L’encyclopédie des Citroën 2CV belges
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Tout sur les Citroën 2CV assemblées en Belgique
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française. Ensuite seulement, ils étaient terminés à Forest, d’où la seconde plaque belge qui est rivetée au dessus.
En 1952, les montages de la 2CV et du Type H commencent en parallèle avec les productions de Traction 11 et 15 CV. 117 2CV y seront assemblées cette année-là. En 1956, les Traction n’y sont plus fabriquées, mais c’est le début du montage du véhicule « D » (DS, ID).
En 1957, à la suite des accords Citroën-Panhard, on assiste au début du montage de la Panhard PL 17. En 1961, l’usine dispose d’une surface développée de plus de 55 000 mètres carrés. L’Ami 6 vient s’ajouter à la gamme des voitures assemblées. En 1963, le véhicule « H » et les « Panhards » n’y sont plus assemblés, mais c’est le début du montage des camionnettes 2CV AK 350. En 1967 et 1968, la Dyane vient s’ajouter à la panoplie des voitures assemblées à Forest. En 1968, la production de l’Ami 6 est arrêtée. En 1969, le montage des « DS » et « ID » est également arrêté. La production des camionnettes 2CV est fortement accrue et près de 10 000 camionnettes 2CV sont destinées à l’exportation (y compris pour la France).
Jusqu’à la fin des années 60, les ingénieurs de Forest disposaient d’une grande liberté d’action. En dehors des freins, de la suspension et du moteur, les ingénieurs de Forest pouvaient presque tout faire comme ils le pensaient.
Outre les 2CV pour le service des postes, d’autres 2CV spécifiques, comme des voitures écoles avec double commande, une dizaine de 2CV pour l’armée belge ou même des AK 350 ambulances ont été montées dans l’usine bruxelloise.
Dans les années 60, les 2CV berlines et les camionnettes étaient assemblées sur la même « ligne de montage ».
Les carrosseries pré assemblées venaient de France par camion. Le nombre de carrosseries ainsi transportées est impressionnant. Si on fait attention, on en voit autant du côté gauche que du côté droit. Sur cette photo des années 60, le camion est également de marque Citroën.
Sur cette page nous retrouvons la 2CV 120 0011 qui fut livrée le 20 octobre 1952 au docteur Ernest Stumper habitant à Ettelbruck (Grand-duché de Luxembourg). Le véhicule a été vendu par le garage Peusch, place de l’étoile à Luxembourg. Après son utilisation au Grand-Duché de Luxembourg, la 2CV a passé une partie de sa vie chez un collectionneur en France avant de se retrouver à nouveau en Belgique. Sur les photos ci-dessus, elle dispose encore de son immatriculation française.
En 1953, les photos des 2CV présentées sur les affiches et les dépliants en Belgique sont, dans un premier temps, des photos de 2CV françaises. On voit ici que la photo a été modifiée en ajoutant une plaque belge.
en quatre parties sans ovale. Le capot garde cependant toujours sa soudure visible à la hauteur du milieu de l’aile avant. Le double compas de support de capot est remplacé par une béquille centrale à cliquet. Les ailes avant sont similaires au modèle précédent sauf que les attaches pour le double compas de support de capot ne sont plus présentes;
• les bavettes pare-boue sont renforcées par une petite tôle en métal parfois noire et parfois argentée.
• le système de fermeture du capot est remplacé par une poignée tournante.
A propos des sièges, les crochets d’encrage attachés aux lanières plates composées d’une bande de coton blanche de 25 mm de large et 250 mm de long prolongées à chaque extrémité d’un anneau de caoutchouc plat de 25 mm de large sont modifiés. Leur longueur passe de 26 mm à 40 mm.
Deux supports de câblerie (5.004.597) sont mis en place dès le début des années cinquante. Le premier est placé sur la boite de vitesse et le second au niveau du moteur.
À gauche: la nouvelle béquille de maintien de capot.
Les ailes avant sont similaires au modèle précédent sauf que les attaches pour le double compas de support de capot ne sont plus présentes.
Dans le courant de l’année 1968, la plaque Mobiloil disparaît du tablier et, dans un premier temps, est remplacée par un petit papier collé dans le carnet d’entretiens. Les premiers accords entre Citroën et Total s’établissent. L’association a commencé avec un simple accord de coopération technique : Total sollicité par Citroën met au point une huile dont la formulation spécifique permet à la DS, d’éliminer les problèmes d’allumage et d’encrassement qu’elle connaissait jusqu’alors.
Mai 1968 - A partir du 10 mai 1968, un certificat de conformité est joint à chaque véhicule destiné au marché belge (5 005 668). Les numéros de châssis changent de système. Ils passent du numéro 114 3000 au numéro 290 00000. Les véhicules destinés à l’Allemagne ont des numéros de châssis entre 292 50000 et 292 51877. En 1969, ces véhicules vont continuer à utiliser ces numéros à partir du numéro 292 51878.
Durant la deuxième moitié de l’année 1968 (la date précise n’est pas connue), les deux lattes de bois dans le fond du coffre disparaissent. C’est également à cette époque que disparaissent les bavettes derrière les roues arrière.
Avril 1969 - Dès le début du mois d’avril, une étiquette d’indication d’huile moteur Total est collée sur la porte conducteur.
Décembre 1969 - La production de la 2CV à Forest s’arrête à la fin du mois de décembre. Les clients reçoivent alors leurs 2CV des usines françaises. Les chaînes de montage sont modifiées pour le montage de la 2CV 4 et de la 2CV 6 qui commenceront en février 1970.
La plaque Mobiloil disparaît du tablier et est remplacée par un petit papier contenant les instructions de graissage collé dans le carnet d’entretiens. Ce papier contient, d’un côté les instructions en néerlandais et de l’autre, les instructions en français.
A l’usine de Forest, il y a 3 fournisseurs différents pour le vitrage. Le fournisseur principal était les Glaceries Réunies de Jemeppe (DOT32), ensuite, nous trouvons Soliver de Rumbeke, connu sous le code de référence DOT90. En moindre quantité, on retrouve également du vitrage de la marque Sobelver (Société Belge des Verreries). Voir détails en annexe.
Ci-dessous: la Fédération Nationale des Associations Croix Jaune et Blanche de Belgique utilisera des 2CV durant de nombreuses années. Ici sur le camion, nous voyons des 2CV AZ-A des environs de l’année 1969.
Dans la deuxième moitié de l’année 1956, la forme de la garniture de porte autour du vide-poches est modifiée.
Décembre 1956 - L’AZL reçoit une option lave-glace. Le lave-glace se commande par une poire en caoutchouc placée du côté gauche du tableau de bord. La réserve d’eau se trouve alors dans un petit panier fixé sur le support de batterie. Sur presque tous les véhicules survivants, les poires de lave-glace en caoutchouc ont été détruites par les détergents contenus dans les liquides de lave-glace. Ce système de poire de lave-glace est composé de 4 éléments ( A 564-523, A 564-524, A 564- 525 et A 564-537). L’élément le plus fragile est la partie en caoutchouc.
Panier contenant le réservoir d’eau pour le lave-glace.
Un système de dégivrage du pare-brise est installé. La platine du tableau de bord est modifiée (521.511) en conséquence. La partie haute de la buse de dégivrage, celle qui passe derrière le tableau de bord, porte le numéro A564.526. La partie basse de la buse de dégivrage porte le numéro A564.527. Des explications graphiques du fonctionnement du système de chauffage sont visibles sur de petits disques en plastique (A 644-502 et A 644-503).
Dans la deuxième moitié de l’année 1956, la forme de la garniture de porte autour du vide-poches est modifiée.
La sortie de lave-glace située sous le pare-brise.
Ci-dessus: les deux commandes du système de chauffage sont maintenant pourvues d’explications graphiques.
A gauche: le couloir qui permet l’arrivée de l’air au niveau de dégivrage de pare-brise.
En fin de production mais surtout en pièce de rechange, pour alléger la porte de coffre, le métal est abandonné au profit du polyester. Cette porte garde la même physionomie, mais le système d’attache est adaptable.
Une nouvelle commande de clignotant équipe la 2CV AZL.
La 2CV Perrier est présentée au Salon de Bruxelles en janvier 1988 et la légende dit que les 1000 exemplaires ont été écoulés durant le salon. On dit également que le singe sur le capot a posé des problèmes d’homologation à cause du danger que représente cette excroissance. Ceci aurait eu comme conséquence que les 2CV Perrier auraient été immobilisées sur un parking non couvert pendant plusieurs mois. Ce n’est évidemment pas une situation idéale vu le climat en Belgique et ceci expliquerait, en partie, pourquoi l’avant des planchers serait pratiquement pourri (ou déjà remplacé) sur les quelques 2CV Perrier survivantes...
En 1978, alors que le centre de nombreuses villes était en déclin, il fallait oser construire un complexe commercial dont les 135 boutiques et grandes surfaces s’ajouteraient aux 89 commerces existants de la rue Neuve à Bruxelles: City 2.
City 2 a des jumeaux dans plusieurs villes d’Europe: Parly 2 et Rosny 2 en France et Madrid 2 en Espagne. A Bruxelles, on choisit le nom « City» pour contourner l’écueil linguistique...
Tout le centre ville est alors en plein renouveau. Les rives du boulevard Léopold II et le quartier Nord voient s’installer diverses administrations publiques. Des hôtels ont été restaurés, place Rogier. Le « Bon Marché », en rénovation à côté de City 2, s’apprête à accueillir des commerces et des bureaux. La façade « Botanique » de City 2 attend d’ailleurs le mûrissement des projets que les A.G., à l’initiative de Christian Lasserre, concoctent pour l’ensemble de l’îlot. L’architecture de cette façade pourrait s’intégrer à celle de l’ancien grand magasin et le bâtiment de City 2 alignerait sa hauteur sur celle du B.M. Les nouvelles surfaces ainsi creées en toiture pourraient permettre la création de terrains de sport. Ceci n’est qu’une des nombreuses possibilités à l’étude.
Dix ans après, City 2 offre toutes les apparences du pari tenu: il réalise un chiffre d’affaires de six milliards, accueille seize millions de visiteurs par an et occupe 1.500 personnes. Tous les emplacements sont loués.
Cette City 2CV ayant été mise en circulation pour la première fois au mois de septembre 1988 a été retrouvée en 2010 chez un garagiste bruxellois spécialisé dans les 2CV. Elle attendait d’être restaurée.
En dix ans, l’Association des commerçants de City 2 a présenté plus de cent expositions en tous genres, plusieurs spectacles de variétés. Elle a accueilli les Diables rouges, retour de leur voyage au Mexique, des courses de vélo-cross et de multiples actions philanthropiques. « Autant de gestes d’amitié vers le visiteur», comme dit Alain Berlinbleau, président de l’Association des commerçants.
City 2 fête ses dix ans durant huit jours, du 28 octobre au 5 novembre 1988. Les samedis 29 octobre et 5 novembre, pendant 24 heures non-stop, on annonce un « Marathon de la pellicule » susceptible d’intéresser un public de tous âges. Du 25 octobre au 3 décembre, la Fnac présentera une exposition de photos de Michel Adam.
A l’occasion de ses dix ans, City 2 envisage d’offrir à ses clients une production limitée de dix Citroën « City 2CV » aux couleurs de Bruxelles et du centre commercial. Pour avoir une chance de gagner une « City 2CV », il suffit de remplir le questionnaire disponible dans l’un des cinq stands du centre commercial. En 1988, pour les 10 ans du City 2 (à Bruxelles), la 2CV a 5 fois l’age du City 2.
Ces 10 2CV sont uniques puisqu’elles ont été spécialement décorées et équipées pour l’occasion. Striping à l’extérieur et mini-bar à l’intérieur. Alors , pour ceux qui ont suivi, 1988 c’est l’année de sortie de la 2CV Perrier et si vous observez les enjoliveurs sur les photo,s vous y verrez une certaine analogie. Alors le mini-bar en question, ne serait-il pas dans le genre du fameux frigo Perrier ?
1959
Mai 1959 - Avec le nouveau dispositif de dégivrage, la planche de bord large est abandonnée et est remplacée par la planche de bord présente à la même époque sur l’AZL 3. Elle est similaire à celle de la 2CV AZ à l’exception de la poire de lave-glace. L’enjoliveur ornant le volant est maintenu.
1960
Aucune modification substantielle n’est à noter pour cette année.
1961
Juillet 1961 - Tout comme la 2CV AZU, c’est en été 1961 que l’AZUL reçoit le nouveau capot à cinq nervures.
Dans le courant de l’année 1961 , les enjoliveurs de l’Ami 6 sont montés sur la 2CV AZUL Week-End.
1962
Dans le courant de l’année 1962 , les clignotants Scintex sont remplacés par les feux de position de marque Hella.
Septembre 1962 - L’AZUL adopte le tableau de bord de l’AZL3 avec compteur kilométrique intégré. La poire de lave-glace est montée sur une platine entre le levier de changement de vitesses et le tableau de bord. Restant un modèle « Luxe » d’inspiration AZL 3, on retrouve le volant luxe.
Mars 1963 - Avec la fin de la production de l’AZL3 du côté des Berlines, l’AZUL se simplifie. Les vide-poches ne sont plus présents dans les portes. Les pare-chocs en aluminium sont remplacés par les mêmes parechocs que sur l’AZU et que sur l’AZ. L’AZUL adopte le moteur 18 cv qui équipe la 2CV AZ série A. La partie supérieure des panneaux latéraux devient lisse et non plus nervurée ce qui simplifie la vie du joint de la vitre latérale. Le numéro du P.V.A. est modifié. Il devient « 10.107 ».
Autour du mois de septembre 1963, L’AZUL ne sera plus fabriquée ni commercialisée et sera remplacée par l’AKL Week-End basée sur l’AK 350.
La 2CV AZUL a également été exportée aux Etats-Unis. Comme pour les autres 2CV exportées aux EtatsUnis, des modifications, principalement au niveau de l’éclairage ont été apportées sur place.
Les photos noir et blanc sur cette page et la page suivante proviennent d’un article écrit par Walt Woron en février 1957 : « Driving around with Walt Waroon » publié dans Motor Trend Magazine. Les américains y découvrent la 2CV AZUL. Même si elle vient de Belgique, il y a un petit drapeau français devant le sige Citroën sur l’aile avant gauche.
Quelques détails d’une 2CV AZUL américaine qui a été importé récemment aus Pays-Bas. On y voit bien l’éclairage caractéristique des 2CV américaines.
Durant la deuxième moitié des années 50 le service de la poste aux Pays-Bas a également expérimenté la 2CV AZU. Le véhicule était utilisé, entre autre, dans le polder du nord-est. Chacun des deux facteurs à bord possédaient son propre vélo. La voiture était utilisée sur les grands axes tandis que les vélos étaient utilisés sur les autres voies. L’expérience ne fut pas convaincante.
Ci-dessus: une publicité pour la téléphonie mobile de Philips dont les 2CV de l’association Wegenwacht étaient équipés.
Alors que le secours routier est déjà organisé en Angleterre par les AA (Automobile Association), l’association des automobilistes des Pays-Bas, l’ANWB (Algemene Nederlandsche Wielrijders-Bond) voudrait bien démarrer un service identique en 1939. Mais la seconde guerre mondiale est déclenchée et ce projet ne peut pas aboutir. Dès que la guerre se termine, l’ANWB ressort sont projet des placards. L’ANWB récupère 25 Harley-Davidson « Liberator » canadienne. Le 15 avril 1946, les 7 premiers secoureurs routiers sont actifs. L’association wegenwacht fut directement populaire à cause de la mauvaise qualité des véhicules d’après guerre. Durant la première année, il y a eu plus de 10 000 véhicules secourus alors qu’il n’y avait que 30 000 véhicules aux Pays-Bas à ce moment.. Le nombre de patrouilleurs augmente rapidement tout autant que le nombre de membres de l’association. Afin d’augmenter le niveau de confort des patrouilleurs, à la fin des années 50, l’ANWB se met à la recherche d’un petit véhicule utilitaire. Ils essaient une Opel, une Austin-Morris et une Volkswagen, mais le choix se porte finalement sur la 2CV AZU car les coûts d’entretiens ne sont pas plus importants que ceux d’un moto équipée d’un side-car.
Aménagements spécifiques |
En Belgique, l’Arrêté du Régent du 10 juin 1947, article 27, stipule que le constructeur, l’assembleur ou l’importateur doit mentionner d’une façon inaltérable sur une plaque métallique, placée à un endroit du véhicule facilement accessible, la marque et le type du véhicule ainsi que le numéro de châssis. Il s’agit de la plaquette d’identification fixée par des rivets sur le tablier. L’arrêté ne comporte aucun article évoquant explicitement la frappe du numéro de châssis. Toutefois, l’article 27 précise clairement que le numéro de châssis mentionné sur la plaque doit être la reproduction du numéro gravé ou estampé par le constructeur sur le châssis. C’est le numéro frappé sur le châssis. En 1952, il n’y a pas encore de plaquette sur le tablier mais il y a une plaquette rivetée sur la traverse passant sous la boite de vitesses. Les rivets utilisés sont des rivets à frapper à tête ronde. Les plaquettes illustrées ci-dessous ne constituent pas une liste exhaustive de toutes les plaquettes qui ont été utlisées.
Mention dans la « Notice d’Entretien » de 1953-07.
Plaquette sur la deuxième traverse d’une 2CV AZU de 1958.
Plaquette sur la deuxième traverse d’une 2CV de novembre 1953.
Dans les derniers mois de 1959, une plaquette apparait sur le tablier, comme sur cette 2CV berline de 1959.
Plaquette sur la deuxième traverse d’une 2CV de 1956. Les rivets sont à tête plate.
Mention dans la « Notice d’Entretien » de 1960-04.
Plaquette sur le tablier pour l’Allemangne en 1957. Il n’y a alors toujours aucune plaquette sur le tablier pour les autres pays.
Une plaquette emboutie avec le numéro de châssis est soudé sur le châssis sous le siège avant droit, comme sur cette 2CV de 1961.
Pour les Pays-Bas, le numéro de châssis est frappé sur le plancher côté passager, comme sur cette 2CV de 1960.
Sur la 2CV AZU, l’année est encore présente.
En 1960, l’année est ajoutée à la plaquette de caisse. Les couleurs des plaquettes dépendent du modèle. AZ = bleu, AZS = vert, AZL3 = noir.
Pour le marché Allemand, une plaquette supplémentaire est apposée sur le tablier.
Sur les camionnettes on retrouve encore des numéros de châssis soudés sur la deuxième traverse, comme sur cette 2CV AK350 de 1965. La date à laquelle le numéro de châssis est frappé à froid sur le longeron avant droit n’est pas connue.
Plaquette de caisse 2CV AZ 1961. L’année n’est plus présente sur la plaquette. Comme pour l’année 1960, les couleurs des plaquettes dépendent du modèle. AZ = bleu, AZS = vert, AZL3 = noir.
citrovisie
ISBN 978-90-832960-2-9
9 789083 296029
Des feux spécifiques, des enjoliveurs différents, des ailes arrières échancrées: les 2CV assemblées à l’usine Citroën de Forest (Belgique) se différencient de leurs cousines françaises à bien des égards. Malheureusement, toutes les modifications qui ont été effectuées pour créer ces modèles n’ont pas été répertoriées par l’usine. C’est sur base de documents originaux, de rencontres avec des gens qui ont travaillé dans l’usine et par une analyse détaillée de photos d’époque et de véhicules assemblés à Forest que les informations dévoilées dans ce livre ont été recueillies.
Vincent Beyaert décrit dans « L’encyclopédie des Citroën 2CV belges » la production et l’évolution des Deuches assemblés à l’usine de Forest: de la première 2CV A de 1952 à la dernière version sortie de la chaine belge en 1980, en n’oubliant pas les camionnettes sur la base de la 2CV, les véhicules exotiques comme la Radar ou les modèles spécifiquement belges postérieurs à la fermeture de l’usine. Des aperçus des teintes de carrosserie, des garnitures de sièges, des chiffres de production et des numéros de châssis complètent ce livre. Avec des centaines d’images, dont certaines inédites, « L’encyclopédie des Citroën 2CV belges » est l’ultime référence pour les passionnés de la Citroën 2CV.