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« après plus d’une année d’administratif, il est temps de passer aux choses sérieuses et de vous montrer qui on est »
Première
mains la toute première paBonjour, vous tenez entre vos aux présentations, enchanté. rution «turbain». L’heure est istratif, il est temps de pasAprès plus d’une année d’admin de vous montrer qui on est. ser aux choses sérieuses et des artistes de la scène geneTurbain est un label qui réunit rbe du monde et un fort besoin voise, mûs par une vision ace de création est une structure ire rato d’expression. Notre labo propre lieu de production, fiautonome qui dispose de son institutions. Musique, vidéo, nancé par divers mandats et s sont bons pour unir nos yen photo, street art, tous les mo sente un aperçu des réalisaforces. Ce premier numéro pré et des artistes qui ont déjà tions des membres de turbain vous vous délecterez de que t rejoint le collectif. En espéran à bientôt. la visite, on vous embrasse et s proposons une reflexion Pour commencer, nous vou «sens» du graffiti. de Gues SDK WUFC sur le s la presse et les ouvrages Il me semble que le writing dan ment ne s’encombrent guèsur le graffiti disponibles actuelle passerait-on pour un abruti? re d’écriture. A trop réfléchir, es, mais peu de textes, et cert On trouve de belles images, prendre un risque théorique. encore plus rarement prêts à Pourquoi?
à ma droite: fabulous fourreSur le ring des lieux communs, hip-hop. tout, à ma gauche: king zoulou imilé aux autres pratiques ass t ven sou plus le est Le graffiti ) sans plus de distincans slog s, urbaines (affiches, pochoir point commun: leur espace tion, pourtant, elles n’ont qu’un
cisément le milieu urbain. Et d’expression. C’est à dire pré même temps que la culture s’il est apparu en France en dans des émissions telles que hip-hop importée des USA ne lui est pourtant pas réduccelles de Sydney en 1984 - il tible. tre, le graffiti se retrouve enAinsi parasité de part et d’au me signe d’un malaise des tre les mains des médias com enthèse dans la vie d’un par une banlieues... Il ne serait qu’ ent le fait d’une catégorie adolescent et donc exclusivem les plus talentueux, le graffiti socio-culturelle précise. Pour rive gauche, tandis que le tag rie serait une étape vers la gale ple vandalisme. serait à bannir au rang de sim cisément ce genre d’assopré t c’es e: neri con Ramassis de s qui créent une impressen ciations ou plutôt glissement de i». Une confusion généralisée sion de «grand n’importe quo n phénomène complexe parqui empêche toute analyse d’u onçait Baudrillard, qualifiant le ce que paradoxal (comme l’én s tous les sens du terme). graffiti de pratique «gratuite» dan et exposons le paradoxe du Prenons des risques donc, uvements: graffiti en trois temps, trois mo nyme Pratique égocentrique mais ano insensée pas s mai s sen de Pratique vide e Pratique politique sans messag Graff = Art Round 1: Tag = Vandalisme / ment d’un long processus isse out l’ab pas t n’es ce» La «piè es seraient le «tag» et le étap les t de création esthétique don es spécifiques. «throw up». Ce sont trois form r chacune d’elle ne sera pas Le choix du support urbain pou s au contraire une volonté mai t une histoire d’embellissemen tes. Le graffiti sort du cadre, de lui échapper, refuser les limi sus (to throw up = vomir en s’en moque, il lui dégueule des r lui réserver des espaces pou anglais). Les tentatives faites prement absurdes. Il ne s’agit autorisés sont en ce sens pro
prier l’environnement. Le cripas de déco, mais de s’appro sera peut-être de l’ordre de la tère de sélection du support out la visibilité qui prévausurt prise de risque, mais c’est dra.
Interpréter le graffiti comme un Round 2: «Là où ça pisse...». e, pas si simple! volonté de marquer un territoir le «tag» désigne l’étiquette ent alem initi ire: Un peu d’histo rent nom, adresse et destina collée sur un bagage où figu ctieffe tion d’étiquetage est tion du propriétaire. Cette fonc gs américains ou brésiliens gan ains cert vement reprise par il d’appropriation d’un terriqui utilisent le tag comme out lit une géographie urbaine étab toire, inscription cryptée qui parallèle. (les hobbos) comme pour Ces inscriptions, pour les SDF transmettent un message seles gangs latino-américains, par les initiés. Elles finissent cret visant à n’être compris que asite du réseau signalétique par créer un nouveau code, par urbain. mune aux taggueurs. Pour Cette notion de code est com des informations, juste d’afeux, il ne s’agit pas de donner curence d’emprunt - cryptée firmer une identité - en l’oc le plus possible et le plus éter graphiquement et de la rép visiblement possible. territoires, cette interprétaEt il ne s’agit pas de luttes de e liée au graffiti. En efmêm é tion est réfutée par la mobilit yorkaise de cette pratique, les fet, inspiré par l’histoire new autres camions sont autant de métros, trains de banlieue et pièces et les flops circulent cibles privilégiées. Les tags, les el, il n’est plus question de et envahissent tout l’espace visu » et «détruit» son environnefrontières. Le graffiteur «frappe ce n’est plus simplement une ment pour se le réapproprier, une volonté de saturation de s lutte entre factions rivales mai l’espace urbain. de reconnaissance sociale Par ailleurs, il ne se soucie pas se répète, circule, est visité ou populaire. Seul le nom cryp ble et acquiert une notoriété.
la saturation semble vouloir mais mais en plus le graffiti par il connaît, l’autre: l’officiel, la occulter la lisibilité du code qu’ aux urbains. En résumé, Mr. signalétique élaborée des rése Lambda ne capte plus rien. l’ordre des signes et la confuEt là, c’est le drame: défaire sion règne. asites ne répondent en effet Mon explication: ces signes par multiplication, ces inscriptions à aucune autre logique que la oration syntaxique du sens par leur refus même d’une élab loser l’organisation spatiale semblent, par contact, faire exp des réseaux urbains.
nd la peur s’installe... Round 3: «Love me tender». Qua on aux vitres rayées ou wag un s Mr Lambda s’installe dan es, des tags illisibles à l’encre passées à l’acide, sur les sièg angent, la graphie est incisidégoulinante, les lettres se mél e. Mr Lambda a l’impression ssiv ve... donc visuellement agre crime reconstituée... comme d’évoluer dans une scène de minement est simple, «si les à la télé. Dans sa tête, le che tels actes...». Doucement, de autorités laissent commettre e: viols en réunion, viols avec insidieusement s’installe la suit dérapage est possible. Et la violence, pour Mr. Lambda le e que le taggueur choisit par pression et d’autant plus fort s une vitre rayée aurait pu être nécessité d’être invisible. Mai . Il ne s’agit donc que du prebrisée, un siège taggé lacéré.. dalisme: la violence symbolimier degré de l’échelle du van que. r reste dans l’ombre d’abord Fantôme du réseau, le taggueu pour défaire le «bon ordre des pour salir, envahir c’est à dire à un niveau plus profond pour choses» mais aussi et surtout effet, si aucun secret ni mesdéfaire l’ordre des signes. En codes, juste un pseudo qui sage ne se cache derrière ces e à une personne et que Mr renvoie de façon anecdotiqu le chaos s’installe, et ça, insLambda ne parvient pas à lire, est le milieu urbain, ça effraie. crit dans ce réseau surcodé qu’ retrouve dans la position de Non seulement Mr. Lambda se au dont il n’a pas la clef, rése un s l’analphabète perdu dan
s: le geste est politique mais Chers lecteurs, accrochez vou tel, pas de slogan, pas de ne se revendique pas comme conséquence, sans faire exmessage. Il est politique par son cryptage tourne à vide, près, précisément parce que signes. des re parce qu’il crée un désord fflent, abandon par chaos» Round 4: «Les corps s’essou qu’il s’attaque aux signes et Le geste est politique parce vandalisme n’est que le degré pas seulement aux objets, le attaque litéral sur la société, zéro de son expression, son sournoise... Reste la quesson attaque sémantique est plus l’efficacité du geste politique. tion de l’efficacité de tout ça, pas Jean-Pierre!) a posé une Foucault (le philosophe Michel, ontrant que toute démocrahypothèse intéressante en dém espace de subversion, une n d’u tie a besoin pour survivre ment au cœur même du sys soupape au système précisé tème... puis quoi? Défaire l’ordre des signes, et dans le réseau et utilisent ent ferm s’en urs ffite Certains gra survie en milieu urbain (masleur parfait petit matériel de Les rats du métro sont les ques, gants, pince coupante). . Les efforts et les moyens rares témoins de leurs exploits des clés du métro, grillages propres au petit banditisme (vol bombe dévalisé, visage mas coupés, étal de peinture en es, urd abs e voir roportionnés, qué...) sont réellement disp e. Que se passerait-il si cette indr atte à but au t par rappor étaient utilisées à d’autres rgie determination et cette éne rilla urbaine? fins? Révolte, terrorisme, gué
dans les tunnels des métros «-Des jeunes gens s’épuisent des grandes capitales!» cette énergie pour déstabili«-Tant mieux! Ils n’utilisent pas ser quoi que ce soit...» s sont peints, quelques voiLes vitres sont rayées, les train ulent et la caravane passe... tures brûlent, les drogues circ ble: la présence du graffiti com En conclusion, et c’est un des espaces de subversion peut être comprise comme un ent d’un système démocratiinhérents au bon fonctionnem st à dire que quelque part C’e que (soupape Vs statu quo). il lui est utile! Le serpent se mord la queue
et en plus, il s’en moque.
Gues SDK WUFC 2008.
Gasore
nt o s s o t o h p s e « s ts des consttab uts simples e cure t de son vé ivers » de son un
y a passé toute Onex, Gasore d’ r tie ar C’est qu le ns elques parcs. Né en 1986 da meubles et qu im phos s le de tre ire en met à fa son enfance, t que lorsqu’il se sont en e m or lle as re G tu de na donc tout si les photos Et . vie trer sa r on tre m mon il tend à tos il tente d’y que son trava e e rc pa qu t an es m c’ n elle, so si peu peuplées tre société actu s: no in de ba e ur in rs ba co ur dé la structure travers de d’humanité. Au et cultures endroits vides de couleurs et s, rc pa s, Ses ur to , es bl it tous les jours. grands immeu vie, ce qu’il vo de sa et se cu po vé ex n il so et bruts de alternatives, es pl m si , ts ns ta ge s cons t bien des photos sont de vie qu’enduren la a de y i il ss oi au qu s ai ur son univers, m . C’est aussi po ces immeubles il vient ces où d’ e qu e rc qui vivent dans pa , ls re tu na ysages le bitume. très peu de pa , absorbés par ts en és pr u pe s derniers sont trè
, ville et de sa vie t aspect de sa ce en à r en ite bi i lim ss s. Au Mais loin de se ctions possible e toute les dire avec ses recher , in ss de n Gasore explor ’e qu , ifie irs us ve m di n ’il se ou qu’e photos, lorsqu vers du graffiti, ique dans l’uni ph punk au rap en ra du llig ca nt vo es i ch projets, qu x eu br m no s que avec se métal. uche à tout. Sa passant par le ciplinaire et to is id ur surpl t es e endre et de se En bref, Gasor t l’envie d’appr an ét n tio iva ot principale m e. oluer sans cess passer, pour év ch/gasore www.darksite. et .n www.sulfuria
s u o n e u q s r o l « a ais m a j s n o v a y ’ n ut cru, il nousrefaà nous rend , c’est l’évidence manger bel et bienangé » ou être m
t e l e t r a Julie M que e pas omettre ut tout de mêm et fa se ne eu il er rt, ng pa da t D’une autre n seulemen no t es rs ho de pidante. cette jungle du duisante et tré l o s aussi belle, sé v nte de l’osier ai n m lla e ei e, n cu nt o s ac ya ra eff Prendre r familière et eu al ch la soulève de us de Le souvenir le vent qui no d an qu s id d. po ni s le r. au bout de quitter le du nid ne fait pa du courant d’ai plonger jusqu’ Ô qu’il est dur la tornade que deux avec aie vie, de s’y de vr à us la ts pl ns en nt da tie em pi fin terre D’entrer en ulte, les pé ad vie sauvages la si et in de s otions pure L’adrénaline hors, combien ém de s le , du du bec. s es te èr rè congén avant. peine d’être vé choses conc de charmants nt les soucis d’ filets valent la se is ns Comparés aux ra la sa ce pa ce ut us en to it st no xi uivala permet agréables que procure l’e tel ramage éq et quitter le nid gnifiants mais sedemander si ux fois qu’une de de ux ôt ut do pl t s ai ét cu Ah qu’il ues, en arrivera fiaussi. s béantes tend s contres, on le le eu et i à tel langage. gu ur s po de s i le ser o car c’est ains sormais fin On a beau pe lendide ex æqu maman. Car c’en est dé sp de es un qu se à e as frs un ch t l’a ou ut es être à butin de nalement touj ni qualifiable. To be la charge d’ avides, vers le n attend et ce , ni quantifiable graine, enant qu’incom l’o vie nt re e ai la nd m qu st oi ’e us m ce qu no la de r à ut su , rto C’est ux su de et s e vu est pas il, le bon de tion de point de compte, s’il n’ fût, d’ouvrir l’œ re de et de donner. , car en fin de rm au pe se se is ur ne pas perd n rm l’o ve e qu le moindre ose est sûre, po en. ch d’ e tre et un au e es it, m un nn so th ur bo ry t po uver son Quoi qu’il en ues par de tro nd de te t s pour nous, il es es tte c’ ie nt m porta ’entre parfois des la hauteur, l’im ent compte qu Il y aura certes ttre des ailes. ndons amèrem s. re ba oi us rs m e no ou uj uz us to do no ite is su rfo pa re âmes, mais du r printemps, l’hive ut nous rendre l’automne et le s crû, il nous fa ai m ja s on av y n’ être mangé ? Alors que nous bien manger ou et l be t es c’ , à l’évidence
Adeline ain fera rire et dem nt qu’hier me ta , ps. m va te e m le is ça ureux, depu he Dans dix ans re co en , te pe ra mor elle n’en ut voler. La lune se rlent à l’oreille, hu i lu ux ie nc sile Les monstres nd. ne ne les ente on rs pe et us pl
t i a t é ’ n e t ê t a « si m ée, g n a r é d t n a t pas a u q n e i b s i a m t i a r e s t u o t , e drillé … e l p m i s s u l p bien si, s u a e t s i r t s u l et p » r i a p e d a v a l ce adrillée, , mais bien qu tant dérangée s cela va pa t i, ai ss ét au n’ e Si ma tête et plus trist e… pl m si us pl ra pour tout et tout serait bien le Roi du Saha er ci er m re à ns de pair. Je tie surtout.
« TOUTE DÉMOCRATIE A BESOIN POUR SURVIVRE D’UN ESPACE DE SUBVERSION, UNE SOUPAPE AU CŒUR MÊME DU SYSTÈME » (À propos du graffiti). Gues, tagueur parisien.
Gabee
nt o d s n e y o m s « le a m s e l t n e s dispo s u o v r u o p s n gasi oler v e d r e h c ê p em t n e v u o s t n o s ne » s e c a c ffi e s è r pas t
des bouts aussures sont ch et ts en m te ur vê oché avec un Les antivols po ol, le tout accr tiv an un t lève an en nt issier-e-s les en de plastique co lage ta ments. Les ca ’é L te usvê A vo s l r le o ve r V le su : en al e pouvez les rivet en mét us vo s Fiche Pratiqu ai m , tiq éciale les de plas ue avec une clé sp entassées dans urd’hui, le bout jo s se Au . di ce ille an na ch te ar e tements une simple pu rier des m mêmes avec un remplacé par ances et des vê re Pour s’approp ss êt un ai r ut nn pa pe co l t oen es ivo sp m nt quelqu le vête s dont di contenant l’a magasins il faut mà un rivet dans que les moyen si ir e ut vo hé bo sa nt oc à cr so ut fa ac nt il ne e vie rd voler e en carrée fin adaptés. D’abo empêcher de ne bonne pinc a dans ins pour vous ble en acier. U age de les as ca ur s vu de camér ai ag co tit m m pe le ja s a ai le n’ nt on je se d t an en és qu pr s à ce u’ s effica plement. Jusq souvent pas trè ux : de a en y Il les cabines. r. déjoue ou nc on les rees rm ifo s caméras et do igiles en un de (v à t lit en dé quabl t em an s gr ss re en fla es des globes ce sont de Les caméras re Vous surprend les sont derrièr « chouffeurs » el faire n, ou de » no t s si es an ile rli t, at ha en ob m lés « c caméras m père facilem s rayons en s le de ns à da en civil - appe nt nt te le et ne i perm e vous en vez mais ne uvent, ils tour si-opaques qu zooms. Lorsqu e des produits s dr de mecs le plus so en ser et pr 0° de 36 yle r s de les repo parfois st des rotations su les n’oubliez pa les clients, font tic ère ar . rri s ns de de ie s ol r le éd tiv z su m an te n co ’un r avec! Met des antivols rti so s pa sont pas très bo portiques de sécurité, lorsqu ne en in et de la sons de préfér ce aux dans le magas lisé déclenche r exemple mai ra pa ut Vous detecter ns ne yo ou ra vé en s ez pas enle d’autres article que vous n’av car rayon. sortie. er tre la tir à au t en un an us ss ns vo pa da nerie en ez très bien e vous votenir r cas vous pouv les articles qu use-s doivent e r-e qu eu Dans ce dernie nd en ve bi s le us vo ne soit dans le magasins, les antivols Donc, assurez ’aucun charlie qu Pour l’instant dans bien des . et , ps ol de vim tiv te s an le de s ont pa tite liste ns le champs lez soient sans ce rôle mais n’ t. Voila une pe ne pas être da en riée de m op le pr us ci fa vo ap z e es re ch bl péra ns une po rayon, assu da s le z sont encore re te e si et m M m : éra. tinuez co s d’antivol sion d’une cam ur forme. Con le principales sorte s pa e gu és in is st ercial d’où on ne di des CD comm il vous r par exemple ait. le s) ét vo n’ ire n ua ez rie ul sq vo di de Si vous t des grands e rbade édité chez la plupar e qui se trouv Jean-Pierre Ga à la FNAC (et rré autocollant ca st ce ’e tirés du livre de C pu ts é. la en r m ag re m Elé m rio faudra dété d’En Bas. circuit soit endo -être par les Editions , il faut que le imé et qui peut pr im t sur l’emballage ui rc ci ssemble à un une puce qui re c. autocollant blan un recouverte d’
Arsem oi
rier: libre à m
Samedi 9 fév
s « ça fait 4 joorudre, les qu’on rec es flows bières et l pas sur ont pris lellité, les la tranqui réalité » vers sur la
son street cd, e semaine pour un a y’ é petits on ph lé s tachées, ses Ziprexa m’a té lui et ses sape ; vre, rte ou po J’ . a m he nt uc là il est deva sur l’côté ga és gr de 30 on uette dans m apyeux et sa casq ible de circuler ss po re co en t ai à l’époque c’ét partement. s flows ont pris les bières et le e, rd ue, co re n ’o qu réalité. On fatig Ça fait 4 jours les vers sur la nt, é, ne llit aî ui ch nq en tra s’ s textes Se le pas sur la . te ap rs ou est touj férences, notre mais Ziprexa s vies, nos ré no r tes file dé is vo , même nos po devant moi je r devient vivre ée cr tit pe à culture. Petit s parasites. deviennent de
studio est ssi vide que le au t es on s, cord tons encore et On a fini les re ais nous réécou m , nt ulot, re tu sa s la moitié du bo plein. Nos tête . On n’a pas es ut br s ck tra encore nos total burn out ! nta à ment tout Ve dans l’apparte r norité co so dé ue de aq t aintenant ch Changemen M e. ur pt ul sc jet, la uration. Dans Venta. Après le cd arrive à mat et re st le , nous le tib ep ochent, enfin est vivante perc de Zyprexa ric uve es tro as re ph e m s le message. Je nos esprits du e bl em . ns alité oir l’e frissonant de ré pouvons percev te, mon corps en éd éc pr ne ai . la sem écoute atéré, trouve et Bon assez débl atmaker
.com/arsembe
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me e j , n i t a m e c « a réveille danesnlson, 77ème dims mal de et avec pala face » violet sur
d o o w y l l Dick Ho Pas toujours
confortable
oix, s plus de six m r choix. Depui pa raar us t pl en e m êm ai m sans être vr Je ne peins is fo e un er gu gu sorti ta e plus a ta er je ne suis pas santé, je n’arriv a m te, de ne m da même, une fê ché. Au grand abli et reste le ét ut he es al s’ M a e. m rti ie et la so sobre. Le sché ble phase d’euphor m la se , e ol m co al gs d’ ta beaucoup de certains l’état, la qualité stent et astomatismes re reusement, vu au s le t, en em us re incertaine. Heu ité minimale. surent une qual on ec transgressi ner réussite av bi m m co co , u le O co t. fascinai Petit déjà, à l’é ue et ce qui me je tiq i, op hu d’ on ur m jo t ai Au des règles ét in passe-droit. r avec un certa ment faire chie
La douce inmène ma vie. n io vis tte ce que ntentent mansuis persuadé ent et s’en co ss si us ré une i qu ux , ceci implique nocence de ce t. En revanche an est qu c’ pi e qu de t is en sa ble, mais je que cruellem ta or nf co rs ou s touj s, tout en sa« double vie » pa us que les autre pl ire enfa en à e qui pourrait év ce qui m’amèn rythme de vie un ue iq pl im chant que ça la rétrécir. tuellement me ns la me réveille da e ce matin je qu Bar à ue e iq ru pl e ex gne d’un Tout ça pour une chambre di une i ns j’a da er n, hi so r en ca 77ème dim t sur la face le vio le de je al et m pas limites, gdad et avec pas me fixer de il ne va de tra u dé ea ci on nouv fois de plus dé trouvaille de m la is ta fê je , méritais bien mal. e agence. Nor dans une bonn s.blogspot.com
salutlesmoche
« je ne me seunitsarque raremque le rêté plus prendre temps de la photo »
Zak Extraits de la
oudron »
Collection « G
e à Bamako exprimer la ru ur po os ot ph ces en majorité lors J’ai rassemblé ont été prises os ot ph araes C t. an pendent la prép vue d’un pass ou en scooter e, ed èn pi sc à ts en e en is a aucune m des déplacem y n’ Il . 07 de 20 ps août le tem tion d’un film en rêté plus que e rarement ar qu is su e m je ne
enté ce qui s’est prés un fragment de drer, st ca ’e C ns o. sa ot t ph t et souven prendre la en m né s ta on e sp pté pte, afin qu le face à moi, ca en rende com s’ és ne is al ne ré on é rs t ét et sans que pe l. Les clichés on leur état nature sujets gardent 400D. avec un Canon /zak
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e i n a h p ĂŠ t S I-D
sur bu, recherche le intime, la tri rc  et ce ire le r ta su en l s vestim Projet personne s, des habitude he oc pr s de s les influence du milieu. /punkfairy
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d a r t s U l h a B t r e Gilb hlustrad
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« Que se passerait-il si cette détermination et cette énergie étaient utilisées à d’autres fins ?
Révolte, terrorisme, guerilla urbaine ? » (À propos du graffiti). Gues, tagueur parisien.
« Tenor Røcakntihès’érige en ociété se d’une s misant aseptiséetissesur l’abru masses ment des er à pour arriv ses fins »
k c ø R r o Ten øck droit, Tenor R au mauvais en t sur en t om an is m m is é aseptisée Né au mauva ét ci so e un vo d’ tihèse s fins. La ix s’érige en an ur arriver à se po s se vias m s t de ave, sombre et l’abrutissemen rde vocale, gr co en e ci un ns t co es s réveiller le de la rue, il en sa volonté de elle ré ns da ns e sa ss é, ce ul brant sans Masqué, cago dans l’ombre. t d’une réalité ces, il s’active est que le refle n’ il n, tio éa cr identité dans sa
écoute , ceux qu’on n’ s sourds muets verses de di o s ch re l’é tu na e, corrompu s travaux de Se . us te, pl nt pi te ou édaille ca talis pas et qui n’éc revers de la m ce e ug ro fil ont pour seul uls. ns cash flow, se sans Christ, sa riega
pace.com/teno
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Salem
s i u p e d e u q e c « par de peu, j’arriveple rer, u à u a e v u no n i a m a e i v a m de tenant assepzleurer sens pourr, ça fait une erreu du bien »
ce rentes. (Voilà s valeurs inhé se à Je e » sé « … is t la i, i si ce n’es La vie sans lo is existe pas de lo n’ sa Il . je e) e qu sm t hi es rc e je sais, c’ qu’est l’ana qu ce ut is To sa » ir« … emblée. Je ne pourrai défin des choses d’ su i lu rs de ou uj vie to ai j’aurais en des choses. J’ e se faire violer, on m m m fe de e un nd fo is que si je voya e l’a appris. Du chose est ça personne m mon être, cette venir en aide. Et de e an fier ém i qu e ce qui je puis me être, je sais qu valeurs. Celle à es m es ut to la loi. Mère de et d’aimer. et qui me perm
re nt est une pier cœur d’un enfa le e qu t an en Je sais maint philosophale. ces jours ou du s jours là. Tous ce r ite év e mes sentièr . Le timbre de Avec ça j’esp us pl is sa ne ur je fond de mon cœ ces jours absurdes. us To . sé ui ép ments Ma vie eau à pleurer. j’arrive de nouv u, Ça fait . pe ur is re pu er de e Parce que ur pleurer un po ns se de z se a maintenant as … en bi du
Alan is côté et une un sommet, tro ec av ent up lo un e ec déclenchem Un peu comm lécommande av té de e m hè st base. Un sy
quelng. Stable et cre dans le sa en d’ u pe n U à distance. conque. s
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Ziprexa kacirekonci
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 Le geste est politique mais ne se revendique pas comme tel, pas de slogan, pas de message. Il est politique
par conséquence, parce que son cryptage tourne à vide, parce qu’il crée un désordre des signes » (À propos du graffiti). Gues, tagueur parisien.
Léo
iété c o s e n u s n a « d ut o t ù o e é u q o l b uo c t s e e d n o le m e im r c l u e s le , le pab est de se faire prendre » Hunter S.
Waled
y l i , a ç t u o t s n « da nt, e l r a p i u q x u e ac t e s e s a r h p n tout e ou , s t o m s d n a r g nt e s i d e n i u q x ceu ’en n i u q s i a m , n rie » s u l p s a p t n fo
ambitions. Il y s projets et les le s, ur sside an gr s pos, puis la la Il y a l’appel de et amers. Le re ux Les r. do s, rte le po ci à fa qui est lourd a les plaisirs ce de s fu il re li, le s filles, y a tude. Il y a l’oub la folie. Il y a le et es rir s le t, en qui ne nous verres qui se vid n ose ou pas sacrifier. Ceux factu’o qu contrats, et les les amis, ceux i la justice, les ss ojets, pr au a s le y Il et . us rs saluent pl ies. Les ba er ic ép s le et s, res. Les voyage
ceux tout ça, il y a onnaie. Dans m i ne e qu tit ux pe ce en u mots. O pas toujours ses et grands de ra it ra ph se en ux ut ie to m , qui parlent pas plus. Le nt fo r ye en n’ sa i Es qu s moins. disent rien, mai n’en faire pas de s et ai ns m , tio re iva di ot sm ne pas trop en rdre de vue se , de ne pas pe de s’y retrouver nt. d’aller de l’ava ou
ion.com/walef_s
www.dailymot
e h c a d r Jö
ite « la mort sausbd ier, h ’ p e t a d ne de e t i b u s t r o m la us, l p n o n e s s a m e t s u j s n o v a s nou é » d é c o r p e l é n affi
s mentent et de vais? Des qui au m s ne er de uv et go ns mauvais Y a-t-il des bo bons et des au es m D s trè s ? s pa de mauvais et qui mentent s de e i qu n qu r rie n’y a de chaleu ments ? Non, il and éclair bleu gr , le er is Et . ba ts de en m en train vais gouverne où nous serons de it nu ou e s un dé ra bé nous déchire de coller des e des bédés ou La mort sude chocolat ? de chier, de lir m bu al un plus. ns da es de masse non coller des imag la mort subite , voir, er sa hi d’ de s s pa es siècle bite ne date le procédé. D né affi e st ju s Nous avon
s et es bien grasse es, des librairi nc des t rie en pé nd ex d’ ve bleaux qui se de culture et ta s de ; le ns ui ss s bouq eur ; impo ib croulant sous le nsplante le co tra i et , qu es e in ru s ec ns le millions ; la méd mme normal da un fou d’un ho crétins. Les de e nd ba e de reconnaître un d’ s tte pa s entre le mbes tombevoilà nos vies tre pas ; les bo -ê ut pe ns ro mbe bombes ne to . tre -ê ut pe ns ro ’non... ui, p’têt ben qu ’o qu P’têt ben Bukowski
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