Au Parti Vert, la question n'est pas de savoir si nous sommes plutôt de gauche ou de droite, mais de passer à l'action. Nous défendons le principe d'une fiscalité responsable, d'une société progressiste et d'un environnement viable. Et, contrairement aux autres partis, nous pensons à long terme. Au début des années 1980, scandalisé par l'accroissement du déficit sous le gouvernement libéral, je suis devenu Conservateur. L'intérêt de la dette engloutissait à l'époque une part importante des recettes du pays. Cela ne pouvait pas « durer ».