« Mon malheureux roman ne sera pas fini avant le mois de février. » Lettre à Louis Bouilhet, 10 octobre 1855 « Ma Bovary est sur le point immédiat d’être baisée et je cherche le mouvement dont j’ai la fin. […] Revenu ce soir à 10 heures, et un peu excité par les fumées du vin, j’espère trouver mon coït. » Lettre à Louis Bouilhet, 25 décembre 1853
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« J’ai écrit huit pages. Ai-je gueulé ! » Lettre à Louis Bouilhet, 25 décembre 1853
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