Portfolio Zelie Denis
Melle DENIS Zélie Né le 12/10/1990 (Paris XIV) Nationalité française 33 rue de la Chrétienté 92330 Sceaux (France) +33 6 67 47 89 82 / BR: +5521987854340 zelie.denis@gmail.com
Di p lo m e s Fevrier 2014: Diplôme d’architecture mention: Très bien Projet sous la direction de M. François Chochon. Belgrade, Generalstab, entre romantisme et désir d’avenir. Reconstruction de l’etat-major yougoslave en Serbie.
Juillet 2011: Licence d’architecture Septembre 2009: Formation du BAFA - Juleica Septembre 2009: Formation aux Premiers Secours allemand 2008: Baccalauréat Scientifique, mention assez bien 2006: Attestation de Formation aux Premiers Secours
Fo r m at io n : 2012 - 2014: Master 2 à l’ecole d’architecture de Versailles (ENSAV’), France Projet en colaboration avec la UFRJ, Rio de Janeiro, Brésil, sous la direction de M. Djamel Klouche et M. Cédric Libert Mémoire sous la direction de Pr. Vincent Jacques, la reconstruction de Beyrouth.
2011 - 2012: Master 1 à la Faculdade de arquitectura do Porto (FAUP), Porto, Portugal 2008 - 2011: Licence à l’ecole d’architecture de Versailles (ENSAV’), France 2001 – 2008: Collège - Lycée Marie Curie, Sceaux, France
c o m p ét e nc e s Langues: Français (langue maternelle) Anglais (courant) Allemand (courant) Portugais (courant)
Logiciels: AutoCAD, ArchiCAD Rhinoceros 3D / V-Ray Adobe Suite Word, Excel
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E x p é r i e nc e p ro f e s sio n n e l l e : Février - Juin 2013 : Projet en colobaration avec la UFRJ à Rio de Janeiro, Brésil, avec M. DJamel Klouche et M. Cédric Libert Etudes de Barra de Tijuca à propos des Villes nouvelles à Rio de Janeiro
Septembre 2012 - Février 2013: Stage Colboc Franzen et Associés, Paris, France Concours pour la réhabilitation du lycée Jean-Jacques Rousseau à Montmorency, publications, Permis de construire, etc.
Juillet 2010: Stage chez Hamonic + Masson architecture, Paris, France Maquette 1/200 de 65 logements à Bercy, études du chantier de ce même projet, 3D pour un concours
Aout 2009: Chantier international à Güstrow, Allemagne. (open houses) Épuration d’une façade en briques rouges, creusement de tranchés pour les canalisations, patron de moulure décorative pour fenêtres
2008: Présentation au Concours Général d’allemand 2005 – 2008: Séjours en Allemagne d’un mois au Gymnasium de Ehingen (donau), Allemagne Participation au cours du Lycée pendant un mois chaque année
Loi si r s Ete 2013: Serveuse au Beaurepaire, 75005, Paris 2011: Organisation événement étudiant.. 1500 personnes Chargée des relations avec les artistes invités
2010: Trompettiste, Fanfare Jacky Parmentier 2010 -2012: Chargée de la communication à la Grande Mousse, association étudiante d’événementiel Production d’affiches publicitaires, de plaquettes. Chargée des relations externes à la grande mousse
2003 à 2006 : Arbitre d’un tournoi de tennis international handisport (parc de Sceaux) Centres d’intérêts: voyages itinérants, histoire de l’art, photographie, théâtre, musique, surf, langues...
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Belgrade, Generalstab
projet individuel, Février 2014, M. François Chochon
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La reconstruction de Beyrouth Mémoire, Février 2014, Pr. Vincent Jacques
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Barra de Tijuca, villes nouvelles, Paris Parallèle Avec Carole Daussin, Juin 2013, M. Djamel Klouche et M. Cédric Libert
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Concours à Montmorency Stage de Septembre 2012 à Fevrier 2013, Colboc, Franzen et Associés, 10 rue Bisson, Paris XX°
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Academia de dança projet individuel, Porto, Portugal, 2011/ 2012, M. Carlos Prata
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Habiter la collectivité projet individuel, Juin 2011, M. François Chochon
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ADL dwelling Tubes avec Bénédicte Arnoux et Juliette Lauzeral, Mars 2011, M. Jean-Christophe Quinton
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Les Autres
avec Carole Daussin, Decembre 2011, M. Franck Vialet
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Dipl么me
2014
M茅moire de Master
2014
MASTER 2
2013
Stage de Master
2013
MASTER 1
2012
Licence 3
2012
Licence 3
2011
Licence 3
2014
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COMPLEXe
Belgrade, Generalstab, entre romantisme et desir d avenir Mention très bien Février 2014, M. François Chochon
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Belgrade, Generalstab
La generalstab, l’etat-major yougoslave, est un édifice construit pour Tito par Nikole Dobrovic. A sa construction, le bâtiment symbolisait l’unité yougoslave et sa force armée. Il a développé une théorie des « moving spaces ». Cette théorie est illustrée dans le bâtiment par la liaison des deux corps de bâtiment en forme de cascade. Les deux individualités de chaque bâtiment s’unifient pour dessiner l’espace public par le V de la cascade. En 1999, pour mettre fin à la guerre du Kosovo, l’OTAN a bombardé la
Serbie en des points stratégiques et symboliques du gouvernement de Milosevic. La generalstab est détruite. Elle est devenue le symbole de la fragmentation yougoslave. Depuis le bâtiment n’a pas été reconstruit. Sous prétexte de problème économique, le gouvernement n’a pas encore pris de décision sur sa reconstruction. En 2005, le monument a été classé. Son avenir est depuis gelé. Après analyse des reconstructions d’après-guerre à Belgrade et en Serbie, je me suis rendue compte
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que le chemin de la mémoire et de l’assimilation des traces du passé n’ont pas été faite. Il est donc important de poser les questions nécessaires à la reconstruction. Comment faire le chemin de la mémoire sans pour autant l’imposer ? Face au lourd contexte composant l’ex-Yougoslavie et la Serbie, j’ai confronté mon regard d’architecte et une analyse dense des reconstructions post-traumatiques à travers le monde. La ruine en plein centre de
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Belgrade, Generalstab
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Toiture Toiture Toiture
R+7 R+7 R+7
Forteresse Forteresse de de Belgrade Forteresse deBelgrade Belgrade Kalemegdan Kalemegdan Kalemegdan
R+6 R+6 R+6
Basilique Basilique Sainte Sophie Basilique SainteSainte SophieSophie Istanbul Istanbul Istanbul
R+5 R+5 R+5
Parlement Parlement Serbe Parlement SerbeSerbe Belgrade Belgrade Belgrade
R+4 R+4 R+4
Karlkirsche Karlkirsche Karlkirsche Vienne Vienne Vienne
R+3 R+3 R+3
Cathédrale Cathédrale Saint Saint Sava Cathédrale SaintSava Sava Belgrade Belgrade Belgrade
R+2 R+2 R+2
Maison Maison du du patrimoine Maison dupatrimoine patrimoine Kalemegdan Kalemegdan Kalemegdan
R+1 R+1 R+1
Forteresse Forteresse de de Ram Forteresse deRam Ram Ram Ram Ram
RDC RDC RDC
Pont Pont lalaDrina sur la Drina Pontsur sur Drina Visegrad Visegrad Visegrad
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Belgrade, Generalstab
Belgrade ma laissé trois principaux sentiments qui vont guider ma réflexion. Tout d’abord, ma fascination pour cette ruine. Elle est gigantesque, inévitable et reprend doucement sa place dans la ville. Le deuxième sentiment est la relation entre l’état originelle du bâti (sa grandeur passée) et ce que les bombes racontent, la fin de l’économie florissante, l’embargo, la décroissance du peuple serbe. Le dernier sentiment parle de présent, de la rencontre entre l’habitant, la ruine et son quotidien. Pour moi, française, la generalstab est exceptionnelle, mais les Belgradois la voient tous les jours. Elle devient oublie. Ces trois sentiments entrainent trois axes de projet. Le premier est la conservation d’une partie de la ruine. Depuis 15 ans sur les sols de Belgrade, elle est devenue son identité. Mais comme je crois profondément en les traces du passé, je crois aussi au pouvoir de l’avenir. La solution que j’ai trouvée, est d’imaginer un symétrique, répondant à la ruine. La nouvelle forme de cascade se doit de représenter la Serbie aujourd’hui, tentant d’être plus forte que sa ruine. Le deuxième axe est celui d’aider à un futur plus florissant. La Serbie, pour exister, a besoin de retrouver une économie prospère. Pour répondre à cette nécessité, le projet se doit d’être énergique et dynamique. Une trame régulière rationnelle encadre le projet. Le dernier axe est celui de dessiner un futur possible pour une nouvelle unité yougoslave. Cette unité sera différente, puisque les solutions
d’aujourd’hui ne sont plus celles d’hier. Belgrade, capitale de la Serbie, représente toute sa nation. Pour représenter cette entité, je choisi de faire un catalogue des bâtiments symboliques de l’identité serbe. Chacun de ces bâtiments vont se retrouver dans les différentes couches d’histoire, de construction et reconstruction de Belgrade. Nous retrouvons dans les sols de Belgrade cette idée de la ville palimpseste plus que tout autre. Toutes les traces laissées par l’histoire et l’architecture sont la matière de mon projet. Ce catalogue de monuments symboliques de l’identité serve, bien que réduit, était encore beaucoup trop important. J’ai donc choisi plusieurs formes qui m’intéressaient soit par leur côté symbolique, soit par leur caractère plastique. Dans le palimpseste tout se connecte et se révèle. Dans la mémoire, tout se mélange. L’accumulation se fait par nécessiter de construire. Ainsi le projet est un jeu avec des formes d’histoire pour en composer d’autres. La structure est composée de voile reliant les points d’interconnexions de chaque forme à la structure monotone. Les trois axes du projet se connectent par plusieurs éléments. D’une part, la trame monotone et régulière est reliée au patio par un couloir. Ce couloir est perturbé à plusieurs points, soit par la présence d’escalier – unissant les strates monotones entre elles, soit par l’avancée du patio dans le couloir. La cascade, point de rencontre entre les trois éléments, est un escalier monumentale donnant vue sur la ruine d’un côté, sur le patio de l’autre.
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Le patio dessine des espaces labyrinthiques. Le dernier élément est le Rez-de-chaussée. Il est le seul lien entre la ville et l’intériorité du bâtiment. Je crois que ce bâtiment pourra vivre avec le temps. Aujourd’hui, la Serbie a besoin de se reconstruire, il est donc évident que la construction aura lieu pour attirer les investisseurs étrangers. Nous proposons donc un bâtiment fait principalement d’entreprises et de banques. Plus tard, un jour qui sait, la ruine deviendra peut-être l’intérêt général et ce nouveau bâtiment pourra occuper un mémorial, un musée de l’histoire de la Yougoslavie… Mais surement qu’un jour, la ruine sera devenue paysage tandis que la mémoire, histoire, et la vie continuera, laissant une nouvelle couche d’histoire et une appropriation plus intime du bâtiment.
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Belgrade, Generalstab
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Belgrade, Generalstab
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Belgrade, Generalstab
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memoire de master
la reconstruction de Beyrouth, une question de société Mémoire de Master Février 2014, Pr. Vincent Jacques
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La reconstruction de Beyrouth
Préface En 2002, lors d’un voyage en Croatie, j’ai séjourné brièvement à Sarajevo. J’avais douze ans et je me souviens qu’à travers les fenêtres de la voiture, je voyais défiler de grandes tours. Les unes étaient criblées de balles, les autres n’avaient plus que leurs structures. Je n’arrivais pas à discerner celles qui avaient été détruites pendant la guerre de celles qui étaient en cours de reconstruction. Je crois maintenant que différents images se confondaient dans mon esprit : les constructions inachevées au début de la guerre, les reconstructions en cours et les bâtiments détruits pendant les combats. Dans mon souvenir, aucune grue à l’horizon. En dehors du centre, la ville ne semblait pas encore reconstruite. En août 2012, lors d’un second séjour, j’ai eu la même impression. Je suis arrivée dans la ville par la montagne et les premières maisons blanches qui apparaissaient étaient encore criblées de balles comme au lendemain des affrontements. Les façades avaient autant de cicatrices qu’il y a dix ans. En 2004, j’ai visité le Liban. Dès l’entrée dans Beyrouth, les images de Sarajevo sont réapparues devant moi. D’abord le chaos, puis de nombreux bâtiments mutilés. Je me souviens cette fois des nombreuses grues dans le ciel de la ville : un Beyrouth flambant neuf côtoyait un Beyrouth encore en lambeaux. En 2008, au concours d’entrée à l’école d’architecture de Versailles, on me demanda pourquoi je souhaitais devenir architecte. Je me suis alors souvenue de ces deux villes où constructions et destructions se mélangeaient, comme autant de signes d’espoir et de désespoir. Au moment de trouver mon sujet de mémoire, après quelques hésitations, il m’a paru évident de terminer mon cursus par les questionnements qui en étaient à l’origine. Comment la ville peut-elle porter les marques des passions humaines, aussi bien créatrices que destructrices ? Je suis née en France en temps de paix et je n’appartiens à aucune communauté religieuse. Je n’ai connu la guerre que par les récits de mes grands-parents qui eux-mêmes étaient enfants pendant l’occupation allemande. Plus tard, ils
n’ont pas été impliqués personnellement dans les conflits en Algérie. Hormis les informations à la télévision, mon premier contact direct avec la réalité de la guerre fut ces deux voyages à Sarajevo et à Beyrouth. Ces expériences ont alimenté ma réflexion quant aux traumatismes et aux traces laissées par les conflits armés. Je ne suis pas retournée au Liban. Suite à l’assassinat de Rafic Hariri, en 2006 le pays entra de nouveau en guerre et Beyrouth se retrouva au cœur du conflit. En 2013, il me sembla risqué de retourner dans une ville plongée dans l’insécurité du fait de la guerre dans la Syrie voisine. On comprendra que cela constitue une lacune pour ce mémoire. Cependant mon ambition est d’étudier les traces de l’histoire sur l’évolution de la ville et des bâtiments qui la constituent. Qui détruit et pour quelles raisons ; qui reconstruit et dans quels buts ? Mes études d’architecture m’ont donné des éléments pour tenter de comprendre le processus de reconstruction de la ville. Je me suis rendu compte qu’il était complexe et dépendait de nombreux facteurs historiques et actuels.
« Mais la ville ne dit pas son passé, elle le possède pareil aux lignes de la main, inscrit au coin des rues, dans les grilles des fenêtres, sur les rampes des escaliers, les paratonnerres, les hampes des drapeaux, sur tout segment marqué à son tour de griffes, dentelures, entailles, virgules.»
Italo Calvino, les villes invisibles, trad. de l’italien par Jean Thibaudeau, coll. folio, ed. Gallimard, 2002, page 18
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URBANISme
Barra de Tijuca,villes nouvelles, Paris Parallèle avec Carole Daussin, Juin 2013, M. Djamel Klouche et M. Cédric Libert
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Barra de Tijuca, villes nouvelles, Paris Parallèle
«Paris Parallèle» est une étude du magazine «Architecture d’Aujourd’hui» pendant les années 1960, notamment orchestré par Claude Parent. Afin de décongestion le centre-ville de paris, le comité du magazine propose de dessiner un second Paris à 30 km de la capitale. Après cette étude nous voulions notre propre ville avec ironie. A Rio de Janeiro, nous avons pu développer ce concept lors d’un workshop avec l’Université Fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ). L’Etude portait sur Barra de Tijuca. Ce quartier de la ville, qui fait la taille
de Paris intra-muros est en grand développement. Un premier plan d’urbanisation a eu lieu par Lucio Costa en 1960. En 2013, le plan n’a pas été entièrement suivi. Nous questionnons alors les espaces de vides dans la ville nouvelles et leurs avenirs.
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Stage
Concours pour la restructuration du Lycée JJ Rousseau Montmorency, France Stage de Septembre 2012 à Février 2013 Colboc, Franzen et Associés, 10 rue Bisson, Paris XX°
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Concours à Montmorency
Mes cinq mois de Stage chez «Colboc, Franzen et Associés» m’ont permis de travailler sur chaque étape du développement du projet. Avec AutoCAD, j’ai eu l’occasion de dessiner des détails construction, préparer des documents pour compléter un permis de construire, repérer les problèmes rencontrés sur le chantier. Avec ArchiCAD, j’ai préparé des 3D pour des concours et des permis de construire. Avec Photoshop, j’ai produit des plan-masse, des coupes, des perspectives... J’ai aussi utilisé Indesign pour des présentations...
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COMPLEXe
Academia de dança
projet individuel à Porto, Portugal 2011/ 2012, M. Carlos Prata
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Academia de Dança
Le paysage du nord de Matosinhos est composé de grues et de containers. C’est le port industriel de la ville de Porto et du Nord du Portugal. Afin d’apporter de l’air et une désindustrialisation à la ville, l’académie de Danse de Matosinhos s’adapte au visage de petites maisons individuelles faisant face au port. Le contraste «vert» se développe grâce à la création d’un grand parc sur la parcelle. Le toit devient un élément de liaison dans la ville.
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Academia de Danรงa
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habitations
habiter la collectivite projet individuel Juin 2011, M. Franรงois Chochon
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Habiter la collectivité
Sarcelle, parcelle sans caractère. Comment mettre en valeur la collectivité dans un paysage de maisons individuelles? Bâtiment autiste qui offre sa générosité au coeur de la parcelle. La cage d’escalier n’est plus sombre, fermée. Elle est l’objet principal du bâtiment, elle est vie collective. A ces espaces de passage sont ajoutés des salles de musiques, des salles de lectures, des laveries. Les coursives remplies de bancs, et de plantes forment un jardin à étages où l’on se promène de son appartement à la ville. La transition entre le privé
et le public se fait doucement en croisant son voisin.
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Habiter la collectivitĂŠ
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Habitations
ADL dwelling Tubes
avec Bénédicte Arnoux et Juliette Lauzeral Mars 2011, M. Jean-Christophe Quinton
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ADL dwelling Tubes
Le workshop consistait à projeter trois échelles architecturales à partir d’une chaise. Nous avons choisi la Meltdown PP Tube Chair de Tom Price. Nous devions former une maison individuelle couplée à une piscine, un logement collectif assemblé à un restaurant, puis une tour comprenant un auditorium. Chacun de ces éléments d’architecture doivent être composés grâce au principe de la chaise choisie. La maison s’enroule autour de la matière des tubes. Chaque espace est dessiné pour
alterner entre chaos et cocon. Le logement collectif rejette les tubes vers les espaces publics. Les tubes s’adaptent à la forme des logements pour créer un patio à l’apparence austère, mais à l’utilisation collective généreuse. Épicentre du complexe: le restaurant qui donne toute sa nature aux tubes. La tour est décomposée par les tubes. Lesquelles permettent de créer les espaces communs.
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COMPLEXe
Les autres
avec Carole Daussin Decembre 2011, M. Franck Vialet
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Les Autres
Un pôle hyper-urbain caractérisé par ses flux, de personnes et de véhicules, qui vont vite et qui s’agitent dans tous les sens. Que faire de ce lieu sans identité ? On crée alors un parcours, non deux parcours. Un parcours eau et un parcours musique. Le but du jeu ? Créer un cheminement, une balade, une histoire, un poème, pour mener le visiteur jusqu’au coeur de l’édifi ce. Mais attention, on ne fait pas son petit bonhomme de chemin sans voir ce qu’il se passe autour. On ne cherche pas à choquer, à imposer des regards, mais
simplement à susciter un intérêt, un questionnement sur ce qui nous entoure. En d’autres termes, sur L’autre.
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