Dossier de presse
Sommaire
Gustave Bertinot
(1822 - 1888)
Communiqué de presse Parcours de l'exposition Chronologie
Graveur d'interprétation
Le catalogue Autour de l'exposition Remerciements Le Musée de Louviers Infos pratiques Visuels disponibles pour la presse
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Le Musée de Louviers a le plaisir de vous convier à venir découvrir sa nouvelle exposition temporaire dédiée à Gustave Bertinot à l’occasion du bicentenaire de sa naissance. Celle-ci sera visible du 23 juin au 23 octobre 2022 dans sa Galerie des éphémères.
Sa gravure "La Belle jardinière", d’après le tableau de Raphaël conservé au Louvre, obtient également une médaille d’or à l’Exposition Internationale de Vienne en 1882. Le couronnement de ce parcours artistique est établi par son entrée à l’Académie des beaux-arts en 1878.
Fils de fabricants de drap au moment où l’économie textile est à son apogée, ce Lovérien de naissance a suivi des études classiques puis a consacré sa carrière à la gravure d'interprétation. Dans l’esprit du 19è siècle, il donne un équivalent graphique aux chefs d’œuvres de la peinture ancienne et contemporaine, participant ainsi à la multiplication et à la diffusion des images.
Gustave Bertinot, attaché à sa ville natale, a donné à la Ville de Louviers un exemplaire de vingt-neuf de ses œuvres sur trente neuf réalisées au cours de sa carrière . Après une campagne de restauration, débutée il y a plus d'un an et soutenue par la Direction Régionale des Affaires Culturelles de Normandie, le Musée de Louviers vous propose de découvrir les œuvres de ce graveur au travers d'une déambulation chronologique. Une occasion de mettre en avant un artiste qui a fait rayonner la Ville de Louviers dans toute l'Europe au 19è siècle, mais aussi de mettre à l'honneur un art injustement méconnu : la gravure d'interprétation.
Son œuvre est consacré par l’obtention du Grand Prix de Rome en 1850 pour sa gravure "Étude académique d'après nature" réalisée à partir d'un modèle vivant. Il reçoit à son retour de la Villa Médicis de nombreuses commandes de particuliers, de professionnels comme Adolphe Goupil ou de l'État. Il obtient par la suite trois médailles d'argent au Salon en 1861, 1863 et 1865, puis une médaille d'or en 1867 pour un ensemble de six gravures qu'il présente pour l'Exposition Universelle. La même année, il est fait chevalier de la Légion d’honneur.
Parcours de l'exposition
Gustave Bertinot
(1822 - 1888) Graveur d'interprétation 1822 -1855 De Louviers à Rome
1856 -1877 Des débuts prometteurs à la consécration
1878 -1888 L’Académicien
Parcours de l'exposition 1822-1855 De Louviers à Rome Gustave Bertinot est né à Louviers le 23 juin 1822 dans une famille de fabricants de drap. Très tôt, sa santé donne de vives inquiétudes à ses parents. Il est atteint de la poliomyélite dont les séquelles motrices sont irrémédiables. Soigné, il doit vivre avec un handicap qui limite ses déplacements. Il suit néanmoins une scolarité normale mais très vite se pose la question de son avenir. Ayant pris goût au dessin, ses parents n’hésitent pas à encourager sa vocation artistique. C’est ainsi qu’il entre dans l’atelier du graveur Hippolyte Pauquet, puis dans celui d’Alexis-François Girard. C’est chez eux, qu’il s’initie à la gravure en taille douce, un art difficile et minutieux. En1845, il entre à l’École des beaux-arts de Paris. Il travaille le dessin dans l’atelier de Michel Martin Drölling, et poursuit l’étude de la gravure dans celui d’Achille Martinet. C’est ce dernier qui l'encourage à concourir pour le prix de Rome en 1848. Gustave Bertinot doit s’y reprendre à deux fois avant que l’Académie des beaux-arts ne lui décerne en 1850 le premier prix dans la section gravure. Lauréat, il part à Rome avec pour compagnon de route les peintres Paul Baudry et William Bouguereau, le sculpteur Charles Gumery, l’architecte Louis-Victor Louvet et le compositeur Joseph Charlot. En tant que pensionnaire de la Villa Médicis, il a l’obligation de réaliser une série de travaux. Durant ces cinq années, Gustave Bertinot réalise le "Portrait du pape Clément IX" attribué alors à Vélasquez puis , "La Vierge du rosaire" d'après Il Sassoferrato (visuel ci-contre).
Parcours de l'exposition 1856-1877 Des débuts prometteurs à la consécration En 1856, au terme de son séjour à la Villa Médicis, Gustave Bertinot s’installe à Passy (Haute-Savoie). C’est là qu’il fait la connaissance de Léonie Soyez (1827-1907), petite-fille d’un général d’Empire. Léonie est née à la Guadeloupe d’un père négociant en canne à sucre et d’une mère esclave. Affranchie en 1832, elle arrive en France en 1840. Léonie et Gustave se marient en1857 puis quittent Passy pour s’installer à Paris. De cette union naissent quatre enfants. Le prix de Rome et les envois qu’il a fait parvenir à Paris l’ont fait connaître et lui permettent de recevoir des commandes. C’est la Maison Goupil qui lui passe sa première commande en 1857. Cette célèbre galerie d’art, demande à Bertinot de graver une planche d’après un tableau intitulé "L’Amour fraternel" peint en 1851 par son ami William Bouguereau (visuel ci-contre). Cette gravure est celle que Bertinot choisit de présenter pour sa première participation au Salon en 1859. Entre 1856 et 1878, Gustave Bertinot grave 22 planches pour différents commanditaires. Au-delà de la Maison Goupil, il est amené à travailler pour la chalcographie du Louvre, la Société française de gravure, des galeries d’art et des particuliers. Pour ne prendre que quelques exemples, en 1857, il reçoit sa première commande de l’État pour terminer une planche commencée par un autre graveur, d’après le tableau peint par Luini Bernardino intitulé "Hérodiade". En 1867, c’est la Galerie Durand-Ruel qui lui commande une gravure au burin d’après le tableau de Hugues Merle intitulé "Marguerite essayant les bijoux".
Parcours de l'exposition 1878-1888 L’Académicien Gustave Bertinot reçoit à trois reprises une médaille d’argent au Salon, en 1861, 1863 et 1865. Les six gravures présentées à l’Exposition universelle de 1867 à Paris lui valent un premier prix. La même année, il est fait chevalier de la Légion d’honneur. L’entrée en 1878 à l’Académie des beaux-arts constitue le couronnement de son parcours. Après avoir posé une première fois sa candidature en 1873 il est finalement élu en 1878 après le décès d’Achille Martinet. C’est à cette période que G. Bertinot décide de faire don de ses gravures au Musée de Louviers. Il fait en tout quatre dons (1878, 1882, 1886 et 1888) formant ainsi un ensemble de vingt-neuf gravures. Entre sa nomination à l’Académie et son décès, Bertinot grave 10 planches parmi lesquelles se trouvent certainement les plus belles de sa carrière comme "La Vierge, l’Enfant Jésus et saint Jean Baptiste" d’après William Bouguereau ou "Le Christ en croix" d’après Philippe de Champaigne. Gustave Bertinot meurt en 1888 à l’âge de 66 ans alors qu’il interprète pour la Société française de gravure une toile représentant Saint François d’Assise bénissant sa ville natale. En trente ans de carrière, on compte trente neuf gravures de sa main. La gravure de reproduction exige du temps entre le dessin, le travail sur la plaque de cuivre, les épreuves d’essai et l’épreuve définitive sortie de la presse.
Le graveur n’est que le traducteur juré de la peinture […]. Je puis dire que l’exactitude de la reproduction est la probité de la gravure. Gustave Bertinot
Chronologie
GUSTAVE BERTINOT
REPÈRES BIOGRAPHIQUES
23 juin 1822 Naissance de Gustave Nicolas Bertinot à Louviers.
1859
Vers 1837
Participation à son premier Salon où il présente une gravure représentant "L’Amour Fraternel" d’après William Bouguereau.
Gustave entre dans l’atelier du graveur Hippolyte Pauquet.
1867
Septembre 1845
Nomination au grade de chevalier de la Légion d'honneur.
Il entre à l’École des beaux-arts de Paris
Première participation au Grand Prix de Rome.
1875 G. Bertinot est nommé professeur de gravure à l'École des beaux-arts de Paris.
1850
1878
Seconde participation au Grand Prix de Rome. L’Académie des beaux-arts lui accorde le premier Grand Prix de Gravure en taille douce.
G. Bertinot est élu membre de l’Académie des beauxarts – section gravure Il fait un premier don au Musée de Louviers (11 gravures).
1848
1851-1855 Séjour à la Villa Médicis, Rome.
Chronologie 1882 Deuxième don de Gustave Bertinot au Musée de Louviers (5 gravures).
1886 Troisième don de l’artiste au Musée de Louviers (11 gravures).
1887 Participation à son dernier Salon où il présente une de ses dernières œuvres : "Luigi Cherubini et la Muse de la poésie lyrique" d’après le tableau de JeanDominique Ingres.
15 avril 1888 Inauguration du Musée de Louviers en présence du fils de G. Bertinot, Émile. Quatrième don de l’artiste au musée de Louviers (2 gravures et un médaillon de Bonnardel).
19 avril 1888 Décès de Gustave Bertinot à Paris (6e arrondissement).
Catalogue Préface par François-Xavier Priollaud, Maire de Louviers Avant-propos par Cédric Pannevel, directeur du musée Gustave Bertinot (1822-1888) par Claude Cornu Collection Bertinot, petite histoire d'un fonds de référence par Cédric Pannevel Catalogue 1848-1855 : Grand Prix de Rome et le séjour à la Villa Médicis 1856-1877 : Des débuts prometteurs à la consécration 1878-1888 : L’académicien Postface Étienne Lodého - Résonnance contemporaine Annexes Liste des œuvres exposées et non reproduites Repères biographiques Gustave Bertinot à Rome
Catalogue Ce catalogue d'exposition vous invite à plonger dans l'univers de la gravure d'interprétation du 19e au travers du parcours de Gustave Bertinot. Claude Cornu, professeur agrégé de lettres classiques et viceprésident de la Société d'Études Diverses de Louviers, relate l'histoire personnelle de cet artiste né à Louviers grâce à des recherches approfondies réalisées pour l'occasion. Angélique Bunel, chargée des collections du Musée de Louviers, et Cédric Pannevel, directeur, vous propose des explications d'œuvres au travers de trois étapes chronologiques reprises dans l'exposition. Étienne Lodého, graveur normand, a été invité à réaliser une œuvre contemporaine afin de proposer une ouverture sur la gravure du 21e siècle. Il explique son propos dans une postface destinée à la résonnance contemporaine. Ouvrage réalisé sous la direction de Cédric Pannevel 120 pages Tarif : 15 euros © Musée de Louviers ISBN : 978-2-912947-55-0 Dépôt légal : juin 2022 Imprimé à Louviers (France)
Avec le soutien financier de la Direction des Affaires Culturelles de Normandie Auteurs Claude Cornu, Angélique Bunel, Cédric Pannevel, Flamine Bouvet
Autour de l'exposition
Gustave Bertinot
(1822 - 1888) Graveur d'interprétation
JEUDI 23 JUIN : L'OUVERTURE L'exposition ouvrira ses portes le jeudi 23 juin 2022, à l'occasion du bicentenaire la naissance de Gustave Bertinot né le 23 juin 1822. Des visites commentées privilèges, honorées par le directeur du musée Cédric Pannevel, sont organisées à destination des forces vives de la Ville de Louviers afin de célébrer cette date anniversaire exceptionnelle.
JEUDI 30 JUIN : LE VERNISSAGE François-Xavier Priollaud, Maire de Louviers, Sylvie Langeard, maire-adjointe chargée de la vie culturelle et du patrimoine historique, la Municipalité, et Cédric Pannevel directeur du Musée de Louviers, vous convient au vernissage de l'exposition le 30 juin 2022 à 18h.
Autour de l'exposition LE SERVICE DES PUBLICS Tous les premiers dimanches du mois le service des publics propose une visite commentée gratuite de l’exposition (durée d'environ 1h) : 3 juillet 2022 7 août 2022 4 septembre 2022 2 octobre 2022
JOURNÉES DU PATRIMOINE Comme tous les ans, le Musée de Louviers participe aux Journées européennes du Patrimoine qui se dérouleront les 18 & 19 septembre 2022. Au programme du samedi 18 : Découverte historique et architecturale du musée Au programme du dimanche 19 : Découverte de la gravure par Étienne Lodého, graveur Conférence sur la vie de Gustave Bertinot par Claude Cornu, professeur agrégé
POUR LES SCOLAIRES Découverte de l’exposition en groupe, trois options sont proposées sur inscription uniquement auprès du service des publics : isabelle.aubert@ville-louviers.fr La visite commentée Visite commentée de l’exposition accompagnée d’un médiateur culturel. Durée : environ 1 heure. La visite commentée / atelier Visite commentée et atelier de pratique artistique animés par un médiateur culturel. Durée : environ 2 heures. La visite libre Aidé d’un dossier pédagogique et après un rendezvous avec le service d'accueil du musée, l’enseignant fait découvrir l’exposition à ses élèves. .
Remerciements Remerciements par Cédric Pannevel, directeur du musée Cette exposition a été rendue possible grâce à la volonté des élus de la Ville de Louviers, en particulier de François-Xavier Priollaud, maire de Louviers, et Sylvie Langeard, maire-adjointe chargée de la vie culturelle et du patrimoine historique. Ce projet a pu être mis en œuvre grâce au soutien financier de la Direction des Affaires Culturelles de Normandie pour la restauration des œuvres de Gustave Bertinot et la réalisation du catalogue. Qu’elle reçoive ici l’expression de toute notre gratitude pour son appui indéfectible et sa confiance. Toutes les gravures de Gustave Bertinot conservées au Musée de Louviers ont été restaurées par Olivia Michel-Dansac, restauratrice papier. Un grand merci à elle d’avoir mis son expertise, sa patience et son savoir-faire au service du musée et d'avoir redonné à cet ensemble un lustre que le temps avait altéré. Ces gravures ont été photographiées après restauration par JeanPierre Copitet, photographe professionnel. Qu’il soit ici remercié d’avoir accepté dans un temps record de mettre son talent au service du musée et de ce catalogue. Merci à Claude Cornu, vice-président de la SED, d’avoir accepté d’écrire la biographie de Gustave Bertinot et de faire toutes les recherches nécessaires à ce travail. Mille mercis à Étienne Lodého, graveur contemporain, d’avoir accepté de jouer le jeu de la « réinterprétation », donnant au travail de Bertinot un souffle nouveau. Nous tenons à exprimer nos sincères remerciements aux institutions suivantes pour leurs prêts généreux :
Musée des Beaux-Arts d’Orléans et sa directrice Olivia Voisin Musée de Tessé du Mans et sa directrice Alice Gandin Musée de Lons-le-Saunier et son directeur Jean-Luc Mordefroid Musée du Louvre et sa directrice Laurence Des Cars Musée de la musique de la Philharmonie de Paris et sa directrice Marie-Pauline Martin Ainsi que les prêteurs particuliers : Monsieur et Madame Meyer Monsieur Bouvet Monsieur et Madame Lauffenburger et ceux qui ont souhaité garder l’anonymat. Merci à la Bibliothèque nationale de France de nous avoir permis de reproduire dans ce catalogue certaines gravures de Bertinot absentes du fonds du Musée de Louviers. Nous exprimons également notre reconnaissance à toutes les institutions et les personnes qui ont apporté, à divers titres, leur aide et leur collaboration dans la préparation de ce catalogue et de l’exposition : l’Association des Amis du Musée de Louviers et son président Frédéric Moy la Société d’Études Diverses de Louviers et son président JeanPierre Binay le service des Archives de l’Agglomération Seine-Eure et sa directrice Vanina Gasly la médiathèque Boris Vian de Louviers et sa directrice Christelle Rose Bernard Guibert ; Hervé Bertinot, Dorothée Gillmann ; Jean-Gérald Castex ; Flamine Bouvet Fabienne Gleye directrice du Pôle culturel de la Ville de Louviers, sans oublier toute l’équipe du Musée de Louviers.
Infos pratiques CONTACTS PRESSE : Cédric Pannevel, directeur 02 32 09 58 71 cedric.pannevel@ville-louviers.fr
Ouvert du mercredi au lundi De 14h à 18h
Gratuit
02 32 09 58 55
musee@ville-louviers.fr
www.ville-louviers.fr
Laura Chandellier, chargée de la communication 07 87 07 93 67 laura.chandellier@ville-louviers.fr
ÉQUIPE DU MUSÉE : Cédric Pannevel Directeur du Musée Isabelle Aubert Médiatrice culturelle Angélique Bunel Chargée des collections Mélanie Dassonville Chargée d'accueil et de la documentation Laura Chandellier Chargée d’accueil et de la communication Maria-Héléna Peroval Chargée d’accueil et du suivi administratif Nasser Khanouche Chargé d’accueil et de la maintenance Séverine Hurel Technicienne de surface
Musée de Louviers Place Ernest Thorel 27400 Louviers PAR L' AUTOROUTE : A13 sortie 18 en venant de Paris A154 (Evreux-Louviers) en venant de Rouen. PAR LA SNCF : Ligne Paris/Rouen, arrêt gare de Val-deReuil puis bus pour direction Louviers.
Le Musée de Louviers
&
3 GALERIES D'EXPOSITIONS PERMANENTES 1 GALERIE D'EXPOSITION TEMPORAIRE
La Galerie Beaux-Arts présente un bel ensemble d’œuvres racontant à sa manière un pan de l’histoire de l’art. Depuis 2021, les pièces emblématiques des collections du Musée de Louviers sont exposées dans la salle du premier étage de façon permanente. De Jean Nicolle (17e siècle) à Benjamin Vautier dit BEN (21e siècle) en passant par CarolusDuran ou Robert-Antoine Pinchon (19e siècle), la scénographie chronologique évoque la hiérarchie des genres. La Galerie Arts Décoratifs propose au public de découvrir ce qui a établi le fonds du Musée de Louviers à sa création. Des céramiques de Rouen de Masséot Abaquesne, aux céramiques de style hollando-chinois, en passant par un cabinet de curiosités d’époque Louis XIV, les œuvres présentées sont remarquables par leur qualité et leur rareté. La Galerie industrie textile retrace, au travers de son parcours muséographique, l’histoire de l’activité textile à Louviers. De la force à tondre aux machines post-révolution industrielle, en passant par le métier Jacquard, cette galerie s’impose comme un garant de la mémoire de la cité drapière. La Galerie des expositions temporaires accueille des expositions chaque année. Soutien à la création contemporaine, mise en lumière de nouveaux thèmes ou mise en valeur des collections, cette galerie permet de proposer une offre culturelle toujours nouvelle à son public.
Visuels disponibles Marguerite essayant les bijoux d'après Hugues Merle, 1867, 43,7 x 30,8
Anton Van Dyck d'après l'autoportrait de Van Dyck, 1865, 43,8 x 34,8 cm
Visuels disponibles Le billet d'après Auguste Toulemouche , 1861, 45 x 31,1 cm
L'amour fraternel d'après William Bougereau, 1855, 42,8 x 31,7cm
Visuels disponibles Thisbé d'après Edwin Long 1885, 58,8 x 35 cm Académie d'homme d'après nature, dessin