été ardu pour moi, c’était une étape m’a été nécessaire. Même si mon étude ne peut susciter beaucoup de connivences ou d’adhésion chez les autres, elle a été le plus grand défi pour moi durant cette année, et elle va servir de point de départ ou de tremplin pour d’autres travaux écrits. La rédaction du présent travail a été très bénéfique car elle a été une grande occasion pour moi d’avoir des expérience aussi nombreuses qu’enrichissantes non pas en termes de résultat mais en termes d’étapes à traverser.
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Corpus JIYOUNG PARK, DNA 1 Achevé d’imprimer en juin 2016 à l’Ecole Supérieure d’Art d’Épinal.