NO.021 le 28 octobre 2013 ISSN:2258-7950
Premier colloque International en France sur un écrivain Chinois
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Interview de Madame Jianfen QIAN, fondatrice du « Four QIAN » qui se situe à Wuxi en Chine O rg a n i s é p a r l e s U n i v e r s i t é s d e l a Sorbonne-Nouvelle, de Paris-Diderot et d’Aix-Marseille, le colloque s’est tenu les 18 et 19 octobre 2013 à la SorbonneNouvelle Paris3 et à Paris Diderot Paris7 sur l’œuvre du prix Nobel de Littérature 2012. L’écrivain chinois Mo Yan (1955) a été le centre de toutes les attentions et des débats. Les intervenants renommés et prestigieux qui se sont succédés ont témoigné de l’importance de son œuvre littéraire. Durant ces deux jours Mo Yan a été à l’honneur, ces romans méritaient bien cela. Son œuvre qualifiée d’« imaginaire débordant de subtilités narratives, de beauté de l’écriture »… et Mo Yan « d’écrivain incontournable de ce siècle, particulièrement plébiscité dans notre pays ». La grande qualité de la traduction française a aussi particulièrement été soulignée.
Ce fut un grand colloque international très complet, et ouvert à tous où fans des livres de Mo Yan, simples amateurs, grands curieux, spécialistes et universitaires ont échangé librement. La qualité des participations et des débats a été exceptionnelle, ont participé à ce colloque, professeurs d’Universités, traducteurs et éditeurs de Mo Yan, à l’appui de notre propos, sans être exhaustif nous citerons simplement mesdames et messieurs : Yinde Zhang, de l’Université Sorbonne Nouvelle-Paris3 ; David Der-wei Wang, d’Havard University, USA ; Chen Sihe, de l’Université de Fudan, Shanghai ; Philippe Daros de l’Université Sorbonne Nouvelle Paris3 ; Isabelle Rabut, d’Inalco ; Nicolas Zufferey de l’Université de Genève ; Cécile Sakaï, de l’Université Paris Diderot Paris7 ; Jin Siyan de l’Université d’Artois ; Annie Bergeret Curien du
CHU TEH CHUN, les chemins de l’abstraction suite :page F3 Exposition à la Pinacothèque de Paris 28, place de la Madeleine. Paris 8e Du 11 octobre 2013 au 16 mars 2014 Moins connu en France que son contemporain ZAO-WOU-KI, CHU TEH CHUN mérite tout autant d’être découvert par le public parisien. La manière dont CHU TEH CHUN montre la nature qui l’entoure prouve à quel point il est libéré de la figuration, il est témoin du monde dans lequel il vit.
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CNRS ; Victor Vuilleumier de l’Université Paris Diderot-Paris7 ; Nicoletta Pesaro de l’Université Ca’ Foscari de Venise ; Xu Shuang de l’Université Paris DiderotParis7 ; Noël Dutrait, traducteur, du CNRS et de l’Université Aix-Marseille ; Chantal Chen-Andro, traductrice, de l’Université Paris-Diderot-Paris7 ; Sandrine Marchand de l’Université d’Artois ; Muriel Détrie de l’Université Sorbonne Nouvelle Paris3 ; Marie Laureillard traductrice, de l’Université Lyon 2 ; Xiaomin GiafferriHuang de l’Université de Nice Sophia Antipolis, Silvia Marijnssen, traductrice ; Anne Sastourné du Seuil ; Philippe Forest, écrivain, de l’Université de Nantes En souhaitant que ce colloque ait les prolongements internationaux qu’il mérite nous attendrons impatiemment le document rendant compte de toutes les contributions. André FERNANDEZ
L’exposition de YAN PEI MING Du 25 octobre 2013 au 23 novembre 2013 7 rue debelleyme 75003 Paris
Vivant entre Dijon, Paris et Shanghai, l'artiste chinois Yan Pei-Ming vient de rejoindre la galerie Ropac, qui met les petits plats dans les grands pour le célébrer, son exposition occupe les trois niveaux de la galerie. Il y présente une suite de grandes peintures et d'aquarelles sur papier et réaffirme son
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intérêt constant pour l'image médiatique et la fresque historique. Utilisant une large et subtile palette de gris, Ming va d'un portrait de Isabelle Huppert à des sujets plus triviaux : scènes d'avions de chasse dans les cieux, chars de guerre comme à la télévision ou crânes à l'humeur fort romantique.
Les défaites de la vie conduisent aux grandes victoires.
L'amour pour la peinture sur porcelaine
L’écrivain Mo Yan « au croisement du local et de l’universel »
La ville de Wuxi est près du lac Taihu, elle se trouve dans la province du Jiangsu. C'est une ville culturelle qui a plus de 3000 ans d'histoire. Le charme du lac Taihu et l'héritage historique, ont cultivé brillamment le raffinement du « Four QIAN ». Ainsi au niveau de la peinture sur porcelaine, le Four QIAN est une merveilleuse référence de l'art contemporain chinois. Le 30 octobre, Jianfen QIAN, la fondatrice de Four QIAN, directrice générale de l'entreprise de culturelle de Wuxihailing, exposera une vingtaine de ses œuvres de porcelaine fine dans la salle Carus du Musée du Louvre et elle raconte sa passion pour la peinture sur porcelaine. Une passion pour la peinture à l'encre sur porcelaine La porcelaine blanche à décor bleu est unique dans l'art chinois, car le style traditionnel de la peinture sur porcelaine blanche à décor bleu s'appuie sur une technologie évoluée. Elle apparait à la fin de la dynastie Qing, les lettrés dessinaient et prenaient la porcelaine comme le papier se débarrassant des modèles traditionnels. Dès lors, la peinture sur porcelaine entra dans une nouvelle époque avec la création pastel -, expression directe de l'esprit.
Horoscope Une photo une histoire Opéra Chinois « En compagnie des immortels » 8ème édition du Festival du Cinéma Chinois de Paris CHIFRA : Exposition France-Chine « Aux origines de la création » L’exposition de YU ZHAO
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