Les cahiers de la CCI / N째 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
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SOMMAIRE
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Pour un commerce dynamique et équilibré sur notre territoire ! par Jean-Luc Heimburger
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Quel rôle pour les CCI dans l’élaboration des documents d’urbanisme ? par Marc Weill
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MéTHODOLOGIE 1. Découpage des secteurs d’enquête 2. Composition de l’échantillonnage 3. Collecte des données
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1ère PARTIE : RéSULTATS DéPARTEMENTAUX
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CARACTéRISTIQUES SOCIO-DéMOGRAPHIQUES
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OFFRE COMMERCIALE ET SERVICES
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POTENTIEL DE CONSOMMATION 1. Indices de Disparités de Consommation (IDC) 2. Dépense commercialisable moyenne par ménage 3. Potentiel annuel de consommation par famille de produits sur le Bas-Rhin 4. Evolution du potentiel annuel de consommation par famille de produits
10 10 10 11 11
DESTINATION DE LA CONSOMMATION 1. Répartition de la dépense commercialisable par typologie de commerces 2. évolution de la dépense par typologie de commerces 3. Fidélité et évasion par famille de produits 4. évolution des destinations d’évasion 5. Fidélité et évasion par SCoT
12 12 12 13 13 14
ACTIVITé COMMERCIALE 1. Chiffre d’affaires estimatif 2. Principaux pôles commerciaux
15 15 16
SYNTHèSE DéPARTEMENTALE
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2e PARTIE : RéSULTATS PAR SCoT
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SCoT SCoT SCoT SCoT SCoT SCoT SCoT SCoT
DE LA RéGION DE STRASBOURG (SCoTERS) DE L’ALSACE DU NORD DE SéLESTAT ET SA RéGION DE LA RéGION DE SAVERNE DE LA BRUCHE DU PIéMONT DES VOSGES DE LA BANDE RHéNANE NORD DE L’ALSACE BOSSUE
18 20 22 24 26 28 30 32
3e PARTIE - ANNEXES
34
1. 2. 3. 4.
35 36 37 38
ZONES D’ENQUÊTES Liste de produits enquêtés Liste des activités recensées dans l’observatoire de l’offre Lexique
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
Pour un commerce dynamique et équilibré sur notre territoire ! par Jean-Luc Heimburger
L’histoire des CCI est intimement liée au développement du commerce. Des premières corporations de marchands à nos jours, les organismes consulaires ont suscité, proposé et accompagné ses différentes évolutions. Fort de quelque 7 300 entreprises et 60 000 emplois, le commerce bas-rhinois constitue une activité économique essentielle pour notre territoire mais aussi un facteur de dynamisme urbain et social, notamment grâce au commerce de proximité. La CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin participe au développement des activités commerciales en visant un double objectif : d’une part accompagner les porteurs de projets et apporter son expertise aux commerçants dans leur développement, d’autre part favoriser la pérennité des entreprises dans un environnement commercial maîtrisé. En matière d’urbanisme commercial, les processus d’autorisation et les instances de décision se sont succédés, parfois à grande vitesse. La CCI a toujours poursuivi le même but : assurer la cohérence des équipements commerciaux sur le territoire, un juste équilibre entre petites, moyennes et grandes surfaces, entre commerces de proximité et commerces de périphérie, entre commerce sédentaire et non sédentaire… La CCI se tient également aux cotés des collectivités. A travers sa connaissance du tissu économique local, ses outils d’observation et sa capacité à mobiliser ses ressortissants, elle met à disposition des élus locaux son expertise technique afin de les aider à construire une offre commerciale adaptée à leur territoire.
Jean-Luc Heimburger, Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Strasbourg et du Bas-Rhin
Ce Cahier a pour vocation de partager avec vous les résultats de l’enquête sur les comportements d’achat des ménages réalisée par la CCI en 2011. Ces données sont fondamentales pour qu’ensemble, élus locaux, chambres consulaires et commerçants, nous puissions offrir aux Bas-Rhinois un commerce de qualité, réactif aux besoins émergents de la clientèle et désireux de s’inscrire dans une dynamique durable.
Jean-Luc Heimburger Président de la CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin
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Quel rôle pour les CCI dans l’élaboration des documents d’urbanisme ? par Marc Weill L’observation de l’activité économique est l’une des missions de la CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin. Aussi a-t-elle mandaté début 2011 un bureau d’études en charge de la réalisation de la quatrième enquête sur la consommation des ménages du Bas-Rhin. Cette base de données permet de présenter dans ce cahier une analyse détaillée du paysage commercial du Bas-Rhin ainsi qu’un focus par Schéma de Cohérence Territoriale (SCoT). > Pour quelles raisons ces études ontelles été initiées ?
Marc Weill, vice-président Commerce à la Chambre de Commerce et d’Industrie de Strasbourg et du Bas-Rhin
Jusqu’en 2008, la CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin participait aux CDEC (Commission Départementale d’Equipement Commercial). Il était donc fondamental d’avoir une connaissance parfaite de l’offre commerciale et d’en suivre l’évolution : c’est l’une des missions de notre cellule Observatoire. Il nous fallait aussi être en mesure d’évaluer les besoins et la consommation des ménages du Bas-Rhin. Dans le cadre des CDEC, ces deux outils de veille étaient utilisés simultanément afin d’évaluer la pertinence de l’implantation d’une nouvelle grande surface ou d’un nouvel équipement commercial selon des critères économiques et concurrentiels conformément aux Lois Royer (1973) et Raffarin (1996). En 2008, par la Loi de Modernisation de l’Economie, (LME) le législateur a mis un terme à la régulation économique des implantations commerciales et au régime des CDEC.
> A quels objectifs répond cette nouvelle réglementation ? L’un des objectifs de la LME est de favoriser une concurrence plus active afin de freiner la hausse des prix dans le commerce de détail. De plus, une procédure engagée contre la France par la Commission européenne condamne le recours à des critères économiques et concurrentiels eu égard au principe de la liberté d’établissements institué par le Traité de Rome. A terme, l’ambition est de fondre l’urbanisme commercial dans l’urbanisme de Droit commun. Ainsi, la pertinence d’une implantation commerciale n’est aujourd’hui évaluée par les CDAC (Commission Départementale d’Aménagement Commercial) qu’en fonction de critères d’aménagement et de développement durables. Ces CDAC ont été mises en place dès 2008 et les Chambres consulaires ne sont plus autorisées à y participer. Les textes ont par ailleurs relevé le seuil soumis à autorisation de 300 à 1 000m2 avec pour conséquence une accélération notoire des ouvertures. La LME spécifie aussi qu’un DAC (Document d’Aménagement Commercial) fixe les grands principes d’un développement commercial équilibré du territoire.
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> Quelles évolutions la Loi Grenelle 2 a-t-elle apporté sur cette question de l’aménagement commercial ? Cette loi a renforcé le rôle des SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) en matière d’urbanisme commercial dans la mesure où elle a fait du DAC un élément obligatoire du SCoT. Ainsi, en s’appuyant sur un diagnostic du contexte commercial dans un territoire, le DAC doit définir une stratégie du développement commercial au regard des critères d’aménagement comme la limitation de la consommation foncière, le respect de l’environnement, la revitalisation des centres-villes, la cohérence et l’équilibre des équipements commerciaux, la desserte en transports collectifs et la maîtrise des flux de marchandises ainsi que les déplacements individuels.
> Quelle est la place des CCI dans cette nouvelle conception de l’urbanisme commercial et comment compte-t-elle faire entendre sa voix ? Forts de nos outils de veille et d’analyse, de notre connaissance de l’offre commerciale et des comportements d’achat des ménages, la CCI est en mesure d’apporter son expertise au diagnostic préalable à l’élaboration des DAC. En effet, l’estimation du potentiel de consommation des ménages, la connaissance de la destination des achats, de l’attractivité des pôles commerciaux existants et de l’évasion commerciale sont indispensables : ils doivent être observés concomitamment avec la hiérarchie urbaine, la localisation des bassins d’emploi, les infrastructures routières, les dessertes en transport en commun afin de dessiner une carte du fonctionnement du commerce à l’échelle d’un territoire. Par ailleurs, la CCI représentée par ses élus, assistée par ses Directions Aménagement du Territoire et Commerce/Appui CHR, est appelée à participer en tant que personne associée à toutes les étapes de l’élaboration de l’ensemble des documents d’urbanisme (DAC, SCoT, ou PLU) et à présenter des avis argumentés dans les enquêtes publiques qui précèdent leur adoption. Il est donc indispensable qu’elle ait à sa disposition la meilleure connaissance de l’activité commerciale. C’est dans cette perspective que nous poursuivons
nos études comme par le passé et nous souhaitons, en les proposant aux collectivités locales, communes et intercommunalités, favoriser une approche partenariale et à terme une vision partagée du développement commercial sur les territoires. En effet, de nombreux défis attendent nos décideurs politiques et nécessitent pour eux une bonne compréhension du tissu commercial et de son adéquation avec la demande. L’équipement commercial devra s’adapter, se restructurer pour intégrer les nouvelles données démographiques et sociales lourdes comme le vieillissement de la population et la progression des familles monoparentales, les nouveaux choix des consommateurs tant en types de commerces fréquentés qu’en localisation des commerces en centre urbain et en proximité comme en périphérie.
> Dans quels autres contextes les collectivités locales peuvent-elles avoir recours aux données de l’offre commerciale et de l’enquête de consommation des ménages ? Ces études sont nécessaires aux communes et intercommunalités dès lors qu’elles envisagent de mettre en œuvre un soutien à l’activité commerciale : FISAC (Fonds d’intervention pour la sauvegarde de l’artisanat et du commerce) ou OCM (Opération collective de modernisation). Les communes ou les intercommunalités qui sont amenées à produire les diagnostics du commerce d’un territoire et à rédiger les plans d’action pour sa dynamisation sollicitent la CCI afin de recueillir nos données et les exploiter. La réalisation d’un diagnostic de qualité permet aux services de l’état qui est le partenaire financier de ces opérations de juger de la pertinence de celles-ci et d’apporter ainsi son soutien spécifique au commerce de proximité et à la rénovation et à l’animation des centres-villes.
> Quels enseignements ces études peuvent-elles apporter au monde économique et plus particulièrement à ses décideurs ? La CCI est présente dans de nombreuses instances institutionnelles, départementales, régionales ou nationales. Elle souhaite y faire entendre la voix du
monde économique : le commerce représente un poids incontestable dans l’activité et l’emploi d’un territoire, la connaissance de sa dynamique est donc indispensable. Ces données sont utilisées par nos conseillers commerce, sur le territoire du Bas-Rhin, afin de mieux accompagner les commerçants et les investisseurs : connaître l’offre et la consommation des ménages d’une zone de chalandise permet de mieux cibler sa clientèle, de définir de nouvelles stratégies commerciales, d’adapter son marketing, de faire évoluer sa gamme de produits et parfois de choisir de nouvelles formes de commerce ou de distribution.
> Conclusion Ainsi, l’objectif de la CCI est-il d’apporter aux acteurs publics et privés ces données sur l’offre commerciale et les comportements de consommation des ménages et d’établir le dialogue nécessaire afin de partager une vision prospective du commerce du Bas-Rhin. Celle-ci devra intégrer : • la modernisation des équipements existants : centre-ville et périphérie, • l’identification des localisations pertinentes des nouvelles zones commerciales, • les exigences environnementales, • la liberté d’entreprendre et la rentabilité des entreprises, facteur d’équilibre mais aussi de dynamisme. Elle devra prendre en compte les nouvelles attentes des consommateurs nées des innovations technologiques, leurs préoccupations environnementales et éthiques, leurs exigences d’un comportement responsable des enseignes. Elle devra permettre le développement de nouvelles formes de commerce et des nouveaux concepts tout en préservant l’équilibre de l’offre commerciale entre pôle périphérique et centre-ville. Enfin le commerce bas-rhinois contribue au lien social de nos communes et anime le cadre de vie en milieu urbain et en zone rurale : il demeure créateur de richesses et d’emplois et à ce titre, l’activité commerciale est un atout et un enjeu majeur de l’économie du département.
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Méthodologie Depuis 2002, la Chambre de Commerce et d’Industrie de Strasbourg et du Bas-Rhin dispose, par le biais d’enquêtes, d’un observatoire de la consommation et des comportements d’achat des ménages résidant sur le département du Bas-Rhin. Cette étude ne concerne que les achats liés au commerce (alimentaire et non alimentaire) soit environ 29 % des dépenses des ménages. Elle n’intègre pas les dépenses de logement, chauffage, éclairage, santé, transport, communications, éducation, hôtels cafés et restaurants, assurances,etc. Ces enquêtes ont donc pour objectif de répondre à la question : Qui achète, quoi, où, comment et pour combien ? Il en résulte une base de données permettant d’identifier : • le potentiel de consommation d’un territoire, sa répartition par produits et familles de produits, • les flux commerciaux, tant en matière de destinations géographiques et donc d’évasion que de formes de distribution fréquentées, • le niveau d’activité des pôles commerciaux, qu’il s’agisse de territoires dans leur ensemble ou d’agglomérations, villes, centres-villes, quartiers, zones commerciales périphériques ou points de vente, • la mesure des évolutions en termes de dépense commercialisable et de chiffre d’affaires. La dernière enquête a été menée au 1er trimestre 2011. Ce document en présente les principaux résultats au niveau départemental et à celui, plus fin, des Schémas de Cohérence Territoriale (SCoT).
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Découpage des secteurs d’enquête
Pour cette dernière enquête réalisée avec le Cabinet AID Observatoire, le département a été découpé en 110 secteurs d’habitation. Ce zonage permet d’analyser les comportements d’achat à des échelles diverses (commune, Communauté de Communes, Pays, SCoT, …).
Depuis la 1ère enquête de consommation des ménages (réalisée en 2002), le nombre de ménages bas-rhinois ayant sensiblement augmenté, le nombre des secteurs est passé de 86 à 110. (cf Annexe n°1)
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Composition de l’échantillonnage Le nombre de ménages, pris en compte pour l’année 2010 par le Cabinet AID Observatoire, est issu d’une projection calculée à partir des données 2007 de l’INSEE à laquelle a été imputé le taux d’évolution annuel entre les 2 recensements de 1999 et 2007. Sur l’ensemble du département, le nombre de ménages estimé pour 2010 est donc de 479 568 soit une progression de 6 % par rapport à 2007.
Population
2007
2010
Evolution en %
1 084 853
1 121 733
3,40 %
Ménages
451 315
479 568
6,30 %
Secteurs
86
110
_
La collecte de données basée sur la méthode de sondage par quota a nécessité de constituer un échantillon représentatif de la population locale selon le dernier recensement (taille du ménage, CSP du référent du ménage, etc.). Pour chacun des 110 secteurs, 30 ménages ont ainsi été interrogés (soit 3 300 ménages au global) sur leur dernier acte d’achat pour les 41 produits de consommation courante déterminés (cf annexe 2). Le tableau ci-dessous présente, pour chacun des SCoT du Bas-Rhin, le nombre de secteurs qui le constituent et le nombre de ménages interrogés. Population 2007*
Nombre de secteurs
Nombre de ménages interrogés
SCoTERS
603 203
58
1 740
SCoT de l’Alsace du Nord
152 183
15
450
SCoT de Sélestat et sa région
63 706
6
180
SCoT de la Région de Saverne
67 706
9
270
SCoT de la Bruche
59 535
6
180
SCoT du Piémont des Vosges
57 421
6
180
SCoT de la Bande Rhénane Nord
45 440
5
150
SCoT de l’Alsace Bossue Bas-Rhin
35 659
5
150
1 084 853
110
3 300
Population, nombre de secteurs et de ménages par SCoT
* Source INSEE
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Collecte des données La méthode d’enquête développée par AID Observatoire repose sur le recensement du dernier acte d’achat pour chacun des 41 produits du questionnaire à savoir 10 produits alimentaires et 31 produits non alimentaires (hors essence). Cette méthode permet la représentativité de tous les comportements d’achats.
118 342 actes d’achats ont ainsi été collectés et intégrés à la base de données. Ils permettent de connaître précisément, pour chaque produit : • dans quel commerce a été réalisé l’achat, • le type de commerce fréquenté (hypermarché, hard discount, commerce traditionnel, marché, VPC, etc.), • la localisation géographique de cet achat (dans le secteur d’habitation ou à l’extérieur).
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1ère partie
Résultats départementaux Caractéristiques socio-démographiques Entre 2007 et 2010, la population bas-rhinoise a augmenté de 3 %, passant de 1 084 853 à 1 121 733 habitants. Au niveau départemental, la taille moyenne d’un ménage est légèrement supérieure à celle observée au niveau national (2,4 contre 2,3). Evolution de la population et des ménages
Population 2007
Nombre de ménages
2010*
2007
2010*
Evolution (en %) Population
Ménages
SCoTERS
603 203
621 751
262 218
277 406
3,1 %
5,8 %
SCoT de l’Alsace du Nord
152 183
157 540
58 942
62 727
3,5 %
6,4 %
SCoT de Sélestat et sa région
63 706
67 675
25 318
27 573
6,2 %
8,9 %
SCoT de la Région de Saverne
67 706
69 946
26 605
28 324
3,3 %
6,5 %
SCoT de la Bruche
59 535
61 784
23 405
25 002
3,8 %
6,8 %
SCoT du Piémont des Vosges
57 421
59 759
22 825
24 510
4,1 %
7,4 %
SCoT de l’Alsace du Nord
152 183
157 540
58 942
62 727
3,5 %
6,4 %
SCoT de la Bande Rhénane Nord
45 440
47 249
18 048
19 518
4,0 %
8,1 %
SCoT de l’Alsace Bossue
35 659
36 029
13 954
14 608
1,0 %
4,7 %
1 084 853
1 121 733
451 315
479 568
3,4 %
6,3 %
Bas-Rhin * Estimation AID Observatoire
L’évolution du nombre de ménages n’est pas homogène sur l’ensemble du Bas-Rhin. Elle se caractérise notamment par l’augmentation du nombre de ménages en périphérie au détriment des centres-villes (périurbanisation).
Par rapport aux autres départements français, le Bas-Rhin présente les caractéristiques suivantes :
• une population plus jeune (la part de population des moins de 40 ans est plus forte dans le département : 32 % contre 29 %), • un poids plus important des ouvriers et des agriculteurs : 22 % contre 19 %, • des revenus plus élevés (le pourcentage de ménages ayant un revenu de plus de 3 050 % est plus important : 29 % contre 25 % et, à l’inverse, le pourcentage de revenu de moins de 1 061 % est plus faible : 11 % contre 22 %).
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R é sultats d é partementau x
Offre commerciale et services La Chambre de Commerce de Strasbourg et du Bas-Rhin dispose, depuis 2002, d’un Observatoire du Commerce bas-rhinois, véritable base de données de l’offre commerciale, dont sont issus les éléments suivants (cf Annexe n°3). Au 1er janvier 2011, on recense 936 grandes surfaces sur le Bas-Rhin pour une surface de vente de 1 250 226 m². La plus grande partie de ces établissements sont spécialisés dans l’alimentaire (29 %). Le territoire compte également 6 006 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 654 885 m². 28 % sont des commerces alimentaires et 25 % des commerces d’équipement de la personne.
Enfin, on dénombre 2 129 commerces non sédentaires et 5 708 prestataires de services aux personnes / santé / tabac pour une surface de 501 768 m². Les grandes surfaces représentent ainsi 14 % des commerces locaux en nombre (hors services et non sédentaires), mais 66 % en surface de vente.
Polarités commerciales N.b : pour une meilleure comparaison avec les résultats de l’enquête de consommation des ménages, les statistiques présentées au niveau des SCoT (en deuxième partie du document) ne prennent pas en compte les commerces non sédentaires, les services/santé/ tabac, ni, dans le domaine non alimentaire, les commerces de l’automobile/cycles/essence.
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Potentiel de consommation 1
Indices de Disparités de Consommation (IDC) Le calcul des IDC tient compte du type d’habitat (individuel, collectif ), de la taille des ménages et de leurs besoins spécifiques. La dépense d’un ménage bénéficiant d’un revenu élevé peut être moindre que celle d’un ménage dont les besoins et les arbitrages sont structurellement différents (taille, habitat, etc.). Ainsi, le niveau de consommation mesuré par l’IDC n’est pas directement lié au pouvoir d’achat des ménages. IDC en alimentaire
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IDC en non alimentaire
Dépense commercialisable moyenne par ménage La dépense moyenne globale par ménage du Bas-Rhin est supérieure de 7 % à la dépense moyenne nationale, notamment dans l’Equipement de la maison (+19 %) et le Bricolage/jardinage/fleurs (+13 %)
Dépenses moyennes par ménage en 2011 N.B. : dans le domaine non alimentaire, les accessoires automobiles n’ont pas été pris en compte.
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R é sultats d é partementau x
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Potentiel annuel de consommation par famille de produits sur le Bas-Rhin Sur le département du Bas-Rhin, la dépense commercialisable (ou potentiel de consommation) est estimée à 6,78 milliards d’euros pour l’année 2011. La répartition du potentiel de consommation par famille de produits est homogène sur l’ensemble du département.
Répartition de la dépense commercialisable par famille de produits en 2011
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Evolution du potentiel annuel de consommation par famille de produits Entre 2008 et 2011, la dépense commercialisable globale sur le département progresse de 8 %.
Evolution de la dépense commercialisable entre 2008 et 2011
Cette évolution s’explique notamment par :
• la hausse de 6 % du nombre de ménages, • l’augmentation de 2 % des dépenses induites par l’inflation qui a plus particulièrement touché le secteur alimentaire, • les nouveaux arbitrages des consommateurs. Certains produits connaissent une augmentation particulièrement forte : Maroquinerie (+10 %), Optique (+ 9 %) et Parapharmacie (+16 %). Dans le Prêt-à-porter, si le nombre d’actes d’achats a augmenté, les consommateurs ont privilégié des produits moins chers, • la croissance des achats liés aux nouvelles technologies et à la téléphonie ainsi que ceux réalisés sur Internet, • l’évolution des revenus.
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Destination de la consommation 1
Répartition de la dépense commercialisable par typologie de commerces Dans le département, la part de marché de la grande distribution est supérieure à la moyenne nationale (75 % contre 70 %). Selon le SCoT, les grandes surfaces captent entre 73 à 79 % du potentiel de consommation. A l’inverse, la part du commerce de moins de 300 m² est plus faible sur le département qu’à l’échelle nationale (16 % contre 21 %). Ces disparités apparaissent également lorsque l’on compare le Bas-Rhin à des départements similaires.
Parts de marché des formes de commerce en 2011
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Evolution de la dépense par typologie de commerces L’évolution des parts de marché par forme de vente entre 2008 et 2011 est due à la fois aux modifications des comportements d’achat des consommateurs ainsi qu’à celles de l’offre commerciale du territoire.
Evolution des parts de marché par formes de vente entre 2008 et 2011
Pour l’alimentaire, on observe une certaine stabilité des parts de marché par forme de commerce à l’exception des supermarchés (la baisse de leur emprise s’explique par l’augmentation de leur surface et donc leur requalification en hypermarchés).
Alimentaire
Non alimentaire
80 %
81 %
13 %
12 %
1 % 2 %
4 %
2008
1 % 3 %
67 %
5 % 3 %
2011 Autres
74 %
20 % 20 % 1 %
7 % 3 %
1 %
3 % 2 %
2011
2008 Commerces non sédentaires
73 %
69 %
24 % 3 %
Tous produits
Vente à distance
17 % 2 %
4 % 3 %
2008
Commerces traditionels (<300 m ) 2
2 %
2011
Grandes surfaces
Par contre, pour le non alimentaire, les évolutions des parts de marché sont plus significatives :
• la part du commerce de moins de 300 m2 est en baisse. Cette évolution est comparable à celle observée au niveau national,
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• les parts de marché des grandes surfaces spécialisées et de la vente à distance connaissent une augmentation notoire.
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Fidélité et évasion par famille de produits En 2011, les ménages bas-rhinois sont restés fidèles au commerce local (toutes formes de commerce confondues) puisque 89 % de leurs dépenses sont effectuées dans les commerces du département, soit 6,02 milliards d’euros. Le taux d’évasion global s’élève à 11 %, ce qui signifie que 722 millions d’euros du potentiel des ménages résidant dans le département du Bas-Rhin sont dépensés hors de ce département. La part des achats réalisés sur Internet dans l’Equipement de la maison et la Culture/loisirs/sports explique en grande partie l’évasion plus importante dans ces deux domaines. Fidélité et évasion par famille de produits
Définitions • La fidélité est la part du potentiel de consommation qui est retenue à l’intérieur du département.
Détails non alimentaire
• L’évasion est donc la part du potentiel de consommation qui est capté à l’extérieur du département ou par la vente à distance.
4
Evolution des destinations d’évasion Depuis 2008, nous constatons une augmentation des parts de marché de la vente à distance, de l’Allemagne, et dans une moindre mesure du Haut-Rhin et de la Moselle.
Evolution des destinations de l’évasion
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Fidélité et évasion par SCoT Ce tableau synthétique présente les principales destinations d’achats par SCoT.
Destination des achats par SCoT en 2011
N.S : < 0,5 % Note de lecture : La fidélité, c’est-à-dire la part du potentiel de consommation qui est retenue à l’intérieur du territoire du SCoT, est surlignée en jaune. Dans les autres cases, c’est la part du potentiel de consommation captée par les autres territoires qui est indiquée (SCoT limitrophes, département, hors département, ou vente à distance).
Fidélité et évasion au niveau des SCoT s’expliquent par :
• la localisation et la proximité des grandes zones commerciales, • l’attractivité des polarités urbaines et plus particulièrement Strasbourg, Haguenau et Sélestat, • les déplacements domicile-travail lorsqu’il existe une offre commerciale sur le parcours, • les lieux de travail des actifs résidant dans le SCoT, • les facilités d’accès à des territoires limitrophes.
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Activité commerciale 1
Chiffre d’affaires estimatif L’estimation du chiffre d’affaires des commerces a été réalisée par AID Observatoire en se basant sur l’exploitation des destinations de consommation collectées auprès des ménages résidants. Le chiffre d’affaires estimé est donc lié à la dépense des ménages locaux et ne tient pas compte des apports éventuellement générés par les achats des consommateurs non bas-rhinois. Le chiffre d’affaires estimé des commerces bas-rhinois en 2011 est de 6,02 milliards d’euros. Le SCoTERS qui ne représente que 57 % du potentiel de consommation départemental concentre toutefois 62 % du chiffre d’affaires. L’offre commerciale importante, notamment sur la CUS, et l’attractivité de la ville de Strasbourg ont permis aux commerces du SCoTERS d’étendre leur zone de chalandise. Le SCoT de l’Alsace du Nord génère près de 15 % du chiffre d’affaires du Bas Rhin (pour 13 % du potentiel de consommation). Les autres SCoT contribuent entre 2 et 6 % au chiffre d’affaires départemental.
Chiffre d’affaires des commerces par SCoT en 2011
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Principaux pôles commerciaux Strasbourg et les ensembles commerciaux de la CUS constituent le pôle majeur du département et génèrent, ensemble, plus de 40 % de l’activité départementale, soit 2,420 milliards d’euros. Les autres pôles commerciaux majeurs sont, au Nord, l’ensemble commercial Haguenau/zone commerciale de Schweighouse-sur-Moder et, au Sud, la ville de Sélestat. On constate enfin que le maillage, des pôles commerciaux secondaires et/ou pôles relais, est plutôt homogène sur l’ensemble du département.
Chiffre d’affaires des principaux pôles commerciaux en 2011.
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Synthèse départementale
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>
Un développement démographique soutenu entre 2007 et 2010 Une plus grande taille des ménages Une population plus jeune Des revenus moyens plus élevés
Ces caractéristiques sociétales sont plutôt favorables à l’activité commerciale et expliquent la croissance du potentiel de consommation
• Un IDC moyen de 105 dans l’alimentaire et de 108 dans le non alimentaire • Une augmentation du potentiel de consommation entre 2008 et 2011
>
Une dépense moyenne par ménage supérieure à la moyenne nationale pour les postes retenus dans l’étude
• Une augmentation des parts de marché des grandes surfaces par rapport à 2008 entraînant ainsi une diminution des parts de marché du commerce de - 300 m² • De plus en plus d’achats non alimentaires réalisés sur Internet
>
Une part de marché de la grande distribution supérieure à la moyenne nationale
• 89 % des dépenses sont faites dans les commerces bas-rhinois • Un taux d’évasion global qui s’élève à 11 %
>
Des consommateurs locaux plutôt fidèles, notamment dans le domaine alimentaire
• Un pôle commercial dominant : Strasbourg et les ensembles commerciaux de la CUS • Deux pôles secondaires importants : Haguenau et Sélestat • Un maillage homogène des pôles commerciaux, secondaires et relais, sur l’ensemble du territoire
>
Des polarités commerciales en adéquation avec la répartition géographique de la population
L’offre commerciale bas-rhinoise reste relativement bien adaptée aux besoins des ménages locaux, malgré des modifications de comportement d’achat liées essentiellement aux nouvelles technologies.
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
17
2ème partie
Résultats par SCoT SCoT de la Région de Strasbourg (SCoTERS)
TS PAR SCOT
CoTERS)
Le SCoT de Strasbourg et de sa Région dit SCoTERS a été approuvé le 1er juin 2006. La démarche partenariale qui a été engagée dans le cadre du SCoTERS et l’Inter-SCoT au niveau départemental permet une vision partagée de l’aménagement de l’espace autour de la métropole strasbourgeoise : en effet, l’aire d’attraction de Strasbourg ne s’arrête pas au SCoTERS mais profite à l’ensemble du département et s’étend de l’autre coté du Rhin sur l’Ortenaukreiss. En 2008, le nombre d’actifs est de 295 905 (source INSEE). Les emplois développés sur le SCoTERS sont occupés par sa population mais également par la population active périurbaine importante dans le Bas-Rhin ; ceci engendre des flux de déplacements domiciletravail quotidiens et nombreux.
rouvé
vision
arrête ’étend
ppés nt par la
et
ation et du nombre de ménages par rapport
nages Evolution (en %)
Evolution de la population et du nombre de ménages
>
2007
3,1%
5,8%
37% 39%
>
60 ans et +
de 2131€ à 3050€ 25% 27%
Evolution (en %)
Population
603 203
621 751
3,1 %
Nombre de ménages
262 218
277 306
5,8 %
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
27% 29%
1061€à 130€ 33% 33%
2010*
* Estimation AID Observatoire
Ménages 4 ages 2-3 personnes et sonnes + 46% 18% 49% 20%
-59 ans
Le SCoTERS connaît une augmentation limitée de la population et du nombre de ménages par rapport à celle du département :
Plus de 3050€
29% 29%
département. On recense 488 grandes s commerces alimentaires) 3 333 commerces (dont 27 % sont des commerces
1 pers.
2-3 pers.
4 pers. et +
SCoTERS
36 %
46 %
18 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
- de 40 ans
40-59 ans
SCoTERS
Age de la population
36 %
37 %
27 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
TION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Revenus des ménages
entaire
43%
entaire
+ de 3 050 e
SCoTERS
13 %
33 %
25 %
29 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
57%
18/41
> >
L’offre commerciale du SCoTERS est la plus importante du département. On recense 488 grandes surfaces pour 709 779 m² de surface de vente (dont 32 % sont des commerces alimentaires), 3 333 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 360 142 m² (dont 32 % sont des commerces alimentaires). Sur le SCoTERS, le potentiel de consommation s’élève à 3,9 milliards d’euros. Il a augmenté de 7,8 % entre 2008 et 2011. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +12 % • non alimentaire +5 % La population plus jeune du SCoTERS composée de petits ménages effectue des arbitrages de consommation qui correspondent aux modes de vies urbains.
18
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 43 % Non alimentaire 57 %
R é sultats par S C o T
>
la part Quel quecommercialisable soit le lieu d'achat enpar 2011, Répartition de la dépense forme de vente en 2011 LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTEES du potentiel de consommation captée par les Quel que soit le lieu d'achat en le 2011, la parten 2011, la part Quel que soit lieu d'achat grandes surfaces est de 75 % (contre 73 % en LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTEES LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTEES du potentiel de captée consommation par les du potentiel de consommation par les captée Quel que soit le lieu2008). d'achat en 2011, la part Quel que soit lesurfaces lieu d’achat part Grandes surfaces grandes surfaces est de 73 % en LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTEES grandes esten de2011, 75 %la(contre 7375 %% en(contre du potentiel de consommation captée par les 81% 2008). captée par les de l'offre en grandes 81% du potentiel 2008). de consommation grandes surfaces est L'importance de 75 % (contre 73 %commerciale en surfaces spécialisées sur le SCoTERS explique 71% Grandes surfaces la part % Quel d'achat en 2011, grandes surfaces est de 75 % (contre 73 enque soit le lieu2008). Grandes surfaces ces parts marché élevées.FREQUENTEES LESde FORMES DE COMMERCES L'importance de l'offre commerciale en grandes 75% du potentiel de consommation captée par les L'importance de l'offre commerciale en grandes 2008). de l'offre en grandes surfaces spécialisées sur le SCoTERS explique grandes surfaces estL'importance de 75 % (contre 73 %commerciale en Grandes surfaces
surfaces spécialisées sur le SCoTERS explique 2008). élevées. ces parts de marché ces parts de marché élevées.
>
8
71% 12% 18% 75% 16%
75%
Commerce de
moins de 300m² Il est noter queexplique les parts de marché du surfaces spécialisées sur le àSCoTERS 81% 12%m² sont aujourd'hui commerce de moins de 300 ces parts de marché élevées. 71% Grandes surfaces 12% 12% de Commerce L’importance de l’offre commerciale en grandes Commerce de dans le 18% Commerce de inférieures à la moyenne départementale 18% 75% L'importance de l'offre commerciale en grandes moins denon 300m² 0% 18% moins de 300m² domaine alimentaire. à noter que les parts de marché du surfaces spécialisées sur Illeest SCoTERS explique Il est noterde que les parts de marché du 16% moins 300m² 16% surfaces spécialisées sur le àSCoTERS explique 6% Vente à distance Il est à noter que les parts de marché du 16%aujourd'hui commerce de moins de 300 m² sont aujourd'hui commerce de moins de 300 m² sont ces parts de marché élevées. ces parts de marché 4% 12% Si Strasbourg demeure pôle de vente commerce deélevées. moins de 300 m² aujourd'hui inférieuresdans à la moyenne départementale danslelepremier Commerce de inférieures à lasont moyenne départementale le 18% 0% du département, grâce moins de 300m² 0% à son offre commerciale domaine non alimentaire. inférieures à la moyenne départementale dans Il est à noter que lesle parts de marché du domaine non alimentaire. 16% Vente à distance variée, le commerce de proximité des bourgs 6% 0% 4% Il est àdomaine noter que les parts de marché du com6% Vente à distance non alimentaire. commerce de moins de 300 m² sont aujourd'hui Commerce non 4% centres 1% Si Strasbourg demeure pôle de vente 6% est fragilisé. Vente à distance inférieures moyenne départementale danslelepremier 4% sédentaire merce de moins de 300Sim² sont aujourd’hui Strasbourg demeure àlelapremier pôle de vente de vie urbain 0% favorise l'augmentation 2% du département, grâceLe à mode son offre commerciale domaine non alimentaire. 4% inférieures à la moyenne départementale dans leà son partsVente de marché du commerce non Si Strasbourg demeure le premier pôle vente du département, grâcede offre commerciale 6% à distance variée, le commerce dedes proximité des bourgs 4% Commerce non sédentaire notamment dans le domaine est fragilisé. variée,àleson commerce de proximité des bourgs du département, grâce offre commerciale domaine non alimentaire. 1% 4% 4% Si Strasbourg demeurecentres le premier pôle de vente 3% sédentaire Commerce non de vie urbain alimentaire. favorise l'augmentation 2% centres est fragilisé. du département, son offre commerciale variée, le commerce de proximité des bourgs grâceLeà mode 3% 1% Autre Alimentaire 4% sédentaire des parts de marché du commerce non Commerce non variée, le commerce de proximité des bourgs mode de vie urbain favorise l'augmentation 3% 2% 4% centres demeure est fragilisé. 1% le domaine Si Strasbourg leLepremier pôle de vente Non alimentaire Alimentaire Commerce non sédentaire notamment dans centres est 1% parts de marché dufragilisé. commerce non sédentaire 3% Le mode degrâce vie urbain favorise l'augmentation sédentaire du département, àdes son offre commerciale Tous produits Le mode de vie urbain alimentaire. favorise l'augmentation2% Alimentaire 2% 3% Non alimentaire Autre Le potentiel de consommation Alimentaire sédentaire notamment dans le domaine de marché du commerce nonde des bourgs parts marché du commerce non variée,des le parts commerce de alimentaire. proximité des 3% Au global, la fidélité3% des ménages aux commerces du SCoTERS reste importante et Tousalimentaire produits Non alimentaire Non sédentaire notamment dans le domaine notamment dans le domaine 3% 3% (de 88 % àAutre 87 %). Néanmoins on observe une augmentation de l'évasion vers l' Allem centressédentaire est fragilisé. 3% alimentaire. Tous produits alimentaire. distance. Le potentiel de consommation Tous produits Autre3% 3% Le mode de vie urbain explique l’augmentation des 3% Autre Au global, la fidélité des ménages aux commerces du SCoTERS reste importante et évolue peu depuis 200 3% DES DEPENSES DE S HABITANTS DU parts de marché du commerce non sédentaire dans 3% on observe uneDESTINATION (de 88 % à 87 %). Néanmoins augmentation de l'évasion vers l' Allemagne et vers la vente SCoTERS Le potentiel de consommation distance. le domaine alimentaire. Le potentiel de consommation Au global, la fidélité des ménages aux commerces du SCoTERS reste importante et évolue peu peudepuis depuis 2008 Au global, la fidélité des ménages aux commerces du SCoTERS reste importante et évolue 2008 4% Le potentiel de(de consommation 1% DESTINATIONde DES DEPENSES DE Svers HABITANTS DU 88 % à 87(de %).88Néanmoins on observe augmentation l' Allemagne et vers vente 4% % à 87 %). Néanmoins on une observe uneSCoTERS augmentationl'évasion de l'évasion vers l' Allemagne et vers lalavente à à 3% Au global, la fidélité des ménages aux commerces du SCoTERS reste importante et évolue peu depuis 2008 distance. distance.
(de 88 % à 87 %). Néanmoins on observe une augmentation de l'évasion vers l' Allemagne et vers la vente à 4% 1% DESDE DEPENSES DE S HABITANTS DU ménages DESTINATIONDESTINATION DES DEPENSES S HABITANTS DU des Destination des dépenses du SCoTERS en 2011 4% 3%
Le potentiel de consommation distance.
SCoTERS
SCoTERS
DESTINATION DES DEPENSES DE S HABITANTS DU Au global, la fidélité des ménages aux com4% SCoTERS 4% 3% merces du SCoTERS reste importante et 3% évolue peu depuis 2008 (de 88 % à 87 %). 4% 1% 4% Néanmoins, on observe une augmentation 3% de l’évasion vers l’Allemagne et vers la vente à distance. SCOTERS
>
71%
Le chiffre d’affaires des
4% 4%1%
88% 1%
SCOTERS
Bas-Rhin (hors SCoTERS)
Allemagne 88%
Hors département
SCOTERS
Bas-Rhin (hors SCoTERS)
Vente à distance
Allemagne 88%
Hors département
Vente à distance
Le chiffre d'affaires des commerces du SCoTERS est estimé à 3,8 milliards d hausse 6,5 % par rapport 2008 et représente 62 % du chiffre d'affaires du dépar Bas-Rhin (hors SCoTERS) Venteàà distance 88% de d'affaires du SCoTERS est majoritairement capté par les pôles de vente suivants : St Allemagne Hors département commerciale Mundolsheim/Vendenheim/Lampertheim, Auchan Aucha SCOTERS Le chiffre d'affaires Bas-Rhin (horscommerces SCoTERS) Vente à distance des du SCoTERS est estimé à 3,8 milliards d'€Hautepierre pour 2011. et Il est en hausse 88% de 6,5 % par rapport à 2008 et représente 62 % du chiffre d'affaires du département. Le chiffre Allemagne d'affaires du SCoTERS Hors département est majoritairement capté par les pôles de vente suivants : Strasbourg centre ville, z commerces du SCoTERS estBas-Rhin estimé à 3,8 milliards d’euros pour 2011. Auchan Hautepierre et Auchan Baggsersee. commerciale Mundolsheim/Vendenheim/Lampertheim, SCOTERS Le chiffre d'affaires SCoTERS) Vente à distance des (hors commerces duSYNTHESE SCoTERS est: estimé à 3,8 milliards d'€ pour 2011. Il est en hausse de 6,5 % par rapport à 2008 et représente 62 % du connaît chiffre d'affaires du département. Le chiffre Le SCoTERS une augmentation plus faible de la population et du nombre de
Horsest département majoritairement capté par les pôles de vente suivants : Strasbourg centre ville, zone Il est en hausse de 6,5 % par Allemagne rapportd'affaires à 2008duetSCoTERS représente 62 % du chiffre d’affaires dépardépartement. Des du familles monoparentales nombreuses et une population plus jeune du Le chiffre d'affaires des commerces du:par SCoTERS à 3,8urbains milliards d'€ pour 2011. Il est en commerciale Mundolsheim/Vendenheim/Lampertheim, Auchan Hautepierre Baggsersee. SYNTHESE d'achats des arbitrages spécifiques. tement. Le chiffre d’affaires SCoTERS est majoritairement capté les comportements pôlesestdeestimé vente suivants : etetAuchan hausse de 6,5 % par rapport à 2008 et représente 62 % du chiffre d'affaires du département. Le chiffre La part de marchéplus des faible grandes l’uneetdes plus importantes du Bas-Rhin Le SCoTERS connaît une augmentation de surfaces, la population du nombre de ménages que celle(76 du Strasbourg centre ville, d'affaires zone commerciale Mundolsheim/Vendenheim/Lampertheim, Auchan conséquente en hypermarchés, grandes surfaces centre alimentaires etzone grandesdes surfaces sp du SCoTERS est majoritairement par les pôles de vente suivants : Strasbourg ville,induisent département.capté Des familles monoparentales nombreuses et une population plus jeune Hautepierre et Auchan Baggsersee. le à poids du commerce tend à s’accroître commerciale Mundolsheim/Vendenheim/Lampertheim, Auchan Hautepierre et Auchan comportements d'achats urbains etgrand des arbitrages spécifiques. SYNTHESE :du SCoTERS Le chiffre d'affaires des commerces est estimé 3,8 milliards d'€ pour 2011. IlBaggsersee. estalors en que celui du commerce de moins
La part marchéplus des faible grandes l’uneetdes plus importantes du Bas-Rhin SCoTERS connaît une de surfaces, la du population du nombre ménages que celle(76 du %) est due à une offre hausse de 6,5 % par rapport à Le 2008 et représente 62augmentation %dedu chiffre d'affaires département. Le de chiffre La fidélitégrandes aux grands et petits commerces du SCoTERS est importante malgré une tr conséquente en hypermarchés, surfaces alimentaires et grandes surfaces spécialisées. Par ailleurs département. Des familles monoparentales nombreuses et une population plus jeune induisent des d'affaires du SCoTERS est majoritairement captélepar les pôles de vente suivants : Strasbourg centre ville, zone s'explique essentiellement parque l'attractivité commerce la montée en pu duet grand commerce tend à s’accroître alors celui du du commerce de allemand moins de et 300m² diminue. comportements d'achats poids urbains des arbitrages spécifiques. distance. et Auchan Baggsersee. commerciale Mundolsheim/Vendenheim/Lampertheim, Hautepierre SYNTHESE La : part de marché des grandes Auchan surfaces, l’une des plus importantes du Bas-Rhin (76 %) est due à une offre La fidélité aux grands et petits commerces du SCoTERS est importante malgré une très légère baisse qui
hypermarchés, plus grandes surfaces alimentaires etetgrandes surfaces Par celle ailleurs, Le SCoTERS conséquente connaît uneenaugmentation faible de lapar population du nombre de spécialisées. ménages que du s'explique l'attractivité commerce allemand la montée en puissance de la vente à poids du grand commerce tendessentiellement à s’accroître alors du du commerce moins de et 300m² diminue. département. le Des familles monoparentales nombreuses etque unecelui population plus de jeune induisent des distance. etpetits des commerces arbitrages du spécifiques. La d'achats fidélité auxurbains grands et SCoTERS est importante malgré une très légère baisse qui SYNTHESE : comportements La part de marché des essentiellement grandes surfaces, l’une desduplus importantes duetBas-Rhin %) est due une offre s'explique par l'attractivité commerce allemand la montée (76 en puissance de laàvente à Le SCoTERS connaît une augmentation plus faible de lasurfaces population et du nombre de ménages que celle du Par ailleurs, distance. conséquente en hypermarchés, grandes alimentaires et grandes surfaces spécialisées. Le SCoTERS connaît une augmentation plus faible de la population et du nombre de ménages département. Des le familles monoparentales nombreuses et unealors population plus jeune induisent desde 300m² diminue. 19/41 poids du grand commerce tend à s’accroître que celui du commerce de moins
Synthèse
que celle du département. Des familles monoparentales nombreuses et une population plus jeune comportements d'achats urbains et des arbitrages spécifiques. La part de marché des grandes surfaces, l’une des plus importantes du est Bas-Rhin (76 %) est une due très à une offrebaisse qui La fidélité aux grands et petits commerces du SCoTERS importante malgré légère induisent des comportements d’achats urbains et des arbitrages spécifiques. s'explique essentiellement par l'attractivité du commerce allemand et la montée en puissance de la vente à conséquente en hypermarchés, grandes surfaces alimentaires et grandes surfaces spécialisées. Par ailleurs, distance. tend à s’accroître alors que celui du commerce de moins de 300m² diminue. le poids du grand commerce
La part de marché des grandes surfaces, l’une des plus importantes du Bas-Rhin (76 %) est due à une offre conséquenteLa enfidélité hypermarchés, surfaces alimentaires et est grandes surfaces spécialisées. Par ailleurs, aux grandsgrandes et petits commerces du SCoTERS importante malgré une très légère baisse quile poids du 2 s'explique essentiellement par l'attractivité du commerce allemand et la montée en puissance de grand commerce tend à s’accroître alors que celui du commerce de moins de 300 m diminue. la vente à
19/41
distance.
19/41 La fidélité aux grands et petits commerces du SCoTERS est importante, malgré une très légère baisse qui s’explique essentiellement par l’attractivité du commerce allemand et la montée en puissance de la vente à distance.
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
19
SCoT de l’Alsace du Nord L’élaboration du SCoT de l’Alsace du Nord a été approuvée le 26 mai 2009. Ce territoire est proche du Palatinat Sud et se caractérise par une surface importante de la forêt (47 %) et des espaces agricoles nombreux (34 %). En 2008, les emplois proposés aux 76 162 actifs sont au nombre de 60 424
rise
(source INSEE).
au
mentation du nombre de ménages identique à celle du
Evolution de la population et du nombre de ménages Evolution
du nombre de ménages
007
2010*
2 183
157 540
(en %) 3,5%
942
62 727
6,4%
s suivantes :
ages 1 sonne
54% 49%
Ménages 4 personnes et + 23% 20%
40-59 ans
60 ans et +
41% 39%
31% 29%
De 1061€ à 2130€ 35% 33%
de 2131€ à 3050€ 32% 27%
Ménages 2-3 personnes
23% 31%
ns de 40 ans 27% 32%
ins de 061€ 6% 11%
>
2007
2010*
Evolution (en %)
Population
152 183
157 540
3,5 %
Nombre de ménages
58 942
62 727
6,4 %
* Estimation AID Observatoire
>
Plus de 3050€
28% 29%
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
45%
Non alimentaire
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
r le SCoT de l'Alsace du Nord, 151 grandes surfaces pour s commerces alimentaires) et 852 commerces traditionnels dont 28 % sont des commerces alimentaire).
Alimentaire
Le SCoT de l’Alsace du Nord connaît une augmentation du nombre de ménages identique à celle du département :
55%
>
>
2-3 pers.
4 pers. et +
23 %
54 %
23 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
Age de la population
- de 40 ans
40-59 ans
SCoT de l’Alsace du Nord
27 %
41 %
31 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
Revenus des ménages 20/41
1 pers.
SCoT de l’Alsace du Nord
+ de 3 050 e
SCoT de l’Alsace du Nord
6%
35 %
32 %
28 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT de l’Alsace du Nord, 151 grandes surfaces pour 192 637 m² de surface de vente (dont 30 % sont des commerces alimentaires) et 852 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 92 404 m² (dont 28 % sont des commerces alimentaires).
Sur le SCoT de l’Alsace du Nord, le potentiel de consommation s’élève à 905,2 millions d’euros. Il a augmenté de 9 % entre 2008 et 2011. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +12 % • non alimentaire +6 %
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 45 % Non alimentaire 55 %
20
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FO
>
R é que sultats Co T Quel soit le lieu par d'achatSen 2011, la part du potentiel de consommation Grandes surfaces REPARTITION DU POTENTIEL surfaces DE CONSOMMATION captée par les grandes estPAR FORME DE VENTE de 73 % (contre 71 % en 2008). Quel que soit le lieu d'achat en 2011, Cette évolution s’est faite au détriment la part du potentiel de consommation traditionnels REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DELe VENTE des traditionnels. nombre Répartition du potentiel de consommation par forme deCommerces vente en 2011 Grandes surfaces 66% Quel que soit le lieu d’achat en 2011, la part captée par les grandes surfaces est commerces moins de 300 m² important de grandes surfaces sur le de 73 % (contre 71 % en 2008). du potentiel de consommation captée par les REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE Quel que soit le lieu d'achat enCette 2011, SCoT mais aussi sur les SCoTS voisins évolution s’est faite au détriment 13% 0% grandes de 73%de (contre 71 des %lieuen expliqueCommerces ces parts de marché élevées. traditionnels 81% la surfaces part du est potentiel commerces Le nombre Quelconsommation que soit le d'achat entraditionnels. 2011, 23% Vente à distance 7% moins de 300 m² Grandes surfaces 66% 18% important de grandes surfaces sur le 4% 81% 2008).captée par les grandes la part dusurfaces potentiel deest consommation Cela a donc un impact sur l’attractivité 73% Grandes surfaces 66% SCoT mais aussi sur les grandes surfaces estles SCoTS voisins de 73 % (contre 71captée % en par 2008). 73% 0% 3% explique ces parts de marché élevées.des bourgs centres essentiellement de 73 % (contre 71 % en 2008). Cette évolution faite au détriment constitués de commerces Vente à distance de proximité. Cette évolution s’est faites’est auCette détriment des com7% Commerces non sédentaires 1% évolution s’est faite au détriment 13% 4% 13% Commerces traditionnels 2% traditionnels commercesLetraditionnels. Letraditionnels. nombre Alimentaire mercesdes traditionnels. nombre important Celade a doncLeun impact surCommerces l’attractivité 23% 23% des commerces nombre moins de 300 m² moins de 300 m² des centres 18% 18% important de grandes surfaces sur le essentiellement important de legrandes surfaces surlesbourgs le grandes surfaces sur SCoT, mais aussi sur Non alimentaire 3% 2% de commerces SCoT mais aussi constitués sur les SCoTS voisins de proximité. Commerces non sédentaires 1% 4% Autres maisexplique aussi sur les SCoTS voisins SCoTSSCoT voisins, ces parts de marché Tous produits 0% 2% 3% explique ces parts de marché élevées. 0%
élevées.explique ces parts de marché élevées.
Vente à distance
Vente à distance
Cela a donc un impact sur l’attractivité des bourgs centres doncimpact un impact sur l’attractivité aCela donca un sur l’attractivité des essentiellement constitués de commerces de proximité. des bourgs centres essentiellement
Cela bourgs centres essentiellement constitués de constitués de commerces de proximité. commerces de proximité.
7% 4%
7% 4%
Autres
Commerces non sédentaires
3% 1%
Autres
4%
81% 23% 73% 18%
13%
2% Alimentaire 4% Alimentaire 3% Non alimentaire
NonTous alimentaire produits 3% L'augmentation du potentiel de consommation a peu bénéficié aux commerce 2% Commerces non sédentaires Entre 1% 2008 et 2011, la fidélité aux commerces du SCOT a diminué de 82 % à 8 Tous produits 2% 2% et de l'Allemagne semblent tirer profit de l’accroissement de l’évasion. SCOTERS
L'augmentation du potentiel de consommation a peu bénéficié auxDES commerces du SCoT.DU SCoT 3% DESTINATION DEPENSES DES MENAGES 2% Entre 2008 et 2011, la fidélité aux commerces du SCOT a DE diminué % à 80 %. L'offre commerciale du L'ALSACEde DU82 NORD 4% profit de l’accroissement de l’évasion. Autres SCOTERS et de l'Allemagne semblent tirer 3% DESTINATION DES DEPENSES DES MENAGES DU SCoT DE L'ALSACE DU NORD
>
4%
5%
1%
L'augmentation du potentiel de consommation a peu bénéficié aux commerces du SCoT. 10% Entre 2008 et 2011, la fidélité aux commerces du SCOT a diminué de 82 % à 80 %. L'offre commerciale du 4% 1% SCOTERS et de l'Allemagne semblent tirer profit de l’accroissement5% de l’évasion.
Destination des dépenses des ménages L’augmentation du potentiel de consommation a 10% DESTINATION DES du DEPENSES DESde MENAGES DU SCoT L'augmentation du potentiel de consommation a peu bénéficié auxNord commerces SCoT l’Alsace du en 2011 du SCoT. peu bénéficié aux commerces du SCoT. DE L'ALSACE DU NORD
Entre 2008 et 2011, la fidélité aux commerces du SCOT a diminué de 82 % à 80 %. L'offre commerciale du SCOTERS et de l'Allemagne semblent tirer profit de l’accroissement de l’évasion. 4% 1%
80%
Entre 2008 et 2011, la fidélité aux commerces 5% Alsace du Nord Bas-Rhin (hors Scot Alsa 80% à distance Vente Allemagne 10% DES DEPENSES DES MENAGES DU SCoT du SCoT a diminué de 82 %DESTINATION à 80 %. L’offre Moselle Hors département DE L'ALSACE DU NORD commerciale du SCoTERS et de l’Allemagne Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 879 millions d Alsace du Nord Bas-Rhin (hors Scot Alsace du Nord) semblent tirer profit de l’accroissement de l’évasion. hausse de 6 % par rapportAllemagne à 2008. Le chiffre d'affaires du SCOT est majoritaire Vente à distance
>
vente suivants : Auchan Schweighouse, Cora Taubenhof, Haguenau centre vill 4% 1% Moselle Hors département 5% 80% Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 879 millions d’€ pour 2011. Il est donc en 10%de 6 % par rapport à 2008. Le chiffre d'affaires du SCOT est majoritairement capté par les pôles de hausse SYNTHESE : (hors ScotHaguenau Alsace du Nord Alsace du Nord) vente suivants : Auchan Schweighouse, CoraBas-Rhin Taubenhof, centre ville et Wissembourg. Si l'augmentation Vente à distance Allemagnedu nombre de ménages du SCoT d’Alsace du Nord est identique Rhin, la progression de la population est supérieure à celle constatée sur le départe Moselle Hors département SYNTHESE : Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 879 millions d’€ pour 2011. Il est donc en Lad’euros population privilégie lesNord grandes surfaces développées hausse de 6du % SCoT par rapport 2008.duLe chiffre d'affaires du SCOT est majoritairement capté par les pôlesconstatée de Si l'augmentation de ménages du SCoT d’Alsace du est identique àparticulièrement celle sur le Bas- notamm Le chiffre d’affaires des commerces est àestimé ànombre 879 millions pour 2011. alimentaire mais fréquente lesetcommerces non alimentaires, indépendants et nomb 80% vente suivants : Auchan Taubenhof, Haguenau centre ville Wissembourg. Rhin, laSchweighouse, progression de laCora population est supérieure à celle constatée sur le département. Cette offre commerciale diversifiée explique un taux de fidélité important (80 %). Le représente 14 % du chiffre d'affaires global du département. Il est donc en hausse de 6 % par rapport àLa2008. Le chiffre d’affaires dusurfaces SCoT est majoritairement population privilégie les grandes particulièrement développées notamment dans le secteur Alsace Nord (hors Scot Alsace du Nord) LaBas-Rhin présence de bourgs centres dynamiques et de zones périphériques importantes SYNTHESE : du alimentaire mais fréquente les commerces non alimentaires, indépendants et nombreux, qui complètent l'offre. capté par les pôles de vente suivants : Auchan Schweighouse, Cora Taubenhof, Haguenau centre commerciale sur les SCoT voisins. Vente àdu distance Allemagne Cette offre de commerciale diversifiée explique tauxqui derayonne fidélité important (80 %). Lesur chiffre d'affaires ainsi généré Si l'augmentation nombre ménages du SCoT d’Alsace duunNord est identique à celle constatée le BasNéanmoins on constate une évasion se concentrant essentiellement sur le SCOTER ville et Wissembourg. 14 % duest chiffre d'affaires global du département. Rhin, la progression de la population supérieure à celle constatée sur le département. Mosellereprésente Hors département L’attractivité du commerce allemand est en progression. La présence de bourgs centres dynamiques et de zones périphériques importantes assurent une offre L’activité commerciale du SCoT d’Alsace duIlNord être impactée dès 2012 p Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 879 millions d’€ pour 2011. est pourrait donc en commerciale qui rayonne les SCoT voisins. La population privilégie les grandes surfacessur particulièrement développées notamment dans le secteur . marques de Roppenheim hausse de 6 % paralimentaire rapport mais à 2008. Le les chiffre d'affaires du SCOT est majoritairement capté par lesl'offre. de Néanmoins on constate une se concentrant essentiellement sur SCOTERS (8pôles %) et l’Allemagne (5 %). fréquente commerces nonévasion alimentaires, indépendants et nombreux, quilecomplètent L’attractivité du commerce allemand est en progression. Cette offre commerciale diversifiée explique un taux de fidélité important (80 ville %). Leet chiffre d'affaires ainsi généré vente suivants : Auchan Schweighouse, Cora Taubenhof, Haguenau centre Wissembourg.
L’activité commerciale dudu SCoT d’Alsace du Nord pourrait être impactée dès 2012 par l’ouverture du village de représente 14 % du chiffre d'affaires global département. La présence de bourgs centres dynamiques. et de zones périphériques importantes assurent une offre marques de Roppenheim commerciale qui rayonne sur les SCoT voisins. SYNTHESE : Néanmoins on constate une évasion se concentrant essentiellement sur le SCOTERS (8 %) et l’Allemagne (5 %). 21/41 du commerce allemand est en progression. Si l'augmentation duL’attractivité nombre de ménages du SCoT d’Alsace du Nord est identique à celle constatée sur le BasL’activité commerciale du SCoT d’Alsace du Nord pourrait être impactée dès du 2012Nord par l’ouverture du village de Si l’augmentation du nombre de ménages du SCoT d’Alsace est identique à celle Rhin, la progressionmarques de la population est. supérieure à celle constatée sur le département. de Roppenheim
Synthèse
constatée sur le Bas-Rhin, la progression de la population est supérieure à celle constatée sur La population le privilégie les grandes surfaces particulièrement développées notamment dans le secteur 21/41 département.
alimentaire mais fréquente les commerces non alimentaires, indépendants et nombreux, qui complètent l'offre. Cette offre commerciale diversifiée explique un taux de fidélité important (80 %). Le chiffre d'affaires ainsi généré La population privilégie les grandes surfaces particulièrement développées notamment dans le secteur alimentaire représente 14 % du chiffre d'affaires global du département. mais fréquente les de commerces non alimentaires, indépendants et nombreux, qui complètent l’offre. La présence bourgs centres dynamiques et de zones périphériques importantes assurent une offre Cette offre commerciale diversifiée explique un taux de fidélité important (80 %). Le chiffre d’affaires ainsi généré commerciale qui rayonne sur les SCoT voisins. Néanmoins onchiffre constate une évasion sedu concentrant essentiellement sur le SCOTERS (8 %) et l’Allemagne (5 %). représente 14 % du d’affaires global département. L’attractivité du commerce allemand est en progression. La présence de bourgs centres dynamiques et de zones périphériques importantes assurent une offre commerciale L’activité commerciale du SCoT d’Alsace du Nord pourrait être impactée dès 2012 par l’ouverture du village de qui rayonne surde lesRoppenheim SCoT voisins. . marques
Néanmoins, on constate une évasion sur le SCoTERS (8 %) et l’Allemagne (5 %). L’attractivité du commerce allemand est en progression. 21/41 L’activité commerciale du SCoT d’Alsace du Nord pourrait être impactée dès 2012 par l’ouverture du village de marques de Roppenheim.
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
21
SCoT de Sélestat et sa Région (Hors Haut-Rhin)
N
L’élaboration du SCoT de Sélestat et de sa Région a été prescrite le 28 mars 2006.
été
Ce territoire est doté d’un paysage particulièrement varié, vallées vosgiennes à l’Ouest, vignoble et plaine du Ried à l’Est.
arié, laine
En 2008, les emplois proposés aux 36 996 actifs sont au nombre de 27 813
au
n
(source INSEE).
15% des actifs travaillant à l’extérieur du SCOT ont un emploi dans le Haut-Rhin.
te augmentation du nombre de ménages par rapport à
Evolution de la population et Evolution du de ménages (en nombre %)
N ET DU NOMBRE DE MENAGES 2010*
6
67 675
6,2%
8
27 573
8,9%
s suivantes :
énages 1 ersonne 25% 31%
oins de 40 ans 29% 32%
Moins de 1061€ 7% 11%
52% 49%
Ménages 4 personnes et + 23% 20%
40-59 ans
60 ans et +
40% 39%
31% 29%
De 1061€ à 2130€ 33% 33%
de 2131€ à 3050€ 30% 27%
Ménages 2-3 personnes
>
Le SCoT de Sélestat et sa Région (Hors Haut-Rhin) connaît une forte augmentation du nombre de ménages par rapport à celle du département : 2007
2010*
Evolution (en %)
Population
63 706
67 675
6,2 %
Nombre de ménages
25 318
27 573
8,9 %
* Estimation AID Observatoire
>
Plus de 3050€
30% 29%
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
e SCoT de Sélestat et sa région, 88 grandes surfaces des commerces alimentaires) 398 commerces traditionnels dont 31 % sont des commerces alimentaires).
1 pers.
2-3 pers.
4 pers. et +
SCoT de Sélestat & sa Région
25 %
52 %
23 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Age de la population Alimentaire
45%
Non alimentaire
55%
22/41
- de 40 ans
40-59 ans
SCoT de Sélestat & sa Région
29 %
40 %
31 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
Revenus des ménages
> >
7%
33 %
30 %
30 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT de Sélestat et sa Région (Hors HautRhin), 88 grandes surfaces pour 99 311 m² de surface de vente (dont 23% sont des commerces alimentaires) 398 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 42 481 m² (dont 31 % sont des commerces alimentaires).
Sur le SCoT de Sélestat et sa Région (Hors Haut-Rhin), le potentiel de consommation s’élève à 387,7 millions d’euros. Il a augmenté de 11,2 % entre 2008 et 2011 ce qui représente la progression la plus forte du département. Elle est consécutive à la très forte hausse de population et du nombre de ménages. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +15 % • non alimentaire + 8 %
22
+ de 3 050 e
SCoT de Sélestat & sa Région
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 45 % Non alimentaire 55 %
Quel que soit le lieu R é sultats par S d'achat, C o T en 2011, la part
>
Quel que soit le lieu d’achat, en 2011, la part Quel que soit de le lieu d'achat, en captée 2011, par la part du potentiel consommation les du potentiel de consommation captée par grandes surfaces est de 73 % (contre 72 % les en grandes surfaces est de 73 % (contre 72 % en 2008). 2008).
REPARTITION DU POTENTIEL DE CO
du potentiel de consommation captée par les Grandes surfaces grandes surfaces est de 73 % (contre 72 % en 2008). REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE Quel que soit le lieu d'achat, en 2011, la part du potentiel de consommation captée par les Le commerce deDE moins deforme 300 m²de a un taux en 2011Commerce de moins REPARTITION DU POTENTIEL CONSOMMATION PAR FORME VENTE Répartition du DE potentiel de consommation par vente Grandes surfaces grandes surfaces est de 73 % (contre 72 de % en d'emprise 19 %. Celui-ci est le plus fort du de 300m² 65% 2008). département particulièrement dans le domaine non alimentaire où il atteint 24 %. 82% 12% LeGrandes commerce de moins de 300 m² a un taux surfaces 65%de moins Commerce Vente à distance 24% d'emprise de 19 %. Celui-ci est le plus fort du de 300m²73% 19% département particulièrement dans le domaine non alimentaire où il atteint 24 %. 1% Commerce non
Le commerce de moins un taux Le commerce de moins de de 300300 m² m² a unataux moins la part Quel que soit le lieuCommerce d'achat, ende 2011, d’emprise de 19 Celui-ci le plus fort d'emprise de 19 %. %. Celui-ci estest le plus fort dudude consommation de 300m² du potentiel captée par les grandes surfaces est de 73 % (contre 72 % en département particulièrement dansle ledomaine domaine département particulièrement dans 2008). alimentaire il atteint non non alimentaire où où il atteint 2424 %.%.
REPARTITION 12% DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE
Vente à distance
24% 19%
65% 73%
Vente à distance
sédentaire
73% 1% 7% 4% 2% 1% 1%
82%
Grandes surfaces
Le commerce de moins de 300 m² a un taux 1% Commerce de moins d'emprise de 19 %. Celui-ciVente est leàplus fort du distance 7% de 300m² département particulièrement dans le domaine 4% non alimentaire où il atteint 24 %.
7% 4%
8
Commerce non sédentaire
12% 24% 19%
3% Alimentaire Autre 3% Non alimentaire 3%
2% 1% 1%
Tous produits Autre
1% 7%
3% 3% 3%
Si4%le taux de fidélité est un des plus forts du département, l'augmentat 2% Commerce non ne bénéficie pasAlimentaire aux commerces du SCoT. En effet, l'évasion a augment 1% 2% Alimentaire développement de l'offre commerciale proposée par les ensembles comm sédentaire Commerce non Non alimentaire 1% 1% sédentaire Non alimentaire l'accroissement de l'évasion vers ce département. 1% Tous produits Tous produits Si le taux de fidélité est un des plus forts du département, l'augmentation du potentiel de consommat 3% ne bénéficie pas aux3% commerces du SCoT. En effet,DESTINATION l'évasion aDESaugmenté depuis 2008 (de 22 % à 25 %). DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT Autre 3% développement lesSELESTAT ensembles commerciaux du Haut-Rhin explique ET SA REGION Autre de l'offre 3% commerciale3%proposée par DE l'accroissement de l'évasion vers ce département. 3% 1% DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT Si le taux de fidélité est un des plus forts du département, l'augmentation du potentiel de consommation 2% DE SELESTAT ET SA REGION ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, l'évasion a augmenté depuis 2008 (de 22 % à4% 25 %). Le développement de l'offre commerciale proposée par les ensembles commerciaux du Haut-Rhin explique 1% 6% l'accroissement de l'évasion vers ce département.
>
12%
Si tauxdedefidélité fidélité forts du département, l'augmentation du potentiel de consommation Destination des dépenses des ménages 12% Si le le taux est est l’unun desdes plus plus forts du dépar2% DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT 4%sa Région ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, l'évasion a augmenté depuis 2008 (de 22 % à 25 %). Le du SCoT de Sélestat et en 2011 tement, l’augmentation du potentiel de consom- DE SELESTAT ET SA REGION développement de l'offre commerciale proposée par les ensembles commerciaux du Haut-Rhin explique 75% 6% mation ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. 1% l'accroissement de l'évasion vers ce département. 12% Sélestat et sa région Bas-Rhin (hors SCoT Séle En effet, l’évasion a augmenté depuis 2008 (de 22 % 2% 4% Vente à distance Allemagne à 25 %). Le développement de l’offre commerciale 75% 6% Haut-Rhin Autres départements DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT proposée par les ensembles commerciaux du HautDE SELESTAT ET SA REGION Sélestat et sa région Bas-Rhin (hors SCoT Sélestat et sa région) Rhin explique l’accroissement de l’évasion vers ce Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 350 mi Vente à distance 75% Allemagne hausse de 7,5 % par rapport à 2008 et représente 6 % du chiffre d'affaire département. 1%
Vente à distance
2%
Vente à distance Haut-Rhin
Le Haut-Rhin
Haut-Rhin
Autres départements sont ZI Nord de
vente les plus importants Bas-Rhin (hors SCoT Sélestat et sa région)
Sélestat et Maison Rouge, Séle
Allemagne
chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 350 millions d'€ pour 2011. Il est donc Autres départements hausse de 7,5 % par rapport à 2008 et représente SYNTHESE : 6 % du chiffre d'affaires global du département. Les pôl les plus importants ZI Nord de Sélestat et Maison Rouge, Sélestat centre ville et Villé. Le chiffre d'affaires vente des commerces du SCoT estsont estimé à 350 millions d'€ pour 2011. Il est donc en Lad'affaires progression démographique SCoT hausse de 7,5 % par rapport à 2008 et représente 6 % du chiffre global du département. Lesdu pôles de de Sélestat et de sa Région est 6% AussiSélestat le potentiel augmente également fortement (+ 11 vente les plus importants sont ZI Nord de Sélestat et Maison Rouge, centre de villeconsommation et Villé. e ZI de2011. Sélestat Nord et Maison Rouge est le 3 pôle commercial du dép Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 350 millions d’eurosLapour SYNTHESE : La bonne accessibilité des zones commerciales, le renforcement et la div SYNTHESE : La progression démographique du SCoT de de sade Région l’une des plus importantes expliquer unSélestat taux de et fidélité 75 % est et une augmentation des partsdu deBa m Aussi le de consommation augmente également fortement (+ 11%). La progression démographique dupotentiel SCoT de Sélestat et de sad’affaires Région est l’une des plus du Bas-Rhin. Il est donc en hausse de 7,5 % par rapport à 2008 et représente 6% du75% chiffre global duimportantes e Aussi le potentiel de consommation augmente également fortement (+ 11%). commercial du département. La ZI de Sélestat Nord et Maison Rouge est le 3 pôledomicile Les flux migratoires / travail hors SCoT (10 000 actifs) engendre département. Les pôles de vente les plus importants sont ZIRouge Nord de3e pôle Sélestat eteffectués Maison du département. La ZI de Sélestat Nord et est le LaMaison bonne accessibilité descommercial zones commerciales, renforcement et lafréquentés diversification de leur offre peuvent surRouge, leslebassins d’emplois et leurs zones commercial bonne accessibilité des Bas-Rhin zones commerciales, leSélestat renforcement etrégion) la diversification de leur offre peuvent Sélestat sa% expliquer un(hors tauxSCoT de fidélité deet 75le et une augmentation des parts de marché des grandes surfaces. SCOTERS. Sélestat centre-ville et Villé.et sa région La expliquer un taux de fidélité de 75 % et une augmentation des parts de marché des grandes surfaces.
4%
>
12%
Sélestat et sa région
Allemagne
Les flux migratoires / travail hors SCoT (10 000 actifs) une part importante des achats Les flux migratoires domicile / travail hors SCoT domicile (10 000 actifs) engendrent une part importante des engendrent achats effectués sur les bassinseffectués d’emplois fréquentés et leursd’emplois zones commerciales aussi dans le Haut-Rhin que sur aussi bien dans le Haut-Rhin q Autres départements sur les bassins fréquentés etbien leurs zones commerciales le SCOTERS. le SCOTERS.
Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 350 millions d'€ pour 2011. Il est donc en 23/41 hausse de 7,5 % par rapport à 2008 et représente 6 % du chiffre d'affaires global du département. Les pôles de vente les plus importants sont ZI Nord de Sélestat et Maison Rouge, Sélestat centre ville et Villé.
Synthèse
La progression démographique du SCoT de Sélestat et de sa Région est l’une des plus importantes du Bas-Rhin. Aussi le potentiel de consommation augmente également fortement (+ 11 %). La progression démographique du SCoT de Sélestat et de sa Région est l’une des plus importantes du Bas-Rhin. Aussi le potentiel de consommation augmente également fortement (+ 11%). e zones de Sélestat constituent commercial du SCoT. commercial du département. La Les ZI de Sélestat Nord et Nord Maison Rouge estlelepremier 3 pôle pôle La La bonne accessibilité desdes zones commerciales, le le renforcement etet la la diversification dede leur offre peuvent bonne accessibilité zones commerciales, renforcement diversification leur offre peuvent expliquer expliquer de fidélité % etaugmentation une augmentation des parts de marché des grandes surfaces. un tauxundetaux fidélité de 75de % 75 et une des parts de marché des grandes surfaces.
SYNTHESE :
Les flux migratoires domicile / travail hors SCoT (10 000 actifs) engendrent une part importante des achats Les flux migratoires domicile / travail hors SCoT (10 000 actifs) engendrent une part importante des achats effectués sur effectués sur les bassins d’emplois fréquentés et leurs zones commerciales aussi bien dans le Haut-Rhin que sur les bassins d’emplois fréquentés et leurs zones commerciales dans le Haut-Rhin et sur le SCoTERS. le SCOTERS. 23/41
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
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SCoT de la Région de Saverne Le SCoT de la Région de Saverne a été arrêté le 22 décembre 2010.
E
L’économie du territoire est très imbriquée avec celle de l’agglomération strasbourgeoise et la ville de Saverne est largement sous l’influence de la métropole régionale.
de e est
En 2008, les emplois proposés aux 32 382 actifs sont au nombre de 24 638 (source INSEE).
au
ugmentation du nombre de ménages similaire à celle du
Evolution de la population et Evolution du nombre de ménages (en %)
du nombre de ménages 2010*
6
69 946
3,3%
5
28 324
6,5%
>
es suivantes :
ges 1 onne
53% 49%
Ménages 4 personnes et + 23% 20%
40-59 ans
60 ans et +
42% 39%
33% 29%
De 1061€ à 2130€ 30% 33%
de 2131€ à 3050€ 33% 27%
Ménages 2-3 personnes
% %
de 40 s % %
s de 1€ % %
2007
2010*
Evolution (en %)
Population
67 706
69 946
3,3 %
Nombre de ménages
36 605
28 324
6,5 %
* Estimation AID Observatoire
>
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes :
Plus de 3050€
Taille des ménages
27% 29%
le SCoT la Région de Saverne, 61 grandes surfaces pour commerces alimentaires) et 390 commerces traditionnels dont 29 % sont des commerces alimentaire).
45%
Non alimentaire
1 pers.
2-3 pers.
4 pers. et +
SCoT de la Région de Saverne
24 %
53 %
23 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
Age de la population
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Alimentaire
Le SCoT de la Région de Saverne connaît une augmentation du nombre de ménages similaire à celle du département :
- de 40 ans
40-59 ans
SCoT de la Région de Saverne
25 %
42 %
33 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
55%
Revenus des ménages 24/41
> >
+ de 3 050 e
SCoT de la Région de Saverne
10 %
30 %
33 %
27 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT de la Région de Saverne, 61 grandes surfaces pour 72 183 m² de surface de vente (dont 28 % sont des commerces alimentaires) et 390 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 43 535 m² (dont 29 % sont des commerces alimentaires).
Sur le SCoT de la Région de Saverne, le potentiel de consommation s’élève à 403,1 millions d’euros. Il a augmenté de 8,5 % entre 2008 et 2011. Ceci s’explique essentiellement par l’augmentation du nombre de ménages. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +12 % • non alimentaire + 7 %
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 45 % Non alimentaire 55 %
24
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
R é sultats par S C o T
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONS Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la part du potentiel de consommation captée par les grandes surfaces est de 72 %. Elle est restée DUlePOTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE Grandes surfaces REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE la stable. REPARTITION Quel que soit lieu d'achat en 2011,
Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la Répartition potentiel decaptée consommation par forme de vente en 2011 Quel que soit ledelieu d’achat en 2011,captée la part part du potentiel dedu consommation part du potentiel consommation Néanmoins par les grandes surfaces est de 72 %. Elle la part du potentiel de consommation par les par du lespotentiel grandesdesurfaces est decaptée 72 %. Elle 80% 1 consommation a baissé dans le commerce Commerce de moins est restée stable. 80% 66% de moins de 300 m².Grandes surfaces de 300m² grandes stable. surfaces est de 72 %. Elle est restée est restée 72% Grandes surfaces 66% est Néanmoins la part du potentiel de Le taux d'emprise de la vente à distance stable. 72% le plus fort du département dans le domaine 14% consommation a baissé dans le commerce 0% non alimentaire. Commerce de moins 21% Néanmoins la part du potentiel de 8% Vente à distance de moins de 300 m². de 300m² 18% 5% Le taux d'emprise de la vente à distance est Néanmoins, laapart du potentiel decommerce consommation 14% consommation baissé dans le Commerce de moins le plus fort du département dans le domaine 21% 0% 3% a baisséde dans le commerce de moins de 300 m². de moins 300 m². de 300m² Commerce non non alimentaire. 8% Vente à distance 1% 18% sédentaire 5% Le taux d’emprise venteàà distance distance est Le taux d'emprise dedelalavente estle 2% REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la le plus dansle le domaine plusfort fortdu dudépartement département dans domaine Alimentaire part dunon potentiel de consommation captée 3% 3% 0% Commerce non par les grandes surfaces est de 72 %. Elle 1% 4% Autre Non alimentaire non alimentaire. alimentaire. 80% sédentaire Vente à distance 8% est restée stable.
>
2% 66% 72%
Grandes surfaces
Néanmoins la part du potentiel de consommation a baissé dans le commerce de moins de 300 m². non Le taux d'emprise de la vente Commerce à distance est le plus fort du département danssédentaire le domaine non alimentaire.
5%
Tous produits
3%
3%
14%
4% Autre Alimentaire 21% 3% 3% L'augmentation 18% du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux com 1% Non alimentaire fidélité a diminué depuis 2008 (de 63 % à 60 %). L'évasion a augmenté dans 0% 2%Vente19 %). On constate que dans le domaine non alimentaire la fidélité a augmen à distance 8% Tous produits 5% renforcement de danspas ce aux domaine (création ensemble L'augmentation du potentiel deun consommation ne l'offre bénéficie commerces dud'un SCoT. En effet,comme la Commerce de moins de 300m²
fidélité a diminué depuis 20083% (de 63 % à 60 aAlimentaire augmenté dans le domaine alimentaire (de 14 % à 3% %). L'évasion DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT DE LA REGION DE SAVER Commerce non 1% Non alimentaire 19 %). On constate Autre que dans le a augmenté (de 50 % à 52 %). Ceci est dû à sédentaire non alimentaire la fidélité 4%domaine 2% Tous produits un renforcement de l'offre dans 3%ce domaine (création d'un ensemble commercial situé à Otterswiller). 3% 5% Autre DES4% DESTINATION DES DEPENSES HABITANTS DU SCOT DE LA REGION DE SAVERNE 3%
5%
1% 2% 1%
1% 2% 1%
28%
L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, la L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, la fidélité a diminué depuis 2008 (de 63 % à 60 %). L'évasion dans le domaine alimentaire (de 14 % à 63% 28% a augmenté du potentiel de consommation Destination des dépenses des ménages fidélitéL’augmentation a diminué depuis 2008 (de 63 % à 60 %). L'évasion a augmenté dans le domaine alimentaire (de 14 %à 19 %). On constate que dans le domaine non alimentaire la fidélité a augmenté (de 50 % à 52 %). Ceci est dû à un renforcement de l'offre dans ce domaine (création d'un ensemble commercial situé à Otterswiller). du SCoT de la Région de Saverne en 2011 ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. 19 %). On constate que dans le domaine non alimentaire la fidélité a augmenté (de 50 % à 52 %). Ceci est dû à DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT DE LA REGION DE SAVERNE un renforcement de l'offre dans ce domaine (création d'un ensemble commercial situé à Otterswiller). 63% En effet, la fidélité a diminué depuis 2008 (de 1% 2% 1% Région de Saverne Bas-Rhin (hors SC 5% DESTINATION DES DEPENSES HABITANTS DU SCOT DE LA REGION DE SAVERNE 63 % à 60 %). L’évasion a augmenté dans DES le doVente à distance Allemagne 28% Moselle Hors département maine alimentaire (de 14 % à 19 %). On constate Région de Saverne Bas-Rhin (hors SCoT Région de Saverne) que dans le domaine non alimentaire la fidélité1% 2% 1% Vente à distance Allemagne 63% a augmenté (de 50 % à 52 %). Ceci est dû 5% à un Moselle Hors département Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 299,9 milli renforcement de l’offre dans ce domaine (création de 2 % par rapport à 2008 est la plus faible du département. Le chiffre d'affa 28% pôles de vente suivants : Saverne, la ZC Leclerc Marmoutier et Ingwiller. d’un ensemble commercial situé à Otterswiller).
>
>
Région ded'affaires Saverne Bas-Rhin (hors SCoT Région Saverne) à 299,9 millions d'€ pour 2011. Cette hausse Le chiffre des commerces du SCoT est de estimé Vente à distance Allemagne de 2 % par rapport à 2008 est la plus faible du département. Le chiffre d'affaires du SCoT est capté par les SYNTHESE Moselle Hors département: pôles de vente suivants : Saverne, la ZC Leclerc Marmoutier et Ingwiller. Si l'augmentation du nombre de ménages du SCoT de la Région de Saverne 63% le Bas-Rhin, l'augmentation de la population est moindre. La population est p grand nombre de retraités. Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 299,9 millions d'€ pour 2011. Cette hausse SYNTHESE :
de 2SCoT % par rapport à 2008 estàla299,9 plus faible du département. Le chiffre d'affaires du SCoT est capté par les Le chiffre d’affaires des commerces du est Si estimé 2011. l'augmentation dumillions nombre ded’euros ménagespour du SCoT de la Région de Saverne est supérieure à celle constatée su pôles de vente suivants : Saverne, la ZC Leclerc Marmoutier et Ingwiller.
Malgré l'augmentation deest consommation, la part de marché capt le Bas-Rhin, l'augmentation de la population est moindre. du La potentiel population plus âgée et constituée d'un plus restée stable. Les ménages fréquentent les commerces de proximité nombre grand nombre de retraités. non alimentaire. Nous rapport à 2008 est la :plus faible du département. Le chiffre d’affaires duconstatons également que la part de marché captée p SYNTHESE importante du département. Si l'augmentation du nombrel'augmentation de ménages Bas-Rhin du SCoT de(hors la Région de Saverne est à celle constatée sur par les grandes surfaces est Région de Saverne SCoT Région desupérieure Saverne) Malgré du potentiel de consommation, la part de marché captée
Cette hausse de 2 % par SCoT est capté par les pôles de vente suivants : Saverne, la ZC Leclerc Marmoutier et Ingwiller. le Bas-Rhin, l'augmentation de la population est moindre. La population est plus âgée et constituée d'un plus
restée stable. Les ménages fréquentent les commerces de proximité nombreux et spécialisés dans le domaine Allemagne Les commerces SCoTERS sont les principaux bénéficiaires non alimentaire. Nous constatons également que ladu part de marché captée par la vente à distance de estl'évasion la plus c de sa Région. Hors département importante dude département. Malgré l'augmentation du potentiel consommation, la part de marché captée par les grandes surfaces est
grand nombre de retraités. Vente à distance
Moselle
restée stable. Les ménages fréquentent les commerces de proximité nombreux et spécialisés dans le domaine non alimentaire. Nous également que la partsont de marché captée parbénéficiaires la vente à distance est la pluscommerciale du SCoT de Saverne e Lesconstatons commerces du SCoTERS les principaux de l'évasion importante du département. de sa Région.
25/4
Les commerces du SCoTERS sont les principaux bénéficiaires de l'évasion commerciale du SCoT de Saverne et
Synthèse
de sa Région. Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 299,9 millions d'€ pour 2011. Cette hausse 25/41 de 2 % par rapport à 2008 est la plus faible du département. Le chiffre d'affaires du SCoT est capté par les pôles de vente suivants : Saverne, la ZC Leclerc Marmoutier et Ingwiller. Si l’augmentation du nombre de ménages du SCoT de la Région de Saverne est supérieure à celle constatée sur le Bas-Rhin, l’augmentation de la population est moindre. La population SYNTHESE : est plus âgée et constituée d’un plus grand nombre de retraités. Si l'augmentation du nombre de ménages du SCoT de la Région de Saverne est supérieure à celle constatée sur le Bas-Rhin, l'augmentationdudepotentiel la population est moindre.laLa population plus par âgée constituée d'unest plus Malgré l’augmentation de consommation, part de marchéest captée lesetgrandes surfaces restée grandstable. nombre de retraités. Les ménages fréquentent les commerces de proximité nombreux et spécialisés dans le domaine non alimentaire. Nous constatons également que la part de marché captée par la vente à distance est la plus importante Malgré l'augmentation du potentiel de consommation, la part de marché captée par les grandes surfaces est dustable. département. restée Les ménages fréquentent les commerces de proximité nombreux et spécialisés dans le domaine
non alimentaire. Nous constatons également que la part de marché captée par la vente à distance est la plus Les commerces du SCoTERS sont les principaux bénéficiaires de l’évasion commerciale du SCoT de la Région de importante du département. Saverne. Les commerces du SCoTERS sont les principaux bénéficiaires de l'évasion commerciale du SCoT de Saverne et de sa Région. 25/41
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
25
SCoT de la Bruche L’élaboration du SCoT de la Bruche a été prescrite le 2 octobre 2010.
e2
Ce territoire s’étend le long de la vallée de la Bruche. Sa géographie et son économie sont marquées par la juxtaposition de paysages entre plaine d’Alsace et haute vallée vosgienne.
. Sa
aute
onomie
La dynamique du territoire est en lien étroit avec l’économie de Strasbourg.
t au
En 2008, les emplois proposés aux 29 437 actifs sont au nombre de 27 225
>
on du nombre de ménages proche de la moyenne du
Evolution de la population et du nombre de ménages Evolution
u nombre de ménages 2010*
3,8%
25 002
6,8%
es suivantes :
ages 1 sonne
52% 49%
Ménages 4 personnes et + 23% 20%
40-59 ans
60 ans et +
41% 39%
31% 29%
De 1061€ à 2130€ 39% 33%
de 2131€ à 3050€ 29% 27%
Ménages 2-3 personnes
25% 31%
s de 40 ans 28% 32%
ins de 061€ 5% 11%
Le SCoT de la Bruche connaît une augmentation du nombre de ménages proche de la moyenne du département : 2007
(en %)
61 784
> Plus de 3050€
Nombre de ménages
2010*
Evolution (en %)
59 535
61 784
3,8 %
23 405
25 002
6,8 %
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
26% 29%
45%
1 pers.
2-3 pers.
4 pers. et +
SCoT de la Bruche
25 %
52 %
23 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
Age de la population
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Non alimentaire
Population
* Estimation AID Observatoire
le SCoT de la Bruche, 45 grandes surfaces pour 57 007 m² s alimentaires) et 322 commerces traditionnels sédentaires ont des commerces alimentaire).
Alimentaire
(source INSEE).
- de 40 ans
40-59 ans
SCoT de la Bruche
28 %
41 %
31 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
55%
Revenus des ménages 26/41
>
>
+ de 3 050 e
SCoT de la Bruche
5%
39 %
29 %
26 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT de la Bruche, 45 grandes surfaces pour 57 007 m² de surface de vente (dont 37 % sont des commerces alimentaires) et 322 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 35 848 m² (dont 37 % sont des commerces alimentaires).
Sur le SCoT de la Bruche, le potentiel de consommation s’élève à 362,9 millions d’euros. Il a augmenté de 9 % entre 2008 et 2011. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +12,7 % • non alimentaire + 6,3 %
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 45 % Non alimentaire 55 %
26
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
REPARTITION DU POTENTIEL DE C
Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la part du potentiel de consommation captée par Grandes surfaces POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE les grandes surfaces est REPARTITION de 74 % DU (contre R é sultats par S C o T 73 % en 2008). Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la part du potentiel de consommation captée par Commerce de moins de Grandes surfacesdes Dans les zones de plaine l'attractivité les grandes surfaces est de 74 % (contre 300m² grandes surfaces est forte. 73 % en 2008).
>
REPARTITION DU DEde CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE Répartition duPOTENTIEL potentiel consommation par forme de vente en 2011 Quel que soit le lieu d’achat en 2011, la part 13% Par contre le commerce traditionnel est Commerce de moins de du potentiel de consommation captée par lesles zones de plaine l'attractivité des Dans 21% Vente à distance 300m² Vallée de la la part surfaces est forte. toujours dynamique dans la Haute Quel que soit le lieu d'achat en 2011, grandes 17% grandes surfaces est de 74 % (contre 73 % en 82% REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE Bruche. du potentiel de consommation captée par Grandes surfaces 68% 2008). les grandes surfaces est de 74 % (contre 1%
contre le commerce la part traditionnel est Quel que soit le lieuPar d'achat en 2011,
toujours dynamique du potentiel de consommation captée pardans la Haute Vallée de la 73 % en 2008). Grandes surfaces Dans les zones de plaine, des grandes les l’attractivité grandes surfaces est de 74 % (contre Bruche. 13% 73 % en 2008). Commerce de moins de surfaces est forte. Dans les zones de plaine l'attractivité des
Vente à distance
82%
sédentaire
68% 74%
21% 13% 17%
300m²
74% Commerce non
7% 4%
Commerce non sédentaire 21%
2% 1% 1%
1
1%
7% 4%
2% 1% 1%
3% Alimenta
Autre 3% Commerce de moins de grandes surfaces est forte. Dans les zones de plaine l'attractivité des Non alim 300m² 3% 17% Par contre, le commerce traditionnel dynagrandes surfaces reste est forte. Tous pro la Haute Vallée de la Bruche. 1% Par mique contredans le commerce traditionnel est 3% 1% Par contre le commerce traditionnel est Autre 3% 7% à distanceVente à distance 7% toujours dynamique dans la Haute Vallée la Vallée deVente toujours dynamique dansde la Haute la 3% 4% 4% Bruche. Bruche. L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux com
fidélité a diminué 2% depuis 2008 (de 63 % à 62 %). C'est l'offre commerciale pr
Commerce Alimentaire 2% non Commerce non des sédentaire Vosges et1%particulièrement celle de la Alimentaire commune d'Obernai qui expliquen 1% 1% Non alimentaire sédentaire L'augmentation du potentiel de1% consommation ne bénéficie pas aux commerces Non alimentaire du SCoT. En effet, la Tous produits
DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS fidélité a diminué depuis 2008 (de 63 % à 623%%). C'est l'offre commerciale présente sur DU le SCOT SCoT du Piémo Tous produits Autre 3% DE LA BRUCHE des Vosges et particulièrement celle de la commune d'Obernai qui expliquent l'accroissement de l'évasion 3%
3% 3% DESTINATION3% DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT Autre
2% 4%
DE LA BRUCHE
>
2%
1%
L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, la 28% du Piémont fidélité a diminué depuis 2008 (de 63 % à 62 %). C'est l'offre commerciale présente 2% sur le SCoT 2%l'accroissement 1% des Vosges et particulièrement celle de la commune d'Obernai qui expliquent de l'évasion. 4%
L'augmentation potentiel consommation neDestination bénéficie des pasdépenses aux commerces du SCoT. En effet, la L’augmentation dudupotentiel de de consommation des ménages DESTINATION DES DEPENSES DEScommerciale HABITANTS DU SCOT 28% présente sur le SCoT du Piémont fidélité a diminué depuis 2008 (de 63 % à 62 %). C'est l'offre du SCoT de la Bruche en 2011 ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. DE LA BRUCHE des Vosges et particulièrement celle de la commune d'Obernai qui expliquent l'accroissement de l'évasion. 2% En effet, la fidélité a diminué depuis 2008 (de 63 % 2% 4% DESTINATION DES DEPENSES à 62 %). C’est l’offre commerciale présente sur le DES HABITANTS DU SCOT DE et LA particulièrement BRUCHE SCoT du Piémont des Vosges 28% celle de la commune d’Obernai qui expliquent 2% l’accroissement de l’évasion.
2% 4%
1%
Bruche
28%
Vente à distance
Bruche
1%
Bruche
Bas-Rhin (hors SCo
Vente à distance
Allemagne
Vosges
Hors départemen
Bas-Rhin (hors SCoT Bruche)
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63%
6
63%
Allemagne Hors département
Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 299 million Bruche)à 2008. Cora Dorlisheim est le pôle commercial m hausse deBas-Rhin 5 % (hors parSCoT rapport Allemagne
Hors département Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 299 millions d'€ pour 2011. Il est donc 63% hausse de 5 % par rapport à SYNTHESE 2008. Cora Dorlisheim est le pôle commercial majeur du SCoT (43%). : Vosges
>
Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 299 millions d’euros pour 2011.
Le SCoT de la Bruche connaît une augmentation mesurée de son nombre de
Il est en hausse de 5%Lepar rapport à SYNTHESE 2008. Cora Dorlisheim le pôleàcommercial majeur Ce secteur bénéficie ded'€ liaisons et de Ildessertes en transports en commun qu chiffre d'affaires des commerces est estimé 299 millions pour 2011. est donc en : du SCoTest Bruche Bas-Rhin Bruche) SCoTERS etSCoT expliquent l'évasion importante vers celui-ci. L'attractivité du pôl hausse de 5 % par rapport à 2008. Cora Dorlisheim est le pôle(hors commercial majeur du SCoT (43%). du SCoT (43%). Le SCoT de la Bruche connaît une augmentation mesurée de son nombre de ménages et de sa population Vente à distance
SYNTHESE :
Allemagne L''offre commerciale du SCOT évoluera dans un avenir proche par la création etdépartement de dessertes en transports en commun qui amplifient les déplacements VosgesCe secteur bénéficie de liaisons Hors proximité d’une zone de loisirs. Cette dernière constituée, entre autre, d'un m
SCoTERS et expliquent l'évasion importante vers celui-ci. L'attractivité du pôle commercial d'Obernai se re e courant 4 trimestre 2011.
Le SCoT de la Bruche connaît une augmentation mesurée de son nombre de ménages et de sa population.
L''offre commerciale du SCOT évoluera dans un avenir proche par la création d'un ensemble commercial s
Synthèse
proximité d’une zone de en loisirs. Cetteen dernière constituée, entre d'un multiplex Ce secteur bénéficie de liaisons et de dessertes transports commun qui amplifient lesautre, déplacements vers le et d'un bowling a ouv e SCoTERS et expliquent l'évasion vers celui-ci. L'attractivité du pôle commercial d'Obernai se renforce. trimestre 2011. courant 4 importante
Le chiffre d'affaires descommerciale commerces du SCoT est estimé à proche 299 millions d'€d'un pour 2011. commercial Il est donc enà L''offre du SCOT évoluera dans un avenir par la création ensemble situé proximité d’une zone loisirs. Cette constituée, entre d'un multiplex et d'un bowling a ouvert L’augmentation dudenombre de dernière ménages ducommercial SCoT deautre, lamajeur Bruche estSCoT similaire à celle constatée hausse de 5 % par rapport à 2008. Cora Dorlisheim est le pôle du (43%). e courant 4 trimestre 2011. sur le département du Bas-Rhin. 27/41
Ce secteur bénéficie de liaisons et de dessertes en transports en commun qui amplifient les déplacements vers le SYNTHESE : SCoTERS et expliquent l’évasion importante vers celui-ci. L’attractivité du pôle commercial d’Obernai se renforce. Le SCoT de la Bruche connaît une augmentation mesurée de son nombre de ménages et de sa population.
commerciale duliaisons SCoT évoluera dans unen avenir procheenpar la création d’un ensemble commercial situé à Ce L’offre secteur bénéficie de et de dessertes transports commun qui amplifient les déplacements vers le proximitéetd’une zone de loisirs àimportante Molsheim.vers Cettecelui-ci. dernière constituée,du entre d’un multiplex et d’un bowling SCoTERS expliquent l'évasion L'attractivité pôleautre, commercial d'Obernai se renforce. a ouvert courant 4e trimestre 2011. L''offre commerciale du SCOT évoluera dans un avenir proche par la création d'un ensemble commercial situé à proximité d’une zone de loisirs. Cette dernière constituée, entre autre, d'un multiplex et d'un bowling a ouvert e courant 4 trimestre 2011. 27/41 Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
27
SCoT du Piémont des Vosges Le SCoT du Piémont des Vosges a été approuvé le 16 juin 2007.
e2
L’économie du SCoT est fortement marquée par l’activité viticole et le tourisme.
. Sa
Ce territoire est particulièrement bien relié à Strasbourg et à sa région par le réseau routier. Le projet de tram-train augmentera encore les échanges.
aute
onomie
En 2008, les emplois proposés aux 28 582 actifs sont au nombre de 20 152
t au
>
Evolution de la population et u nombre de ménages du nombre de ménages Evolution
on du nombre de ménages proche de la moyenne du
2010*
3,8%
25 002
6,8%
es suivantes :
ages 1 sonne
52% 49%
Ménages 4 personnes et + 23% 20%
40-59 ans
60 ans et +
41% 39%
31% 29%
De 1061€ à 2130€ 39% 33%
de 2131€ à 3050€ 29% 27%
Ménages 2-3 personnes
25% 31%
s de 40 ans 28% 32%
ins de 061€ 5% 11%
Le SCoT du Piémont des Vosges connaît une augmentation plus importante du nombre de ménages et de la population que celle du département : 2007
2010*
Population
57 421
59 759
4,1 %
Nombre de ménages
22 825
24 510
7,4 %
(en %)
61 784
>
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
Plus de 3050€
26% 29%
1 pers.
2-3 pers.
4 pers. et +
SCoT du Piémont des Vosges
25 %
52 %
23 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
- de 40 ans
40-59 ans
60 ans et +
Age de la population SCoT du Piémont des Vosges
28 %
41 %
32 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Non alimentaire
Evolution (en %)
* Estimation AID Observatoire
le SCoT de la Bruche, 45 grandes surfaces pour 57 007 m² s alimentaires) et 322 commerces traditionnels sédentaires ont des commerces alimentaire).
Alimentaire
(source INSEE).
45%
Revenus des ménages
55%
26/41
> >
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
+ de 3 050 e
SCoT du Piémont des Vosges
6%
29 %
33 %
32 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT du Piémont des Vosges, 41 grandes surfaces pour 60 823 m² de surface de vente (dont 34 % sont des commerces alimentaires) et 358 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 38 992 m² (dont 37 % sont des commerces alimentaire).
Sur le SCoT du Piémont des Vosges, le potentiel de consommation s’élève à 353,4 millions d’euros. Il a augmenté de 9,6 % entre 2008 et 2011. Cette forte augmentation du potentiel de consommation est due à l’augmentation importante du nombre de ménages et un IDC favorable. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +13 % • non alimentaire + 7 %
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 45 % Non alimentaire 55 %
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Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTE
R é sultats par S C o T
>
Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la part du potentiel de consommation captée Grandes surfaces par les grandes surfaces est de 72 %. Elle LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTEES est restée stable depuis 2008. Quel queRépartition soit le lieu d'achat en 2011,de laconsommation par forme de vente en 2011 du potentiel Quel que soit le lieu d’achat en 2011, la part 80% part du potentiel captée de grandes surfaces alimentaires LES FORMESde DE consommation COMMERCES FREQUENTEES 12% L'ouverture Commerce de moins Grandes surfaces 66% du potentiel de consommation captée par les par les grandes surfaces est de 72 22% %. Elle une baisse a entraîné significative des parts de 300m² 72% Quel que est soitde le 72 lieu%. d'achat en 2011, la restée stable depuis 2008. de marché des commerces de moins de 18% grandes surfaces Elle est restée est 80% part du potentiel de consommation captée 300 m² de ce secteur. LES FORMES DE COMMERCES FREQUENTEES stablepar depuis 2008. Grandes surfaces de grandes surfaces alimentaires Commerce de moins66% 12% 0% les grandes surfaces est de 72 %. L'ouverture Elle 22% Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la baisse significative des Vente à distance a entraîné une 7% Par parts contre, le commerce 72% de 300m² traditionnel est restée stable depuis 2008. 80% 18% part du potentiel de consommation 4% de marchécaptée des commerces de moins dealimentaire, notamment dans les bourgs non L’ouverture de grandes surfaces alimentaires a Grandes surfaces 66% par les grandes surfaces 300 est de m²72 de%. ceElle secteur. centres, a conservé des parts de marché 72% entraîné une baisse significative des parts de2008. est restée stable depuis 12% L'ouverture de grandes surfaces alimentaires importantes. 0% 3% Commerce de moins Commerce non 22% Vente à distance 7% Par contre, le commerce traditionnel a entraîné une baisse significative des parts 1% marché des commerces de moins de 300 m² de de 300m² sédentaire 12% L'ouverture de grandes surfaces alimentaires 4% notamment bourgs 2% Commerce dedans moins les18% de marché des commerces de moins de non alimentaire, ce secteur. 22% a entraîné une baisse significative parts 300m² de marché centres,des a conservé desdeparts 300 m² de ce secteur. 18% Alimentaire de marché des commercesimportantes. de moins de 3% 5% Commerce non 300 m² de ce secteur. 0% 1%
Par contre, le commerce traditionnel non aliVente à distance 7% Par contre, le commerce traditionnel Vente à distance Parles contre, le commerce traditionnel mentaire, bourgs centres, a 4% non notamment alimentaire, dans notamment dans les bourgs non alimentaire, notamment dans les bourgs conservé des parts de marché importantes. centres, a conservé des parts de marché centres, a conservé des parts de marché importantes.
importantes.
3% Commerce non Commerce non 1% sédentaire sédentaire 2%
0%
4% Autre Non alimentaire
sédentaire
2%
7% 4%
5% Tous produits
5%
Alimentaire 4% de consommation bénéficie aux commer Autre Alimentaire L'augmentation du potentiel 3% 5% à 53 %). Ceci s'explique par l'attractivité, augmenté depuis 2008 (de 51 1% Non% Nonalimentaire alimentaire du 2% commerce d'Obernai et des principaux bourgs centres. Tous produits
Tous produits L'augmentation du potentiel de consommation bénéficie aux commerces du SCoT. En effet, fidélité a DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DUla SCOT 5% DU PIEMONT DES augmenté depuis 2008 (de 51Autre % à 53 %). Ceci s'explique par l'attractivité, le VOSGES développement et le dynamisme 4% 5% du commerce d'Obernai et des principaux bourgs centres. 5% 4%
Autre
5%
DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT DU PIEMONT DES VOSGES du SCoT. En effet, bénéficie aux commerces
>
L'augmentation du potentiel de consommation la fidélité a augmenté depuis 2008 (de 51 % à 53 %). Ceci s'explique par l'attractivité, le développement et le dynamisme d'Obernai et des principauxbénéficie bourgs centres. 2% En effet, la fidélité L'augmentation du ducommerce potentiel de consommation aux commerces du SCoT. 2%
1%
2%
2%
1%
a
4% augmentédu depuis 2008de(de 51 % à 53 %). DESTINATION Ceci s'explique pardes l'attractivité, le développement et le dynamisme L’augmentation potentiel consommation Destination dépenses des ménages DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT 38% PIEMONT du DES VOSGES du aux commerce d'Obernai et des principaux DU bourgs centres. SCoT du Piémont des Vosges en 2011 bénéficie commerces du SCoT.
DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT En effet, la fidélité a augmenté depuis 2008 (de 1% 2% 38% DU PIEMONT DES VOSGES 4% 51 % à 53 %). Ceci s’explique par l’attractivité, le développement et le dynamisme du commerce 2% Piémont des Vosges d’Obernai et des principaux bourgs centres. 1% 2% 2%
38%
Piémont des Vosges
53%
Bas-Rhin (hors S
Vente à distance
Allemagne
Haut-Rhin
Hors départem
Bas-Rhin (hors SCoT Piémont des Vosges)
Le chiffre d'affaires des Allemagne commerces du SCoT est estimé à 222 milli 53% d'affaires connaît la plus forte hausse relevée dans le département par rap Haut-Rhin département d'affaires du SCoT est captéHors principalement par le pôle de vente d'Obernai pôles de vente de Rosheim, Gertwiller et Barr sont dynamiques. Piémont des Vosges Bas-Rhin (hors SCoT Piémont des Vosges) Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 222 millions d'€ pour 2011. Ce chiffre Vente à distance Allemagne d'affaires connaît la plus forte hausse relevée dans le département par rapport à 2008 (+20 %). Le chiffre d'affaires par53% le SYNTHESE : pôle de vente d'Obernai. Dans le domaine alimentaire, les Haut-Rhin du SCoT est capté principalement Hors département pôles de vente de Rosheim, Gertwiller et Barr sont du dynamiques. L'augmentation nombre de ménages du SCoT du Piémont des Vosges e 38% 4%
>
4%
Vente à distance
Les ménages du territoire bénéficient, en moyenne, de revenus p Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé Bas-Rhin. à 222 millions d'€ pour 2011. Ce chiffre
d'affaires connaît plus forte le département rapport à 2008 (+20 %). Le chiffre Le chiffre d’affaires des commerces du laSCoT est hausse estimérelevée à 222dans millions d’eurospar pour 2011.
SYNTHESE : par le pôle de descapté Vosges Bas-Rhin (hors SCoT Piémont des d'affaires duPiémont SCoT est principalement venteCette d'Obernai. Dans le domaine alimentaire, les une forte augmentation du p augmentation etVosges) ces revenus entraînent pôles de vente de Rosheim, Gertwiller et Barr sont dynamiques. L'augmentation du nombre de ménages du SCoT du Piémont est supérieure à celledeconstatée sur Piémont des Vosges est le des seulVosges SCoT dans lequel les parts marché cap Vente à distance Allemagne Ce chiffre d’affaires connaît la plus forte hausseBas-Rhin. relevée Les dans le département par rapport 2008 ménages du territoirerestées bénéficient, enàLes moyenne, de revenus pluségalement élevés. les nombreux comme stables. ménages fréquentent Haut-Rhin bourgs centres et Dans des villes. (+20 %). Le chiffre d’affaires du SCoT est capté principalement par le pôleHors de département vente d’Obernai. SYNTHESE : Cette augmentation et ces revenus entraînent une forte augmentation du potentiel de consommation. Le SCo le domaine alimentaire, lesL'augmentation pôles de vente de Rosheim, Gertwiller etduBarr sont dynamiques. des du Vosges le seul SCoT dans lequel les parts de marché captées par les grandes (53 surfaces sont5 La Vosges fidélité aux commerces du SCoT est ensur en % contre du nombre Piémont de ménages SCoTest Piémont des est supérieure à celle constatée leaugmentation Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est à fréquentent 222de millions d'€élevés. pour 2011.duCe chiffre ce stables. Lesestimé ménages également les nombreux commerces traditionnels alimentaires d'accès à l'offre commerciale SCoTERS, dernier estnon la première dest Bas-Rhin. Les ménages durestées territoire bénéficient, en moyenne, revenus plus d'affaires connaît la plus forte hausse relevée leetdépartement par bourgs dans centres des villes. . rapport à 2008 (+20 %). Le chiffre augmentation et ces revenus une vente forte augmentation potentiel de consommation. Le SCoT d'affaires du SCoTCette est capté principalement parentraînent le pôle de d'Obernai.duDans le domaine alimentaire, lesdu fidélité aux commerces du SCoT est encaptées en augmentation (53 %surfaces contre 50 % en 2008). En raison des facilité Piémont des Gertwiller Vosges est le seul SCoT dans lequel les parts de marché par les grandes sont pôles de vente de Rosheim, etLa Barr sont dynamiques. d'accès à l'offreégalement commerciale du SCoTERS, ce dernier est la première destination de l'évasion. restées stables. Les ménages fréquentent les nombreux commerces traditionnels non alimentaires des bourgs centres et des villes..
Synthèse
29
La fidélité aux commerces du SCoT est en en augmentation (53 % contre 50 % en 2008). En raison des facilités SYNTHESE : L’augmentation nombredudeSCoTERS, ménages du SCoT du Piémont des Vosges est supérieure à celle d'accès à l'offredu commerciale ce dernier est la première destination de l'évasion. L'augmentation du .nombre de ménages du SCoT du Piémont des Vosges est supérieure à celle constatée sur le constatée sur le Bas-Rhin. Les ménages du territoire bénéficient, en moyenne, de revenus 29/41 plus Bas-Rhin. Les ménages du territoire bénéficient, en moyenne, de revenus plus élevés. élevés.
Cette augmentation et ces revenus entraînent une forte augmentation du potentiel de consommation. Le SCoT du
Piémont des Vosges le seulentraînent SCoT dansune lequel lesaugmentation parts de marché grandes surfaces Cette augmentation et ces est revenus forte du captées potentielpar deles consommation. Le sont SCoT du restées stables. Les ménages fréquentent également les nombreux commerces traditionnels non alimentaires des Piémont des Vosges est le seul SCoT dans lequel les parts de marché captées par les grandes surfaces sont restées bourgs centres et des villes. stables. Les ménages fréquentent les nombreux commerces traditionnels non alimentaires des bourgs centres et des villes. La fidélité aux commerces du SCoT est en en augmentation (53 % contre 50 % en 2008). En raison des facilités d'accès à l'offre commerciale du SCoTERS, ce dernier est la première destination de l'évasion. . La fidélité aux commerces du SCoT est en augmentation (53 % contre 50 % en 2008). En raison des facilités 29/41
d’accès à l’offre commerciale du SCoTERS, ce dernier est la première destination de l’évasion.
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
29
SCoT de la Bande Rhénane Nord
NORD
L’élaboration du SCoT de la Bande Rhénane Nord a été prescrite le 28 septembre 2008. Ce territoire se caractérise par sa façade sur le Rhin et des échanges quotidiens avec l’Allemagne.
rd a été
Rhin et des
En 2008, les emplois proposés aux 24 346 actifs sont au nombre de 10 854 créant des flux de déplacements domicile/travail très importants.
s sont au de
(source INSEE),
ne augmentation du nombre de ménages supérieure par et du nombre de ménages
Evolution de la population et 47 249 4,0% du nombre de ménages 19 518 8,1%
2007
2010*
45 440
18 048
e
Evolution (en %)
ont les suivantes :
énages 1 personne
Ménages 2-3 personnes
22% 31%
57% 49%
Ménages 4 personnes et + 22% 20%
40-59 ans
60 ans et +
45% 39%
29% 29%
De 1061€ à 2130€ 31% 33%
de 2131€ à 3050€ 23% 27%
oins de 40 ans 26% 32%
Moins de 1061€ 7% 11%
>
> Plus de 3050€
2010*
Evolution (en %)
45 440
47 249
4,0 %
Nombre de ménages
18 048
19 518
8,1 %
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
40% 29%
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Non alimentaire
2007 Population
* Estimation AID Observatoire
, sur le SCoT de la Bande Rhénane Nord, 22 grandes surfaces sont des commerces alimentaires) et 180 commerces ée à 22 108 m² (dont 31 % sont des commerces alimentaires).
Alimentaire
Le SCoT de Bande Rhénane Nord connaît une augmentation du nombre de ménages supérieure par rapport à celle du département :
57 %
22 %
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
- de 40 ans
40-59 ans
SCoT de la Bande Rhénane Nord
26 %
45 %
29 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
Revenus des ménages
> >
4 pers. et +
22 %
55%
30/41
2-3 pers.
Bas-Rhin
Age de la population 45%
1 pers.
SCoT de la Bande Rhénane Nord
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
+ de 3 050 e
SCoT de la Bande Rhénane Nord
7%
31 %
23 %
40 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT de la Bande Rhénane Nord, 22 grandes surfaces pour 25 671 m² de surface de vente (dont 50 % sont des commerces alimentaires) et 180 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 22 108 m² (dont 31 % sont des commerces alimentaires).
Sur le SCoT de la Bande Rhénane Nord, le potentiel de consommation s’élève à 283,1 millions d’euros. Il a augmenté de 10,4 % entre 2008 et 2011 ce qui représente l’un des taux les plus forts du département. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +13 % • non alimentaire + 7 %
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 45 % Non alimentaire 55 %
30
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
R é sultats par S C o T
>
REPARTITION DU P Répartition potentiel consommationPAR parFORME formeDE deVENTE vente en 2011 Quel que soit le lieu d’achat en 2011, la part REPARTITION DUdu POTENTIEL DEde CONSOMMATION du potentiel de consommation captée par les Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la part du potentiel de consommation Quelsurfaces que soit en 71 2011, grandes estledelieu 75d'achat % (contre % enla Grandes surfaces REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PARsurfaces FORME DEest VENTE 81% captée par les grandes de part du potentiel de consommation 2008). REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VEN Grandes surfaces 75 % (contre 71 % en 2008). 71% captée par les grandes Quelsurfaces que soit leest lieude d'achat en 2011, la 75% Commerce de Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la du potentiel de consommation Les consommateurs du SCoT restent 71% 81% moins de 300m² 75 % (contre 71 %part en 2008). Grandes surfaces du potentiel de consommation Les consommateurs captée du SCoT restent néan-surfaces part 7 néanmoinsGrandes fidèlessurfaces aux petits commerces, 75% par les grandes est depar lesde 15%est de Commerce captée grandes surfaces notamment alimentaires. moins fidèles aux petits commerces, notamment 20% 75 % (contre 71 % en 2008). 75 % (contre 71 % en 2008). Vente à distance moins de 300m² Les consommateurs du SCoT restent 15% Commerce de 15% Commerce de 18% alimentaires. 20% 20% néanmoins fidèles aux petits commerces, moins de 300m² Les consommateurs du SCoT restent Les consommateurs du SCoT restent 18% 18% moins de 300m² Commerce non notamment alimentaires. néanmoins fidèles aux1% petits commerces, néanmoins fidèles aux petits commerces,
notamment alimentaires.
Vente à distance notamment alimentaires. 6% 4% Vente à distance
1%
6% 4%
2% Commerce non 1% Commerce non sédentaire 1%
2% 1% 1%
sédentaire
Autre
Vente à distance
sédentaire
1%
6% 4%
Autre Alimen
2% Alimentaire Commerce non 1% sédentaire Alimentaire 1%
Non alim
Non alimentaire
Non alimentaire
Tous pro
Tous2% produits 3% duAutre potentiel deTous consommation produits 2%
L'augmentation ne bénéficie 2% diminué de 45 % à 43 % depuis 2008. En 2011, l'évasion traditio 3% reportée vers les commerces allemands. 2%
2% 3% 2% Autre
DESTINATION DES HABITANTS DUlaSCOT L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas DES auxDEPENSES commerces du SCoT et fid LA BANDE RHENANE NORD par le SCoTERS es diminué de 45 % à 43 % depuis 2008. En 2011, l'évasion DE traditionnellement captée vers les commerces allemands. L'augmentation du potentiel de reportée consommation pas aux commerces et la fidélité a du potentiel de consommation ne bénéficie ne pasbénéficie aux commerces du SCoTduetSCoT la fidélité a
>
L'augmentation diminué de 45 % à 43 % depuis 2008. En 2011, l'évasion traditionnellement captée par le SCoTERS est 4% diminué de 45 % à 43 % depuis 2008. En 2011, l'évasion traditionnellement captéeDESpar le SCoTERS est DESTINATION DES DEPENSES HABITANTS DU SCOT reportée vers les commerces allemands. DE LA BANDE RHENANE NORD reportée vers les commerces allemands. L’augmentation du potentiel de consommation Destination des dépenses des ménages DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT 1% 11% duNORD SCoT la Bande Rhénane Nord en 2011 DESTINATION HABITANTS DUde SCOT ne bénéficie pas aux commercesDES du DEPENSES SCoT laDESRHENANE DE LA et BANDE 4% 41% 43% BANDE RHENANE NORD fidélité a diminué deDE45LA% à 43 % depuis 2008. En 2011, l’évasion traditionnellement captée par Bande Rhénane Nord 1% 11% 4% le SCoTERS s’est reportée vers les commerces Vente à distance 41% 1% 11% 43% allemands. Hors département 4% 41%
>
11%
1%
43% Nord Bande Rhénane
Bas-Rhin (hors SCoT Bande Rhénane Nord)
Vente à distance
Allemagne
Bas-Rh
Allema
41%Rhénane Nord Bande
Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à de 10 % par rapport à 2008. Par contre, il ne représente que 2 LesSCoT pôlesBande de vente principaux Bas-Rhin (hors Rhénane Nord) sont Seltz et Soufflenheim.
Vente à distance
Allemagne
Hors département
Le chiffre d'affaires des commerces du SCoT est estimé à 137 millions d'€ pour 2011soit une h
: que 2 % du chiffre d'affaires global du départe Bande Rhénane NordHors départementde 10 % parBas-Rhin BandeSYNTHESE Nord) rapport à (hors 2008. SCoT Par contre, il Rhénane ne représente
Les pôles de vente principaux sont SeltzLe etSCoT Soufflenheim. de la Bande rhénane Nord connaît l'une des plus forte
à distance du SCoT est estimé à 137 Allemagne Le chiffre d’affaires Vente des commerces millions d’euros pour 2011, soit qui bénéficient de revenus plus élevés. Ceci expli département consommation. une hausse de 10 % Hors par rapport à 2008. Par contre, il ne représente que 2 % du chiffre d’affaires département SYNTHESE : global du département. Les pôles de vente principaux sont Seltz et Soufflenheim. Néanmoins, plus d'un actif sur 2 travaillant en dehors du SCoT
Le chiffre d'affaires des commerces dudeSCoT estrhénane estiméNord à 137 millions d'€plus pour 2011soit une hausse Le SCoT la Bande connaît l'une des fortes augmentations du nombre de ménag en direction des pôles de vente situés dans les bassin de 10 % par rapport à 2008. Par contre, il ne représente quede2revenus % du l'évasion chiffre d'affaires global du département qui bénéficient plus élevés. Ceci explique unedépartement. forte hausse du potentiel de l'Allemagne est importante. Les pôles de vente principaux sont Seltz et Soufflenheim. consommation.
Par ailleurs, l’attractivité du commerce d’Outre-Rhin est en aug
Le chiffre d'affaires des commerces du SCoTNéanmoins, est estimé 137 d'€ pour 2011soit hausse plus à d'un actifmillions sur 2 travaillant en dehors du SCoT,une la fidélité aux commerces du territoire L’offre commerciale du SCoT se renforcera très fortement dès l'évasionque en direction deschiffre pôles ded'affaires vente situés global dans les du bassins d’emplois du SCOTAN, SCOTERS e de 10 % par rapport à 2008. Par contre, il ne représente 2 % du département. Roppenheim (environ 23 000 m²) ; celui-ci impactera le paysag SYNTHESE : l'Allemagne est importante. Les pôles de vente principaux sont Seltz et Soufflenheim. Par ailleurs, l’attractivité du commerce d’Outre-Rhin est en augmentation depuis 2008.
Synthèse
SYNTHESE :
Le SCoT de la Bande rhénane Nord connaît l'une des plus fortes augmentations du nombre de ménages du département qui bénéficient de revenus plus élevés. Ceci explique une forte hausse du potentiel de L’offre commerciale du SCoT se renforcera très fortement dès 2012 par l’ouverture du village de marq consommation. Roppenheim (environ 23 000 m²) ; celui-ci impactera le paysage commercial du secteur.
Le SCoT de la Bande Rhénane Nord connaît l’une des plus fortes augmentations du nombre Néanmoins, plus département d'un actif sur 2 qui travaillant en dehors du SCoT,plus la fidélité aux Ceci commerces du une territoire est faible et de ménages bénéficient de augmentations revenus élevés. explique forte Le SCoT de la Bande rhénane du Nord connaît l'une des plus fortes du nombre de ménages du l'évasion en direction des pôles de vente situés dans les bassins d’emplois du SCOTAN, SCOTERS et de hausse du de potentiel deplus consommation. département qui bénéficient élevés. Ceci explique une forte hausse du potentiel de l'Allemagne estrevenus importante. consommation. Par ailleurs, l’attractivité du commerce d’Outre-Rhin est en augmentation depuis 2008. Néanmoins, plus d’un actif sur deux travaillant en dehors du SCoT, la fidélité aux commerces du territoire est L’offre commerciale du SCoT se renforcera très fortement dès aux 2012commerces par l’ouverture village de marques de Néanmoins, plus en d'un actif surdes 2 travaillant en dehors dudans SCoT, fidélité duduterritoire est faible et l’évasion direction pôles23de000 vente situés les labassins d’emplois du SCoTAN, SCoTERS etfaible de et Roppenheim (environ m²) ; celui-ci impactera le paysage commercial du secteur. l'évasion en direction des pôles de vente situés dans les bassins d’emplois du SCOTAN, SCOTERS et de l’Allemagne est importante. l'Allemagne est importante. Par d’Outre-Rhin estest en en augmentation depuis 2008. Parailleurs, ailleurs,l’attractivité l’attractivitédu ducommerce commerce d’Outre-Rhin augmentation depuis 2008. 31/41 L’offre village de de marques marques de de L’offrecommerciale commercialeduduSCoT SCoTseserenforcera renforceratrès trèsfortement fortementdès dès2012 2012par par l’ouverture l’ouverture du du village 2 Roppenheim(environ (environ2323000 000mm²) ; celui-ciimpactera impactera paysage commercial secteur. Roppenheim ) ; celui-ci le le paysage commercial du du secteur. 31/41 Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
31
SCoT de l’Alsace Bossue L’élaboration du SCoT de l’Alsace Bossue a été prescrite le 2 octobre 2010. Ce territoire situé au nord ouest de l’Alsace est le plus excentré du département. En 2008, les emplois proposés aux 16 466 actifs sont au nombre de 11 103
[Source INSEE].
ation de la population limitée :
ombre de ménages
7
2010*
59
36 029
Evolution (en %) 1,0%
54
14 608
4,7%
Evolution de la population et duMénages nombre de ménages 4
suivantes :
es 1 nne
Ménages 2-3 personnes 54% 49%
personnes et + 23% 20%
40-59 ans
60 ans et +
41% 39%
35% 29%
De 1061€ à 2130€ 41% 33%
de 2131€ à 3050€ 30% 27%
% %
de 40 s % %
de € % %
>
Plus de 3050€
16% 29%
>
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION
Non alimentaire
2007
2010*
Evolution (en %)
Population
35 659
36 029
1,0 %
Nombre de ménages
13 954
14 608
4,7 %
* Estimation AID Observatoire
le SCoT de l'Alsace Bossue, 20 grandes surfaces pour ommerces alimentaires) et 172 commerces traditionnels nt 34 % sont des commerces alimentaires).
Alimentaire
Le SCoT de l’Alsace Bossue connaît une augmentation de la population limitée :
46%
Les caractéristiques sociodémographiques sont les suivantes : Taille des ménages
1 pers.
SCoT de l’Alsace Bossue
23 %
54 %
23 %
Bas-Rhin
31 %
49 %
20 %
60 ans et +
Age de la population
54%
2-3 pers.
4 pers. et +
- de 40 ans
40-59 ans
SCoT de l’Alsace Bossue
24 %
41 %
35 %
Bas-Rhin
32 %
39 %
29 %
32/41
Revenus des ménages
> >
- de 1 061 e
de 1 061 à 2 130 e
de 2 131 à 3 050 e
+ de 3 050 e
SCoT de l’Alsace Bossue
13 %
41 %
30 %
16 %
Bas-Rhin
11 %
33 %
27 %
29 %
En matière d’offre commerciale on recense, sur le SCoT de l’Alsace Bossue, 20 grandes surfaces pour 21 631 m² de surface de vente (dont 58 % sont des commerces alimentaires) et 172 commerces traditionnels sédentaires pour une surface estimée à 19 233 m² (dont 58 % sont des commerces alimentaires).
Sur le SCoT de l’Alsace Bossue, le potentiel de consommation s’élève à 198,3 millions d’euros. Il a augmenté de 7 % entre 2008 et 2011. Cette augmentation est la plus faible du département et s’explique par l’évolution modérée du nombre de ménages. Evolution 2008 / 2011 par familles de produits : • alimentaire +10 % • non alimentaire + 4 %
32
Les cahiers de la CCI / N° 1 janvier 2012 / Commerce & consommation
Répartition du potentiel de consommation en 2011 Alimentaire 46 % Non alimentaire 54 %
R é sultats par S C o T
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONS
>
Quel que soit le lieu d’achat en 2011, la part du potentiel de consommation captée par les Quelsurfaces que soit d'achat en74 2011, grandes estledelieu 79 % (contre % enla part du potentiel consommation captée 2008). Cette part est ladeplus forte du département.
REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME VENTE Quel que soit le DE lieu d'achat en 2011, la
Grandes surfaces Répartition du potentielpart de du consommation par forme de vente potentiel de consommation captéeen 2011 REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PAR FORME DE VENTE
par les grandes surfaces est de 79 % (contre 74 % en 2008). Cette part est la plus Commerce 86% de moins de forte du département. surfaces 73% QuelGrandes que soit le lieu d'achat en 2011, la 300m² Grandes surfaces 79% part du potentiel de consommation captée par les grandes surfaces est de 79 % par les grandes surfaces est Parallèlement les parts de marché du de 79 % commerce sont les plus faibles. Vente à distance (contre 74 % en 2008). Cette part est la plus traditionnel (contre 74 % en 2008). Cette part est la plus 10% 10% Commerce moins Commerce de moins de Parallèlement, les parts de marché du commerce forte REPARTITION DU POTENTIEL DE CONSOMMATION PARde FORME DEde VENTE 17% du département. 17% 300m² forte du département. 300m² 14% traditionnel sont les plus faibles. Ces évolutions ont fragilisé le commerce des 14% Commerce non centres bourgs et leur attractivité. Parallèlement les parts de marché du 86% Quel que soit le lieu d'achat en 2011, la 0% sédentaire Parallèlement les parts de marché du commerce traditionnel sont Grandes 73% lessurfaces plus faibles. Vente à distance 6% 0% part du potentiel de consommation captée
Ces évolutions ont fragilisé le commerce des commerce traditionnel sont faibles. Vente 6% parles lesplus grandes surfaces est de 79à distance % Ces évolutions ont fragilisé 4% le commerce des centres bourgs et leur attractivité. (contre 74 % en 2008). Cette part est la plus 10% Commerce de moins de forte département. fragilisé ledu commerce des
Ces évolutions ont centres bourgs et leur attractivité. Parallèlement
centres bourgs et leur attractivité.
Ces évolutions ont fragilisé le commerce des centres bourgs et leur attractivité. Autre
2% 1% 1% à distance Vente
Commerce non sédentaire
17% 14%
300m²
Commerce non les parts de marché du sédentaire commerce traditionnel sont les plus faibles.
0%
79%
4%
Autre
2% 1% 1%
0%
6% 4%
2% 1% 1% 2% 3% 3%
Alimentair
Non alime
2%
Alimentaire
6%
1
Tous produ
Autre 3% consommation ne bénéficie pas a 4% L'augmentation du potentiel de 3% fidélité a diminué depuis 2008 Non (de alimentaire 60 % à 52 %). L'attractivité de la M 2% 2% Tous produits grandes surfaces est particulièrement forte sur ce SCoT. Commerce non 3% 1% 1%
sédentaire 3%
Alimentaire
L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pasNon aux commerces du SCoT. En effe alimentaire DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU S fidélité a diminué depuis 2008 (de 60 2% % à 52 %). L'attractivité de la Tous Moselle produits avec son offre commercial Autre 3% DE L'ALSACE BOSSUE grandes surfaces est particulièrement forte 3% sur ce SCoT.
L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, la 22% DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT fidélité a diminué depuis 2008 (de 60 % à 52 %). L'attractivité de laDESTINATION Moselle DES avec son offre commerciale en DE L'ALSACE BOSSUE L'augmentation du potentiel de consommation ne bénéficie pas aux commerces du SCoT. En effet, la grandes surfaces est particulièrement forte sur ce SCoT. 3%
>
fidélité a diminué depuis 2008 (de 60 % à 52 %). L'attractivité de la Moselle avec son offre commerciale en grandes surfaces est particulièrement forte sur ce SCoT. 1%
22% L’augmentation du potentiel de consommation Destination des dépenses des ménages DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT du SCoT de l’Alsace Bossue en 2011 ne bénéficie pas aux commerces duDESCoT. DESTINATION DES DEPENSES DES HABITANTS DU SCOT 3% L'ALSACE BOSSUE
4%
19%
DE L'ALSACE BOSSUE
En effet, la fidélité a diminué depuis 2008 (de 60 % 22% à 52 %). L’attractivité de la Moselle avec son offre commerciale en grandes surfaces est particulière3% ment forte sur ce SCoT. 4%
1% 22% 3%
1%
4%
Alsace Bossue 19%
Alsace Bossue
4%
Vente à distance 19%
19%
>
1%
Alsace Bossue
Moselle
52%
52%
Bas-Rhin (h
Vente à distance
Allemagne
Moselle
Hors départ
Bas-Rhin (hors Scot Alsace Bossue) Allemagne
Le52% chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 1 Hors département représente 2 % du chiffre d'affaires du département). Par ailleurs, 2008. Sur le territoire du SCoT, les pôles de vente dominants sont : Sarre
Bas-Rhin (hors Scot Alsace Bossue)
Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 105 millions d’€ pour 2011 (ce Vente à distance Allemagne représente 2 % du chiffre d'affaires du département). Par ailleurs, il est en baisse de 8 % par rappo SYNTHESE : Moselle département 2008. Sur le territoire du SCoT, les pôles de vente dominants sont : Sarre-Union, Diemeringen et Drulinge Alsace Bossue Bas-Rhin (horsHors Scot Alsace Bossue) Le SCoT de l’Alsace Bossue connaît l'augmentation de la population et du département. Elle se caractérise par une part importante de retraités (40 % Vente à distance Allemagne Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT est estimé à 105 millions d’euros pour 2011 (ce qui plus âgée et un IDC non alimentaire inférieur à la moyenne départementa Moselle département Le chiffre du d’affaires des commerces duHors SCoT à 105 pour surfaces 2011 (ceprésentes qui SYNTHESE représente 2 % du chiffred’affaires département). Par: ailleurs, il est est estimé en baisse demillions 8 %ded’€ Le nombre important grandes sur le SCOT, mais a représente 2 % du chiffreLed'affaires du département). Parde ailleurs, il élevées est ende baisse de formes 8 % et par à departs marché pour ces de vente. Les de marché co SCoTde devente l’Alsace Bossue connaît l'augmentation la population durapport nombre ménages la plusdu faible par rapport à 2008. Sur le territoire du SCoT, les pôles dominants sont : Sarre-Union, 2008. Sur le territoire du SCoT, les pôles de dominantspar sont : Sarre-Union, et(40 Drulingen. duune département et Diemeringen les bourgs centres connaissent une attractivité de plus département. Ellevente se caractérise part importante de retraités %), une population proportionnellem Diemeringen et Drulingen. bourgs centres tend à s'accentuer. plus âgée et un IDC non alimentaire inférieur à la moyenne départementale. Sur millions ce secteur, l’évasion commerciale est particulièrement importante (48 Le nombre de grandes surfaces présentes surpour le SCOT, mais(ce aussi dans sa périphérie, explique d Le chiffre d’affaires des commerces du SCoT important est estimé à 105 d’€ 2011 qui vers la Les Moselle. de marché élevées ces formes de vente. parts commerce SYNTHESE : représente 2 % du chiffre d'affaires du département). Parpour ailleurs, il 11% est en baisse dede8marché % pardurapport à de proximité sont les plus du département et les bourgs centres connaissent unede attractivité de plus faible en plus Le SCoTles de l’Alsace Bossue connaît l'augmentation de la population et du nombre ménages la plus dualéatoire. Cette fragilité de 2008. Sur le territoire du SCoT, pôles de vente dominants sont : Sarre-Union, Diemeringen et Drulingen. bourgs tend à s'accentuer. département. Elle se caractérise parcentres une part importante de retraités (40 %), une population proportionnellement Sur ce secteur, commerciale est particulièrement importante (48 %) et a augmenté entre 2008 et 2 plus âgée et un IDC non alimentaire inférieurl’évasion à la moyenne départementale. 11% vers la Moselle. Le nombre important de grandes surfaces présentes sur le SCOT, mais aussi dans sa périphérie, explique des parts de marché élevées pour ces formes de vente. Les parts de marché du commerce de proximité sont les plus faibles SYNTHESE : Le SCoT du département et les bourgs centres connaissent une attractivité en plus aléatoire.du Cette fragilité des de l’Alsace Bossue connaît l’augmentation de delaplus population et nombre de mébourgs centres tend à s'accentuer. Le SCoT de l’Alsace Bossue connaît l'augmentation de la population et du nombre de ménages la plus faible du nages Sur la plus faible du département. se caractérise par(48une importante deetretraités ce secteur, l’évasion commerciale est Elle particulièrement importante %) etpart a augmenté entre 2008 2011 de département. Elle se caractérise par une part importante de retraités (40 %), une population proportionnellement 11% vers la Moselle.
Synthèse
(40 %), une population proportionnellement plus âgée et un IDC non alimentaire inférieur à la
plus âgée et un IDC non alimentaire inférieur à la moyenne départementale. moyenne départementale. Le nombre important de grandes surfaces présentes sur le SCOT, mais aussi dans sa périphérie, explique des parts 33/41 de marché élevées pour ces formes de vente. Les parts de marché du commerce de proximité sont les plus faibles département et les centres connaissent de plus en dans plus aléatoire. Cette explique fragilité des Ledu nombre important debourgs grandes surfaces présentesune surattractivité le SCoT, mais aussi sa périphérie, des parts bourgs centres tend à s'accentuer. de marché élevées pour ces formes de vente. Les parts de marché du commerce de proximité sont les plus faibles Sur ce secteur, l’évasion commerciale est particulièrement importante (48 %) et a augmenté entre 2008 et 2011 de du11% département et les bourgs centres connaissent une attractivité de plus en plus aléatoire. Cette fragilité des vers la Moselle.
bourgs centres tend à s’accentuer.
Sur ce secteur, l’évasion commerciale est particulièrement importante (48 %) et a augmenté entre 200833/41 et 2011 de 11 % vers la Moselle.
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3ème partie
Annexes N°1 / Zones d’enquêtes N°2 / Liste des produits enquêtés N°3 / Liste des activités recensées dans l’observatoire de l’offre N°4 / Lexique
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A nne x es n ° 1
Annexe n°1 Zones d’enquêtes SCoT de la Région de Strasbourg (SCOTERS)
SCoT de l’Alsace du Nord
028 - BASSE ZORN NORD 029 - BASSE ZORN SUD 030 - GAMBSHEIM / KILSTETT 031 - BRUMATH 032 - RESTE REGION DE BRUMATH 033 - PAYS DE LA ZORN NORD 034 - PAYS DE LA ZORN SUD 042 - PORTE DU VIGNOBLE 043 - KOCHERSBERG EST 044 - KOCHERSBERG OUEST 045 - ACKERLAND / LES CHATEAUX 064 - RHIN SUD 065 - RHIN NORD 066 - BENFELD ET ENVIRONS NORD 067 - BENFELD ET ENVIRONS SUD 068 - ERSTEIN 069 - RESTE PAYS D’ERSTEIN 070 - ESCHAU / PLOBSHEIM 071 - GEISPOLSHEIM / BLAESHEIM 072 - FEGERSHEIM / LIPSHEIM 073 - ILLKIRCH GRAFFENSTADEN SUD 074 - ILLKIRCH GRAFFENSTADEN NORD 075 - OSTWALD 076 - LINGOLSHEIM 077 - OBERSCHAEFFOLSHEIM / WOLFISHEIM 078 - ECKBOLSHEIM / ENTZHEIM / HOLTZHEIM 079 - NIEDERHAUSBERGEN / MITTELHAUSBERGEN / OBERHAUSBERGEN 080 - SCHILTIGHEIM EST 081 - SCHILTIGHEIM OUEST 082 - BISCHHEIM EST 083 - BISCHHEIM OUEST 084 - HOENHEIM 085 - LA WANTZENAU 086 - MUNDOLSHEIM / REICHSTETT 087 - SOUFFELWEYERSHEIM 088 - ECKWERSHEIM / LAMPERTHEIM / VENDENHEIM 089 - STRASBOURG CENTRE VILLE 090 - STRASBOURG CRONENBOURG EST 091 - STRASBOURG CRONENBOURG OUEST 092 - STRASBOURG ELSAU 093 - STRASBOURG ESPLANADE 094 - STRASBOURG BOURSE / KRUTENAU 095 - STRASBOURG GARE 096 - STRASBOURG TRIBUNAL 097 - STRASBOURG HAUTEPIERRE 098 - STRASBOURG POTERIES 099 - STRASBOURG KOENIGSHOFFEN 100 - STRASBOURG MEINAU 101 - STRASBOURG MONTAGNE VERTE 102 - STRASBOURG NEUDORF OUEST 103 - STRASBOURG NEUDORF EST ET PORT DU RHIN NORD 104 - STRASBOURG NEUDORF SUD 105 - STRASBOURG NEUHOF STOCKFELD 106 - STRASBOURG PORT DU RHIN SUD 107 - STRASBOURG CONTADES / ORANGERIE 108 - STRASBOURG FORET NOIRE / VAUBAN 109 - STRASBOURG ROBERTSAU EST 110 - STRASBOURG ROBERTSAU OUEST
008 - PAYS DE NIEDERBRONN SUD 009 - VAL DE MODER 010 - PAYS DE NIEDERBRONN LES BAINS NORD 011 - SAUER PECHELBRONN NORD 012 - SAUER PECHELBRONN SUD 013 - WISSEMBOURG 014 - RESTE PAYS DE WISSEMBOURG 015 - BETSCHDORF ET ENVIRONS 016 - SOULTZERLAND 020 - HAGUENAU CENTRE VILLE 021 - HAGUENAU EST 022 - HAGUENAU SUD OUEST 023 - CDC HAGUENAU SUD / CARREFOUR DES TROIS CROIX 024 - ENVIRONS DE BISCHWILLER 025 - BISCHWILLER
SCoT de Sélestat et sa Région 057 - CANTON DE VILLE 059 - ENVIRONS DE SELESTAT EST 060 - ENVIRONS DE SELESTAT OUEST 061 - SELESTAT 062 - MARCKOLSHEIM ET ENVIRONS 063 - GRAND RIED
SCoT de la Région de Saverne 006 - PAYS DE HANAU EST 007 - PAYS DE HANAU OUEST 035 - REGION DE SAVERNE EST 036 - REGION DE SAVERNE OUEST 037 - REGION DE SAVERNE SUD 038 - SAVERNE 039 - PAYS DE MARMOUTIER / SOMMERAU 040 - COTEAUX DE LA MOSSIG NORD 041 - COTEAUX DE LA MOSSIG SUD
SCoT de la Haute Bruche 046 - REGION DE MOLSHEIM MUTZIG EST 047 - MOLSHEIM / DORLISHEIM 048 - REGION DE MOLSHEIM MUTZIG OUEST 049 - HAUTE BRUCHE NORD 050 - HAUTE BRUCHE CENTRE 051 - HAUTE BRUCHE SUD
SCoT du Piémont des Vosges 052 053 054 055 056 058
-
CANTON DE ROSHEIM SUD CANTON DE ROSHEIM NORD OBERNAI / BERNARDSWILLER RESTE PAYS DE SAINTE ODILE PIEMONT DE BARR BERNSTEIN ET UNGERSBERG
SCoT de la Bande Rhénane Nord 017 - LA LAUTER 018 - PLAINE DE LA SAUER / SELTZ 019 - UFFRIED / RHIN MODER 026 - DRUSENHEIM / SOUFFLENHEIM 027 - HERRLISHEIM / OFFENDORF
SCoT de l’Alsace Bossue 001 - PAYS DE SARRE UNION SUD 002 - PAYS DE SARRE UNION NORD 003 - ALSACE BOSSUE NORD 004 - ALSACE BOSSUE SUD 005 - PAYS DE LA PETITE PIERRE
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Annexe n°2 Liste des produits enquêtés
ALIMENTAIRE
eQUIPEMENT DE LA MAISON
• • • • • • • • •
• • • • • •
Pain Pâtisserie fraîche, desserts de pâtissier Produits surgelés Epicerie Boissons alcoolisées Viandes, volailles, charcuterie Poisson frais, crustacés, coquillages frais Fruits et légumes frais Lait, œufs, beurre, fromage
eQUIPEMENT DE LA PERSONNE • • • • • • • • • • • •
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Vêtements masculins Vêtements féminins Vêtements enfants Accessoires d’habillement Sous-vêtements, lingerie Horlogerie, bijouterie Chaussures Parfumerie, beauté, crèmes, maquillage Produits de toilette et d’hygiène corporelle Optique Maroquinerie, bagages Parapharmacie
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Produits de lavage et d’entretien de la maison Art de la table, décoration Linge de maison, tissu d’ameublement Electroménager Petit mobilier Gros mobilier
CULTURE, LOISIRS ET SPORTS • • • • • • •
Livres adultes, enfants Jouets, jeux de societé Informatique, jeux vidéo, téléphonie Vêtements et chaussures de sport Disques, cassettes, CD, DVD Appareils radio, TV, HiFi Appareils photos et accessoires
BRICOLAGE, JARDINAGE ET FLEURS • • • •
Végétaux, produits de jardinage, animalerie Fleurs coupées, compositions florales Bricolage, décoration Bricolage léger
A nne x es n ° 3
Annexe n°3 Liste des activités recensées dans l’observatoire de l’offre
ALIMENTAIRE
CULTURE, LOISIRS ET SPORTS
• • • • • • • • •
• • • • • • • •
Supermarché, hypermarché Hard discount Magasins populaires Boucherie, charcuterie, volaille, traiteur Boulangerie, pâtisserie, confiserie, glaces Crémerie, fromagerie Fruits et légumes Poissons, coquillages Vins, boissons Alimentation générale ou spécialisée
Sport généraliste et spécialisé Disques, vidéo, informatique, téléphonie Librairie, papeterie, presse Loisirs créatifs, maquettes, modèles réduits Jeux, jouets, instruments de musique Cadeaux, gadgets, souvenirs Photographie Objets d’art, galerie
BRICOLAGE, JARDINAGE ET FLEURS EQUIPEMENT DE LA PERSONNE • • • • • • • •
Habillement, dépôt vente, accessoires Chaussures Bijouterie, horlogerie, joaillerie Maroquinerie, articles de voyage, cuir Parfumerie, produits de beauté Optique Sous-vêtements, lingerie, chaussettes, mercerie Puériculture et landaus
EQUIPEMENT DE LA MAISON • • • • •
Meubles, literie Equipements de cuisine et salle de bains Electroménager Décoration, vaisselle, luminaires Linge de maison, voilages
• Bricolage, quincaillerie, peintures, vernis, droguerie • Animalerie, accessoires, toilettage • Fleuriste, jardinerie, pépinière • Revêtements de sols et murs • Sanitaire, chauffage, cheminées
AUTOMOBILE, CYCLE ET ESSENCE • • • •
Commerce automobile Equipement automobile Station service Vente, réparation de cycles et motos
DIVERS • Bazar, biens d’occasion, autre commerce divers • Grands magasins, surfaces de centres commerciaux
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Annexe n°4 Lexique • DEpenses commercialisables (DC) = Potentiel de consommation Elles correspondent à l’argent dépensé par les ménages. Elles sont estimées pour l’ensemble des produits de l’enquête et pour chaque secteur géographique grâce à l’application d’un modèle tenant compte de trois facteurs : le nombre de ménages de chaque secteur (source INSEE), la consommation moyenne par ménage pour chaque famille de produits (source INSEE et comptabilité nationale) et des Indices de Disparité de la Consommation prenant en compte la taille des ménages de chaque secteur, l’âge du chef de famille et la profession des actifs (source ACFCI).
DC
=
moyenne nationale par ménage x indice de disparité x nombre de ménages
(secteur, produit)
(produit)
(produit, secteur)
(secteur)
• Estimation du CHIFFRE D’Affaires Pour un secteur d’habitation et un produit donné, les réponses des ménages permettent de ventiler la DC en termes d’apports à des lieux ou formes de vente. Lorsqu’on raisonne au niveau de l’offre commerciale, la somme des apports en provenance de tous les secteurs d’habitation est appelée « Estimation du chiffre d’affaires » : il s’agit bien d’estimation, et ceci pour deux raisons : l’enquête est réalisée auprès des seuls particuliers, à l’exclusion des professionnels et des collectivités, elle est conduite auprès de consommateurs ne résidant que sur le périmètre d’étude (pas de flux touristiques).
• EVASION Il s’agit de dépenses réalisées d’un secteur vers un ou des autre(s) secteur(s). Le taux d’évasion est la part des dépenses d’un secteur géographique réalisées par les habitants de ce secteur sur un ou plusieurs autres secteurs géographiques.
• Fidelite Il s’agit des dépenses réalisées par les habitants d’un secteur dans ce même secteur. Le taux de fidélité (ou rétention) est la part des dépenses d’un secteur géographique réalisées par les habitants de ce secteur dans ce même secteur géographique.
• FORMES DE DISTRIBUTION Forme de distribution
Définition
Hypermarché
Grande surface à dominante alimentaire dont la surface est > à 2 500 m2. Les «grands hypermarchés» ont une surface > à 5 000 m2.
Supermarché
Grande surface à dominante alimentaire dont la surface est comprise entre 300 et 2 500 m2.
Hard discount
Forme de commerce pratiquant les prix les plus bas par le biais d’un aménagement et d’un assortiment réduits, de premiers prix et de marques de distributeurs. Depuis quelques années, le hard discount à la française a introduit quelques grandes marques.
Grande surface alimentaire (ou GSA)
Grande surface alimentaire spécialisée dont la surface de vente est > à 300 m2.
Commerce traditionnel
Commerce de détail, alimentaire ou non, dont la surface de vente est < à 300 m2. Il peut être franchisé ou indépendant.
Vente à distance
Commerce de détail sans point de vente fixe. Les commandes sont passées par catalogue, téléphone, internet ou téléachat.
Commerce non sédentaire
Vente au détail sur les foires, marchés et tournées.
Autres formes de vente
Producteurs (artisans, industriels, fermiers…), grossistes, particuliers ou tout autres fournisseurs non identifié ci-dessus.
• LIEU D’ACHAT Il s’agit de tout endroit, quelle que soit sa nature, où des actes d’achat peuvent être effectués : un point de vente (ou magasin), une rue commerçante, un centre commercial, un quartier, un pôle commercial, une commune, une agglomération, un secteur d’achat (idem secteur d’habitation).
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A nne x es n ° 4
• PÔLE COMMERCIAL Regroupement de points de vente proches les uns des autres : agglomération, centre commercial, centre-ville… Le critère déterminant, dans la définition d’un pôle commercial, est la cohérence physique et la concentration géographique qui confèrent une image d’unité pour le consommateur.
• PROFIL DE CLIENTELE Ce sont les caractéristiques sociodémographiques des ménages qui contribuent à l’estimation du chiffre d’affaires d’un lieu (âge, profession, secteur d’habitation, taille de la famille, revenu...).
• PROFIL DES MÉNAGES La description des secteurs d’habitation apporte une information sociodémographique sur le profil des ménages du secteur (taille, âge, CSP). Cette information est issue des résultats du recensement de population de 2007 et a servi de base à la constitution de l’échantillon.
• SECTEURS D’HABITATION = Secteurs d’enquête = Bassin de consommation Le département a été divisé en secteurs d’habitation. Chaque secteur comprend en moyenne 10 000 habitants et 30 ménages enquêtés. Ces secteurs d’habitation définis avant le déroulement de l’enquête constituent l’unité de base de l’estimation des DC qui ne peut plus être décomposée en sous-secteurs.
• ZONE DE CHALANDISE Un examen détaillé des flux : résultats du « qui achète quoi, où et pour combien ? » pourra permettre de déterminer des « zones de chalandises » et des « taux d’emprise ». Une zone de chalandise correspond à l’ensemble des secteurs d’habitation de la clientèle d’un lieu donné ou d’une zone.
La Direction Commerce et Tourisme de la CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin se tient à votre disposition pour évaluer : • le potentiel de consommation d’un territoire, sa répartition par produits et familles de produits, • les flux commerciaux, tant en matière de destinations géographiques et donc d’évasion que de formes de distribution fréquentées, • l’estimation du niveau d’activité des pôles commerciaux, qu’il s’agisse de territoires dans leur ensemble ou d’agglomérations, villes, centres-villes, quartiers, zones commerciales périphériques ou points de vente, • l’estimation des évolutions des dépenses commercialisables et des chiffres d’affaires. Votre contact / Caroline Fritsch Tél. 03 88 75 25 61 Courriel : c.fritsch@strasbourg.cci.fr
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CCI de Strasbourg et du Bas-Rhin Direction Commerce et Tourisme 10 place Gutenberg 67081 Strasbourg Cedex Tél. 03 88 75 24 85 www.strasbourg.cci.fr 40
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