Bruno Munari
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Le designer
Le designer Bruno Munari
Le designer Bruno Munari Extrait de L’art du design
Mis en page par Zoë Husson Imprimé sur papier blanc naturel 120g, sur les presses de l’ÉSA des Pyrénées — site de Pau / Décembre 2013
Copyright 1966 Guis. Laterza & Figli Tous droits réservés Copyright Marco Vigevani Agenzia Letteraria ISBN : 978-2-35017-267-5
Le designer Bruno Munari Extrait de L’art du design Traduit de l’italien par Audrey Favre
Bruno Munari est né à Milan en 1907. Cet artiste et designer italien est l’un des contributeurs fondamentaux des arts visuels que ce soit en peinture, en sculpture, au cinéma et bien sûr dans le design industriel et le design-graphique. Il intègre rapidement le mouvement futuriste représenté par le poète Marinetti. Il présente son travail dans bon nombre d’expositions et c’est au détour d’un voyage à Paris en 1933 qu’il rencontre Louis Aragon et André Breton. Il passe quelques années dans le monde de la presse et de l’édition et réalise plusieurs livres pour enfants. En 1948, il fonde le Mouvement d’Art Concret (MAC) avec des amis. Il est connu pour ses recherches en communication visuelle et la publication de plusieurs textes fondamentaux dans l’histoire du design mondial. Son travail est reconnu en Europe, aux États-Unis et même au Japon.
« L’ambition du design est [de] faire converger les arts avec l’industrie et faire émerger des < projeteurs industriels > capables d’améliorer l’art industriel par l’épuration des formes. » [ 2 ]
[ 2 ] Définition extraite du Shorter Oxford English Dictionnary
[...] « le verbe anglais to design a deux sens : celui de < dessiner >, de faire des croquis et des plans, mais aussi celui de < concevoir > en fonction d’un plan, c’est-à-dire de projeter en fonction d’une < intention >, d’un < dessein >, d’un < concept >. En ce sens, faire du design [c’est] forger un projet qui s’incarnera dans ce signe. » [ 1 ]
[ 1 ] Définition donnée par Stéphane Vial dans son Court traité du design, Paris, éd. Presses Universitaires de France, 2010, p. 19, et qui considère le designer comme un projeteur.
[ 3 ] Ettore Sottsass , cité par MarieHaude Garaës, Pour une recherche en design, in « Azimuts », n° 33, p. 39.
[...] « le design est une façon de discuter de la vie, de la société, de la politique, de l’érotisme, de la nourriture et même du design » [ 3 ]
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[ 1 ] Se reporter pp. 17-19, et voir des objets de l’industrie dont le succès a été reconnu.
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Le designer est un concepteur doué de sens esthétique ; c’est en grande partie de lui que dépend le succès de certaines productions industrielles. Si elle est bien conçue, la forme d’un objet du quotidien — machine à écrire, jumelles, fauteuil, ventilateur, casserole ou réfrigérateur — peut augmenter ses ventes [ 1 ].
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Concepteur & conciliateur
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Le terme designer, ou plutôt industrial designer, né aux ÉtatsUnis, n’a pas de traduction littérale en italien [ 1 ]. On pourrait le traduire par « concepteur industriel », ce qui n’est pas tout à fait la même chose. Notre concepteur industriel conçoit des pièces détachées ou des véhicules, des équipements ou des infrastructures. S’il doit concevoir un deux-roues, par exemple, il n’accorde qu’une importance secondaire au versant esthétique, ou bien l'interprète de manière toute personnelle. J’ai demandé une fois à un ingénieur qui avait conçu une moto pourquoi il avait choisi telle couleur ; il me répondit que c’était la moins chère. Le concepteur industriel considère donc l’aspect esthétique de ses conceptions comme un élément inévitable, indispensable pour parachever l’objet ; il s’y plie scrupuleusement tout en évitant les problèmes esthétiques typiques de la culture moderne, jugés superflus. Un ingénieur ne doit jamais être surpris en train d’écrire de la poésie. La méthode de travail du designer ne pourrait pas être plus différente. Le designer considère à leur juste valeur toutes les parties de l’objet à concevoir ; même la forme définitive de l’objet conçu possède une valeur psychologique décisive lors du choix du consommateur. Le designer cherche donc à donner à l’objet sa forme idéale, forme qui naît pour ainsi dire presque spontanément, suggérée par la fonction, l’aspect mécanique (le cas échéant), les matériaux les plus adaptés, les techniques de production les plus modernes, l’étude des coûts et d’autres facteurs à caractère psychologique et esthétique.
[ 1 ] Cette réflexion s’applique aussi au français.
[ 2 ] « n. m. Doctrine selon laquelle toute connaissance certaine vient de la raison (≠ empirisme) » Le Robert, Paris, éd. France Loisirs, 2002, p. 1411.
[ 3 ] Se reporter pp. 21-23, et voir des objets dessinés selon des lignes aérodynamiques.
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Aux premiers jours du rationalisme [ 2 ], la beauté d’un objet dépendait de son caractère fonctionnel. Seule la fonction strictement pratique entrait en ligne de compte, par exemple la forme des instruments de travail, des scalpels, etc. Aujourd’hui, ce n’est plus la beauté mais la cohérence formelle qui prime, sans oublier la fonction « décorative » de l’objet en tant qu’élément psychologique. La beauté en soit peut définir ce que l’on appelle le style, qui peut s’appliquer à tout objet s’il est dans l’air du temps : c’est ainsi que nous avons vu récemment le style aérodynamique [ 3 ] appliqué non seulement aux avions et aux voitures, mais également à des fers à repasser, des poussettes, des fauteuils, voire (vu à Bologne) un corbillard, qui est effectivement le summum des aspirations du style aérodynamique.
Innovateur & informateur
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Les problèmes de la beauté abstraite, en tant que, paramètre qui s’appliquerait à la technique, comme une carrosserie de style ou une décoration choisie avec goût par une sommité du monde de l’art, s’effacent au profit de la cohérence formelle, qui ressemble à ce que nous voyons dans la nature : une feuille possède sa forme caractéristique parce qu’elle provient de tel arbre et remplit telle fonction ; sa structure est déterminée par les canaux de la sève et les nervures semblent dérivées de calculs mathématiques. Et pourtant il existe d’innombrables variétés de feuilles et même les feuilles d’un même arbre sont légèrement différentes les unes des autres. Si l’on voyait une feuille de figuier sur un saule pleureur, on aurait une impression d’erreur, d’incohérence : une feuille de figuier ne peut pas pousser sur un saule. Si une feuille est belle, ce n’est pas d’après des critères de style : c’est parce qu’elle est naturelle, née de sa fonction avec sa forme exacte. Le designer cherche à créer l’objet avec le naturel qui caractérise la naissance des choses dans la nature, sans imposer ses propres goûts lors de la conception, mais en s’efforçant de rester objectif ; il aide ainsi l’objet à se former par ses propres moyens, pour ainsi dire, et c’est grâce à cette méthode de conception qu’un ventilateur a la forme d’un ventilateur ou qu’une fiole a la forme exacte du verre soufflé tout comme un chat a sa fourrure ; chaque objet adopte sa propre forme, qui n’est évidemment pas définitive : les techniques changent, de nouveaux matériaux apparaissent et ainsi, à chaque innovation, le problème resurgit et l’objet peut changer de forme [ 1 ].
[ 1 ] Se reporter pp. 24-27 pour voir des éxemples de formes d’objets ayant changées.
[ 2 ] Art en tant qu’objet original en matière de peinture, sculpture ou architecture. [ 3 ] Art appliqué à l’industrie.
[ 4 ] Se reporter pp. 29-31, et voir les exemples de réalisations graphiques mettant en jeu texte et images.
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On raisonnait autrefois en termes d’arts purs [ 2 ] et d’arts appliqués [ 3 ] : les machines à coudre étaient conçues par un ingénieur et leur décoration en or et nacre était créée par un décorateur. Aujourd’hui, cette distinction entre arts purs et arts appliqués n’existe plus, pas plus qu’il n’existe d’arts majeurs et d’arts mineurs ; la définition de l’art, source de tant de confusion et de malentendus, perd de son prestige alors que l’art retrouve une fonction, comme dans l’Antiquité, lorsque l’artiste était appelé par la société à réaliser des communications visuelles (que l’on appelait alors fresques) afin d’informer le peuple de tel ou tel événement religieux. Aujourd’hui, le designer (dans ce cas, le graphie designer, designer graphique) est appelé par la société à réaliser des communications visuelles (que nous appelons aujourd’hui publicités) afin d’informer le public d’une nouveauté dans tel ou tel secteur. Et pourquoi fait-on aujourd’hui appel au designer et non plus au peintre avec son chevalet pour réaliser les publicités ? Parce que le designer connaît les moyens d’impression, les techniques idéales, utilise la psychologie des formes et des couleurs sans réaliser de croquis que l’imprimeur devra ensuite reproduire par se propres moyens. Il utilise les moyens d’impression et les met à profit pour réaliser ses publicités [ 4 ].
Artiste
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Le designer est donc l'artiste de notre époque. Non parce qu’il est un génie, mais parce qu’avec ses méthodes de travail, il renoue le contact entre art et grand public ; parce qu’il affronte avec humilité et savoir-faire toutes les demandes de la société dans laquelle il vit, parce qu’il connaît son métier, les techniques et les moyens les plus adaptés pour résoudre les problèmes inhérents au design. Parce qu’enfin, il répond aux besoins humains de son époque et aide la population à résoudre certains problèmes indépendamment de tout préjugé stylistique ou de fausse dignité artistique née de la division entre les arts [ 1 ].
[â&#x20AC;&#x2030;1â&#x20AC;&#x2030;] Se reporter pp. 33-35
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Jean-Baptiste Lamarck est né en 1744 et décédé en 1829. Pendant son service militaire, il commence à s’intéresser à la botanique. Il quitte donc l’armée en 1768 pour s’y consacrer entièrement, avec le soutien de Bernard de Jussieu, botaniste français pour les jardins du roi, à Paris. Il imagine donc une séquence de transformation des formes de vie, de la forme la plus
simple à la plus complexe. Il expose deux lois pour expliquer comment un organisme simple peut devenir plus complexe. Selon sa première loi, les organes sont améliorés par une utilisation répétée, et détériorés s’ils ne le sont pas. Autrement dit, la fonction crée l’organe. Sa deuxième loi stipule que l’environnement aussi détermine l’acquisition ou la perte
d’organes. Lamarck croit que ces changements sont ensuite transmis de génération en génération. C’est le principe de l’hérédité des caractères acquis. Cette théorie est appelée lamarckisme, et va perdurer jusque dans les années 1930, alors qu’elle sera réfutée par les découvertes de la génétique.
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« La fonction précède la forme » Jean-Baptiste Lamarck [ 1 ].
[ 1 ] Se reporter à la page de gauche pour savoir qui est Jean-Baptiste Lamarck.
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Tam Tam est un tabouret en matière plastique créé en 1968 par le designer français Henry Massonnet. Se présentant sous la forme d'un tam-tam, il a été
Esthétique industrielle fabriqué par Stamp. Commercialisé à douze millions d’exemplaires en dix ans, ce tabouret est devenu une icône de l’ameublement français du dernier tiers du XXe siècle.
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De couleur rouge pur et gratifiée, la Valentine réalisée par le designer Ettore Sottsass en 1969, est un outil érotisé et fortement emblématique de la fin des années 60.
Esthétique industrielle Elle est séduction et provocation. Objet type de l’univers du bureau, la machine à écrire s’est métamorphosée en un objet ludique tourné vers la création.
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Issu de la pensée fonctionnaliste du début du XXe siècle, mais surtout de l’esthétique des avions et des zeppelins conçus pour réduire les turbulences et augmenter la
Style aérodynamique performance, l’aérodynamisme s’est rapidement étendu au domaine de l’automobile, mais aussi à l’architecture, au mobilier et aux objets du quotidien.
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Cette conception, résultat d’expériences en soufflerie, donna naissance à une panoplie d’objets où dominent les formes ovoïdes. Même les objets les plus inertes
Style aérodynamique allaient bientôt afficher des formes fuselée synonymes de vitesse et d’aérodynamique, preuve que l’esthétique prend souvent le pas sur la nécessité.
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Mouvance des formes Désormais, un téléphone ou un ordinateur est presque un objet de décoration, qui se fond dans un intérieur.
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Face aux prouesses techniques et technologiques, des objets comme le téléphone ont su évoluer tant au niveau de leurs fonctions, qu’au niveau de leurs aparences.
Mouvance des formes
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Alfons M. Mucha, célèbre affichiste tchèque (né en 1860 et décédé en 1939) et icône de l’Art nouveau. Son style délié lui vaut une certaine notoriété. Les qualités techniques
Affiche publicitaire et artistiques de Mucha ont été vite reconnues, et il a été embauché par la première grande maison d’édition parisienne Armand Colin, et réalisa de nombreuses affiches.
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Saul Bass est un graphiste américain, né en 1920 et décédé en 1996. Célèbre pour son travail dans le domaine du cinéma, il a collaboré avec les plus grands
Affiche publicitaire réalisateurs, pour la création de génériques et pour la conception d'affiches. La qualité originale de Bass réside dans sa capacité à identifier le détail qui résume à lui seul le film et à le restituer de manière moderne. Pour Scorsese, ces créations sont « une image emblématique, reconnaissable instantanément ».
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En 1964, les éditions Gallimard publient « La Cantatrice Chauve », célèbre pièce de théâtre de Ionesco sous une forme exclusive et inovente. C’est Robert Massin, né
Mise en texte et en image en 1925, directeur artistique des mêmes éditions (de 1958 à 1979), qui consacra plusieurs années de sa vie à la mise en page du texte et des images. Y sont employés les thèmes d’espace et de temps scénique dans la page imprimée. L’objectif est l’animation de la page avec des moyens typographiques associés à des bulles ou des photographies.
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Adolphe Jean Marie Mouron, plus connu sous le pseudonyme Cassandre (né en1901 en Ukraine, et décédé en 1968 à Paris) est
Mise en texte et en image célèbre un graphiste, affichiste, décorateur de théâtre, lithographe, peintre et typographe français. Il est principalement connu pour ses
affiches publicitaires réalisées dans les années 1930, mais également pour des mises en pages osées et modernes pour son époque.
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Le designer intervient dans bon nombre d’activités humaines : il existe un design visuel, un design industriel, un design graphique et un design de recherche. Le design visuel s’intéresse aux images dont la fonction est de communiquer une information visuelle : signes, signaux, symboles, signifié des formes et des couleurs et rapports entre ces éléments. Le design industriel s’attache à la conception d’objets utiles, selon des règles économiques, l’étude des moyens techniques et des matériaux. Le design graphique concerne la presse, l’édition, la publicité et tout domaine où il faut arranger des textes, que ce soit sur une feuille de papier ou une bouteille. Le design de recherche se penche sur les expériences structurelles autant plastiques que visuelles, en deux dimensions ou plus. Il tente d’associer plusieurs matériaux, cherche à expliquer les images et les méthodes d’un point de vue technique et mène des recherches cinématographiques sur les images.
Lance Wyman, né en 1937 aux États-Unis, est un concepteur de marques de fabriques, logotypes, caractères, et vastes systèmes graphiques, tel que les
Design visuel pictogrammes des Jeux Olympiques de Mexico de 1968. Ce système de pictogrammes recourt à des codes de couleur afin d’éliminer les barrières linguistiques et s’inspire
des thèmes, des couleurs et des motifs des cultures aztèques et contemporaines du Mexique.
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Jean Widmer est un graphiste né en Suisse en 1929, arrivé en France dans les années 1950. Il est le concepteur de nombreux programmes d'identités visuelles,
Design visuel dont celle du Centre Georges Pompidou (1974). Jean Widmer a marqué le graphisme français en revisitant notamment la signalétique des lieux publics et
des infrastructures routières dans un but à la fois pratique (grand progrès en termes de lisibilité) et esthétique.
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Joe Colombo, designer italien né en 1930 et décédé en 1971, est considéré comme un véritable défricheur, et son œuvre s’inscrit dans les grands courants qui
Design industriel caractérisent les années 60, dont l’Anti-design, qui rejette la consommation de masse, la démocratisation de produits audiovisuels comme la télévision.
Ses recherches le mènent à travailler sur la modularité et la flexibilité des formes.
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Charlotte Perriand, née en 1903 à Paris et décédée en 1999, est architecte et designer. Lorsqu’elle rejoint l’agence de Le Corbusier en 1927, elle décide de rompre
Design industriel totalement avec l’académisme architectural, et d’adopter des théories prenant en compte les matériaux, la fonctionnalité, les loisirs et le bien-être. En résulte,
entre autres ce Placard-cloison à office de Passe plat type « Air France Brazzaville » de 1952.
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Irma Boom (née en 1960 aux Pays-Bas) est une illustratrice et typographe néerlandaise. Elle construit ses livres comme de véritables créations autonomes
Design graphique et explore les nombreux paramètres formels de celui-ci, dont le format, le papier, la structure et la reliure.
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Josef Müller-Brockmann, né en 1914 et décédé en 1996, est un graphiste et créateur de caractères suisse. Considéré comme l’une des figures marquantes du Style
Design graphique international ou Style suisse, son travail influencé par le Bauhaus et le constructivisme met l’accent sur les éléments typographiques et géométriques. Il utilise surtout des
polices sans-serif comme Akzidenz Grotesk, Univers ou Helvetica et met en œuvre un système de grilles pour structurer ses créations.
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Artiste plasticien français, Antoine Schmitt crée des oeuvres sous forme d’objets et d’installations pour traiter des processus du mouvement et en questionner les
Design de recherche problématiques de nature plastique, philosophique ou sociale. Héritier de l’art cinétique, il interroge les interactions dynamiques entre nature humaine et nature réelle.
« Pixel noir » est un dispositif interactif comprenant un tableau génératif, un tableau carré noir, un ordinateur, un vidéoprojecteur et un programme spécifique.
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Lisa Jevbratt est une artiste suédoise du numérique et du web. Elle révèle un espace virtuel, celui d’Internet, mais sous la forme d’une carte, d’une image où les couleurs
Design de recherche récupèrent une signification, puisque dans « Every » (1999) les sites sont représentés par des pixels dont la couleur dépend du type de suffixe (.com.org). Ainsi, la couleur spécifique du pixel est obtenue en se servant de la seconde partie de l’adresse IP pour sa valeur rouge, la troisième pour sa valeur verte et la quatrième pour sa valeur bleue.
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26-29 Le style aĂŠrodynamique
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Mouvance des 25-27 formes
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Le designer Conciliateur
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Affiche publicitaire
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Le designer Innovateur
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Mise en texte et en image
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Le designer Pluridicsiplinaire
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Le designer Informateur Le designer Artiste
22-25 EsthĂŠtique industrielle
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Design visuel
43-45
Design industriel
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Design graphique
41-53
Design de recherche
Le terme designer, ou plutôt industrial designer, né aux ÉtatsUnis, n’a pas de traduction littérale en italien (cette réflexion s’applique aussi au français). On pourrait le traduire par « concepteur industriel », ce qui n’est pas tout à fait la même chose. N
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