Alexandre DAGUERRE - Etudiant Paysagiste - Portfolio 2017

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Alexandre

DAGUERRE étudiant paysagiste la boîte à projets


ALEXANDRE

DAGUERRE

7, allée de la Penarroya 64600 Anglet 06.43.30.54.88

@ mail : goony.ad@gmail.com 1993 à Bayonne / Pyrénées-Atlantiques

Formations scolaires

2016-2017 depuis

Maîtrise en Architecture de Paysage, Université de Montréal (année d’échange universitaire)

2013

Formation Paysagiste DPLG, École Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Bordeaux (ENSAP Bx)

2011-2013

BTS Design d’Espace, lycée Cantau à Anglet

2008-2011

Baccalauréat STI Arts-Appliqués, lycée Cantau à Anglet

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2017

Stage de 2 mois au sein de la Mission Urbanisme Opérationnel de la Communauté d’Agglomération Pays-Basque. Analyse paysagère d’un site en cours d’acquisition par la CAPB, découverte du rôle de maître d’ouvrage

2016

Stage de 6 semaines au sein de l’agence de paysage « Ook » à Bordeaux (avec Hervé Gastel pour maître de stage) : phases de conception, simulations de projets, présentation concours, perfectionnement et application des connaissances informatiques.

2015-16

Monitorat au sein de l’ENSAP Bordeaux en tant que jardinier chargé de l’entretien et porteur d’initiatives dans les jardins de l’école.

2014

Stage de 8 semaines au sein du parc écologique IZADIA à Anglet. Réalisation de projets de valorisation d’aménagements, détaillés dans des fiches actions. Rencontres et échanges avec le service environnement ainsi que les élus et acteurs du site.

depuis

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Pack Office

Auto

Expérience professionelle

2012

Emploi durant l’ensemble des vacances scolaires en tant que crémier aux Halles de Biarritz pour la « Crèmerie Olga » : rapport direct et concret avec la clientèle.

2012

Stage de 6 semaines de fin de première année de BTS Design d’Espace chez l’architectepaysagiste Xabi Arbelbide : suivi de chantiers, réalisation de diagnostics, perfectionnement et application des connaissances informatiques.

2008

Stage d’observation chez l’architecte-paysagiste Xabi ARBELBIDE à Biarritz : exercice de conception d’un jardin chez un particulier , suivi de chantiers, appréhension du métier.


Oui mais aussi

Et alors ?

+ mes objectifs Mon projet professionnel s’est élaboré progressivement dans le secteur de l’aménagement paysager. J’ai effectué des formations qui m’ont apporté des connaissances techniques, qui m’ont aussi rapproché du domaine artistique (dessin, couleurs, informatique...) et qui ont attisé ma sensibilité au paysage. Bien que mes expériences professionnelles se résument pour l’instant à des stages et des travaux saisonniers, cela fait près de 7 ans que je côtoie le monde du travail et ses valeurs. Trois de ces valeurs me tiennent à coeur : investissement, précision et rigueur. Ainsi ma curiosité, ma détermination ainsi que mon désir d’apprendre et d’enrichir mes connaissances me permettent de mettre en oeuvre mes capacités dans de nouveaux domaines.

VIE ASSOCIATIVE Membre d’une association sportive depuis 14 ans : Union Sportive et Cycliste d’Anglet (UCSA) / Section BMX. A la fois sportif et membre actif de l’association (organisation de compétitions, création de visuels pour différents évènements liés à l’association, etc.). Également représentant d’un groupement de pilotes au sein de l’association en question, plus connu sous le nom de Team MOUSTAKOV. Ce groupe représente le club de l’Anglet Bmx à travers une association indépendante qui se déplace sur les compétitions régionales , nationales et internationales. Membre actif de l’association étudiante Choros paysage au sein de l’ENSAP Bx.

ACTIONS SOLIDAIRES Participation active au Raid humanitaire 4L Trophy. Ce périple est composé d’équipages qui embarquent à bord de leur 4L des fournitures scolaires et sportives destinées aux enfants les plus démunis du Maroc. Le parcours s’immisce à travers le Sahara et parcours une partie de l’Atlas. Je reste accompagné d’un ami dans cette aventure. Nos nombreuses investigations m’ont permi de mobiliser mes savoirs dans la communication de projet, et le contact à la personne. J’ai pu donc me confronter au difficile et complexe exercice qu’est celui de trouver des partenaires tant au niveau matériel que financier. En effet, l’aventure de 15 jours demande un investissement conséquent et un budget de près de 8000 euros. Un exercice formateur, et validé car nous avons rassemblé les fonds nécessaires pour aller à la rencontre des terres maghrébines en février 2016.

Le PROJET de paysage PASAIA - Stratégies paysagères pour un territoire en mutation PROJET FLASH - Concours Réhabilitation « flash » de la gare SNCF de St Eulalie / Carbon-Blanc MISSION PILAT - Démarche territoriale de projet MAINTENIR LES BERGES ‘À FLOT’ - Application des phytotechnologies en réponse à un enjeu environnemental territorial LES 4 GARDIENS - Caractérisation territoriale et paysagère LES PAYSAGES DE L’INNOVATION - L’utopie comme stratégie de projet

etudeS de territoireS 25km2 - Mosaïque en péril, le Bec du Gaves 100 ANS Paysage - ANGLET, un littoral entre deux eaux

espaces & mises en scene SUR LES FLOTS - Parcours urbain pour révéler MENDIAK HARATAGO - Jardin particulier à Ahetze HISTOIRE DE CAGETTE - Questionner le matériau CHAUMONT SUR LOIRE - Bienvenue en coulisse MUSEOGRAPHIE - Odö & SpaceJunk ASPIRER AU MOUVEMENT - Art & Paysage

& PUIS EXPÉRIMENTATIONS PLASTIQUES VOYAGES EN DESSIN DES RESTES DE DAGUERRÉOTYPE L’IMAGERIE LES PETITES MAINS L’USINE à GANACHES


LE PROJET DE PAYSAGE Urbain ou rural, le projet de paysage rassemble de nombreux acteurs et facteurs tous spécifiques. Le principe est de révéler les enjeux clefs afin d’établir une stratégie de projet percutante pour mettre en scène l’espace et enfin répondre à la problématique. Il convient donc de s’imprégner du contexte puis d’apporter un regard neuf et décisif sur le paysage.


PASAIA Stratégies paysagères pour un territoire en mutation Projet réalisé en deuxième année DPLG avec Benjamin ETIEMBRE.

Pasaia - Une plaque portuaire directement connectée à l’océan

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Des formes fédératrices / singulières - Comment des formes habitées et reconnaissables provoquent de nouvelles rencontres dans l’espace public - Peuvent-elles être à l’origine de rencontres dans l’espace public ?

Comment des formes singulières et fédératrices peuvent provoquer de nouvelles rencontres dans l’espace public ?


PANSER UN QUARTIER la phytoremédiation au cœur du processus de projet

Plan de la plaque portuaire à 30 ans 1/2000e

Plan d’éclairage de la plaque protuaire à 30 ans

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Plan masse à 30 ans 1/500e


BLOCS evolutifs du rapport entre parc & ilôts

La plaque portuaire de Pasaia est prise entre deux versants à l’ouest et à l’est. A la rencontre de deux époques d’aménagement, avec la ville associée au petit port à l’ouest et la ville composée de grands ensembles à l’est, la plaque correspond au seul espace plat, à la rencontre de deux temps. Le parti à été de conserver cette sensation de planéitude en imposant un certain gabarit aux ilôts bâtis, afin de ceux-ci apparaissent comme un trait d’union entre les deux versants. Un grand espace central fédère les habitants via un parc correspondant autrefois à des entrepôts industriel. L’objet de cet exercice est d’accompagner progressivement la ville vers cette mutation, autant structurelle que sociale. Ce processus requiert un certains temps. Le principe a donc été de s’appuyer sur ce temps de manoeuvre pour mettre en place un système de phytoépuration et phytoremédiation afin d’assainir une partie des espaces habités jusqu’alors pollués par les anciennes pratqiues industrielles. La démarche se décompose donc en différentes étapes et varie selon l’espace traité. Accessibles, inaccessibles, ces milieux naturellement artificiels absorbent les métaux plus ou moins lourds et les stockent dans leur feuillage. Une gestion tournante est mise en place afin de récolter ces déchets verts « toxiques ». Cela nécessite de gérer l’accessibilité ou non à certains espaces. Petit-à-petit, des cheminements évoluent à travers ces espaces pour laisser place à quelques ilôts bâtis. N

D’anciens entrepôts sont identifiés, conservés et réhabilités. Les fonctions évoluent progressivement pour laisser place à un véritable espace de vie en coeur de Pasaia.


espaces à vivre au sein d’une plaque en mutation Espaces de phytoremédiation réinterprétés

B A’ Tournesol

A

N

Helianthus annuus

Saule des vanniers

B’

Salix viminalis

Dryopteris erythrosora

Frêne commun

Fraxinus excelsior

Fougère à feuille longue

Pteris vittata

Panique dessée

Panicum virgatum

Saule pourpre

Salix purpurea

Saule blanc

Salix alba

Chêne des marais Frêne commun

Fraxinus excelsior

Bouleau blanc

Betula utilis

Quercus ilex

Iris des marais

Roseaux

Iris pseudacorus

Phragmites australis Prêle

Equisetum arvense Hosta liberty

Salvia May night


le béton sous touS ses états joints creux de 4 cm

béton flamé

béton hydrofugé

béton sablé

Béton désactivé

granulat 4 de couleur gris clair/ ocre pâle

Stabilisé compacté

Pierre de la Rhune boucharder gros pavé 10 x 10

N

Coupe de transition entre le quartier urbain et le parc

Coupe des perméabilités piétonnes au sein du quartier habité

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LA CLAIRIÈRE CONNECTÉE LE SITE ET SES ENJEUX

Concours étudiant organisé par la SNCF et entrepris avec Anselme ARNAUD - Première MENTION.

Les développements urbains et paysagers de la gare de Ste-Eulalie-Carbon-Blanc doivent s’inscrire à différentes échelles : Echelle territoriale La gare s’inscrit dans un réseau de transport collectif qui est en cohérence avec la structure du territoire. Echelle urbaine La gare comme entrée de ville qualitative. Elle peut également contribuer à la création d’un espace convivial et accueillant pour les habitants de la commune. Echelle du site La gare est vouée à muter pour accueillir un nombre croissant de voyageurs. La nuisance sonore préserve les espaces de la gare et du pont de la pression foncière. Cette forme de « non hospitalité » à la construction leur confère une place singulière dans la ville. Ce territoire en pleine mutation aspire à acquérir une identité propre. L’aspect champêtre des lieux amène à développer un projet basé sur une réinterprétation de la nature en s’appuyant sur des attentes contemporaines.

un espace associé à un réseau métropolitain

intégration dans un maillage de clairière

la gare comme élément rayonnant à l’échelle de la commune

un cheminement structuré par des espaces clefs

La situation géographique de la gare de St Eulalie Carbon-Blanc, ne permet pas de valoriser le transport ferroviaire local. L’espace en question est isolé visuellement. « L’axe vert » mis en place propose de reconnecter physiquement le lieu de vie des carbonblannais à cet voie de communication. En s’accrochant aux éléments identitaires de la ville ; de la Mairie à la zone commerciale en passant par l’entrée de ville et l’église Saint Paulin, il tente d’impulser une dynamique vers la gare. Associés à cela, des modules lumineux ponctuent le cheminement. Ils apparaissent comme des veilleuses qui guident le riverain vers la clairière. Ce désir de connection est également mis en valeur par la présence de « flash code » positionné sur le module, qui renseigne sur les horaires de passage du train. La commune peut également s’approprier cet outil de communication afin de transmettre ses propres informations. Les modules deviennent de nouveaux supports de communicaton pour les différentes institutions.


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> les pieds de murs sont superficiellement creusés pour implanter une prairie fleurie

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PHASE 1 : implantation de la clairière

PHASE 2 : définition du réseau vert

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Plan 1 : 250 / Gare intégrée dans un paysage champêtre

PHASE 3 : aménagement des dessous de pont/mise en place des modules


Séquence - Clairière Cette valorisation doit passer par une forme paysagère marquante et emblématique des espaces naturels et ruraux présents à l’échelle du grand paysage. Les masses boisées existantes sur le site insèrent la gare dans un paysage champêtre. L’espace central, dépourvu de végétation laisse entrevoir l’existence d’une clairière. Cet élément paysager est fortement ancré dans le paysage puisqu’un maillage de clairière préexiste localement. L’effet de surprise provoqué par l’aménagement repose sur le contraste entre la partie ombragée, insufflée par un renforcement de la dynamique végétale le long de l’axe routier et la partie lumineuse de la prairie fleurie centrale. Ce travail effectué sur la lumière se fait également ressentir par les voyageurs à l’intérieur du train lorsqu’ils arrivent en gare. Séquence – Sous-bois

l’entrée en gare met en lumière le contexte naturel dans lequel l’infrastructure s’inscrit

Le passage ombragé est propice à la fabrication d’un sous-bois. Il sera néanmoins éclairé pour le rendre plus praticable. La réinterprétation d’un élément paysager naturel permet d’articuler la promenade à la séquence précédente. Séquence - Connexion Pour connecter les habitants à ces séquences de paysages champêtres idéalisés, un fil fleuri associé de peinture verte viendra longer les façades le long des axes principaux. Des installations lumineuses « connectées » viendront également ponctuer ces circulations. Les séquences tentent d’apporter du sens au territoire en impulsant une dynamique naturelle dans un néo-paysage urbain.


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Salix alba

Une clairière rythmée par trois strates végétales :

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Prairie fleurie

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ARBORÉE ARBUSTIVE HERBACÉE

Avec une mise en œuvre simple et une gestion d’entretien limité, le projet intègre la politique économique souhaitée par la SNCF. La prairie fleurie ne nécessite que deux fauches annuelles ; une en hiver et une autre en fin d’été. L’effet de surprise provoqué par l’aménagement repose sur le contraste entre la partie ombragée, insufflé par un renforcement de la dynamique végétale le long de l’axe routier et la partie lumineuse de la prairie fleurie centrale. Ce travail effectué sur la lumière se fait également ressentir par les voyageurs à l’intérieur du train lorsqu’ils arrivent en gare.

Coupe transversale de la clairière / Une gare isolée mais connectée


MISSION PILAT Projet réalisé en troisième année DPLG avec Romain GUINEHEUX, Anselme ARNAUD, Benjamin ETIEMBRE et Thibault DUVAL..

Le sujet présenté questionne la place de la Dune du Pilat au sein de l’ensemble du Bassin d’Arcachon. Les maîtres d’ouvrage à savoir le Conservatoire du Littoral et le Syndicat Mixte de la Dune du Pilat, souhaitent anticiper l’érosion naturelle de la Dune via un projet basé sur le long terme. L’évolution de l’élément naturel influe sur les pratiques que celui-ci génèrent. D’autant que l’image de la Dune rayonne à l’échelle de la Gironde voire de l’Aquitaine. L’échelle de travail ne se limite donc pas simplement au périmètre de la Dune mais s’étend à l’ensemble du Bassin. Le but du projet est de développer des méthodes de travail en groupe à partir de questions de paysage au niveau intercommunal. L’objectif est donc la recherche et l’apprentissage de l’écriture collective d’une méthodologie d’approche et d’action sur le territoire. Le principal moyen est de se mettre au contact des jeux d’acteurs et des systèmes habitants sur le territoire, de manière à élaborer une lecture du territoire en relation avec eux. Le travail de terrain nous mène à construire des outils de compréhension et d’actions sur le territoire par le biais des personnes qui l’habitent ou agissent directement sur leur paysage. L’angle pour construire ces outils est le paysage.

démarche

de groupe

La démarche consiste à identifier un point d’entré à travers le regard de différents acteurs du territoire (institutions publiques, associations et habitants). Pour cela, nous réalisons une maquette représentant le territoire du Bassin d’Arcachon et mettant en valeur son trait de côte ainsi que le relief associé. Le support est enduit d’une résine blanche de type «Veleda» qui permet d’effacer les inscriptions marquées au feutre.

2

1 Mise en place de la méthodologie : la maquette comme outil transitionnel. ACTEURS

associations

organismes publics

commerçants

Développement des nos recherches exploration du territoire et création d’un blog.

particuliers

http://missionpilat.wix.com/mission-pilat

DIRIG ALIM ER & ENT ER les pro po s

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BOITE À OUTILS

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FICHE RÉSUMÉE

de chaque acteur « maquette dessinée »

LIEUX COMMUNS d’intérêt

ÉCONOMIE

ÉCOLOGIE

SOCIAL

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Problème d’érosion du cap dû aux berges bétonnées d’Arcachon. Problème d’envasement dû au développement d’huîtres sauvages. Problème d’envasement dû à l’absence d’entretien des ripisylves.

SEPANSO 33

présentation de la méthodologie

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ENJEUX COMMUNS d’intérêt

Fédération régionale des associations de protection de la nature de la région Aquitaine, DIÀOLpH j )UDQFH 1DWXUH (QYLURQQHPHQW

L’idée est de faire dialoguer les acteurs autour de leur vision du territoire en utilisant le dessin comme méthode de représentation. Un à un, les dessins sont réalisés directement sur la maquette puis pris en photo. Ceux-ci mettent en lumière des problématiques spécifiques. La récolte de perceptions nous permet ainsi de confronter les discours et de faire emmerger des intersections paysagères et/ou interractions spatiales qui seraient potentiellement, porteur de projet.

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Mise en place de « Fiches acteurs » pour chaque personnes rencontrées L’exemple de M. Bonnet de la SEPANSO 33


éléments d’analyse

Les grandes entités paysagères du Sud bassin

Les grandes entités géomorphologiques du territoire

Forêt d’exploitation

la topographie du Bassin Forêt d’exploitation Massif dunaire du Cap Ferret Landes girondines Val de Leyre Massif dunaire du Pilat

les différents cheminements en milieu dunaire

Forêt usagère

Forêt usagère

Ports ostréicoles de La Teste au Teich Ville sous les pins Arcachon, la ville balnéaire Bassin découvert Bassin toujours en eau

Ville sous les pins


associations

MA

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Arcachon, la ville balnéaire

ET

Institutions

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habitants

Mise en parallèle des différents récits collectés et de nos lectures du paysage.

Ports ostréicoles de La Teste au Teich

Bassin découvert

Bassin toujours en eau

importance de la forêt usagère dans la fabrique des paysages du bassin d’arcachon

ÉLABORATION DE LA CARTE IMAGINAIRE & MISE EN AVANT DES ENJEUX AUTOUR DU CANAL DES LANDES


séquences paysagères du projet

- intentions générales Le projet propose de créer une continuité entre l’île aux Oiseaux et la route de Biscarrosse au Sud de la Dune du Pilat. L’objectif est de dévier la circulation routière située derrière ce site emblématique vers l’axe recrée autour du canal des Landes. L’intention permet d’envisager de manière différente la Dune. Le parking s’installe à environ 6 km à l’intérieur du territoire. Les transports doux, comme le vélo, l’équitation, la marche sont préconisés pour découvrir l’épaisseur du territoire. Une navette est également prévu pour inciter les visiteurs à se garer près du canal des Landes et ainsi parcourir les divers paysages qui mènent au sommet de la Dune.

Construction en lien avec le canal Cheminement dans la forêt usagère Aménagement pied de dune Canal bordé par des activités Canal bordé par espaces naturels Croisement des flux

N

L’exemple de la séquence « station pilat » - construction en lien avec le canal Place centrale et station de navette

Circulation douce menant au canal des Landes et aux stations de vélos et de canoë

Dialogue de l’architecture et des ciculations avec le cours d’eau et la forêt

Séquences d’interventions Pôles d’interventions

Construction en bois accueillant des commerces, un point d’information, une salle polyvalente, etc


MAINTENIR LES BERGES ‘À FLOT’

LA RIVIÈRE CHÂTEAUGUAY: PROPOSITION D’AMÉNAGEMENT CONTRE L’ÉROSION À L’AIDE DE TECHNIQUES DE GÉNIE VÉGÉTAL

Projet réalisé dans le cadre de l’année d’échange universitaire avec l’Université de Montréal. En groupe avec Louis-Philippe LÉTOURNEAU. île de montréal

Application des phytotechnologies en réponse à un enjeu environnemental territorial Depuis quelques années, le phénomène de l’érosion des berges fait de plus en plus les grands titres de l’actualité. Si au départ l’érosion des berges est un phénomène naturel, ses cycles s’en trouvent aujourd’hui fréquemment modifiés. En effet, en raison de nombreuses pressions anthropiques telles que le déboisement des berges, leurs artificialisations ou bien encore le réchauffement climatique pour ne nommer que celles-ci ; ce phénomène est régulièrement aggravé. Au Québec, ce sont principalement l’érosion des berges dans l’estuaire et le golfe du Saint-Laurent qui font les manchettes, et ce en raison de leurs amplitudes et de leurs caractères spectaculaires. Toutefois, l’on oublie aisément que l’érosion des berges ne se limite pas seulement aux zones d’eaux salées tel que l’estuaire ou le golfe du Saint- Laurent. À vrai dire, ce phénomène est tout aussi présent dans les milieux d’eau douce que ce soit dans des lacs, fleuves ou bien encore les rivières et ce non sans conséquence. En effet, en plus de provoquer la perte de terrain constructible et de menacer des constructions, l’érosion des berges est souvent néfaste pour la santé et l’environnement. Et ce, car celle-ci peut engendrer une diminution de la qualité de l’eau des cours d’eau en raison de l’important apport en sédiments, métaux et autres contaminants qu’elle provoque. Menaçant du même coup la santé humaine ainsi que la faune et la flore des milieux aquatiques. Ce constat est particulièrement alarmant dans de nombreuses rivières du Québec, et ce principalement en Montérégie. C’est pourquoi pour ce travail, nous avons choisi de nous intéresser au cas plus particulier de la rivière Châteauguay; où le phénomène de l’érosion des berges et bien présent et dont la qualité de l’eau est l’une des pires de la province.

Châteauguay

Mercier

N

rivière Châteauguay fleuve Saint-Laurent

station 1

station 3 milieux humides

zone urbaine

station 2

zone agricole

N


station 1 promenade sur quais

N

Ce site se situe au nord de la ville de Châteauguay plus précisément sur un terrain de stationnement situé en face de l’école de la rive. Actuellement, cette berge demeure complètement artificialisée par la présence d’un muret de soutènement. Celuici présente toutefois de nombreux signes de dégradation et de déstabilisation, c’est pourquoi nous proposons de le retirer afin de le remplacer par une technique mixte. L’emploi d’une technique mixte c’est-à-dire la combinaison d’enrochement et de caissons végétalisés est justifié par l’importante contrainte hydromécanique de ce secteur.

Coupe de situation actuelle mur de soutènement en béton défaillant

Boulevard Salaberry Nord zone de stationnement

0

1

2

ensemencement surfaces travaillées

zone inaccessible au public

rivière Châteauguay

4

des

agrafes de fixation du géotextile avec des fers à béton recourbés, Ø6 mm, longueur totale 80 cm (60 cm, 10 cm, 10 cm) -haut de berge : 2 pouces/m2 - caissons : 3 pièces/m/ niveau

Coupe du projet envisagé // EMPIERREMENT DE PIED SURMONTÉ DE CAISSONS VÉGÉTALISÉS

ramilles de saules, Ø 1-3 cm, longueur ≥ 80 cm, et arbustes, h 60-90 cm, densité variable tiges d’acier d’’armature, Ø 14 mm, longueur 50 cm matériaux gravelo-terreux en remblai chemise drainante, matériaux pierreux compacté par couche enrochement non gélif, diamètre moyen

longrines, Ø 25-30 cm, longueur variable ≥ 3 m moises, Ø 10-20 cm, longueur variable 1-4 m

profil de terrain initial Géotextiles

Sommet : treillis biodégradable de coco tissé, densité ≥ 700g/m2, largeur ≥ 2 m Hors eau : treillis biodégradable de coco tissé, densité ≥ 700g/m2, largeur ≥ 2 ou 3 m Enrochement : géotextile synthétique non tissé


station 3 MAINTIEN DE LA BERGE AGRICOLE La station 3 est située directement en face de la station 2 et correspond à une berge agricole au sein de la ville de Châteauguay. De par sa situation en milieu agricole cette berge se distingue des deux autres espaces d’intervention, et ce notamment en raison des contraintes naturelles et légales qui diffèrent. Actuellement, la berge de ce site est pratiquement totalement nul de toute végétation arbustive et arborescente.

Coupe du projet envisagé // FASCINE DE SAULES EN PIED ET COUCHES DE BRANCHES À REJETS ensemencement des surfaces travaillées pieux de saules ou autres, battus mécaniquement, pour fixation des couches de branches, Ø 6-10 cm, longueur ≥ 100 cm, espacement longitudinal et latéral des pieux 80-100 cm et fil de fer recuit Ø ≥ 3 mm

treillis de géotextile biodégradable tissé, densité ≥ 700 g/ m2 et agrafes de fixation avec fers à béton recourbés, Ø 6 mm, longueur totale 60 cm, environ 2 pouces/m2

branches de saules vivantes avec ramilles, Ø 1-3 cm, longueur ≥ 2.0 m, 30 à 40 pouces/ml, recouvertes de matériaux terreux, épaisseur ~ 5 cm ; ajout d’un ensemencement herbacé

branches de saules capables de rejeter, Ø 2-4 cm, longueur ≥ 2.0 m, environ 25 pouces/ml en alternant avec des matériaux terreux compactés et fil de fer recuit Ø ≥ 3 mm ramilles de saules, Ø 0.5 - 0.2 cm, longueur ≥ 70 cm, environ 40 pouces/ml branches « anti-affouillement » ramilles de saules ou autres, Ø 0.5-1.5 cm, longueur ≥ 70 cm, environ 40 pouces/ml 0

1

2

4

profil de terrain initial


Les 4 gardiens

Caractérisation territoriale et paysagère

Projet réalisé dans le cadre de l’année d’échange universitaire avec l’Université de Montréal. En groupe avec Tatiana KOLOMENSKAYA et Louis-Philippe LÉTOURNEAU.

La région des Laurentides, mais également celle de Saint-Sauveur connaît un développement urbain accéléré en raison de leurs proximités avec la ville de Montréal. La dynamique de périurbanisation de la région de Montréal n’est toutefois pas sans conséquence sur la ville de Saint-Sauveur et à commencer par ses paysages. C’est donc dans ce contexte de transformation des paysages de Saint-Sauveur que nous avons entrepris d’en faire la caractérisation. Ainsi grâce à cette étude, nous serons en mesure de proposer quelques recommandations qui permettront de protéger et mettre en valeur ces paysages. > de la lecture des enjeux du paysage de Saint-Sauveur vers une méthode et démarche de caractérisation organisation selon 3 thématiques

cadre de vie > villégiature > patrimoine > pérennisation du cadre bâti // regénération - densité - vieillissement > identité de la ville > intégration des axes routiers dans le milieux de vie (apaisement de la circulation) > mise en valeur des perspectives sur le paysage (de la ville vers les alentours et inversement)

nature > pollution environnement > privatisation des paysages : accès à la nature contraint > intégration des nouveaux bâtis dans la nature > intégration des structures autoroutières dans le paysage > conservation et mise en valeur de l’identité/ paysages naturels > connaissance et protection des milieux naturels / sensibilisation

tourisme constats > entretenir une attractivité pour conserver une notoriété

> espace urbain fragmenté > discontinuités entre les milieux urbains et naturels

e vi re d

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petit village

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joie de vivre

campagne à la ville

boutiques touriste

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emplacement

nature

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nature

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Un territoire perçu par ses habitants Ainsi, afin de pouvoir recueillir la perception qu’ont les habitants de Saint-Sauveur à propos de leurs paysages nous avons effectué un sondage composé de 3 étapes soit : l’identification des habitants, de leur perception spontanée et orientée, à propos du territoire. Pour ce faire, nous avons tout d’abord identifié les renseignements généraux des répondants. Puis, nous leur avons demandé de décrire Saint-Sauveur en 3 mots. Ensuite, sans aucun repère, ceux-ci devaient dessiner une carte mentale de la ville de Saint-Sauveur. Et enfin, à l’aide d’un support cartographique, les répondants devaient cette fois décrire et localiser leurs perceptions du territoire à propos de questions ciblées. En définitive, cette démarche nous a permis de préciser le découpage spatial de la ville Saint-Sauveur et d’en identifier les principaux quartiers. De même, nous avons pu identifier les points négatifs et positifs de la ville sur lesquelles nous pourrons porter notre attention. Finalement, en comptabilisant les mots clés recueillis lors des sondages, nous avons constaté que l’emploi de termes autour de la notion de «nature» était peu fréquent. En effet, les intéressés mettent l’accent sur des aspects liés au cadre de vie et au tourisme. Un comble pour ce territoire qui doit l’essentiel de son développement à ses milieux naturels.

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Analyse des unités de paysage de l’espace urbain de Saint-Sauveur

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> Les unités de paysage : spatialisation, potentialités et ruptures


> Les unités de paysage : spatialisation, potentialités et ruptures Analyse des unités de paysage de l’espace urbain de Saint-Sauveur Exemple de deux planches synthétiques issues de l’analyse des unités de paysage identifiées.

« villégiaturbanisation »

centre-ville historique Caractérisation de l’unité

Caractérisation de l’unité

Niveau de perception > Région naturelle : vallée de Saint-Sauveur > Ensemble physiographique : implantation sur un sol sableux

Niveau de perception > Région naturelle : vallée de Saint-Sauveur. > Ensemble physiographique : implantation sur un sol sableux.

Description > Occupation du sol mixte : habitations, petits commerces de proximité (restaurants, café, etc.) et secteur institutionnel (église, mairie, école, etc.) > L’église constitue le point central physique et symbolique du centre-ville .

Description > Occupation du sol : présence de maisons individuelles, pour la plupart prestigieuses > Aménagement : les habitations s’ancrent dans le relief de la montagne. Les parcelles sont étendues et accueillent des jardins entretenus, parfois fondus dans le décor forestier

Ambiance paysagère et perceptions > Caractère patrimonial important : présence de nombreux bâtiments historiques aux styles variés

Ambiance paysagère et perceptions > L’omniprésence de la forêt permet de dissimuler les habitations > Les parcelles privatisent certains belvédères naturels

Valorisations > Patrimoine architectural (maisons et église) > La rue Principale ainsi que l’ avenue de la Gare constituent les principaux axes touristiques patrimoniaux

Évaluation de l’unité

Évaluation de l’unité Qualités esthétiques, visuelles, symboliques : Forte Maisons aux façades diversifiées Présence de quelques points de vue ouverts sur les montagnes en arrière plan Secteur chargé d’histoire en raison de son ancienneté et de l’importance de son patrimoine bâti Quelques lieux fortement symboliques tels que l’Église Caractère identitaire : Fort Le caractère traditionnel des maisons, le caractère patrimonial de la rue Principale et les quelques points de vue éloignés sur les sommets représentent l’identité du centre-ville de la commune de Saint-Sauveur Capacité de transformation : Faible La densité bâtie du centre-ville ne facilite pas de nouvelles insertions et limite l’ouverture sur le paysage environnant à quelques points de vue D’autre part, la capacité de transformation de ce secteur est limitée en raison de son caractère patrimonial

mise en avant des potentialités du territoire L’identification et l’analyse des unités de paysage permettent de mettre en lumière les différentes potentialités de la ville de Saint-Sauveur. Les différents ensembles révélés s’appuient sur la structure des unités de paysage.

Valorisations > Les milieux forestiers

Qualités esthétiques, visuelles, symboliques : Forte Cette unité paysagère offre peu de perspectives visuelles sur les paysages depuis les voies de circulations, car il s’agit d’un milieu très boisé. Ce milieu possède toutefois de fortes qualités esthétiques et symboliques en raison notamment des nombreux arbres matures qu’on y retrouve. Caractère identitaire : Fort L’architecture des constructions présentes dans cette unité ne contribue pas à proprement parler à former une identité forte à ce milieu. Toutefois, celles-ci s’inscrivent dans un milieu naturel (les monts et montagnes) qui possède une forte valeur identitaire pour la municipalité de Saint-Sauveur. Capacité de transformation : Faible Cette unité paysagère possède une capacité de transformation moyenne en raison notamment de la fragilité des milieux naturels juxtaposant cette unité paysagère ainsi qu’en raison de son faible niveau d’urbanisation qui la caractérise.

Identification de trois formes de ruptures : infrastructures routières (Jean Adam, A25), infrastructures touristiques, développement urbain (en pied de montagne et sur les points culminants). Témoins de la distance créée entre habitants et paysage. Significatifs de la responsabilité des aménagements sur la montagne. En quoi les discontinuités physiques du territoire peuvent-elles impulser un projet d’ensemble ? préservation / mise en valeur

ANCRER LE CARACTÈRE IDENTITAIRE DU CENTRE-VILLE

> > > > >

maintenir l’église comme repère central de la commune valoriser le patrimoine bâti sur le rue Principale entretenir la diversité esthétique des façades bâties valoriser les perspectives sur les hauteurs depuis la rue Principale et le parc Georges-Filion marquer l’entrée de ville en amont de la rue Principale

préservation

AFFIRMER L’OUVERTURE DES QUARTIERS RÉSIDENTIELS

> garantir un cadre de vie privilégier, mis à l’écart du flux touristique saisonnier > conserver l’ouverture sur les marges avant et les façades bâties, témoins de la diversité esthétique du quartier > maintenir des points de vue ouverts depuis les axes de circulation sur le paysage éloigné développement

CONFÉRER UN ATTRAIT PAYSAGER D’ENVERGURE À L’ESPACE DE COMMERCES ET SERVICES

> aménager un noyau commercial > faire évoluer la structure de la voie Jean Adam afin notamment de > souligner des perspectives sur les hauteurs alentours depuis les espaces ouverts

S’APPUYER SUR LA STRUCTURE TOURISTIQUE POUR CONSIDÉRER LE POTENTIEL PAYSAGER

> donner accès à la montagne depuis les infrastructures touristiques durant la saison creuse > valoriser les points de vue d’intérêt sur la vallée de Saint-Sauveur depuis les monts

DÉVELOPPEMENT / MISE EN VALEUR

PRÉSERVATION / MISE EN VALEUR

VALORISER LES ESPACES D’INTÉRÊT PAYSAGER SUR LE PLAN VISUEL ET PHYSIQUE

> > > > >

contrôler l’expansion de la privatisation des sommets préserver les milieux naturels sommitaux entrevoir le paysage comme bien commun encourager un entretien soigné des architectures et des espaces extérieurs estomper l’impact visuel des architectures (réglementation esthétique)


> la promenade comme structure de réponse analyse et définition des parcours

mont

Mise à distance habitant/paysage La dynamique touristique saisonnière contribue à cette dynamique de distanciation. Le paysage semble être exploité uniquement à des fins économiques. On pourrait parler de «consommation du paysage» dans la mesure où celui-ci est perçu tel un décor théâtral, presque dépourvu de sens écologique.

église St-Sauveur piste annuelle piste estivale parcours thématiques mont Molson mont Belvédère mont St-Sauveur mont Christie

Le projet envisagé propose de réengager un dialogue entre l’habitant et son paysage, entre la ville et les hauteurs. De quelles manières ? > ouvrir des sentiers urbains qui évolue jusqu’aux sommets avoisinants > développer des promenades thématiques en mettant en avant des données environnementales, historiques et géologiques (en somme paysagères) Pourquoi ? > ouvrir les habitants aux réalités du territoire, donner à voir le paysage d’autrefois et ainsi stimuler leur curiosité face au milieu > mise en valeur du patrimoine paysager : aspect pédagogique, ludique pour les habitants et les nouveaux habitants > initier les touristes à l’histoire et la nature des lieux afin de sensibiliser la conscience collective au cadre de vie naturel de Saint-Sauveur

point de vue d’intérêt

Les 4 monts gravitent autour de l’espace urbain de Saint-Sauveur. Cette formation confère un potentiel paysager d’envergure à l’échelle de la ville.

Exemple de la promenade du

mont Saint-Sauveur DISTANCE 6,1 km soit 1h30

élévations

Dénivelé positif : 206m maximale : 407m

départ/arrivée

Église de Saint-Sauveur

mont point de vue d’intérêt

LE PATRIMOINE paysager POUR FÉDÉRER > la promenade comme réponse aux césures du territoire

bâtiment d’intérêt patrimonial église St-Sauveur points de vue d’intérêt sur le paysage

Afin de mettre en place ce schéma pédestre, nous nous appuyons sur les 4 sommets qui rayonnent autour de l’espace urbain de Saint-Sauveur, à savoir : le mont Saint-Sauveur, le mont Christie, le mont Belvédère et le mont Molson. La structure est dirigée en fonction des qualités paysagères qu’offrent les parcours. Pour les identifier finement, nous établissons une analyse pour chaque promenade. Celles-ci mettent en lumière les potentialités et/ou les aspects qui ne participent pas à la dynamique de lecture du paysage. En relation avec les potentialités et les ruptures identifiées à l’échelle de la ville, les tracés des parcours dévoilent des intentions de projets.

mont Molson mont Belvédère mont St-Sauveur mont Habitant mont Christie église Saint-Sauveur

perspectives ouvertes sur les paysages éloignés et à proximité perspectives fermées sur les paysages à proximité perspectives fermées sur les paysages éloignés et à proximité

évaluation thématique

parcours annuel Saint-Sauveur parcours estival Saint-Sauveur environnement géologie histoire

intersections ruptures ruptures


> la promenade comme structure de réponse

intentions de projet à l’échelle de saint-sauveur

intentions de projet à l’échelle de saint-sauveur

aménagement des sentiers > mise en valeur des points de vue d’intérêt

Après avoir analysé les unités de paysages qui composent Saint-Sauveur, nous avons été en mesure d’en identifier les potentiels et les contraintes ainsi que les principaux éléments de rupture. L’accumulation et la mise en perspective des analyses, nous amènent dessiner un projet d’ensemble et à envisager quelques propositions d’interventions. Ces dernières se composent à la fois de recommandations réglementaires ainsi que de quelques propositions d’aménagements.

impulser l’ascension vers les hauteurs

Mont Belvédère

Mont SAINT-SAUVEUR

Mont Christie

structurer les intersections en contact avec les ruptures automobiles

aménager des espaces de vie en réponse aux enjeux de discontinuités Mont Molson

A’

Mont Christie

A

Mont Belvédère

Mont St-Sauveur

mont

impulser l’ascension vers les hauteurs

parcours annuel parcours estival

structurer les intersections en contact avec les ruptures automobiles

église Saint-Sauveur

aménager des espaces de vie en réponse aux enjeux de discontinuités

aménager les sentiers > mise en valeur des point de vue d’intérêt

ruptures

A

complexe commercial

avenue Jean Adam

circulation partagée

espace public ouvert sur le paysage

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les paysages de l’innovation l’utopie comme stratégie de projet Projet réalisé dans le cadre de l’année d’échange universitaire avec l’Université de Montréal. En groupe avec Marianne PASCUAL et Émilie LANGLOIS.

• Création et expansion des Îles du Saint-Laurent pour accueillir l’Exposition universelle • Lieu à l’écart de la ville où la découverte et la rencontre des nations est possible (passeport des visiteurs) • Lien fort avec l’eau typique des villes célèbres de l’Utopie

UN NOUVEAU RÉSEAU DE MOBILITÉ

• Création d’un réseau complet de mobilité pour accéder à l’Expo et pour naviguer à travers le site • Système novateur qui emprunte une multitude de voies (sous-terraines, surelevées, sur l’eau) • Infrastructures dédiées à l’Expo maintenant disparues; le vaporetto, l’aéroglisseur, le mini-rail, l’expoexpress, la gondole • Legs publics importants qui ont marqué le développement de Montréal

• Création d’un circuit axé sur la découverte (Terre des Hommes et pavillons de l’Homme bâtisseur) • Pavillons dédiés aux nouvelles technologies (communication, cinéma, aérospatiale, etc.)

UNE ARCHITECTURE D’AVANT-GARDE

L’UTOPIE ET L’EXPO 67 À MONTRÉAL L’ÎLE COMME SITE DE L’UTOPIE

Nombreux sont les bâtiments et structures de l’Expo 67 qui marquent le paysage de Montréal. Ils sont des legs importants qui participent à créer l’identité visuelle de la ville. Toutefois, le secteur à l’étude a été marqué de manière différente par le passage de l’Expo 67. Contrairement au reste de la ville, l’événement y a laissé d’importants vides. Ces cicatrices défigurent et déconstruisent le secteur. Elles participent à l’enclavement du secteur et brouillent ses frontières.

LA MISE DE L’AVANT DES NOUVELLES TECHNOLOGIES

Autrefois une porte d’entrée vers le site de l’Expo 67, le secteur Bridge Wellington de Montréal est intimenent lié à l’histoire de l’exposition universelle de 1967. Bien que le lien physique entre les deux secteurs ait été rompu, celui-ci persiste dans la mémoire collective des Montréalais. Ainsi, L’Expo 67 agit comme ancrage conceptuel initial du projet des Paysages de l’innovation.

• Mise de l’avant d’une architecture d’avant-garde et internationale • Développement de nouveaux matériaux et de nouvelles méthodes de construction


CONSTRUCTION DE L’UTOPIE

LES THÈMES DE L’UTOPIE CONTEMPORAINE

1

4 3 5

2

vers Une nouvelle expérience de la ville >

1. Le campus Peel 2. Les nouveaux silos 3. Le coeur du quartier 4. La station des silos 5. La forêt des industries > Le bassin Peel comme amorce de l’utopie > La trame bleue comme fil directeur > Un circuit de transports alternatifs pour connecter


le campus peel

les nouveaux silos


etudes de territoire Quelle vaste thématique ! Une recherche de longue haleine afin de mettre en valeur les différentes problématiques associées à un territoire. Plonger dans l’histoire puis analyser l’existant pour simuler quelques prospectives d’avenir. Un travail fastidieux mais qui paraît presque indispensable à chaque projet tant il permet de dégager les sens d’un espace.


100 ans paysage Anglet, un littoral entre deux eaux LE SUJET

Le mémoire « Cent ans de paysage »est un travail de fin d’étude et de recherche personnel. Il consiste en l’élaboration et en la présentation orale, graphique et écrite d’une lecture de paysage. Il est l’aboutissement d’un travail d’observation et de recherche d’explications, dont le but est de mettre à jour les règles qui organisent la matérialité évolutive du paysage étudié. L’objectif est de produire un document qui explicite les principaux déteminants naturels et sociaux de l’aspect du paysage, et replace ce dernier sur un axe histoire-prospective. La démarche mise en oeuvre dans ce travail est celle qui permet de construire une représentation du paysage permettant à ce dernier de devenir un outil de médiation, c’est-à-dire un objet autour duquel peuvent se matérialiser échanges, points de vues et les débats que nécessite l’élaboration de projets concertés de territoire.

MON SUJET

Mémoire de recherche réalisée en deuxième année DPLG.

Certains diront « Dia ! Un angloy qui étudie Anglet ?! Ça peut être qu’un touriste ! » lorsque d’autres s’exclameront « Quoi tu travailles sur Anglet ? En même temps, un basque ça bouge rarement de chez lui ! » Si j’ai l’occasion de pouvoir m’exprimer sur le choix de ce sujet, je tiens à ce que vous en soyez informés avant de vous immiscer dans cette modeste étude. En effet, je suis angloy. Tout comme mon père et mon grand-père l’étaient avant moi. Mais le paysage évolue avec le temps et des souvenirs s’y ancrent. Le grand-père a connu Anglet jonché de parcelles agricoles depuis la Butte aux Cailles jusqu’à l’embouchure de la Barre, entre cultures de maïs et vin des sables. Le paternel quant à lui se remémore à la fois une chasse aux lapins le long des dunes du littoral et la course folle des chevaux damant la madrague de l’hippodrome. Moi-même, je ris encore des aventures intrépides à travers la forêt du Pignada jusque vers la plage. Un même paysage se vit différemment selon le temps. Le paysage d’Anglet évolue encore à une vitesse telle que certains souvenirs sont parfois balayés et enfouis par un quelconque projet immobilier en un rien de temps. À travers cette étude, je souhaite plonger dans la mémoire de mes ancêtres et m’associer à leur vision, et surtout saisir le sens du fameux « ça a bien changé » de mes pères. L’étude permettra de retracer l’histoire d’une commune et de garder une trace qui pourra être communiquée aux plus jeunes afin qu’ils prennent conscience de la mutation de leur espace de vie et donc de leur paysage . Retrouvez ce travail en ligne sur le site ISSUU : http://issuu.com/alexdaguerre/docs/100_ans_paysage_-_anglet__un_littor


25 km2 - mosaïque en péril, le bec du gaves En confluence du Gaves et de l’Adour Étude réalisée réalisée en première année DPLG.

Le sujet 25km2 a pour but une initiation à la pratique de l’analyse paysagère. Il s’agit d’appréhender les formes visibles comme le produit évolutif de déterminants physiques et sociaux, dont la recherche et la caractérisation constituent le fondement de toute approche raisonnée du paysage. L’objectif est de centrer les apprentissages sur la mise en œuvre d’une démarche d’investigation donnant la priorité à l’exploration des dimensions temporelles et spatiales des paysages. Ces derniers sont ainsi replacés sur un axe histoire-prospective et mis en relation avec des niveaux spatiaux hiérarchisés relevant de l’espace vécu.

Peupleraies

Habitat isolé

Coteaux qui plongent dans l’Adour : culture mécanique impossible

Forêt mixte

PORT-de-LANNE le Port Château du Bec du Gave

Présence de ruines

forêt communale

Lotisssements XXIe siècle

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Océan Atlantique

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PORT-de-LANNE Ga

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BAYONNE

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LANDES

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PYRÉNÉES-ATLANTIQUES HENDAYE

Le paysage du Bec du Gave est un site naturel, à la confluence des eaux et des cultures. Il fait partie du pays d’Orthe qui s’étire entre le littoral aquitain et le massif des Pyrénées. Il est scindé par les Gaves Réunis et l’Adour, entre les Landes, le Béarn et le Pays-Basque. Ces deux cours d’eau constituent de grands axes et correspondent à une interface d’échange entre les terres intérieures et le littoral. Ils creusent donc un sillon essentiel dans la formation du paysage. La commune de Port-de-Lanne, située sur la confluence, participe à ce dynamisme à échelle régionale. La plaine alluviale de l’Adour abrite de multiples activités, notamment autour de pratiques agricoles. Il s’agit plutôt d’une adaptation de pratiques agricoles liée à un milieu soumis aux crues.

Ancien chemin de halage Importante présence de maïsiculture la Ruade

Habitations sur digue associées à un ponton

Plaine alluviale : sylviculture, vergers, maïs

Un paysage qui paraît naturel mais en réalité complètement façonné par l’Homme. Une occupation des sols qui tient compte d’une topographie à étage.


LES BARTHES : UN ESPACE PRIS AU PIÈGE LES COTEAUX BOISÉS

D81

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L’ensemble de la rive gauche appartient à la commune de Sainte-Marie-de-Gosse. Les coteaux permettent de distinguer clairement l’espace des barthes.

l’ A

Situées en bord de Gave et de l’Adour, les barthes de Port-de-Lanne et de Sainte-Marie-de-Gosse sont l’élément principal autour duquel s’est constitué l’ensemble de la vallée de l’Adour. Cet espace en creux est façonné par l’Homme dans l’optique d’alimenter les terres en sédiments alluviaux. Un réseau complexe de canaux et de digues ayant pour but l’assèchement de ces marais fut établi vers la fin du XVIIIè siècle avec des clapets anti-retour appelés portes à flot qui permettent aux barthes de se vider à marée basse et de contenir l’eau du fleuve à marée haute. Ce système est organisé de manière orthogonale et correspond dans la majeure partie des cas aux limites parcellaires. Il matérialise la propriété et distingue différentes activités. Des activités en rapport avec les crues mais qui ont tendance à évoluer.

7

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St-MARIE-de-GOSSE

habitat sur digue

Gaves Réunis

Barthes hautes

Barthes basses

Coteaux / Séquè

Ces barthes sont principalement occupées par l’activité sylvicole qui a pris l’ascendant sur la maïsiculture et le pastoralisme. Les parcelles correspondent à des peupleraies qui unifient l’espace et brisent une mosaïque de cultures. De plus, cette exploitation dissimule un relief spécifique et tend à aplanir l’espace.

Ba

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le Moulié Rnes

Cassedousséou Rnes Miradour Horgave

Les rives sont ponctuées par des pontons où l’intérêt se porte vers le tourisme.

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26

1

Les prairies de fauche dynamisent l’espace. Mais les peupleraies bloquent une lecture du paysage alentour.

Les espaces de patûre en pente côtoient l’Adour.

Cette forme en pente limite la pratique de certaines activités agricoles. Au début du XXe siècle, les coteaux habitaient essentiellement de la pâture. Suite à un recul de l’activité agricole sur l’ensemble du complexe coteau/plateau, un boisement se forme. L’habitat se dissimule sur le plateau à travers quelques percées mais également sur le coteau depuis le début du siècle. Certaines architectures présentes au pied du coteau correspondent à d’anciennes exploitations en lien avec les barthes, notamment au sud.

GUICHE

échelle 1

Barthes de Haches

Adour / Gave Réseaux de drainage Courbes de niveaux Vergers Bâtis Voies de circulations

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le Port

PORT-de-LANNE

la Ruade

Depuis les hauteurs de Port-de-Lanne, la perspective sur l’Adour est bloquée par la sylviculture des barthes.

Barthe lous Berns

Bec du Gave

Gaves R éun is

Ce dernier se situe à l’entrée de Port-de-Lanne, venant d’Orthevielle par un ancien chemin qui surplombe les barthes. Il comprend de l’habitat individuel ainsi que quelques fermes encore en activités. L’espace est ouvert et les terres agricoles dominent encore. Certaines de ces terres sont mise en pâture tandis que d’autres sont consacrées à la maïsiculture ou à la fauche. Au premier abord, le centre-ville est peu perceptible. Il abrite pourtant une église gothique des XIIIe - XIVe siècles plusieurs fois remaniée dont le clocher-porche date des XVIIe - XVIIIe siècles. Du logement individuel dynamise cet espace grâce à ses jardins garnis. Des lotissements à maisons individuelles datant du début du XXIe siècle s’organisent sur les abords du centre. Port-de-Lanne est dépourvu de commerce de proximité. C’est un village de passage.

Quartier des îles

SAMES A64

1 : 35000

N

UN ESPACE URBAIN HÉTÉROGÈNE

L’entrée de Port-de-Lanne est marquée par le franchissement d’un pont de pierre qui permet de prendre en compte l’Adour, cours d’eau dont les berges enfrichées la rendent discrète dans ce territoire malgré son importance majeure. Le village se retrouve essentiellement autour de trois quartiers : le quartier de Lannes, le quartier du Port et le quartier de l’Arruade. Une partie haute de coteaux calcaires, unissant coteau et plateau, protégée des inondations regroupe le quartier de Lanne et celui de l’Arruade.

Les barthes

Le « Chemin du port » relie le centre au port situé sur la rive droite de l’Adour. Cet axe participait à l’acheminement des marchandises vers l’Est et pour la transmission vers Bayonne. Il est aujourd’hui bordé d’habitats individuels également pourvus de généreux jardins. L’architecture du quartier du Port s’organise autour de l’activité du commerce. En témoigne les grandes bâtisses qui accueillaient à la fois les familles mais aussi les différentes marchandises. Le déclin de ce réseau d’échange engendre l’abandon d’une partie de ces habitations.

Les coteaux boisés Espace urbain Paysage ouvert Le port propose une perspective ouverte sur l’Adour et sur les terres de Sainte-Marie-de-Gosse.


OUVERT

L’Adour délimite les Landes à l’ouest des Pyrénées-Atlantiques à l’est. Le territoire correspond aux communes de Sames et de Guiche. La géomorphologie de la plaine est similaire à celle de l’ouest. Cependant, le paysage semble plus ouvert et plus étendu. Les cultures de maïs et de kiwi font face à la mise en place de la sylviculture. L’entretien du réseau d’irrigation participe à la conservation du paysage agricole. Ces éléments nous assurent une différence de gestion de l’espace sur les deux rives.

PAYSAGE

Cette différenciation correspond à des politiques à l’échelle du département. Les deux espaces proches géographiquement, paraissent appartenir à deux territoires différents. La variation de gestion influe directement sur les cultures, dès l’ouverture du paysage et donc sur l’ambiance paysagère.

UN

Pourtant, ces administrations territoriales s’associent autour d’une problématique commune qui est celle de l’activité écologique au sein des barthes de l’Adour. La reprise agricole croissante semble scinder le paysage. Sur les coteaux, elle le ferme, les boisements reprennent place et d’anciennes exploitations tombent en ruine. Les barthes du côté landais sont collonisées par une sylviculture qui participe à une monoténéité et une perte de diversité. De plus, elle unifie l’espace et ferme les perspectives sur l’ensemble du paysage.

Plaine ouverte en Pyrénées-Atlantiques

La liaison physique par les cours d’eau doit stimuler une vision d’ensemble à l’échelle du milieu. Certains acteurs mettent en place des actions comme les zones ZNIEFF ou des plans de gestion à l’échelle de l’Adour. Différentes solutions semblent être apportées par les différents espaces administratifs. C’est ce qui est ressenti à travers en ces des lieux avec des paysages contrastés

Progression des pleupleraies dans les Landes Ré s u m é n on te ch n i qu e du D O C u m e n t d ’O B je ct i f s d u s it e N a tu r a 2 0 0 0 de s B ar th e s de l ’ A dou r

La carte du site

Communes concernées Angoumé, Biarrotte, Biaudos, Candresse, Clermont, Dax, Goos, Gousse, Heugas, Hinx, Josse, Mées, Mimbaste, Narrosse, Oeyreluy, Orist, Pey, Pontonx-sur-l’Adour, Port-de-Lanne, Préchacq-les-Bains, Rivière-Saas-et-Gourby, Saint-Barthélémy, Saint-Etienned’Orthe, Saint-Geours-de-Maremne, Saint-Jean-de-Marsacq, Saint-Laurent-de-Gosse, Saint-Paul-lès-Dax, Sainte-Marie-de-Gosse, Saint-Martin-de-Hinx, Saint-Martin-de-Seignanx, Saint-Pandelon, Saint-Vincent-de-Paul, Saubusse, Saugnac-et-Cambran, Seyresse, Siest, Sort-en-Chalosse, Tarnos, Tercis-les-Bains, Téthieu, Yzosse.

Quelles sont les différentes politiques de gestion ménées autour du paysage de la confluence de l’Adour et du Gave ?


espaces & mises en scenes Ici, nous redescendons dans les échelles. Différents espaces associés au domaine de l’aménagement y sont présentés. Ceux-ci convoquent à la fois des notions d’architecture, de paysage voir même de scénographie. Ils mettent principalement en scène des sortes de micro-structures assez spécifiques


sur les flots Le parcours urbain pour révéler Concours d’idéation pour la conception d’une place publique avec aménagement comestible sur l’Avenue Louis-Collin à Montréal

du solide

au liquide

Le projet « Sur les flots », engage un dialogue avec son territoire. En effet, il met en scène la linéarité des lieux en s’appuyant sur le contexte géographique et sociologique de l’avenue. Située au pied de la montagne l’avenue Louis-Colin au sein d’un quartier étudiant et regroupant de nombreuses ethnies. Jouons de ces deux thématiques pour impulser une nouvelle dynamique au sein du quartier. Amusons-nous de l’espace public pour inciter les habitants à s’approprier leur cadre de vie. L’eau correspond à la ligne directrice du projet. Celle-ci stimule une esthétique qui prend source au sommet de la montagne et évolue sous différentes formes au fur et à mesure de sa descente. Le motif mis en place symbolise ce changement d’état : de la fonte des neiges au retour du printemps synonyme de belles journées ensoleillées. Cette liquéfaction s’étale à travers les différentes voies de circulation et apparaissent nettement comme un repère à l’échelle de l’Université de Montréal.

1>

révéler

peinture au sol : motifs rigides qui se liquéfient progressivement sur l’espace public.

2>

creuser

gestion des eaux pluviales à ciel ouvert, en connexion avec l’aménagement projeté de CIVILITI.

3>

planter

dans la dynamique du projet Darlingtown, mise en place d’un corridor qui participerait aux continuités écologiques.


échelle 1/250

Le projet est envisagé en différentes phases. Tout d’abord, par ce traitement graphique, il révèle la géomorphologie du site et donne à voir le rapport physique de l’habitant à la montagne (étape 1). Puis, suite à ce premier contact, l’eau prend place physiquement dans l’avenue et se connecte ainsi avec l’ouvrage projeté de CIVILITI (étape 2). Enfin, l’avenue laisse se développer diverses strates végétales associées à la gestion des eaux et s’associeront aux pratiques quotidiennes des habitants (étape 3). Tout comme l’ensemble des projets portés par le service ‘Développement durable’ de l’université, le projet d’ensemble est présenté sur le long terme. Le projet de l’été 2017 correspond à la première étape.

tube de remplissage d’eau en PVC membrane protectrice intérieur pour l’ensemble du bac terre de plantation membrane d’aération perforée (peut être des contenant de plastique recyclé) bac en plastique pour contenir l’eau panier à mèche (corde tissée ou tissu) contenant la terre de plantation tube d’évacuation d’eau excédentaire

ambiance l’avenue sous de nouvelles couleurs

modules de repos en bois

N


mendiak haratago Jardin particulier sur les hauteurs de la commune basque d’Ahetze Conception extra-scolaire pour particulier.

LOCALISATION des points culminants / relation visuelle avec l’espace de projet

Un périmètre de projet inscrit dans un territoire rural Le projet s’inscrit à l’échelle d’un relief atypique entre océan et montagne. Marqué par la vallée de la Nive et de l’Uhabia, le relief collinaire mène progressivement vers la chaine pyrénéenne au Sud. carte du relief

Parcellaire agricole affecté par remembrement > mécanisation > parcelles plus étendues > déclin de l’agriculture > extension des boisements > extension des espaces urbains aujourd’hui

aujourd’hui

le

1954

1954

> boisement dense qui vient en frange de parcelle > arbres isolés absents > mise en place d’habitats individuels sur les crêtes le long des axes routiers > parcelles vastes où l’habitat est associé à des espaces jardinés > rupture avec le système agricole avoisinant

Le potentiel paysager fort du cadre dans lequel s’inscrit la parcelle peut agir comme structure de projet. La situation en hauteur nous permettra ainsi de traiter du rapport d’ouverture sur le grand paysage, et plus particulièrement avec le relief alentour.

Col de St Ignace 169m la Rhune 905m

Peña Plata 756m


Mont Ursuya 678m

Pic d’Ezcondray 551m

Mondarrain 749m

Pas de Roland

Artzamendi 926m

Mont Baïgura 897m

L’espace privé peut proposer d’engager un dialogue avec son l’environnement. Il est vrai que c’est bien lui qui fait exister la parcelle. Ici, le concept est d’associer ces deux échelles d’espace de manière visuelle. Et donc de jouer des propriétés évidentes de la bâtisse. Elle est isolée et sur un point haut, ce qui lui permet d’embrasser une partie de la chaîne pyrénéenne. Il semble intéressant de saisir ces potentialités afin de structurer l’espace extérieur, et donc d’ancrer la bâtisse au cœur de son territoire.

Col de St Ignace 169m

Mont Baïgura 897m

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la Rhune 905m Pena Plata 756m

Mondarrain 749m

Artzamendy 926m

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Le principe est d’orienter des ‘lauzes’, ces stèles de pierres locales, dans la direction des points culminants à proximité. Celles-ci sont gravées et renseignent sur les points hauts alentours. Le jardin joue ainsi le rôle de cadran à l’échelle du territoire et contraste avec la prairie fleurie sauvage structurée de manière orthogonale. Cette strate herbacée colorée durant la pleine saison permet de sublimer une bâtisse basque à l’identité marquée. Un cheminement descend jusqu’en bord de piscine et se poursuit vers l’allée des fruitiers en contrebas. Le cheminement existant en bord de parcelle est conservé et revêtu d’un paillage végétal.

plan échelle 1:1000 N

perspective entrée

prairie fleurie

espace de halte orienté vers les montagnes des Pyrénées

massif en bord de piscine

allée des fruitiers

réemploie des végétaux sur place afin de renforcer la haie de thuya protectrice

les pas permettent un accès plus sécurisé jusqu’à la piscine

+0,00 -0,70

- 0,70

façade sud

façade est


perspective cheminement entrée automobile

perspective espace de vie

le massif mixte orne la piscine et laisse la chênaie en arrière-plan apparente

le massif mixte colore l’entrée de manière sobre et habille le mur blanc du fronton

façade OUest


HISTOIRE DE CAGETTE Questionner le matériau Projet réalisé au cours de la première année BTS Design d’Espace.

Après une phase d’expérimentation autour de la cagette dans laquelle nous avons pu faire une approche des qualités structurelles et esthétiques de ce produit, nous nous sommes associés sous forme de groupes dans le but de fusionner nos recherches et principes. Ces derniers devront être appliquables à l’échelle d’une micro-structure, et devront être réalisés de manière concrète dans le lycée Cantau. Deux expérimentations se basant sur des principes communs ont été retenus pour les intérêts qu’ils présentaient dans l’espace. LÉGER MALÉABLE OPAQUE

JUXTAPOSER ACCUMULER PLEIN / VIDE AJOURER Ce procédé permet un jeu d’ombre et de lumière qui va créer une certaine ambiance. Cette ambiance varie selon le type d’ajourage, de la matière ajourée, de la forme du mur ajouré, etc. L’expérimentation ajourée épouse une forme hémisphérique et provoque une sensation de protection. Ce recroquevillement aspire à un aspect sécurisant.

Afin que le système d’ajourage par juxtaposition soit efficace, il convient d’orienter le mur ajouré face au soleil. Nous avons défini la forme générale de la structure grâce à la branche branlante de l’arbre. Son aspect fragile est renforcé par la structure qui vient la soutenir. La structure vient envelopper l’espace afin de lui conférer un caractère protecteur.


Cette micro-structure reprend l’aspect symbolique du nid et du coquillage. L’intérieur est semblable un microcosme intime, à un espace chaleureux, notamment accentué par la présence du bois. Il tend presque à un espace privée en public. Au niveau formel, il fait référence à une sorte de cocon. Celui-ci protège en partie du soleil, du passage et des regards extérieurs. Le principe d’ajourage fonctionne par le biais du soleil, mais on peut également observer que ce principe permet, une fois dans la structure, de voir sans être vu. Le corps est dissimulé derrière un empilement de bois mais le regard se faufile et peut observer l’extérieur. Pour amplifier l’idée de cocon protecteur, le revêtement extérieur de la structure est composé de fragments de cagettes aux angles agressifs. Cela lui procure un caractère offensif voir menaçant. Cette micro-structure agit tel une carapace, isolant des aspects néfastes du monde extérieur.


UN JARDIN à chaumont

Bienvenue en coulisse

Projet réalisé au cours de la deuxième année BTS Design d’Espace.

À l’occasion du 22ième Festival International des Jardins de Chaumont-sur-Loire, le Domaine de Chaumont propose un concours international. À partir du thème de l’édition 2013 « Jardins des sensations », il nous est demandé de concevoir notre propre jardin. Les jardins contemporains nous présentent un pannel de sensations souvent standardisées car régulièrement employées de la même manière et avec les mêmes moyens. Est-ce qu’un jardin moins structuré ne permettrait pas davantage de stimuler nos sens ? Est-ce qu’une approche moins cartésienne ne permettrait pas de développer d’autres moyens de procurer des sensations ? Afin de répondre à cette problématique, j’ai imaginé présenter la face cachée de nos jardins en dévoilant ce qui est souvent dissimulé : l’atelier, autrement dit, les coulisses de nos jardins, à l’image des cuisines d’un restaurant. Est-ce qu’un jardin structuré procure davantage de sensations qu’un jardin laissé à lui même ? Le jardin « Bienvenue en coulisse » engage un débat contemporain.

Coupe AA’

Echelle 1 : 200

Plan texturé, partie 2

Plan texturé, partie 1

Coupe BB’


VÉGÉTAUX

MATÉRIAUX & SYSTÈMES

Charme sur tige travaillé Carpinus betulus (1) 2 à 3 mètres Travaillé à la manière de l’art topiaire

Prêle du Japon Equisetum japonicum (5) 0,70 à 1,20 mètres Végétal similaire au bambou au niveau structurel

Laiche de Buchanan Carex buchananii (4) 20 à 30 cm

A

Pans de miroir avec structure bois

B

Bacs métal pour le cheminement de l’eau

C

Pompe fontaine

D

Banc en granit noir, forme pleine. 64x45x150cm

E

Graviers blancs en calcaire

F

Caillibotis antidérapant pressé

G

Terre végétale Spots à enterrer orientables Système d’éclairage

Red Baron Imperata cylindrica (3) 15 à 35cm

Coupe tranversale

Sanguisorbes Sanguisorba officinalis (2) Fleur s’élevant jusqu’à 1mètre Coupe longitudinale


une muséographie pour odö

Odö & spacejunk

Projet réalisé au cours de la deuxième année BTS Design d’Espace.

Le sujet nous invite à réaliser une muséographie afin d’exposer l’oeuvre d’Odö dans les galeries SpaceJunk de Bayonne, Lyon et Grenoble. Ce dernier est inspiré des mouvements Street Art, Pop Surréaliste et Lowbrow et joue à destructurer des icônes issues de la culture populaire. Suite à un entretien avec Odö et une première approche de ses œuvres, certains aspects de son univers m’ont paru intéressant quant à l’élaboration de la muséographie. Mon attention a tout d’abord été retenue par sa technique d’illustration détaillée et organisée nous invitant à nous plonger dans son univers sombre aux personnages torturés. Tout d’abord il m’a apparu intéressant de rompre avec l’aspect longitudinal de l’espace à disposition. L’œuvre d’Odö n’ayant pas d’évolution dans l’ensemble de son travail, j’ai proscrit l’idée d’une chronologie tant sur l’organisation des œuvres que sur les déplacements des visiteurs. L’intention a été de permettre aux visiteurs de déambuler dans l’intégralité de l’espace sans suivre une circulation précise et déterminée.

Cherchant à éviter la linéarité et le simple affichage mural, l’emploi de modules m’a semblé approprié, offrant une utilisation optimale de l’espace. Lors des recherches préalables, des matériaux se sont révélés intéressant à travailler au vu de l’œuvre d’Odö. Le bois comme matériau brut, correspond à l’univers de l’artiste qui l’a également employé au travers de ses précédentes expositions. Celui-ci servira de fil conducteur. Ses qualités de mise en œuvre (ouvrabilité) seront un atout essentiel au moment de la réalisation. De plus, l’idée de pouvoir les torturer et les modifier m’a semblé être en adéquation avec la démarche et le style de l’artiste. En effet, le bois offre un panel de textures larges et variées aussi bien naturelles (fibre, écorse, etc) que travaillées (poncé, lisse , percé, creusé, etc).


Les aspérités du bois m’ont permis de révéler des détails que j’ai pu mettre en scène et faire évoluer de manière progressive dans l’espace tout comme le travail de mise en abîme d’Odö. C’est au travers des jeux de lumières que les pleins, les creux, et donc les textures, sont révélées et mises en avant.

J’ai ensuite utilisé le blanc pour homogénéiser l’ensemble des modules dans l’intention de mettre en avant le style d’Odö. Son œuvre étant composée de multiples détails il m’a paru judicieux d’effacer les différences de coloris des matériaux qui pourraient perturber la bonne lecture des œuvres et prendre le pas sur l’exposition.

L’univers de l’artiste fait évoluer des icônes et personnages populaires en les déformant. Il les déshumanise à l’aide d’expressions marquées et torturées les vidant de leurs âmes. De ces observations, en ressort une ambiance sombre que j’ai cherché à illustrer au travers d’un jeu de lumière plongeant le visiteur dans un espace obscur.


aspirer au mouvement Art & paysage Projet réalisé au de la première année DPLG.

« L’art ne reproduit pas le visible, il rend visible. » Paul Klee A partir de l’expérience du lieu, élaborer et réaliser un projet plastique in-situ. L’acte plastique doit exprimer un dialogue personnel avec le lieu : déceler, révéler, signaler, interpréter, s’approprier le lieu… L’acte plastique in-situ est un acte sur l’espace et le paysage. Il relève de l’interprétation et de l’appropriation. C’est un travail sur les relations fondamentales à l’espace. Exemples : le point pour se situer, la ligne pour s’orienter, relier, poser une limite... Questionner la relation nature/artéfact, questionner le sens du lieu, exprimer une qualité plastique et paysagère, élaborer une poétique et une symbolique du lieu. Parcourir la forêt a permis de saisir le caractère du territoire. Au fur et à mesure du cheminement des scènes attirent mon attention. Une pente se dessine en direction de la saulaie en contre bas. Elle est accentuée par la présence de grands sujets tombés au sol et qui convergent vers la zone humide. Ces troncs montrent une direction et proposent une perspective, un point d’appel. Le mouvement est ici mis en valeur par le contraste d’un sol sombre ratissé au positionnement diffus de branchages hiérarchisé. Ces derniers se mêlent entre eux, créent des méandres, et finissent par s’organiser pour converger vers un même cap.



& puis « & PUIS », « et pas que » ! Voici la manière dont je qualifie le « reste » de mes réalisations. Celles-ci représentent un certains travail personnel, bien que je n’apprécie pas vraiment parler de « travail » dans ce cas de figure. La partie qui suit est une compilation visuelle, répondant ou non à une commande. C’est, en quelque sorte, le jardin d’expérimentation qui constitue ma personnalité et qui, quand l’occasion se présente, alimente mes projets. Découvrez ce petit monde qui, je l’assume est principalement peuplé de personnages étranges.


expérimentations plastiques Série de personnages. Ces personnes malmenées ne sont les portraits ou caricatures d’aucun être humain. Et heureusement !

Techniques mixtes sur bois 27 x 34 cm

Techniques mixtes sur bois 13 x 37 cm

Techniques mixtes sur bois 17 x 36 cm

« Le rêveur imaginaire » Techniques mixtes sur bois 19,5 x 31 cm


‘La pause’ Techniques mixtes sur toile 100 x 100 cm

‘Pioo Pioo’ Stylo et acrylique sur bois 120 x 80 cm


‘Votez’ Crayons sur papier bristol 24 x 32 cm

‘La galoche’ Stylo et acrylique sur toile 64 x 54 cm


le CHAOS Retranscription plastique d’une ambiance choisie, en tenant compte de la composition, des relations fond/formes, rapports de masses, etc.

Panneaux de bois torturés représentant une dégradation vers le chaos : environ 5 mètres linéaires.

Des représentations misent en scène Le visiteur est plongé dans une ambiance sombre et lugubre. Il est pris au piège dans un chaos total. La strucutre suspendue impose une atmosphère pesante. Le film plastique noir, enveloppant celle-ci, permet d’unifier les formats sur un fond commun et met fin à toute lueur d’espoir !



L’Eau dans tous ses états Expérimentations et recherches plastiques autour de l’élément.

L’eau : substance liquide, gazeuse et solide

L’eau varie en fonction du contexte dans lequel elle se trouve. De ce fait, elle change d’aspect, de forme, de texture, d’apparence. Cependant, elle garde la particularité de rester un élément souple.

L’eau est un élément en perpétuel mouvement. Elle coule, elle est libre. Elle s’infiltre dans le support, le déforme et s’imprègne.

L’eau est impalpable. Elle est insaisissable. Elle s’infiltre dès lors qu’une brèche se forme, et créée petit-à-petit un parcours, son cheminement.


L’Homme tente de la canaliser, de la maîtriser. Il s’emploie à cette technique car l’eau est parfois dévastatrice. Son passage laisse des dégâts, des traces.

L’Homme la surveille afin d’éviter toute sorte de catastrophe. Le cours d’eau dans lequel l’eau suivait son cheminement, son parcours librement, est maintenant régulé par l’Homme et sa technique.

Une confrontation s’établit alors entre l’Homme et la nature, ici entre l’eau et l’Homme. Ce dernier tente de maîtriser et d’encadrer l’élément. L’Homme doit-il maîtriser la nature ? Doit-il percévérer dans cette voie ? Le projet de contrôler l’eau est-il raisonnable ?


PAYSAGES en dessins Afin d’affiner la perception d’un espace, il est parfois nécessaire de le retranscrire graphiquement. Voici donc quelques représentations de ces paysages parcourus.

Mont Olivine - Parc National de la Gaspésie

Les flamants noirs sur l’Adour


Le Nid Basque - Anglet

Promenade Victor Mendiboure - Anglet


Sur les hauteurs de Bourg-en-Gironde

L’embouchure de l’Adour - Anglet

Quartier Chiberta - Anglet


Promenade Victor Mendiboure - Anglet

Les falaises d’Anglet dialoguent avec la chaîne pyrénéenne - Anglet


Promenade sur les Quais de Bordeaux

Forêt Usagère de la Teste-de-Buch

Vue sur Saint-Emilion


Populus nigra

Festival des Jardins de Chaumont-sur-Loire - Jardin MĂŠditerrannĂŠen


des restes de daguerréotype Loin de moi l’idée de me comparer à cet illustre ancêtre qu’était Louis Daguerre ! La photographie reste pour ma part à un outils quasiment indissociable de tout études ou voyages entrepris. Système de collecte, elle peut également et très rapidement devenir source d’inspiration lorsqu’elle s’invite à mettre en évidence par inadvertance des situations paysagères inattendues. Les clichés en stock sont nombreux et témoignent de thématiques très diverses, mais gardent en commun un jeu de couleurs, de pleins et vides, d’ombres et lumières évidents



l’imagerie L’imagerie répertorie une partie de mes créations visuelles destinées à être diffusées pour différentes causes. Elle s’assimile à un travail annexe qui me permet de varier et perfectionner mes outils de représentation. Dans le but de réinvestir l’ensemble de ces savoirs dans la communication visuelle de mes projets. Bien que l’ensemble de cette compilation se réfère à une échappatoire, elle est aussi un moyen de mettre mes savoirs au service de besoins divers et variés.

Affiche évènement sportif - Anglet

Affiche évènement sportif - Anglet Affiche évènement étudiant - Talence


Affiche évènement sportif - Anglet

Affiche évènement étudiant - Talence

Affiche évènement sportif national - Anglet


Affiche évènement étudiant national - Talence

Affiche évènement étudiant - Talence Affiche organisation étudiante - Talence


Affiche évènement étudiant - Talence

Affiche évènement sportif - Canéjan


Affiche évènement festif - Bordeaux Affiche évènement sportif - Canéjan

Affiche évènement sportif - Canéjan


Visuel de communication pour un pilote de BMX

Affiche Êvènement sportif - Anglet Visuel de communication pour un pilote de BMX


Participation au concours « Le vélo du futur » Juste pour le plaisir du Rock’N Juice Conception d’étiquettes de bière pour l’association étudiante Choros Paysage - Talence


Hommage à un ami pilote de BMX Mise en scène d’un paper toy

Hymne à la moustache


Conception du logo du bar étudiant le «Bar à Cuda » - Talence Petits plaisirs personnels - Création d’un univers qui me permet de signer quelques unes de mes réalisations. MOUSTAKOV n’a pas d’objectifs bien déterminés. Depuis 2009, cette signature me permet simplement d’exprimer et de développer un langage graphique personnel.


Conception logo pour un ami Barman indépendant Affiche évènement sportif - Anglet

Affiche évènement étudiant - Talence


Affiche évènement scolaire - Anglet

Participation à la conception d’un logo de quartier - Anglet


Participation à l’élaboration d’un livre relatant de la percepion du « beau(o) », édité. Illustrations à la main : stylo BIC (basique, standard, commun) sur du papier 150grammes à grain. Réflexion : « Jeu de beau(o) Le beau est partout, dehors, dedans, en lui, en nous. Il vous suit tous les jours mais vous n'y prêtez peut-être pas attention. En cela que le BO s'immisce en tout ce qui existe, même parfois en des éléments communs peu attirants. Écoutez bien, il est là. »


les petites mains Penser c’est bien mais agir c’est mieux ! Cela m’amène parfois à penser les chose de manière plus « pratique ».

Lampe en matériaux recyclés : palettes, aluminium, ampoule 180 cm un fois dépliée

Conception de maillots techniques de BMX - Anglet En cours de réalisation

Réalisation d’un bar extérieur pour une association étudiante - Talence Matériaux de récupération : palettes + bardage cagettes décomposées.


Réalisations de divers petits accessoires afin de financer une partie de l’inscription au 4L Trophy 2016 > Casquettes à l’effigie de l’équipage > Bonnets à l’effigie de l’équipage > Noeuds papillons en bois personnalisable > Portes-clefs en bois

Tableau en mouvement « Choose your ganache » Tableau personnalisable. Deux parties coulissantes distinctes qui restent malgré tout complémentaires. Support en bois


l’usine à ganaches Un album de famille peu commun. Il répertorie une partie de mes réalisations graphiques du quotidien. Ces « ganaches » n’ont pas un grand intérêt dans mes projets. Mais elles m’accompagnent constamment à travers mon carnet de croquis de poche, durant des moments de pause ou d’ennui. En cela je me devais de leur rendre hommage.









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Alexandre

DAGUERRE étudiant paysagiste goony.ad@gmail.com

portfolio


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