ART BMX SPECIAL PHOTO

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6 - edito a Alain massabova

L’artiste Le BMX est bien plus qu’un sport ou une simple passion. Le BMX est un mode d’expression, une manière de s’affirmer et de créer son univers. Un art. Comme la photo ou la vidéo, on se dépasse, on rêve, on s’exprime. On ride comme on shoote (et inversement). Une envie, une idée, un déclic et le tricks est dans la boîte. Un peu partout dans le monde, ce magazine aux allures de livre d’art montre le BMX en photo. La même passion devant ou derrière l’objectif. Si bien qu’on n’imagine plus le BMX sans vidéo. Le BMX se voit, se montre et en voici un aperçu. Nous avons réuni le meilleur des ART BMX web-magazines dans ce recueil avec des portfolios des 4 coins du monde montrant l’œuvre de ces artistes qui nous font voyager. Merci encore à ceux qui ont contribué à ce projet en donnant la bonne image au BMX.

shooting avec keelan philLips, cologne, allemagne

The artist The BMX is much more than a sport or a simple passion. The BMX is a way of expression, a way of asserting itself and creating its universe. An art. As the photo or the video, we surpass ourselves, we dream, we express ourselves. We ride as we shoot. A desire, an idea, a click and the tricks is in the box. Almost everywhere in the world, this magazine in the looks of book, shows the BMX in photo. The same passion in front of or behind the camera, everywhere in the world. So that we can’t imagine BMX without videos. We can see the BMX and show itself and in here is an overview. We took the best of ART BMX web-magazines in this book with a portfolios showing the work of the artists. Thank you again to those who contributed to this project by giving the good image to the BMX while making us travel.

cover : Viki Gomez en studio par Christian Vanhanja



8 - programme a manu sanz

12 16 19 30 32 36 42 51 57 62

shopping my bag / Syo van Vliet TEch / guide matos test / canon 7D Mark II photo / Ronny Engelmann / germany video / the bikelordz / ghana photo / Roman Neimann / estonia photo / Tyrone Bradley / south africa event / redbull dreamline / USA photo / SAIOH / Japan

john mini, bowl de montpellier, 2002

68 76 82 88 94 98 104 110 114 122

photo / Ernesto Borges / Venezuela photo / Carlos Fernandez / germany photo / Fernando Marmolejo / spain attitude / shoot viki / France face / michael beran / Czech Republic photo / Jason Halayko / Japan photo / Anton Evstefeev / russia photo / Florian Rusterholtz / France photo / Josh Mc Elwee / USA photo / Gabriel Higa / Argentina

124 130 136 142 148 154 160 166 170 176

photo / Craig Dutton / south africa test / fujifilm X20 video / jc pieri / France photo / Szymon Nieborak / UK photo / ruben vigil / spain photo / Brandon Squire / USA photo / Doud / France photo / Syo van Vliet / Holland photo / stephane nadin / France photo / best moment 2014 / world





12 - shoPping selection alain massabova

Deco Cheetah haro lineage

volume bermuda

Plywood Hoods mister bijoo colony

jungle rider Scorpio

DEMOLITION HUCKER TRIPOD

mankind autum abc mid WETHEPEOPLE UTOPIA MUTINY JEFF WESCOTT COMB

kool stop vans

Colony Wasp Rainbow united day tripod

max rider rock the street

motel works DELIGHT 16”

HARO master vintage 24”



14 - shoPping

rock the street x kekli

skullcandy knockout

bone Deth

profoto B1

Mefoto Roadtrip Travel blackberry passport

canon EOS 7D Mark II

soulra rukkus xl

xsories x-project go pro hero4 black adventure

fujifilm X-T1 Hasselblad H4X

supra x spectre estaban

Subrosa Venom

shadow conspiracy



16 - my bag

Syo van Vliet So first of all there’s my Nikon D600, upgraded this year from my loyal D300 to FX and chose the D600 for his smaller file size compared to the D800. Unfortunately the D4 was a bit over budget at the time. Mounted on the camera is the Nikon 16mm f/2.8 Fisheye lens, I’ve chosen to use only Nikkor lenses because of the high quality of the glass. Also shown are the 20mm f/2.8, 35mm f/2, 50mm f/1.4 and the 85mm f/1.8. From all my lenses I’m using my 50mm the most by far. Such a perfect reach and the perspective matches the eye perfectly so it gives a natural look to the pictures. If we move on you see the Godox Witstro 180WS flashes, small but powerful flashes with sperate heads and accu’s. A bit bigger than your normal speed light but you get some power in return. Plus you can mount different heads, from a little softbox/beautydish to open heads with or without color grids or a snoot. I’m firing them from the Godox trans-

mitter, this transmitter will let you fully control the power from your camera and save you the running to your flashes and just missing the action. For the rest are 2 big flash tripods shown and two smaller gorrilapods. These are so convenient when it comes to placing your flashes exactly where you want them. The little orange thing next to my laptop is my Xsories Weye-Feye, this gives your tablet or phone the full control over your camera and makes life a lot easier when it comes to long exposures, time lapses and self-portraits. Or you can use it with the Kong U-shot together with the small tripod to hold your phone to get really high up there for a different perspective. Whats left is my Macbook 15” including the Lacie harddrive, iPhone, lens pen, some business cards and of course last but not least my DJI Phantom II, Zenmuse 3D Gimble, including screen and GoPro 4 Black.

Alors avant tout il y a mon Nikon D600, qui a remplacé mon loyal D300 pour un plein format. Je l’ai préféré au D800 car les fichiers sont moins gros mais aussi parce que le D4 était hors de mon budget. En objectif j’ai un fisheye 16 mm Nikor, d’ailleurs tous mes objectifs ne sont que des Nikkor car ils ont une très bonne qualité optique. Je possède le 20 mm F2.8, le 35mm F2.0, un 50 mm F 1.4 et le 85mm F1.8. Mais l’objectif que j’utilise le plus est mon 50 car je trouve que c’est le compromis idéal car c’est très proche de la vision naturelle de l’homme, et ça donne un cachet très naturel aux images. Pour la lumière, j’ai choisis les Godox Wistro 180 ws, qui ont une tête et une alimentation séparée, ils sont compacts et légers, mais assez puissant quand même. C’est un peu plus gros qu’un flash cobra normal, mais c’est vraiment plus puissant et le fait de pouvoir changer les réflecteurs est un vrai plus. On peut monter une mini boite à lumière, une grille, un snoot ou des gélatines de couleur comme sur un mini flash de studio. Pour les déclencher j’utilise les télécommandes radio de la marque Godox qui permettent de faire tous les réglages du flash à distance depuis l’émetteur, ce qui m’évite de devoir courir partout pour faire mes réglages, et surtout me permet de ne pas rater les moments clés ! Je les monte soit sur des trépieds classiques, soit sur des petits Gorilla pod idéaux pour placer des flashs où l’on veut dans des endroits difficiles. Le petit boitier à coté de mon ordinateur est un X-Sories Weye-Feye, qui permet de contrôler l’appareil photo à distance grâce à une tablette ou à un PC. C’est très pratique lors des poses longues, des times lapse et des autoportraits. Il est aussi possible de l’utiliser avec un Kong u-Shot et un petit trépied qui tient votre téléphone pour aller chercher des angles originaux en hauteur. Ensuite il y a mon Macbook 15 pouces avec un disque dur LaCie, mon Iphone, des stylos, des cartes de visites… Et bien entendu pour finir mon drone Dji Phantom II avec une tête ZenMuze 3d sur lequel je monte une Go-pro Hero 4 black.




19 - tech a christian vanhanja

guide débutant Ça y est, c’est décidé vous-vous lancez, vous avez décidé de faire de la photo ! Vous avez toujours aimé ces images de pros dans les magazines et vous rêvez de les faire vous même. Les photos au téléphone c’est bien, mais au final, Instagram ça reste Instagram. Alors, par où commencer ? Par le matos bien sur. Les sirènes du marketing vous appellent, elles veulent vous vendre des appareils qui exposent, mesurent, compensent, bref décident à votre place. Vos potes vous ont rencardé sur des plans pas cher, mais voilà vous n’êtes pas sûr… Bref vous avez peur de faire une connerie. Pas de soucis on va vous expliquer tout ça en dix points et quatre listes de matos en fonction de votre budget. Règle N° 1 Même si vous croyez savoir, vous n’avez aucune idée du style de photo que vous ferez

dans un an une fois que la technique n’aura plus de secret pour vous, donc n’investissez pas jusqu’au dernier sous dès le début, le matos c’est comme les bagnoles, la règle du -50% de décote dès que vous avez franchis la porte du magasin... Règle N° 2 Si vous vous mettez à la photo sérieusement, ne sous-estimez pas le petit magasin a coté de chez vous. Si vous faites potes avec lui, et si vous lui amenez des clients, je suis sur qu’il vous fera des prix assez proche de ceux d’internet, et en cas de soucis, il vous arrangera bien mieux. Et surtout, plus tard, ce sera cette personne qui vous vendra du matos en 3 fois sans frais quand vous aurez un boulot à faire… Et que vous n’aurez pas la trésorerie pour acheter ce dont vous avez besoin, ou qui vous dépannera un samedi à 17h30 quand vous aurez besoin d’un petit accessoire à la con.

shooting pull-in, california


Règle N° 3 Comprendre la différence entre ce dont on a besoin et ce dont on a envie… On a tous rêvé d’avoir un accès illimité au camera porn ultime et de sac de matos avec tous les derniers gadgets : mais de quoi avez-vous besoin ? Règle N° 4 Faire plus avec moins. Etre bon photographe c’est avant tout arriver à faire les images que l’on veux, pas celle que l’on peut. Au début, trop de matos ne fera qu’une chose : vous dégouter du plaisir simple de comprendre ce que vous cherchez à faire et comment le faire le plus simplement possible. Les pros on beaucoup d’équipement pour faire face à toutes les situations, pas par plaisir. Règle N° 5 Le matos ne fait pas le photographe ! Vous avez pu vous payer du matos de pros, c’est bien, mais vous n’impressionnerez personne si vos clichés sont fade, et que manifestement vous ne savez pas vous en servir. Les pros (ceux qui nourrissent leur famille en faisant des photos) au mieux se foutent de ce que vous utilisez, et au pire se dirons “encore une quiche qui veux jouer au photographe“. L’originalité, c’est bien, quand on est capable d’en tirer partie. Faire des photos floues au HOLGA avec du film périmé développé en labo grand public ne fait pas de vous un artiste, mais juste un putain de hipster avec un Holga ! Et courir au milieux d’une aire de street avec un polaroid, en plus de faire chier tout le monde, ne fait pas de vous le mec branché que vous aimeriez être… Règle N° 6 Des objectifs à focale fixe au lieux des zooms, car pour le budget d’un zoom de mauvaise qualité vous pourrez vous acheter deux très bonnes focales fixes. Les zooms sont toujours moins bons qu’une focale fixe quelque soit leur prix. Les reporters utilisent des zooms car c’est pratique, les photographes utilisent des focales fixe dès qu’ils le peuvent.

Règle N° 7 Ne jamais, pour aucune raison, et sous aucun prétexte, acheter du matos de provenance douteuse. Vous serrez toujours perdant, voire, ça vous apportera des vrais emmerdes. Règle N° 8 Si vous comptez voyager, n’achetez pas votre matos de base par internet à Hong-Kong. La plus part du temps, il vous reviendra aussi cher voir plus une fois le port et la douane payés, et même si vous passez au travers des mailles du filet, vous n’aurez pas de garantie en France et à chaque voyage vous serrerez les fesses en passant à la douane. Règle N° 9 Certain on de l’argent, et peuvent se payer du matos neuf, laissez-les faire, vous achèterez ainsi du matos d’occase en très bon état... Il vaut toujours un boiter de la génération précédente mais de la gamme au dessus. Règle N° 10 Les deux grands et leur petits copains… Franchement aujourd’hui, la messe est dite, je pense que 90% des pros utilisent du matos Canon ou Nikon, et il y a une raison : ces deux marques dominent le marché. Et même si il y a toujours un super produit chez telle ou telle marque, si vous compter un jour en faire votre métier, je vous conseille de commencer avec une des deux marques. Budget 300 € -Un reflex numérique moyen de gamme 8-10 Mpixel d’il y a 4 ou 5 ans avec son zoom d’origine : un Canon eos 400D ou un Nikon D70 -Un 50 mm focale fixe autofocus à F1.8 -Un grand angle manuel en monture 42mm à vis avec un adaptateur Budget 600 € -Un reflex numérique expert d’il y a 3 à 4 ans avec son zoom d’origine : un Canon eos 40D ou un Nikon D300 -Un 50 mm focale fixe autofocus f1.8 -Un grand angle manuel en monture 42mm à vis avec un adaptateur -Un flash de la marque choisie pour avoir la ttl ou un Metz compatible Budget 1000 € -Un reflex numérique Pro d’il y a 3 à 4 ans avec son zoom d’origine : un Canon eos 5D ou 7D ou un Nikon D700 -Un 50 mm focale fixe autofocus F1.4. -Un grand angle manuel en monture 42mm à vis avec un adaptateur -Un flash de la marque choisie pour avoir la ttl ou un Metz compatible -Un zoom téléobjectif 75-300mm Budget illimité -Un full frame récent comme le Canon EOS 5D MKIII ou un Nikon D800 -Un ancien boitier pro argentique comme un eos 1N ou un Nikon FM2 -Un 50 mm focale fixe autofocus F1.4. -Un Fish-eye 15 mm ou 16 mm -Un 24mm ou un 28 mm -Un zoom 70-200 mm grande ouverture -Deux flashs de la marque retenue avec leur télécommande -Un déclencheur souple avec intervalvometre Pour finir, ce qu’il faut retenir, c’est qu’en achetant une marque vous entrez dans un système qui n’est compatible qu’avec lui même. Bien entendu il y a des super objectifs chez Leica ou chez Pentax. Sony fabrique des très bon reflex, et la Fiabilité des Hasselblad n’est pas à démontrer, mais aucune de ces marques n’offre un choix aussi vaste que Canon ou Nikon sur le marché du neuf comme de l’occasion. Et surtout il faut penser à la revente…

mark webb, montpellier


The first step in photography: the right tool for the right job Ok, this is it, you have decided to take pictures. You always have drooled on those bright amazing pictures in magazines, but now you have decided to make them! Instagram and Snapchat are cool, but you know you want the real deal ! So where to start from? By the beginning of course: buying gear. Marketing people are prone to get your cash, they are trying to sell you a camera that will take good picture, and such a camera do not exist You are the one who take a picture. Good friends give the worst advice, for a good reason, it is not their money, and after all they know as much about photography as you know about refinancing market: they don’t have a f*cking clue… don’t worry we are going to help you there with a simple 10 point and 4 list based on your budget. Rule N°1. Even if you think you know what type of photography you want to do, I can assure you that in one year from now you will have changed your mind once the technique will have no secret for you… So don’t go « all in », brand new camera are like brand new car, once you cross the door of the shop, they loos 50% of their value. Rule N°2. If you plan to get serious about photography, don’t underestimate the little shop around the corner. Being a good friend with him will and bringing business in will always helps to get rebate that will come very close to internet sale price and you will have a true support if you have an issue with your equipment... More important once you will start making money, he is going to be the one who is going to hand you 10 k of equipment making a 30 day debt only base on you card number, when you don’t have the finance to buy the right tool to do your next job. And last but not the least he is the one that will have that little proprietary cable that you have lost on Saturday afternoon at 6: 30 pm right before you catch you flight. Rule N°3. Understand the difference between what you actually needs and what you think you need. Every young photographer has dreamed of having a full bag of equipment with all the latest hot gear of the planet. Rule N°4. Do more with less! Being a good photographer is just about being able to make the image you have in your head, not the one you are able to do… At the beginning having too much equipment will only lead to one thing = get confused and spending too much time handling situation your not prepared to deal with. As a result you will get frustrated and either give up or buy more equipment and get even more frustrated at the beginning just go simple, and wait until you fully went around a camera to go bigger. Pro only have a lot of equipment for one reason : they know how to use it and it help them to face any situation they may encounter. Rule N°5. Equipment doesn’t make the photographer. You can have all the gear money can buy, if your pictures are weak and lame, you equipment is not what will make people think you are a great photographer, especially if you obviously don’t know how to use all these stuffs. More importantly Pro photographer don’t give a F*ck of what you are using at the best, or will just think to themselves: « yep another prick with ten grand of camera around the neck… There is nothing wrong with trying to be original with old-school gear or alternative process, but running all around the street course during a contest with a Polaroid, or shooting blurry pictures with a Holga doesn’t qualify you as an artist. Unless your pictures are really amazing you will just be a dumb hipster with a toy camera on the way of people trying to take good pictures. Rule N°6. Prime lens are usually cheaper, have a better image quality and are always brighter. For the price of a bad zoom you can buy two really good prime lenses. And no matter what amount of cash you will drop, zoom will never come close to prime in any way. Reporter uses zoom because it is more convenient and more versatile than a full set of prime, but real photographers will always choose a prime over a Zoom if they can.

Rule N°7. Never ever buy gear from suspect origin. You will always loose at the end and in some case it will get you in real trouble such as being busted at the airport custom. Why, because of the serial number of that lens you’ve bought from a friend of a friend and witch happened to be coming from a burglary where someone was shot… Rule N°8. Basically the same apply to any ultra discounted price from Hong-Kong… Most of the time, I twill be grey market with no warranty but custom duties in your country, and at the worst you have given your credit card number to people that have a totally different activity than selling camera: they are un but enlargement business, if you see what I mean… Rule N°9. Some have piles of cash and can afford brand new expensive gear… Remember what I told you about the price of brand new equipment when it cross the door of the shop? – 50%… Let them buy new toy and buy their stuff slightly used for half of the price. It is always better to buy used but higher range camera than entry line new equipment. Rule N°10. The two big ones and their little friends… now a day you can say what you want but 90% of the pros are using either Canon and Nikon. And there is a reason for that: they lead the market. Of course this brand or that brand might have a cool lens or a killer function on one of the model of it’s range, if you plan to go big in photography you better start with Nikon or Canon. Budget 300 € -A 4 or 5 years old entry level DSLR in the 8-10 Mpixel range with his kit zoom something like a Canon EOS 400D or a Nikon D70 -A 50 mm f 1.8 prime -A 42mm screw mount wide angle on an adapter Budget 600 € -A 3 to 4 years old expert DSLR with his kit zoom such as a Canon EOS 40D or a Nikon D300. -A 50 mm f 1.8 prime -A 42mm screw mount wide angle on an adapter. -A TTL flash from the brand of the camera or from Metz Budget 1000 € -A 3 a 4 years old, Pro dslr, a Canon EOS 5D or 7D ou un Nikon D700. -A50 mm primeF1.4. -A 42mm screw mount wide angle on an adapter. -A TTL flash from the brand of the camera or from Metz -A tele-zoom lens around 75-300mm No limit budget -A recent Full frame such as the Canon EOS 5D mkIII or a D800 -An old film pro camera such as an EOS 1n ou un nikon FM2 -A 50mm F1.4 prime -A 15 mm or 16 mm Fisheye lens -A 24mm or un 28 mm prime -A 70-200 mm F2.8 Zoom -Two flash with the remote -An intervalvometer To sum up, what is important to get is camera are part of a system so if you choose a brand you must be assured that you will find many accessories, lens and etc… Of course Leica or Pentax have killer lens, and Sony have very decent camera, but if you think about the system, they can’t compete with Canon and Nikon. And never forget that you will have to sell it to get new equipment…


22 - tech a christian vanhanja

the light En regardant l’étymologie du mot “photographie” tout est dit : Basé sur le préfixe grec “photos” (lumière, clarté) – qui découle ou utilise la lumière, et du suffixe grec “graphie” (peindre, dessiner, écrire) - qui écrit, qui conduit à une image. Ecrire avec de la lumière, la photographie c’est aussi simple que ça ! La plus part du temps quand on me demande des conseils sur la bonne façon de réaliser des images, que ce soit en photo ou en vidéo, je m’aperçois que très peu de gens ont une vraie compréhension de ce qu’est la lumière, et du rôle qu’elle joue en photographie. Si vous-vous contentez de Snap sur Instagram, vous vous en moquez sans doute pas mal, mais si votre but est de capturer un moment spécial avec toute son ambiance et une atmosphère, vous aurez besoin de comprendre le rôle que joue la lumière dans la création d’une image. En gros, pour faire une analogie : le langage texto c’est bien pour échanger rapidement avec des potes, mais si vous abordez la philosophie platonicienne ça va être juste… Pourquoi est-ce que je parle de Platon? Parce que ce philosophe grec, en fondant la première académie de philosophie, a fait inscrire sur son fronton “ nul n’entre ici qui ne soit géomètre”. Restez concentrés, je ne veux pas vous perdre. Pourquoi écrire ça à l’entrée de son académie? Parce que Platon avait compris que toute personne aillant des bases solides en mathématique et en géométrie, avait nécessairement la capacité intellectuelle et les bases de raisonnement propre à l’élaboration d’une pensé construite indispensable dans la philosophie de la Grèce antique. La mauvaise nouvelle pour vous c’est que si vous détestez les maths, ça va être dur car la photographie est à 100% basée sur de la physique et sur les mathématiques. Il est impossible de comprendre la lumière sans quelques vagues notions de physique élémentaire. Alors “la lumière” c’est quoi concrètement? La lumière c’est une forme d’énergie matérialisée par une onde électromagnétique radiante de forme sinusoïdale de longueur d’onde comprise entre 400 et 700 nm et qui se propage à la vitesse de 2999.292 Km/ sec. Cette onde peut se trouver modifiée ou altérée en se réfléchissant ou en traversant des objets. Tout ce que vous avez besoin de savoir c’est que la lumière est le point de départ de tout en photographie, car c’est ce qui rend les choses visibles. En fonction des support ou des matières que la lumière éclaire, elle va être soit réfléchie, soit diffusée, soit absorbée. C’est ce que l’on appelle les caractéristiques de réflexion d’un matériau. Si un matériau réfléchit la totalité du spectre lumineux il apparaitra comme blanc, si il diffuse la totalité du spectre il apparaitra gris et enfin si il absorbe la totalité du spectre d’onde, il apparaitra comme noir. Si le matériau réfléchit, diffuse, ou absorbe seulement une partie du spectre, vous obtiendrez une couleur. C’est parce que dans les longueur d’onde comprise entre 400 et 700 Nm vous avez toutes les couleurs de l’arc-en-ciel visible par l’œil humain. C’est pour cela que l’on utilise le terme de “spectre continu” ou “spectre complet”. C’est la description de la lumière solaire moyenne par un jour de beau temps. Et c’est pour cela que lorsqu’il pleut un jour de beau temps, vous pouvez voir la gamme de couleur complète dans les arcs-en-ciel. Très simple. Là ou ça se complique, c’est que les sources de lumière artificielles ne sont pas toute capable de produire une lumière à spectre continu et complet. Prenons une ampoule domestique à incandescence (ampoule avec un filament de tungstène incandescent). Ces

ampoules délivrent bien un spectre continu, mais par contre, elles émettent certaines longueurs d’onde plus fortes que d’autre. Elle produise plus de rayonnement jaune, orange et rouge et moins de rayons cyan, magenta et vert. Du coup si vous prenez une feuille de papier qui est blanche à la lumière du jour, vous aurez l’impression qu’elle est orangée quand vous la regardez éclairée par une ampoule tungstène. Pour corriger ce problème, il suffit de mettre un filtre optique sur la source de lumière ou sur votre objectif, qui va corriger précisément l’excédant de rayons rouges, oranges et jaunes pour les ramener au même niveau que les autres couleurs du spectre. Votre feuille de papier vous paraitra a nouveau blanche car en corrigeant votre source qui était excessivement jaune, vous avez à nouveau de la lumière du jours avec cette source corrigée. Et devinez quoi, ce filtre est bleu ! ça va tout le monde suit ? Bon concentrez vous car là ça se complique un peu plus. Certaines sources de lumière ne sont même pas capables de produire tout le spectre d’onde lumineuse. Le spectre qu’elles produisent est dit « spectre discontinu ». Il y aura un, ou des « trous », dans votre palette de couleur, car ces sources ne produisent aucun rayonnement sur les fréquences correspondantes à ces couleurs. Donc votre feuille de papier blanche va se comporter comme si elle absorbait cette partie du spectre, et par conséquent, elle prendra une teinte prononcée. J’entends déjà ceux qui ont suivit dire: «on mets un filtre comme pour le tungstène»! Et je leur répond : Non ! ça ne fonctionne pas, car on peut corriger un excès de rayonnement d’une ou plusieurs couleurs, en filtrant l’excèdent d’ondes, mais on ne peut pas facilement créer une gamme d’onde qui n’existe pas. A la rigueur ce serait possible sur une surface totalement blanche, mais tout n’est pas blanc, et toute autre couleur réagira accordement à ce filtre. C’est pour cela que les tubes néons de salle de bain qui n’émettent pas de magenta crée par conséquence une dominante verte qui nous donne l’air fatigué et malade. On peut mettre un filtre magenta pour compenser l’absence de magenta, mais vus que l’on va affecter toute la partie du spectre en lui appliquant du magenta, les autres couleurs vont s’en trouver plus ou moins affectées. Enfin il y a des sources de lumière qui ne produisent qu’une infime partie du spectre, et si vous avez suivi, une petite partie du spectre équivaut à une seul couleur. C’est exactement pourquoi un laser a toujours une couleur. Inutile de dire qu’avec ce type de source il est impossible de recréer un spectre complet. Vous venez de comprendre la température de couleur de la lumière. Si la lumière est plus riche en longueur d’ondes jaunes, orange ou rouge on parle de lumière « chaude » si la lumière est plus riche en longueur d’ondes cyan, vert et magenta on parle de lumière « froide ». La température de couleur de la lumière se mesure en degrés kelvin ou K°. Le truc débile avec cette mesure c’est que plus la température est élevée, plus on parle de lumière «froide», et plus la température est basse, plus on parle de lumière «chaude». C’est quoi ce bordel ??? Il va falloir vous y faire, car en photographie, il y a souvent des chose ou la logique est inversée. C’est stupide mais c’est comme ça… En gros la lumière « chaude » d’une ampoule tungstène c’est 3200 K°, la lumière du jour « équilibrée » c’est 5600K° et a 6500K° vous avez une lumière « froide » avec une dominante bleutée.


bo wade. california


Donc on vient de voir l’aspect « couleur » de la lumière, maintenant abordons le sujet du contraste. Le contraste est la séparation qu’il existe entre le point le plus lumineux d’une scène d’une part, et le plus sombre d’autre part. Plus vous avez de contraste dans une scène, plus la séparation entre le point blanc absolu, et le point noir absolu est grande. Moins vous avez de contraste dans une scène, moins il y a de différence entre les blancs et les noirs, tout étant compris dans une gamme de gris. Une scène très contrastée aura l’air plus forte et plus vibrante, alors qu’une scène à faible contraste aura l’air plus douce et plus subtile. Le contraste dépend d’une seul chose simple : la diffusion de la lumière. Si une scène ou une source lumineuse sont très diffusée dans toutes les directions, il y aura moins de contraste. A l’inverse une scène avec des matériaux très réfléchissants, éclairée par une source très ponctuelle, aura un rendu très contrasté avec des ombres et des hautes lumières très intenses. Ces deux facteurs que sont la couleur et la dureté de la lumière définissent sa qualité. Il nous reste donc à voir comment évaluer sa quantité. Et heureusement c’est assez simple à comprendre : pour prendre une photo il faut pouvoir déterminer avec précision la quantité de lumière qui illumine une scène. Il y a plein de méthodes différentes, et plus ou moins exactes, pour mesurer la quantité de lumière disponible sur une scène, mais en fait il y a seulement trois concepts simples à comprendre et qui en plus seront vraiment toujours juste. Tout d’abord, il n’existe pas de mesure absolue pour faire une bonne photo, il y a toujours d’autres facteurs à prendre en compte que la seul quantité de lumière. Plus vous serrez capable de déterminer les facteurs extérieurs qui rentre en ligne de compte dans l’illumination de la scène que vous chercher à photographier, plus vous pourrez exposer votre photo précisément. Ensuite il faut bien comprendre que tous ces facteurs extérieurs tomberons toujours dans une de ces trois catégorie : le temps, la quantité, et la sensibilité. Vous pouvez tracer un triangle avec une de ces valeurs à chaque coin, votre exposition juste est toujours à un seul endroit de ce triangle. C’est votre triangle d’exposition. La seule chose que vous pourrez faire avec les réglages de votre appareil, c’est de déplacer votre point d’exposition juste, à l’intérieur de ce triangle. Troisièmement, on ne peut pas mélanger trois valeurs qui on des système de mesures différentes ensembles. Ça n’est pas possible, sans créer une nouvelle mesure fictive qui regroupe les trois précédentes en respectant les caractéristiques de chacune. Il nous faut une unité de mesure virtuelle qui permet de se déplacer d’une valeur dans n’importe quelle direction de ce triangle d’exposition. Cette unité de base est appelée le « stop » en anglais ou « diaph » en français. A partir de ce moment, si vous comprenez dans quel mesure chacun des trois paramètres influe esthétiquement sur votre image, à exposition constante, vous êtes devenu libre d’exposer comme bon vous semble en vue d’obtenir tel ou tel résultat. Il n’y a pas d’exposition « juste », il n’y a que des expositions «bonnes» qui servent ce que vous voulez souligner dans l’image. Chacun de ces paramètres va déterminer combien de lumière est disponible ou nécessaire, et ils évolueront toujours les uns par rapport aux autres pour faire des choix esthétiques à exposition constante. Ce sera toujours une concession d’un paramètre vers un autre. Une exposition de 1/125s à 100 ISO avec une ouverture de F5.6 est strictement identique au niveau exposition que si vous régler votre boitier à 1/500s a 400 ISO à f5.6 ou encore 1/250s à 400 iso à F8.0. C’est toujours la même quantité de lumière qui rentre, c’est juste la façon de la faire rentrer qui change et ça a un impact sur l’esthétique de l’image.

Le temps : imaginez les portes d’un cinéma qui restent ouverte plus ou moins longtemps. Votre temps d’exposition correspond exactement au temps ou les portes du cinéma restent ouvertes ou fermées. En fonction de ce temps, vous allez pouvoir laisser se passer beaucoup ou peu d’événements. Si votre temps d’exposition est court, il ne se passera pas grand-chose, pendant ce temps-la et par conséquence, vous allez «geler» cet évènement. Et à l’opposé, si vous avez un temps d’ouverture très long, il va se passer beaucoup de chose pendant ce temps, et vu que vous n’avez qu’une seule photo, tout va se déplacer sur la même image et vous aurez un flou de bougé. C’est ce que l’on appelle la vitesse d’obturation ou le temps de pose. Il se mesure et s’exprime en seconde, ou en fraction de seconde. Une valeur pleine étant toujours 50% du temps de la valeur précédente. C’est pratique car ça correspond exactement à un «stop» ou a un «diaph» de notre mesure fictive du triangle d’exposition. La quantité : vous pouvez le voir comme la taille de la porte du cinéma. Plus elle est grande, plus elle laisse rentrer la lumière. Mais ce sera au dépend de la zone totale ou la mise au point de l’image sera nette. On appelle cette distance la profondeur de champ. C’est la séparation qui existe entre le point net le plus proche et le point net le plus lointain dans une image. Plus votre porte est grande, plus votre profondeur de champs diminue. C’est votre bague ou mollette de diaphragme. Cette bague est graduée avec une échelle de mesure bien spécifique, appelée « F-Stop » en anglais et « ouverture de diaphragme » en français. Cette échelle est basée sur la quantité de lumière qu’un objectif laisse passer au travers de ses lentilles. C’est un ratio entre la longueur focale et le diamètre de pupille d’entrée de l’optique. Une ouverture de F1.0 va laisser passer 100% des rayons lumineux, une ouverture de F1.4 va laisser passer 50% de la lumière, A F2.0 il ne reste plus que 25%, et a 2,8 ça tombe a 12,5% et ainsi de suite. Chaque valeur pleine, étant toujours exactement la moitié de la valeur précédente. C’est encore plus pratique car ça correspond aussi exactement à un « diaph » de notre mesure fictive du triangle d’exposition. La sensibilité : c’est le nombre de siège de votre cinéma. Si vous avez beaucoup de sièges, il vous faudra soit une grand porte, soit la laisser ouverte longtemps, à l’inverse si vous avez peu de sièges dans la salle, vous pouvez avoir une petite porte ou un temps d’ouverture de porte court. Plus votre capteur ou votre film est sensible moins vous avez besoin d’avoir de grandes ouvertures ou moins vous avez besoin d’exposer longtemps. C’est le réglage des ISO de votre appareil. Bien entendu comme toujours il faut faire des concessions, plus vous montez la sensibilité, plus il devient difficile de bien identifier les subtile nuance de luminosité qu’une scène faiblement éclairée reçoit, et plus le capteur ou le film va enregistrer de manière grossière, ce qui se matérialise par l’apparition de «grain» ou de «bruit». En gros c’est comme essayer d’avoir une conversation avec un pote dans un concert, plus le groupe joue fort, plus vous avez du mal à différencier ses paroles du son de la salle. Ce qui nous amène à la conclusion. Pour exposer correctement une photo, vous devez être capable de décider ce que vous voulez garder et ce que vous êtes prêt à sacrifier. C’est pour ça que choisir le bon moment de la journée et le bon endroit pour la lumière est toujours le point de départ d’une photo. La seule façon de contourner le problème est de créer sa propre lumière. La lumière idéale est comme l’appareil photo idéal, ça n’existe pas. Les appareils photos sont : pas chers, simple, très performants, adapté à vos besoin. Vous ne pourrez jamais avoir que deux des quatre paramètres à la fois. Pour la lumière que vous créez c’est la même chose.


Leo landeros, FISE montpellier 2014


THE LIGHT If you look at the etymology of the word photography, it say it all, : based on ancient Greek « photo » (photo: light, clarity) - wich proceed from light, or use light ; and “graphy” (graphein : to paint, draw, write) - who write, who lead to an image. Write with the light ! It is that simple my friend. Most of the time when someone ask me something about photography or filming, I realize that a very few people actually gets what is technically involved with the light. If you are doing snaps for Instagram, you may not care a lot, but if you are trying to express something very special, then you may want to understand what is going on the creation of the image. Basically you can have a lot of fun texting to your friend with mobile text abbreviation, but it is very unlikely for you to debate about Plato’s philosophy with text message. It is simply not meant to do that. Why am I talking about an old crazy Greek philosopher? Because when he created the first philosopher academy, he also wrote on the arch of the door : “ let no one unversed in geometry enter here”. Stay with me my friend we are getting there… Why does Plato wrote that on his door? Because he figured out that anyone with a comprehensive knowledge of mathematics, was indeed able to have a constructive thinking very useful in philosophy. Bad news if you don’t like math, because photography being a by-product of physics, you cant understand light without a minimal notion of mathematics and physics. What is light? Light is a form of energy materialized by an electromagnetic waveform radiation from about 400 to 700 nm propagated at 186,282 mi./sec. (2999.292 Km/sec). Interestingly enough, this waveform get changed or affected when it hits the surface of an item, or pass trough it. This is the only thing you will ever have to know and understand about light : It is the starting point of everything in photography because it is what make the things visible. Depending on witch surface the ray of light hits, they will be reflected, diffused or absorbed. This is the reflective characteristic of a material. If the material reflects, the whole spectrum of the 400 to 700 nm wavelength, the object will appear white. If it diffuse the whole spectrum it will appear grey, and if it absorb the whole spectrum it will appear black. If it only reflect a part of the spectrum and absorbs the rest, you get a color. That is because all the colors are included in that light waveform from 400 to 700 nm. Therefore it is called “ full spectrum” or “ continuous spectrum “. This is what you get with the direct light of the sun in mid-day, and also why when it rains on a sunny day, you can have a rainbow with all the shade of existing colors. Very simple. Where it gets a little trickier, it is when the object is lightened by a different light source that is incapable of producing the full spectrum. Lets say you use a regular house hold light bulb with an incandescent tungsten filament. This bulb still produces a full spectrum, but it produces some stronger and weaker part of this full spectrum. It produces more yellow, orange and reds than blue, green, and magenta. Therefore if you put a pièce of paper that look white in daylight, it will now looks yellowish under this tungsten light. If you put an optical filter on your lens, (or on your light) that is going to dim that exact part of the waveform that is normally stronger of the exact amount needed, you will still have a full spectrum and all the level of the wavelength will now be the same! You are back to daylight and you have compensated that overly strong yellow, orange and red. And guess what that filter looks… Blue !!!! Now stay with me, we’re getting technical here… Some sources of light are not even capable of producing the full spectrum of colors. They will produce a certain range of the spectrum but will be totally missing one part of the spectrum. So your white sheet of paper will now looks like if it was totally absorbing that particular part of the spectrum and will have a strong color cast. Now I can hear you saying, “lets put a filter to compensate for this like we did with the tungsten source” in theory you are right. But actually it can’t be done that way for two reason. First one : it would only work for whites and not everything is white. Any other color on the object would react to that filter. The second is because you simply cannot produce the missing part of the spectrum with a filter. You can only change the amount

of some parts by filtering them. You are not creating anything; you are just trimming an excess of something. This is exactly what you get with a bathroom fluorescent tube that is incapable of producing any magenta. You have a bad green cast that makes you look sick and depressed in the mirror. You can still put a magenta filter to simulate that missing magenta, but it will also affect the others part of the spectrum. And therefor you will get something close to daylight but it wont be exactly the same, and some colors will react funky. This is what color temperature is about. When it looks more red-orange-yellow it is usually a warm color temperature and when it is more blue-ish it is considered as a “cold “ color temperature. The temperature of color is measured in degree Kelvin or K°. The stupid part of this measurement is : the higher it gets the more the light is “cold” ( or blue) and the lower it gets the more it is “warm” (or yellow). A 3200K° light is warm, daylight is 5600K° and is neutral, and 6500K° is cold. WTF… right? You will have to go with this as photography is all about doing the things the wrong way around what make sens. So basically this as about the color aspect of the light, now lets talk about contrast. Contrast can be defined as the separation you have between the brightest and darkest zone of a scene. The more contrast you have in a scene, the more you get separation between dark and bright, making shadows darker and highlights brighter. The less contrast you have in a scene the less the shadows are dark and the more the highlights are greys to make them closer to one another. The more contrast you have in a scene, the more «harder» and more “vibrant” it will look, while low contrast scene is likely to make an image look duller. Contrast is function of one and only one easy thing : diffusion. If a scene or a light source gets very diffused in every direction, you will get a less contrast than average. If you have a scene with very strong reflecting material, and a very focused light, you will get a very contrasted picture with very harsh shadows and highlights. All of this was the definition of the quality of the available lightly. You now have to deal with the quantity of light. This is very easy to understand. You have to know the amount of light hitting a scene to take a picture. There is different way to measure this light quantity and how it affects the picture. Those methods are more or less trues, but there are only three very basic concepts you need to understand that are actually accurate. First, the total amount of light means nothing in photography. It is always relative to other things. The more accurately you are able to understand how all those surrounding factor affects the original amount of light, the more precisely you can expose your photo. Second, all those factors come back to three main categories: time, amount, and sensibility. You can now draw a triangle with those three parameters; it will be your triangle of exposition. All you are going to do when you set your camera is place a point somewhere on this triangle. The only fact you have to understand is : that point can only be at one place of the triangle at the time for a given light situation. Third, as you are mixing three different parameters, each with their own type of measurement, it is just impossible to mix them unless you create a new measurement unit dedicated to how you move your point on the triangle of exposition. This fictive unit is called a “stop”. When you are able to understand how each of the three parameter affect the quality and aesthetics leading to the result of how a picture represent a scene. But no matter what the perfect exposition doesn’t exist, it is just a matter of how you want to represent the scene. Any of the parameter will determine how much light is needed and move according to each other to obtain the same final amount of light on the picture. It will always be a trade in of one value for another. A exposure of 1/125s with a 100 ISO camera set at F5,6 is the same amount of light as a 1/500s with a 400 ISO camera set at F5,6 or 1/250 at 400 ISO with F8. It is the same amount of light but not the same look on the picture.


PAT CASEY

Time : You can see it as a gate of a movie theater that stays open for a long or a short time. The capture time will play on your ability to capture a longest or a shortest lapse of action happening. if you use a short time of exposure you will have captured a very tiny bit of time where not a lot of things had the time to happen, and therefore you will “freeze” the action. On the other side, f you have a very long exposure time, a lot of thing are going to happen during that time and will be travelling across the image creating motion blur. This is your exposure “speed” and it will always be expressed in second or fraction of second. Amount : you can see it as the gate size. The bigger the gate is, the more light can come trough it. But at the cost of the amount of distance that will be in focus in you picture that is called “depth of field.” The bigger the gate is, the more shallow is the depth of fied. This is your aperture ring. It is graduated in specific unit called “F-stop”, based on how much light it will let go trough the lens. It is a ratio to ratio of the lens’s focal length to the diameter of the entrance pupil a F 1.0 aperture will let 100% of the light go trough the lens to the film or sensor a F1.4 aperture will let 50% of the light enter, at F2.0 you will only get 25%, at 2.8 you will get 12.5% and so on... Each value let enter half the light that the one right before. And it is exactly equal to one “F-stop”.

Sensitivity : this is the occupancy of your movie theater. If you have a large room you will need either a large gate or a long amount of time to fill it up. The more sensitive your sensor or film is, the less time or large aperture you need. It is the “Iso” setting on your camera. But it also comes with a trade. The more sensitive the surface is, the more the image detail and definition will be altered with aberration and errors called “noise’ on a digital camera and ‘grain’ on a film camera. Basically when the surface is more sensitive it is more prone to misinterpret the reading of the amount of ultra dimmed light it has received. It is like trying to hear some one speaking clearly at a concert. The loudest the band plays, the harder it is to understand what your friend is saying. Now you understand there is no miracle: to expose a photo you need to be able to decide what you are ready to give up and what you really want to keep. There fore the importance of choosing the right moment of the day and the right place is the starting point to any photo. The only way to go around that, is to create your own light. Perfect light is like the dream camera, it doesn’t exist: Camera are either: affordable, simple, high performance, adapted to your job. Pick any two of four. Same for the light you create.


28 - tech a christian vanhanja

les objectifs Il y a des milliers d’objectifs qui existent, mais ils ne sont pas tous égaux. Comprendre leur fonctionnement de base et savoir identifier leurs caractéristiques vous permet de faire des choix quand au rendu de vos photos. Et même si les logiciels de retouche permettent de plus en plus d’effets et d’imitation, être photographe c’est être capable de réaliser une image à la prise de vue, et pas de trafiquer avec un logiciel pour récréer ce qui n’existe pas.

- Téléobjectif : ce sont toutes les focales plus longues que le 58 mm. - Tilt-shift : ce sont des objectifs destinés à la prise de vue architecturale et qui offrent la possibilité de faire basculer et décentrer leur plan optique afin de corriger les perspectives et le plan de netté. -Macro : Objectif qui permet de faire la mise au point très près du sujet pour en faire des très gros plans.

Il y a sept grandes familles d’objectifs : - Fish eye : c’est un hyper grand angle hypergone dont le champ est de 180°. Il peut être diagonal et dans ce cas, il couvre toute l’image, ou circulaire et dans ce cas il forme un cercle au centre d’une image noire. - Très grand-angle : un objectif d’une focale comprise entre 8 à 20 mm. - Grand-angle : un objectif d’une focale comprise entre 21 et 40 mm. - Objectif standard : c’est la focale comprise entre 40 et 55 mm qui correspond à un angle moyen proche de la vision humaine.

Alors bien entendu, ceci n’est valable que pour un seul format d’image, le 24x36 mm ou Full Frame. Si vous utilisez un capteur ou une pellicule plus petite, ou à contrario plus grande, tout change, c’est pour cela que les fabricants ont trouvé l’astuce des équivalences. Ainsi même avec un capteur plus petit, ils vous disent que c’est une équivalence de X mm ou que les reflex APSC ou super 35 qui ont des capteurs plus petits «qui recadrent de 1,X fois». Ce qu’il faut retenir, c’est qu’un 50 mm est un petit téléobjectif sur un petit capteur, un objectif standard en 24x36, un grand angle sur un moyen format 6X6 et un super grand angle quand on le monte sur une chambre grand format.

Jean François Boulianne, paris


CHRIS HUGES

There are probably a thousand of different lens money can buy, but they are not all equal. Understanding their difference of nature and functionality is a crucial starting point of photography because they are the tool that will give the look and aspect you want to give to your pictures. Of course you can fix a lot of thing in photoshop, but being a photographer is all about your ability to shoot the image you have in your head, not about how good you are at recreating things that doesn’t exist in your pictures on a computer… Basically you can break down lens in seven big family : -Fish-eye : this is a Hypergonal lens with a field of view of 180°, it could be diagonal and then you will have a image all over the frame or circular, and then the field of view will be in a circle inside of a black frame. - The ultra wide angle : from 8mm to 20 mm. - The wide angle : from 21 to 40mm - Standard lens : usually from 40 to 58 mm, they are the closest medium angle thing to human vision.

BIG DADDY at the XAVIER MENDEZ RAMp

- Tele-lens : everything above 58mm is a tele. - Tilt an shift lens : those are special kind of lens used in architecture photography to tilt and shift the focal plane in order to compensate perspective distortion of the field of view and of the focal plane. - Macro : Lens that offer a very close focusing distance to be able to do very big close-up. Of course this is only true with 24x36 mm format, also called full frame. If your film or sensor is smaller or bigger, it is totally different. That is why the manufacturer has come up with the trick “equivalence” of “X”mm… There fore no matter what is the size of your sensor or film, they will tell you the 24x36mm equivalence of your lens rather than it’s true focal length. What ever , the only rule of thumb you got to get is that the “same 50mm focal length “is a short tele lens on a APSC/Super 35, a standard on a 24x36mm, a Wide angle on a 6x6 cm medium format, and a super wide angle on a 4x5” View camera.


30 - test a christian vanhanja

canon 7D mark II Le nouveau standard Vu mes relations avec Canon, on pourrait penser que je ne suis pas impartial. Cependant, pour ce test, c’est un peu différent, car même si j’avais apprécié le 7D et le 40d comme boîtier de dépannage, l’arrivée des Full frame performants que sont le 5D mkIII et du 1Dc avait radicalement changer ma façon de travailler. Je retrouvais tout ce qui me manquait sur les diapos 35mm en Velvia 10 ans auparavant, mais en numérique. Le retour au plein format 24x36 a été un vrai soulagement pour moi, et le bond en qualité était tel que je me suis alors juré de ne plus jamais revenir sur un capteur plus petit. Comme tout le monde je suivais de loin les rumeurs sur le remplaçant du 7D, en me disant : ce n’est pas pour moi. Alors quand on m’a proposé de le tester pendant quelques heures en avant première, j’étais curieux, mais convaincu que cela ne changerait rien pour moi. Eh bien j’avais tort… Le modèle que j’ai essayé est un prototype de test proche à 98% de la version client finale. Prise en main : rien à signaler, c’est la même ergonomie que le 5D mark III avec un flash intégré et avec un petit commutateur autour du joystick qui permet de changer de mode de séléction AF beaucoup plus rapidement qu’avant. Le boîtier est mieux fini que son prédécesseur, il fait sérieux et robuste comme le 5D mark III. Le viseur est clair et lumineux, tout à fait digne d’un boîtier pro. Performance: je n’ai eu le boîtier que quelques heures et la météo déplorable nous a forcé à nous retrancher dans un sous-sol éclairé au néon… Et faire un studio de pauvre avec des flashs. Pas les conditions idéales pour tester un boîtier. La première chose à

le bon vieux cyclone par Alain M.

noter est que son système autofocus dérivé des 1Dc et 1Dx est vraiment performant. Une fois que l’on a maitrisé le réglage, le boîtier fait le point de manière sûre et rapide, sans erreur. Mais là où j’ai été le plus bluffé, c’est par ses capacités de suivi en basse lumière et en contre jour… Le boîtier n’hésite pas, il fait le point et déclenche comme si de rien n’était. Je me suis même surpris à me dire qu’il avait perdu le point sur certaine séquence mais en vérifiant les images, tout est net. Cela ne me change pas trop du 1Dc mais je n’avais jamais vu ce niveau de performance dans un boîtier à ce prix. Concernant la qualité d’image, il y a un net progrès et on peut totalement utiliser les réglages à 3200 iso. On est presque au niveau du 1Dc ou du 5D markIII, c’est tout à fait convaincant! Et le fait de pouvoir shooter à 10 images par seconde est un vrai plus. En conclusion est-ce le digne successeur du 7D? La réponse est non et tant mieux! Le 7D m’avais laissé le sentiment désagréable d’un «boîtier pro pour ceux qui ne peuvent pas se payer un 1D». Il était performant mais laissait une sensation de «oui c’est normal que ça ne soit pas aussi bien qu’un boîtier pro pour le prix» qui était frustrante. C’était un très bon boîtier de reportage rapide mais il était indispensable d’avoir un 5D à ses côtés pour les photos importantes. Là je pense que ce boîtier peut être le boîtier principal d’un pro ou venir compléter un 5D MKIII sans avoir l’impression d’avoir un boîtier amateur bridé. Les performances sont réellement bluffantes et surpassent clairement celles d’un 1D MKIV à tous points de vue. Je pense que pour le prix, il va très vite venir épauler les 1Dx, les 6D ou autres 5D MKIII dans le sac de beaucoup de pros…


Camera porn : Exclusive preview Based on my strong link with Canon, how could I be impartial on the test of one of their camera? But for this one it is a bit different, I had a 40D and 7D for a while as a backup, and I loved it, but back then when I had the opportunity to switch on a full frame, it was such a relief for me. I was back where I left my 35mm Velvia slide 10 years ago, but in digital. The return of the full 24x36 mm frame has been such a relief for me. The gap in quality was just insane, and at this time I promise myself to never buy a small sensor camera again. Of course I was following the hype of rumor about what a 7D mark II should be, but being convinced that it would not be for me no matter what. So when Canon kindly offers us to test a pre-series camera for a couple of hour, and this before anyone, I couldn’t resist to proceed… Even if I thought had no interest in such a camera as I already have a 5DmkIII and a 1Dc… But I was wrong… Handling : This thing is basically a small 5DmkIII with a pop up flash, and a new switch around the joystick for a fast AF selection zone change. The build is on par With a 5D MKIII , I mean it is way better than the original 7D. The visor is wide and clear, like any pro camera out there. Performances : I only had the camera for a couple of hour and the weather happened to be horrible, so basically we had to do a poor man studio lightened with strobe in my basement lightened with fluo tubes. Far from the ideal setup to test a camera… First thing to note, the AF system inherited of the 1Dx and 5dMKIII is just mind blowing… A long as you set up the camera properly, it will track the focus fast and accurately with basically no slow down or hesitation. But what has impressed me the most is the ability of the camera to pull the focus even in the darkest conditions or in high key situations like if it was nothing particular… When I was shooting it was so fast that I was anticipating some focus lost in the sequence, but after checking the pictures on the computer nearly anything was in focus! This is what I am used to have on the 1Dc but definitively not what I was expecting from a camera of this range of price. Image quality wise, there is a huge improvement, it is now totally possible to use the 3200 iso setting. It is almost on par with the 1Dc or the 5DIII, totally convincing to me ! And remember this camera can shoot 10 frame per second and this is a real bonus. At the end is this camera the good successor of the loved 7D ? the answer is NO, and we should be happy because it is actually way better ! The 7D was a dam good camera for the price, but was definitively letting you with this awkward “not a true pro camera “ feeling… It was like canon wanted you to know that you were not laying enough cash on the table… I mean it was a really good camera journalist, fast and convenient, but you would still be drooling at the 5D MKIII or at the 1Dx for big jobs... Here you have truly professional camera with all the bells and whistle that would make him fit perfectly in any pro bag next to a 1Dx or a 5d mkIII without having the taste of using a “prosumer” retarded camera… The performances are really top notch, and far better that a 1D MK IV in every aspect. I have no doubt that it is going to be in many, many, pro’s bag very soon.


32 - photo - germany

Ronny Engelmann

Ich mit dir sind wir

Rollentausch


Three of a kind (autoportrait)


gloomy silence

fear

deep freedom


Mon nom est Ronny Engelmann, 24 ans, je vis à Kassel en Allemagne. Je suis tombé amoureux de la photographie en mars 2012 quand j’ai acheté mon premier DSLR. Je ride en BMX flat depuis 8 ans maintenant et en hiver 2011, je me suis blessé la cheville et je n’ai pu ridé autant que j’aurais aimé le faire. Je pense que c’est aussi une des raisons pour laquelle prendre des photos est plus qu’un simple hobby. Pour le moment, j’utilise un Canon 5D mk III, un 50mm 1.4 et un objectif 70200mm f2.8. Quand j’aurais plus d’argent, j’aurais aussi un grand angle à bascule et décentrenment. La plupart du temps, je shoote avec la lumère naturelle. C’est génial de savoir qu’on peut extraire toutes les choses ou les images qu’on a dans la tête. (Malheureusement) Je suis nul en dessin et du coup en photo, j’ai trouvé une façon de m’exprimer. Ça prend beaucoup de temps et d’heures de pratique d’apprendre de nouvelles techniques mais ça en vaut vraiment le coup. C’est comme en BMX! Quand tu as réussi ta photo c’est comme quand tu rentres un gros tricks et que tu l’as immortalisé en vidéo. On connait tous ce sentiment. C’est presque une honte mais j’ai fait ma première série avec du BMX un an après avoir commencé mais il y en aura beaucoup plus la prochaine fois. On oublie jamais nos racines ! J’aime le travail conceptuel. Je ne fais pas 20 photos de la même personne sous différents angles mais une oeuvre unique où je peux placer mes idées, mes envies et montrer la passion de la personne que je prends en photo. J’ai des projets d’œuvres conceptuelles avec du flatland et du street pour les mois à venir. Mon but est de créer des séries de photos vraiment uniques et pas qu’intéressantes pour les gens qui connaissent ce sport. Pas seulement un rider et un trick dans un spot cool. Il y doit y avoir quelque chose de spécial. dez

My Name is Ronny Engelmann, 24 years old and I live in Kassel, Germany. I was fallen in love with photography since March 2012, when I bought my first DSLR. I ride BMX flatland for over 8 years now and in Winter 2011 I got an injury in my ankle and I couldn’t ride as often as I loved to. I think this also is a reason why I took photography a bit more serious than my other hobbies. At the moment I use a Canon 5D mk III, a 50mm 1.4 and a70-200mm f2.8 lens. When there is more money, I will get a tilt-shift wide angle lens, too. I normally always shoot with available light. The feeling that you can extract ALL things/ pictures out of you head is awesome. (Unfortunately) I’m a really bad drawer and with photography I totally found the right way. It may takes a lot of time and practice because you have to learn many techniques (especially for digital manipulations) but it’s worth all the time. It’s the same like in BMX! And when you have done a concept photo it´s like you landed a big combo on a bike and caught it on video. We all know this feeling. It´s nearly a shame that my first BMX series comes out over a year later after I started, but there will come way more in the next time. We never forget our roots ! I love to do conceptual work. Not 20 photos of the same person in different angles, but a single fine-art work in which I can put in my ideas, fantasy and combine the person with her/his passion. There are plans for conceptual works with flatland and street as well for the next months. My goal is to create really unique sport series which aren´t only interesting for people in this kind of sport. Not just a rider and a trick on a cool spot. There has to be something special. Aleksi


Bikelordz est un documentaire qui parle de culture du vélo créée par de jeunes autodidactes d’Accra qui transmettent leur savoir aux générations suivantes. Il suit ces équipes de jeunes gourous du vélo qui essaient de gagner de l’argent et de la reconnaissance grâce à leurs compétences. Bikelordz is a documentary bout the self-taught, self-invented bicycle culture which young people in Accra have created and passed on to their younger contemporaries over time. It follows crews of these young bicycle gurus as they try and use their skills to make money, gain recognition, and live on their own terms.


36 - video - ghana a Tobias Arturi

the bikelordz



Le BMX à Accra n’est pas simplement un dérivé de la culture occidentale du vélo, basée sur le flatland des années 80 (oldschool). Il a aussi développé son propre style, des tas de nouvelles figures avec des nouveau noms et une connection intrinsèque à la communauté de riders qui ont créé celles-ci. Bikelordz est un documentaire indépendant sur la petite mais passionnante scène de Flat à Accra au Ghana (Afrique). Le film suit de jeunes riders dans leur progression, leur entrainement, leur performance mais aussi dans la fête. A travers leurs exploits, une histoire familière se déroule: ils luttent pour vivre leur propre vie et triomphent doucement mais sûrement. Bikelordz est un court-métrage dirigé et filmé par Tobias Arturi et produit par Mikey Hart (Brooklyn musician Ex Reyes) quand ils vivaient à Accra en 20067. La première projection se déroula au Bicycle Film Festival, avec de bonnes retombées de Hong Kong à San Francisco, ce qui inspira aux réalisateurs leur retour au Ghana avec plus d’équipements, un budget serré et quelques collaborateurs: Sam Feather-Garner, un artiste de la Nouvelle Orléans, Charlie Ferguson de Zongo Junction, un musicien de Brooklyn et Quincy Cardinale, un photographe de San Francisco. Depuis que les riders sont sur le devant de la scène, les réalisateurs ont pu aller dans des endroits où aucuns touristes et même de nombreux locaux ne se rendent jamais comme les soundsystems et les fêtes funèbres. Le film aura une bande originale interprétée par des artistes américains et ghanéens mais aussi des musiques déjà connues. Après des heures et des heures de tournage, le film est attendu pour fin 2014.


BMX in Accra is in no way simply an offshoot of western bike culture - while based in the flatland principles of the late 1980’s, it has also developed a style into itself, a canon of moves and tricks with new names, new flair and an intrinsic connection to the community of riders who created them.

Bikelordz is an upcoming independent feature documentary about a small but passionate flatland BMX scene in Accra, Ghana. The film follows young riders as they hustle, train, perform, and party. Through their exploits, a familiar story unfolds: they struggle to live life on their own terms and the triumphs along the way are small but sweet. Bikelordz first entered the world as a short film, edited by director / cinematographer Tobias Arturi from handheld camera footage shot by producer / director Mikey Hart (Brooklyn musician Ex Reyes) while living in Accra in 2006-7. The short premiered in the Bicycle Film Festival, resonating with audiences from Hong Kong to San Francisco, and inspired the filmmakers to go back to Ghana with proper equipment, a shoestring budget, and some collaborators: NOLA artist Sam Feather-Garner, BK musician Charlie Ferguson of Zongo Junction, and SF photographer Quincy Cardinale. With riders showing them around, the filmmakers were able to go places no tourists and many locals would never go--from soundsystem parties to funeral parties. The film will feature a soundtrack of original music by a variety of American and Ghanaian artists as well as some highlife favorites. Culling from hundreds of hours of footage, the feature film is in post-production, and is expected to be complete for 2014.



42 - photo - estonia

Roman Neimann




Jusqu’à l’âge de 25 ans, je ne savais pas quoi faire de ma vie. Je travaillais simplement selon le système d’éducation en me demandant qui j’étais et ce que je voulais devenir. A l’époque, je faisais du snowboard et grâce ce lifestyle, je consultais beaucoup de magazines. Je regardais surtout les photos parce que lire demandait beaucoup plus d’effort. Puis, petit à petit, je me suis mis à la photo, du ski et du snow l’hiver, du vélo et du skate l’été. Pas longtemps après, j’ai commencé à filmer pour des pubs, des clip vidéos et des court-métrages. Je suis dans le business depuis 11 ans maintenant et j’aime toujours les deux: la photo et la vidéo. Mais pour être honnête, je préfère les plans fixes de la photo parce que ces projets ont une dimension plus intime, nécessitent moins de moyens et ça me permet de plus communiquer avec les riders. Je passe du bon temps en le faisant. Faire des vidéos est complètement différent que faire de la photo : une grosse équipe, moins de communication, trop de bruit et pas assez de déconnades. Tu veux que je te parle de mon matos? Eh bien, il y a une chose qui est sûre, c’est que j’utilise toujours la marque Canon. Empruntée ou achetée, c’est la marque que je préfère. J’ai d’abord eu un EOS500 qui était à mon père. Ensuite, j’ai emprunté de l’argent pour m’acheter mon propre appareil, un EOS 3. J’étais trop content. D’ailleurs, je l’utilise encore de temps en temps. Puis, d’autres appareils ont suivi toujours de plus en plus développés avec l’avancée du numérique. C’est dur de rester dans la course de nos jours en n’ayant pas le bon matos. Au jour d’aujourd’hui, je ne sais pas de quoi demain sera fait mais je suis sûr d’une chose, c’est que j’adore ce que je fais et je veux continuer comme ça jusqu’à la fin de ma vie.

Kert Petersel


Kert Petersel


Till the age of 25 I had no idea what to do with my life. I was just working my way through the education system while trying to figure out who am I or what I’d like to become. I was snowboarding back then and as it goes with the lifestyle you go through heaps of magazines. Most of the time I was just browsing for pictures, cause that reading was just too much of an effort. One thing lead to another and soon I was shooting photos. Skiing and snowboarding over winters and bikes or skateboarding during the summers. Not too long after that I got into filming commercials, music videos and short films/video projects. So for now I’ve been in the business for 11 years, still loving both, taking photos and filming. But to be honest I prefer shooting still frames. Cause these projects are smaller scale, need less crew and I get the chance to communicate with riders more. Have good times

while doing it. Shooting for videos is totally oposite to what it was with photos. Big crew and less comunication, too much noise, not enough fun. Bit about my cameras? Well one thing’s for sure. I’ve always been using canon equipment. Borrowed or bought, they work best for me. First one I had was EOS500 that I kind of took from my father. Then I borrowed some money to get my own, and that one was EOS 3. Super happy with that, still using it sometimes. And the rest of them just followed as technology in cameras went to fully digital. Hard to stay in the game these days if not operating the right machinery. As for now, I don’t know what will happen in life for next, but one Thing’s for sure I really enjoy doing what I’m doing at the moment and I know that I want to keep doing it for the rest of my life.




buddy after the sun went down. colin loudon has the ability to wrap hiMself his bike like no other.


51 - photo - south africa

Tyrone Bradley Je suis né en Afrique du Sud à Durban en 1981. J’ai donc maintenant 32 ans. Comme gagner ma vie grâce au BMX a été un échec, j’ai décidé de suivre ma deuxième passion, la photo, que j’ai apprise grâce à un reportage que j’ai fait sur la scène BMX sud-africaine pour le magazine SourceBMX qu’un copain et moi avions publié. A la base, j’ai fait des études de graphisme et ma passion est arrivée du fait d’être trop rester bosser devant des ordinateurs. Maintenant, je suis un des deux photographes sud-africains qui travaillent pour Red Bull à temps plein et je travaille aussi pour la mode, la déco, le skate et la musique. Je ne dirais pas que j’ai trouvé ma voie mais la photo exerce sur moi un contrôle que j’adore. Elle me fait me sentir comme le plus heureux des hommes et le plus sûr de lui aussi, et en même temps complètement inutile. C’est une espèce de relation bipolaire qui m’a permise de rencontrer des gens extraordinaires et qui m’a fait vivre de grandes aventures, ce que je compte garder aussi longtemps que possible.

I was born in 1981 in Durban, South Africa and I am now at the ripe old age of 32. After failing at making a living from riding my BMX, I decided to follow my second passion, photography, which I had picked up from documenting the south African BMX scene in magazine called SourceBMX that a friend and myself published. I originally studied graphic design but found my passion in photography after spending too long behind computers stuck designing all day. I am now one of two photographers in south Africa who shoot for Red Bull full time and do other work in fashion, decor, skateboarding and music. I wouldn’t say I’ve found my voice just yet but love the emotional control photography has over me. it’s the one tool that can make me feel like the happiest, most confident person in the world yet at the same time make me feel completely worthless. it’s a bipolar relationship that has introduced me to some amazing people and taken me on the greatest adventures and one I plan to keep alive for as long as possible.

bros at sunset in the desert


viki goMez kick flip, johannesburg, south africa on noveMber 2013

My ginger hoMeboy greg illingworth at last year’s red bull rich ditches coMp. i love the print on the jackets looking like soMething’s falling. greg and i grew up riding and gaMbling together. so great to see how far bMx has taken hiM. he’s a chaMp.


buddy chellan in this water canal that dries out for a few weeks a year.


nothing for Miles so you just open up and go as fast as you can

Viki Gomez and Matthias Dandois, Johannesburg, South Africa



Jaie Toohey in the finals - Photo Garth Milan / Red Bull Content Pool Red Bull Dreamline in the Oskar Blues REEB Ranch in Hendersonville, North Carolina, USA


57 - event - usa  Stewart O’Shields a GArth Milan, Marv Watson, Ryan Fudger / Red Bull Content Pool - portraits Stewart O’Shields

redbull dreamline


RYAN NYQUIST wins the RED BULL DREAMLINE 2014 in the Beautiful mountains of Hendersonville, North Carolina. Ryan Nyquist 35 years old, competed his way to the top of the field of 32 of the top BMX riders from around the world. There were 2 qualifying heats that reduced the riders to 12 finalists. Ryan Nyquist’s runs were highlighted by his signature barspins and a 360 suicide no-hander to late barspin. American James Foster won 2nd place. Australian Kyle Baldock finished in 3rd place. Baldock had some of the biggest tricks of the day, including 3 double tailwhips, back flip tail whip to barspin.

The Red Bull Dreamline riders rode downhill speeds over 30 mph and reached heights over 40 feet in the air. The competition was 100% judged by fellow riders. Zak Earley said «judging your fellow riders who put so much work into doing well deserves your full attention to ensure you capture them at their best». Diogo Canina from Brazil and American Joey Cordova both broke or sprained their ankles and could not finish the competition. JB Peytavit from France said the course was


Chris Doyle performs a no-handed 360 - Photo Ryan Fudger


more technical, and the jumps were steeper than the courses in Europe. 20 yeard old rider Dawid Godziek from Poland said the wind coming off the mountains was a major factor affecting the riders and the Dreamline course had more jumps than European courses. Alejandro Caro from Columbia, who attended the Dreamline but could not

Dennis Enarson photo Marv Watson

compete, due to a crash in Columbia earlier in the week said the Dreamline Clay is very friendly to riders when they crash. The Red Bull Dreamline course was conceived by pro BMX rider Anthony Napolitian and brought to life by master course builder Adam Aloise.



62 - photo - japan

SAIOH


Salut tout le monde! Je m’appelle Saioh et je suis photographe professionnel au Japon. Je suis honoré d’apparaître dans ce magazine et je voudrais remercier tous les gens qui m’ont soutenus, je n’aurais rien pu faire sans eux. J’ai découvert le BMX pour la première fois quand j’étais à l’école primaire et que j’ai vu le film E.T. Il y avait des scènes avec du BMX, ça m’a beaucoup plu et du coup, j’ai vu ce film beaucoup de fois! Je choisis très méticuleusement le matériel photo que j’utilise. Là j’ai un Canon 1Dx «blanc», l’unique modèle de cette couleur au monde, customisé par un ami. Et j’aime aussi utiliser différents réglages de la lumière avec plusieurs stroboscopes pour une seule photo! Si vous êtes photographe professionnel, faites attention à bien choisir vos outils, je pense que c’est comme un athlète professionnel! Dans un monde où les bons moments ne durent qu’ 1/1000 sec, une bonne lumière est très importante à avoir autour de soi. C’est ma philosophie!


york uno in the storm !!!


Mon prochain but serait de faire un shooting pour Louis Vuitton où j’utiliserais des photos de BMX! Surtout qu’ils n’ont pas de photographes japonais qui travaillent pour eux alors je rêverais d’être le premier du genre! Pour ne pas faire couler les opérations, je dois m’assurer que l’éclairage marche parfaitement et que je n’ai pas de râtés, donc je suis content d’utiliser les flashs Nissin qui conviennent parfaitement à mon style! Ils sont puissants et se rechargent très rapidement, donc même si je les utilise en pleine puissance, ça prend juste 5 secondes pour les recharger et je peux me concentrer sur le shooting! Je n’utilise les flashs pas seulement comme un outil d’éclairage sur un shooting mais aussi pour changer la balance des blancs et l’aspect de la photo. Je choisis aussi méticuleusement les modificateurs de lumière. J’adore utiliser les outils ROGUE, ils modulent la lumière exactement comme je veux!



Hello, everyone! My name is Saioh and I am professional photographer in Japan. Having a chance to be introduced in your magazine is a great honor for me, and I would like to thank all the people who are supporting me, I couldn’t do anything without them. When I got introduced to BMX for the first time was when I was a student in elementary school, and I watched the ET movie. There were some scenes with BMX there, and it looked very interesting so I have seen that movie lots of times! I really choose carefully the photography gear I’m using. Now my camera is Canon 1Dx - White, which is now only one model in the world, a friend of mine have customized the original model for me. And I also like using multiple lighting setups, several strobes for just one photo! If you are professional photographer you need to choose carefully all the tools you use, I believe it’s exactly like being a professional athlete! In the world where great moments only last sometimes

1/1000 sec, great lighting is a really important thing to have in your environment! That is my philosophy! My next goal is to be able to shoot for LOUIS VUITTON And for a shoot there I want to use BMX photos there! Still there is no other Japanese photographer shooting for them, so I dream becoming the first one in their family! In order not to decrease the motivation of the drives I need to make sure that the lighting works perfectly and I don’t have any misfires, so I’m happy to use the Nissin flashes which really fit my style! The have great power and fast recharging time, so even if I use them in full power, they take just about 0.5 seconds recharging which makes me concentrate on the photoshoot ! I’m using the flashes not only as a lighting tool for the photoshoot, but also as a tool to change the white balance and mood of the photograph. I also choose carefully the lighting modifiers I’m using and I enjoy using the tools from maker called ROGUE, they really shape the light the way I want them!


68 - photo - Venezuela

Ernesto Borges

Surfer luis rojas, balangan indonesia

Crystal barrel, choroni beach, venezuela


Depuis mon enfance, j’ai toujours été attiré par les activités ou les sports à haut risque. Depuis tout petit, mes parents ont pris la décision de me faire faire de la natation et d’autres activités physiques pour canaliser cette énergie. A l’âge de 8 ans, mon père m’a appris les bases de fonctionnement d’un appareil photo ainsi que les principe de lumière et de couleur. A cet âge là, j’avais envie d’essayer tout un tas de sport différent comme le surf, le skate, le bmx, le breakdance, les arts martiaux, la capoeira, le boggie board ou l’escalade. A travers ma pratique du skate, à un nivaeu pro, j’ai commencé à faire mes propres vidéos. Et petit à petit, je me suis mis à travailler sur les vidéos d’autres personnes, que ce soit pour des groupes de musique, des chaines de TV ou autre. Tout cela sans jamais avoir fait d’étude spécialisée et en ayant appris tout moi même. A l’age de 24 ans, je me suis lancé dans les études de graphiste pour peaufiner mes aptitudes. Après 2 ans d’étude et grâce à tous ceux qui m’ont aidé et qui ont cru en moi, je suis devenu professeur dans cette université. Pour le développement et la création de medias digitaux. Suite à ce poste, on m’a offert une opportunité pour faire parti d’un show à Singapour (“Voyage de la vie“). Après avoir passer 2 ans à skater pour le show, j’ai eu de plus en plus de temps libres pour explorer d’autres domaines artistiques et pour retourner vers mes premiers amours que sont la photo et le graphisme. Cela a coïncidé avec l’arrivé des DSRL vidéos qui grâce à leur rendu très proche du cinéma, j’ai commencé à faire de plus en plus de vidéos artistiques. Naturellement, j’ai lentement dérivé vers la photo et commencé à documenter les moments forts des shows et leurs personnages passionnants. Après un et demi d’auto-apprentissage en photographie, j’ai fais la connaissance de plusieurs personnes qui m’ont aidé à améliorer ma technique et cala ma grandement aidé à faire de meilleures images. Je n’ai jamais planifié de devenir photographe pro, je voulais juste faire des photos et petit à petit, à force de chercher à améliorer la qualité de mes images et en développent ma vision d’artiste, c’est arrivé. enderson gamez, caracas


Anzoategui coast, venezuela


Ma plus grande source d’inspiration, c’est la nature qui m’entoure. Le meilleur conseil que je pourrais donner à tous les artistes, photographes ou créatifs quels qu’ils soient, c’est de se souvenir que vous devez travailler sur des projets personnels pour développer votre style et votre personnalité. Et ce, même si ce n’est pas des commandes. Cela permet de développer des techniques et d’améliorer la qualité de votre travail. Ce dont je me suis aperçu, c’est que les artistes qu’on voit dans les musées, ont toujours construit leur œuvre en fonction de leurs expériences, voyages, de leur rencontre de nouvelles cultures, de leur écoute du monde qui les entoure. Ce sont ces choses là qui nous maintiennent en vie et nous poussent vers une quête de perfection et de beauté. En tant que photographe, j’essai de capturer l’essence des choses et je conçois mes appareils comme un prolongement de moi-même en partageant de bonnes énergies avec les autres. J’essai d’être une meilleure personne et d’aider les autres dans leur travail.


Since childhood I was very interested in nature and the highrisk sports from an early age my parents decided to put me in swimming and other physical activities to channel all that energy. At the age of 8 my father decided to teach the basic operation of a camera focal ranges explaining principles of color and light. At the same age I wanted to try different sports like surf, skate, bmx, breakedance, martial arts, capoeira, boogie boarding, rock climbing, and always this hand of aggressive skating ramps in which I competed in international circuits professionally.

Then I started to make my own skate videos and little by little I started to work on videos of people and bands tv channels as cameraman and editor camcorders (without having any kind of study he had learned a self-taught). Decided at age 24 to study at the Center for digital design to polish my graphic skills place which I was awarded a scholarship. after two years of studies decided that was part of faculty staff of the institution and i became a teacher for graphic design computer programs and design technics editing and creative speeches for students. Benelli empire keway motorcycles campaign

rio el norte climbingvzla


Edgar gamez, caracas


At the end of my career I get an interesting job offer to be part of a theatrical circus show in singapore called ÂŤ Voyage de la vieÂť skating half pipe rotating two meters wide and said that if not then to be there after two years of rehearsals and working on the show I gradually having more free time to explore other art and return to my roots in the visual and media arts was designing graphics for various art exhibits and then started with DSLR for video switching and optical lenses that give that film look sensors and started to do several videos and I gradually falling into the world of composition and still shots, so I started to document the show all those things show interesting about these magical characters and the world he belonged in which there are many talented artists with many skills. After studying for a year and a half of self-taught photography I met several people who helped me improvise my techniques as light digital retouching as working correctly and cleanly my photographic work, and gradually my work was improving thanks to all those friends who believed in me have supported me. I never noticed a photographic career that I am in right now I just wanted to take pictures and gradually became increasingly complex projects and improving, seeking perfection of images conveying what I live every day as an artist and as a photographer.

Acqua biquinis

My inspiration is the environment in which I live and where I develop relationship with physical activity, addressing places where I feel in touch with nature like the ocean. Good advice for all those artists, photographers and creative is that whatever you do remember that you have to do personal projects to maintain and create your own style and personality and remember that they have to continue to explore and develop your photographic world with work and personal projects that are not working and thus stay active to keep improving creating and discovering better techniques to improve the quality of the work they intend to do to create images that are alive have rhythm go to art museums know new cultures never say no experience, travel to unknown places. These are the things that keep us alive and keep us in the pursuit of perfection and beauty of the elements in this way we can connect with the people and the work we are doing at the moment and make the best of them. As a photographer capture the essence and spice and everything we captured what we draw with light and shadow and are alive. Use the tools that you have to create and let the tools be an extension of yourself and the most important thing be yourself, and with good energies share the knowledge to others spread the word and become a better person, help others with the work that you do be there and not be there keep the good vibes.

Vagos la surf brand, campaign walk free


Edgar gamez, laguaira, venezuela


76 - photo - germany

Carlos Fernandez Je m’appelle Carlos Fernández Laser, 29 ans, j’habite Hamburg en Allemagne et je suis freelance depuis la fin de mes études. Je suis sponso stilplatte (www.stilplatte.com) et F-Stop Gear (www.fstopgear.com). Ces dernières années, j’ai travaillé comme assistant photo pour plusieurs photographes allemands et internationaux dans le monde entier mais je me suis souvent plus ou moins concentré sur mes propres photos à chaque fois. 2013 marque l’année où je me considère vraiment comme un photographe pro car mes revenus ne proviennent plus que de la photo. Ma carrière photographique a démarré avec un stage dans un studio de mode/pub où j’ai rencontré les bonnes personnes au bon moment. J’ai débuté par des photos de BMX (je ride depuis plus de 10 ans) et de musique punk rock. J’adore encore prendre des photos et passer du temps avec les deux. Mais qu’y a-t-il de mieux que partir en road trip et prendre des photos? La chose que je préfère dans la photo, ce sont les nombreuses opportunités à voyager! Etre en mission pour un shooting mode/pub est aussi plaisant qu’être en road trip en BMX ou en musique. Deux exemples récents: j’ai passé une semaine incroyable avec Radio bikes à Barcelone. Je ne connaissais que le team manager Martin Kiesewetter. On est tous arrivés avec différents avions d’Europe. Les gens avaient le même but: passer du bon temps et produire des photos en n’importe quelles circonstances. C’était dingue! L’autre shooting était pour un client dans la mode sur le glacier de Matterhorn situé en Suisse. Tout était plannifié. L’équipe était sélectionnée précisément. Des stylistes professionnels, des maquilleurs, coiffeurs et des mannequins étaient bookés et tout ce qu’il fallait était prévu. C’était énorme! Tu vois, j’ai passé de vrais bons moments dont je me souviendrai durant ces deux trips complètement différents! Pour le moment, je ne pourrais pas rêver mieux que de gagner ma vie comme ça! Et j’espère continuer comme ça encore longtemps!

Alors, pour les nerds qui me lisent, j’utilise un Canon 5D Mark II comme appareil principal avec différents objectifs et mes flashs préférés 600b de Profoto. Les deux sont très fiables et je les transporte dans un sac à dos F-Stop Gear Tilopa BC et une valise F-Stop Gear Literoom. J’ai toujours voulu dire ces choses-là: merci maman et papa, Felipe et Luis, Matthias, Bendel et Andy, Doro et tous les autres !

beauty shoot

magnus walker

Carlos


christoph werner



tim guentner


My name is Carlos Fernรกndez Laser, 29 years old, I am based in Hamburg (Germany) and freelance since I have finished school. I am represented by stilplatte (www.stilplatte. com) and supported by F-Stop Gear (www.fstopgear.com). The last couple of years I worked as a photo assistant for several national and international photographers in many places around the world, but I was always more or less focused on shooting my own things the whole time. 2013 is my first year I consider myself as a full pro photographer due to making my living completely out of my own photography. My photographic career started with an internship in a fashion/advertisement studio where I met the right people at the right time. (lucky me!) My first photo subjects were BMX (I am riding now for more than 10 years) and punk rock music. Both are still things I love to shoot and spent my time with.

willem van gansen

But is there anything better than being on a bmx road trip and taking pictures? For me the best thing in photography are the many opportunities to travel! Being on a fashion/ advertisement assignment somewhere in the world is as pleasing as being on the road with bmx or music. Two examples from this season: I spent an amazing week with Radio bikes in Barcelona. I just knew the team manger Martin Kiesewetter. We all came with different flights from all over Europe. Random people with the same aim - having a great time and producing photos for all kind of reasons. It was stunning! The other shoot happened for a fashion client on the glacier of Matterhorn (located in switzerland). Everything was well planned. The team was selected precisely, professional stylists, hair&make up artists and models were booked and all the fancy things were arranged that you needed for that kind of job.


fashion shoot

It was also a blast! You can see, both kind of trips, totally different from each other, but both just a very good time I’d like to remember! I guess, for now, I couldn’t imagine anything better to make a living off! And I hope I can do that for a long long time! Now, for the tech nerds out there (I can’t say I don’t have any affections that way): my main setup is my canon 5D Mark II with several prime lenses and my beloved profoto acute 600b flashes. Both are reliable workhorses that are transported in a F-Stop Gear Tilopa BC backpack and F-Stop Gear Literoom trolley. I always wanted to say those last words: thank you mom and dad, Felipe and Luis, Matthias, Bendel and Andy, Doro and all the others!! Howdy!

redneck


82 - photo - spain

Fernando Marmolejo

Diego “Mono� - Sevilla

Carlos Beltran


Nil Soler - Sevilla


Nate Walker - Malaga


Je m’appelle fernando Marmolejo, je suis né à Séville il y a 25 ans, et j’y réside toujours. Cela fait 6 ans que je me passionne pour la photo, et que je gravite dans le monde du BMX en général. Il y a 5 ans, j ‘ai acheté mon premier appareil photo sans rien y connaître et j’ai appris petit à petit. Grâce au site web sur lequel je travail (954BMX), j’ai commencé à traverser l’Espagne de long en large et à faire connaissance avec les riders et aussi avec d’autres photographes qui m’ont beaucoup appris. J’ai beaucoup été influencé par le style des photographes Français. Il y a quelques années un distributeur espagnol a commencé à me donner des petits jobs à réaliser et du coup, je me suis fais des contacts hors de mon pays et j’ai pu commencé à travailler en dehors d’Espagne.

La situation économique de la scène BMX en Espagne est tellement dure que c’est difficile de vivre de la photo de sport extrême, et donc je travaille aussi comme animateur pour Monster Energy Espagne, ce qui m’a aussi aidé à avancer en tant que photographe. En parallèle, je me suis aussi mis à la vidéo de manière amateur. Mon dernier projet a été de filmer une vidéo de BMX pendant un an avec tous mes amis à travers le pays sans sponsors, sans marque, sans team, juste pour le fun. Le titre est «motivation». Une de mes autres activités est de promouvoir la scène de mon pays au travers de l’organisation de contests. Depuis 2011, je le prends un peu plus au sérieux et grâce au support de marque comme Monster, ce sont des évènements de plus en plus gros. L’an dernier je me suis occupé du «money for tricks street serie» ou on avait trois étapes dans différentes ville d’Espagne. J’utilise ces événements comme une excuse pour continuer à faire des photos avec mes potes et peutêtre qu’un jour je pourrais m’y consacrer à fond.

Catfish Tossa del Mar (BCN)

Diego “Mono”, Madrid


Alejandro “pitu� - Benalmadena


Hello, I´m Fernando Marmolejo. Born in Seville 25 years ago, where I currently live. I have spent 6 years in the BMX World and as a sports photographer I was the only one of my friends who got interested in photography. 5 years ago I bought my first camera which I knew absolutely nothing about and I was learning slowly. Due to the web I’ve been currently working on (954BMX) I began to travel with friends to different parts of the country and knowing new riders and photographers, which I learned from and I still doing it. It has influenced me much the French style. A few years ago some distributors in Spain started to offer me little jobs and thanks to that I met new contacts outside Spain, what allowed me to start doing some work outside my country... Being the scene of BMX in Spain so badly economically, it’s hard to push forward a salary for sports photographers like me, that´s why I work as MAT in Monster Energy Spain, which also has helped me to move forward as a photographer. In addition to the photographic subject, a couple of years ago, I started making videos, amateur way... My last BMX project was to record a video for more than one year with friends from the whole country, no brands or crews, only friends. It´s name is motivation. Another thing more that I do to promote the scene in my country is to make events, since 2011 I have taken it more seriously and with the support of many brands (such as Monster Energy) I have been making them bigger and bigger, last year I did the MoneyForTrick Street Series, with three stops across the country... I always use this events as excuse to continue doing photos with my friends and maybe someday devote only to this.

Diego “Mono”


88 - attitude - france

shoot viki

a Alex Mahieu, Peka Devé, Eve Saint-Ramon & Florian Rusterholtz

Realisation Alain Massabova & Peka Devé Stylisme Alexandra Gobran GG Management (www.vikigomez.com) - Studio Youri Lenquette (Paris) Pro rider Viki Gomez - Models Margot Marty & Justine Vasseur D’Anvin

Photos Peka Devé



Photos Eve Saint-Ramon



Photo Alex Mahieu


viki & his wife. Photo Florian Rusterholtz


Michael at Simple Session 2014


95 - face - Czech Republic  patrick guimez & alain massabova a Dan Vojtech / Red Bull Content Pool

michael beran Quick presentation ? 24 years, 10 years behind bars, sponsors : RedBull, Cropp Clothing, 34R. How and why you come to BMX ? I always wanna ride motocross, but it was to expensive hobby, I try all over collective sports, but one day I seen Bmx and that changed my life !

Your best event ? Simple session is the best contest ever, goodtimes, party, big tricks, new tricks, finding new friends, pushing it to next level. Best travel ? My first visiting of Florida and California, such a good times... I think I will move there pretty soon.


After parting away from your long time sponsor 34R few months ago, finally you went back to the roots. what was the reason of your choice and what are going to be the future now with the brand ? Any new products coming soon ? One main reason why I left was, because of problems with partner of company... Now the guy is gone, that’s why I’m back and happy, because we can start to do real things again, reach up the brand on level what it was or maybe better. We have some products on the way, but also some good ideas of video project etc... Which also can helps more to bmx scene, looking forward for that...:)

Rapide présentation ? 24 ans, 10 ans derrière le guidon, sponso RedBull, Cropp Clothing, 34R. Comment et pourquoi le BMX ? J’ai toujours voulu faire du motocross mais c’était trop cher. J’ai essayé plein de sport collectif et un jour, j’ai vu du BMX et ça a changé ma vie ! Ton meilleur évènement ? La Simple Session est le meilleur contest : du bon temps, des soirées, des gros tricks, des nouveaux tricks, des nouveaux potes et ça nous envoi vers une autre dimension. Ton meilleur voyage ? Ma première visite en Floride and Californie, que du bon... Je pense que je m’y installerais bientôt. En tant qu’athlète complet, tu passe beaucoup de temps à t’entrainer en gym, c’est la clé pour être taillé et fort en BMX ? C’est la clé pour rester jeune et en bonne santé. Je le fais pour le BMX et pour ma vie. Je veux devenir raw vegan aussi, c’est un gros changement dans ma vie. Quel serait ton conseil aux rider pour ne pas se blesser ? Ne ride pas si tu ne le sens pas, ne te lance pas si on te pousse et que tu ne le veux pas. Fais ce que tu veux, écoute ton corps et ton esprit, profite. Si tu as vraiment peur, tu te feras mal. N’ai pas peur de rater, met la peur de côté et ride avec bonne humeur. Ça marche, j’ai survécu à de gros crash cette année sans égratignure, «juste parce que j’avais pas peur». Ça semble fou mais croyez moi, ça marche ! Message and remerciements ? Fais ce que ton corps te demande, essai de rendre les gens heureux autours de toi. Tout viens de toi, pas des autres, tu fais ton présent, passé, futur... Pense positif ! Merci Patrick pour cette interview et merci à ceux qui la liront. God bless.

As a complete athlete you spend much time training at gym, is it the key to be fit and strong for bmx in your opinion? It’s a key how to stay young and healthy, I’m not doing it for bmx, I’m doing for my life. I turn to be a raw vegan also... That change a big part of my life. What will be your advice to other riders to stay away from possible injuries ? Don’t ride if you not feel it, don’t get push by others to do something what you dont want to do. Do what you like, listen to you inner self, enjoy it. If you are full of fear you get hurt, don’t be afraid to lose, just put away afraid and ride with happiness and smile. It works, I survive few big crashes this year without scratch, «just because I was not afraid» sounds crazy, but if you believe that, it will works ! Do you have something you’ll want to achieve in your career (trip, tricks, challenge...)? To change the world. What about moving overseas? Have you ever had in head to move and ride the contest season in america? What is the main difference for you between american and european scene ? I always want to go there, but havent try it for real, like I write above. Trip to Florida and Cali really left something in me and now I’m planing to move there and start things for real. I love europe because here is more contest, but not really much people to ride with. I’m mostly riding alone and want to change that... So right now, would like to finish some EU contest, make money, finish school, get house in America and try to live there different life. Will see what happens, I can return back anytime... Message and thanks ? Do what your body feel to do, try to make people around you happy and your life will become more happy. Everything is on you, not on someone else you making the past, present and future... Thing positive ! Thank you Patrick for this interview and thanks to everyone else who read this... God bless.



98 - photo - japan

Jason Halayko 180 Bar Spin by Daichi Teshigahara, Osaka

J’ai commencé la photo il y a 20 ans au lycée de Victoria au Canada, quand les appareils numériques venaient juste d’apparaître. J’ai passé de nombreuses heures dans la chambre noire de l’école à apprendre les bases de l’exposition et de la composition qui me servent encore aujourd’hui. Aujourd’hui, après 10 ans de vie au Japon, je m’éclate à shooter pour divers projets. Je passe la plupart de mes weekends à shooter les événements incroyables de Red Bull comme le X-Fighters, BC ONE, Circle of Balance, etc. Mais j’aime aussi prendre le temps pour des sessions photo avec des riders locaux en BMX et FMX. Et quand je veux quelque chose de discret, j’aime me promener dans les rues japonaises et shooter ce qui se présente à moi. Le Japon est un endroit génial pour un photographe et je suis reconnaissant de pouvoir dire que j’y suis comme chez moi. Mon choix d’appareil s’est porté récemment sur le Nikon D4s parce que son autofocus capte vite les sujets en mouvement et tu peux booster les ISO en ayant quand même de supers images. En travaillant pour Red Bull, je dois souvent faire face à une mélange d’endroits avec peu de lumière et des sujets toujours en mouvement mais mon appareil ne m’a jamais lâché. Comme tous les photographes, mon sac photo contient tout un tas d’objectifs mais j’aime beaucoup travailler avec le Nikon’s 24mm/1.4. Le rendu et la qualité des images sont époustouflants et le 1.4 f-stop m’a aidé maintes et maintes fois.

Yohei Uchino, Kobe


Kyoto Geisha dances with a traditional fan.


Daichi Teshigahara, Osaka

Tea Time in Kyoto’s Ohara


Maintenant que la photo est devenue mon métier, je bosse dur pour améliorer mes compétences et faire en sorte que mes photos soient publiées dans les magazines japonais et étrangers. Même si le Japon est maintenant mon pays, j’espère pouvoir voyager à travers le monde pour travailler avec divers athlètes et artistes et je créerais des images uniques qui capteront la vraie force de ces moments. Et si vous passez par le Japon, n’hésitez pas à passer me voir. Je ne suis pas seulement bon photographe, je parle aussi couramment japonais!

the ucchie tricks, kobe


Viki Gomez, Fushimi Inari Shrine, Kyoto

“Live free, die strong” Kyoto

Kenshiro Ojima, Kobe


I started photography in high school in Victoria, Canada roughly 20 years ago, when digital cameras were just barely coming to market. Spending hours in my school’s dark room I learned the basics of exposure and composition, and have continued to utilize the skills I learned then to this day. Now, after 10 years of living in Japan, I enjoy shooting a wide variety of subjects. Most weekends have me shooting some kind of an amazing event for Red Bull, such as X-Fighters, BC ONE, Circle of Balance, etc., but I also love to make time for photo sessions with local BMX and FMX riders. And when I want something really low-key, I love just wondering around the streets of Japan and shooting whatever may come across my path. Japan really is a wonderful place to be a photographer, and I am very grateful to be able to call it my home. Currently my camera of choice is the Nikon D4s as it’s autofocus is bang on with fast moving subjects, and you can bump the ISO up pretty high and still produce amazing

images. Working with Red Bull I am often challenged with a combination of low light settings and fast moving subjects, but my camera has never let me down. Like every photographer my bag has a lot of different lenses, but I have been really enjoying Nikon’s 24mm/1.4 as of late. The look and quality of the images is amazing, and the 1.4 f-stop has been a life saver time and time again. Now that I have recently made photography my career I am working hard to improve my skills and get my images published more in both Japanese and overseas publications. Although I feel like I will call Japan my home for many years to come, I do hope to be able to travel the world and work with a variety of athletes and artists to create unique images that capture the true feeling of the moments around me. And if you are visiting Japan on your next tour please feel free to drop a line and say hello. Not only am I an accomplished photographer, but fluent in Japanese as well!

Matthias Dandys with Japanese Geisha, Gion District, Kyoto!


104 - photo - russia a Anton Ivanov

Anton Evstefeev



Je m’appelle Anton Evstifeev, je suis pro rider de Moscow, Russie, j’ai 24 ans et je ride depuis 9 ans en street, park et dirt. Je passe beaucoup de temps sur les trips, contests et à prendre du plaisir avec mes potes. J’aime voyager et découvrir des nouveaux spots. Merci à mes amis, ma famille et mes sponsors. Cheers



ÂŤMy name is Anton Evstifeev, I am pro bmx rider from Moscow, Russia. I am 24 and I ride my bike since 9 years in street, park and dirt. Spend a lot of time on the trips, contests, and having fun with friends. I like to travel a lot and open new places. This is awesome. Thanks to my friends family and sponsors. CheersÂť



110 - photo - france

Florian Rusterholtz

kuro manriki


Hello, je suis Florian, 27 ans, photographe sur Paris. J’ai commencé la photo à peu près en même temps que le BMX vers 16 ans, c’est le clip de Superfunk - The young Mc, où on y voit un rider enchainer quelques Hang 5 et Decade, qui m’a donné envie de me mettre au Flat. Coté photo au début j’utilisais un jetable pour immortaliser mes debuts en Flat avec mon voisin mais à l’époque je faisais de la photo uniquement pour ramener des souvenirs comme la majorité des gens. C’est vraiment plus tard que j’ai commencé à prendre la photo au sérieux, vers 23 ans je suis partis faire un RoadTrip en solo à travers la Thailande l’Australie et les États-Unis et c’est à cette occasion que j’ai acheté mon premier

véritable appareil photo, de retour de ce roadtrip je suis entré dans un quotidien régional en tant qu’assistant photographe et j’ai vraiment adoré ça. Depuis je suis venu travailler sur Paris et j’ai commencé un book orienté « Mode » et « Sports ». Je collabore régulièrement avec des danseurs Hip-Hop, des Deejays, des Riders, je couvre aussi le championnat de rugby Top14 et coté mode je travaille avec Make up For Ever pour le maquillage et des mannequins d’agences pour des projets divers. Pour le Bmx, je me suis remis au Flat il y a un peu plus de 6 mois et du coup naturellement j’ai commencé à ramener mon appareil photo pour shooté quelques sessions sur le spot mythique d’Opéra et sur quelques contests.

Luther King


Renaud Meloni

Hi there, I’m Florian, 27, Paris based photographer. I started photography and BMX almost at the same time. The musical video of Superfunk “the young MC“ where you see a guy doing some hang fives brought me in riding flatland. I started to use a disposable film camera to immortalize my beginning in flatland with my neigh borough but back then I was solely taking pictures for good memories like most of the people. It is only a few years latter that I started to take photography seriously. When I was 23, I did a road trip in USA, Australia, and Thailand, therefore, I bought my first « real » camera. Coming back from this trip I got hired as a photo Intern at the local newspaper, and I loved it ! Since then I moved in Paris and started to build a portfolio on “fashion“ and “sport“. I often collaborate with some break-dancers and some hi-hop DJs, some BMX riders and I also shoot the French Rugby championship. In fashion I shoot

deniz

for a company called « make up forever ». As I still ride BMX flat land I occasionally shoot some friends who ride at my spot and also at some contest. Equipment wise, I only use Canon Equipment and I just change all my strobes to the B1 from Profoto for their versatility and power. In the future I hope I will be able to make it as a Pro photographer with ART BMX Magazine, Red Bull and all the other brands that make things happen in our sport. I would like to thanks a few people such as Alain at ART BMX mag for this publication, and who recently invited me at the photo-shoot with Viki Gomez, also all my friends from the Opéra spot in Paris. Paris press agency for all the advice the dancer of the crew AMC and ALL in DANCE Crew, the newborn skate brand Juniz, my family and whoever has supported me so far.


Coté materiel j’utilise depuis toujours des appareils photos Canon et je viens tout juste de changer de marque pour mes Flashs, j’utilise aujourd’hui du materiel Profoto notamment des B1 qui sont des puissants flashs de studio sans fil pour l’extérieur. J’espère, à l’avenir pouvoir vivre un jour uniquement de mes photos, collaborer avec Art Bmx, Redbull, et toutes les autres personnes qui font bouger notre sport et tous les sports en général. J’en profite pour remercier quelques personnes, en premier Art Bmx pour cette publication et Alain qui m’a invité récemment à shooter Viki Gomez de passage à Paris, tous les riders du spot d’Opéra, l’agence Paris Agency pour ses conseils précieux, les danseurs de [AMC] et ALLin Dance Crew, la jeune marque de Skate Juniz, ma famille et tous les gens qui me soutiennent en général.

renaud meloni

Agathe Andrieux


A beautiful sunset in Florida is always a great excuse to shoot into the sun


115 - photo - usa

Josh Mc Elwee Josh McElwee, 21 ans, d’une petite ville de Pennsylvania appelée Hanover, j’ai commencé le BMX à 10 ans et la photo juste après. Je shoote donc principalement du BMX avec mon Canon 20D.

Teddy Osteen couldn’t find a polejam to do a tire slide on, so he opted to make one of his own right in front of his house.


A doubles photo is always a treat to watch happen. Evan Gallagher grinds the rail while Chris Carter opts for a wallride in Hackensack, New Jersey.

My name is Josh McElwee. I’m 21 years old, and I’m from a small town on the Pennsylvania/Maryland line called Hanover. My story is a pretty typical one; I started riding BMX bikes and photography followed shortly thereafter. When I was 10 years old, I leaned a piece of scrap wood on top of a couple of bricks and pedaled as fast as I could at it. It was the coolest feeling I had ever experienced, and from that point forward, my entire world revolved around bicycles. After a couple of years riding around the neighborhood by myself, I went to a skatepark for the first time and met actual BMX riders for the first time. They were the textbook definition of what I had begun reading about in the pages of Ride BMX; hardcore riders who had their own crew, caused trouble all over town, and documented everything they did via photo and video, which they posted on their website on a daily basis. I was absolutely enamored with what I had stumbled upon, and began spending every waking minute pedaling around town with them. This gap-to-rail required a lot of finesse just to get ready for it, but luckily Chris Carter is a specialist in that regard. Hackensack, NJ.


Believe it or not, Daniel Sandoval threw a barspin a fraction of a second before he ended up in this position.


Keith Schmidt does some of the best superman flips in BMX, this one being done during the last possible sliver of daylight


The most pivotal experience for me was meeting my friend Bryan Heiser. Every local scene has a guy who assumes the role of documentarian, and Bryan was the guy who made the effort to showcase our small town to the world via photography and video. Armed with a Canon 20D and a couple of lenses and flashes, Bryan made photographs that resembled what I had been obsessively looking at in magazines for the past couple of years. It was nothing short of a life-changing experience to watch him collaborate with the best riders in our scene and go through the painstaking process of setting up for a photo and making it happen. At this point I knew absolutely nothing about photography, but I knew that I wanted to be the guy who made BMX look as cool as it did in a magazine. I commandeered my Moms’ Kodak Easyshare point-and-shoot camera and began carrying it in my back pocket every day when I went out riding. When he wasn’t throwing me in the dumpster behind the local bike shop or lighting fireworks on my parents’ front porch on the Fourth of July, Bryan attempted to teach me some of the basics of photography. When I insisted that it was his fancy DSLR that allowed him to achieve crisp photos, he set up his flashes and handed me the camera to shoot a photo of a wallride. Much to my chagrin, the photos I took were unsurprisingly terrible, and I began to realize how much work went into making a true photograph.


Marc Meeuwissen made good use of his grandmother’s driveway with this drop-in in River Edge, NJ.

During my freshman year of high school, I received a Canon Rebel XT for Christmas, and my journey down the strange road that is photography officially began. For the first couple of years, I focused on learning the basic functions of my camera without any particular preference of subject matter. I shot everything from BMX to landscapes, photos of strawberries being dropped into water to photos of star trails and light-painting at night. Eventually I ended up acquiring a couple of small flashes, and that’s when everything that I had previously known changed. I suddenly realized that I could create whatever mood and atmosphere I wanted via the use of off-camera lighting. From that point forward, I set out to tell stories about people via the use of light and shadow. I began obsessively reading websites that showcased the techniques that I wanted to perfect. Adam LZ, double-peg up the rail to wallride in Rockledge, Florida.


All cameras were on Brian Kachinsky during this 180-to-backwards-icepick-to-toothpick during the 2013 Mongoose Jam at Camp Woodward.

After a semester at the School of Visual Arts in New York City during which I broke my foot while riding, I decided to apply for an internship at the mecca of action sports, Woodward Camp in Pennsylvania. Somehow they accepted me, and I spent a month during the summer of 2011 at camp. Everything went fairly well, and I interned again the following summer, learning from everyone I came into contact with along the way. Eventually I secured a staff position for 2013, and it ended up opening the doors for a lot of different opportunities.

=

James Harvey has stellar front peg control. Opposite toothpick to pop-over in Rockledge, Florida.


122 - photo - Argentina

Gabriel Higa Je m’appelle Gabriel Higa, j’ai 31 ans et j’aime autant le flat que les petites et grandes choses de la vie. Il y a un peu plus d’un an, mon intérêt pour la photographie a évolué. C’est arrivé lorsque j’ai regardé mon premier DVD de flat (Flatlive 1), le besoin de montrer et de marquer l’histoire du flat en Argentine est ce qui fait qu’aujourd’hui ma seconde passion est de «faire des photos de BMX» (la première étant de faire du BMX).

gonzalo bellanti

My name is Gabriel Higa, I’m 31 years old, and I love flatland as much as the big and small things in life. A little more than 1 year ago, my interest in photography woke up. This happened simultaneously while I was filming my first flatland DVD (Flatlive 1). The need to show and make a mark in the history of Argentine flatland led to what today is my second passion “take pictures of BMX“ (the first is riding BMX).

julian futty


julian futty



125 - photo - south africa

Craig Dutton Craig Dutton est un voyageur et photographe professionnel spécialisé dans la photo de sports d’aventure, de voyage et d’événements. Ses photos se basent sur un style aux angles originaux et à l’éclairage innovant et sont utilisées partout dans le monde. Grâce à son style de photos, Craig a développé un flux constant qui lui permet de livrer à ses clients des photos de qualité à la vitesse lumière. Craig est un photographe autodidacte professionnel depuis 2001. Il a déjà travaillé pour de nombreux clients très en vue comme l’UCI (Union Cycliste Internationale), Red Bull Germany, Runners World, Bicycling, Dutch Cycling Federation, British Cycling, Land Rover Gear et d’autres entreprises diverses et variées. Il a travaillé pour de gros événements internationaux comme le Comrades Marathon, London Marathon, the Argus Cycle Tour et the Cape Epic Multi day stage race. Craig a été le photographe principal de l’UCI BMX Supercross World Cup pendant 3 ans et directeur de la photo pour les jeux olympiques de Londres en 2012. Il dirigea l’équipe photo du Comrades Marathon pendant 4 ans et a shooté plus d’événements que vous ne pourriez l’imaginer. Craig vit à Pietermaritzburg en Afrique du Sud. Il est marié à la merveilleuse photographe et maman, Cheries Dutton, avec qui il a 3 enfants (Travis, Tori and Colby)...

Craig Dutton is an internationally traveled professional photographer specializing in adventure sports, travel, and event photography. His photography style focuses on unique angles and creative lighting to produce images that have been used all over the world. To compliment his photography style, Craig has developed a workflow that enables him to deliver quality images to his clients at lightening speeds. Craig is a self taught photographer and has been working as a professional since 2001. He has shot for a long list of clients which include high profile clients such as the UCI (Union Cycliste Internationale), Red Bull Germany, Runners World, Bicycling, Dutch Cycling Federation, British Cycling, Land Rover Gear and various other corporate companies. He has worked on some of the worlds largest events such as the Comrades Marathon, London Marathon, the Argus Cycle Tour and the Cape Epic Multi day stage race. Craig has been the Head Photographer for the UCI BMX Supercross World Cup for 3 years and worked as a Photo Manager for the London Olympic Games in 2012, he headed up the photographic team for the Comrades Marathon for 4 years and has shot more events than you could shake a stick at. Craig lives in Pietermaritzburg, South Africa. He is married to the amazing photographer, wife and mother, Cheries Dutton, and has 3 children (Travis, Tori and Colby)...

Riders wait for their start during the Red Bull R.Evolution at the Mellowpark in Berlin, Germany on August 17th 2013


The track at Mellow Park in Berlin was initially built for the Red Bull R Revolution. Photographically it is a brilliant track to shoot on as it offered so many angles and delivered so many good images. This image of South African Gavin Lubbe coming off the hip jump with the start hill in the background was one of my favorites from that event.

Connor Fields is one of the riders that is incredibly fast and looks good all of the time on a bike… He’s a hell of a nice kid too.


Joris Daudet is such a classy rider which makes it easy to shoot great images


Caroline Buchanan is one of my most favourite Women BMXers to shoot, She always gives me something to work with when she’s on the track and she’s the consummate professional when off the track. I shot this image of her Time Trial run at the World Champs in Rotterdam where she placed 2nd.

I was walked past one of the graffiti walls at Mellow Park in Berlin Germany and Caroline Buchanan was closely so I quickly grabbed her a for photo.


I spent some time at the bottom of the ramp at the Manchester race shooting images of different riders and what they do before going up to the ram for their heat. This image of Connor Fields explains it all...Â


130 - test a christian vanhanja

fujifilm X20 Le défi pour ce test était de voir s’il était possible de faire des photos de riding correctes avec un compact numérique à moins de 500€. La réponse est oui si vous choisissez de manière avisée… Est-ce aussi bien qu’un reflex numérique d’entrée de gamme ? Presque, à condition de savoir faire quelques concessions. Dans la plupart des cas je suis un fervent défenseur du principe du «qui peut le plus peut le moins», mais avec le temps, il y avait de plus en plus de situations ou me trimbaler un sac de matos complet pour des photos de soirée ou de vacances c’était juste débile. Alors à chaque fois je me suis fait prêter un compacte haut de gamme par un proche, et au bout de 3 photos, je me mettais à regretter de ne pas avoir un appareil jetable ou un polaroid. Ces compacts « haut de gamme » n’avaient pas de vrai viseur, une qualité d’image décevante, et étaient tellement peu réactifs que la plupart du temps, ils déclenchaient une fois l’action finie, bref rien de bien...

The challenge on this one was: can you do decent riding photo with a sub 500$ compact camera? Well the answer is: if you choose wisely, yes. Will it replace a cheap digital reflex? Almost, with some give and take. Finally is the technology so mature that you can dump a full frame digital slr. Well, not yet. I am a firm believer that for most of the case, bigger is better, but with the time, there was more and more case where I couldn’t resume myself carrying a full bag of equipment such as party, and holyday / family picture. But every time I had a friend lending me a compact, after 3 photos I was at the point that I would rather have a Polaroid or a dispensable film camera. Those “high end compact” had no proper viewfinder, a poor image quality and a ridiculous slow time of reaction that would lead to the camera firing when the action is over. Very lame!!!


la sinchro flash au 1/2000ième, ça aide...


panaoramique de la baie de San Francisco depuis la coit tower


J’ai répété l’expérience quelques fois, et même si ça s’améliorait à chaque fois, ce qui ne changeait pas c’est que le manque de contrôle manuel sur ces boitiers, faisait que je ratais « LA » photo à ne pas rater… Cet été, il a fallu que je me résume à ne pas trimballer mon gros sac photo partout pendant les vacances, et je me suis mis en quête d’un compact performant, sans pour autant avoir 4000€ à mettre dans un Leica M9. Il me fallait un boitier performant mais à moins de 500€ car comme tout ce que j’emmène avec moi en vacances, il y a de forte chance que ça termine oublié sur la table d’un resto ou dans la salle de bain d’un hôtel. Bien entendu il me fallait une optique rapide et avec une bonne plage de focales, une qualité d’image satisfaisante, un bon viseur optique car je déteste cadrer sur un écran, et le tout dans un boitier en métal assez solide avec si possible un obturateur central… Vu que le Canon G17 n’était pas disponible en dutyfree, et le G1X trop cher pour moi, je me suis rabattu sur le Fuji X20 qui avait l’air aussi bien sur papier. Alors quel est le verdict ? Après 2 mois à utiliser ce joujou quasiment tous les jours, je peux vous dire que je l’ai adopté à 100%. C’est simple je l’ai toujours sur moi ! Du coup, on a décidé de voir s’il était aussi possible de faire des images de riding avec, et voici le résultat, à vous de juger !

Romain Hudry, skatepark de berCy, paris

Every so and so, I would give it a try hopping that I would change my mind, but even if it was closer every time, there would always be a moment that the lack of manual control on camera would screw something on “THE” picture that I wouldn’t like to screw… This summer, I had to make a decision, as I promise myself not to lug a bag full of equipment during my holydays. I had to find a compact that would fit my needs. On the other hand I knew that I couldn’t resume myself to lay down 4 grands to get a Leica M9. This would have to be sub 500€ because there was a very good chance for me to forget it on the table of a restaurant. I needed a REAL viewfinder, as I hate looking at a screen to frame. Obviously it would have a good focal range with decent image quality, a solid metal construction, and preferably a leaf shutter… As the Canon G17 was not available in duty free, and the G1X too expensive for my budget, I bought a Fujifilm X20 that was looking good on the paper. So what is the verdict? After 2 month of owning this baby, I can tell you that I am 100% happy with it for the price, and that now it never leave my pocket. So we decided to check if it was possible to use this for action picture as well, and here is the result, judge by yourself !


Pour : -Petit et léger -Un vrai viseur optique -Très bien fabriqué -Un bon look -Une qualité d’image tout à fait satisfaisante -La possibilité de tout mettre en manuel -Des fonctions créatives très pratiques -Syncro flash à toutes les vitesses -Parfait pour passer inaperçu quand il le faut Contre : -Ce n’est pas un reflex -Pas aussi réactif qu’un reflex -Le grand angle est un peu juste -L’interface parfois un peu déroutante Pros : -Small and light -A TRUE optical viewfinder -Very good built quality -Look good -A very decent image quality -Everything manual if you want -Cool in camera functions -Flash sync at all speed (leaf shutter) -Perfect for low-profile situation with professional grade result Cons : -It is not a DSLR -Still not as reactive as a DSLR -Wide angle is not that wide -Sometime interface is a bit confusing and anti-intutive



136 - video - france

jc pieri Présentation rapide JC Pieri, 25 ans, vidéaste et réalisateur autodidacte, Diplomé Licence Management Financier et Master Sport / Event Kedge Business School, co-organisateur du WATSA festival et pro bmx rider.

Desert Dubai


Kenneth Tencio, mexico

Ton style / travail La passion de l’image et plus particulièrement de la vidéo m’ai venu grâce au bmx. Après avoir filmé pendant plusieurs années du sport extrême je me suis tourné vers d’autres styles de réalisations comme des évènements ou des clips de musiques jusqu’à arriver au court métrage, mariage, pub, clip de mode, du corporate etc... Je m’efforce de trouver mon propre style, sans recopier le travail des autres. Il me semble important de se former selon ce que l’on aime et suivant nos propres expériences.

California


Matos Je filme actuellement avec un Canon Eos 1D-C. Cette caméra est pour moi le meilleur compromis pour mes projets et ma façon de filmer. Je ne voulais pas d’une caméra type Sony Fs700 pour ne pas tomber dans cette mode du slow-motion., même si j’aime beaucoup la slow-motion. Cependant je cherche m’orienter plus vers un style cinéma que sportif et l’ergonomie, la rapidité/simplicité d’utilisation et la qualité de l’image du Canon 1DC est pour moi ce qui me correspond le mieux. J’utilise aussi un stabilisateur type Movi, un drone Phantom DJ2 ainsi que d’autres accesoires comme une optique 50mm Cinema Prime que je ne quitte jamais. Ton but Le cinema est définitivement ce que j’aimerais faire. J’aime créer des histoires, les filmer et leur donner vie. Cependant je ne cesserais pas de faire certaine type de réalisation dans lesquelles on met bien en avant le côté artistique de la vidéo. Meilleur souvenir Pour les 60 ans de mon père je lui ai offert un voyage au Vietnam pendant 8 jours. Un voyage dans lequel nous avons appris beaucoup de choses de pars les rencontres que nous avons pu faire ou encore les expériences que nous avons vécu. J’en ai profité pour réaliser un documentaire de notre voyage qui a été très apprécié et partagé par BBC Vietnam.

shibuya, Tokyo

Rider et réalisateur est-ce possible ? C’est en étant rider que j’ai pu devenir réalisateur. Le bmx ma beaucoup fait voyager, et c’est aujourd’hui grâce à la vidéo que je continue à voyager autour du monde. Il faut parfois faire des choix dans la vie et le travail prend parfois le dessus sur le reste. Je continue bien entendu à rider mais j’ai du changer ma façon de faire du vélo afin d’éviter au maximum les blessures. Ce que je ne regrette pas car j’ai pu découvrir une autre vision de ce sport. Cependant cela ne m’empêchera pas de passer mon mois de novembre 2014 entre Miami et la Californie chez deux amis pro bmx rider afin de se faire plaisir et de retrouver un peu ses sensations. Message La chance n’existe pas, la vie est faite d’opportunités qu’il faut savoir saisir ! Remerciements Je remercie tout les gens qui ont cru en moi, qui me soutiennent et continuent à m’aider en me donnant des conseil et en suivant mon travail. Le monde du bmx, le monde de la vidéo, ma famille, mes amis, mon école, mes sponsors, l’équipe de ART BMX et tous les autres…


hawai

dubai

shanghai

hawai

dubai

vietnam


mariage, france le matos...

My names is JC Pieri, 25 years old, video maker and self-thought director, I have a master degree in Financial management and sport at Kedge Business School, co-founder of WATSA festival but also Pro BMX rider. Your style I am passionate about image in general, but obviously more toward the video, which BMX drove me into. After filming action sport for several years, I went on the path of doing other project such as shorts, institutional, wedding, musical clip or advertisement. What I am trying to do is to find my own style, without copying anyone else work. For me it is important to progress around what you like and following your own experience. Your equipment All what I film is with the Canon EOS 1 Dc. To me this camera is the perfect balance for my way of filming and editing. I didn’t wanted to have a camera such as the FS-700 because I didn’t wanted to fall in this slow-mo trend…

vietnam las vegas

There is nothing wrong with slow-mo, it is just that My aesthetics goes more towards cinema than real action sport filming. The ergonomic, the ease of use and the unmatched image quality of the 1Dc is what fits my needs the most. I also have a Movi gimbal-stabilizer, a Dj2 drone, and other stuff such as my Canon 50mm F1.4 cinema prime that never quits me. Your goal I’d like to be in the movie industry. I like to tell stories to people, to film them and to give them birth. No matter what I do, I will always try to do project where the artistic side of the image making is present. Best memory For the 60 years anniversary of my dad, I took him to a 8 day trip in Vietnam, and that was an opportunity to learn a lot of things from the people we met and experience we had over there. It gave me the opportunity to film a short documentary about this trip, liked and shared by BBC in Vietnam.


Rider and Director, is it possible? I became a director because I was riding! Riding my bike helped me to travel a lot, and now it is movie making that makes me travel around the world. Sometime, you have to make choice in your life and work can take over the fun! I still ride, but I had to adapt my riding style in order to have the less chance to get hurt. I don’t regret that as it gave me the opportunity to discover a whole new side of the sport. Anyway it doesn’t prevent me to travel and ride and in November I will be travelling in the USA to visit two good friends of mine who are also pro-riders, and I will have a lot of fun!

Message I don’t believe in luck, I believe in catching opportunity that life present to you. Thanks I really want to thanks all the people who believed in me, who supported and still help me a lot, giving me advice and following my work. The BMX community, the video community, my family, my friend, my school, the ART BMX magazine crew, and all the others...

JC pieri, bmx & video.... www.jcpierivisual.com



143 - photo - uk

Szymon Nieborak Szymon est un photographe d’action spécialisé dans les «vélos extrêmes». Etant originaire d’Angleterre, il travaille étroitement avec quelques uns des top pro-riders de là-bas. Il dit: «La taille des roues m’importe peu... 29, 26 or 20’’, nous roulons tous sur des roues... et si le rider est habile, il n’y a besoin de rien d’autre pour avoir des photos de bonne qualité.» «Au début, je shootais des paysages et de l’architecture mais dès que j’ai découvert la folie du riding extrême en vélo, j’ai adoré dès le premier instant et j’ai plongé dedans direct!» «J’adore voyager et shooter des riders talentueux et des endroits uniques. J’adore ces sensations!» Il prend des photos depuis presque 6 ans maintenant et a fait de nombreuses sessions shooting pour divers magazines anglais et européens.





Szymon is an action photographer specialized in extreme cycling. Being based in england, he works closely with some of the top pro-riders from the UK. He says : «The wheel size doesn’t matter to me, at all... 29, 26 or 20’’, we all roll on wheels... and if the rider is skilful there’s nothing more to needed to get some quality photos.» «At first, I used to shoot landscape and architecture, but as soon as I discovered the whole craziness around extreme bike riding, I loved it at the first instant and dived straight into the deepest water !» «I enjoy travelling and shooting with talented riders and some unique locations. That is the best feeling ever!» He has been taking photos for nearly 6years now and he’s happy with many successful photoshoots for various magazines from the UK and Europe.


148 - photo - spain

ruben vigil Ruben fait parti de ces personnes qui souhaitent conserver leur passion intacte. Electricien de métier, il attribut son temps libre à la photo et laisse éclater son talent naturel. La scène espagnole grossissant à vue d’œil, Ruben a la chance de pouvoir capturer des moments privilégiés avec certains des meilleurs européens du moment et ce pour nôtre plus grand plaisir ! Apprécier chacun des clichés de ce passionné qui nous en sommes sûr renferment de nombreuses histoires et moments forts. Merci Ruben !!



Chase de Mataro, Vicente Candel, Courage Adams


Ruben is one of those who wish to keep their intact passion. Electrician of profession, his spare time is for the photography and let burst his natural talent. The spanish scene is growing, Ruben is lucky to capture a perfect moments with the best european riders. It’s a chance for us too ! Enjoy each of the pictures of this passionate person. Thanks Ruben !


Nil Soler


Julian Inorreta


J’ai 19 ans, je suis né et j’ai grandi dans le New Jersey. Je suis arrivé dans la photo vers 12/13 ans grâce à mon père. Depuis, cette passion ne m’a pas quittée. J’ai commencé le BMX à 14 ans et l’appareil photo ne m’a jamais lâché. J’ai donc débuté en shootant du BMX et j’ai vraiment ridé vers 15/16 ans. J’ai eu mon DSLR à 16 ans et je shoot constamment depuis. J’ai maintenant 4 appareils photo: un Nikon d3100 avec un 18-55, un 55-200, un 35mm f/1.8, et un 8mm fish. J’ai aussi un Nikon n70 35mm, un Minolta Srt210 35mm. Pour la vidéo, j’utilise un Panasonic GS320 et aussi Panasonic gf2 pour un 2ème angle en HD. Mon style en photo est un peu basique, je passe pas beaucoup de temps dans le réglage de flash. J’aime capturer l’essence du spot autant que le tricks. J’aime qu’on resente l’ambiance. Mon meilleur souvenir c’est mon premier trip quand je suis allé à Boston avec John Dominick et Andrew Lettieri. On a rencontré Petey Henkel et c’était fou. J‘ai sauté d’une falaise pour être plus proche mais c’est la pire chose que j’ai pu faire. Mon rêve est définitivement de devenir photographe professionnel pour un magazine de BMX. J’ai toujours été fan de Jeff Z. et Dolecki, j’aimerai suivre leur exemple...


155 - photo - usa

Brandon Squire

Andrew Lettieri toothpick grind at Harvard university


I’m 19 years old, born and raised in New Jersey. I first got into cameras when I was 12 or 13, my dad was into photography so I definitely caught it from him. It’s been a constant passion of mine since then. I started riding BMX when I was 14 and the camera came with it. I started shooting primarily BMX photos and didn’t really ride much until I was 15 or 16. I put photography on the back burner for a little while around that time and just rode every day. I picked up a DSLR when I was 16 and started shooting constantly again, and now here I am. I currently have four cameras. I have a Nikon d3100 with the 18-55 kit lens, 55-200, 35mm f/1.8, and 8mm fish. I also have a Nikon n70 35mm camera and a Minolta Srt210

Mike Curtis - Glassboro, NJ 2012

35mm camera. For video I use my DSLR but if I’m filming something in standard definition I use a Panasonic GS320. I also own a Panasonic gf2 for second angles on HD videos. I’d say my style with photography is a kind of raw. I rarely shoot strobes or spend a lot of time setting up. I like to capture the essence of the spot as well as the trick. Like I want to capture the feeling of being there. My best memory would have to be my first real trip when I went to Boston, MA with John Dominick and Andrew Lettieri. We met with Petey Henkel from off the team and just got wild for a weekend. I jumped off a cliff that weekend to close it out which is probably the scariest shit I’ve ever done.


Jeff With Glasses crooked grind in Camden, NJ

mike the dude


“d-money� chillin in the park


My dream would definitely be to become a paid photographer for a BMX mag. I’ve always been a fan of the greats like Jeff Z and Dolecki and would love to follow in their footsteps.
 I’d like to thank my parents, my girlfriend, all my friends who keep me sane, BMX bikes for being the best shit ever, and art BMX mag for this opportunity. Also thanks to anyone who said I won’t do anything with BMX, look at me now !

Ralphy Rodrigues wallride to gap to the street


160 - photo - france

doud Bonjour je m’appelle Doud j’ai 34 ans et je suis photographe depuis 9 ans. Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été attiré par l’image et les sports extrêmes. Comme tous les enfants de ma génération (enfin je pense), je collectionnais les revues de sport en tous genres, ski, snowboard BMX Sk8, moto… Curieusement le football ne m’intéressais pas, et ne m’intéresse toujours pas. Niveau sport, je suis issue du milieu montagnard et donc plus du ski et du snowboard. Pour le BMX ma petite expérience est plus quant j’étais gosse ou avec les potes de mon quartier de soues à coté de Tarbes on faisait de la race (plus communément appelé bicross à l’époque). Bien-sur, faute d’argent, nous avions des vélos E. Leclerc pendant que les autres roulaient en Sunn. Putain de vélo… on cassait un truc tous les mercredis. Régulièrement on s’incrustait aux entrainements de Gérard Soucase (champion du monde de l’époque). Ce n’est que bien plus tard que je me suis mis à la photo. A mon arrivé à Toulouse, loin de mon environnement je me suis senti enfermé… Le seul truc que j’ai trouvé pour me changer l’esprit c’est la photo. Mon beau père m’a donné un vieux appareil argentique et c’est là que tout a commencé… J’ai fais en premier des photos de friches et de squats abandonnés. Très vite je me suis acheté un boitier numérique et de fil en aiguilles très vite j’ai suivi mes potes qui roulaient à Ramonville à Hoppy trail, ce qui me value une clavicule pendant un soirée bien arrosé… Par contre ça aussi donné lieu à quelques parues.

les gitans

Malgré ce boitier numérique je suis toujours resté à l’argentique et bosse encore aujourd’hui avec. Même dans la photo d’action on peut me voir régulièrement avec mes vieux appareil moyen format des années 70. Durant tous les hivers qui ont suivis je me suis consacré à la photo de ski et de snowboard. C’est depuis que je suis devenue photographe d’action. Certains vous diront que pour faire de la photo d’un sport il faut le pratiquer. Certes c’est plus simple mais moi je pense que pour faire de la photo d’action il faut aimer le sport. Avoir un certain gout de l’esthétique connaitre les figures et le moment où il faut les shooter vient avec le temps. Aujourd’hui ma vie a changé. Je suis l’heureux papa d’un super bébé de 4 mois et ma vie est plus posée avec ma chérie et ce petit ange. Cependant je continue de shooter en marge de mon travail dés que j’ai un moment de libre. La photo coùte cher et il faut rentabiliser le matériel pour ca le numérique est vraiment une aubaine, il permet de travailler a moindre frais. Quand je fais de la photo pour moi en voyage ou autre l’argentique revient en force, je n’ai pas la même approche de la photos avec ces appareils, je pense que j’en suis amoureux… Enfin collectionneur… J’espère que ces quelques photos vous plairont et qu’elles vous donneront envie d’en faire si ce n’est pas déjà le cas. Dans la photo c’est comme dans le sport, on peut se faire plaisir à tous niveaux. Mais comme dans le sport, il faut persévérer.

Benny Duf



Fabien Hoppy Trail


Hi, my names is Doud, I am 34 , and photographer for 9 years now. As far as I can remember I always have been interested in action sport and image. Like every little kid of my generation, I have been collecting magazine of BMX, Skate, Moto etc... I was not into soccer at all. I’m from a mountain background, so sport wise it has always been more about ski and snowboarding. BMX-wise it was more when I was a kid, we would go around the local BMX racetrack with my lads. Back in the day, that was about it when you were doing BMX. Of course being broke we had some cheap supermarket bikes when other kids had some high-end bike. F*cking cheap bike! We would broke something every time, but eventually we would squeeze in training organized by Gérard Soucaze witch was the world champ at this time. Then way after that, I started to get into photography. When I arrived in Toulouse, far from my surrounding, I felt trapped in the city. The only thing I had to change my mind back in theses day was photography. My stepfather gave me an old film-camera and everything started from there! First I started shooting squatted places, and abandoned factories. Quickly I bought a digital camera and from then on I started following friends of mine that were riding BMX. Even if I use a digital camera, I also still shoot on film. I still use my 70’s medium format. During all the winter that followed these days I went all in with ski and snowboard photography, and from back then, I became an action sport photographer. Some will tell you that to take good photo of a sport you have to actually practice that sport, but to me all you need is to actually like that sport and have a good sense of aesthetic. He right timing and the way to shoot the tricks will eventually come with the time. Now that I have a 4 month new-borne, I have settle-down a bit with my girl and this angel. But no matter what, I still tri to shoot as much as possible when I have the time. Photography is an expensive game, and it is hard to make it pay for itself, so digital is the way to go, but I like to shoot on film as soon as I can because I think I’m in love with those old film camera. I hope that these few pictures will encourage you to go out and take picture, if you are not already into it. Photography is like sport, you can have fun at any level and then you have to pursue your passion.




166 - photo - holland

Syo van Vliet

Quick presentation I’m Syo van Vliet, in my 20s and from Amsterdam. Shooting for 5/6 years now and still enjoying it like the first time I picked up a camera. Currently doing my best to do trips, see the world and get experience in life. I think this is an important thing to reflect in your photos. If the photographer has a boring life or is a boring person this will reflect in the pictures. Your style ? It’s hard for me to place myself under a specific style. I would say lifestyle/action sports/ portrait, just like making sweet stuff with nice people around me. Best shoot, best memory ? Hmm, hard one. I would say the Private ‘We Out There’ shoot in the snow this year. We camped for a couple of days in the snow without any good idea of what we were gonna encounter. Sleeping in snowcaves and a hut was a really special feeling. Your dream, your goal ? Being able to go on trips with the people I love and make epic stuff.


Présentation rapide Je m’appelle Syo van Vliet, j’ai dans les 20 ans et je viens d’Amsterdam. Je shoote depuis 5/6 ans maintenant et j’adore toujours autant que la première fois où j’ai touché à un appareil photo. Je fais de mon mieux pour partir sur des trips, voir le monde et acquérir de l’expérience. Je pense que c’est un point essentiel à faire ressentir dans vos photos. Si le photographe a une vie chiante ou est un mec ennuyeux, ça se reflètera dans ses photos. Ton style ? C’est dur de me placer dans une catégorie spécifique. Je dirais juste: le lifestyle, les sports d’action, les portraits, faire juste des trucs sympas avec des gens cool autour de moi. Meilleur shooting, meilleur souvenir ? Hmm, elle est difficile celle-là. Je dirai le shooting privé de cette année ‘We Out There’ dans la neige. On a campé 2 jours dans la neige avec aucune idée en tête de ce qui allait nous arriver. Dormir dans des igloos et dans une hutte m’a procuré une sensation spéciale. Ton rêve, ton but ? Pouvoir faire des trips avec des gens que j’aime et faire des trucs dingues.

One of my everlasting loves, wandering around at night, being up at night or shooting at night. There’s just something special about it when everything gets dark. Streets get more quiet and stars get more bright, especially when you’re doing long exposures in desolate areas.


This one extra special. Shown is one of my very best friends Mark Vos during the filming of his last web edit. He’s curving a massive wall near his hometown over a cartoon called ‘Jip en Janneke’. When I did the expo of my photos at the premiere of his the images were for sale as an edition of 1/1 and my mom bought my very first print. Her reason for it was that she wanted to hang in her dental practice to calm down her handicapped patients. Such a rad idea to be able to do that from just riding kids bikes with friends…

One of the first things I’ve shot in the snow was when I was testing a camera for a magazine. They wanted me to keep a photography diary and I happened to be in the snow with my girl. On a super snowy day we went up hung over and decided quickly to go for some food, after we went back into the cold I asked her to pose real quick. The result was this almost whitened out picture with just a little bit of lift in the back. There’s actually a piece of snow in the foreground but it flows nicely into the background.

Nicky van der Veen during shows, after I was done riding some shows we decided to take some shots. I was thinking to do a tire slide photo for a while already so I sorta had it planned out. Without good tripods or anything (Desmond was just holding my flashes) everything worked out pretty nice, and Nicky sticking his tongue out is just the cherry on the pie. #genieten



170 - photo - france

stephane nadin Hugo Czarnecki


Stéphane Nadin 41 ans. Commence la vidéo à 17ans dans la pub et le clip sur Paris dans des sociétés de post-prod (ppp, videomage, gedeon compagnie), acquière une formation de chef-op durant sa carrière parisienne, arrive sur Marseille pour être chef plateau de la chaine «OMTV» et dérive au bout de sept ans à la photos sportive sur les bords des pelouses marseillaises... Très vite reviens au premiers amours de jeunesse «le ride» sous toutes ces formes, le côté «extreme» étant le plus rechercher et fini par quitter l’olympique de Marseille au bout de 13ans pour l’intermittence en tant que photographe uniquement. Matériel utilisé, un Nikon D3, D800.

Mickael Zimbardo


Le meilleur souvenir de photo de ride, c’est juste toutes les sessions ou en rentrant à la maison «j’en tiens une qui me plait vraiment...». Je ne remercierai jamais assez toute l’équipe de riders que je suis sur Marseille et qui m’ont accepté au sein de leur groupe comme un pilote avec une attention toute particulière pour Mickael Zimbardo, Steve Magro et JC Pieri...

Johanna Marmont

Maxime Orsini


Jason Phelan


Justin Fouque


Arnaud Palmade

My name is StÊphane Nadin, 41 years old. I started shooting video back in the days, when I was 17 in Paris for video clip and advertisement. I slowly became a DP, then I moved back to Marseille to be Set head for OMTV (the TV channel for the soccer team of Marseille city) and after a couple of years that have leaded me to shoot sport stills on the border of a soccer field. Very fast I decided to come back to my first love: action sport in all form. As I got more in the action sport community, I gave up the work for the soccer team after 13 years to be a freelance photographer. I use a Nikon D3 and a D800. Thanks so much to the Marseille’s riders to accepted me as a rider and photohrapher.


176- photo - world a Alvaro Fernรกndez de Aguirre, guillaume ducreux, christian vanhanja, Marek Svancara, aaron zwaal & fred mairet

best moment 2014


Alberto Moya, La Vuelta España Tour, La Coruña. photo Alvaro Fernández de Aguirre


red light jam, france, photos guillaume ducreux



raph chiquet, paris, france. photo christian vanhanja


Alex HrubĂ˝, Slovak Republic, photo Marek Svancara


orange juice jam, germany, photo aaron zwaal


Mohamed Bouhiya, team EGP18, photo fred mairet


184 - SHOP back issues are available on the ART BMX shop www.artbmxmag.com

Watch or download (HD) for free the webzines on www.artbmxmag.com

Pour commander les anciens numéros, selectionnez votre produit (6 € par magazine - frais port compris) ART BMX Mag

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et adressez ce bon avec votre règlement (frais de port offert) par chèque à l’ordre de Paris BMX School à l’adresse suivante : ART BMX / Paris BMX School - 126 rue de Turenne 75003 Paris Nom……………………………………………………………………… Prénom……………………………………………………… Date de naissance…………………………………… Tél……………………………………………………………………… Adresse………………………………………………………………………………………......………………………………………………… Code postal………………………… Ville………………………………………………………… Pays……………………………………… Email:………………………………………………………………………………………………………



186 - team a PACO images

A.R.T. BMX Magazine SPECIAL PHOTO

Hors série #1 / Novembre 2014

EDITION / publishing Paris BMX School 126 rue de Turenne 75003 Paris France editor / publisher Alain Massabova alain@artbmxmag.com Tel +33 611 171 826 STAFF Christian VanHanja photo@artbmxmag.com Patrick Guimez pat@artbmxmag.com Luis Elías Benavides luis@artbmxmag.com photographers manu sanz Tobias Arturi Stewart O’Shields Garth Milan Marv Watson fred mairet Ryan Fudger Alex Mahieu Peka Devé Eve Saint-Ramon Dan Vojtech Anton Ivanov Alvaro Fernández de Aguirre guillaume ducreux Marek Svancara Syo van Vliet Rutger Pauw CARLOS FERNANDEZ DOUD ROMAN NEIMANN TYRONE BRADLEY SAIOH ERNESTO BORGES FERNANDO MARMOLEJO PACO IMAGES JASON HALAYKO FLORIAN RUSTERHOLTZ JOSH MC ELWEE GABRIEL HIGA CRAIG DUTTON JC PIERI SZYMON NIEBORAK RUBEN VIGIL BRANDON SQUIRE RONNY ENGELMANN STEPHANE NADIN distribution BMX Ezco / France Flatlandfuel / USA Flatsquirel / UK Kunstform / Germany Jykk / Japan KIOSques Presstalis ISSN 2115-5763 COMMISSION PARITAIRE 0916G90971 ISBN 978-2-9551119-0-1 Printed in Germany www.artbmxmag.com

the fuel girls show, Masters of dirt, Zurich, austria.




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