Petit rapeltout de tout ce que j’aime à l’attention de mon futur moi architecte.
liste non exhaustive, à compléter, de mes envies et de ce que j’aime en architecture :
J’aime la simplicité ... apparente d’un projet, sa quasi normalité ou dont l’apparence, la ligne paraît être d’une évidence, naturelle.
J’aime la ligne, le dessin. Je préfère un dessin aux lignes claires, coloré, qui me suggère et me laisse imaginer le projet, plutôt d’une 3D ultraréaliste et clinquante.
J’aime le détail. J’aime alors qu’en se penchant sur le projet ou le bâtiment on découvre le souci du détail. Les détails qui changent la qualité de vie.
J’aime les espaces. J’aime des espaces restreints, douillets, intimes ou au contraire ouverts à tout vent, monumentaux, écrasants…
J’aime flâner. J’aime un parcours qui se fait naturellement, intuitivement, sans réfléchir, la tête en l’air, dans les nuages (dans un musée ou un parc par exemple).
J’aime une vue. J’aime une ouverture qui offre un regard vers une autre pièce, une échappée visuelle au détour d’un mur, une fenêtre plus haute qui offre le ciel au regard …
J’aime les lumières. J’aime une lumière naturelle, claire pour se réveiller, une lumière rose et dorée pour cuisiner, mais aussi des lumières artificielles pour travailler, se pomponner, inviter…
J’aime les bruits. J’aime le son qui ricoche sur les murs nus ou qui s’étouffe dans une ambiance feutrée, qui résonne à proximité d’un plan d’eau, qui bruit dans le jardin…
J’aime sentir. J’aime les matières et les odeurs : lisse ou rugueux ? brillant ou mat ? poreux ou plein ? dur ou moelleux ? neuf ou ancien ? taillé ou sauvage ? sec ou mouillé ? brûlé ou vernis ?
J’aime m’amuser. J’aime le petit grain de folie qu’on remarque dans un croquis, une maquette ou dans le choix d’une couleur pour un mur ou pour un matériaux.
J’aime la poésie. J’aime sentir qu’il y a de la poésie dans ce que l’architecte propose. Simplicité ne veut pas dire que le projet doit être creux, il ne suffit pas de remplir un cahier de charges, de juste solutionner une demande.
J’aime l’usage. J’aime que la forme soit liée à l’usage, que l’architecte se soit projeté dans le projet ou qu’il ai fait appel aux futurs utilisateurs du lieu pour en savoir plus sur leurs besoins et surtout envies.
J’aime l’appropriation. J’aime l’appropriation des usagers de mon propre travail car il ne sera jamais fini et continuera sans moi dans le temps. Mais aussi ma propre appropriation en tant qu’architecte de l’existant à réinvestir.
J’aime l’existant. En tant que matière première (le bâti), mais aussi en tant qu’archétype, en tant que formes pour mes propres dessins.
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à suivre...
ALice deprez