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Sommaire
Présentation de l’orchestre .............................................................................................. p 2 Concerts de Mai 09 : Beethoven ..................................................................................... p 3 Ludwig Van Beethoven .................................................................................................................... p 4 Concerto n° 5 « l’Empereur » ............................................................................................................ p 5 Claire Désert – Pianiste ................................................................................................................. p 6 Symphonie n°6 « Pastorale »........................................................................................................... p 7 Guy Condette – Chef d’orchestre............................................................................................. p 8 Concert supplémentaire : les 10 ans du chœur de la Vézère ................................... p 9
Renseignements et réservations .............................................................................. p 11 Contacts .......................................................................................................................................... p 12
Contact presse :
ATCRL Stéphanie Ballet, chargée de communication Tél : 05 55 45 13 82 / atcrl-communication@wanadoo.fr Dossier de presse réalisé par Frantz Doré Responsable de production Tél : 05 55 45 13 85 frantz.dore@wanadoo.fr
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L’Orchestre Symphonique Régional de Limoges et du Limousin vient d’avoir 20 ans. Cette formation « tout terrain » a parcouru un chemin considérable depuis ses débuts. Elle est aujourd’hui reconnue unanimement pour la constance de sa qualité musicale. Ces deux dernières décennies ont été l’occasion d’un travail musical inlassable. L’orchestre a abordé tous les types de répertoires allant jusqu’à l’innovation et à l’audace en commandant très régulièrement des œuvres originales à des compositeurs contemporains. Mais c’est aussi sur le terrain de l’action culturelle voire sociale, que cette formation a su occuper une place prépondérante. La mission de proximité et de popularisation de la musique symphonique est devenue au fil du temps l’affaire de tous : du technicien de plateau au chef d’orchestre, sans oublier, bien entendu, les musiciens. L’OSRL assume pleinement la mission de diffusion de la musique symphonique en région, qui lui a été confiée par le Conseil Régional du Limousin en 1988. Afin d’atteindre ses objectifs , l’OSRL propose différentes formations de chambre ayant pour but la sensibilisation dans différents milieux : campus, lycées, zones rurales, etc … Au fur et à mesure des saisons musicales, le répertoire de l’Orchestre a évolué et s’est élargi. En accompagnement des grandes œuvres du répertoire classique, l’Orchestre a souhaité également faire connaître et créer des œuvres de compositeurs contemporains. Ainsi presque chaque année des compositeurs vivants tels que, Patrice Fouillaud, Philippe Chamouard, Bernard Carloséma, Alain Labarsouque, Charles Chaynes, Roger Steptoe, Eric Durand, Pierre-Michel Bédard , Denis Badault ont vu leurs œuvres créées ou recréées. De nombreux artistes prestigieux ont été invités à se produire avec l’Orchestre. On peut citer entre autres : Augustin Dumay, Patrice Fontanarosa, François-René Duchable, le Los Angeles Guitar Quartet, Jean-Jacques Kantorow, Guy Touvron France Clidat, Mikhaïl Rudy, le Trio Wanderer, Régis Pasquier, Jean-Claude Pennetier, Richard Galliano, Michel Becquet, Franck Pulcini, Janos Acs, Françoise Pollet, Claire Désert, Olivier Charlier, Cédric Tiberghien, Anne Gastinel, Pascal Moraguès, Laurent Korcia, Marie-Josèphe Jude, Roger Muraro, Tedi Papavrami, Abdel Raman El Bacha, Silvia Marcovici, Sonia Wieder-Atherton, Jérôme Pernoo, etc. Tous ont apporté au public de grands moments d’émotion musicale. L’OSRL est membre associé de l’’Association Française des Orchestres. L’OSRL est géré par l’Agence Technique Culturelle de la Région Limousin. Il est financé par le Conseil Régional du Limousin avec l’aide de la Ville de Limoges.
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Concert Beethoven Mercredi 13 mai - 20 h 30 Opéra-Théâtre de Limoges (87)
Direction : Guy Condette Concerto n° 5 pour piano et orchestre en mi b majeur (op.73), dit « l’Empereur »
Soliste invitée Claire Désert
Jeudi 14 mai - 20 h 30 Pôle Culturel La Mégisserie à St-Junien (87)
Vendredi 15 mai - 20 h 30 Théâtre du Cloître à Bellac (87)
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Dernier concerto que Beethoven ait consacré à son instrument, le Concerto l’Empereur est contemporain de toute une série de chefs-d’œuvre tels que le Quatuor les Harpes, la Sonate les Adieux ou le Trio l’Archiduc. Plus encore que dans les concertos précédents, Beethoven œuvre à faire éclater le cadre classique du genre, concevant du même coup pour le soliste une partition d’une ampleur encore jamais atteinte. Antérieure de quelques années à peine, la Symphonie n° 6 a été pourvue, dès sa publication, du sous-titre évocateur de Symphonie Pastorale. Même si, pour Beethoven, l’œuvre était « plutôt expression du sentiment que peinture », il n’en reste pas moins qu’il s’agit de la première symphonie à programme importante du XIX° siècle, et qu’elle a exercé, à ce titre, une influence considérable sur les compositeurs romantiques.
Photo © Ftédérique Avril
Symphonie n°6 en Fa majeur (op.68), dite « Pastorale »
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Ludwig van Beethoven (1770-1827) Pélléas et Mélisande, op. 80 Prélude – Anadantino quasi allegretto – Sicilienne – Molto é à Bonn, fils d’un musicien de la cour de l’Électeur de adagio
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Cologne, c’est de son père que le jeune Beethoven reçoit sa première éducation musicale. Dès l’âge de douze ans, poussé par son professeur d’alors, Christian Gottlob Neefe, il publie ses premières œuvres pour clavier et se fait une petite place dans le monde musical local. En 1787, il est envoyé à Vienne pour compléter sa formation. Mais le séjour est bref : deux mois à peine. Ce n’est que cinq ans plus tard qu’il retourne dans la capitale autrichienne, mais pour de bon cette fois-ci. Il étudie notamment avec Haydn, Salieri et Albrechtsberger. Dès cette époque, il se produit chez les mécènes les plus influents. Il tire sa subsistance de ces apparitions, mais aussi de concerts publics, de leçons (activité qu’il détestait), de commandes et de la vente de sa musique à des éditeurs. Son activité de concertiste est dramatiquement interrompue par la progression de sa surdité, devenue totale en 1815. Il est heureusement déjà assez célèbre pour pouvoir ne plus vivre que de sa seule composition. L’époque la plus brillante de sa carrière correspond à celle du Congrès de Vienne (18141815). Pendant la durée du Congrès, pratiquement pas un seul concert ne se donne dans cette ville sans une de ses œuvres. Mais une période plus difficile commence peu après : la popularité nouvelle de la musique de Rossini (qui fait littéralement fureur à Vienne), rend les exécutions des œuvres de Beethoven nettement moins fréquentes ; il faut ajouter à ceci la surdité, maintenant totale, qui l’isole de plus en plus, et les sérieux soucis que lui cause son neveu Karl dont il a la charge. Par sa personnalité, Beethoven fait figure de véritable romantique. Il est le premier grand compositeur de cette époque à s’affranchir délibérément et avec succès de la condition de laquais qui était traditionnellement celle du musicien ; le premier aussi à affirmer avec autant de force son génie ; le premier, enfin, à refuser de soumettre sa créativité aux caprices d’un commanditaire. Mais comme compositeur, il demeure un classique. En témoigne cette technique d’écriture, typique de la deuxième moitié du XVIII° siècle, qui lui permet de faire de l’idée musicale (le motif) une sorte de personnage toujours reconnaissable mais qui évolue et se transforme au fil du déroulement d’un discours musical conçu comme une véritable action. De là viennent cette forte cohésion et cette extraordinaire énergie dramatique qui distinguent ses œuvres et que les romantiques seront rarement capables de recréer. Historiquement, la contribution de Beethoven est particulièrement importante dans les domaines de la sonate pour piano, du quatuor à cordes et de la symphonie. Sa réussite fut telle, surtout dans ce dernier cas, que les romantiques ont vu en lui le modèle absolu auquel il fallait se mesurer, tout en craignant de ne pas se montrer à la hauteur : après ce géant, on se sentait condamné à ne produire que des chefs-d’œuvre.
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Concerto n° 5 Pour piano et orchestre, dit « l’Empereur », op. 73
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e pianoforte a connu, au cours de la carrière de Beethoven, un développement spectaculaire de sa facture dont les signes les plus visibles demeurent l’augmentation de l’étendue du clavier et le renforcement de la puissance sonore. C’est ainsi qu’au fil de ses œuvres pour piano, on voit Beethoven, en bon pianiste qu’il était, exploiter les possibilités de l’instrument jusqu’à ses nouvelles limites et produire, dans sa dernière période, des partitions d’une ampleur sonore littéralement inouïe pour ses contemporains. Le Cinquième Concerto pour piano fait partie de ces œuvres qui exigent de l’instrument tout ce que l’on pouvait alors imaginer. Postérieure d’à peine quelques années à la Symphonie Pastorale, la partition a été rédigée au cours des années 18081809. La création a lieu deux ans plus tard, mais Beethoven, déjà trop fortement handicapé par sa surdité, n’est pas en mesure de tenir la partie de soliste. Quant au sous-titre « l’Empereur » par lequel ce concerto est souvent désigné, il est apocryphe et sans doute ajouté par une personne de son entourage. Comme il était d’usage depuis le début du XVIII° siècle, le concerto comporte trois mouvements disposés selon le schéma « vif – lent – vif ». Le premier mouvement est particulièrement remarquable par son introduction de caractère improvisé dans laquelle le soliste intervient avec brio. Cette manière d’introduire le piano dès les premières mesures demeurait tout à fait inhabituelle à l’époque classique : si Beethoven a recours à ce procédé dès son Quatrième Concerto, Mozart ne l’a fait que dans une seule de ses partitions de ce type. En fait, il était normal de laisser l’orchestre exposer seul une première fois les idées principales du mouvement avant de faire entrer le soliste. Mais cette tradition, qui remonte au concerto baroque tel que Vivaldi l’a pratiqué, semblait contraignante aux compositeurs classiques. Aussi ont-ils cherché par différentes voies à assouplir les rapports entre orchestre et soliste, et c’est dans cette optique que ces interventions « prématurées » du piano doivent être envisagées. Le second mouvement, lyrique et paisible, forme avec ce qui précède un contraste très accusé. L’orchestre, réduit, y est traité en demi-teintes, et les longues phrases offrent l’occasion aux protagonistes de chanter sereinement tour à tour. Le dernier volet de la partition est soudé au second par le moyen d’une transition qui en annonce clairement le matériau. Ce finale adopte la forme d’un rondo, c’est-à-dire d’une structure à refrain. De proportions comparables mais de caractère nettement moins dramatique que le premier mouvement, il est tout empreint d’une grande vitalité rythmique qui évoque l’univers de la danse. Même si, par son atmosphère générale, il se conforme aux conventions de l’époque qui voulaient que ce genre d’œuvre se termine de manière brillante, le mouvement comporte en son centre une section où l’intensification de la tension est nettement perceptible.
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Claire Désert Pianiste – Soliste invitée
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laire Désert est entrée à l’âge de 14 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, elle y obtient le premier prix de musique de chambre dans la classe de Jean Hubeau, ainsi que le premier prix de piano à l’unanimité du jury (prix spécial du concours 1985) dans la classe de Vensislav Yankoff. Admise en cycle de perfectionnement de piano au cours de cette même année, le gouvernement français lui attribue une bourse pour une année d’études à Moscou dans la classe d’Evgeni Malinin au Conservatoire Tchaïkovski. A son retour, elle entre en cycle de perfectionnement de musique de chambre dans la classe de Roland Pidoux. Elle a été invitée aux festivals de Montpellier, La Roque d’Anthéron, l’Orangerie de Sceaux, Piano aux Jacobins… Elle se produit également avec orchestre (Orchestre de Paris, National d’Ile-deFrance, Philharmonique de Radio-France, Symphonique de Québec, Philharmonique de Strasbourg, National de Lille, Symphonique de Budapest). La musique de chambre représente également une part importante de son activité. Elle se produit fréquemment avec le pianiste Emmanuel Strosser, le violoniste Régis Pasquier, le Quatuor Parisii, le Quintette Moraguès, Anne Gastinel, Gérard Caussé, Philippe Graffin…
Photo © Alvaro Yanez
Le premier enregistrement de Claire Désert, paru chez Fnac Musique et consacré à Schumann a obtenu le « 10 » de Répertoire. Fin 1995, sortent sous le même label l’enregistrement des Concertos de Scriabine et de Dvorak avec l’Orchestre Philharmonique de Strasbourg sous la direction de Théodor Guschlbauer, pour lequel elle obtient en 1997 une « Victoire de la Musique », et un enregistrement à deux pianos consacré à Brahms avec le pianiste Emmanuel Strosser, repris par Virgin. Depuis 2001, deux enregistrements avec Anne Gastinel sont parus chez Naïve, l’un dédié à Schumann et l’autre à Schubert. Son enregistrement des Davidbündlertänze de Schumann, œuvre et compositeur de prédilection de l’artiste, enregistré chez Mirare, est sorti récemment, ainsi qu’un CD Dvorak (Danses Slaves) enregistré avec Emmanuel Strosser, toujours chez Mirare. Claire Désert participe régulièrement aux « Folles Journées » de Nantes, Bilbao, Lisbonne, Tokyo, organisées par René Martin. Sur tous les continents, Claire Désert séduit son public par la grâce, la profondeur et l’humilité de ses interprétations. Récemment, Claire Désert s’est produite en récital à Manchester, Amsterdam, Mannheim, Vercelli et Padova , Valence …
Allegro ma non troppo – Andante – Allegro – Allegro – Allegretto
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Symphonie n° 6 En Fa majeur, « Pastorale », op. 68
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eethoven avait l’habitude de composer plusieurs partitions en parallèle. Lorsqu’un problème que lui posait une œuvre ne trouvait pas immédiatement de solution satisfaisante, le compositeur laissait mûrir ses idées tout en se consacrant à une autre pièce. Certaines de ces partitions à la genèse simultanée sont de caractères totalement différents ; on observe ce phénomène pour certaines symphonies, notamment les cinquième et sixième, ainsi que pour les septième et huitième. Mais plutôt que d’opposition, il s’agit en quelque sorte de complémentarité. Ainsi, à la Septième Symphonie au caractère rythmique si accusé correspond une huitième plus sereine, comme à la Cinquième Symphonie particulièrement dramatique répond une Pastorale nettement plus détendue. La Sixième Symphonie date des années 1805-1808. Elle fut créée au cours d’un concert dirigé par Beethoven lui-même, et dont le programme comprenait également la Cinquième Symphonie. Détail qui montre à quel point la genèse des deux partitions est étroitement liée : le jour de la première, les numéros des deux œuvres étaient inversés ; ce n’est qu’au moment de la publication que la numérotation actuelle fut définitivement adoptée. Contrairement à certaines autres œuvres de Beethoven, le sous-titre dont est pourvue la Sixième Symphonie est bien du compositeur lui-même ; en témoigne une lettre de ce dernier à son éditeur, dans laquelle il indique le titre suivant : Symphonie Pastorale ou souvenir de la vie à la campagne, plutôt expression du sentiment que peinture. Il est intéressant de souligner que la tonalité de Fa majeur choisie par Beethoven était associée, depuis la période baroque, à tout ce qui avait trait à la nature, et particulièrement au monde pastoral. Cette partition est extrêmement importante sur le plan historique car il s’agit de la première symphonie à programme de tout le XIXe siècle, genre qui connaîtra à la période romantique la postérité que l’on sait. Le programme choisi par Beethoven la amené à s’écarter du schéma général de la symphonie traditionnellement en quatre mouvements. En plus des indications de mouvement en italien que l’on retrouve ici comme dans toute partition de l’époque, les différents mouvements sont pourvus d’un sous-titre faisant référence à un aspect de la vie à la campagne. Ainsi, le premier mouvement est marqué Éveil d’impressions agréables en arrivant à la campagne ; le second, Scène au bord du ruisseau ; le troisième, Assemblée joyeuse de paysans ; le quatrième, Tonnerre - Orage ; le dernier, Chant pastoral - Sentiments joyeux et reconnaissants après l’orage. Mais sur un plan strictement technique, chaque mouvement obéit à une logique purement musicale. En effet, au fil de l’œuvre, on retrouve exactement les mêmes structures, et dans le même ordre, que dans une symphonie classique. En fait, il n’y a que l’avant-dernier mouvement, l’orage, qui s’affranchisse de ce cadre. Ceci étant dit pour rappeler que si les idées musicales choisies par le compositeur ont évidemment un rapport avec le programme de l’œuvre, les éléments extramusicaux ne suffisent pas à garantir la cohérence et la valeur de la partition, et que celles-ci dépendent toujours de critères purement musicaux, exactement comme dans la musique pure.
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Guy CONDETTE Chef d’orchestre Directeur artistique
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é en 1944 dans le nord de la France, il remporte le Premier Prix du Concours International des jeunes chefs d’orchestre au Festival de Besançon en 1969, et le Premier Prix du concours international des chefs d’orchestre à Salzbourg en 1976. Au cours de sa carrière, il a été chef d’orchestre principal au Théâtre de Lille (ballets et opéras), premier chef d’orchestre à l’Opéra de Nancy, directeur de l’orchestre de chambre «Ensemble Instrumental de Lorraine» à Nancy, directeur de la musique et chef d’orchestre au Grand Théâtre de Limoges, directeur de la musique à l'Opéra de Nantes et des Pays de Loire, chef d’orchestre principal de l’Orchestre de chambre du Limousin. Photo © Frédérique Avril
Il est actuellement directeur de l’Opéra-Théâtre de Limoges, et directeur musical de l’Orchestre Symphonique Régional du Limousin. Il a dirigé l’Orchestre de Paris au festival de Besançon, les orchestres de l’O.R.T.F, de Lille, Strasbourg, Nice, l’Orchestre Philharmonique de Radio France au Festival du Marais en 1977. Il s’est produit dans les théâtres de Nantes, Nancy, Marseille, Metz, Rennes, Lille, Tours, Saint-Étienne, Reims, Rouen, Bordeaux, Avignon, et à l’étranger lors de concerts à Stresa, Padoue, Lausanne, Genève, Liège, Karlsruhe, Luxembourg, Barcelone, Courtrai, Bruxelles, Salzbourg. À Salzbourg, pour la radio autrichienne, il a enregistré en création mondiale trois pièces pour orchestre de César Bresgen, avant de participer, au cours de la saison 1996-1997, à des concerts en Bulgarie et en Pologne. Guy Condette possède actuellement au répertoire plus de 180 ouvrages lyriques, dont plusieurs créations mondiales, et de nombreuses œuvres symphoniques. Il a donné au cours de l’année 1998 plusieurs concerts pour la ville de Naples. L’enregistrement des concerts qu’il dirigea en Bulgarie, a donné lieu à l’édition d’un CD d’œuvres pour orchestre et chœurs. Enfin, il fut l’invité de l’Orchestre de chambre de Varsovie.
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Concert supplémentaire
Cette série de concerts consacrés à Beethoven trouvera son prolongement à l’occasion des 10 ans du Chœur Régional de la Vézère. En effet, le 16 mai à l’Espace des 3 Provinces (Brive – 19) l’OSRL donnera à entendre de nouveau la symphonie n° 6 de Beethoven. L’Orchestre accompagnera également le Chœur Régional de la Vézère auquel sera associé les Chœurs du pays de Bray (chef des chœurs Luc Guilloré) dans la Fantaisie pour piano, chœur et orchestre de Beethoven ainsi que dans Zadok the Priest de G.F Haendel. D’autres œuvres pour chœurs accompagnées au piano seront également au programme.
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Renseignements et réservations à Limoges Renseignements : Concerts produits et organisés par l’Agence Technique Culturelle Régionale du Limousin en partenariat avec l’Opéra-Théâtre de Limoges. 05 55 45 13 85 ou 05 55 45 13 86 E-mail : atcrl-osrl@wanadoo.fr
Réservations : Opéra-Théâtre de Limoges : 05 55 45 95 95
www.operalimoges.fr
Renseignements et réservations en région Saint-Junien (87) Pôle Culturel la Mégisserie 05 55 02 87 98
Bellac (87) Organisé par l’association Bellac sur Scène 05 55 60 87 61
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19, bd de la corderie 87000 Limoges Nadine Fortin - Responsable administrative de l’OSRL Tél : 05 55 45 13 86 / osrl-n.fortin@orange.fr Frantz Doré - Responsable de production Tél : 05 55 45 13 85 / frantz.dore@wanadoo.fr Agnès Halary - Chargée des actions de sensibilisation Tél : 05 55 45 13 84 / atcrl-osrl@wanadoo.fr Stéphanie Ballet – Chargée de communication/contact presse Tél : 05 55 45 13 82 / atcrl-communication@wanadoo.fr
Analyses des œuvres : Pierre-Michel Bédard Crédits photographiques orchestre : Frédérique Avril Toutes les infos culturelles de la région Limousin sur
www.culture-en limousin.fr Président ATCRL : Stéphane Cambou Licence de spectacle : ATCRL – Didier Simon – n°870615