Notice paysagère

Un nouveau paysage grenoblois au parc du Sablons

Balade au bord d’un bras secondaire du Doubs au abords de la ville de Dôle, Juras

Nathan Barré Studio Jean Pierre Vettorello

S6EE

Année 2017-2018

“L’être humain n’est pas à un paradoxe près. Nous sommes de plus en plus urbains, avec toutes les conséquences que cela comporte en matière de rythme et de mode de vie, mais aussi d’artificialisation des sols. Et pourtant, quand on nous demande de décrire notre ville idéale, celle-ci est toujours un lieu dans lequel la nature a toute sa place.”

“La ville biophilique : l’Homme au cœur de la biodiversité urbaine” de Zélia Darnault

SOMMAIRE Localisation et enjeux territoriaux Penser un projet urbain-paysager Le paysage, une opportunité de re-diversifier l’ecosystème urbain Le paysage d’un parc resilient face aux crues Le nouveau paysage des berges de l’Isère

Mobilier décoratif dans la ville de Berne. L’interêt est ici de reveler ce qu’on ne regarde plus ou simplement de poser question.

Tout au long de cette notice, des citations et des photos que j’ai réalisé peuvent apparaître sans necessairement qu’il n’y ait d’équivalent concret dans le projet. Il s’agit donc de refleter la sensibilité que j’ai vis à vis de cette question du paysage et notament de l’importance qu’elle devrait avoir dans la pensée du projet, qui plus est, urbain.

LOCALISATION ET ENJEUX TERRITORIAUX

Mise en valeur des réseaux fluviaux, d’échelle différentes, au nord d’Amsterdam. Industrie lourde, Artisanat, Tourisme, Circulation.

Mise en valeur du paysage du bord de l’Isère et perspective vers les massif montagneux

Canal faisant du quartier Îles Verte une veritable île.

Remise en valeur du cimetière, des espaces verts deja présent ainsi que des ramparts

Le projet consiste en l’installation d’un chemin de canaux entre l’extremité EST du campus et l’extremité OUEST de l’Île verte, ainsi que la création d’un parc innondable au niveau de l’actuelle zone «Les Sablons» permettant de servire de zone de rétention d’eau.

- Meilleure gestion des flux d’eau lors de crues brutal (rappellons le caractère torrentiel de l’Isère) pour permettre un désengorgement des zones innondées rapide.

- Permettre l’apport de respiration urbaine dans ce tissus qui est destiné à se densifier d’avantage (urbanisation de la périphérie au nord de Grenoble. Il s’agit donc de rendre ce qui deviendra le Grand Centre de Grenoble plus agréable .

- Ré-introduire une une faune et flore de surface plus variée à commencé par les insectes à la base et à la fin de la chaïne alimentaire animale.

Un nouveau quartier hors-d’eau.

Avec pour principale contrainte une forte densité couplée de mails végétalisé et d’une frange de bassins pénétrants

Un nouveau parc de ville au centre de Grenoble. les équipement et éléments planté sont pensé pour la résilience face aux crues de l’Isère Échelle de travail : 1-10 000ème

Plan de l’embouchure EST du canal du Sablon Échelle de travail : 1-500ème

Le paysage, une opportunité de re-diversifier l’ecosystème urbain : partie 2.1

Le nouveau paysage des berges de l’Isère : voir partie 2.3

Le paysage d’un parc résilient face aux crues : voir partie 2.2

Isère

PENSER UN PROJET URBAIN ET PAYSAGER

Canal urbain endigué issus du Doubs à Dôle. Balade piétonne coté ville avec beaucoups de densité faisant face à une masse végétale.

2.1 Le paysage, une opportunité de re-diversifier l’ecosystème urbain Coupe schématique de l’aménagement paysager sur une place longue d’environ 20m.

Les vis à vis sont gérer par une petite circulation qui longe le bâtiment ainsi que par la strate arbustive qui va bloquer la vue du rez-de-chaussée dans le cas d’habitation.

L’artificialisation du sol dû à la présence de parking sous-terrain est l’occasion de créer des noues vegetalisés. Petit écrin sauvage, il apporte une faune et flore dans ce parc.

Ils ont pour effet de gerer les écoulement d’eau des environs ainsi que de diminuer la charge soutenue par la structure du parking au R-1.

L’ambiance de la place dépend d’un couvert assuré par la canopée haute et poreuse de bouleaux qui vient créer un masque pour éviter les vis à vis direct entre les logements et les bureaux.

Leurs tronc élancés allonge l’espace de cette place qui devient une annexe extérieure à la bibliothèque du quartier les jours de beaux temps.

Le revétement du sol sera une composition entre minérale et végétale. Les circulation, notamment PMR sont plus facile à gerer sur pavé ou Nidagravel. Mais la présence de pelouse et de mobilier urbain viendra accomoder le jardin de ville.

Exemple de rapport à l’eau par le biai de quai servant de digue. Le contexte rurale de ces quais induit un dimensionnement différents de ceux du projet du quartier du Sablon.

Un parc minéral planté de jeunes bouleaux. La continuité visuelle est ,malgrès la faible hauteur des arbres, déjà assurée.

La gestion des écoulement sur la surface du parc est notament géré par le traitement de sol.

Noue végétale à Zurich. Ici, la végétation s’épanouït de manière naturelle une fois les essences adaptées introduit dans ce petit écosystème.

Exemple de qualité de lumière apporté par la canopée haute et poreuse du bouleau.

Malgrès l’ouverture visuel presque maximum, l’intimité qui peut ètre rechercher dans un parc est apporté par les petits vallons qui ponctuent la surface et l’orientation du mobilier .

2.2 Le paysage d’un parc résilient face aux crues Schéma directeur de la repartition des masses vegetales au profit de la résilience face aux crues de l’Isère.

La répartition des masses végétales se fait au service de la résilience du parc face au crues: Ces zones boisée s’accordent à la topographie pour permettre de faire barrage, de consolider le sol grâce au système racinaire qui aidra au drainage et de coincer les éléments chariés par le courant afin que l’Isère puisse être nettoyée.

La tête de pont du parc. Outre le fait d’équilibrer le rapport entre le parc et le nouveau quartier, cette avancée va permettre de résoudre les problème d’érosion résultant des tumultes de l’Isère. C’est aussi l’occasion de proposer une esplanade publique reliant le campus au quartier, aux croisement de deux ballades sur quai.

La digue se trouvant à quatres mêtres, cette esplanade servira donc de belvedère sur le parc et sur l’Isère, même en cas de crues.

Étendue de pelouse peu entretenue au printemps.

Ce parc de la periphérie ouest de Lyon est entretenue de manière disparate. Certaine zone sont tondue régulierement afin de proposer au usagers des espaces plus facilement pratiquable. Ce premier plan nous montre d’autre surface ou l’herbe pousse de manière plus sauvage, ce qui a pour effet d’apporter une faune et flore variées, qui elles, ne se limitent pas aux zones non - entretenues.

L’entretient du parc, notamment la coupe d’arbres, nous donne des lieux d’aventures et de découverte chez les plus jeunes.

Quelques espèces fréquentes du parc ci - deuss.

2.3 Le nouveau paysage des berges de l’Isère Coupe schématique des deux cas spatiaux les plus fréquent le long de cette nouvellle promenade.

Coupe AA’

BB’

AA’ Ce schéma d’un petit parc de berge, le long de la balade faisant le tour du parc nous montre la manière avec laquelle la végétation, typique des rives de cours d’eau laisse place à un espace au service des visiteurs. Un endroit ombragé grâce à des saules et des platanes.

Du mobilier urbain peut être ajouté à condition de le fixer au sol pour les jours de crue.

Coupe BB’

Le lit de l’Isère est ponctué de nombreuses avancées de graviers sombre. Il serait intéressant de mettre en valeur ces «plage». (voir la partie arrière de cette berge en dessous)

Exemple de végétation sauvage sur les berges d’un bras du Doubs. Quant à la balade le long de l’Isère, la proximité avec la rivère induirait des sols marécageux. Une vegetations similaire serait donc possible et bénfique d’un point de vue écologique.

Arrière plan de la photo ci - dessus. Espace couvert agrémenté de bancs le long de la balade le long des berges. On peut alors imaginer différents usages: pause, pique nique, partie de pêche, ...

Rapport à l’eau différents le long d’un berge. Ici, la balade quitte le canal lentement et s’en sépare par un rideau d’arbres feuillus.