Rencontres des Calenzana 2012

Rencontres de musiques classique & contemporaine de

Calenz ana

2012

Livret de la XIIe ĂŠdition

Le mot du maire

L

es Rencontres de Calenzana poursuivent leur belle aventure et fêtent cette année leur douzième édition. Elles nous offrent cette année encore, un florilège de chefs d’œuvre absolus de la musique classique et contemporaine, le tout servi par la présence d’artistes exceptionnels, dans des lieux qui le sont tout autant par leur beauté et leur cadre pittoresque. Je forme à nouveau le vœu d’une longue vie à ces Rencontres, qui ont vu le jour avec le XXIè siècle et qui ouvrent nos cœurs et transportent nos sens avec toujours plus de joie et un enthousiasme sans cesse renouvelé.

Pierre Guidoni, Maire de Calenzana

Edituriale

Édito

A

ccoglie quist’annu a cumuna di Calinzana, cù un piacè sempre cusì forte, a dodecesima edizione di i « Scontri di Calinzana ».

Ci hà ispiratu l’arricchiscimentu di l’ultime edizione a brama di cuntinuà issa straurdinaria aventura musicale. Vulemu cusì sparghje sempre di più i culori di l’arte è di a cultura in lu cantone è in la Corsica sana sana.

Cum’è l’altri anni, iss’estate averia da sazià i melomani i più avisati è tutti l’amichi di a musica. Saparà tuccà a prugrammazione – chì mischia di manera armoniosa classicu è cuntempuraneu – u core di quelli chì pensanu, cum’è Nietzsche, chì « senza musica, a vita saria un sbagliu ». Per contu nostru, cuntinuemu è cuntinuaremu à serve cù fedeltà è tamantu impegnu iss’arte chì ci face tuccà « l’essenza divina di a vita. » Saranu ghjucate, pè issa dodecesima edizione, opere maiò : principiarà cù un omaghju à J.S.Bach, membru maiò di a famiglia a più prulifica di musicanti di a storia, cù a so partizione famosa, e Varazione Goldberg, interpretate cum’è trascrizzione per corde, cù tamantu talente da Gérard Caussé, Gautier Capuçon è Tatiana Samouil. Un bel omaghju sara resu dinò à u « Sgiò Beethoven » di u quale hà dettu Einstein : « Prima cà Beethoven, omu scrivia pè u mumentu prisente ; dopu à ellu, omu scrive pè l’eternità ».

Iss’opinione di Einstein, a ci saparà ramintà u triplice cuncertu o ancu a so settima sinfunia. L’orchestru sinfunicu di Bucarest, sottu à direzzione di Benoît Fromanger, vi cunducerà sin’à e cime di u so arte. Quist’annu, a porta di a musica s’aprarà ancu nant’à l’universu di u sinemà.

Ognunu sà chì l’affinità hè forte trà iss’arte è a musica. Omu pensa à « 2001, l’Odyssée de l’espace », « Barry Lyndon », « Elephant Man »...

Altri avvenimenti di l’edizione 2012: - A pulifunia corsa à l’apogeu di u so arte cù u gruppu famosu « A Filetta » chì ci incanta cù u so ripertoriu ma dinò cù a so

perennità (fistighjara à mumenti u gruppu i so 35 anni) - Una siratica cunsacrata à Mozart è Schubert, issi dui pueti famigliari di u sonniu è à a parintia cusì stretta macaru cù i 40 anni chì i siparanu.

- u duettu maestrale di e surelle Labèque accumpagnatu da percussionisti, venerà à compie l’edizione, cù tutta a so energia, da un ripertoriu tremendu chì và da Ravel (Ma mère L’Oye) à Bernstein (West Side Story).

Passarà ancu nant’à issi scontri u spiritu di Debussy cù a so “Boîte à Joujoux”, un racontu musicale è ballettu per i zitelli, opera billissima, invece chì Strauss venerà à incantacci cù i so valsi.

Aghjustati à altri cuncerti ghjucati fora in li paesi di u rughjone, spiremu ch’elli ci daranu à sparte issi mumenti musicali, a passione di a scuperta, di u scambiu, di u scontru, di u piacè, di a maraviglia – a nostra, a vostra – a passione di a surpresa, di a risa salutare è liberatrice, di l’emuzione chì ùn si piatta.

Mi permitterete di divvi, cù L.V. Beethoven, è prima cà chitavvi, chì « a musica hè una rivelazione più alta cà ogni saviezza è ogni filusuffia ».

Jean Sicurani Président, Directeur Artistique

L

Sommaire

a commune de Calenzana accueille cette année avec un enthousiasme renouvelé la 12è édition des Rencontres.

L’enrichissement des dernières rencontres nous a insufflé plus encore le désir de poursuivre cette extraordinaire aventure musicale et de porter bien haut les couleurs de l’art et de la culture dans le canton et dans la Corse tout entière.

Cette année, à l’instar des précédentes, mettra en bouche les mélomanes les plus avertis et les amis de la musique. La programmation, qui mêle avec harmonie classique et contemporain, saura toucher les cœurs de ceux qui considèrent, avec Nietzsche, que « sans la musique, la vie serait une erreur ». Cet art qui nous met en relation avec « l’essence intime de la vie », nous continuons et continuerons à le servir avec fidélité et engagement.

La douzième édition verra jouer des œuvres immenses : elle s’ouvrira sur un hommage à Johann Sebastian Bach, membre le plus éminent de la plus prolifique famille de musiciens de l'histoire, et sa partition culte, Les Variations Goldberg, interprétées sous forme de transcription pour cordes, avec un talent consommé, par Gérard Caussé, Gautier Capuçon et Tatiana Samouil. Elle rendra également un hommage appuyé au grand Beethoven, dont Einstein a dit : « Avant Beethoven, on écrivait pour l'immédiat, après lui, on écrit pour l’éternité ».

Son triple concerto ou encore sa 7ème Symphonie seront là pour nous le rappeler, si besoin était, et l’Orchestre symphonique de Bucarest, sous la baguette de Benoît Fromanger, vous emmènera jusqu’aux sommets de son art. Cette année vous conduira aussi dans l’univers du cinéma, par la porte de la musique. Entre le 7ème art et la musique, une affinité élective forte : pensons à « 2001, l’Odyssée de l’espace », « Barry Lyndon », « A pocalypse Now », « Elephant Man »…

Les autres évènements de cette édition :

la polyphonie corse au sommet de son art avec le groupe phare A Filetta, qui nous éblouit tant par son répertoire que par sa pérennité (le groupe fêtera bientôt ses 35 ans) ; une soirée dédiée à Mozart et Schubert, ces deux poètes familiers du rêve à la parenté si étroite malgré les quelque quarante ans qui les séparent ; le duo magistral des sœurs Labèque, accompagné de percussionnistes, viendra clore l’édition, avec toute l’énergie qui le caractérise, par un formidable répertoire allant de Ravel (Ma mère l’Oye) à Bernstein (West Side Story).

L’esprit de Debussy planera aussi sur les Rencontres avec la Boîte à joujoux, conte musical et ballet pour enfants de toute beauté, tandis que Strauss viendra nous enchanter par ses valses.

Conjugués à d’autres concerts en plein air, dans les villages du canton, ces moments musicaux vous donneront, nous l’espérons, à partager la passion de la découverte, de l’échange, de la rencontre, du plaisir, de l’émerveillement, le nôtre, le vôtre, la passion de la surprise, du rire salutaire et libérateur, de l’émotion qui ne se cache pas.

Avant de vous quitter, laissez-moi vous dire encore, avec L. V. Beethoven, que « La musique est une révélation plus haute que toute sagesse et toute philosophie ».

Mot du maire et éditos

Pages 4 à 12

Les concerts de 21h30

Page 13

Retour sur Calenzana 2011

Pages 20 à 27

Les artistes résidents

Page 28

Scherzando

Page 29

Projections documentaires autres concerts remerciements

Page 30

La vie culturelle en Balagne

Page 31

Au fil des rencontres Retrouvez le récapitulatif de tous les concerts au dos de ce livret

Tarifs CONCERTS DE 21h30 Plein tarif : 20 € (sauf 18 et 19 août : 25 €) Tarif réduit (enfants, chômeurs et étudiants) : 15 € (sauf 18 et 19 août : 20 €) LES RENDEZ-VOUS DE 18h Prix des places : 10 € gratuit pour les enfants de - de 12 ans ABONNEMENTS Abonnement 6 concerts (21h30) : 110 € Abonnement complet : 150 €

Jean Sicurani Président, Directeur Artistique

MusiCal Rencontres de musiques classique et contemporaine Maison Saint-Michel BP 40 - 20214 Calenzana Tél. : 04 95 30 59 41 - Portable : 06 21 10 92 51 Mail : musicalrencontres@hotmail.fr Site internet : www.musical-calenzana.com 2

Page 2 et 3

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Programme 2012 des rencontres de musiques classique et contemporaine de Calenzana Directeur de publication : Jean Sicurani Rédaction : Jean Sicurani, Marion Schmitter Attachée de presse : Elisabeth Chiari (06 84 61 78 94) Conception & maquette : Pierlise Vaxman (06 64 23 32 56) Impression : Imprimerie caractère 20620 Biguglia - (04 95 30 45 37)

Vendredi 17 août 2012 21H30 - ÉGLISE SainT BLAISE - CALENZANA

Gautier Capuçon

N

é en 1981 à Chambéry, il commence le violoncelle à 4 ans et demi et étudie avec Annie Cochet-Zakine, Philippe Muller, puis à Vienne avec Heinrich Schiff. En 1999, il reçoit le 2è Prix au Concours de violoncelle de Christchurch en Nouvelle-Zélande et le Premier Grand Prix du Concours International André Navarra à Toulouse. Parallèlement, il parfait son expérience au sein de l’Orchestre des Jeunes de la Communauté Européenne avec Bernard Haitink, puis du Gustav Mahler Jugend Orchester, avec Kent Nagano, Daniele Gatti, Pierre Boulez, Seiji Ozawa et Claudio Abbado. En 2001, il est « Nouveau Talent de l’année » aux Victoires de la musique. Il reçoit le « Echo Preis » de la Télévision Allemande en 2004, puis en 2009 pour l’enregistrement de l’année (Dvorak), ainsi que le « Borletti-Buitoni Trust Award ».

Il est soliste d’orchestres prestigieux : Orchestre de Paris, Orchestre National de France, Philharmonique de Radio

LES VARIATIONS GOLDBERG DE BACH Tatiana Samouil, Gérard Caussé et Gauthier Capuçon Johann Sebastian Bach (1685-1750) La musique de Bach veut convaincre.

Elle est un discours entre le compositeur et son auditoire, prononcé dans une langue intelligible et ce, dans le contexte ecclésiastique de l’Allemagne luthérienne du XVIIIème siècle. Que Johann Sebastian soit déjà musicien avant de naître, cela ne fait aucun doute : il naît dans une famille où le métier de musicien (à cette époque dans sa Thuringe natale, c’est un métier reconnu et pouvant être bien rétribué) ou de facteur d’instruments va presque de soi. Bach est célébré notamment comme organiste par ses contemporains, car très peu de ses œuvres sont éditées de son vivant.

Son testament musical, monumental et d’une qualité stupéfiante, est donc inconnu du plus grand nombre de ses contemporains, qui connaissent par ailleurs très bien Telemann, Vivaldi et Haendel. Son œuvre est immense.

Les Variations Goldberg, partition culte de Johann Sebastian Bach qui constitue originellement une œuvre pour clavecin, représentent un des sommets de la forme « thème avec variations » et une des pièces les plus importantes écrites pour clavier. Elles se composent d'une aria en sol majeur, empruntée au second Klavierbüchlein que Bach composa pour sa femme Anna Magdalena en 1725. L’aria sert de point de départ aux trente variations qui suivent. Elles forment la quatrième partie du Klavierübung. Elles furent commandées à Bach par le comte von Keyserling, ex-ambassadeur de Russie auprès de la cour de Saxe et composées à Nuremberg en 1741. Elles portent le nom du claveciniste Goldberg qui les jouait pour le commanditaire.

Cette œuvre, d'une richesse extraordinaire de formes, d'harmonies, de rythmes, d’expression et de raffinement technique, le tout basé sur une technique contrapuntique inégalable, est ici transcrite pour violon, alto et violoncelle.

Tatiana Samouil

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ernière sortie chez Indesens à Paris (musique de chambre de Enesco avec Claudia Bara, Gérard Caussé et Justus Grimm), elle a obtenu aussi « 5 Diapasons » chez Diapason.

Depuis 2004, Tatiana Samouil enseigne à la Chapelle musicale Reine Elisabeth et depuis 2009, au Conservatoire royal d’Anvers. Grâce à la générosité d’un mécène anonyme, elle joue un magnifique Stradivarius ayant appartenu au célèbre Fritz Kreisler.

Au cours de la saison 2010-2011, Tatiana participe au Festival de « Belair »

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Gérard Caussé

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(France), de Mayfest (États-Unis) et au Festival de Sofia Gubaidulina à Lisbonne. Elle donne des récitals et joue avec les orchestres de Rome, Moscou, Samara, Bruxelles, Porto et Paris ; elle enregistre une intégrale de musique de chambre de César Franck avec le pianiste David Lively et son propre quatuor « Malibran » et donne de nombreux concerts de musique de chambre avec, entre autres, Gautier Capuçon, Gérard Caussé, Nicolas Altstaedt, Antoine Tamestit, l’ensemble « Schostakovich » et le quatuor Malibran.

érard Caussé est salué dans le monde entier comme l’un des grands virtuoses de son instrument et, depuis Primrose, il est l’un des rares qui ont su rendre à l’alto sa liberté d’instrument soliste à part entière.

Il obtient la reconnaissance internationale au milieu des années 70 comme membre fondateur et alto solo de l’Ensemble Intercontemporain, altiste du Quatuor Via Nova puis du Quatuor Parrenin.

Sa rencontre avec Gidon Kremer est déterminante, son activité de chambriste se partagera avec celle de soliste.

Il est régulièrement invité par les grandes formations européennes, en Asie, ainsi qu’en Amérique du Sud, dans un Répertoire très large allant du baroque jusqu’à Berlioz, Bruch , Bartok, Stravinsky, Britten, Walton et Martinu en passant par Mozart, qui selon lui, est le premier à avoir compris le rôle d’arbitre de l’alto. Il se consacre également à étoffer le répertoire de son instrument et de nombreux compositeurs écrivent pour lui. Récemment, il a créé le Double Concerto de Wolfgang Rihm pour alto et clarinette, avec l’Orchestre National de France, aux côtés de Michel Portal.

Sa discographie compte plus de 55 disques pour des labels comme EMI, Erato, Philips,

France, Monte-Carlo, Toulouse, Munich Bayerische Rundfunk Orchester, Munich Philharmonic, Frankfurt Radio, WDR Cologne, Gustav Mahler Jugendorchester, pour n’en citer que quelques-uns. Il collabore avec les chefs : Lionel Bringuier, Semyon Bychkov, Myung-Whun Chung, Gustavo Dudamel, Charles Dutoit, Christoph Eschenbach, Vladimir Fedosseyev, Valery Gergiev, Hans Graf, Bernard Haitink, Daniel Harding, Paavo Järvi, Yun Markl, Kent Nagano, Andris Nelsons, Pietari Inkinen, Yannick Nézet-Séguin, Leonard Slatkin, Tugan Sokhiev etc… Pendant la saison 2011-2012, il fera ses débuts avec le Philharmonique de Berlin sous la direction de Gustavo Dudamel pour l’Europa Konzert, le Chicago Symphony avec Charles Dutoit puis Bernard Haitink, le Boston Symphony avec Charles Dutoit et le London Symphony avec Valery Gergiev.

Sa grande notoriété en fait l’invité régulier de nombreux festivals. Il a participé à des hommages rendus à « Friedrich Gulda » avec Martha Argerich à Buenos Aires, Bruxelles, Munich, La Roque d’Anthéron,

Teldec, Virgin Classics, Harmonia Mundi et Deutsche Grammophon. Ses derniers enregistrements comportent le Quintette, La Truite de Schubert pour Virgin Classics avec Renaud et Gauthier Capucon ainsi que F. Braley, l’intégrale des quatuors avec piano de Brahms avec N. Angelich, G. et R. Capuçon, un disque de récital d’œuvres de Hindemith et Levinas pour Aeon, un disque consacré aux œuvres de Bloch avec l’Orchestre de la Suisse Romande, ainsi qu’un enregistrement du concerto « Le cyprès blanc » de Hugues Dufourt, avec l’Orchestre Philharmonique de Luxembourg (Timpani), qui a reçu le Diapason d’or.

Son enregistrement de « Harold en Italie », aux côtés de J.E Gardiner et son orchestre Romantique et Révolutionnaire, est salué unanimement par les critiques du monde entier.

Il est titulaire d'une classe d’alto au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris. Il est directeur du festival de musique Florilegio et de l’orchestre de la Fondation Caja Duero à Salamanque et donne des Master Classes à travers l’Europe entière.

Gérard Caussé joue un magnifique Gasparo da Salo de 1560, joyau de l’école de Brescia, qu’il a choisi pour son irrésistible sonorité de Baryton, en totale osmose avec sa quête personnelle.

5

Tokyo.

Passionné de musique de chambre, il a pour partenaires les plus grands de la profession : son frère Renaud, Nicholas Angelich, Martha Argerich, Daniel Barenboïm, Gérard Caussé, Sarah Chang, Hélène Grimaud, Katia et Marielle Labèque, Vadim Repin, Yuja Wang etc.

Sa discographie inclut notamment, chez EMI, les Trios de Haydn et Mendelssohn avec Martha Argerich et Renaud Capuçon, le Trio n°2 de Chostakovitch avec Martha Argerich et Maxim Vengerov. Chez Virgin Classics, dont il est artiste exclusif, la musique de chambre de Ravel avec Renaud Capuçon et Frank Braley, des duos avec son frère, les concertos de Haydn avec le Mahler Chamber Orchestra et Daniel Harding (« Diapason d’Or » et « Choc » du Monde de la musique) et bien d’autres encore.

Depuis 2007 Gautier Capuçon est l’ambassadeur de « Zegna & Music Project », fondé en 1997 comme activité philanthropique pour promouvoir la musique et ses valeurs.

Il joue un Matteo Goffriler de 1701.

Samedi 18 août 2012 21h30 - École LES IGNORANTINS - CALENZANA

Les grands moments de musique au cinéma

Orchestre symphonique de Bucarest.

Sous la direction de Benoît Fromanger, en présence de Brunos Coulais.

Richard Strauss

Georg Friedrich Haendel

Ainsi parlait Zarathoustra (2001, l’Odyssée de l’espace)

Suite n° 9 en ré mineur, Sarabande (Barry Lyndon)

Musiques de Bruno Coulais

Pietro Macagni

À l'aventure (Océans) La cavalerie sous la mer (Océans) Un nouvel océan (Océans) Les patineuses (Microcosmos) Le roi et ses 2 frères (Les adieux à la reine) La lectrice de la reine (Les adieux à la reine)

Hans Zimmer

Pirates des Caraïbes

Cavaleria Rusticana (Le Parrain)

n°25,

1er

Frédéric Schoendoerffer, James Huth et Benoît Jacquot.

En 2005, il dirige dans la cathédrale de Saint-Denis son « Stabat Mater » avec la participation de Robert Wyatt et Guillaume Depardieu.

Le style musical de Bruno Coulais peut être très différent d’une bande originale à une autre, cependant quelques constantes semblent se dégager : goût pour l’opéra et pour la voix humaine (en particulier celle d’enfants), pour la recherche de sonorités originales, pour les instruments extra-européens et le mélange de cultures

musicales, et enfin, une tendance certaine à privilégier la notion d’ambiance (influencée par la lumière du film) à celle de narration. Dans l’ensemble, et contrairement à ses confrères, ses musiques ne doivent quasiment rien à une éventuelle « tradition française » de la musique de film, tant ses références musicales se situent essentiellement ailleurs (musiques du monde, musique contemporaine...).

En 2009, il obtient le Annie Awards pour le film « Coraline » d’Henry Selick (l’étrange Noël de Monsieur Jack).

FILMS : 1977 : Mexico Magico, Reichenbach

Harrison’s Flowers, réalisé par Elie Chouraqui Belphégor, le fantôme du Louvre, réalisé par Jean-Paul Salomé De l’Amour, réalisé par Jean-François Richet Un Aller Simple, réalisé par Laurent Heynemann Vidocq, réalisé par Pitof

Bébés, réalisé par Thomas Balmès Tête de turc, réalisé par Pascal Elbé Le Caméléon, réalisé par Jean-Paul Salomé

réalisé

par

François

1986 : Qui trop embrasse, réalisé par Jacques Davila La Femme Secrète, réalisé par Sébastien Grall

Wolfgang Amadeus Mozart Symphonie (Amadeus)

Don Juan de Jacques Weber en 1998).

On le retrouve cependant en 2002 sur un dessin animé, « L’Enfant qui voulait être un ours », et en 2004 sur « Agents Secrets » de Frédéric Schoendoerffer et surtout sur le grand succès de l’année, « Les Choristes » de Christophe Barratier, dont la musique obtient un succès aussi considérable que celui du film, ce qui vaudra à Coulais son troisième César.

Depuis, les collaborations de Bruno Coulais se font avec des réalisateurs avec lesquels il a déjà expérimenté une certaine affinité, en particulier Jacques Perrin,

mouvement

1988 : Zanzibar, réalisé par Christine Pascal

John Williams

1990 : La Campagne de Cicéron, réalisé par Jacques Davila

Entracte

La liste de Schindler

Gioacchino Rossini

Wolfgang Amadeus Mozart

La Pie voleuse (Orange mécanique)

Noces de Figaro -Ouverture (Un fauteuil pour deux)

1991 : Le Jour des Rois, réalisé par Marie-Claude Treilhou

Samuel Barber

Gustav Mahler

Adagietto (Elephant Man)

Symphonie n°5, Adagietto (Mort à Venise)

Bruno Coulais

B

1992 : Le Fils du Requin, réalisé par Agnès Merlet Le Retour de Casanova, réalisé par Edouard Niermans Les Equilibristes, réalisé par Nico Papatakis Le Petit Prince a dit, réalisé par Christine Pascal Vieille Canaille, réalisé par Gérard Jourd’hui

runo Coulais est un compositeur français, né à Paris le 13 janvier 1954, connu surtout pour ses musiques de films.

Ayant d’abord reçu une formation classique (violon, piano) le destinant à composer de la musique de concert contemporaine, il s’oriente progressivement vers le cinéma non par volonté, mais suite à une série de rencontres, l’une des plus marquantes ayant été celle du réalisateur François Reichenbach qui lui confia, en 1977, la musique du documentaire « Mexico Magico ».

Il composera sa première musique pour un long-métrage en 1986, avec « Qui trop embrasse » de Jacques Davila. Jusqu’à la fin des années 1990, sa carrière reste assez discrète, avec beaucoup de travaux pour la télévision. On retrouve souvent son nom sur les téléfilms de Gérard Marx, Laurent Heynemann, Edouard Niermans ou Josée Dayan et au cinéma, il est remarqué pour sa collaboration, à trois reprises, avec Christine Pascal (« Le petit prince a dit », 1992), ou encore sur un film comme « Le fils du requin » d’Agnès Merlet.

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Le grand tournant a lieu en 1996 lorsqu’il rencontre Claude Nuridsany et Marie Pérennou, les deux réalisateurs du documentaire « Microcosmos ». Ce film singulier, qui laisse une grande place à la musique, obtient un grand succès et le met au premier plan des compositeurs les plus demandés du cinéma français. Le César de la meilleure musique de film lui ainsi est décerné en 1997, ainsi qu’une Victoire de la musique. Cette notoriété est définitivement confirmée avec les bandes originales d’« Himalaya » (1999, 2e César) et « Les Rivières pourpres » (2000), et depuis le nom de Bruno Coulais semble se retrouver systématiquement sur les nouveaux « blockbusters » à la française (Belphégor, Vidocq), tout en étant encore associé, paradoxalement, à des films beaucoup plus confidentiels. Cependant, après « Le Peuple migrateur », en 2001, Coulais annonce son désir de réduire ses contributions au cinéma et de se consacrer à d’autres projets (création d’un opéra pour enfants, projets avec Akhenaton ou encore avec le groupe corse A Filetta avec lequel il travaille depuis sa musique pour

1994 : Waati, réalisé par Souleymane Cissé 1995 : La Rivière Espérance, réalisé par Josée Dayan Adultère Mode d’ Emploi, réalisé par Christine Pascal Microcosmos, réalisé par Claude Nuridsany et Marie Pérennou 1997 : Don Juan, réalisé par Jacques Weber Déjà Mort, réalisé par Olivier Dahan 1998 : Belle Maman, réalisé par Gabriel Aghion Serial Lover, réalisé par James Huth Le Comte de Monte Cristo, réalisé par Josée Dayan

2001 : L’Enfant qui voulait être un Ours, réalisé par Jannick Astrup Le Peuple Migrateur, réalisé par Jacques Perrin 2002 : Genesis, réalisé par Claude Nuridsany et Marie Pérennou 2003 : Les Choristes, réalisé par Christophe Barratier Agents Secrets, réalisé par Frédéric Schoendoerffer 2004 : Je préfère qu’on reste amis…, réalisé par Eric Toledano et Olivier Nakache Brice de Nice, réalisé par James Huth 2005 : Sometimes in April, (télévision), réalisé par Raoul Peck 2006 : La Planète Blanche, réalisé par Thierry Ragobert and Thierry Piantanida René Bousquet ou le grand arrangement, (télévision), réalisé par Laurent Heynemann 2007 : Hellphone, réalisé par James Huth Truands, réalisé par Frédéric Schoendoerffer Le Deuxième Souffle, réalisé par Alain Corneau

1999 : La Débandade, réalisé par Claude Berri Scènes de Crimes, réalisé par Frédéric Schoendoerffer Le Libertin, réalisé par Gabriel Aghion

2008 : Max and Co, réalisé par Frédéric et Samuel Guillaume Les Femmes de l’Ombre, réalisé par Jean-Paul Salomé MR73, réalisé par Olivier Marchal Ulzhan, réalisé par Volker Schlöndorff Brendan et le secret de Kells, réalisé par Tomm Moore Coraline, réalisé par Henry Selick

2000 : Comme un Aimant, réalisé par Kamel Saleh et Akhenaton Les Rivières Pourpres, réalisé par Mathieu Kassovitz

2009 : Villa Amalia, réalisé par Benoît Jacquot Lucky Luke, réalisé par James Huth Océans, réalisé par Jacques Perrin et Jacques Cluzaud

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2010 : Au Fond des Bois, réalisé par Benoît Jacquot 2011 : Switch, 2011, réalisé par Frédéric Schoendoerffer Mon Pire Cauchemar, 2011, réalisé par Anne Fontaine La Clé des Champs, 2011, réalisé par Claude Nuridsany and Marie Pérennou 2012 : Sur la Piste du Marsupilami, 2012, réalisé par Alain Chabat Les Adieux à la Reine, 2011, réalisé par Benoît Jacquot OPERAS Il Gioco di Robin i Marion (2001) Stabat Mater (2005) Lucio ou l’Ane d’or (2007) MUSIQUE DE SCENE Les Oiseaux d’Alfredo Aristophane (2010)

Arias

d’après

CANTATE Passerelle (2003) RECOMPENSES 2010 : Annie Awards : Meilleure musique pour le film d’animation « Coraline » 2005 : Emmy Awards : Nominé pour la musique « Sometimes in April » 2005 : The 77th Annual Academy Awards : Nominé pour la chanson « Vois sur ton chemin » « Les Choristes » 2005 : Les Victoires de la Musique : Meilleur album de musique originale de cinéma de l’année pour « Les Choristes » 2005 : Les César : Meilleure Musique pour « Les Choristes » 2004 : The European Film Award : Meilleur compositeur pour « Les Choristes » 2000 : Les César : Meilleure Musique pour « Himalaya l’enfance d’un chef » 1997 : Les César : Meilleure Musique pour « Microcosmos, le peuple de l’herbe » 1997 : Les Victoires de la Musique : Meilleur Compositeur de la musique de film de l’année pour « Microcosmos, le peuple de l’herbe »

Dimanche 19 août 2012 21h30 - École LES IGNORANTINS - CALENZANA

Soirée Beethoven

Orchestre symphonique de Bucarest

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’Orchestre symphonique de Bucarest a vu le jour sur une scène musicale roumaine en 2007, suite à l’initiative de l’Association Philson Young visant à amener la musique au cœur de la vie du plus grand nombre. Vibrant, énergique et joyeux, ce projet pédagogique adopte une approche à long terme avec la musique, sans aucun compromis professionnel.

L’Orchestre symphonique de Bucarest a pour mission d’attirer, d’éduquer et de développer un nombre toujours plus grand de mélomanes. Le concept repose sur des programmes musicaux novateurs propres à la Roumanie. Le répertoire du projet tient compte de la diversité des adeptes

de musique, de leur âge et de leurs goûts musicaux. Les membres de l’Orchestre sont des musiciens respectés issus de la scène culturelle roumaine ayant fait leurs preuves en tant que solistes ou membres d’autres orchestres ou ensembles nationaux et internationaux. Ils ont reçu des prix prestigieux tant en Roumanie qu’à l’étranger. Dans l’objectif de dépasser leurs propres limites et sentiments, les membres de l’Orchestre symphonique de Bucarest s’attaquent à de nouveaux styles et à de nouvelles émotions, donnent vie et font valoir les connaissances qu’ils ont acquises dans leur volonté d’approcher l’essence de l’interprétation musicale.

La flexibilité dans le choix des genres musicaux a constitué la pierre angulaire des concerts SYMPhoenix, qui ont réuni l’Orchestre symphonique de Bucarest et le fameux ensemble Phoenix entre 2010 et 2011 ou encore dans les projets

communs ayant impliqué des artistes roumains de renommée internationale, et notamment la violoniste Corina Belcea ou encore la soprano Angela Gheorghiu.

Le programme de l’orchestre inclut également des enregistrements audio issus du double album signé Marcel Pavel – « Very Classic » – autour de grands airs d’opéra, de chansonnettes et autres répertoires croisés. Une collection de CD proposant des œuvres composées par Mel Bonis (France), Benjamin Britten (GrandeBretagne), Dinu Lipatti et George Enescu sera enregistrée sous le label français Integral Clasic et sous la direction du grand chef d’orchestre Benoît Fromanger.

En 2012, l’Orchestre symphonique de Bucarest est invité à se produire en Italie et en France dans le cadre de festivals de musique unanimement salués pour leur haute tenue.

- Le Triple concerto Éric Lacrouts (violon), Marie-Paule Milone (violoncelle), Denis Pascal (piano) - L’Empereur Pierre Réach (piano) - 7ème Symphonie

Orchestre symphonique de Bucarest.

Direction Benoît Fromanger

Beethoven (1770-1827)

Le Triple concerto

Benoît Fromanger

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lûtiste de renom, Benoît Fromanger est également reconnu au plan international comme chef d’orchestre du plus haut niveau. Son souhait est d’apporter et de partager à chaque concert son approche personnelle de la musique, son respect pour les musiciens et le public, son énergie, sa générosité ainsi que sa passion.

Benoit Fromanger est professeur à la Hochschule « Hans Eisler » de Berlin et, depuis 2007, professeur au Conservatoire Royal de La Haye.

Il étudie la flûte au CNR de Versailles puis au CNSM de Paris avec d’éminents professeurs tels que Roger Bourdin, Alain Marion et Jean-Pierre Rampal.

Flûte solo de l’Opéra de Paris pendant dix années, son intérêt pour l’orchestre

et sa curiosité l’emmènent en Allemagne où il est nommé en 1993 Super-Soliste du prestigieux Orchestre Symphonique de la Radio-Bavaroise (Dir. Lorin Maazel).

Il est, dès lors, invité de l’Orchestre Philharmonique de Berlin ainsi que de l’Orchestre du Festival de Bayreuth.

Ce parcours permet à Benoît Fromanger d’enrichir ses connaissances musicales

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et d’être dirigé par des chefs tels que L. Bernstein, B. Haitink, Z. Mehta, C.M. Giulini, D. Barenboim, P. Boulez, C. Davis, G. Solti, C. Kleiber, R. Muti, M. Jansons...

Parallèlement, il poursuit une carrière de soliste international, créant également de nombreuses œuvres dont il est le dédicataire.

Beethoven a fait preuve d'une lucidité et d’une volonté de perfection exceptionnelle dans l’histoire de la musique. Sa constante recherche d’un idéal de forme et de structure convenant à sa pensée est sans doute une des plus extraordinaires de l’esprit humain.

La grande innovation qu'a pportera Beethoven est d’avoir contribué à changer la signification et la nature de la musique par rapport à l’homme. Avant lui, la musique était un art fonctionnel et utilitaire, qu’il s'agisse de divertissement ou de liturgie et le compositeur était plus un artisan qu’un artiste. Avec lui, ce n’est plus la musique qui parle par un homme mais un homme qui parle par la musique.

L’artiste beethovénien n’écrit plus ce que son public attend de lui, il écrit ce qu’il veut imposer à son public, ce qui parfois créera un fossé entre le compositeur et son auditoire. Einstein a bien exprimé cette idée quand il écrit : « Avant Beethoven on écrivait pour l’immédiat, après lui on écrit pour l’éternité ». Comme compositeur,

Le triple concerto en do majeur, opus 56, de Ludwig van Beethoven, est un concerto pour piano, violon, violoncelle et orchestre.

Composé entre 1803 et 1804, il est contemporain de la Symphonie « Héroïque » et il est dédicacé au prince Joseph Franz von Lobkowitz, mélomane et mécène, à qui Beethoven dédia également ses Troisième, Cinquième et Sixième symphonies.

Sa forme est unique dans le domaine musical, même si on peut le rapprocher du Double concerto pour violon, violoncelle et orchestre de Johannes Brahms, très largement postérieur.

L’Empereur

Concerto pour piano n° 5 en mi bémol majeur, op.73 « L’Empereur », achevé en 1809. Le titre de « Concerto Empereur » n’a pas été choisi par le musicien. Le compositeur avait admiré le général Bonaparte alors qu’il semblait destiné à libérer l’Europe de la tyrannie ; aussi, quand ce dernier prit le titre d’empereur et commença ses conquêtes, il tomba dans son estime. Plusieurs légendes circulent à propos de l’origine du sous-titre.

Toujours est-il que Beethoven, fermement républicain, avait en 1804 effacé avec

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colère une dédicace à Napoléon sur la partition autographe de sa Symphonie Héroïque quand celui-ci se proclama Empereur des Français. Maynard Solomon fait remarque que le Cinquième concerto « pourrait bien représenter la réaction de Beethoven face à la marée des conquêtes napoléoniennes ». De nos jours, la plupart des mélomanes estiment que ce titre glorieux convient bien à cette grande œuvre. Peu de personnes songeraient à affirmer le contraire ; on ne peut qu’admirer ce concerto.

7ème Symphonie

Beethoven compose la 7ème Symphonie (Beethoven l’appelle « La Grande », par comparaison avec la 8 ème, plus courte).

Elle est dédiée au baron Moritz von Fries, un banquier fortuné attaché à Beethoven jusqu’à sa banqueroute en 1825 (il ne reste alors plus que quelques mois de vie à Beethoven). Il a 42 ans. L’œuvre est créée lors d’un concert donné à l’initiative de l’ingénieur Mälzel au profit des victimes de la guerre (la bataille de Hanau (ou de Leipzig)). La Septième Symphonie, comme la Troisième et la Cinquième, donne au rythme une place de première importance, sans lui attribuer toutefois de sens particulier (le rythme très prégnant de la 5 e Symphonie exprimait le destin, celui de la 3e Symphonie célébrait l’héroïsme.).

Elle marque un retour vers une forme strictement classique

Mardi 21 août 2012 21H30 - ÉGLISE SAINT BLAISE - CALENZANA

MOZART ET SCHUBERT

Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791)

Quatuor Piano KV 478 - Quintette avec clarinette et cordes KV 581

Franz Schubert (1797-1828)

Quintette à deux violoncelles D. 956

Concert avec les artistes résidents Crédit photo Didier D. Daarwin

A Filetta

D

e par sa vision ardente et passionnée du chant sacré et profane, A Filetta est l’un des plus somptueux groupes de polyphonie.

Né en 1978, en Balagne, le groupe se donne alors pour vocation de contribuer à la sauvegarde d’un patrimoine oral en déclin. Ce chœur d’une créativité inouïe perpétue la tradition orale insulaire mais est également reconnu pour son exploration d’autres domaines du chant polyphonique notamment à travers des

créations d’œuvres contemporaines.

Avec donc bientôt trente-cinq ans d’existence et un quinzième album (Requiem), A Filetta est l’un des groupes phares du chant en Corse. Il est composé de six voix d’hommes.

Le chemin parcouru en trois décennies est riche d’expériences et de rencontres, tant dans le domaine du théâtre que dans celui des musiques de film ou de créations scéniques : - Musiques de films : collaborations multiples avec Bruno Coulais (Himalaya, l’Enfance d’un chef, Le peuple migrateur, Don Juan...)

- Opéras pour enfants sur des musiques de Bruno Coulais, livrets et mises en scène d’Orlando Forioso en collaboration avec les artistes du Cirque Gruss...

- Théâtre : Médée de Sénèque, Marco Polo, Culomba, Don Ghjuvanni...

- Musique : création récente d’un répertoire issu d’une rencontre extrêmement riche avec Paolo Fresu (trompette) et Daniele di Bonaventura (bandonéon), - Danse : créations avec le chorégraphe Sidi Larbi Cherkaoui (« In memoriam » avec les Ballets de Monte Carlo, « Apocrifu » au Théâtre de la Monnaie et « Puzzle » au festival d’Avignon).

D’un côté, le Salzbourgeois qui sait lire la musique avant d’apprendre à lire et à écrire, celui qui est capable d’apprendre des morceaux en un temps record et de jouer à travers un drap couvrant le clavier, qui se met également à composer alors qu’il n’a que 5 ans. Celui dont Léopold, le père, prend conscience qu’il a comme fils un prodige, et qu’il serait dommage de ne pas « montrer ce miracle au monde ».

Un garçonnet prometteur, en somme, qui portera la musique, en s’abreuvant à l’écriture des Anciens, à des sommets de virtuosité.

De l’autre, le Viennois qui reçoit dès son

plus jeune âge une éducation musicale accomplie, le « Jeune homme enthousiasmé et pénétré par le génie de Beethoven », l’initiateur des lieder, genre vocal par excellence de la musique savante issue de la tradition polyphonique occidentale, avec pour thèmes principaux la nature, l’exaltation du moi, le fantastique, le nocturne, un style indissociable d’une poésie du malaise, de l’angoisse, de la nostalgie et des amours contrariées.

Une rencontre au sommet, entre deux compositeurs autrichiens à la parenté étroite, entre deux poètes familiers du rêve.

Lundi 20 août 2012 21h30 - Chapelle Sainte Restitude

A FILETTA - Bracanà (Polyphonie corse) « A vita cerca sempre un pratu novu à pasce » « Le temps ne manque jamais au temps d’une vie qui va » Nana (traditionnel – Géorgie) Kyrie (création) Paghjella (traditionnel) Miserere (création – Requiem)

Sub Tuum (création – Salve Regina) Maroccu biancu (création – Puz/zle) Meditate (création – Via Crucis)

Pater Noster (création - Requiem) Dies irae (création – Requiem) Rex tremendae (création Requiem) Lacrymosa (création – Requiem)

L’invitu (création - Medea) L’anniversariu di Minetta (création) Figliolu d’ella (création - Requiem) Cuntrastu (traditionnel) La folie du Cardinal (création – BOF « Le libertin »)

Ghmerto (traditionnel – chant sacré géorgien)

A Filetta se réserve le droit de modifier ce programme

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Retour sur 2011...

Mercredi 22 août 2012 21H30 - ÉGLISE SAINT BLAISE - CALENZANA

RÉCITAL PIANO

Katia et Marielle Labèque

Raphaël Séguinier et Gonzalo Grau aux percussions Ravel : Ma Mère l’Oye - Rhapsodie espagnole Bernstein : West Side Story Quatre mains, et deux sœurs, c’est le duo de piano le plus connu au monde : Katia et Marielle Labèque, originaires du Pays basque.

Les sœurs jouent ensemble depuis plus de trente ans, leur complémentarité, leur symbiose est parfaite : tandis que l’une (Katia) se montre volontiers pétillante, l’autre (Marielle) offre un caractère plus calme et posé. « L’équilibre tient du miracle », clament-elles en cœur. La soirée

Katia et Marielle Labèque

C

es deux sœurs pianistes sont connues pour la fusion et l’énergie de leur duo.

Filles d’Ada Cecchi (elle-même élève de Marguerite Long), Katia et Marielle ont eu une enfance immergée dans la musique.

Leurs ambitions musicales ont débuté très tôt. Elles ont atteint la renommée internationale avec leur interprétation contemporaine de Rhapsody in Blue de

sera ici placée sous le signe des romances orageuses, avec West Side Story, de Bernstein, sous celui des influences hispaniques reçues de Ravel par sa mère, d’origine basque, avec sa Rhapsodie Espagnole, et enfin sous celui des contes de fées, avec Ma Mère l’Oye, du même compositeur.

Gershwin (un des premiers disques d’or de la musique classique) et ont depuis lors développé une carrière éblouissante autour du monde. Elles sont invitées régulièrement par les orchestres les plus prestigieux et se produisent dans des théâtres et festivals de renom : Vienna Musikverein, Hamburg Musikhalle, Munich Philharmonie, Carnegie Hall, Disney Hall, Royal Festival Hall, La Scala, Berlin Philharmonie, Blossom, Hollywood Bowl, Lucerne, Ludwisburg, ‘Mostly Mozart’ (New York), The Proms (London), Ravinia, Ruhr, Tanglewood, Salzburg…

Elles ont atteint un succès considérable

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devant 33 000 spectateurs au concert de gala du Waldbühne, concert de clôture du Berlin Philharmonic sous la direction de Sir Simon Rattle.

Elles jouent aussi avec des ensembles de musique baroque tels : The English Baroque Soloists avec Sir John Eliot Gardiner, Il Giardino Armonico avec Giovanni Antonini, Musica Antica avec Reinhard Goebel et Venice Baroque avec Andrea Marcon. Elles ont récemment fait une tournée européenne avec Orchestra of the Age of Enlightenment et Sir Simon Rattle.

Katia et Marielle ont le privilège de travailler avec des compositeurs de leur temps, tels Luis Andriessen, Luciano Berio, Pierre Boulez, Philippe Boesmans, Osvaldo Golijov, György Ligeti, Olivier Messiaen.

Elles viennent de créer au Walt Disney Hall de Los Angeles « Battlefield », le Concerto pour deux pianos et double orchestre de Richard Dubugnon, commissionné par le Los Angeles Philharmonic, l’Orchestre de Paris et la Gewandhaus.

Leur enregistrement de Nazareno Osvaldo Golijov avec l’Orquesta Sinfonica de Castilla y Leon dirigé par Miguel Harth Bedoya vient d’etre publié chez Deutsche Grammophon.

L’année 2012 verra la sortie du documentaire « The Labèque Way » filmé par Felix Cabez et produit par « El Deseo » (Pedro Almodovar et Augustin Almodovar)

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Les Artistes Résidents Cuarteto Arriaga

B

asé à Leipzig, le Cuarteto Arriaga réunit deux musiciens espagnols, un Argentin et un Français. Il se consacre au vaste répertoire de cette formation et porte un intérêt particulier aux musiques espagnoles et sud-américaines.

Le Cuarteto Arriaga donne des concerts dans de nombreux festivals européens - festival du Comminges, festival d’été de la MDR, festival Schleswig-Holstein, festival « Musika-Musíca » de Bilbao, etc.

- et se produit dans des salles de concert prestigieuses. Ses concerts l’ont amené à collaborer avec des musiciens tels que Vladimir Mendelssohn, Sam Haywood,

Sylvain Blassel harpe

S

ylvain Blassel étudie la harpe avec Fabrice Pierre au CNSM de Lyon, d’où il sort premier nommé, mention très bien à l’unanimité avec félicitations du jury en 1998. Il est aussitôt engagé comme chefassistant à l’Ensemble InterContemporain, principalement auprès de David Robertson et Pierre Boulez, mais aussi d’autres chefs tels que Peter Eötvös, Esa-Pekka Salonen, Jonathan Nott, ou Markus Stenz. Il y travaille avec les compositeurs György Kurtag, György Ligeti, Pierre Boulez, Brian Ferneyhough, Helmut Lachenmann...

Fervent défenseur du répertoire contemporain, il a crée des œuvres écrites pour lui par Jacques Lenot, Francesco Filidei, Pierre Jodlowski...

Après avoir joué au sein des principaux orchestres français, il participe

Jose-Luis Estellés, Jean François Heisser et Luís Fernando.

Durant ces dernières années, le Cuarteto Arriaga a joué au Palais Royal de Madrid sur le célèbre quatuor d’instruments d’Antonio Stradivari, s’est produit au Gewandhaus de Leipzig, à Lockenhaus sur invitation de Gidon Kremer, et en janvier 2011, il a donné son premier concert au Wigmore Hall de Londres grâce à Hatto Beyerle et ECMA. Pendant les mois qui viennent, il se produira une nouvelle fois à la Cour d’Espagne et au festival de Lockenhaus, ainsi qu’au festival Quincena Musical de San Sebastian. Il a également été quatuor en résidence au festival de Gosslar en août dernier, où il a joué entre autres avec la violoncelliste Marie-Elisabeth Hecker.

Les membres du quatuor portent tous les

Afshin Ghaffarian danse

E quatre un vif intérêt à l’enseignement et donnent régulièrement des master-classes en Amérique latine et en Asie.

Amaury Coeytaux violon

fréquemment à des concerts et tournées au sein du Berliner Philharmoniker, sous la direction de Sir Simon Rattle, Gustavo Dudamel, Alan Guilbert, Vladimir Jurowsky, et surtout, Claudio Abbado.

En 2007, il grave chez Warner les Variations Goldberg de J.S.Bach en première mondiale à la harpe, enregistrement unanimement salué par la presse : « la douceur du son de S. Blassel révèle une interprétation introspective et intime, ses Goldberg paraissent ainsi très bien adaptées à la harpe » (New York Times, août 2009) Professeur d’analyse musicale au C.N.R de Rennes depuis 2002, il enseigne également la harpe au C.N.S.M de Lyon depuis 2008. Il est régulièrement invité à des master-class dans les grandes écoles supérieures européennes : UDK Berlin, Trinity College of London, Hochschule für Musik Hamburg...

Nicolas Charron contrebasse

N

é en 1978, le contrebassiste Nicolas Charron est diplômé du C. N. S. M. de Paris.

Il est membre de l’Orchestre de l’Opéra National de Paris depuis 2001, et membre fondateur de « l’Académie de Contrebasses », aux cotés de Laurène Durantel et Mathieu Petit.

Professeur jusqu’en 2011 aux conservatoires de Blois, Mantes-la-Jolie et Toulouse, il exerce, parallèlement à ces activités, une carrière d’arrangeur/orchestrateur

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M

dans le cinéma : en effet, il travaille très régulièrement pour, notamment, le compositeur de musiques de films Alexandre Desplat, et collabore auprès de ses collègues orchestrateurs JeanPascal Beintus et Sylvain Morizet à de grosses productions cinématographiques européennes et internationales.

Egalement transcripteur passionné, il reçoit régulièrement des commandes de transcriptions pour des ensembles de musique de chambre de toute l’Europe : Ensemble Carpe Diem, Festival d’Albi, 360 Ensemble en Grande Bretagne, pour n’en citer que quelques-uns...

usicien parmi les plus talentueux et prometteurs de sa génération, le violoniste français Amaury Coeytaux a séduit les publics du monde entier par sa grande sensibilité musicale, sa technique irréprochable et sa sonorité chaleureuse.

Le riche parcours de ce jeune musicien le conduit à occuper aujourd’hui une place très active dans le monde musical, laissant augurer un développement important de sa carrière à venir. Amaury Coeytaux est au rendez-vous des musiciens avec lesquels il faudra compter.

En 2004, il fait ses débuts au Carnegie Hall dans le « Stern » auditorium, avec le concerto de Brahms.

Depuis ce succès, il est invité à donner des concerts à travers le monde dans des salles prestigieuses telles que le Weill Hall (Carnegie Hall, New York), le Kennedy Center (Washington), l’Ottawa Center (Canada) et la salle Gaveau à Paris. Ses derniers engagements l’ont amené à jouer avec les orchestres philharmoniques de Rome, d’Ukraine, de Roumanie, de Cordoue et Santiago en Espagne, l’Orchestre National du Capitole de Toulouse sous la direction de Tugan Solkhiev, ainsi que pour TF1.

Grand chambriste et interprète polyvalent, il défend autant la grande tradition classique que la musique actuelle. Il est un interlocuteur et interprète privilégié de compositeurs contemporains, œuvrant activement pour le développement de l’art et de sa

compréhension avec Krystof Maratka, Philippe Hersant, une première mondiale du concerto de Octavio Vaszquez avec l’orchestre de Cordoue, Thierry Escaich, Kaija Saariaho, Valentin Silverstrov, Sofia Gubaidulina.

A 25 ans, il est déjà depuis 2 ans violon solo super soliste de l’Orchestre d’Auvergne et donne avec cet ensemble des concerts en tant que chef et soliste pour d’importants festivals dont « Les Folles journées de Nantes ».

Lauréat du concours Lipizer en Italie, Amaury Coeytaux s’impose sur la scène internationale en obtenant un 1er Prix ainsi que cinq prix spéciaux pour ses prestations remarquables. Également lauréat des 1ers Prix au concours Eisenberg-Fried en 2007, du concours international « Julius Stulberg » en 2004, du concours Rosalind & Joseph Stone en 2004, Waldo Mayo en 2004, Royaume de la musique en 1997 ainsi que du prix du musée Bonnat pour la meilleure prestation de musique de chambre à l’Académie Ravel en 2002, il impressionne par sa polyvalence et sa maturité.

Il débute par le piano à l’âge de 4 ans puis le violon à l’âge de 8 ans. Sa progression très rapide lui a permis de rentrer 5 ans plus tard au Conservatoire National Supérieur de Paris. Sorti diplômé avec de nombreux prix de cet établissement, il continue ses études à la Manhattan School of Music. Il a étudié avec Micheline Lefebvre, Jean-Jacques Kantorow, Patinka Kopec et Pinchas Zukerman.

Il joue un violon italien Guadagnini de 1773.

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st né à Mashhad (Iran) en 1986.

Très tôt attiré par la pratique artistique, il choisit de se former au métier d’acteur et obtient un diplôme de cinéma en 2003. En 2004, il part pour Téhéran où il rentre à l’Université. C’est en tant qu’élève acteur qu’il découvre la danse. Passionné par cette discipline, dont la pratique est interdite dans son pays, il en acquiert les bases via internet, en visionnant les vidéos de chorégraphes (Pina Baush, Martha Graham, Merce Cunningham…).

En 2006, il fonde sa compagnie underground, répétant en cachette dans la salle de prière d’une école. Il s’inspire du travail de Jerzy Grotowski dont il traduira les écrits de l’anglais au persan. En 2007, il présente « Médée », performance unique réalisée en plein désert devant un public choisi, loin du regard des censeurs.

En mai 2009 « Strange but true » partition pour deux danseurs et un musicien, présentée comme du théâtre corporel, sera joué pendant un mois à Téhéran. En juin de la même année, au lendemain des élections présidentielles en Iran, il choisit de rejoindre le Mouvement Vert et d’alerter, via des vidéos postées sur internet, l’opinion internationale sur la situation de son pays. Invité à se représenter dans un festival en Allemagne, Afshin Ghaffarian quitte son pays pour présenter «Strange but true ». Le soir de la dernière représentation de son spectacle, il arbore le foulard vert de l’opposition en signe de contestation et appelle à la solidarité avec le peuple iranien. Condamné par son geste à l’exil, il part pour la France où il est accueilli en tant que réfugié politique.

Il travaille avec Sharok Moshkin Ghalam, pensionnaire à la Comédie française, avant de rejoindre le Centre National de la Danse pour une résidence de recherche en 2010-2011.

Il a créé « La compagnie des Réformances » en 2010 afin de continuer à porter ses projets en France. Ses recherches portent sur la mémoire du corps et la question de la transmission. Le 23 octobre 2010, un an après son arrivée en France, il a présenté sa première création au CND « Le Cri Persan ».

Damien Fourchy hautbois

N

é en 1985, Damien commence le hautbois à l’âge de sept ans en Haute-Normandie auprès de Pascal Morvan. Il poursuit son parcours musical dans différents conservatoires, obtenant notamment un premier prix de la ville de Paris dans la classe de JeanChristophe Gayot et un premier prix au CRR de Rueil-Malmaison dans la classe de Daniel Arrignon. En 2006, il intègre le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris et continue son apprentissage avec Jacques Tys, David

Walter et Frédéric Tardy. En 2010, il obtient le Master d’interprétation et l’année suivante son prix de musique de chambre dans les classes de Lazlo Hadady et de Michel Moragues.

Passionné par l’orchestre, Damien se produit régulièrement avec diverses formations, parmi lesquelles l’Orchestre National de France, l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philharmonique de Radio France, et l’Orchestre de l’Opéra de Paris. Étant également attiré par la pédagogie, il a obtenu cette année le Certificat d’Aptitude au sein de la formation pédagogique du CNSMDP.

Pierre Réach piano

P

Gonzalo Grau percussions

O

riginaire de Caracas, Gonzalo Grau se forme très jeune à divers instruments, de la viole de gambe au violoncelle en passant par le cajón et le piano. Diplômé du Berklee College of Music, il collabore à de nombreux projets musicaux dans son pays, notamment avec les plus grands artistes de jazz.

Il est également à l’origine de deux projets, « Plural » ( jazz latino et fusion) et « La Clave Secreta » (fusion salsa). Sa discographie comporte plus de 80 titres qui sont chacun autant de passerelles entre le répertoire classique et la musique populaire. Sont parus récemment La Pasión según San Marcos de Golijov et México avec Rolando Villazón. Gonzalo Grau est aussi compositeur ; son oratorio Agua (commande de la Bach Academy de Stuttgart) sera créé en août prochain.

Éric Lacrouts violon

lusieurs pôles distincts définissent aujourd’hui la carrière de Pierre Réach et lui confèrent son originalité : Il donne des concerts dans plusieurs pays, il dispense une intense activité pédagogique et il organise plusieurs manifestations artistiques.

Avec un concert au sommet du Pic du Midi de Bigorre à 2800 mètres d’altitude sur un piano de concert héliporté, il est le cofondateur du festival Piano aux Pyrénées, du festival Piano-Pic et de l’Académie internationale G.Sebök.

Il a invité à Shanghai des artistes de réputation mondiale pour partager avec lui une intégrale des concertos de Mozart.

Il a crée la série « A l’entorn del piano » à Palma de Majorque.

Toujours désireux d’aider les jeunes pianistes il crée le Concours International « Chopin à Bagnères » et le Concours International Paul Badura-Skoda à Vilaseca (Tarragona) dont la première édition en septembre 2010 a connu un vif succès.

Dans ce même lieu il organise avec le pianiste Karst de Jong le Musicfestival de Vila-seca qui comprend récitals et masterclasses.

Ses concerts le conduisent dans le monde entier, dans tous les pays d’Europe, en Amérique du Nord et du Sud, en Israel, au Japon, Corée du Sud et Chine Lauréat de plusieurs concours internationaux (premier prix du concours Olivier Messiaen,

médaille du Concours Arthur Rubinstein dont il reçut les conseils pendant plusieurs années, premier prix du concours Pozzoli, second prix Maria Canals et Jaen entre autres), il donne depuis de longues années des récitals et concerts avec orchestre dans le monde entier ainsi que dans des festivals réputés tant en Europe qu’en Amérique et Asie.

Il enseigne au CRR de Paris et à l’Ecole supérieure de musique de Catalogne à Barcelone. À la suite d’une tournée de concerts en Chine il a été nommé professeur Honoris Causa du Conservatoire Supérieur de Shanghai, où il joue chaque année.

Il a enregistré de nombreux disques dont notamment les Variations Goldberg de Bach, des œuvres de Charles Valentin Alkan qu’il a fait redécouvrir au public français, la diabolique transcription lisztienne de la Symphonie Fantastique de Berlioz, des œuvres de Beethoven dont la sonate Hammerklavier.

Il pratique avec un égal bonheur la musique de chambre et a enregistré les deux trios de Mendelssohn avec Gérard Poulet et Christoph Henkel.

Il a donné avec Gary Hoffman en un seul concert l’intégrale des cinq sonates pour violoncelle et piano de Beethoven.

Il accompagne à plusieurs reprises le baryton Joan Martin Royo.

Pierre Réach donne régulièrement des

Alexandre Martin-Varroy

Aristide Bruant, Geneviève Brisac et Daniel Danis.

Il vient d’interpréter le rôle de Dorian Gray dans une adaptation du roman d’Oscar Wilde mise en scène par Stéphane Battle au Grenier de Toulouse, et le rôle de Taxile dans Alexandre le Grand de Racine mis en scène par Manon Montel.

Bientôt, il incarnera le rôle titre de Mozart, dans le spectacle « Mozart, 1789 », mis en scène et écrit par Manon Montel, au théâtre la Pépinière Opéra à Paris.

Au cinéma, il travaille avec Sofia Coppola, Guillaume Foresti, Matthieu MaunierRossi, Frédéric Castelnau et Grégory Bellanger.

Comme chanteur, il se forme au CRD de Pantin. Baryton lyrique, il est actuellement en cycle supérieur.

Enfin il dirige sa compagnie Les Amoureux Transis avec laquelle il écrit le spectacle « Ce soir, il pleuvra des étoiles », actuellement en tournée.

Participera à la soirée du 22 août RÉCITAL PIANO avec Katia et Marielle Labèque

comédie

N

é en 1976 au sein d’une famille de musiciens, Éric Lacrouts commence l’étude du piano et du violon dès l’âge de six ans. Après avoir obtenu les plus hautes récompenses de violon (classe de Jacques Ghestem) et de musique de chambre (classe de Régis Pasquier et Itamar Golan) au CNSM de Paris, il intègre son très sélectif cycle de perfectionnement. A l’issue de ses études en France, il aiguise son jeu auprès de grands maîtres tels qu’Igor Oistrakh, Yair Kless, Hermann krebbers, Philippe Hirstorn et Joseph Silverstein. Violon solo de l’orchestre de l’Opéra National de Paris depuis 2003, il aborde le répertoire lyrique et symphonique sous la baguette des plus grands chefs (Solti, Osawa, Gergiev, Boulez, Salonen, Bychkov, Prêtre...) et

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collabore avec de nombreux compositeurs pour leurs créations. Premier violon du quatuor Psophos, il se produit dans de nombreux festivals européens entouré d’artistes tels que Salvatore Accardo, Bruno Giurana, Antonio Meneses, Régis et Bruno Pasquier, Denis Pascal et Cédric Tiberghien. Il est dédicataire et créateur d’œuvres de Lucien Guérinel, Gérard Gastinel et Emmanuel Séjourné. Au disque, son interprétation live du quatuor de Jolivet (label Saphir) et l’enregistrement consacré au répertoire contemporain original violon/marimba (label Polymnie) sont salués par la critique (Diapason, Concerto.net). Depuis l’été 2010, il est membre du Word Orchestra for peace sous la direction de Valery Gergiev.

A

u théâtre, Alexandre débute sa formation au CNR de Toulouse puis à Paris à l’école Claude Mathieu.

Il complète son apprentissage avec Marianne Valéry, Yves Pignot, Jean-René Lemoine, Julie Brochen, Michel Fau, Vincent Vittoz, Vincent Leterme, Eric Perez, Bernard Gabay, et Laurent Gutmann.

Il débute avec le rôle d’Aliocha dans Karamazov, adapté de Dostoïevski et mis en scène par Didier Carette au TNT. Depuis, il travaille avec Francis Azéma, Jacques Adjaje et Jean Bellorini, Marie Vaiana, Patrick Alluin, Sugeeta Fribourg, Roger Louret, Laurent Stachnick et Romain Pissenem.

Il aura joué Dante, Brecht, Molière, Racine, Corneille, Schumann, Tchekhov, Beaumarchais, Courteline, Feydeau,

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masterclasses dans plusieurs pays (Japon, Chine, Amérique, Corée du sud, Italie, Espagne, Portugal, Russie etc) et fait très fréquemment partie des jurys de grands concours internationaux (Shanghai, Rio de Janeiro, Olivier Messiaen, Monza, Pozzoli, Masters de Monte-Carlo,etc.)

En juin 2011 il donne conjointement avec le pianiste Boris Berman une série de masterclasses à la Villa Medici Giulini à Briosco (Italie).

Marie-Paule Milone

violoncelle, mezzo-soprano

M

arie-Paule Milone se produit en Europe et aux Etats-Unis comme soliste (concertos de Schumann, Saint-Saëns, Elgar, Brahms), sous la direction de chefs tels que Bertrand de Billy, F.X.Roth, Fabien Gabel, notamment avec l’Orchestre National de France, Jean Deroyer....Marie-Paule Milone est présente au festival d’Octobre en Normandie », elle s’est produite à l’Arsenal de Metz, à l’Opéra de Rennes, au Théâtre Impérial de Compiègne, au Palais des Arts à Lisbonne, à l’Herbst Theater de San Francisco, au Théâtre du Châtelet à Paris, au Musée d’Orsay, au Théâtre des Champs Elysée, à l’Auditorium des Halles, Salle Gaveau...

Marie-Paule Milone est à l’origine de la création, en 2008, du Trio de Régis Campo (en compagnie de Corey Cerovsek et Denis Pascal) mais aussi d’œuvres de Guillaume Connesson, Lucien Guerinel, Nicolas Bacri. Avec le pianiste Denis Pascal, avec qui elle forme à la ville comme à la scène un duo remarquable, elle se produit également avec S. Roussev, Tedi Papavrami, G. Poulet, Eric Lacrouts, Corey Cerovsek, Philippe Graffin, Gérard

Caussé. Ces enregistrements sont dédiés à Rachmaninov, Joseph Marx, L.G uérinel, M.Duruflé, Brahms, Wiener et ont reçu de nombreuses récompenses : Chocs du Monde de la musique. A l’heure où la spécialisation fait rage, la trajectoire de Marie-Paule Milone est de celles qui font d’elles l’une des musiciennes les plus accomplies. Qu’on en juge seulement par sa formation qui se déploie depuis la Finlande à l’Académie Sibelius d’Helsinki auprès d’Arto Noras pour le violoncelle, jusqu’à l’Université d’Indiana aux ÉtatsUnis où elle étudie avec Janos Starker mais également auprès de Virginia Zéani, à Londres avec Vera Rosza pour le chant : Marie-Paule Milone bouscule les frontières et, par son talent à facettes, suscite les rencontres créatrices. Marie-Paule étudie tout d’abord le piano et le violoncelle à Toulouse où elle obtient ses premiers prix de solfège, piano, violoncelle, musique de chambre, comme pianiste et violoncelliste.

Elle est également diplômée d’harmonie, d’histoire de la musique et d’analyse. Elle reçoit plusieurs distinctions nationales.

Remarquée à Lucerne par Arto Noras, elle est sélectionnée pour étudier auprès de lui à l’académie Sibelius d’Helsinki. Diplômée de l’Académie elle donne un premier récital à Helsinki salué unanimement par la critique. Au festival de Kestely (Hongrie),

elle rencontre le pianiste Gyorgy Sebök qui l’invite à l’université d’Indiana à Bloomington où elle étudie avec Janos Starker dont elle sera l’assistante pendant trois ans. Marie-Paule Milone joue un violoncelle français de Charles-Adolphe Gand de 1854.

festival de Yokohama, à Séoul, comme en Europe. Il est régulièrement invité en Allemagne au prestigieux festival de piano de Husum, y défendant les programmes les plus audacieux. En France, à Paris, le public du Théâtre des Champs-Élysées, du Théâtre du Châtelet, du Théâtre de la Ville, de la Salle Gaveau et de l’Opéra Garnier a pu l’applaudir, ainsi que celui de nombreux festivals internationaux. Il s’est produit avec les orchestres nationaux de Lyon, Bordeaux, Besançon et l’Orchestre d’Auvergne. La discographie de Denis Pascal reflète bien sûr ses engagements musicaux. Pour le label français Polymnie, il a ainsi enregistré l’intégrale des Rhapsodies Hongroises de Franz Liszt dont la force expressive été unanimement saluée par la presse musicale, avec notamment un Choc du Monde de la Musique, le Prix de l’Association Française Franz Liszt, le « Recommandé » par Classica. Fort récemment, il a gravé le Concert pour violon, quatuor à cordes et piano d’Ernest Chausson, toujours chez Polymnie, qui a reçu un accueil enthousiaste de la critique lors de sa parution à la rentrée 2006. Un mois plus tard, toujours pour Polymnie,

sa collaboration avec l’orchestre Les Siècles de François-Xavier Roth dans les deux concertos de Chopin a renouvelé notre vision des sonorités de ces œuvres emblématiques – piano Pleyel 1920 et instruments d’époque. Parmi les projets discographiques qui ont connu une énorme reconnaissance de la critique : un disque monographique consacré à Jean Wiener pour Sisyphe qui a obtenu en mars 2008 un Diapason d’Or. Denis Pascal fut élève de Pierre Sancan, puis de Jacques Rouvier et de Léon Fleisher et effectua un troisième cycle de perfectionnement au CNSM de Paris. Lauréat des concours internationaux de Lisbonne, du Concert Artist Guild de New York et de celui de Zürich, il part aussitôt se perfectionner auprès de György Sebök, à l’Université d’Indiana à Bloomington durant trois ans. Ce seront ensuite des collaborations et des tournées régulières avec le grand violoncelliste Janos Starker. Pédagogue unanimement apprécié, Denis Pascal a contribué à l’élaboration de plusieurs ouvrages didactiques en collaboration avec la Cité de la Musique de Paris.

D

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Violon : Lola Torrente et Gabriel Cornet Alto : Cécile Vindrios Violoncelle : Julien Roussel

L

e Quatuor Méditerranée est un ensemble constitué de quatre musiciens, jeunes et talentueux.

Originaires du Sud de la France, ils jouent ensemble depuis plusieurs années et ont participé à de nombreux festivals de musique de chambre. Ils partagent l’envie de faire découvrir à leur public un répertoire large et éclectique et de transmettre leur passion sans cesse renouvelée. Vous retrouverez ce quatuor, pour votre plus grand plaisir, à Calenzana, dans les différents lieux de vie du village, avant les concerts du soir.

Hans-Jürg Rickenbacher ténor

N

Denis Pascal piano

enis Pascal se produit en France et dans le monde entier comme soliste et comme musicien de chambre. Il a fait de nombreuses apparitions aux États-Unis, en Asie au

Le Quatuor Méditerranée

é à Bienne, en Suisse, en 1967. Il effectue sa formation à l’Académie de musique de Bâle. Après l’Opérastudio Suisse, il reçoit plusieurs premiers prix et suit des cours en Europe et aux Etats-Unis. Il travaille avec Nicolaï Gedda, à Stockholm, et Margreet Honig, à Amsterdam.

Depuis 1999, il enseigne le chant à l’Académie de musique de Bâle et en 2010, il est nommé professeur à la Haute École de Lucerne. Hans-Jürg Rickenbacher est le président de l’association EVTA.CH. Le répertoire de Hans-Jürg Rickenbacher s’étend de Monteverdi aux œuvres

contemporaines. Il se spécialise dans l’interprétation de l’évangéliste dans les Passions de Bach, des opéras de Händel et de Mozart et de nombreux programmes du Lied.

Il chante dans de nombreux pays européens, aux États-Unis, en Israël et en Argentine (Teatro Colón).

Sous la direction, entre autres, de Giovanni Antonini (Il Giardino Armonico), Michel Corboz, Diego Fasolis, Howard Griffiths, Martin Haselböck (Wiener Akademie), Heinz Holliger, Hans Martin Linde, Jost Meier, Shao-Chia Lü (Staatsorchester Rheinische Philharmonie), Gennady Rozhdestvensky et de Thomas Rösner (Orchestre de la Suisse Romande), il participe à de nombreux concerts et enregistrements.

Marie Roqueta flûte

M

arie Roqueta débute ses études au CNR de Perpignan où elle obtient ses prix de flûte et de musique de chambre 1998. Elle poursuit sa formation à l'ENM de Saint-Germain-en-Laye auprès de Luc Urbain avant d'intégrer en 2003 le CNSM de Paris où elle étudie auprès de Sophie Cherrier et Vincent Lucas. En 2006, 2ème prix au concours Jean Françaix, elle est l’invitée de Gaëlle Le Gallic dans l’émission « dans la cours des grands », aux côtés de Paloma Kouider. Diplômée du CNSM en 2007, elle se perfectionne auprès de Frédéric Chatoux, avant d'intégrer en 2009 la HEM de Genève dans la classe de Jacques Zoon. Parallèlement à ces

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études, elle passe son prix de musique de chambre au CNSM de Paris dans la classe de Philippe Bernold, en duo flûte et harpe avec la harpiste Sarah Verrue. Elle a été invitée à participer à différentes académies d’orchestres comme l’Orchestre Français des Jeunes, le Gustav Mahler Orchestra, ou encore l’académie d’été de Santander.

Après plusieurs finales dans les concours d’orchestres en France ou à l’étranger, elle remplace régulièrement à l’Opéra de Paris, au sein de l’Orchestre Prométhée, ainsi que dans divers orchestres français. Elle se produit régulièrement en duo flûte et harpe ou encore avec le quintette à vent « Metys », ainsi qu’au travers d’ensembles de musique et de théâtre, et notamment « Le ventre des Pantins », programmé en 2010 au théâtre de la Reine Blanche.

Raphaël Séguinier percussions

Participera à la soirée du 22 août RÉCITAL PIANO avec Katia et Marielle Labèque

N

é en 1979, Raphaël commence à apprendre seul les percussions à l’âge de 15 ans, après quatre années de piano. Influencé par les scènes « indie » « noise » et « postrock » (Fugazi, Mogwai, Sonic youth), il joue dans plusieurs

Lionel Spéciale cor

groupes, créant et autoproduisant ses propres projets musicaux, et une tournée dans toute l’Europe.

Il s’intéresse de plus en plus à l’improvisation et à la musique expérimentale et décide ainsi de rejoindre

N

é à Dunkerque en 1989, Lionel Spéciale étudie le cor au conservatoire de Douai, dans la classe de Guy Mouy. Il y obtient en 2009 ses prix de cor et de musique de chambre à l’unanimité. Il intègre la même année le Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe d’André Cazalet.

Passionné d’orchestre, il est rapidement appelé à se produire au sein de phalanges telles que l’Orchestre de Paris, l’Orchestre Philarmonique de Radio-France, l’Orchestre National de France, l’Orchestre du Capitole de Toulouse, sous la direction de chefs tels que Kurt Masur, Sir Colin Davis, Daniele Gatti, Marek Janowski, Esa Pekka Salonen, Tugan Sokhiev. Il est également sollicité auprès de l’Orchestre Philharmonique de Bruxelles et l’Orchestre de la Monnaie.

Intéressé par la musique contemporaine, il participe à l’orchestre de l’académie du festival de Lucerne où il est dirigé par Pierre Boulez et Peter Eötvös ainsi qu’à celui du festival Verbier dirigé par Valéry Gergiev, Pierre Dutoit et Daniel Harding.

En musique de chambre, il se produit avec les solistes de l’Orchestre National

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le collectif français Zazen en 2003, dans lequel Raphaël joue avec des musiciens de toutes les influences, allant du jazz et du hardcore à la musique électronique, participant à de nombreux enregistrements et événements.

En 2005, il décide de déménager à Paris, où il commence une carrière professionnelle comme batteur-studio. Dans le même temps, il participe aux tournées d’artistes internationaux tels que Nouvelle Vague, Emilie Simon, Chocolate Genius, Cocoon ou encore Saul Williams.

En 2010, Katia Labèque lui propose de rejoindre le projet B for Bang et d’enregistrer avec elle et sa sœur Marielle une version pour piano et percussions de West Side Story. Raphaël fera aussi partie du projet « The Minimalist Dream House ».

Raphaël s’investit actuellement dans la création d’un nouveau groupe avec David Chalmin (Red Velvet, Dimension X, B for Bang) et Massimo Pupillo (Zu, Dimension X, B for Bang) ainsi que dans un nouveau projet d’improvisations de percussions électroniques avec le producteur français Villeneuve.

de France lors du festival CentQuatre organisé par Radio France.

Il décide, en 2011, de poursuivre ses études à la Hochschule für Musik Hanns Eisler de Berlin dans la classe de Marie-Luise Neunecker. Il est régulièrement invité par l’orchestre de la Radio de Berlin (RSB), et occupe depuis 2011 la place de 3ème cor dans l’orchestre du Deutsche Oper de Berlin.

Lionel Spéciale vient de remporter le concours de cor solo à l’Opéra de Berlin (Komische Oper)

Travelling Quartet

L

e Travelling Quartet est un quatuor à cordes original composé de deux violons, d’un violoncelle et d’une contrebasse. Ces quatre musiciens ont décidé de transgresser leur formation classique en nous présentant leur tout nouveau répertoire… les standards des Beatles ! Pourquoi les Beatles ont-ils connu ce succès quasiment inégalé ? La réponse se trouve tout simplement dans leur puissance d’innovation, leur génie commun de la création. Les Beatles ont

tout changé, tout chamboulé. Toujours aussi vivants, aussi présents, ils touchent le cœur de millions de personnes depuis plus de quatre décennies. Leurs mélodies ont été adaptées à de nombreux genres musicaux, notamment le jazz, la salsa ou la musique classique. Les « Fab Four » et l’alchimie magique entre Lennon et McCartney ont changé notre manière de concevoir la musique. Équilibre délicat de quatre voix instrumentales, le quatuor à cordes offre un parfait mélange de

Dominique Vidal clarinette

A

près des études musicales à Clermont-Ferrand, Dominique Vidal fait ses études au CNSM de Paris où il obtient un Premier Prix de clarinette à l’unanimité et un Premier Prix de musique de chambre. Il y poursuit également le troisième cycle de musique de chambre dans la classe de Christian Larde au sein du quintette à vent André Jolivet. Dès lors, il se fait remarquer dans différents concours internationaux où il obtient de nombreux autres prix.

Sa carrière de soliste et de musicien de chambre l’amène à participer à de nombreux concerts et festivals internationaux. Il a été invité par l’ICA (international Clarinet Association USA) à jouer et représenter son Pays au Congrès Mondial de la Clarinette à Paris, Stockholm, Washington, Salt Lake City, Tokyo et Vancouver.

Sa discographie importante comprend des œuvres de Arma, Castérède, Chaynes, Chen, Condé, Bartók, Brahms, Dufourt, Durieux, Fénelon, Goude, Jolivet, Khatchaturian, Mozart, Murail, Petit,

Philippot, Quinet, Roizenblat, Singier, Stravinski, Taïra, Tisné, Tomasi, etc.

Il a obtenu de nombreuses récompenses : Distinction du journal Le Monde « Meilleur Disque de l’Année 94 » ; deux Grands Prix du Disque de l’Académie Charles Cros ; un Diapason d’or. Il est lauréat de l’Action Musicale Philip Morris, fondateur et directeur artistique de l’Académie musicale internationale du Sancy (AMIS) et du Festival d’été en Sancy (FEES), festival international de musique de chambre et de créations contemporaines.

Il est titulaire du certificat d’aptitude aux fonctions de professeur dans les écoles de musique classées par l’Etat. Il donne régulièrement des Masters-class et des cours à l’international. Pour l’année 2005, il a été invité à enseigner en tant que professeur auprès de la Grand Valley State University (Michigan). Depuis 2006, il est professeur à l’Académie internationale Julian Menéndes de àvila en Espagne.

Dominique Vidal joue sur une clarinette Selmer Paris « Privilège ».

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sonorités qui s’épanouissent avec les Beatles.

Le Travelling Quartet a créé avec ses arrangeurs un lien étroit afin de façonner un répertoire exclusif, sur mesure. Chacun des six arrangeurs, créateur à part entière, a eu carte blanche pour nous offrir une lecture unique de ces grands succès. Grâce à la richesse musicale des Beatles, pas de limite à l’imagination...

Scherzando

S

cherzando souhaite que la musique trouve une place naturelle dans la vie de chacun.

L’atelier Maestri É Zitelli a comme objectif de permettre un rapprochement entre le jeune public et les artistes de la scène internationale afin de tisser des liens nouveaux.

Cette activité s’adresse aux enfants de 8 à 15 ans, quelles que soient leur connaissance musicale et leur pratique en ce domaine.

Le concept pédagogique est articulé en plusieurs points qui trouveront leur aboutissement cette année en l’élaboration de « Programmes de Salle » en grand format exposés lors des concerts concernés et rassemblés lors de la soirée de clôture du festival afin de célébrer le voyage thématique de cette douzième édition.

En vrais producteurs, les enfants deviendront eux aussi acteurs à part entière des Rencontres de musiques classique et contemporaine de Calenzana…

- Les musicologues seront préparés à l’écoute des concerts et mettront en lumière la programmation musicale de cette douzième édition.

- Les rédacteurs porteront un regard nouveau sur les artistes en revisitant leurs biographies.

- Les illustrateurs et les maquettistes créeront les programmes quotidiens en grand format.

Les réalisateurs animeront la

dernière soirée en participant à son organisation logistique (billetterie, régie, accompagnement des artistes en coulisse, brève présentation du concert, animation de l’exposition des Programmes).

Maestri É Zitelli 2012 Mythes et histoires Cette semaine estivale est placée sous le signe de la Rencontre : temps et espace, sons et images, nature et architecture se mêlent en un dialogue mené par des artistes venus de tous horizons.

Contes rêvés ou mythes évoqués, autant de belles histoires écoutées et partagées par des Zitelli et des Maestri inspirés !

Les rencontres de calenzana c'est aussi Dimanche 19 août - 11h00 Église de Moncale

O. Respighi, A. Caplet, R. Wagner Ottorino Respighi

Il Tramonto

Richard Wagner

Extraits des Wesendonck Lieder : Der Engel, Im Treibhaus, Schmerzen

Mardi 21 août -18h00

Confrérie de Calenzana

Concert au profit de la Confrérie de Calenzana

- Chants interprétés par des confrères de Calenzana - Groupe polyphonique sarde de chants sacrés

André Caplet

Entrée 15€ Doux fut le trait, Quand verrai-je hélas, Conte (non inclus dans l’abonnement fantastique complet)

Projections de documentaires Salle du préau (sous la mairie de Calenzana)

Samedi 18 août à 19h15 Beethoven Dimanche 19 août à 19h15 Bruno Coulais (Cathy Rocchi) Lundi 20 août à 19h15 A Filetta (Cathy Rocchi)

Entrée 10€ (inclus dans l’abonnement complet)

Pour l'automne...Master classes Béatrice Martin

D

iplômée du Conservatoire de Tarbes en piano et musique de chambre, Béatrice y occupe le poste d’assistante du pianiste et compositeur Thierry Huillet avant de travailler au sein de Radio Classique de 2001 à 2005 et de fonder en 2006 à Neuilly-sur-Seine l’école de piano Scherzando.

Les événements qu’elle organise visent à tisser des liens entre les cultures : elle crée en 2007 la semaine de festival Maestri e Bambini en Toscane et intègre à ses

Luce Dulucq-Pujol

L

uce découvre le monde de la musique dès l’âge de quatre ans en entrant en éveil musical au Conservatoire de Perpignan dont elle sort diplômée en 2006 dans la classe de Marie-Christine Guichot avant de se perfectionner au Conservatoire de Rueil-Malmaison auprès de Denis Pascal.

Elle aime explorer le répertoire français, en soliste et en musique de chambre, ce qui la conduit à se produire notamment en

projets des rencontres européennes en collaboration avec les concours dont elle fait partie du jury en France et en Italie.

Chargée depuis 2006 de la programmation musicale de la Maison Natale Claude Debussy à Saint-Germain-en- Laye, elle consacre son entière saison aux jeunes talents.

Consciente de l’importance d’aider les jeunes générations à construire une société artistique plus ouverte à travers l’échange et la réflexion, Béatrice crée en 2012 l’Association « MESCENESXXI, Talents & Société » dont l’objet est de soutenir la Création.

la Maison Natale Claude Debussy avec la violoncelliste Sophie Chauvenet.

Musicienne du partage, Luce crée en 2011 l’association Le Chant des Sérènes dont l’objet est de faciliter l’accès à la culture et l’expression artistique en milieu rural.

Son parcours éclectique (piano, percussions, accompagnement des classes de danse) a toujours privilégié une pratique musicale sensible à travers l’appréhension rythmique et l’échange, il fait d’elle l’un des éléments moteurs de l’enseignement au sein de Scherzando.

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Octobre

Alto avec Françoise Gneri

Un grand merci à tous les bénévoles sans qui les Rencontres n’auraient pu avoir lieu et notamment à Marie-Thérèse Petrucci, Présidente d’honneur Amadei Raynald D'A ngeli Jean Baptiste Albertini Antoine-Marie Albertini Annick Andreani Michèle Bernardeau Anne Berquer Jean-Pierre Berquer Joëlle Blaecke Jean-Pierre Broda Hervé-Dominique Corsini Chantal Debeurme Eric Debeurme Françoise Delage-Marini Jean-Pierre Desbouist Evelyne

Novembre

Décembre

Desbouist Jean-Claude Ducassé Rémy Emmanuelli Marie-Thérèse Ferraris Alix Franchi Pierre Franchi Roselyne Gambaro Angélique Gantelme André Gantelme Marie-Claude Gerber Pascale Gerber Frédéric Guechi Katy Guglielmacci Monique Grivaux Michèle Hatt Marc-Antoine Honti Erika Houtart Patricia Ledu Joseph Lepagnot – Leca Françoise Liccia Nathalie Marais Blandine Massoni Annick Maraninchi Frank Maraninchi Jéromine Muracciole Philippe, de Pmgrafiks

Noesen-Grimaldi Giselle Orsini Blaise Paya-Castellani Jean Persechino Gilles Pissard Charly Poirier-Arnoud Patricia Poli Jean-Jacques (traduction en corse) Popeye Patrick Saive Mimi Schmitter Éliane Schmitter Laure Schmitter Marion Sicurani Antone Sicurani Aurélia Sicurani Jean Trouvat-Lutz Claudia Verdeur Pierre-Jacques Vesperini Françoise L’association Cal’in Festa

Composition avec Bruno Coulais

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Piano avec Denis Pascal

Un grand merci aux commerçants de Cassanu et de Lunghignanu Un grand merci également à Monsieur l’Archiprête Coeroli, aux confrères de Calenzana et de Lumiu

Au fil des rencontres Quatuor Actuels / A Filetta / Marie Kobayashi - Mezzo soprano / Pierre Foucheneret - Violon / Tempus Fugit - Polyphonies corses / François Lanzi - Guitare classique / Philippe Azoulay - Guitare classique / Fiatu Muntese Polyphonies corses / Jean-Philippe Audin Violoncelle / Bruno Coulais - Compositeur / Alexis Vassiliev - Contre-ténor / Orchestre les Siècles / François-Xavier Roth - Chef d'orchestre / Juan Carmona - Guitariste Flamenco / Indigo - Groupe vocal / Claire Désert - Pianiste / Florent Boffart - Pianiste / Melonius quartet - Mandoline / Violoncelle de Moïta / Accademia San Rocco Venezia / MarieChristine Barrault - Récitante - actrice / Marie-Paule Milone - Violoncelliste / Haidée Alba - Chanteuse Tango / La Framboise frivole / Sylvie Leroy - Pianiste / Hélène Delavaux - Soprano / Denis Pascal - Pianiste / Teddy Papavrami Violon / Swingel Singers / Guy Touvron et quintet de cuivres - Trompettiste / Pierre

Charvet - Compositeur / Françoise Gneri - Alto / Svetlin Roussev - Violon / Europa Galante / Fabio Biondi - Violon et direction d'orchestre / Quatuor Parisii / Ensemble Palais Royal / Jean-Philippe Sarkos - Chef d'orchestre / Les Vents français / Lucienne et les garçons / Misia - Fado / Catherine Cantin - Flûte / Christophe Grindel - Cor anglais / Carmen Martinez - Piano / Simon Milone - Violon / Gospel Voices / Duel / La Squadra - Ensemble vocal gênois / Nora Cismondi - Hautbois / Julian Hardy - Basson / Floran Pujuila - Clarinette / Julian Beaudiment - Flûte / Benoît de Barsony - Cor / Eric Lacrouts - Violon / Orianne Moretti - Soprano / Christina Branco - Fado / The Tallis Scholars Ensemble vocal / Agnès Jaoui /Chanson plus bifluoré / A sei voci / Laurent Korcia - Violoniste / Stephen Kovacevich - Pianiste / Tavagna - Polyphonies corses / Le Quatuor / Chœur orthodoxe bulgare Saint Jean de Rila / Robin Renucci / Jean-Paul Grisoni - Baryton / Orchestre

Astratella

La vie culturelle en Balagne Les Rencontres polyphoniques Estivoce - Pigna de Calvi du 9 au 13 juillet 2013 du 11 au 15 septembre 2012 Tél : 04 95 65 23 57 E-mail : svegliu@wanadoo.fr

Festiventu - Calvi

du 27 au 31 octobre 2012 Tél : 01 53 20 93 00 E-mail : organisation@lefestivalduvent.com

Site : www.lefestivalduvent.com

Festival du jazz de Calvi du 20 au 24 juin 2013

Tél : 04 95 65 00 50 E-mail : info@calvi-jazz-festival.com Site : www.calvi-jazz-festival.com

Camerata de Tirana / Jean-Michel Ferran - Chef d'orchestre / Gérard Caussé Altiste / Jean-Philippe Collard - Piano / Michel Portal - Clarinette, saxophone / Max-Emanuel Cencic - Contre-ténor / Brigitte Engerer- Pianiste / La Framboise frivole / Adrien La Marca - Alto / Alexandre Gattet - Hautbois / Anaïs Benoît - Flûte / André Feydy - Trompette / Benoît Fromanger - Flûte, chef d'orchestre / Bleuenn Le Maître - Violon / Catherine Imbert - Piano / Cécile Grassi - Alto / David Pauvert - Cor / Dominique Vidal - Clarinette / Elodie Adler - Harpe / Eric Le Sage - Piano / Etienne Durantel - Contrebasse / Fabrice Millischer - Trombone / Guillaume Martigné Violoncelle / Hans-Jürg Rickenbacher - Ténor / Lionel Bord - Basson / Philippe Biondi - Percussions / Pierre Bleuse Violoniste & chef d'orchestre / Laetitia Himo, violoncelliste...

Tél : 04 95 61 73 13 E-mail : contact@ccvoce.org Site : www.centreculturelvoce.org

A Fiera di l'A livu Montemaggiore

les 21 et 22 juillet 2013 Tél : 04 95 62 81 72 E-mail : fieradilalivu@wanadoo.fr

Festival du film européen de Lama du 28 juillet au 3 août 2013 Tél : 04 95 48 21 60 Site : www.festilama.org

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Huiles Essentielles Biologiques et Artisanales

A Fiera di l'A mandulu - Aregnu

du 4 au 5 août 2013

Tél : 04 95 61 79 42 - 06 19 89 55 49 Site : www.foire-amandier-aregno.com

Les Rencontres internationales de théâtre – Olmi-Capella du 4 au 11 août 2013

E-mail : aria.olmi@wanadoo.fr Site : www.aria-corse.com

Les Nuits d'été de Corte

A Pastricciola - I Salducci 20260 LUMIO - CORSE E-mail : info@astratella.com Téléphone : 04 95 60 62 94 Fax : 04 95 60 60 78 Site internet : www.astratella.com

du 6 au 12 août 2013 Tél. : 04 95 61 02 85 E-mail : info@nuitsdecorte.fr Site : www.nuitsdecorte.fr

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Evelyne & Claude Luciani Opticiens diplômés

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Capinielli

L’association remercie très chaleureusement Bar l’Oasis Garage Peugeot Performance SARL Mediasat et Music2B Antoine Canava César Canava SARL l’Alivu SARL A Culetta SARL Palazzu Station Vito La Pépinière Roy Ludwig Hofmann Para Citea, Calvi Atelier du Cuir, Calvi Chez Charles M. Hatt Félix Leca Pompes funèbres Guglielmacci Boucherie Guidoni Com Deco E Fritelli Biscuiterie de Zilia

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Les Concerts de 21h30 Vendredi 17 août

Église Saint-Blaise, Calenzana

Concert d’ouverture

Les variations Goldberg de Bach Tatiana Samouil : violon Gérard Caussé : alto Gautier Capuçon : violoncelle

Samedi 18 août

École Les Ignorantins, Calenzana

Les grands moments de musique au cinéma Orchestre symphonique de Bucarest, sous la direction de Benoît Fromanger.

Présence de Bruno Coulais.

- Richard Strauss : Ainsi parlait Zarathoustra 2001, l’Odyssée de l’espace - Musiques de Bruno Coulais Entracte - Gioacchino Rossini : La Pie voleuse Orange mécanique - Samuel Barber : Adagietto Elephant Man - Georg Friedrich Haendel : Suite n° 9 en ré mineur, Sarabande Barry Lyndon - Pietro Macagni : Cavaleria Rusticana Le Parrain - Wolfgang Amadeus Mozart : Symphonie n° 25, 1er mouvement Amadeus - John Williams : La liste de Schindler - Wolfgang Amadeus Mozart : Noces de Figaro : Ouverture Un fauteuil pour deux - Gustav Mahler : Symphonie n° 5, Adagietto Mort à Venise - Hans Zimmer : Pirates des Caraïbes

Dimanche 19 août

École Les Ignorantins, Calenzana

Soirée Beethoven

Orchestre symphonique de Bucarest, sous la direction de Benoît Fromanger - Le Triple concerto - Concerto Empereur - La 7è Symphonie

Lundi 20 août

Chapelle Sainte-Restitude, Calenzana

Polyphonies corses - A Filetta Mardi 21 août

Église Saint-Blaise, Calenzana

Mozart et Schubert Les artistes résidents

Wolfgang Amadeus Mozart : Quatuor avec piano n° 1 en sol mineur KV 478 , Quintette avec clarinette et cordes KV 581 Franz Schubert : Quintette à deux violoncelles D. 956

Mercredi 22 août

Église Saint-Blaise, Calenzana

Soirée de clöture : Récital Katia et Marielle Labèque

piano

Maurice Ravel : Ma mère l’Oye - Rhapsodie espagnole Bernstein : West Side Story

Les artistes résidents

Les Rendez-vous de 18h00 Samedi 18 août

Confrérie de Calenzana

All you need is...

Travelling Quartett

OEuvres des Beatles, Medley et autres transcriptions.

Lundi 20 août

Cassanu : place de village

R. Strauss, A. Dvorak, J. Sibelius, J. Strauss Richard Strauss : Sextuor à cordes de Capriccio Antonin Dvorak : Deux Valses, op. 54 Jean Sibelius : Valse triste Johann Strauss : Rosen aus dem Süden, Kaiserwalzer Richard Strauss : Suite du Chevalier à la rose

Mardi 21 août

Calenzana : place Pariggi

Dimanche 19 août Confrérie de Calenzana

Conte pour enfants « La Boîte à Joujoux » - Claude Debussy

Spectacle jeune public au cours duquel Poupées, Pulcinella et Soldats s’animeront grâce à un acteur, un danseur et des musiciens.

Lundi 20 août Église de Lumiu

J. Marx, R. Strauss, R. Wagner

Joseph Marx : Sérénade pour violon et piano Richard Strauss : Ständchen, Ich Trage Meine Minne, Heimliche Aufforderung Joseph Marx : In meiner Träume Heimat Richard Strauss : Morgen, September Richard Wagner : Prélude de Tristan et Isolde, Mort d'Isolde

Mardi 21 août

Église de Montemaggiore

J.S. Bach

Cantate BWV 55 "Ich armer Mensch, ich Sündenknecht", de la Passion selon St. Mathieu "Erbarme dich", de la Messe en Si : Benedictus, du Magnificat : "Quia respexit", "Et misericordia", Concerto Brandebourgeois BWV 1051

Mercredi 22 août Église de Zilia

R. Schumann, J. Brahms, G. Fauré Robert Schumann : Carnaval, op. 9 Johannes Brahms : Scherzo de la sonate F.A.E Gabriel Fauré : Trio, op. 120

Les artistes résidents

Les Concerts gratuits de 19h30 Dimanche 19 août

Retrouvez-nous sur www.musical-calenzana.com

F. Schubert : Quatuor à cordes « Quartettsatz », D 703 en do mineur W.A. Mozart : Quatuor à cordes (Dissonances), KV 589

Lunghignanu : place de l’église.

F. Schubert, W.A. Mozart Cuarteto Arriaga

B. Britten, G. Jacob, V. Williams

Benjamin Britten : Introduction du Cor de la Serenade, op.

31 - Canticle III : Still falls the rain, op. 55, Canticle V : The Death of - St Narcissus, op. 89 Gordon Jacob : Horn Concerto Vaughan Williams : Songs of Travel

Mercredi 22 août

Calenzana : concert en pleine nature

J. Haydn, F. Schubert, J. Brahms Membres du Cuarteto Arriaga, Eric Lacrouts, Lionel Spéciale, Amaury Coeytaux

J. Haydn : Allegro con spirito, extrait du Quatuor n° 4 op.

76, HobIII 78 « Le Lever du soleil » F. Schubert : Allegro ma non troppo et Adagio extraits du Quintette à cordes, op.163, « La Truite » J. Brahms : Andante Moderato extrait du Sextuor à cordes op. 18

Et aussi...

Dimanche 19 août - 11h00

Église de Moncale

O. Respighi, A. Caplet, R. Wagner

Ottorino Respighi : Il Tramonto Richard Wagner : Extraits des Wesendonck Lieder : Der Engel, Im Treibhaus, Schmerzen André Caplet : Doux fut le trait, Quand verrai-je hélas, Conte fantastique Entrée : 10 € (inclus dans l’abonnement

complet)

Mardi 21 août -18h00 Confrérie de Calenzana

Concert au profit de la Confrérie de Calenzana - Chants interprétés par des confrères de Calenzana

- Groupe polyphonique sarde de chants sacrés Entrée : 15 € (non inclus dans l’abonnement complet)