« À propos de sujets, j’en ai trois […] : mon roman flamand de la jeune fille qui meurt vierge et mystique entre son père et sa mère, dans une petite ville de province, au fond d’un jardin planté de choux et de quenouilles, au bord d’une rivière grande comme l’Eau de Robec. » Lettre à Louis Bouilhet, 14 novembre 1850
1850
« As-tu pris un parti ? est-ce toujours Don Juan ? est-ce l’histoire de Mme Delamarre [sic], qui est bien belle ? » Lettre de Maxime Du Camp, 23 juillet 1851
1851
« J’ai commencé hier au soir mon roman. J’entrevois maintenant des difficultés de style qui m’épouvantent. » Lettre à Louise Colet, 20 septembre 1851
1852
« Si tu savais ce que je retranche et quelle bouillie que mes ms [manuscrits] ! Voilà 120 pages de faites ; j’en ai bien écrit 500 au moins. » Lettre à Louise Colet, 15-16 mai 1852