Portfolio 2018 Anthony Duquerroy Architecte-Urbaniste

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portfolio 2018


prĂŠambule CV

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curriculum vitae 3


DONNÉES PERSONNELLES NOM

FORMATION

COMPÉTENCES

ANTHONY DUQUERROY

DATE DE NAISSANCE

25 / 10 / 1992

AGE

25 ANS

STATUT

CÉLIBATAIRE

NATIONALITÉ

FRANÇAISE

MOBILITÉ

TITULAIRE DU PERMIS B // VÉHICULÉ

2007

OBTENTION DU BREVET DES COLLÈGES Mention très bien Collège Pierre Robert // Le Dorat (87) France

2010

OBTENTION DU BACCALAURÉAT STI Arts Appliqués - Option Arts plastiques et Espagnol // Mention bien Lycée Raymond Loewy // La Souterraine (23) France

ADRESSE

POWERPOINT PHOTOSHOP ILLUSTRATOR INDESIGN

+33 - 6 89 44 05 65

2012

a.duquerroy@orange.fr

E-MAIL

WORD EXCEL

CONTACT TELEPHONE

LOGICIELS

Résidence de Bissy App. D140 Route de Ganges 34980 SAINT CLÉMENT DE RIVIÈRE FRANCE

OBTENTION DU BTS DESIGN D’ESPACE Option Approfondissement Sectoriel Lycée Cantau // Anglet (64) France

AFFINITY PHOTO AUTOCAD VECTORWORKS

2015

OBTENTION D’UNE LICENCE EN ARCHITECTURE École Nationale Supérieure d’Architecture de Montpellier (34) France

ARCHICAD SKETCHUP ARTLANTIS LUMION

LINKS // RÉSEAUX SOCIAUX 2017

www. facebook.com/anthony.duquerroy

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LANGUES FRANÇAIS

99 %

langue maternelle

www.issuu.com/anthonyduquerroy www.linkedin.com/in/duquerroy-anthony

OBTENTION DU TITRE D’ARCHITECTE DIPLÔMÉ D’ÉTAT EN GRADE MASTER PFE avec mention du jury // Major de promotion Domaine d’étude Métropoles du Sud // ENSA Montpellier (34) France

2018

VALIDATION DES SÉMINAIRES D’HABILITATION À LA MAÎTRISE D’OEUVRE EN SON NOM PROPRE (HMONP) ENSAM // Montpellier (34) France Structure d’accueil : A+ ARCHITECTURE Montpellier (34) France

ANGLAIS B 1 B u l at Leve l

ESPAGNOL n i ve a u

BAC

75 % 60 %


EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES

2006

STAGE AU SEIN DU CABINET D’ARCHITECTURE DE M. CLAUDE CHABROUX Découverte et pratiques graphiques Mai 2007 // Peyrat-de-Bellac (87) France

2011

STAGE AU SEIN DE L’ATELIER D’ARCHITECTURE DE MME. SYLVIE CILLAIRE Chargé de projet // Maquette // Communication Juin - Juillet 2011 // Bayonne (64) France

2015

STAGE «PREMIÈRE PRATIQUE» (L3) AU SEIN DU CABINET D’URBANISME DE MME. MARIE-DOMINIQUE VILLENEUVEBERGERON Chargé de projet urbain en stade esquisse // Pièces graphiques et écrites d’urbanisme règlementaire Janvier - Février 2015 // Saint-Priest-Taurion (87) France

2015-2017

MEMBRE DU CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’ECOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D’ARCHITECTURE DE MONTPELLIER Montpellier (34) France

2016

WORKSHOP « VISIONS DU FUTUR » AVEC JAANA REINIKAINEN Réflexions autour de la reconversion des délaissés urbains comme potentiel de demain Avril 2016 // Helsinki - Finlande

2016

STAGE AU SEIN DE L’AGENCE D’ARCHITECTURE NBJ ARCHITECTES (BRION - NOURRIGAT) Chargé de projet // Concours // Maquette par impression 3D // Esquisses et faisabilités Mai - Septembre 2016 // Montpellier (34) France

2016-2017

STAGE AU SEIN DE L’AGENCE D’ARCHITECTURE NBJ ARCHITECTES (BRION - NOURRIGAT) Edition complète de la monographie de l’agence // Techniques éditoriales, design graphique Septembre 2016 - Janvier 2017 // Montpellier (34) France

2017

INTERVENANT AU SÉMINAIRE SCIENTIFIQUE KA-AU / MÉTROPOLES DU SUD « Culture & Héritage » // Table ronde autour de la Creative City Janvier 2017 // Montpellier (34) France

2017

MEMBRE-ORGANISATEUR DU SYMPOSIUM MÉTROPOLES DU SUD

2017

SOUTENANCE DE MÉMOIRE DE MASTER D’ARCHITECTURE « Architecture, luxe et marketing : émergence et façonnage d’icônes internationales chez Louis Vuitton » Directrice de mémoire : Elodie Nourrigat Janvier 2017 // Montpellier (34) France

2017

STAGE AU SEIN DE L’ASSOCIATION CHAMP LIBRE Restitution et édition du livre tiré du Symposium Métropoles du Sud 2017 Techniques éditoriales, design graphique Janvier - Mars 2017 // Montpellier (34) France

2017-2018

COLLABORATEUR // AGENCE A+ ARCHITECTURE Concours // Projets d’architecture pour des Maîtrises d’Ouvrage Privées ou Publiques // Études des phases de faisabilité et esquisses jusqu’en phases PRO/DCE. Octobre 2017 - Octobre 2018 // Montpellier (34) France

Chargé de communication Janvier 2017 // Montpellier (34) France

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portfolio sommaire

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ARCHITECTURE p r o j e t s d ' é c o l e

2012 2017

ARCHITECTURE p r o j et s d ' A G E N C E

2016 2018

RECHERCHE & D É V E LO P P E M E N T

2015 2018

01 - L’ODYSSÉE LGM CAMPUS DE L’EAU ET CENTRE DE THALASSOTHÉRAPIE 02 - CAMP’LUXE DIGITAL CENTRE DE RECHERCHE INNOVATION ET LUXE 03 - PHARE URBAIN REVITALISATION URBAINE ET PATRIMONIALE 04 - SMART CITY CITÉ DE LA MODE À LJUBLJANA 05 - AMÉTHYSTES LOGEMENT COLLECTIF 06 - CORPS ACCORDS CENTRE OENO-TOURISTIQUE

01 - LA VILLE EN PARTAGE AMÉNAGEMENT D’UN QUARTIER RÉSIDENTIEL 02 - AGORA EXTENSION DU MUSÉE D’ART CONTEMPORAIN DE LIMA 03 - RUBAN URBAIN BÂTIMENT ADMINISTRATIF DU CHRU DE BESANÇON 04 - L’EAI MPT REHABIITATION D’ANCIENS BÂTIMENTS MILITAIRES EN BUREAUX 05 - GASTON BERGER RÉNOVATION RÉSIDENCE UNIVERSITAIRE 06 - LA RUCHE LOGEMENT ÉTUDIANT À MONTPELLIER

01 - ARCHITECTURE ET HAUTE-COUTURE : DEUX INCOMPATIBLES ? RAPPORT D’ÉTUDE 02 - ARCHITECTURE, LUXE ET MARKETING : EMERGENCE ET FAÇONNAGE D’ICONES INTERNATIONALES CHEZ LOUIS VUITTON MÉMOIRE DE MASTER 03 - SYMPOSIUM MÉTROPOLES DU SUD SÉMINAIRE SCIENTIFIQUE 04 - COMMUNICATION EDITION D’UNE MONOGRAPHIE D’AGENCE 7


ÂŤ Mon projet

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t préféré ? C’est le suivant. »

F.L. Wright

2012 2017

ARCHITECTURE P R O J E T S D ' É C O L E

2012 2017 9


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-01-

L'ODYSSÉE LGM Projet de Fin d’Étude Plaquette disponible sur demande

Quartier du port LA GRANDE MOTTE (34)

Campus de l’eau Centre de thalassothérapie

Master 2 / PFE Ens: E.Nourrigat / J.Brion

Ce Projet tend à développer une filière d’excellence dans le domaine du soin et de tourisme de bien-être actuellement en plein essor. L’idée est aussi d’engager un développement régional au travers de cette filière d’excellence, autour de trois potentialités identifiées de la région: à savoir les sources thermals avec Avène, la culture viticole et l’oeunotourisme avec Gignac, et son ouverture sur la mer (associer les vertus médicinales de la mer et l’économie de la mer) pour tout ce qui est thalassotherapie avec ici La Grande Motte. L’enjeux est donc de développer un centre de thalassothérapie spécialisée dans la recherche et l’expérimentation, qui utilise la thérapie marine comme un réel outil scientifique. Ll’idée est de mettre en place une synergie, afin d’asseoir cet outil comme leader, sous six points clés, six pratiques : Recherche // développement // transmission // production // application // statistique. Autour de la notion d’écotone marin, un travail morphologique et topographique est fait. Il s’agit en effet, de combiner les actions simultanées de « pousser » et de « tirer », afin de déformer le sol et de créer des zones écotoniales. A l’heure de penser, concevoir et projeter un morceau de cette ville, le questionnement de la posture par rapport à ce lourd patrimoine se pose. S’il semble évident qu’il n’est pas nécéssaire de créer un pastiche, une pâle copie de cet urbanisme et de cette architecture. L’idée est de s’insérer avec discrétion dans cette environnement sans pour autant se contraindre outre mesure, mais dans le respect de la pensée balladurienne. L’idée majeure est de proposer un programme hybride, avec une spécificité marquée: il s’agit d’un campus de l’eau avec des équipements médicaux (Clinique , diagnostic, logement de convalescence), d’apprentissage et transmission (université spécialisée en antenne à l’école de médecine de Montpellier, un centre de formation), de production (atelier d’artisanat), l’extension de la marina, des espaces de vie urbaine (salle symphonique, hôtellerie, cinéma, logments, commerces et aménagement des quais, stationnement).

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STRATÉGIE TERRITORIALE

SYSTÈME TERRITORIAL

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LE TOURISME DE BIEN-ÊTRE


VUE AÉRIENNE 13


STRATÉGIE URBAINE ET IMPLANTATION

COUPE URBAINE ET TRAITEMENT DES ESPACES PUBLICS

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PIÈCE ARCHITECTURALE // ÉCLATÉ

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PERSPECTIVE DEPUIS L’ESPACE PUBLIC

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COUPE AA

COUPE BB

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PERSPECTIVE INTÉRIEURE // BASSINS DE THALASSOTHÉRAPIE


MAQUETTES

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PUBLICATION AU MAGAZINE PATRIMOINE EN RÉGION n°33 Hiver 2017 / 2018 21


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-02CAMP’LUXE DIGITAL

Port Marianne MONTPELLIER (34) FRANCE

Centre de recherche digital innovation et luxe

Master deuxième année Ens: E.Nourrigat / J.Brion

Ce Projet tient à créer un lieu destiné à la recheche dans un domaine émergent des trois filières leader de la métropole de Montpellier: la pharmacologie, le numérique et l’agriculture. En cela en résulte un programme tourné vers le soin et le bien-être au travers d’une filière de recherche en luxe cosmétologique digital. Il s’agit d’un projet de centre de recherche destiné à mettre au point des outils, les techniques, pratiques et processus nouveaux dans le secteur de la cosmétologie paramédicale. Situé à Montpellier, dans le quartier de Port Marianne, ce projet tend à amorcer l’élaboration d’un triangle de connaissance; à savoir recherche, enseignement, innovation autour de trois grandes famille: les nano-cosmétiques, le luxe digital, et la culture (au sens agricole) numérique.v Le tout étant inscrit dans une pièce urbaine visant à l’intégration complète dans la ville en y associant des fonction d’avantage universelles, et de larges espaces entièrement dédié au partage et à la démocratisation des connaissances développée sur ce même site. Dans un site constellé d’éléments bâti, connectés, partagé, le projet tend aussi à développer un espace de travail, d’expérimentation, mais aussi de promenades publiques sur les « toits » de la ville en se surmontant d’une série de dispositif proliférant, re-dessinant invariablement la skyline de Montpellier.

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PARCOURS MÉTROPOLITAIN

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VUE AÉRIENNE


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PROSPECTION ET PROLIFÉRATION ENVISAGÉE DU DISPOSITIF

IMPLANTATION ET SYSTÈME URBAIN

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STRATIFICATION DE LA PIÈCE URBAINE

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PLAN URBAIN (EN DESSOUS DU DISPOSITIF PARASOL

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PIÈCE ARCHITECTURALE PLAN DE REZ-DE-CHAUSSÉE

COUPE GÉNÉRALE

PIÈCE ARCHITECTURALE PLAN DE NIVEAU COURANT

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PERSPECTIVE DEPUIS LE DISPOSITIF PARASOL

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PERSPECTIVE INTÉRIEURE LABORATOIRES DE RECHERCHE


MAQUETTES

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-03-

PHARE URBAIN

Ancienne usine ROG LJUBJANA - SLOVÉNIE

Centre de recherche scientifique en biocosmétique et fragrance

Master première année Ens: B.Bouchet / A.Martinez

Ce projet interroge la pratique de la réhabilitabilitation architecturale mais aussi urbaine en s’inserrant dans un quartier en pleine mutation qui cherche à se revitaliser. Le projet pose donc la thématique du travail en ville et de comment travailler en centre-ville aujourd’hui, afin de réinjecter une certaine polyvalence dans les temporalités d’usage de ce quartier. Un premier travail rbain est fait afin de re-dynamiser cette pièce urbaine par le traitement et la qualification des espaces publics et des berges. Le coeur d’ilôt, d’abord centré sur lui-même et opaque, apporte une nouvelle porosité en s’ouvrant, par certaines démolitions ou en supprimant et ouvrant comlètement le rez-de-chaussée de l’ancienne usine pour lier dans une totale transparence le centre et les berges. Le travail fait sur le bâtiment patrimonial est celui d’un double geste architectural, avec une greffe en atyque sur deux niveaux accueillant les bureaux et laboratoires, ainsi que l’accolade d’une tour, élément signal, destinée à être la verticalisation d’une serre expérimentale de culture des plantes bio-cosmétologiques. Chaque geste est une structure légère totalement indépendante du bâtiment historique, pouvant à tout moment s’effacer pour rendre à cette ancienne usine son esthétique originelle.

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PHASAGE DU PROJET

CIRCULATIONS

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PLAN DE REZ-DE-CHAUSSÉE

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AXONOMÉTRIE

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PERSPECTIVE DEPUIS LA GREFFE EN ATYQUE

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COUPE SUR LA GREFFE

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PLANS DE LA GREFFE


EXTRAIT DE PLAN SUR LA GREFFE

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COUPE ET DÉTAILS TECHNIQUES SUR LA TOUR

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PERSPECTIVE SUR L’ESPACE PUBLIC ET LA TOUR

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MAQUETTE

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-04SMART CITY

Quartier de la Gare LJUBLJANA - SLOVÉNIE

Cité de la mode Équipements publics

Master première année Ens: L.Duport / J.Lafond

Ljubljana est une ville en plein essor, destinée à accueillir de plus en plus de grand édifices. Le site proposé soulève plusieurs enjeux auxquels répondre: la reconnection urbaine entre le nord et le sud entrevée par la gare, mais aussi la connection entre plusieurs polarités telle que celle de la gare et celle du centre historique plus au sud. Pour ce faire, l’idée est de mettre en place une coulée verte qui relie l’ensemble de ses polarités, à différentes altimétries, traversant la ville en connectant toutes ces centralités. La notion de smart city à développer a été interprétée selon moi comme le fait de décupler le niveau de référence du sol sur différentes altimétries afin de penser les flux dans leurs trois dimentions. L’idée est donc de développer tout un réseau de plateaux autour de centralités pour les connecter, les développer, les ouvrir. Le projet se compose donc une succession de plaques, de différentes épaisseurs, différents profilés entre lesquelles viennent s’insérer toute en transparence des boites de verres accueillant les fonctions. Le dispositif est destiné à proposer une cité de la mode, domaine en plein développement actuellement en Slovénie. Les activité temporaires sont à proximité directe dans le socle (commerces de luxe, restauration), et les quatres activités spécifiques dans quatres verticalités décomposées: un hôtel, un centre culturel, une école de mode et des bureaux pour les sièges sociaux des maisons de couture. La cime du dispositif, accueillera deux fois par an les collections des couturiers pour les fashion weeks.

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AMÉTHYSTES

Route de Mende MONTPELLIER (34) FRANCE

Logement collectif (20) Équipement public (3)

Licence troisième année Ens: P.Soto / A.Bourdeau

Ce projet se fonde sur la matérialité du terrain, et plus précisément sa minéralité. L’esthétique brutale, imposante, minérale et brute, est grignotée et dentelé par une végétation luxuriante. Trois volumes distincts se dressent. Cet éclaté permet d’éviter le modèle encore très controversé de la barre, qui souffre dans les moeurs de l’assimilation aux grands ensembles. Les trois modules sont réorientés de sorte à créer en leur centre un espace public, dressés tels des menhirs et prolongés en rez-de-chaussé par des équipements publics, choisis afin de recréer une vie sociale de quartier. On y trouve un bar/restaurant, une médiathèque, et une épicerie fine. Le projet s’organise sur 6 niveaux: un sous-sol de stationnement, un rez-de-chaussé comprenant les parties communes et les équipements publics, et quatre étages supérieurs composés des appartements. Chacune des «tours» est conçue sur le même principe de circulations centralisées afin de dégager les façades et de les offrir aux logements. Chaque logement, du T2 au T5 bénéficie ainsi d’une triple orientation. Chaque logement est composé sur la même logique, qui est de placer les pièces diurnes au sud pour jouir au maximum de l’ensoleillement et les pièces nocturnes au nord afin de bénéficier de la fraîcheur. D’une apparence très anguleuse, géométrique et immaculée de blanc, j’aime à voir ce projet envahie d’une végétation luxuriante qui semble la tâcher, la corrompre, se l’approprier au dépend de l’homme, comme si la nature reprenait ses droits sur la main de l’homme. La porosité de la façade qui se végétalise, est accentuée par un travail de mise en couleur des creux et renfoncements afin de dynamiser, de donner de la profondeur et une identité forte au projet. En partant de la précieuse image de l’améthyste, j’ai choisi un violet sombre qui contraste avec le blanc irréprochable de l’architecture et se marie à la perfection avec la verdoyance de la végétation.

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CORPS ACCORDS

Route de Montpellier LAVÉRUNE (34) FRANCE

Centre d’oenotourisme Domaine Guizard

Licence troisième année Ens: J.Henry / R.Jamot

Le projet d’oenotourisme prend place à l’entrée de la petite ville de Lavérune, sur une parcelle qui oscille entre l’urbanité dans coté, et la ruralité de l’autre. Cet état des lieux est le point de départ de conception de ce projet qui cherche à rester discret du coté de la ville et s’affirmer du coté rural. Ainsi, il était naturel pour moi de travailler le sol, son modelage, sa morphologie pour insérer l’architecture dans le soulèvement de celui-ci. Un système de strates est donc mis en place, tel des courbes de niveaux, permettant l’accès à la totalité des surfaces. Le projet offre ainsi une double identité avec un coté très végétal, naturel, presque sauvage, et d’autre part une facade très architecturée et minérale. Vaste projet, il accueille plusieurs activités autour du vin: tout d’abord un espace de vinification pour faire le vin, et le vendre, mais aussi un bar à vin et restaurant, un service d’apprentissage de l’oenologie, un spa de vinothérapie, ainsi que l’habitation des propriétaires du domaine. L’idée est d’offrir un large panel d’activité afin d’étendre l’influence du domaine à échelle d’avantage nationale. Chaque bâtiment est organisé structurellement et spatialmenet par une trame rayonnante de porteurs à mi chemin entre le poteau élargi et le voile intérompue. Une double minéralité et mise en place avec des éléments vérticaux en blocs de marbres brut et des éléments horizontaux en béton matricé, offrant ainsi une alliance intemporelle entre classicisme et contemporanéïté.

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ÂŤLe chemin es

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st long du projet à la chose. »

J.B. Poquelin (dit Molière)

2016 2018

ARCHITECTURE P R O J E T S D ' a g e n c e

2012 2017 77


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-01LA VILLE EN PARTAGE

MONTPELLIER (34) FRANCE

Aménagement d’un quartier résidentiel

Agence NBJ Architectes Equipe: J.Laure / Q.Giraud

La Ville en Partage a pour ambition de construire un urbanisme où le vivre ensemble, les échanges, les rencontres deviennent un vecteur d’urbanité contemporaine. Pour ce faire l’habitant reprend sa place au centre d’un environnement à son échelle. Le projet vise à construire un quartier telle une entité complète, connectée et contextualisée à son cadre de vie, nouvelle urbanité mise en abîme dans celle de la Métropole de Montpellier. Il s’agit là de concevoir les espaces selon des intentions, des thématiques, toutes liées à la dimension du partage. Multifonctionnelle, multi-générationnelle, multi-scalaire et multi connectée, la volonté est de penser ce lieu pouvant offrir à ses habitants un cadre de vie qualitatif aux multiples interactions sociales. La cohésion sociale, aussi bien que celle urbaine apparaît comme primordiale, et tend à repenser les notions d’interaction urbaine. La Ville en Partage offre une réponse interactive au traitement de ses espaces qu’ils soient privés où publics. Ainsi, elle se décline sous différentes échelles et programmes. Partager, c’est aussi l’économie des espaces par la mutualisation de certaines activités qui par un agencement raisonné du quartier peut éviter la multiplication de lieux peu utilisés. Ce nouveau quartier vise à penser une approche urbaine qui insuffle un dynamisme au-delà de ses propres limites, facilite les rencontres, les instants, les partages furtifs, spontanés ou réguliers a n d’asseoir ce lieu comme un espace de vie qualitatif en symbiose avec son environnement.

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UN MAILLAGE VERT DU TERRITOIRE

UNE COLONNE VERTÉBRALE MULTI-MODALE

DES ILÔTS URBAINS CONNECTÉS

DES ESPACES PARTAGÉS AMÉNAGÉS ET PAYSAGÉS


1 R+5

2 R+5 2 R+5

4 R+5

4 R+5

3 3 R+5R+5

5 5 R+5 R+5

66 R+5 R+5 10 R+5 10 R+5

8 R+5

12 12 R+5 R+5 11 11 R+5 R+4

99 R+4 R+5 7 R+4 7 R+5

PLAN MASSE

N

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TYPOLOGIE ET ACCESSIBILITÉ 1

TYPOLOGIE ET ACCESSIBILITÉ 2

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COUPE D’ILÔT

COUPE GÉNÉRALE

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-02AGORA

Lima PÉROU

Extension du musée d’art contemporain

Agence NBJ Architectes Equipe: J.Laure

La proposition d’extension pour le musée MALI de Lima est inspiré par le Pérou lui-même, par sa matérialité, sa géométrie et sa philosophie. Le projet tend à une intégration urbaine forte, dessinée selon les caractéristiques d’une place publique, d’une agora, afin de rendre le projet durable dans le temps. L’idée est d’accueillir les cultures artistiques aujourd’hui sans oublier celles d’hier. L’architecture qui en émane se situe dans une dualité entre une urbanité confirmée et un respect de la relation au site. La faille, discrète et animée, connectée et isolée est l’essence de ce projet. Cette nouvelle aile du musée tend à s’installer dans un continuum logique avec les points clefs de la ville et à établir une colonne vertébrale à travers Lima. L’entière proposition installe le musée et son programme dans une bande piétonne et forme un lieu de vie urbaine qui abrite, de manière plus cachée, le musée et ses différents programmes. Alternant entre le niveau urbain et le niveau suburbain, le projet offre de multiples échelles et une agora multifonctionnelle. Cette bande urbaine et minérale est progressivement dématérialisée pour disparaître au profit d’un parc dynamique et verdoyant.

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ANALYSE DES PARCOURS URBAINS ET CULTURELS DES DIFFÉRENTES CIBLES

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PLAN MASSE // EXTENSION DU MUSÉE ET AMÉNAGEMENT DU PARC

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CONCEPT ET IMPLANTATION URBAINE ET ARCHITECTURALE

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PLAN DE REZ-DE-CHAUSSÉE // ESPACE PUBLIC

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PERSPECTIVE DEPUIS L’AGORA

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PERSPECTIVE DEPUIS L’ATRI


IUM

PERSPECTIVE DE LA GRANDE SALLE D’EXPOSITION

View from the Reception area to the main acces of the Exhibition , the Multipurpose Space and the main entrance in the upper level

10160

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CIRCULATIONS ET FLUX

PUBLIC PASSANTS PUBLIC Lima Art Museum VISITEURS DUfrom MUSÉE PUBLIC from Metro station STATION DE MÉTRO

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STUDENTS ÉTUDIANTS

TECHNIC TECHNIQUE DES CIRCULATION OEUVRES D’ART


MAQUETTE PAR IMPRESSION 3D

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RUBAN URBAIN

BESANÇON (25) FRANCE

Conception de l’administration du CHRU

Agence A+ Architecture Equipe: F.Nguyen / Choko Prod

Dans la continuité du campus du CHRU de Besançon, ce projet installe le pôle administratif et de formation du centre hospitalier. Pensé comme un ruban, qui s’avance vers l’espace public pour accueillir le visiteur, puis s’enroule sur lui-même afin d’optimiser les flux et de dessiner un cœur végétalisé, ce projet joue avec les volumes, les découpent, les saccadent, les pincent et les étirent, jouent avec les pentes, pour offrir une certaine richesse dans sa composition globale. Cette forme est née de la fonction, des nécessités de chaque pôle interne de communiquer les uns avec les autres ou au contraire d’être isolé. Chaque niveau se voit affublé de prolongements extérieurs, et d’espaces partagés, redessinant les schémas classiques du travail dans une approche plus contemporaine. Réflexion engagée sur les modes de travail, les flux, et les cellules de travail, le projet porte l’ambition d’un bâtiment porte-étendard du complexe hospitalier. Ambitieux sans être ostentatoire, le volume esquisse une façade dynamique, qui s’émancipe d’une trop grande rigueur imposée par la toute naturelle répétitivité des cellules. Dans un jeu de rythmes presque musical, la brique, matériau local et traditionnel, s’associe à un bardage aluminium, indéniablement contemporain.

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VUE AÉRIENNE


COUPE LONGTUDINALE

ÉLÉVATION SUD

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COUPE TRANSVERSALE

ÉLÉVATION EST

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DÉTAIL DE COMPOSITION // PAREMENT MÉTALLIQUE

DÉTAIL DE COMPOSITION // PAREMENT BRIQUE

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CELLULES

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-04L’ EAI MTP

MONTPELLIER (34) FRANCE

Réhabilitation d’anciens locaux militaires en bureaux

Agence A+ Architecture Equipe: M.Gros / Choko Prod

Le site de l’EAI est à Montpellier un ancien site militaire en totale reconversion actuelle. Le bâtiment sur lequel s’implante le projet, abritait les anciens ateliers de la caserne. De ce bâtiment au charme d’antan, et aux valeurs patrimoniales indéniables, nous proposons une réhabilitation en bureaux. Sur cet élément architectural majeur vient donc trôner un volume, pure, sobre, légèrement détaché, et recouvert d’une peau micro-perforée d’un blanc immaculé. Cette peau marque l’unité et l’homogénéité du monolithe greffé, et vient mettre en dialogue le nouveau et l’ancien en répondant à la forme crantée du bâti originel par sa contre-forme. Exposé plein sud, cette peau est aussi indispensable pour assurer les protections solaires nécessaires au confort d’usage. L’extrême contemporanéité de ce volume pure est une réponse audacieuse au réinvestissement de ce patrimoine fort. La bâtiment existant est ainsi réaménagé en une grande galerie ouverte et partagée au rez-dechaussée, espace convivial, ainsi qu’en lots avec mezzanines de bureaux ou commerces. Les niveaux supérieurs offrent quant à eux de large plateaux de bureaux subdivisibles.

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VUE PERSPECTIVE //ORIENTATION SUD-OUEST

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VUE PERSPECTIVE //ORIENTATION SUD (FAÇADE PRINCIPALE)

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COUPE PERSPECTIVE TRANSVERSALE

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PLAN D’ÉTAGE COURANT // PLATEAUX LIBRES

PLAN DE MEZZANINE

PLAN DE REZ-DE-CHAUSSÉE

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GASTON BERGER

MARSEILLE (13) FRANCE

Rénovation de la résidence universitaire CROUS

Agence A+ Architecture Equipe: F.Thuile / Choko Prod

La résidence universitaire Gaston Berger est une figure iconique par ses proportions dans le paysage de la ville de Marseille. Le projet de réhabilitation de cet édifice tient dans l’identité visuelle et la singularité à lui conférer afin de l’asseoir dans sa contemporanéité. L’idée est de rompre la rigueur monacale de ce volume très franc, en dynamisant sa façade avec une dimension changeante et cinétique. L’illusion d’optique est ici développée avec de singulariser et donner une image identitaire à cet ouvrage des années 50. Les profilés développés sur les deux façades principales permettent de subtilement révéler la façade existante en créant des jeux optiques dessinant des volumes, selon la variation des points de vues, mais aussi de permettre à des jeux d’ombres de rompre son caractère monotone. En outre, ces éléments verticaux assurent les protections solaires nécessaires au confort des usagers. Les deux autres façades, plus simples, dessinent au nord un condensé de lames, créant un appel visuel depuis l’entrée de ville de Marseille, et au sud, un support à énergies renouvelables (photovoltaïque). Enfin, un traitement tout particulier est aussi apporté, dans le même esprit, à l’entrée de la résidence, totalement réaménagé et conçue comme une focale signalétique, posant cet accès comme celui principal.

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DÉVELOPPÉ DU MOUVEMENT CINÉTIQUE DE LA FAÇADE

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ÉLÉVATION SUD

ÉLÉVATION NORD

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DÉTAIL EN COUPE PERSPECTIVE

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ÉLÉVATION SUR LE TRAITEMENT DE L’ENTRÉE DE LA RÉSIDENCE


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< PLAN DU RÉAMÉNAGEMENT DE L’ENTRÉE

PERSPECTIVE SUR L’ENTRÉE DE LA RÉSIDENCE >

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-06LA RUCHE

MONTPELLIER (34) FRANCE

Conception de logements étudiants

Agence A+ Architecture Equipe: M.Bruyère / Choko Prod

La ruche est un projet de logement étudiant en R+10 qui s’installe sur la Route de la Mer de Montpellier, dans le quartier de Port Marianne, en continuité directe des grandes opérations de Ferrier (La Mantilla) ou encore Wilmotte. Sur l’idée d’une ruche, foisonnante et dynamique se superposent huit niveaux de cellules étudiantes, juxtaposées et composées telles des alvéoles. Ces cellules trônes sur deux niveaux (RDC et R+1) composés d’un restaurant accessible à tous et d’espaces et activités dédiés aux étudiants ; le tout s’ouvrant sur un grand patio à l’arrière, largement végétalisé. Le projet propose une innovation sur cette organisation nouvelle des espaces, hyperconnectés, mais aussi sur son caractère constructif pure en développant cet édifice de grande hauteur en une prouesse architecturale de construction en structure bois. Sa façade, unique et iconique, marque clairement l’identité de cette entrée de ville en poussant à son paroxysme la géométrie alvéolaire et ses déclinaisons, dans une double peau assurant les protections solaires nécessaires. Enfin, la cinquième façade de la toiture est totalement dédiée aux activités en plein air de la jeunesse étudiantes, solarium agréable, offrant une vue imprenable sur Montpellier.

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ÉLÉVATION SUD

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ÉLÉVATION EST


PLAN DE TOITURE

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VIGNETTES DE MISE EN OEUVRE DU CHANTIER // CONSTRUCTION BOIS SUR FONDATION BÉTON

PLAN DE REZ-DE-CHAUSSÉE

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PLAN DU PREMIER ÉTAGE


PLAN DE NIVEAU COURANT

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CELLULE // LOGEMENT ÉTUDIANT


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ÂŤ Ne craignez pas la pe

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rfection, vous ne l’atteindrez jamais. »

recherche & d é v e lo p p e m e nt

2015 2018

S. Dali

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ARCHITECTURE ET HAUTE COUTURE

DEUX INCOMPATIBLES ?

Rapport d’étude Licence 3

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Juin 2015 Ens: Dominique Delord

Arrivé au bout de ma licence, il était naturel pour moi de faire un travail rétrospectif sur mon parcours afin de me projeter et de valider mes choix de fin d’étude mais aussi mes choix de carrière future. Faire le point sur ma vision de l’architecture, mes expériences qui l’ont forgée, l’ont modifiée, faite évoluée, et parfois l’on diamétralement changée. L’architecture est pour moi un domaine de prédilection, que je vois comme une vocation depuis que j’ai l’âge de tenir un crayon. Je m’y suis tenu au fil des années; mon intérêt pour la profession grandissant de plus en plus à chaque expérience, visite, coup de crayon. Mais il est un autre univers qui, plus récemment, à aussi éveillé ma curiosité, et m’a offert de nouvelles perspectives : la mode. Créative, audacieuse, et glamour, je m’y suis d’abord intéressé avec naïveté. Hors, ces dernières années j’ai cultivé mon engouement pour elle, et j’y ai multiplié mon intérêt. La mode. L’architecture. La mode ou l’architecture ? La mode et l’architecture ! Mon parcours et mon intérêt pour ces deux domaines, me poussent aujourd’hui à me demander si la mode et l’architecture, qu’en apparence tout semble opposer, sont réellement incompatibles ? Nous verrons d’abord, qu’éphémère par nature, la mode entretient pourtant des liens privilégiés avec l’architecture, conçue, elle, pour durer. Des connexions au carrefour des arts, de la pensée et de la communication se créent. L’architecture a t’elle ses influences sur la mode ? Et inversement, la mode a t’elle des influences sur l’architecture ? Quels compromis sont envisageables afin de concilier ces deux domaines en une carrière unique ?


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Abstract // Pour l’élaboration de ce rapport d’étude, je me suis attelé à définir ma vision de l’architecture; et de comment je voulais par la suite pratiquer l’architecture. Pour moi, l’architecture est avant tout une vocation. Depuis ma jeunesse, c’est la profession que je souhaite exercer; je me suis donc naturellement orienté dès le lycée vers une formation en Arts Appliqués. J’y ai appris à découvrir différents domaines liés à l’espace, l’architecture, mais aussi entre autres la mode. C’est précisément depuis cet instant que j’ai particulièrement développé un fort intérêt pour ce domaine. À l’heure des choix post-bac une forte dualité se pose sur moi: l’architecture ou la mode? Continuer en architecture, est quelque chose qui à cette époque m’apparaissait comme un plan de carrière sûr et stable. Cependant j’ai toujours eu une certaine pointe de regret d’avoir sacrifié la mode. Ce regret s’est pérpétuellement amplifié au fil des ans, et d’autant plus avec le visionnage du film Yves Saint Laurent de Jalil Lespert, qui m’apparût comme une révélation. Même si aujourd’hui je me place dans la filière de l’architecture, ce que je ne regrette pas du tout puisque je m’y épanouit pleinement, il est vrai que j’aimerais pouvoir aussi travailler avec le domaine de la mode. C’est cette pluridisciplinarité qui pour moi définirait mon travail en tant qu’architecte. Ce rapport est pour moi l’opportunité de me demander si ces deux domaines sont compatibles ou non. L’opportunité d’un travail de recherche sur les concordances et les liens entre ces deux domaines que tout semble opposer; afin d’approfondir mes connaissances et mes envies d’une parts, mais aussi en essayant au maximum de les relier à mes expériences, visites et travaux. Étant de base deux domaines appartenant aux arts appliqués, j’ai pu y voir les larges similitudes qui existent, notamment dans la démarche de projet qui est sensiblement la même, ou sur les orientations de travail qui sont récurrentes (corps, sens, proportions...). Ce sont donc d’hors et déjà deux univers qui ne sont pas totalement différents et se fondent sur des bases communes. Ce qui m’apparaît important également, c’est de voir au-delà du lien architecture/ mode, le parcours et les formations d’architectes ou couturiers puisque c’est à cette étapeci que je suis moi-même à l’instant où j’écris ces lignes. J’ai ainsi pu remarquer le caractère réversible de l’habit d’architecte ou de couturier. Certains s’essaient à l’autre domaine; je pense notamment au chaussures de Zaha Hadid, la décoration de l’hôtel Continental de Christian Lacroix, ou encore la tour déssinée par Pierre Cardin. Les exemples de couturiers ayant eu une formation d’architecte sont courants: Paco Rabanne, Gianfranco Férré, André Courrège... Ici encore, cela me permet de prendre conscience que rien n’est figé, et qu’une

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formation spécifique ne limite en aucun cas le champ professionnel et peut découler sur une autre profession. Ce constat me permet aussi de dissiper en moi les regrets qui ont pu me ronger, et au contraire de réaliser qu’avoir cette polyvalence permet aussi une certaine richesse dans son travail. Cette richesse naît justement de l’influence d’un domaine sur l’autre, au-delà de la simple analogie esthétique, mais aussi sur le plan conceptuel ou même structurel. La mode influence l’architecture; moi-même certaines pièces de haute-couture ont forgés mes projets; mais d’avantage encore, j’ai pu observé que l’architecture influence la mode (Iris Van Herpen/Zaha Hadid, Léa Perckre/Takato Tamagami). Ces constats m’ont permis de voir que ces deux domaines que j’imaginais totalement opposés sont finalement presque complémentaires. Pour preuve, les nombreuses collaborations qui existent entre architectes et couturiers comme par exemple l’association de plus de quinze ans entre Rem Koolhaas et Muccia Prada. Ce travail m’a permis à travers un travail de recherche de poser mes envies et mes ambitions. J’ai toujours dû choisir entre mode et architecture, aujourd’hui je ne veux plus avoir à faire ce choix, je veux la mode ET l’architecture. Je pense que mon parcours ne sera en aucun cas un frein à cette envie de percer dans le monde de la mode, mais tout simplement le prémice d’un apprentissage pluridisciplinaire. L’idéal pour moi serait de m’orienter plus tard vers une architecture pour la mode: boutique, showroom, défilés, expositions... qui combine à mon sens les deux domaines. Alors que cela paraît «futil» aux yeux de certains, jugeant cela comme de l’architecture de spectacle, marketing et lucrative; pour moi c’est au contraire un terrain de travail riche à la croisée des arts appliqués. Je suis somme toute conscient qu’il s’agit là d’un milieu très fermé, clos, élitiste, et ouvert seulement aux grands noms (échange de signature: Nouvel/ Cartier, Hadid/Chanel, Gehry/Vuitton), mais il s’agit là de mon réel leit motiv’. Sans prétendre associer un jour mon nom propre à celui d’une préstigieuse maison de couture, j’espère un jour avoir l’opportunité d’intégrer une agence qui elle le fait régulièrement, comme par exemple l’agence parisienne Moatti-Rivière, où dans une autre optique, intégrer le département d’architecture d’un grand nom de haute-couture comme Vuitton ou Chanel. L’élaboration de ce rapport a été un réel outil de réflexion et d’orientation, peut être d’avantage prospectif que rétrospectif. Aujourd’hui pour moi, l’architecture est une discipline fondamentalement pluridisciplinaire, qui se doit de dialoguer avec d’autres domaines, selon la sensibilité de l’architecte, en l’occurence pour moi-même delui de la mode.


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ARCHITECTURE, LUXE ET MARKETING : EMERGENCE ET FAÇONNAGE D’ICONES INTERNATIONALES CHEZ

LOUIS VUITTON

Mémoire de Master Master 2

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Janvier 2017 Dir: Elodie Nourrigat

L’exercice du mémoire de master d’architecture s’installe dans la continuité du rapport d’étude de licence précédement présenté. Il se pose comme le développement de cette première approche, et dans l’intérêt pour moi de développper et affirmer mes ambitions de travailler l’architecture dans le domaine du luxe et plus particulièrement en haute-couture. Il s’agit aussi d’un prémice à l’élaboration a posteriori d’une thèse doctorale dans ce domaine précisément. Ce mémoire est un exercice d’approche et de mise en route d’une dynamique personnelle de recherche, dans le but également de m’exquisser une première légitimité dans le domaine tresè clos du luxe. Cet écrit leve la problématique de l’importance de l’icône architecturale dans le domaine du luxe, et pose le questionnement suivant : Comment se construit une icône architecturale dans l’univers du luxe, et peut-elle réellement être encore, aujourd’hui et demain, l’outil qui assiéra la suprématie de la ditemarque dans la ville contemporaine ? De cette problématique émerge d’autres questionnements cherchant en quoi l’architecture peut-elle créer une icône affirmant le prestige de la marque de luxe, au-dela des exubérances esthétiques et formelles si décriées par la profession ? Est-ce que la notion d’icône est réellement constructible et contrôlable en architecture ? L’icône architecturale peut-elle s’imposer aujourd’hui comme la clef-devoûte de la stratégie de développement de la marque de luxe ? Et comment construit-on une visibilité dans un paysage urbain saturé de branding ?



Abstract // Il apparait que le XXIème siècle est le siecle du rapprochement entre le monde de l’architecture et celui du luxe, et ce, de maniere irréversible. Il apparaît de ce fait chez les marques du luxe, l’ambition de faire de l’architecture le pilier des nouvelles stratégies marketing. On assiste alors a l’incorporation de l’architecture au sein des maisons, et l’apparition de nouvelles formes de collaborations plurielles et interdisciplinaire. L’architecture s’émancipe de sa rigueur fonctionnelle vers une course concurrentielle à l’exceptionnel, à l’iconique. Au travers de l’univers du luxe, notamment de Louis Vuitton, ce mémoire vise a définir l’icône comme concept architectural. Il s’agit de mettre en exergue comment l’icône architecturale est devenue un outil de vectorisation et de médiatisation de la marque de luxe. Au travers des âges le binôme composé de l’architecture et des marques de luxe a évolué et évoluera, l’architecture passant d’un statut de simple support a celui de véritable stratégie marketing. De l’icône incarnée, à l’icône désincarnée mais architecturée, ce mémoire tend à voir comment se construit une icône architecturale dans l’univers du luxe, et si elle peut réellement être encore, aujourd’hui et demain, l’outil qui assiéra la suprématie de la dite-marque dans la ville contemporaine. En posant les bases de l’icône, du luxe, et du marketing, puis au travers des ltres des valeurs du luxe, l’écrit développe comment se conçoit, s’érige et agit une icône architecturale pour le secteur du luxe ? La marque de luxe et ici spécifiquement Louis Vuitton, est donc également le prétexte, et non réellement le coeur du sujet, pour expérimenter et s’interroger sur le rôle de l’architecture aujourd’hui, et cherche à mettre en avant comment et pourquoi cette architecture spécialement, cette idée d’icône architecturale existe et se voit très largement développée. Il s’agit ici de traiter de la valeur fondamentale de l’architecture au travers du prisme de la marque de luxe, dont ce rapprochement est actuellement peu documenté et relaté, mais est pourtant totalement affirmé.

Mémoire de Master // Mémoire intégral disponible sur demande

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PUBLICATION AUX ÉDITIONS UNIVERSITAIRES EUROPÉENNES «Architecture, Luxe & Marketing : Emergence et façonnage d’icônes internationales chez Louis Vuitton», DUQUERROY Anthony, Juin 2018

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-03SYMPOSIUM MÉTROPOLES DU SUD

ENSAM MONTPELLIER (34) FRANCE

Responsable de communication et intervenant

Master 2 Ens: E.Nourrigat / M.Moustey

Le travail de recherche est d’échange, de partage en architecture est pour moi une activité qui à pleinement sa place dans ma pratique de l’architecture. C’est une pratique dans laquelle je m’investie totalement et que je souhaite également développer dans les prochaines années. Le symposium Métropoles du Sud est chaque année organisé par les étudiants du Master 2 Métropoles du Sud de l’ENSAM. Cette année, c’est en tant que chargé de communication que j’ai participé à son organisation. Programmes, fiches des intervenants, affiches, réseaux sociaux et dossier de presse sont les tâche auquelles j’ai pu prendre part. J’ai également dans un second temps, post-évènement pu travailler sur la retranscription des échanges de l’évènement au travers de l’édition et du design graphique du livre témoignage. C’est également en tant qu’intervenant que j’ai eu le plaisir de participer au séminaire scientifique du symposium, inclue dans un programme de recherche européen Erasmus+ nommé KA-AU. Autour d’une table ronde, nous avons échangé autour du thème « Culture et héritage : Partager // La Creative City ».

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COMMUNICATION RECHERCHE ET DÉVELOPPEMENT

MONTPELLIER (34) FRANCE

Design graphique Edition Monographie d’agence

Agence NBJ Architectes Equipe: M.Moustey

C’est au sein de l’agence Montpelliéraine NBJ Architectes, dans laquelle j’ai passé de nombreux mois, que j’ai eu l’opportunité de développer toutes mes compétences en terme de design graphique, de communication et d’édition, en éditant la monographie de l’agence. L’ouvrage de plus de 200 pages vise à retracer les 17 années d’existences de l’agence, et de témoigner de leur diversité d’exercice ainsi que de leurs polyvalence. L’ouvrage montre les projets de l’agence, construits, mais aussi projetés, ou encore en chantier, dans l’optique d’être le témoin à cet instant T de ce qu’est l’agence. L’ouvrage se ponctue aussi d’expériences diverses de leurs collaborateurs: enseignement, recherche, évènementiel... L’ouvrage met aussi en avant les collaborations internationales de l’agence au travers de portraits, témoignages, et essais de ceux qui ont déjà pu oeuvré avec l’agence. Cet exercice m’a permis de développer certianes compétences nouvelles, et donc s’ouvrir encore le champ des polyvalences des métiers de l’architecture. Du brain storming initial, jusqu’à la réception chez l’imprimeur j’ai eu l’occassion de participer et coordonner chaque étape de l’élaboration d’une monographie d’architectes.

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a.d u q u e r roy @ o ra n g e.f r 06 - 89 - 44 - 05 - 65


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