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Haguenau

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De l’ombre à la lumière

Depuis sa réouverture fin mai, le Musée Lalique met en lumière les gestes et savoir-faire de ses ouvriers, à travers une exposition photo temporaire, accessible à tous gratuitement. Si le musée et la manufacture sont installés dans le même village de Wingensur-Moder, seul le premier accueille des visiteurs, la seconde reste fermée au public et protège ses secrets.

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Karine Faby, la photographe qui a travaillé sur cette exposition, est une habituée de la cristallerie de Wingen-sur-Moder. Depuis déjà 12 ans, elle fixe sur pellicule les collections et produit des reportages sur les étapes de fabrication des joyaux Lalique. « Pour entrer dans l’intimité des gestes professionnels, le fait que les gens me connaissent a facilité les choses ! Ces hommes et ces femmes peu habitués à la lumière, m’ont fait confiance ! » Résultat de cette immersion dans les ateliers de fabrication, une vingtaine de triptyques qui décrivent la fabrication, mais aussi des métiers de passion, de gestes et de grande précision. « Je suis toujours émerveillée par cette magie du verre. J’aime le côté brut du décor de ces ateliers, me concentrer sur le geste, réussir à capter les regards. Et puis, j’avais envie de plans larges, de montrer les mains, mais avec les visages en train de faire. C’est une forme de reconnaissance de ces hommes et femmes de l’ombre qui produisent des objets d’une beauté folle qui appartiennent à l’univers du luxe et s’exportent aux quatre coins du monde ! »

Made in Alsace

Installée dans l’espace des expositions éphémères, la collection photos complète parfaitement la visite des collections permanentes du Musée Lalique. «Parmi nos 50 000 visiteurs annuels, peu de gens savent que Lalique fabrique ses propres pots en terre réfractaire dans un atelier de potier, que nous avons un atelier de moulage et un autre de montage pour réaliser des lampes, des tables ou des objets uniques. On n’imagine pas qu’il y a chez Lalique une vingtaine de métiers, exercés par des gens de tous âges et de tous profils, qui ne se résument pas aux souffleurs de verre, aux tailleurs sur verre et aux graveurs !» explique Véronique Brumm, la directrice du Musée Lalique. À travers un portrait, un geste, un outil et un témoignage, Karine Faby redonne toute leur place à ces métiers, bien souvent transmis sur le tas et qui peinent aujourd’hui à attirer les plus jeunes. «Habituellement nous organisons une exposition lors des journées des métiers d’art. La situation sanitaire et la fermeture du musée nous ont donné envie d’accorder plus de place et plus de temps à cette plongée dans les coulisses de l’art verrier», explique Véronique Brumm.

La fierté des regards et la beauté des gestes pourraient bien inspirer quelques vocations.

Plein feux sur un patrimoine local étincelant

Le Parc naturel régional des Vosges du Nord résonne de la tradition verrière depuis le XV e siècle. Ce musée, construit en 2011 sur l’ancien site de la verrerie du Hochberg et dessiné par l’Agence Wilmotte, réussit le mariage de l’ancien et du contemporain, dans une enveloppe de béton habillé de pierre et de verre. Les jardins, peuplés des plantes qui ont inspiré la création Lalique, valent aussi le détour. Mais il faut se plonger dans les collections permanentes pour mesurer tout le génie de René Lalique et de ses successeurs. Le lustre monumental de cristal qui marque l’entrée du musée, les pièces qui retracent le triomphe de l’exposition universelle de 1900, les f lacons de parfums des plus grands noms… La Femme, la Flore, la Faune : les trois sources d’inspiration de Lalique, déclinées à travers 650 œuvres exceptionnelles, des bijoux Art nouveau au cristal actuel en passant par le verre Art Déco.

MUSÉE LALIQUE À WINGEN - SUR - MODER EXPOSITION GESTES ET SAVOIR - FAIRE JUSQU’AU 1 ER NOVEMBRE 2020 MUSEE - LALIQUE.COM

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RETROUVEZ-NOUS DANS NOS SALONS REICHSHOFFEN GUNDERSHOFFEN HAGUENAU SCHWEIGHOUSE/MODER STRASBOURG www.koehlercoiffeur.com

Éric Wolff : «Quelque part, on est dans le circuit court»

Des spectacles jeune public dans toute l’agglo de Haguenau. C’est le concept de La tête dans les étoiles qui propose une chouette programmation pour toute la famille sur l’ensemble du territoire d’octobre à mai. Explications avec Éric Wolff, directeur du Théâtre de Haguenau.

En quoi consiste La tête dans les étoiles ?

La ville de Haguenau et le relais culturel avaient une programmation jeune public depuis de nombreuses années. On avait décentralisé un certain nombre de spectacles dans le quartier des Pins et on avait commencé à travailler avec la Ville de Schweighousesur-Moder et son service culturel sur des spectacles en commun. De fil en aiguille, on a été contacté par la Ville de Brumath qui avait aussi envie d’accueillir des représentations jeune public, aussi bien en temps scolaire que hors scolaire. Finalement, le Covid nous a laissé le temps de réfléchir sur les suites à donner à tous ces projets. En fin de compte, on a eu envie de proposer une programmation commune sur l’ensemble du territoire. À la fois pour mutualiser les spectacles et les coûts, pouvoir en faire plus et mieux avec la même somme d’argent. Cela nous a permis de proposer aux compagnies qu’on accueille de les faire venir pour cinq, six, sept jours avec une dizaine de représentations à la clé au lieu de les accueillir pour deux jours avec trois représentations. Avec l’idée aussi que les enfants et les parents peuvent circuler sur l’ensemble du territoire.

D’où vient cette idée de partage et de mutualisation des projets ?

Cela fait presque deux ans qu’on réalise des choses de manière bilatérale avec une collectivité ou un théâtre. On avait dans l’idée de travailler tous ensemble d’autant qu’on n’est pas sur un secteur concurrentiel en terme de jeune public. Par expérience, on refusait quand même pas mal de monde car souvent on n’achetait que deux représentations en temps scolaire. Il y avait de la demande, il y avait de l’envie, ça nous a aussi donné la perspective de mener ces actions-là. C’est une expérimentation à cette échelle, de manière construite et posée. L’idée étant de voir ce qui fonctionne et comment on peut améliorer les choses pour les années futures. Pour nous, c’est des années test pour voir comment ça prend. Le spectacle vivant, c’est quelque chose qui a besoin de mûrir et qui a un temps un peu plus long que le reste. On a besoin de voir comment fonctionne les habitudes et les réflexes des gens pour voir commencent construire quelque chose dans la durée et que ce soit solide.

Comment construire dans la durée par rapport à la situation actuelle ?

Je ne vois pas comment on peut faire autrement. Il faut avoir l’audace d’imaginer de construire des choses pour l’après. Parce que je pense que, pour l’après, il y aura beaucoup de choses qui seront mal en point. Il me semble qu’il est important d’anticiper et d’essayer d’autres formules vis-à-vis des gens. Le sentiment que j’ai aujourd’hui, c’est que les théâtres de proximité qui travaillent depuis de longues années sur le territoire et qui ont réussi à tisser un lien de confiance avec les spectateurs s’en sortent. Pour l’instant. On perd des plumes mais c’est pas la cata. Parce que les gens nous connaissent, nous apprécient. Quelque part, on est dans le circuit court, on n’est pas dans le supermarché. J’ai envie de croire en cette dimension humaine. Les demandes d’abonnements et les réservations ne sont pas aussi géniales que d’habitude mais elles ne sont pas aussi catastrophiques qu’on pouvait le craindre. Même si on est en zone rouge, même si c’est compliqué, lors des soirées d’ouverture de la saison [début septembre, ndlr], les gens nous disaient qu’ils avaient envie d’être là et que ça leur manquait. Je pense que c’est une super preuve d’envie. Une fois que ce truc sera derrière nous, il y a deux solutions : soit on a arrêté et il n’y a plus personne, soit on est au rendez-vous et on propose autre chose. Je me dois d’imaginer les choses qui pourront se faire après, sans doute de façon différente, et je pense qu’à plusieurs, on sera sans doute plus forts que chacun dans son coin.

La tête dans les étoiles Une saison culturelle en famille

Du 17 octobre au 15 mai 2021 au Relais culturel-Théâtre de Haguenau au CSC Robert Schuman à Haguenau, à la K’Artonnerie à Schweighouse-sur-Moder, à la MAC de Bischwiller et à Brumath.

AGGLO - HAGUENAU.FR / LA - TETE - DANS - LES - ETOILES

Eric Wolff, directeur du Théâtre de Haguenau

L’oiseau migrateur (Cie Dorian Rossel) à la Kartonnerie le 4/11 © J-M Labbé

Ronge ton os (Cie l’Awantura) au Théâtre de Haguenau, le 28/11

La sélection culturelle de Zut

Oraison

La Nef - Wissembourg

Du cirque oui, mais du cirque d’aujourd’hui ! La Compagnie Rasposo, créée en 1987, s'inscrit dans le paysage du cirque contemporain depuis plus de 30 ans. Cet ensemble fait appel à la sensibilité poétique du spectateur, en utilisant une mise en scène théâtrale. Puissante, séduisante, éloquente, bref évidente. Sous le chapiteau, les corps vibrent, évoluent. Fluides et gracieux, le tout dans un élan de passion. Les gestes sont époustouflants et virtuoses, épousant l’art du millimètre. L’histoire a tout pour sublimer le spectateur. De quoi être impressionné par les performances des acrobates, porté par une musique qui prend aux entrailles et captivé par une harmonie abracadabrantesque.

LES 15 ET 17 OCTOBRE NEF - FESTIVAL WISSEMBOURG.FR KUCKUCK

du 16 au 18 octobre 2020

4e édition du festival Festival Kuckuck des formes hybrides et musiques expérimentales

Pays de Hanau

Kuckuck, quésaco ? En Alsace, ce terme désigne Les lieux le coucou qui est également le surnom des habi À BOUXWILLER (67330) tants de Weiterswiller. Depuis quatre ans, ce drôle Théâtre Christiane Stroë et Centre Culturel Marie Hart Musée du Pays de Hanau 3 place du Château d’oiseau se décline sous la forme d’un festival qui 5 place du Château consacre les musiques expérimentales et les formes Atelier l’Épargne 11 rue des Seigneurs Église protestante Rue de l’église hybrides dans le pays de Hanau. Le tout est proposé par l’association In(d)Ex et le Théâtre du Marché À INGWILLER (67340) aux Grains. Cette 4 e édition mêle des concerts, des École Intercommunale de Musique ou SALLE EARL Terre Activ’ Jean BECKER, maraîcher, expos et diverses performances auxquelles certains 1 place du Marché suivre panneau “Horticulture Bernhard”, rue de la promenade/chemin d’ Offwiller étudiants de la HEAR et les percussionnistes de l’école de musique intercommunale de Hanau prenÀ WEITERSWILLER (67340) dront part. Église protestante Rue de l’Église Ancienne synagogue Rue Principale

DU 16 AU 18 OCTOBRE À BOUXWILLER, Les tarifs

INGWILLER ET WEITERSWILLER Pass Festival : 40€ / tarif réduit : 30€ RENSEIGNEMENTS AU 03 88 70 94 08 Pass 1 journée vendredi ou dimanche : 12€ / tarif réduit : 8€ Pass 1 journée samedi : 20€ / tarif réduit :15€ Prix pour 1 spectacle : 8€ / tarif réduit : 6€ Albert Cano Smit le 1/11

Festival international de Musique - Wissembourg

Initialement prévu au courant de l’été, le Festival international de Musique de Wissembourg prendra ses quartiers au tout nouveau gymnase de la ville, situé au 2 rue des Écoles, du 17 octobre au 1 er novembre. Les fidèles de ce rendez-vous, dont c’est déjà la 16 e édition, auront plaisir à retrouver le Quatuor Ébène qui collectionne les prix et les récompenses depuis le début des années 2000 et qui revisitera Beethoven (le 27 octobre). Le reste de la programmation fait la part belle aux futurs talents pour qui Wissembourg et sa chaîne YouTube aux 4 millions de vues font souvent office de tremplin. Parmi eux, on relèvera la présence Albert Cano Smit, jeune pianiste catalan qui vient de se blesser à la main droite. Plutôt que de déprimer chez lui à New York, il interprétera le Concerto de Ravel pour la main gauche. Autres phénoKuckuck, festival de printemps stoppé avant même de prendre son envol, se réinvente à l’automne. mènes, le violoncelliste Lev Sivkov et la pianiste russe Oxana Shevchenko.

Pour cette quatrième édition le festival se dessine dans un contexte inédit. Évidemment, des contraintes d’accueil, mais surtout la promesse de belles découvertes. DU 17 OCTOBRE AU 1 ER NOVEMBRE

WISSEMBOURG - FESTIVAL.COM

Toujours en recherche de nouvelles géographies, le Festival Kuckuck accueille cette année encore des formes multiples: musicales, chorégraphiques, cinématographiques, visuelles. Ces formes se croisent, brouillent les pistes, chauffent les fusibles et chahutent les résistances!

Les artistes sont ici des bricoleurs qui ne savent pas toujours ce qu’ils vont produire. Ils assemblent, mélangent, superposent des matériaux hétéroclites, parfois franchement opposés, pour des formes inattendues.

Le festival se joue du 16 au 18 octobre au carrefour de trois communes, Bouxwiller, Ingwiller et Weiterswiller, autant de nids à découvrir qui témoignent de la diversité et de la richesse du territoire.

L’équipe du festival est heureuse de vous accueillir, dans les meilleures conditions possibles. Vous pouvez dès à présent réserver vos places !

Le terrain de jeu est posé : trouvez votre tempo!

Jacques Weber le 10/11

ACCÈS Relais culturel de Haguenau En voiture : Depuis Strasbourg par l’autoroute : sortie Z.I. Brumath, ou Hochfelden (péage).

Théâtre, musique, cirque, spectacles jeune public… Covoiturage : Sur le site internet du Théâtre du Marché aux Grains, www. Pas de doutes, le Relais culturel-Théâtre de Hague theaboux.eu, vous trouverez un document partagé permettant de rapprocher les personnes souhaitant se déplacer ensemble. nau effectue sa rentrée avec comme une impression de vouloir rattraper le temps perdu. Train : La gare la plus proche est à Obermodern, sur la ligne Sarreguemines - Strasbourg. Depuis Obermodern, liaisons en bus vers Parmi les têtes d’affiche, on retiendra la venue de Bouxwiller. Sur la même ligne : Ingwiller. Jacques Weber (le 10 novembre) pour une échappée Les gares de Saverne ou Hochfelden, mieux desservies, sont à 20min de Bouxwiller. littéraire à partir des plus beaux textes de la langue française, le concert d’Irma (le 17 novembre) et le spectacle de François Morel J’ai des doutes (le 20 avril) en hommage à Raymond Devos. Avant de boucler la boucle avec son festival L’Humour des Notes (8 au 16 mai 2021) qui n’a pu se tenir dans son format habituel cette année. Réservations : 03 88 70 94 08 / contact@theaboux.eu

France

MAC - Bischwiller

En 1998, l’Alsace et le stade de la Meinau à Strasbourg s’étaient tenus à l’écart de la Coupe du monde pourtant organisée en France. Avant de se laisser porter et submerger par la liesse nationale accompagnant le sacre des hommes d’Aimé Jacquet. Vingt ans plus tard, Natacha Steck et la compagnie You’ll never walk alone retracent cette épopée des temps modernes au travers de France, une création orchestrée autour de sept moments, sept personnages, sept matchs.

LE 13 NOVEMBRE 03 88 53 75 00 MAC - BISCHWILLER.FR

16/10 du 16 octobre 2020 au 13 mai 2021 / Partout dans la ville, suivez le guide ! Disponible au Musée du Pays de Hanau 18h30 / Entrée libre / Musée du Pays de Hanau APÉRO d’ouverture du festival Vernissage de l’exposition et des installations Johanny MELLOUL - Exposition Photographie - Benoît de Carpentier

Dédoublement Fluidique

Une proposition du dessinateur, prétextant un noble dessein spiritualodécoratif sous forme de gris-gris de papier gribouillé, à la seule fin de s’introduire dans l’intimité du bon Bouxien et ainsi d’assouvir ses pulsions voyeuristes inavouables. Pour arriver à ses fins, il vante les pouvoirs magiques contenus dans ses dessins, promet, et mise sur une séduction éhontée à base de chantage affectif et d’eau de Cologne bon marché. Les résultats devraient être visibles sous forme d’une série de photographies, réalisées par Benoît de Carpentier, censées démontrer le miracle prétendument accompli lors des visites de l’artiste dans les différents commerces et intérieurs privés bouxiens.

du 16 octobre au 1er novembre 2020 / Lieux ci-dessous Silvi SIMON - Installations Quartet Louis Sclavis le 17/11

Silvi SIMON est une artiste travaillant à Strasbourg et exposée à l’international. Spécialiste des arts plastiques et du “cinéma élargi” (cinéma expérimental, travaux alternatifs sur la pellicule argentique, installations immersives, etc.) elle a co-fondé le collectif Burtscratch. Elle présente à Bouxwiller deux installations Espace Rohan - Saverne vidéos en boucle : Dysfocus n°1, Nature collection : Persistance / Atelier l’Épargne, entrée libre. Les notes avant l’humour… À Saverne, la saison de Filmatruc à verres, n°2, Oiseaux / Musée du Pays de Hanau, tarif entrée du musée, réduite sur présentation d’un billet du Festival Kuckuck 4ème édition. l’Espace Rohan débutera en musique avant de laisser place à la franche rigolade en 2021 autour des spectacles de Sophia Aram (15 janvier), la Revue Scoute 20h30 / Centre Culturel Marie Hart à Bouxwiller (du 9 au 11 avril) et François Morel (19 avril) pour AKAÏ x EÏKI - Performance Laurence BARBIER et Dj Bouto / Collectif La Bande Adhésive ne citer qu’eux. D’ici là, dans la foulée des Goguettes Cinéma expérimental et dispositif électro-acoustique qui parodient la chanson française (6 novembre - Akaï x Eïki est un duo de cinéma expérimental formé par Laurence BARBIER et complet), le Quartet Louis Sclavis laissera libre cours Dj Bouto, artistes polymorphes et noyaux durs du collectif La Bande Adhésive. Ensemble, ils font feu de toute matière analogique ou digitale pour mettre au à son jazz palpitant (17 novembre). Programmé dans point des dispositifs hétérogènes dont ils tirent images et sons. Leur travail sur scène s’articule autour d’une improvisation orchestrée sur leur installation le cadre du festival Jazzdor, il livrera son dernier psychotronique. opus, Characters on a Wall, écho musical aux œuvres Durée : 30min / À partir de 10 ans du plasticien Ernest Pignon-Ernest.

21h30 / Théâtre Christiane Stroë à Bouxwiller QUAI DU CHÂTEAU À SAVERNE ZARATHOUSTRO(P) 03 88 01 80 40 - Concert

Wassim HALAL et Ruben TENENBAUM ESPACE - ROHAN.ORG

Musique pour tous et pour personne, Zarathoustro(p) est le rejeton abrasif des deux artistes, dernier né de leurs deux amours : la musique orientale et la distorsion.

Durée : environ 45min / Tout public

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