Book Erasmus Year | Antoine Iung

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BOOK ERASMUS 2013 | 2014

Antoine Iung

HafenCity Universit채t


Semestre 1

Introduction

Sommaire

Projet Master | Mehr Generationenhaus in Gotha

10 ECTS

Projet Concept | improDesign

5 ECTS

Urbanisme | MetropolitanLAB

5 ECTS

Concours | AIT Bar

5 ECTS

Photographie | Stadtfotografie

2,5 ECTS

Sociologie | Q-Studies / Sounds & Society

2,5 ECTS


10 ECTS

Projet Concept | Transparenz

5 ECTS

Projet Technique | ZERO Null Energie Wohnquartier

5 ECTS

Mise en lumière | Energieeffizienten Lichtplanung

5 ECTS

Théorie et recherche | Q-Studies / Conspiracy or Truth

2,5 ECTS

Conclusion

Semestre 2

Projet Master | >POOL SPACE<


J’ai effectué mon année Erasmus à la HafenCity Univesität à Hambourg dans le nord de

l’Allemagne. J’ai suivi les cours des semestres d’été et d’hiver. La HafenCity Universität est une jeune université. Sa fondation date de 2006 lorsque plusieurs

Allemagne

Ville :

Hambourg

écoles d’Hambourg se sont réunies pour former la HCU. Ce nom se réfère au futur emplacement

Ecole :

de l’université : le quartier de Hafen City, l’un des plus grands chantiers urbains d’Europe. En

Année :

Master 1

Durée :

2 semestres

attendant, les cours étaient dispensés dans plusieurs sites de la ville et ont pu enfin être donnés dans le nouveau bâtiment en avril 2014. J’ai donc eu la chance de découvrir la nouvelle école, ce qui fut une expérience très intéressante.

La HCU est une grande université de 2300 étudiants, dédiée à l’Architecture et au

développement urbain. On retrouve ainsi différentes sections telles que : Architecture, Urbanisme, Ingéniérie Civile, Géomatique en Licence et Master, mais également Design Urbain et REAP (Ressource Efficiency in Architecture and Planning) en Master uniquement. En tant qu’étudiants Erasmus, nous avions la chance de pouvoir choisir des cours dans tous les domaines confondus. Cela nous a donné la possibilité de nous intéresser à des enseignements

Introduction

Pays :

originaux. De manière générale, les cours proposés étaient innovants. Je pense notamment à improDesign, à Stadtfotografie, à MetrpolitanLAB ou encore à Lichtplanung. La sélection des cours se faisait par le biais du gestionnaire intranet de l’école : AHOI. En première phase, les étudiants faisaient une première sélection avec ordre de préférence et une loterie faisait la répartition définitive. Il n’était donc pas garanti de suivre tous les cours voulus.

Dans ce carnet de bord, vous trouverez un bilan de tous mes enseignements suivis lors de

ces 2 semestres : description, fonctionnement et explications du projet. Un extrait des documents graphiques fournis lors des rendus finaux illustre les propos.

HafenCity Universität




SEMESTRE 1


Projet Master | Mehr Generationenhaus in Gotha

Un lotissement mixte et multi-générationel à Gotha

Explications du projet :

Dans la ville de Gotha, dans le centre de l’Allemagne, un nouveau lotissement doit sortir de terre dans les années à venir. La HafenCity Universität, en partenariat avec la communauté de Gotha, a décidé de proposer dans le catalogue de cours du Semestre 1 de Master, un projet ayant pour but de développer des propositions quant à l’aménagement de ce futur quartier. Ce nouveau lotissement se veut d’une accessibilité optimale ; un accent particulier est mis sur l’environnement, la vie de quartier, la vie en communauté, les espaces verts, etc. Il s’agit d’un projet résidentiel empli de diversité. Le but n’était pas uniquement d’élaborer une succession de maison individuelle, mais plutôt un nouveau quartier répondant à des problématiques nouvelles, liées aux nouvelles façons de vivre. Mixité sociale et générationnelle étaient des points importants.

J’ai conçu ce projet en collaboration avec PierreLouis Waris. Le master plan découle de notre analyse du quartier. Ainsi l’organisation du bâti suit l’organisation de l’existant. Une parallèle est instaurée avec la rue principale qui borde la parcelle. Au sein du quartier, nous voulions éviter au maximum l’emprise de la voiture. Ainsi, un savant jeu de voie permet de rejeter la voiture dans des parkings prévus à cet effet. Ils sont situés en début de voies desservant les logements. En effet, comme on le

Fonctionnement du cours :

voit sur le master plan, chaque bande de logements

En amont de chaque séance de correction, un cours était dispensé par le professeur titulaire du projet. Ces mini-conférences étaient consacrées bien évidemment à différents exemples de quartier multigénérationnel. Nous avons eu accès à un large éventail de références. Une attention particulière a également été accordée aux différentes normes que devait respecter notre projet. Nous avons eu la chance de nous rendre lors d’un week-end sur le lieu de projet. Cette visite était les prémisses d’un long travail d’analyse du quartier. Plusieurs groupes d’étudiants étaient chargés d’analyser sur place un thème précis et d’ensuite en présenter les résultats de retour à Hambourg. MEHR GENERATIONENHAUS - Gotha PROJECT Ces données ont été particulièrement utiles pour la phase d’analyse du site. 1 ORGANISATION Chaque correction était supervisée par le professeur titulaire du projet. Le travail s’est axé sur différentes échelles : du plan d’urbanisme aux plans des différents logements. La parcelle, qui nous était confiée, était une sorte de cœur d’îlot. La voirie était donc également à créer. Le rendu final s’est composé de 6 planches A1 ainsi que d’une maquette en bois commune du quartier et individuelle du lotissement, construite dans les ateliers de l’école.

d’une part, d’avoir un accès qui se fait au nord pour

possède sa propre voie d’accès. Ce qui permet,

ha PROJECT PROJECT AUS - Gotha

2 WAYS

1 ORGANISATION

2 WAYS

Main way Second way Walker way Scale 1/1000

3 TYPOLOGY

autre part, de minimiser la présence de la voiture et de réduire le trafic. Une voie piétonne séparée vient en complément et dessert le lotissement. La typologie se veut progressive afin de respecter le cadre environnant. Une centralité est créée avec 2 WAYS des immeubles en R+3/R+4. Cet espace se veut être

un cœur de quartier. C’est un environnement plus urbain en lien avec la ville. En recul, les hauteurs de logements diminuent et s’accordent avec les maisons environnantes au nord.

MEHR GENERATIONENHAUS - Gotha

S1

1 ORGANISATION

tous les logements et laisser ainsi le sud libre. D’une

3 TYPOLOGY

3 TYPOLOGY

PROJECT

4 CENTRALITY

1 ORGANISATION

WAYS 4 CENTRALITY

4 CENTRALITY

2 WA

CONCEPT 3 TYPOLOGY

4 CEN


Master Plan | 1/500 reduit Ă 65%


Explications du projet :

MIXED HOUSE - several families

de la ville. Ainsi nous avons 3 différentes typologies de bâtiments : des immeubles avec appartements, des maisons multifamiliales et multi-générationnelles et enfin des maisons unifamiliales. SECTION ELEVATION NORTHdes besoins1/200 Le1/200 plan peut être adapté en fonction des futurs habitants. Des personnes

âgées ou des étudiants peuvent profiter d’un RDC qui leur est consacrée et retrouver

Antoine 6024436

Nord

à l’étage supérieur une autre famille. Ou alors une famille voulant plus de place peut disposer du logement entier dans une autre configuration. Les différentes possibilités viennent rythmer le master plan. Ainsi une diversité au sein du quartier est crée.

1/200

ELEVATION SOUTH

1/200

SECTION

Sud

S1

Projet Master | Mehr Generationenhaus in Gotha

Les plans des logements se veulent modulaires et divers pour respecter les attentes

Waris Pierre - Louis 6024851

06/02/2014


Plan RDC Maison mixte | 1/500 reduit Ă 35%


MEHR GENERATIONENHAUS - Gotha

1/200

SECTION

1/200

GROUND FLOOR

1/200

1st FLOOR

FINAL PRESENTATION - Prof. Dr. Bernd Kritzmann

SIMPLE HOUSE - one familly

1/200

Iung Antoine 6024436

ELEVATION SOUTH

1/200

Waris Pierre - Louis 6024851

ELEVATION NORTH

06/02/2014


MEHR GENERATIONENHAUS - Gotha

MIXED BUILDING - several peoples

SECTION

1/200

ELEVATION NORTH

1/200

ELEVATION NORTH

1/200

1/200

GROUND FLOOR

1/200

1st FLOOR

FINAL PRESENTATION - Prof. Dr. Bernd Kritzmann

1/200

ELEVATION NORTH

FAÇADE SOUTH

1/200

SECTION

Reductions de planche de rendu

Iung Antoine 6024436

Waris Pierre - Louis 6024851

06/02/2014


Une introduction au design d’improvisation Ce séminaire avait pour thème le design d’improvisation. Il arrive parfois que la conception architecturale ne prenne pas place sur un terrain disposé à cette fonction, où les conditions ne sont pas entièrement idéales. Une disponibilité des matières premières limitées ou des outils inadéquats nécessitent souvent des processus et solutions spontanées trouvées “sur le tas“. Ces processus, récemment mis au point, ont été étudiés et testés dans le cadre de ce cours. Dans ce séminaire, il a donc s’agit d’une approche différente du design : un design qui se veut être réalisé avec les éléments présents sur place, des méthodes locales et des moyens limités.

Projet Concept | improDesign

Fonctionnement du cours : Le séminaire était tourné autour de 3 axes d’enseignements : des cours théoriques, des workshops et un projet pratique. Lors des cours théoriques, une introduction a été donnée sur des nouvelles méthodes de réflexion liée au design d’improvisation : brainstorming, mindmapping, gamestorming … Ces techniques nous ont permis à trouver des solutions à des problèmes créatifs lors de sessions communes de gamestorming ou lors de courtes présentations. Un des points intéressants de ce cours a été l’organisation de 2 Workshops.

Explications du projet : En parallèle des cours théoriques et des workshops, un exercice de projet, en partenariat avec l’ONG

Alma Terra Hamburg, était programmé dans ce séminaire. Nous travaillions en étroite collaboration avec les étudiants d’un projet de Master. Ils étaient chargés de dessiner les plans d’un centre de soin dans la ville de Zanzibar en Tanzanie. Dans le cadre du cours d’improDesign, nous étions chargés d’élaborer le mobilier intérieur de trois pièces d’un projet sélectionné par nos propres soins. Bien sûr, le mobilier devait être conçu en respectant les règles du design d’improvisation. Ainsi, les fournitures ne devaient être construites qu’à partir de matériaux locaux et assemblés selon des méthodes simples Après avoir pris connaissance du projet choisi, j’ai sélectionné 3 emplacements que je jugeais importants à qualifier : la réception, une des chambres pour médecin et l’air de jeux. Le bambou est un des matériaux qui constitue majoritairement le mobilier. C’est un matériau local, peu cher et qui offre une grande flexibilité. Un jeu entre bambou et poutre de bois local permet de monter les différents meubles selon différents modules. Pour l’air de jeu, les propriétés flexibles du bambou permettent de créer des structures pour les enfants du centre.

S1

Pour la réception, une construction modulaire permet d’installer un comptoir d’accueil et des étagères selon les besoins.


Structure en bambou | Aire de jeux


WORKSHOP 1 : improDesk Ce premier workshop a été réalisé en collaboration avec Hanseatischen Materialverwaltung :

une association de dépôt de décors pour les associations d’Hamburg. Nous devions réaliser, en groupe de plusieurs étudiants, un local bureau clos et isolé pour l’employé. Tous les matériaux présents dans le hangar étaient à notre disposition. C’est ensuite tous ensemble que nous avons construit le projet sélectionné.

WORKSHOP 2 : PechaKucha Le PechaKucha est un style de présentation dans lequel 20 diapositives sont projetées pendant

20 secondes chacune, soit une présentation de 6m40 au total. Le format oblige donc à rester concis et efficace. Cet exercice est souvent associé aux créatifs. En préambule, nous devions préparer une

S1

Projet Concept | improDesign

storyline à présenter ainsi que les 20 images qui accompagnaient. Bien évidemment, étudiants en architecture, notre storyline devait présenter un de nos projets.


Mobilier d’accueil | Réception


Urbanisme | MetropolitanLAB S1

L’urbanisme à l’echelle de la Métropole

Explications du projet :

Ce cours avait pour but d’analyser les tendances structurelles régionales actuelles, le suivi régional, l’évolution des concepts d’ordre spatial. Le travail ne portait pas sur l’échelle du quartier, ni de la ville, mais sur l’échelle d’une métropole tout entière. Chaque métropole du monde entier possède ses propres failles de développement. Le plus dur étant de mettre à jour cette problématique qui vient à l’encontre de l’accroissement optimal d’une grande ville. Plus l’échelle est étendue, plus le travail est périlleux. C’est avec l’aide d’analyse préambulatoire que sont ressortis des concepts et des stratégies pour un développement régional orienté durable. Et ce n’est pas sur une durée de 10 ans que des changements à l’échelle métropolitaine peuvent être vus, mais sur plusieurs dizaines d’années…

Lisbonne est une métropole aux multiples échelles. C’est une ville, mais aussi un quartier, une petite région et une région métropolitaine. Dans la région métropolitaine ont vécu en 2011 30% de la population portugaise totale soit 2,8 millions d’habitants. A partir de l’analyse, les questions suivantes sont ressorties : Quelle est la population de cette région est distribuée ? Y at-il des points avec une concentration de la population et il est notable des flux migratoires dans ces régions ? Notre analyse nous a permis de développer notre scénario : la population va continuer à migrer vers la périphérie. Nous avons voulons accompagner ce phénomène et essayer de le contrôler en requalifiant ses nouveaux «centres périphériques». Ainsi la périphérie consiste essentiellement notre zone d’intervention. Une mise en valeur des activités locales permet de réinstaurer un dynamisme et un attrait pour ces villes. Nous avons également projeté les zones de développement urbain en fonction de l’état actuel de la structure verte de la métropole : réserve naturelle ou zones inondables. Les transports sont un point faible de la métropole de Lisbonne. Ainsi, un réseau ferré métropolitain permet de relier ses centres stratégiques et parfois éloignés du centre. Des arrêts réguliers et une fréquence soutenue des trains permet le développement de ses régions. Avec cette extension du réseau actuel, nous donnons la possibilité à l’aire urbaine de s’étendre de manière structurée et contrôlée.

Fonctionnement du cours : Le séminaire s’est déroulé en trois temps. Le premier était une introduction théorique à l’urbanisme à l’échelle de la métropole. Des exemples de projet de développement urbain dans un contexte international nous ont été présentés tels que «Le Grand Paris», «Amsterdam Metropolitan Area 2030». Cette introduction nous a permis d’avoir un premier bagage pour les étapes suivantes du cours : l’élaboration d’un scénario de développement pour une grande métropole mondiale. Les étudiants ont travaillé en groupe de 2 à 4. La première étape consistait à analyser et faire ressortir une problématique de développement de la métropole choisie par le groupe. Ensuite, une première ébauche de scénario devait être élaborée pour finalement déboucher sur un plan plus précis d’une vision future. Un rendu préliminaire a permis de déceler les éléments à revoir pour le rendu final qui s’accompagnait de présentation orale. J’ai effectué ce travail sur la métropole urbaine de Lisbonne avec Lucie Euvrard.


Cartes d’analyse 12

9

3 2 5 4

15

1

18

7 15 6 8

10/11/12/13/14

11

13

14

15/16/17/18

19% 12-20%

1970 1981

10

6-8%

2001

1-2%

2-3%

1

2

3

4

5

6 7 8 9 / Grafik der Bevölkerungsentwicklung

„Freifläsche“ Naturschutzgebiet

0-1%

/ Anteil Wohnbevölkerung

/ Grünflasche

CALDAS

EM

3-6%

NT AR

1991

2011

16

8-12%

SA

10. 11. 12. 13.

1960

RTO

6. 7. 8. 9.

Lisboa Sintra Loures Cascais Amadora Almada Oeiras Seixal Vila Franca Setubal Barreiro Mafra Moita

PO

1. 2. 3. 4. 5.

EVORA

R PO AO T IM

Highway Principal interior network National road Rail network / Railstation International Airport Trip port Sea port Transport connection Principal exterior network Secondary exterior network

/ Verkehr

550 000

250 000 125 000 2 000

/ Bevölkerung Konzentration

/ Lissabon Metropolitanaera


»

Scénario

S1

Urbanisme | MetropolitanLAB

Euvrard Iung Ant

Lissabon

Neue Zentralität

Ballungsraum

Entvölkerung / Auswanderung

Freifläsche / Um zu verdichten Naturschutzgebiet

Ausdehnung

Autobahn Neue Verkehrsverbindung


ERICEIRA

MAFRA

»

Euvrard Iung Ant

MONTIJO

LISSABON

ALMADA

CASCAIS

CORROIOS

SETUBAL Verkehrsnetz :

Die Struktur von das Territorium :

Organisation von das Bevölkerung :

Existierte Autobahnnnetz

Naturschutzgebiet (parc naturel)

Stadtzentren

Neuen Grünflaschen (nouvelle zone verte)

Existierte Ballungsraum

Regional Railway Lines

Landwirtschaft (agriculture)

Vorhersehbare Stadtzentrensausdehnung

Existierte / Neuen Regional Railway Lines Stationen

Überschwemmungszonen (zone innondable)

Vorhersehbare Bevölkerungsausdehnung in das Territorium

Projet

Neuen Autobahnnetz Existierte Gleisnetz

SESIMBRA


L’élaboration d’un petit projet en concours

Explications du projet :

AIT est l’un des principaux magazines d’architecture d’Europe. Des salons d’expositions au nom

Le «One to 8 Bar» est un bar flexible et mobile,

de ce dernier sont présents dans quelques villes d’Allemagne. A Hamburg, on trouve un de ces

aux nombreux assemblages qui répondent à la

showrooms dédiés aux professionnelles de l’architecture.

diversité des événements. Il se divise en huit entités

L’AIT Architektur Salon est entré en relation avec la HafenCity Universität pour faire appel à un

distinctes. De cette manière, il peut être utilisé de

concours ouvert aux étudiants de l’université, mais également aux extérieurs. Le programme

différentes manières : en comptoir de bar fermé, en

consistait en l’élaboration d’un nouveau bar pour le salon, lors des nombreuses expositions

unité de stockage, en table de réunion, etc. Il devient

organisées. Ce mobilier design se devait être modulaire et flexible tout en répondant à de

la pièce maîtresse de tous les événements grâce à sa

nombreuses fonctionnalités.

flexibilité. Un système de roue assure une grande mobilité et une facilité de déplacement. Beaucoup de rangements de différentes tailles sont disponibles ce qui donne à ce mobilier une liberté d’appropriation. Cependant certains équipements, comme le réfrigérateur ou l’évier, ont une place fixe

Concours | AIT Bar

en fonction du contexte. Lorsqu’il est «fermé», des emplacements sont prévus à des fins de présentoirs de prospectus. / G r un d r i ss 1:20

Nous proposons ce bar comme un espace de

/ Hau pt ansic ht en 1 : 2 0

stockage modulaire et fonctionnel. En fait, il propose de nombreuses fonctions telles que: un vestiaire, un espace spécifique pour les magazines, un espace libre pour les jambes des clients, un rangement pour les tabourets ...

/ Sc hnitte 1:20

/ Hau pt ansic ht en 1 : 2 0

One

/ Hau pt ansic ht en 1 : 2 0

8

S1

to

AIR BAR Studentenwettbewerb 02|12|13

BAR


/ 3D Dars tellung

One

8 to

/ Gr u ndfläche : 7,3 0 m2

/ Auf rä umenfläche : 8, 20 m 2 / Arb e i t sfläche : 6, 50 m 2

/ Fläche für H ock er : 1, 70 m 2

BAR


La photographie de la ville sous un autre angle

Explications du projet :

La photographie urbaine documente la ville comme un système social et spatial. Avec ses

Étant de retour en France pour les vacances lors

thèmes et ses méthodes de travail, elle est différente de la photographie d’architecture classique,

du Workshop organisé, j’ai choisi de travailler sur une

de la photographie de rue, ou du reportage photo. La photographie urbaine est un genre de la photographie d’art. Tous les deux ont en commun l’objectivité, la non-mise en scène et la représentation de la ville comme un espace de vie ainsi que la représentation spatiale sous forme d’architecture et d’espace. Ces images puissantes de la vie urbaine sont le résultat d’expériences et d’analyse. La photographie urbaine doit être apprise par le biais d’exercices et de visites sur le terrain. Le cours a permis d’aiguiser notre vue et notre perception des phénomènes de la ville.

ville de ma région : Plombières-les-Bains. La zone de travail, où je me suis baladé, est à l’écart du centre du village. Cet endroit isolé est coincé entre la forêt et une route nationale. Paysage, solitude, et désordre sont des mots qui pourraient définir

S1

Photographie |

Stadtfotografie

l’atmosphère. Pour faire ressentir cela, j’ai décidé de

Fonctionnement du cours :

travailler le lien entre urbanité et nature. La forêt, très présente, crée des limites qui sont toujours

Lors des cours théoriques, plusieurs thèmes et techniques de photographie de la ville nous ont

en arrière-plan. Mais si on change le point de vue,

été présentés. En parallèle, par le biais de présentations faites par les étudiants, une vingtaine de

l’urbanité pourrait devenir cette fois l’arrière-plan.

photographes urbains ont été exposés en cours. Toute cette connaissance constituait un bagage

La transparence des limites de la forêt révèle parfois

pour la réalisation de l’oeuvre finale : un essai photographique. La phase de conception était accompagnée de corrections individuelles. L’essai photographique était réalisé aux suites du workshop organisé. Chaque étudiant était

quelques maisons, une présence humaine dans ce lieu isolé. Le paysage crée un environnement

assigné sur un bout de territoire. Ainsi, à travers les photographies, le but était de faire retranscrire

géométrique fait de lignes horizontales et verticales

l’ambiance de l’environnement désigné. Une dizaine de photos, sélectionnées avec l’aide du

qui trouvent leur place dans la composition des

professeur, constituait cet essai photographique.

photos.



Une étude de la sociologie à travers la musique Les Q-studies sont des cours communs à toutes les sections de l’Université. Les thèmes abordés sont généralement étendus à d’autres domaines que l’architecture, l’urbanisme ou l’ingénierie civile. Une Q-Studies par semestre doit être présente dans la liste de cours des étudiants de la HCU.

S1

Sociologie | Q-Studies / Sounds & Society

Un premier choix se fait selon les préférences de l’étudiant parmi un large éventail de proposition. Ensuite, un résultat aléatoire attribue le cours qu’il dispensera. Le but principal de ce cours était de créer une compréhension théorique et empirique du rôle de la musique dans nos vies aujourd’hui. Les impacts de l’Internet et des technologies mobiles sur la consommation de la musique, de la production et de la distribution ont été abordés à travers diverses littératures sociologiques ainsi que du travail sur le terrain. Nous avons étudié la manière dont les smartphones, iPod, des sites comme YouTube et Spotify, et les technologies de réseau et de streaming sociaux ont redéfini le rôle de l’audio dans la vie sociale. Le cours a fourni une meilleure compréhension des effets de ses nouveaux médias sur les pratiques culturelles de la consommation et de la production musicale, mais aussi l’impact social des nouvelles technologies. Cette nouvelle écoute de la musique et espace de production ont créé un «nouvel ordre interactif».

Fonctionnement du cours : Le cours était réparti équitablement entre intervention du professeur et débat alimenté par les étudiants. Chaque semaine, une lecture permettait d’introduire et donner de la matière à ces problématiques. Le rendu final de ce cours consistait en l’élaboration d’une Mixtape de 10 Chansons. Les thèmes vus en cours devaient être abordés par le biais d’une analyse de chaque musique, agrémentée de références des différentes lectures. Cet enseignement était dispensé en anglais et m’a donc permis également de ne pas perdre totalement cette langue pendant mon Erasmus en Allemagne.


Track 10 Titel :

”Pumping Blood“

Artist :

NONONO

Year :

2013

Label :

Warner Music

Theme :

Headphones / Mobility

Source :

http://vimeo.com/64042539

Last but not least, I would like to talk about one thing we’ve talk in class : the effect of music on us. If I’ve chosen this song, it’s just because it has a powerful effect on me. I walk on the streets, headphones on, and that track playing : I feel the energy rising within me. Music can be a powerful thing. Furthermore, we can say the effect is reinforced by wearing headphones : you are in own bubble. Humans have employed music to entertain themselves for a long period of time. Once headphones were introduced, individuals could take music machines anywhere and not disturb others. However, in the process of employing a means of not bothering others, it can be assumed that psychological separation from others may have occurred as well. (Morrison Crane, 2005) As we talked in class, something happens when we put headphones on : we enter in a bubble that cut us off the environnement and from the others. You are in own bubble. We find ourselves in our own bubble, in our own personal audio space. And it can become difficult for exterior elements to break this «audio cocoon». It appears there is an emerging tendency for people to block themselves off from the world by slipping earbuds in before they go about their business for the day. ( inEarHeadphones, 2011) As we said in class, put his headphones can be interpreted as a deliberate gesture meaning «Go away walkers, I do not wanna talk». Sound enables users to manage and orchestrate their spaces of habitation in a manner that conforms to their desires. The sound of the personal stereo is direct, with head- phones placed directly in the ears of the user, thereby overlaying the random sounds of the environment passed through with privatised sounds. (Bull, 2002) So, for my own experience, when I put my headphones in the street and I hear this song, for example, I’m kind of forget where I’m at. It’s like escaping from reality. And with a power song like this one, I can get to dance on without any qualms. I think headphones has something to do with that, because of the bubble they create, it is actually easier to be cut off the world and have the illusion of being able to do what you want.



SEMESTRE 2


> POOL SAPCE <

S2 Projet Master |

Un centre sportif pour triathlètes

Explications du projet :

«La piscine est le dernier endroit d’une utopie sans classe. On se met tous dedans, tout nu et en oubliant tout et en se laissant emporter par le courant ! » Rem Koolhaas, 2008 C’est par le biais d’une nouvelle interprétation de la piscine que, dans ce projet, nous avons expérimenté avec cette espace. C’est un moyen de faire face à un sujet vaste et toujours sousestimé de l’architecture. Le programme y est divers et allie plusieurs aspects : logistique, technique, mais aussi espace intérieur, espace extérieur, etc. … Nous avons travaillé sur le sujet en association avec les Triabolos d’Hambourg et Bäderland, opérateur des piscines publiques de la ville. Il s’agissait en effet de concevoir un centre d’entrainement sportif pour le club de triathlon, mais aussi à la fois une piscine ouverte aux extérieurs.

Après des recherches poussées, nous avons décidé de placer notre piscine sur un site particulier situé à l’ouest d’Hambourg. Il était important pour nous de choisir un lieu plus proche de la nature et plus éloigné du centre tout en étant quand même relié aux transports en commun pour faciliter l’accès. C’est ainsi qu’après plusieurs hypothèses, nous avons décidé avec l’avis favorable du professeur de faire flotter notre piscine sur l’Elbe, rivière qui traverse la ville. En effet, notre concept initial était de rapprocher notre projet au plus près du paysage. Le lieu avait un fort potentiel, mais il était aussi périlleux d’y installer un édifice public de telle envergure. Afin de réduire l’impact du bâtiment dans le paysage, nous avons réduit le programme au minimum des nécessités des maîtres d’ouvrages. Nous avons vu l’édifice comme un volume calme et longitudinal qui vient s’amarrer à la jetée comme un bateau. Son orientation est d’ailleurs parallèle au flot de l’Elbe. Des percées permettent de créer une relation directe entre le projet et l’eau et offrent une multitude de vue sur la rivière. Une tour, reprenant les proportions de ces patios, permet d’installer les éléments du programme dédiés aux membres du club de triathlon. Elle vient en opposition : verticalité ancrée dans le sol, elle joue le signal d’appel du projet

Fonctionnement du cours : En amont de la phase de conception, des exercices préparatoires ont été proposés par le professeur pour nous aider à développer une idée, une attitude architecturale. Nous avons examiné différentes méthodes et approches fonctionnelles, conceptuelles ou expérimentales, avec l’aide de présentations de personnes liées aux domaines de la baignade et de l’architecture. C’est ainsi avec des exercices de recherches de références ou de concepts que nous avons pu développer notre pensée architecturale sur le sujet. Un des objectifs du projet était également de trouver un site optimal pour le centre sportif. Un lieu était proposait par la ville, mais de recherches complémentaires nous ont permis de choisir un endroit alternatif. Le programme devait être élaboré par notre propre soin aux suites d’une interview avec des membres du club concernant leurs souhaits et besoins. De nombreux rendu intermédiaire, nous ont permis de bien nous préparer pour le rendu final et la possibilité d’être exposé lors du Triathlon d’Hambourg. C’est par groupe de 2 étudiants que nous avons élaboré ce projet. J’ai travaillé en collaboration avec Radka Bartošová. Le rendu final était composé de 6 planches A0, d’une maquette du site au 100e et d’une maquette coupe au 200e



Site plan

Perspective

1 : 1000

Explications du projet :

Put it in the nature > Floating cut outs

RACKS : 40 km

RUN TRACKS : 10 km Othmarschen

> POOL SAPCE <

SWIM TRACKS : 1,5 km

Start

Project parcel

Conceptual and functionnal diagramms

Put it to the nature

Perspective

Restaurant Conference

Accomodations

Bike repair room

S2 Projet Master |

Bike & Run bridge

Reception / Shop

Fitness changing

Bike storage Wellness center

Pool changing Swimming pools Fitness center

Technical access

Bike & Run bridge

Une attention particulière a également été apportée aux circulations. En effet, il fallait gérer de manière optimale les flux des visiteurs extérieurs et des sportifs tout en offrant aux triathlètes un circuit attrayant. Ainsi, un jeu entre 2 passerelles permet de guider l’utilisateur. Le circuit est imaginé selon le rythme des sportifs : il rentre dans le bâtiment par la passerelle basse qui dessert l’entrée et l’escalier principal. Celui-ci permet de se diriger selon les envies : à l’étage inférieur, les bassins et à l’étage supérieur les salles de fitness. Ainsi le triathlète parcourt le bâtiment à son aise et selon son entrainement pour finir, s’il le veut, par prendre son vélo dans le garage et longer l’édifice sur une passerelle qui l’emmène directement sur les pistes de vélo ou de course. Une fois la journée finie, il revient, se rechange et peut aller se reposer dans sa chambre. Le plan est vu comme un volume unique, où se trouvent les espaces de services et techniques, dans lequel sont imbriqués 3 blocs distincts. Ce sont des volumes plus fermés, à la matérialité différente, qui longe le hall au bassin de 100m. L’usager rentre dans ces blocs pour découvrir des jeux de vues sur la rivière. L’eau de rivière vient s’immiscer entre l’eau des bassins et se reflète contre les parois. Une séquence architecturale est mise en scène le long du hall : le regard de l’usager est dirigé vers la rivière ou la jetée à l’aide d’ouverture ou de fermeture. Les jeux de vues sur le paysage direct ou indirect font partie intégrante du projet. L’édifice est parcours d’une circulation sequencée de point de vue sur le paysage.


> POOL SPACE <

Staff

Physio

Foyer

Studio Bike privat storage

Athlete entrance

Spinning

Seminar

Cleaning

Blankenese Level

|

Scale 1 : 200

Plan Supérieur | 1/200 reduit à 75%


Section

> POOL SPACE < Perspective

1 : 200

Radka BARTOSOVA

|

Andrea VALNA

|

Antoine IUNG

Rowing & endless pool

30,60

26,00

22,00

Restaurant

19,00

16,00

13,00

10,00

7,00

10,90 4,00

8,75

0,00

4,75 3,10

Longitudinal Section

0,00

1 : 200

- 0,35 - 2,00

Conference Room

Perspective

50m pool Perspective

100m pool

Material Collage

S2 Projet Master |

> POOL SAPCE <

4600

> POOL SPACE <

Accomodations x 5

860

1840

1460

985

1350

865

1540

865

1540

1450

62 20

Radka BARTOSOVA

|

Andrea VALNA

|

Antoine IUNG

Bike Repair Room

10,90

Others Floor

HOTEL

8,75

Restaurant

Structural diagramms

4,75 3,10 0,00 - 0,35 - 2,00

> POOL SPACE <

Conference Room

Perspective

Perspective

Rowing & endless pool

Radka BARTOSOVA

|

Andrea VALNA

|

Antoine IUNG

50m pool

Perspective

100m pool

Material Collage

4600 Accomodations x 5 Restaurant

860

1840

1460

985

1350

865

1540

865

1540

1450

62 20

Bike Repair Room

Conference Room

Others Floor

HOTEL

Structural diagramms Perspective

50m pool Perspective

100m pool


> POOL SPACE < Reception

Storage

Shop

Bike park Regular entrance

Cleaning

Reception

100m Pool

Reception

First aid Cafet

Storage

Hammam

Storage

Children Pool

Technical + floor under

Sauna

Massage rooms

Storage

50m Pool

Jacuzzi

Rowing Pool

Elbe Level

|

Scale 1 : 200

Plan Inférieur | 1/200 reduit à 75%


Un enseignement concept sur la transparence

Explications du projet :

C’est au début des années 60 que né une polémique contre une architecture de verre, de transparence dans le sens littéral, en faveur de la transparence au sens figuré. L’interaction de la lumière et de matériaux de transmission différente de la lumière est utilisée comme moyens de composition, de stratification, de profondeur, de superposition spatiale qui crée des couches de différents espaces. Une translucidité peut survenir dans laquelle l’opposition traditionnelle entre ouvert / fermé, transparent / opaque est explorée. C’est dans ce thème de la transparence que le séminaire a exploré les concepts spatiaux qui interprètent l’idée d’une nouvelle transparence spatiale

Le projet est inspiré par mon premier travail et l’objet créé reflétant une opposition entre transparence littérale et transparence conceptuelle. J’ai choisi d’installer le musée dans le parc de l’Alster à Hambourg. Entre deux ponts, le Kennedy-Brücke et la Lombardsbrücke, ce lieu se trouve dans la nature à la fois dans la ville. Le concept du musée est simple ; il est composé de deux blocs rectangulaires et longitudinaux ; cela est dû aux proportions du site. Les blocs sont superposés et coulissent l’un sur l’autre. Le bloc supérieur se termine par une partie en surplomb sur la place existante et sur l​​a rivière. Les blocs, comprimés entre deux dalles, sont composés de verre et de béton. Espaces fonctionnels et lieux d’exposition sont situés dans l’enveloppe centrale tandis que la circulation se déroule autour. La transparence parfois littérale, parfois conceptuelle, permet d’avoir l’impression de marcher à même le parc. Les espaces d’exposition sont composés de plusieurs pièces en enfilade. Parce que chaque pièce peut présenter quelque chose de différent, on retrouve différentes manières d’enter dans les salles. Ces portes sont comme une seconde peau translucide qui laisse deviner ce qui se passe à l’intérieur sans toute fois en révéler tous les secrets. Ces motifs créés participent à l’animation de la façade qui est parfois transparente, translucide ou pleine. Un escalier en verre occupe le cœur du projet. Cet espace peut être considéré comme le point d’articulation du musée : il connecte les blocs dans une transparence totale.

TRANSPARENZ

Fonctionnement du cours : Plusieurs cours théoriques nous ont introduit au thème du cours à travers la présentation de nombreuses références. Un premier exercice d’une durée d’une semaine avait pour but de créer un objet objectif censé exposer la problématique de la transparence en architecture. Ensuite, un exercice de conception de projet s’est réparti entre un rendu intermédiaire et un rendu final, sans séances de correction. Ce projet se voulait conceptuel pour explorer au mieux le thème de la transparence en architecture. Le sujet du projet consistait en l’élaboration d’un musée de média pour un collectionneur. Le programme et le site étaient libres.

1. VOLUME

S2 Projet Concept |

Slided Transparency

2. MATERIAL

3 ARCHITECTURAL SHAPE CONCEPT

4. PROGRAMM



Slided Transparency Außenalster

Alsterpark

K en ned

S2 Projet Concept |

TRANSPARENZ

ybrü c

Lom b

Photos maquette

Si te plamasse n | 1 : 1000 Plan | 1/1000 réduit à 70%

Perspective extérieur

Perspective intérieur

ard

sbrü

cke

ke


ed Slided Transparency Transparency Ground floor plan

Ground floor plan

5. DIRECTION FLOW

A

A A

B

B B

First floor plan

? ?

First floor plan

?

A

A

? ?

B

?

A B

B

? ?

Plan, coupes, élévations | 1/500 réduit à 60% Section

?

Section

A

A

6. CONCEPTS OF TRANSPARENCY

A

Elevation

Elevation


ZERO Null Energie Wohnquartier

S2 Projet Technique |

Du master plan au détail 1/20, un écoquartier à Nancy

Explications du projet :

Cet enseignement consistait en l’élaboration d’un écoquartier. Dans le futur, toute nouvelle construction devra se suffire à lui-même au niveau énergétique. Il en va de même pour les futurs quartiers. L’objectif était donc ici de travailler sur ce sujet pour être en connaissances des attentes du futur concernant les écoquartiers. C’est par le biais d’exercices d’analyse et de conception que nous avons parcourus le sujet.

Le projet se situe à Essey-les-Nancy et propose une reconversion des casernes militaires. Notre principe de base est de rejeter au maximum les transports en périphérie du quartier. Les transports en commun (tram et bus) sont situés le long de l’Avenue de Brigachtal au nord avec notamment l’extension de la ligne 1 de tram. De chaque station, des « branches vertes » prennent naissance. Les espaces verts qui traversent l’ensemble du district sont des grands espaces verts publics. Cela favorise la mobilité des habitants soit à pied ou en vélo en parcourant ces parcs intérieurs. Pour le transport privé, nous avons prévu une route principale périphérique, pour éviter le bruit de la circulation et de la pollution à l’intérieur du quartier. Nous avons trois routes secondaires qui traversent le quartier du nord au sud, et tout le reste sont des routes à trafic réduit. Les places de stationnement sont situées au début de chaque voie servante. Le but étant pour les usagers de laisser la voiture dans ces emplacements. Les bâtiments sont tous orientés sud-est avec une voie servante au nord. Les espaces inter immeubles sont calculés de fonction à minimiser les ombres. On retrouve 3 typologies différentes toutes avec un toit en pente pour favoriser l’exposition au soleil des panneaux solaires. Nos logements sont vus comme des modules qui se répètent. Les différentes sont typologies sont répartis de telle sorte à harmoniser l’environnement. Proche de la nature, on retrouve des maisons individuelles ou maisons multifamiliales et proche de la ville des immeubles d’appartements.

Fonctionnement du cours : Des premiers petits exercices nous ont sensibilisés aux questions de la vie de quartier durable. Nous avons analysé les conditions de vie et l’environnement tel qu’espaces verts, magasins, services, transports entourant les appartements des différents étudiants. Ceci dans le but de dresser les caractéristiques optimales pour le futur projet. C’est ensuite en groupe de 3 à 4 étudiants que nous avons travaillé sur l’élaboration de l’écoquartier de 6500 Habitants. Nous avons géré le projet de A à Z : du choix de site aux détails 1/20. Ce fut un travail très intéressant et enrichissant. Nous avons également découvert le logiciel PHPP qui permet de déterminer si un bâtiment respecte les normes de maison passive. C’est ainsi que lors d’une première phase, nous avons travaillé sur la conception du master plan du quartier. Dans une autre phase, nous nous sommes concentrés sur un bâtiment choisi pour en faire un immeuble passif qui servira de module de base pour le développement de ce bout de territoire durable. La conception s’est faite en collaboration avec Carla Llaudo et Delphine Charnacé.


WP: Konstruktion und Technik

Delphine Charnacé | Antoine Iung | Carla Llaudó

Site plan

ZERO - (nahe) - Null - Energie - Wohnquartier

Präsentation: Städtebau und Gebäudetyp

Project data:

WP: Konstruktion und Technik

0m

Diagramms

800m

Location

Nancy, France typology 2 (48°41‘37“N 6°11

Project area

670.000 m2

WP: Konstruktion und Technik Diagramms

typology 3

Public area Private area free area/comunitary built area nº of appartments

67 ha. (66%) 446.395 m 223.605 m2 (34%) 141.093 m2 (63%) (37%) 82.512 m2 3.648 ~ 6500 inhabitants

single - family houses multi - familiy housing

253 3.395

Buildability residential Density

ZERO - (nahe) - Null - Energie - Wohnquartier

typology 1

2

main road secundary road inverted priority roads tram way car & bike parking underground parkings 2

280.872 m of roof 54,44 houses/ha

97,01 inhab./ha Buildability index 0,42 m2 roof/ m2 ground Public area per inhabitant 68,68 m2/inhab. Parking area forGruppe: PKW 21.600 m2 06 Präsentation: Städtebau und Gebäudetyp Delphine Charnacé | Antoine Iung | Carla2Llaudó Parking area for bikes 6.000 m typology 1 typology 2 typology 3

Solar panels surface

2 territories 41.256 mprimary secundary territories public territories

Explanation

The public transport (tram and bus) is situated along the roa

main road secundary road inverted priority roads tram way car & bike parking underground parkings

north of the district. From each tram station, „green branches“ show up. Green spa cross the whole district, getting opened to the big free spac south. That makes possible the mobility from the inhabitan equipments walking or by bike along this natural space. terciary sector

For the private transport, we projected a circumdant main avoid the traffic noise and pollution inside the district. We ha

secundary roads that cross the district from north to south, an rest are „inverted priority“ roads. The parking places are situat the main road and all at the basement of multi-family housing

To respect the existing fields of the terrain, we incorporate th the new housing typologies. 3 new housing typologies, all ori scale 1.5000

south with a pitch roof for the solar planels.


S2 Projet Technique |

ZERO Null Energie Wohnquartier

Explications du projet :

(LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV :lUPHOHLWIlKLJNHLW :lUPHNDSD]LWlW SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH

2,0 2,0

O UF G

.OLPDGDWHQ PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU

: P.

0- Pñ.

PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU

P

PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS $PSOLWXGH YRQ 7H P /lQJH GHU +HL]SHULRGH +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ

*HElXGHGDWHQ )OlFKH %RGHQSODWWH 8PIDQJ %RGHQSODWWH FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD

8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH

467,2 Pð 100,0 P

$ 3 %

:lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH 8 :HUW %3 .' LQFO :%

P

ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV

$UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

%HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK

x

%RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK

.HOOHUYROXPHQ

2,70

P

Q 9

0,20 1361

K

8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK

8 :HUW .HOOHUERGHQ

P

%HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ

'LFNH 5DQGGlPPXQJ :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ

8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK

+|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK

%HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK %UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ '

GQ OQ

P

+|KH +RKOUDXPZDQG

: P.

8 :HUW +RKOUDXPZDQG

)OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ /DJH 5DQGGlPPXQJ

ZDDJHUHFKW

QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

:LQGJHVFKZ LQ P +|KH

VHQNUHFKW

:LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU

=XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ

E

*UXQGZDVVHU .RUUHNWXU 7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO

]:

)OLH JHVFKZLQGLJNHLW

T:

.RUUHNWXUIDNWRU *UXQGZDVVHU

*:

VWDWLRQlUHU $QWHLO 0RQDWH

3,0 0,05

KDUPRQLVFKHU $QWHLO

ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUZDQG

G8EI GZ 8EZ

8 :HUW :DQG (LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV /6 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW :lUPHOHLWIlKLJNHLW O (LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV :lUPHNDSD]LWlW UF *HElXGHGDWHQ 2,0 :lUPHOHLWIlKLJNHLW : P.

O 8QEHKHL]WHU .HOOHU SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH )OlFKH %RGHQSODWWH $G/ 2,0 :lUPHNDSD]LWlW 0- Pñ.

UF VWDWLRQlUHU /HLWZHUW 6 8PIDQJ %RGHQSODWWH 3 SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH P G FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD %

*HElXGHGDWHQ )OlFKH %RGHQSODWWH 8PIDQJ %RGHQSODWWH

0,147 0,00

8Z. K 8:

8I.

UHODWLYH *UXQGZDVVHUWLHIH UHODWLYH *UXQGZDVVHUJHVFKZLQGLJNHLW

.OLPDGDWHQ PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS

$PSOLWXGH YRQ 7H P /lQJH GHU +HL]SHULRGH .OLPDGDWHQ

: . +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ 2,0 : P.

PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU .OLPDGDWHQ 2,0 0- Pñ.

PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU 20,0 PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH 7 L

P PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS 36,8 Pð :lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH 25,0 7L : .PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 7H P $PSOLWXGH YRQ 10,0 P PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS 8 :HUW %3 .' LQFO :% 11,6 7 lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW H P

7H A Q

*W

7L

7IL 8 &

7 O < & E%H P 7H A 8

& /ISH Q

/lQJH GHU +HL]SHULRGH P $PSOLWXGH YRQ 7 ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV GW 8,8 & 7H A H P *W +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ 6,5 %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK 0RQDWH /lQJH GHU +HL]SHULRGH Q $UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

:lUPHGXUFKJDQJVNRHIIL]LHQW : Pð.

3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 8 x 70,6 *W 8QEHKHL]WHU .HOOHU %HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK N.K D 8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ *HElXGHGDWHQ 8I E %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH ZLUNV 'LFNH 5DQGGlPPXQJ lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /SH 467,2 P G

)OlFKH %RGHQSODWWH Pð :lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH < $ % O 0,147 : Pð.

8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH 8I : P.

.RUUHNWXU 5DQGGlPPXQJ '< 100,0 P 8PIDQJ %RGHQSODWWH 8 :HUW %3 .' LQFO :% 8

%HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 467,2 Pð 3 0,00 :lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH : .I <% O $ : . VWDWLRQlUHU /HLWZHUW 2,70 P 8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK 8 7LHIH .HOOHU FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD P ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV GZ. ]/ % 6 W 100,0 P 8 :HUW %3 .' LQFO :% : Pð.

8I

3

x

8J

%HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH 8 :HUW +RKOUDXPZDQG / IWXQJ : Pð.

8; %HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK %HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH 2,70 P 7LHIH .HOOHU 8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK ] VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : . /6 P 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ %UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ ' %HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK +|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK =XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU 'LFNH 5DQGGlPPXQJ P 8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK +|KH +RKOUDXPZDQG 2,70 P GQ 0,122 7LHIH .HOOHU 8Z. ] 0,20 : P.

8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK /XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU Q K :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ 8 :HUW +RKOUDXPZDQG O Q =ZLVFKHQHUJHEQLVVH 1,00 =XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU K 1361 .HOOHUYROXPHQ Pñ +|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK )OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ 8 :HUW .HOOHUERGHQ 9 0RQDWH VWDWLRQlUHU :lUPHVWURP 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ E 0,20 K 8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK /XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU 8: Q /DJH 5DQGGlPPXQJ ZDDJHUHFKW :LQGJHVFKZ LQ P +|KH VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : . SHULRGLVFKHU :lUPHVWURP / 6 %HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK %HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH 1361 Pñ 0,155 .HOOHUYROXPHQ 8 :HUW .HOOHUERGHQ 8I. 9 QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

VHQNUHFKW :LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU : . :lUPHYHUOXVW ZlKUHQG GHU +HL]SHULRGH lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW / %UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ P 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ 'SH

%HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK =XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU 'LFNH 5DQGGlPPXQJ GQ %UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ P ' 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ EO Q

VWDWLRQlUHU $QWHLO P %HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH +|KH +RKOUDXPZDQG 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ 8+RKO 5HGXNWLRQVIDNWRU *UXQG I U %ODWW +HL]ZlUPH 0RQDWH KDUPRQLVFKHU $QWHLO : P.

8 :HUW +RKOUDXPZDQG +|KH +RKOUDXPZDQG K )OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ

P GQ *UXQGZDVVHU .RUUHNWXU /DJH 5DQGGlPPXQJ ZDDJHUHFKW :LQGJHVFKZ LQ P +|KH :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ : P.

8 :HUW +RKOUDXPZDQG 8: OQ ]: 3,0 7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO P /HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

0RQDWVPLWWHOWHPSHUDWXUHQ LP (UGUHLFK I U 0RQDWVYHUIDKUHQ QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

VHQNUHFKW :LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU 0RQDW H3 T: 0,05 )OLH JHVFKZLQGLJNHLW P G )OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ UHODWLYHU 'lPPVWDQGDUG 4,0 /DJH 5DQGGlPPXQJ :LQGJHVFKZ LQ P +|KH :LQWHUZDDJHUHFKW UHODWLYH *UXQGZDVVHUWLHIH Y VWDWLRQlUHU $QWHLO =XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU 6RPPHUVHQNUHFKW I 0,05 QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

:LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU *: .RUUHNWXUIDNWRU *UXQGZDVVHU UHODWLYH *UXQGZDVVHUJHVFKZLQGLJNHLW : 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 0RQDWH KDUPRQLVFKHU $QWHLO E $XVOHJXQJVWHPSHUDWXU (UGUHLFK I U +HL]ODVWEODWW I U . KOODVWEODWW 0,000 VWDWLRQlUHU $QWHLO =XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU <3 VWDW O *UXQGZDVVHU .RUUHNWXU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 0,000 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 0RQDWH <3 KDUP O E 3,0 P KDUPRQLVFKHU $QWHLO/HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO G]W: P 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUERGHQ T 0,05 P G )OLH JHVFKZLQGLJNHLW UHODWLYHU 'lPPVWDQGDUG 8: 'LFNH 5DQGGlPPXQJ

*UXQGZDVVHU .RUUHNWXU 7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO

8 :HUW %RGHQ EI ]: 3,0 P ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUZDQG G*Z .RUUHNWXUIDNWRU *UXQGZDVVHU T: 0,05 P G 8 : (LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV 8 :HUW :DQG

.RUUHNWXUIDNWRU *UXQGZDVVHU

EZ

:lUPHOHLWIlKLJNHLW /6 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK *: UF

:lUPHNDSD]LWlW ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUERGHQ WP: Konstruktion und Technik SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH (LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV 8QEHKHL]WHU .HOOHU

GW G 8 :HUW %RGHQ 8 .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK VWDWLRQlUHU /HLWZHUW /6EI 2,0 : P.

:lUPHOHLWIlKLJNHLW O ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUZDQG GZ ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUERGHQ P GW 2,0 0- Pñ.

:lUPHNDSD]LWlW UF 8 :HUW :DQG 8EZ 8 :HUW %RGHQ : Pð.

8 SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH P G EI /6 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUZDQG P G Z *HElXGHGDWHQ 8 :lUPHGXUFKJDQJVNRHIIL]LHQW 8 :HUW :DQG : Pð.

8EZ )OlFKH %RGHQSODWWH $ (LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV 8QEHKHL]WHU .HOOHU ZLUNV 'LFNH 5DQGGlPPXQJ /6 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : . G

8PIDQJ %RGHQSODWWH 2,0 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW :lUPHOHLWIlKLJNHLW : P.

/3 O 6 .RUUHNWXU 5DQGGlPPXQJ '< FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD 2,0 :lUPHNDSD]LWlW 0- Pñ.

UF *HElXGHGDWHQ / %

VWDWLRQlUHU /HLWZHUW

Soil

6

8QEHKHL]WHU .HOOHU SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH )OlFKH %RGHQSODWWH VWDWLRQlUHU /HLWZHUW 8PIDQJ %RGHQSODWWH

P

E

0,122 1,00

W

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3 VWDW O O %

<3 KDUP O

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20,0 & 0RQDWH 25,0 & & : . 11,6 8,8 & 6,5 0RQDWH 70,6 N.K D 20,0 &

2EMHNW

0,147 0,00

0,122 1,00

$XVULFKWXQJ GHU )HQVWHUIOlFKH PD[LPDO

: .

6WUD H

3/= 2UW

: . : Pð.

4,0 P V : . 0,05 0LWWHOZHUW

2014 30 8331,0

=DKO :( 8PEDXWHV 9RO 9H

: P .

N:K D

N:K D

Windows Wohnhaus mit 17 WE - Zeile

0,155 0RQDWH : Pð.

: : . : : Pð.

N:K P

*OREDO VWUDKOXQJ

+DXSW ULFKWXQJHQ

2EMHNW

N:K PðD

98 204 370 210 329

6WUD H /DQG

2EMHNW 7\S .OLPD %DXKHUU HQ 6WUD H 3/= 2UW $UFKLWHNW 6WUD H 3/= 2UW +DXVWHFKQLN 6WUD H

&

3,0

P

6

+HL]ZlUPH

9HUVFKDW WXQJ

+HL]HQ 0,63 0,59 0,61 0,61 1,00

QLFKW 9HU VFKPXW VHQNUHFK WHU ]XQJ 6WUDKOXQJV HLQIDOO

. KOHQ 6XPPH E]Z 0LWWHOZHUW EHU DOOH )HQVWHU

$EPLQGHUXQJV (QHUJLHEH]XJVIOlFKH )HQVWHU IDNWRU VRODUH

2272,0 )HQVWHU

+HL]ZlUPHEHGDUI

: P .

9HUJOD VXQJV DQWHLO

J :HUW

(LQVWUDKOXQJ

)OlFKH P

+HL]ODVW

. KOEHGDUI JHVDPW

Wohnhaus mit 17 WE - Zeile

8 :HUW

France (QWIHXFKWHQ +HL]HQ . KOHQ Multi.Family :: +LOIV XQG building +DXVKDOWVVWURP :: +HL]XQJ XQG +LOIVVWURP F - Nancy

P

N:K P D

: P

N:K P D

(UI OOW"

7UDQVPLVVLRQV :lUPH DQJHERW YHUOXVWH 6RODUVWUDK OXQJ N:K D

MD

N:K PðD

N:K D

MD

: Pð

: P

N:K P D

N:K P D

N:K P D

YHUZHQGHW 0RQDWVYHUIDKUHQ

$QIRUGHUXQJHQ

N:K P D

3( (LQVSDUXQJ GXUFK VRODU HU]HXJWHQ 6WURP

'UXFNWHVW /XIWZHFKVHO Q

PLWWOHUH *OREDO VWUDKOXQJ

P

3ULPlUHQHUJLH

/XIWGLFKWKHLW

9HUJOD ð VXQJV )OlFKH

. KOODVW

hEHUWHPSHUDWXUKlXILJNHLW ! &

Nancy

+HL]JUDGVWXQGHQ

N:K PðD

*HElXGHNHQQZHUWH PLW %H]XJ DXI (QHUJLHEH]XJVIOlFKH XQG -DKU

F - Nancy

3/= 2UW Pasive house Proof54000

: Pð.

20,0

P PLWWOHUH *HVFKRVVK|KH

2EMHNW

$XVULFKWXQJ GHU )HQVWHUIOlFKH

: Pð.

,QQHQWHPSHUDWXU

,QWHUQH :lUPHTXHOOHQ : P Delphine Charnacé | Antoine Iung |2,1 Carla Llaudó

3HUVRQHQ]DKO

PD[LPDO 0RQDWH 0RQDWH 1RUG : . : . 2VW : Pð. 6 G :HVW P +RUL]RQWDO

: .

P

6XPPH E]Z 0LWWHOZHUW EHU DOOH )HQVWHU

%DXMDKU

P : .

0RQDWH

3/= 2UW

: . .OLPD : Pð.

0RQDWH

6WUD H

0,147 : Pð.

0RQDWH 0,00 : .

: .

N:K P D

+DXVWHFKQLN

: . 0RQDWH : .

0LWWHOZHUW

P

3/= 2UW

6WUD H

0,000 : . 0,000 : .

7UDQVPLVVLRQV :lUPH DQJHERW YHUOXVWH 6RODUVWUDK OXQJ

$UFKLWHNW

0,05 :

)HQVWHU 8 :HUW

%DXKHUU HQ

: . P

0LWWHOZHUW N:K 0,000 : . 0,000 : .

)HQVWHU )OlFKH

.OLPD

0,000 0,000

Pð :P V 4,0

PLWWOHUH *OREDO VWUDKOXQJ

$EPLQGHUXQJV IDNWRU VRODUH (LQVWUDKOXQJ

2EMHNW 7\S

: Pð.

0,63 0,59 0,61 0,61 1,00

9HUJOD VXQJV )OlFKH

J :HUW

/DQG

: Pð.

: Pð.

P P

0,05 N:K

1,00

+HL]JUDGVWXQGHQ

N:K PðD

9HUJOD VXQJV DQWHLO

3/= 2UW

: Pð.

: Pð.

0,155 : Pð.

Pð : 4,0 P V :

0,122

98 204 370 210 329

QLFKW 9HU VFKPXW VHQNUHFK WHU ]XQJ 6WUDKOXQJV HLQIDOO

6WUD H

: Pð.

0RQDWH : Pð.

: .

20,0 & 25,0 & 0RQDWH 11,6 & : . 8,8 0RQDWH & 6,5 : . 0RQDWH 70,6 N.K D

6

+HL]ZlUPH

9HUVFKDW WXQJ

N:K PðD

2EMHNW

: Pð.

: Pð.

P

*OREDO VWUDKOXQJ

+DXSW ULFKWXQJHQ

1RUG 2VW 6 G :HVW +RUL]RQWDO

0RQDWH : Pð.

P

1,00

Wohnhaus mit 17 WE - Zeile F - Nancy

.OLPD

25,0 : Pð.

& 0,147 11,6 : . & 0,00 0RQDWH 8,8 & : Pð.

: . 6,5 0RQDWH P 70,6 N.K D

0,122

8: 8 : P8 H3 )I.VWDW : Pð.

Y)KDUP : Pð.

I4 : 8 WRW +RKO < K3 VWDW O : Pð.

< O 83 KDUP : PH3 Y : Pð.

/UHJ I Pð %

G:

: Pð.

P

0,155

0,155

.RUUHNWXU 5DQGGlPPXQJ 0,20 K 8 :HUW %3 .' LQFO :% /XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU 8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK 8: '< Q 100,0 : P.

8PIDQJ %RGHQSODWWH P : Pð.

8I

3 $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH EHU EHO IWHWHP +RKOUDXP K|FKVWHQV P XQWHU 2. (UGUHLFK

%HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK : . G9 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW 1296 PPñ8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK =ZLVFKHQHUJHEQLVVH .HOOHUYROXPHQ 8 :HUW .HOOHUERGHQ ZLUNVDPH 'LFNH +RKOUDXPGlPPXQJ 2,70 0,122 P 8 : Pð.

7LHIH .HOOHU FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD P ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ PE8I. GZ. J ]/ % 6 W 0RQDWH VWDWLRQlUHU :lUPHVWURP 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ ) E8J 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ : Pð.

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /VWDW SH $UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

1,00 +|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK %HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH P =XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU K %HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK VWDWLRQlUHU /HLWZHUW /86; : . SHULRGLVFKHU :lUPHVWURP )KDUP $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH EHU EHO IWHWHP +RKOUDXP K|FKVWHQV P XQWHU 2. (UGUHLFK

8 :HUW +RKOUDXPZDQG / IWXQJ : Pð. x %HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 8QEHKHL]WHU .HOOHU8 :HUW +RKOUDXPERGHQ P 8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK 8 %UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ 0,20 ' /XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU 8 : Pð.

Q K : ZLUNVDPH 'LFNH +RKOUDXPGlPPXQJ P 0RQDWH GJ E //SH : . :lUPHYHUOXVW ZlKUHQG GHU +HL]SHULRGH 4WRW+RKO lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : .3KDVHQYHUVFKLHEXQJ %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH 'LFNH 5DQGGlPPXQJ G6 P 8 :HUW .HOOHUERGHQ +|KH +RKOUDXPZDQG K 1296 Pñ 0,155 : Pð.

.HOOHUYROXPHQ 8I. 98 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ : Pð. Q lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW : . /SH J :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ OQ : P.

8 :HUW +RKOUDXPZDQG 8: %HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 5HGXNWLRQVIDNWRU *UXQG I U %ODWW +HL]ZlUPH 8 :HUW +RKOUDXPZDQG / IWXQJ : Pð.

8; %HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK %HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH =ZLVFKHQHUJHEQLVVH )OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ 2,70 P 0,122 : Pð.

7LHIH .HOOHU 8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK 8Z. H3 ] VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : . /6 P 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ 8+RKO : Pð.

%UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ ' 0RQDWH VWDWLRQlUHU :lUPHVWURP 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ )YVWDW /DJH 5DQGGlPPXQJ :LQGJHVFKZ LQ P +|KH EZDDJHUHFKW 1,00 PP +|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK =XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU G 'LFNH 5DQGGlPPXQJ P KK QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

:LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU Q VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : .+|KH +RKOUDXPZDQG SHULRGLVFKHU :lUPHVWURP /6 VHQNUHFKW )I: 0RQDWVPLWWHOWHPSHUDWXUHQ LP (UGUHLFK I U 0RQDWVYHUIDKUHQ KDUP 8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK : Pð.

/XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU 0RQDWQ 8: K 0,20 : P.

: .8 :HUW +RKOUDXPZDQG 8 :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ : Pð.

OQ : :lUPHYHUOXVW ZlKUHQG GHU +HL]SHULRGH lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /SH 4WRW =ZLVFKHQHUJHEQLVVH VWDWLRQlUHU $QWHLO =XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU < :LQWHU 3 VWDW O 0,155 1361 .HOOHUYROXPHQ Pñ 8 :HUW .HOOHUERGHQ : Pð.

8I. 9 )OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ H3 VWDWLRQlUHU :lUPHVWURP Pð : 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ E 6RPPHU 0RQDWHE )VWDW 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 0RQDWH KDUPRQLVFKHU $QWHLO <3 KDUP O 4,0 P V /DJH 5DQGGlPPXQJ ZDDJHUHFKW :LQGJHVFKZ LQ P +|KH Y 5HGXNWLRQVIDNWRU *UXQG I U %ODWW +HL]ZlUPH VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : . SHULRGLVFKHU :lUPHVWURP : /6 %HL 5DQGGlPPXQJ I U %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK %HL DXIJHVWlQGHUWHU %RGHQSODWWH )KDUP 0,05 N:K QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

VHQNUHFKW :LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU I4 *UXQGZDVVHU .RUUHNWXU : I U . KOODVWEODWW : . :lUPHYHUOXVW ZlKUHQG GHU +HL]SHULRGH lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW $XVOHJXQJVWHPSHUDWXU (UGUHLFK I U +HL]ODVWEODWW / %UHLWH 7LHIH 5DQGGlPPXQJ P 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ : Pð.

8 'SH WRW +RKO ]: /UHJ 3,0 7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO P /HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

0,000 : . VWDWLRQlUHU $QWHLO =XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU 'LFNH 5DQGGlPPXQJ P +|KH +RKOUDXPZDQG P GQ < K3 VWDW O 0RQDWVPLWWHOWHPSHUDWXUHQ LP (UGUHLFK I U 0RQDWVYHUIDKUHQ T: GW %

0,05 P G )OLH JHVFKZLQGLJNHLW UHODWLYHU 'lPPVWDQGDUG 5HGXNWLRQVIDNWRU *UXQG I U %ODWW +HL]ZlUPH 0RQDWEOQ 0RQDWH < : . 0,000 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ KDUPRQLVFKHU $QWHLO :lUPHOHLWIlKLJNHLW 5DQGGlPPXQJ : P.

8 :HUW +RKOUDXPZDQG : Pð.

O 83 KDUP : ]: %

UHODWLYH *UXQGZDVVHUWLHIH :LQWHU PðO %

*: .RUUHNWXUIDNWRU *UXQGZDVVHU UHODWLYH *UXQGZDVVHUJHVFKZLQGLJNHLW H3 )OlFKH / IWXQJV|IIQXQJHQ 6RPPHU *UXQGZDVVHU .RUUHNWXU 4,0 P V /DJH 5DQGGlPPXQJ ZDDJHUHFKW :LQGJHVFKZ LQ P +|KH Y ]: /UHJ 3,0 7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO P /HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

: . 0RQDWVPLWWHOWHPSHUDWXUHQ LP (UGUHLFK I U 0RQDWVYHUIDKUHQ 0,05 QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

VHQNUHFKW :LQGDEVFKLUPXQJVIDNWRU I I U . KOODVWEODWW .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 0RQDW $XVOHJXQJVWHPSHUDWXU (UGUHLFK I U +HL]ODVWEODWW 0LWWHOZHUW % T: GW: 0,05 )OLH JHVFKZLQGLJNHLW P G UHODWLYHU 'lPPVWDQGDUG :LQWHU ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUERGHQ GW UHODWLYH *UXQGZDVVHUWLHIH E P 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ ]< : %

0,000 VWDWLRQlUHU $QWHLO : . =XVlW]OLFKHU :lUPHEU FNHQYHUOXVW DP 3HULPHWHU O 3 VWDW 6RPPHU 8 :HUW %RGHQ : Pð.

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW *: .RUUHNWXUIDNWRU *UXQGZDVVHU UHODWLYH *UXQGZDVVHUJHVFKZLQGLJNHLW O %

/SH 0RQDWH8EI 0,000 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ KDUPRQLVFKHU $QWHLO : . <3 KDUP O E ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUZDQG GZ P $XVOHJXQJVWHPSHUDWXU (UGUHLFK I U +HL]ODVWEODWW I U . KOODVWEODWW *UXQGZDVVHU .RUUHNWXU 8 :HUW :DQG 8EZ : Pð.

.HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK /UHJ 3,0 P /HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

: . 7LHIH *UXQGZDVVHUVSLHJHO /6 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW : . G]: P 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 0RQDWH ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUERGHQ W

: .

/SH

11,6 : . P PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS & 7 O 36,8 0,00 Pð :lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH < $G/ $UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

: . 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 0RQDWH E%H P 6 %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK x 10,0%HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 8,8 & 7H A $PSOLWXGH YRQ 7H P P 8 :HUW %3 .' LQFO :% 8

8QEHKHL]WHU .HOOHU : Pð.

$XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH EHU EHO IWHWHP +RKOUDXP K|FKVWHQV P XQWHU 2. (UGUHLFK

3 lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW3KDVHQYHUVFKLHEXQJ : . /ISH :lUPHGXUFKJDQJVNRHIIL]LHQW : Pð.

ZLUNVDPH 'LFNH +RKOUDXPGlPPXQJ G8J P ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 6,5 0RQDWH /lQJH GHU +HL]SHULRGH EE FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK P GQW $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH P %

ZLUNV 'LFNH 5DQGGlPPXQJ P +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW G

SH 70,6 *W N.K D 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ 8 : Pð.

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW //SH %HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK J %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK $UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

: P.

.RUUHNWXU 5DQGGlPPXQJ '< 8 :HUW +RKOUDXPZDQG / IWXQJ 8]; 2,70 : Pð.

P 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 8Z. 7LHIH .HOOHU :lUPHGXUFKJDQJVNRHIIL]LHQW : Pð.

8 x 0,147 0RQDWH %HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 8QEHKHL]WHU .HOOHU 8 .HOOHUZDQG XQWHULUGLVFK : Pð.

*HElXGHGDWHQ 8I E : .8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH VWDWLRQlUHU /HLWZHUW /6 VWDWLRQlUHU /HLWZHUW /6 : . %RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH ZLUNV 'LFNH 5DQGGlPPXQJ lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW : . /SH 467,2 P 0,00 G

)OlFKH %RGHQSODWWH +|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK Pð :lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH =XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU < $ K % O

Extraits du PHPP

: Pð.

: Pð.

8Z. 8+RKO

KK : Pð.

: . / E UHJ GW %

: Pð.

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /SH ]: %

UHODWLYH *UXQGZDVVHUWLHIH /UHJ /HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

: . P UHODWLYH *UXQGZDVVHUJHVFKZLQGLJNHLW O %

GW %

UHODWLYHU 'lPPVWDQGDUG .OLPDGDWHQ : Pð.

]: %

7L UHODWLYH *UXQGZDVVHUWLHIH 2,0 : P.

PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU : . UHODWLYH *UXQGZDVVHUJHVFKZLQGLJNHLW O %

2,0 0- Pñ.

PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU 7L P 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ E P .OLPDGDWHQ PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS 7H P : Pð.

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /SH : .PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 7L &E 7 $PSOLWXGH YRQ 7H P 20,0 H A P 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 0RQDWH /lQJH GHU +HL]SHULRGH lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /SH 25,0 Q PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU 7EL & : Pð.

* +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW : . / SH 11,6 PLWWO (UGREHUIOlFKHQWHPS 7H P & W : . 8,8 $PSOLWXGH YRQ 7H P 7H A & 8I 8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH : Pð.

3KDVHQYHUVFKLHEXQJ E 6,5 0RQDWH Q 36,8 Pð/lQJH GHU +HL]SHULRGH :lUPHEU FNHQ %3 .HOOHUGHFNH < O .OLPDGDWHQ P +HL]JUDGVWXQGHQ DX HQ lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW /SH % 70,6 *W 10,0 P PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU :LQWHU 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ 8 :HUW %3 .' LQFO :% 20,0 N.K D : . &E8I

7L : P.

P PLWWO ,QQHQWHPSHUDWXU 6RPPHU ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW 25,0 : Pð.

&/G 7IL 0,147 8 SHW : .8 :HUW %RGHQSODWWH .HOOHUGHFNH

ZERO - (nahe) - Null - Energie O - Wohnquartier )OLH JHVFKZLQGLJNHLW

N.K D

O %

7L 7EL SH 7/H P

$UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

=XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU P ZLUNVDPH 'LFNH GHV %RGHQV +|KH .HOOHUZDQG REHULUGLVFK PK GW %

$XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH EHU EHO IWHWHP +RKOUDXP K|FKVWHQV P XQWHU 2. (UGUHLFK

x %HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 8QEHKHL]WHU .HOOHU 0,20 KP /XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU 8 .HOOHUZDQG REHULUGLVFK 8: ZLUNVDPH 'LFNH +RKOUDXPGlPPXQJ QGJ 3KDVHQYHUVFKLHEXQJ E $UW GHU %RGHQSODWWH QXU HLQ )HOG DQNUHX]HQ

%RGHQSODWWH DXI (UGUHLFK 1296 $XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH .HOOHUYROXPHQ Pñ 8 :HUW .HOOHUERGHQ 8I. 9 8 :HUW +RKOUDXPERGHQ : Pð.

lX HUHU KDUPRQLVFKHU /HLWZHUW %HKHL]WHU .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 8QEHKHL]WHU .HOOHU

FKDUDNW %RGHQSODWWHQPD

0RQDWH

0,000 0,000

GW %

]: %

: Pð.

&

<3 VWDW O <3 KDUP O

UHODWLYHU 'lPPVWDQGDUG

: Pð.

P P

&

4,0 0,05

P G

2,0 : P.

P 2,0 0- Pñ.

&

K 8: H3 Y I:

/UHJ

&

8+RKO

/HLWZHUW HUGE %DXWHLOH RKQH (UGUHLFK

WP: Konstruktion und Technik (LJHQVFKDIWHQ GHV (UGUHLFKV Soil 8 :HUW %RGHQ SHULRGLVFKH (LQGULQJWLHIH

8I <% O 8I

GW

*W

P

ZERO - (nahe) - Null - Energie - Wohnquartier .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFKO :lUPHOHLWIlKLJNHLW ZLUNVDPH 'LFNH .HOOHUERGHQ GW :lUPHNDSD]LWlW UF

20,0 25,0 11,6 8,8 6,5 70,6

8QEHKHL]WHU .HOOHU

]

=XVlW]OLFK EHL XQEHKHL]WHP .HOOHU /XIWZHFKVHO LP XQEHK .HOOHU

7L 7L 7H P 7H A Q

$XIJHVWlQGHUWH %RGHQSODWWH

%HL 8QWHUNHOOHUXQJ EHKHL]WHP .HOOHU RGHU %RGHQSODWWH LP (UGUHLFK 7LHIH .HOOHU

Dans la phase 2 du projet, nous nous sommes donc concentrés sur la conception d’un immeuble passif. L’aspect technique était donc très poussé. L’architecture devait respecter les intentions du master plan et les caractéristiques établies au préalable. Chaque appartement possède un balcon au sud. Le cadre en bois joue le rôle de protection solaire et contre le vent. Mais aussi, c’est un bon moyen d’obtenir plus d’intimité. Il n’y a pas vues entre les balcons. Nous avons les avantages d’un véritable balcon, mais aussi l’intimité d’une loggia. Les façades reprennent un rythme commun. L’utilisation de seulement deux types de fenêtres Gruppe: 06 Abschlusspräsentation Delphine Charnacéet | Antoine | Carla Llaudó permet de réduire les coûts lesIungperditions de Windows chaleur. Nous avons choisi cette disposition de fenêtres pour éviter une façade trop stricte. Cela apporte un certain rythme. Wohnhausparticulière mit 17 WE - Zeile a été faite à l’isolation et à Une attention 54000 Pasive house Proof l’étanchéité à l’air.Nancy Celles-ci sont contrôlées et chaque France Multi.Family building F - Nancy pont thermique identifié. Les détails techniques au 1/20ème ont permis de mieux comprendre l’assemblage. Après avoir vérifié à l’aide du logiciel PHPP, notre immeuble respecte les normes de maisons passives. Gruppe: 06 Abschlusspräsentation

K

N:K PðD

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ZERO - (nahe) - Null - Energie - Wohnquartier

Gruppe: 06 Delphine Charnacé | Antoine Iung | Carla Llaudó

Abschlusspräsentation

WP: Konstruktion und Technik Type plan

A

B

C

D

E

F

G

Isolation :

36.00 2.75

1.50

1 1.50

3.48

1.50

2.75

1.50

1

1.50

5.50

1.5 0.73 1.5

3

1.50

1

1.50 1.37 0.48

1.27 1.50

Our building is isolated from the outside in walls and in roof. Concerning the basement, we took the decision to also isolated outside. In that way, we can avoid as much as we can thermic bridge. In the basement, some part are not isolated directly from the basement slab. Since it‘s a parking, we d‘ont need to heat it. So the isolation takes place in the upper slab between the parking ands the first floor.

Isolation

5.06

hot water collectors & central ventilation

3.60

14.00

receiving surfaces for solar pv Water collectors :

1.50

air tight

0.48

ventilation shafts

0.53

5.86 2.9

0.8 1.5

A

Longitudinal section 20.5

5.86 1.1 1.5 0.8

B

5.86 2.9

0.2

C

2.9

0.8 1.5

5.86 1.1

D

1.5 0.8

5.86 2.9

0.2

E

2.9

5.86

0.8 1.5 1.1

F

1.5 0.8

0.40 2.9

Ventilation shafts : They took place inside the technical core between kitchens and bathrooms. There are thicker than 40 cm.

Structural walls 0.40

Under the roof, we took the decision let place for technical machines. There, will be the hot water collectors. It‘s a really good place because of the pressure. We won‘t need any pump to distribute the water from hot collectors.

0.53

G

Transversal section 20.5

16.5

16.5

13.3

13.3

10.3

10.3

7.33

7.33

4.33

4.33

1.33

1.33

0

0

scale 1.200 3.


Energieeffizienten Lichtplanung

S2 Mise en lumière |

La mise en lumière d’un projet architectural

Explications du projet :

La planification et la mise en lumière traitent à mesure égale la lumière naturelle et la lumière artificielle. La lumière est une partie intégrante de l’architecture. Une bonne conception de l’éclairage traite de la perception des gens, des aspects économiques et environnementaux rencontrés ; elle supporte l’architecture. Cet enseignement inédit dans mon cursus m’a donné une introduction à la planification en lumière.

J’ai choisi de travailler sur mon projet de licence : une médiathèque à Essey-les-Nancy. Le projet est divisé en trois volumes. Les principales salles de la bibliothèque se développent sur le premier niveau à travers les trois volumes différents. Dans la partie est de la bibliothèque, il y a une grande salle de lecture. Cet espace a un fort potentiel de mis en lumière. C’est un espace orthogonal. Le concept général est d’avoir du mobilier qui se développe le long de la pièce. Cet élément aléatoire contredit l’aspect rigide du volume et se transforme en fonction des besoins. L’éclairage doit correspondre aux exigences d’une salle de bibliothèque. Mais le design doit également être cohérent avec le concept général de la pièce. Des lumières directes sont préférées pour les postes de lecture. Pour l’éclairage de plafond, une lumière indirecte est idéale. L’éclairage se développe selon trois couches : - Une première couche, incrustée dans le plafond en béton. Éléments de lumière en longueur disposés de façon aléatoire, mais toujours parallèles au volume. - L’autre, des néons le long du meuble et dans les petites niches. - Et un dernier, plus près de la place de la lecture. Il serait éclairage direct, l’éclairage serait parti du bureau.

Fonctionnement du cours : Le travail de semestre était de créer un concept d’éclairage artificiel pour un projet personnel antérieur dans les domaines du design, de l’urbain, ou de la construction. Il fallait donc mettre en lumière une partie d’un projet architectural. La géométrie de l’espace devait être simple pour ne pas trop compliquer la tâche. Il fallait se poser les bonnes questions afin de choisir un concept d’éclairage qui met en valeur notre projet tout étant fonctionnel, durable et économique. L’enseignement s’est réparti entre présentations pour enseigner les rudiments de la planification en lumière et des séances de correction. Nous avons également appris à utiliser le logiciel Relux qui est spécialisé dans la planification de mise en lumière.

1.

2.

3.

4.


LICHTPLANUNG

Reading Room in Multimedia Library

FINAL PROJECT Antoine IUNG 6024436

3

4

1

Plan 1:100 Plan sans ĂŠchelle

2

/1

Relux Demo, InteriorII Recessed luminaire

/2

Relux Demo, Street&Place Furniture mounted luminaire

/3

Waldmann, MACH LED PLUS Desk mounted luminaire

/4

Relux Demo, InteriorI Pendind structural neon


FINAL PROJECT

S2 Mise en lumière |

Energieeffizienten Lichtplanung

Antoine IUNG 6024436

1 4

2

Section 1:100

Coupe sans échelle

3


LICHTPLANUNG FINAL PROJECT Antoine IUNG 6024436

Light rendering perspective Perspective 3D de rendu via RELUX

Reading Room in Multimedia Library


S2 Théorie et recherche |

Q-Studies / Conspiracy or Truth

La rédaction d’un article scientifique Le choix de cours parait surprenant, mais les Q-studies sont des cours communs à toutes les sections de l’Université. Les thèmes abordés sont généralement étendus à d’autres domaines que l’architecture, l’urbanisme ou l’ingénierie civile. Une Q-Studies par semestre doit être présente dans la liste de cours des étudiants de la HCU. La participation au programme prépare l’étudiant à faire face aux contextes sociaux, politiques et économiques par le biais d’activités culturelles abordant des thèmes plus larges que l’architecture ou l’urbanisme. Ici le thème abordé était les conspirations. Les quatre objectifs d’apprentissage sont : / Compétences de réflexion: analyser et réfléchir sur un sujet scientifique / Compétence culturel : la communication interculturelle et transdisciplinaire / Compétence orale : capacité à présenter un exposé de 45 min en anglais / Compétence de rédaction : écrire un article scientifique suivant des normes précises Le but du séminaire était d’ouvrir un débat sur les conspirations tout en y apportant des réponses scientifiques suite aux recherches méthodiques de l’étudiant.

Fonctionnement du cours : Le but de semestre était donc de choisir une conspiration existante et d’y apporter des réponses claires. Le travail s’effectuait par groupe de 3 à 4 étudiants. Une première phase consistait en un exposé oral de 45 min sur le thème choisi. La présentation devait relater objectivement les faits ainsi que les conspirations qui en ont découlé. Chaque semaine, deux groupes présentaient leur théorie du complot et ouvraient ensuite sur un débat entre les étudiants. Une deuxième avait pour but la rédaction d’un essai scientifique en se prenant base sur l’exposé oral. Cet essai scientifique devait être rédigé selon la norme de rédaction APA. Avec mon groupe, nous avons choisi de travailler sur les conspirations autour du décès de John Fitzgerald Kennedy.



Une année d’un nouvel oeil

Cette année fut extrêmement enrichissante tant sur le point de vue universitaire que sur

le point de vue humain. Je n’ai pas vu venir la fin du 2e semestre qu’il fallait déjà rentrer en France. Effectuer cette année d’échange à la HafenCity Universität fut un bon choix selon moi. La diversité des cours que j’ai suivis m’a permis de découvrir de nouvelles choses, d’échanger de nouvelles idées, d’avoir de nouvelles connaissances que je n’aurai pu avoir en étant resté à Nancy. Des cours, tels qu’improDesign, >Pool Space< ou Lichtplannung entre autres, m’ont permis d’appréhender de nouvelles méthodes, de nouveaux enseignements, de travailler dans de nouvelles conditions. Les workshop ou les concours étaient très présents dans les programmes. Cela permet d’ancrer ses connaissances un peu plus dans le réel. La plupart des projets se faisant en partenariat avec des entités extérieures, j’avais le sentiment de créer pour une cause réelle. Cela permet également de faire face à des demandes concrètes, de devoir répondre au besoin d’un maître d’ouvrage qui fait appel aux étudiants pour avoir un point de vue nouveau. Une partie importante des travaux que j’ai réalisés s’est faite en groupe. Ce qui est enrichissant et pourra me préparer au travail en agence. Élaborer un projet de grande ampleur en langue étrangère et avec des étudiants n’ayant pas eu la même formation n’a pas toujours été facile. Il faut apprendre à imposer son point de vue tout en acceptant les propositions des autres. Il sera dorénavant plus aisé pour moi de travailler en groupe. Il en va de même pour les présentations orales. Je n’ai jamais effectué autant d’exposés de projet que cette année. Chaque correction se faisait devant les autres étudiants. Cela n’était pas facile au début, d’autant que la maitrise orale de la langue n’était pas là. Cet entrainement m’a été bénéfique

Conclusion

et il sera plus facile pour moi d’exposer mes projets. Les connaissances des

étudiants allemands en matière de rendu graphique étaient

impressionnantes. J’ai pu admirer un grand nombre de rendu de projet de licence et de master. Cela m’a permis de tester de nouvelles techniques et d’améliorer mes documents graphiques. Ainsi au travers de cette année universitaire, j’ai pu explorer une nouvelle culture architecturale, voir l’enseignement d’un nouvel œil. J’ai acquis de nouvelles méthodes de conception, de recherche, de présentation… Je vais pouvoir ajouter ses connaissances à celles acquises lors de mes années à Nancy et ainsi en profiter pour mes prochains travaux.



Antoine Iung ENSA Nancy | Septembre 2014


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