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Les bombardements alliés touchent une partie du centrebourg ainsi que les secteurs Renaissance et Mare-Rouge. Environ 400 maisons et immeubles sont détruits ou jugés irréparables. Il en est de même pour la gendarmerie ou l’école des filles. On compte plus de 5 000 sinistrés sur les 20 000 habitants de la commune.
ÉGLISE
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FORT DE SAINTE-ADRESSE
Sanvic, impact des bombardements du 12 septembre 1944. La zone encadrée pour les besoins de l’exposition se situe autour de la place Raymond Poincaré et des rues Lamoricière et Philbert Soulais. Photographie aérienne 1945, IGN Remonter le temps.
Sanvic, au début des années 2000. La zone encadrée pour les besoins de l’exposition est identique à celle repérée sur la photographie de 1945. Elle correspond au secteur reconstruit après-guerre. Photographie aérienne. Collection Gérard Lejeune.
1945-1965 MAIRIE
Sanvic, secteur de la mairie. Après-guerre, le parcellaire en lanières est encore caractéristique du quartier. Photographie aérienne 1945, IGN Remonter le temps.
Une reconstruction de style régionaliste est privilégiée à Sanvic à l’instar du quartier Saint-François au Havre. Toiture à deux pans et parement de brique rouge dissimulent les structures porteuses en béton. À cette époque, le parcellaire en lanières est encore très préservé. Des arbres fruitiers et des potagers agrémentent les jardins.
1953
Confrontés à l’augmentation continue de la population et des coûts induits sur le budget communal, les élus de Sanvic acceptent, après des années d’opposition, l’annexion au Havre.
1955
Un décret rattache Sanvic au Havre. La dynamique de construction et de densification se poursuit jusqu’à aujourd’hui.