L'Amour Universel "Unis vers Elle"

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L'AMOUR UNIVERSEL Unis vers « Elle »


Premier tome Les idées d'espace et de temps ne sont-elles pas erronées ? "L'amour", ici en question, serait un début d'explication, dans une optique subliminale, la recherche de la vérité, de la consécration, le bien-être absolu. Sans oublier que sans elle, nous ne serions rien. L'oxymore et l’argot seront de rigueur à chaque ligne, parce que le français écrit et parlé a une profondeur, si j'osais, je dirais insondable. Et bien que l'amour reste inconditionnel, des conséquences peuvent survenir dans les moments où l'on devrait, mais où l'on oublie d'aimer. Sachiez-vous lire ces textes lentement pour les comprendre plus vite, l'amour est un mot qui peut faire peur, pour celui qui ne sait pas vraiment ce que cela signifie, s'arrêter au dernier point d'une préface pour donner de la maturité à l'idée d'un amour intenté. Un message subliminal qu'il m'a été confié de vous révéler. Les idées transmises dans ces lignes sont, vous le remarquerez, pas complètement approfondies. Non pas que la recherche se soit arrêtée, mais bien au contraire, les idées étant nombreuses et profondément liées, une recherche personnelle, et donc une spiritualité sera à envisager.


Sommaire :

Comme a la campagne, un peu d’eugénisme Comme avec des cartes, on joue à expliquer l'amour Comme on se retrouve Demoiselle, dame oiseau Elles, avec un rêve Imaginé ce n’est pas la réalité L’amour c’est dur et compliqué à faire L’amour est une bombe Laisse je vais le dire pour toi Le mal nous veut du bien L'histoire d’un jeu Néophyte à l'amour On a tous une âme On ne sait pas d’ou vient ce sentiment que l'on appelle l'amour On n’ose rien, le cœur exige tout Pas pour cette fois Poème pour elle, un dhampir Pour elle, lui et elle, si loin se sentiment Rendre le précieux au divin Si on laissait une place a l'amour Si on regardait un peu plus haut


Comme à la campagne, un peu d’eugénisme Les gènes c’est comme la culture Plus on en veut, plus il y a de chance que ça germe. Seulement la culture, c’est la vraie nature, Elle révèle… Les gènes eux, ils déchaînent les enfers. L’eugénisme est un semblant de perfection, Une création, l'élite de la génétique. Il faut y voir des générations, De sang mêlé plein d’adorations. Cultiver son jardin, l'éden de l'esprit, Y trouver son chemin, sa création. L’esprit a dans son jardin, une terre, Un pied d’amour, qui fleurit chaque jour. L’amour pique et sans retour…


Comme avec des cartes on joue à expliquer l'amour La tâche que je m’étais confiée, Au début, quand j’ai commencé à écrire, Ce devait être une sorte de psychothérapie, Ça part en vrille, tout ce que j‘apprend, Au fil des lignes c’est à expliquer, L’amour. C’est sûr, je le prends comme il vient, Ce sentiment, si limpide, et tellement, Facile à dire, expliquer l'amour, C’est compliqué quand ont ne voit pas, Cette chose que l'on ressent, L’amour. Tellement de poètes, à la plume biseautée, Comme des cartes qui serviraient à tricher, Avec mes mots, traversant mon esprit, Ça me prend au plus profond de moi, Comme si quelqu'un l'avait prédit, L’amour. Si j’ai l'impression de maîtriser, Les mots que j’écris, au fil, De ma pensée, certes je ne pense pas, Que j’écris tout seul, mon stylo, ma main, Ma feuille de papier, voilà la seule réalité, L’amour.


Comme on se retrouve (L'école de la vie) Un esprit meurt, un autre s’éveille, Mais cet esprit qui de sa vie, Use de son pouvoir sans même le savoir, Et se retrouve là-haut au paradis, Quelle utopie. Un monde ou toutes questions trouvent une réponse, Depuis des millénaires on y réfléchit, Tant sur la terre que dans ce pays imaginaire, Tous ces corps morts, et ces âmes dispersées, Imaginons un peu le potentiel de réflexion, En tout cas là-haut, la fin du monde n’est pas programmée, Une seule manière d’en être sûr, Provoquer la mort de manière réfléchie, Elle vous répondra sans trop attendre. Continuer de vivre ou mourir si tu en as fait assez, Être suicidaire conçoit le fait que l'on peut aimer la mort, Et vouloir être maître de son destin, Changer le cours d’une vie et la spiritualité de la chose, Vouloir mourir affirme que c’était prévu, Mais la finalité de la chose affirme que ce n’était pas prévu, Il existe un monde où notre esprit, Est déjà passé et où l'on connaît notre vie, Je crois que notre destin est tout tracé, Mais que dans le temps réel on le suit, En faisant des choix, comme si la vie, Ne serait qu'un apprentissage.


Demoiselle, dame oiseau Combien de temps y aura-t-il entre nous, C’est le temps d'une esquisse mademoiselle, C’est le temps qu'il me faut. Entre nous, notre amour est impossible, Mais tout aussi limpide, Ma hantise et mon amour pour vous. Je suis fou mais de vous je veux, Et j’exige devoir vous sublimer, Tout le temps qu’il me faudra, Je vous le restitue et en reste là. J’aimerais mais cela m’est impossible, Mon amour pour vous ma hantise. Viendra-t-il ce jour où je serais au sommet, Où tout là-haut, la mort nous guide. Nos routes se recroiseront, Nos chemins s’enlaceront, Pour demain, faire de la vie, Quelque chose de rationnel, Ma hantise est mon amour pour vous. C’est le temps d’une esquisse mademoiselle, De s’exprimer avec des mots, Pourrait sublimer l'instant présent, laisser couler ce flot, En savourant le moment présent. Mais pour vous prouver ce qu’est l'amour, C’est le temps d’une esquisse mademoiselle, C’est le temps qu’il me faut.


Elles, avec un rêve… Rêve inattendu, vision troublante, Une nuit passée à attendre, À attendre pour rien. Encore elle, elle me hante Et pourtant, ce que j’aime ça, Je t’ai attendu, pour rien. Ce soir une étoile brillera, Pour toi, c’était inattendu. Rêve inattendu, vision circoncise, Sage, réfléchis, serait-ce toi, Qui joue avec nos rêves. Un jour, peut-être, et si seulement, C’était toi, au bout de ce cauchemar, Plane l'incertitude de nos rêves. Ce soir pour toi, Une étoile brillera, c’était inattendu.


Imaginé ce n’est pas la réalité Encore une fois, je rêve de toi, À mon réveil, une sensation sans pareille, Mais cette fois-ci, je ne l'ai pas ressentie, Cet amour m’ayant déjà envahi… Sur mon épaule viens te poser, C’est si drôle un petit baiser, Ton ressenti, je veux t’aimer, Mon ressenti, si vite oublié. Rythmer tes paroles, Je viens de le faire, La romance en vers, N’est pas dure à faire. Ton âme me dicte, Ta vie si palpitante, Je devrai suivre, Le son de ta voix, Et m’arrêter sur ce chemin, Où la première fois tu m’as envouté. Si demain, malheur arrive, Sache que l'éternel m’appartient, Si demain bonheur arrive, L'éternel est dans tes mains. L’amour n’a pas son pareil, que la haine mène à l'amour, Dénué de sens, spiritualité de la prose.


L’amour c'est dur et compliqué à faire Construire l'amour n’est pas dur, Mais si dur l'amour, à ne pas faire, Le contraire, plus compliqué, N’aurait pas été dur à faire. Faire l'amour c’est dur, L’amour si dur, c’est à faire. Ce n’est pas compliqué, Il faut juste le faire. Moi je vais le faire, Parce que ce n’est pas dur, Certes ce n’est pas compliqué, Il faut juste le faire. Comment faire, Lorsque c’est plus dur, Et bien moins compliqué, Que ce que l'on est capable de faire. En somme, l'amour c’est sûr, Quand ça se fait, ce n’est pas compliqué, Ce qu’il faut faire, c’est le laisser faire.


L'amour est une bombe Bouleversement, hécatombe, L’amour est aussi fort qu’une bombe, C’est seulement si, seulement pour, Transe, seulement si, et pourquoi pas ? J’entends bien, j’entends tout, Et je sais bien, le pourquoi, De cette transe, quand je compose, Seulement pour moi que des proses. Le mot amour je le dissèque, Dans tous les sens, dans toutes mes proses, Pourquoi tout le monde aime, Et que personne ne s’aime, Si seulement j’écris cela, Et que tu aimes, pourquoi pas, En faire profiter le monde entier, Et demain tous en profiter. Bouleversement hécatombe, L’amour est aussi fort qu’une bombe, Ma précision vaut bien ma discrétion, Moi je sais tirer, j’ai déjà dégainé, Et malheureusement, j’aime tellement fort, Que vous êtes tous déjà mort.


Libre arbitre. Laisse je vais le dire pour toi Entre deux ombres, celle que fait le soleil, Et celle qui est derrière toi, que tu n’aperçois pas, Marche un clandestin, avide, et souvent, En quête de quelque chose que tu ne connais pas. Et cette voie, propre à chacun, Te guide sur la voie, tel est ton destin. Entre deux ombres, grisé ou noirci, Il est toujours derrière toi, tu ne l’aperçois pas ? La marche du destin, en route pour l'infini, Ce quelqu'un qui guette, tu ne le connais pas. Propre à chacun, cette voie, Tel est ton destin, il te guide sur la voie. Peu de temps pour écrire ces quelques mots, Toute la vie pour en comprendre le sens, C’est pour cela qu'aujourd'hui je les ai écrits, Ces quelques mots n’ont aucun sens.


Le mal nous veut du bien Sans attendre de la vie, ces rêves trop enfouis, Si loin c’est ce sentiment, encore aujourd'hui je l’attends. J’en rêve toutes les nuits et j’ennuie avec tout mon entourage, Sans le dire, simplement en le faisant ressentir. Certains l'acceptent d’autres le rejettent, Croire en quoi ? C’est quelque chose qu’on ne voit pas l'amour ! Encore moins le toucher, si ce n’est la vie, Du bout des doigts pourrait t’arracher la main, C’est notre destin, à tous, faire de chaque chose, Une osmose. En chacun de nous, si loin se sentiment, Mais demain j’aimerai, et vous aussi je l'espère, Que ce soit ou pas notre destin, C’est d'aimer en vain la seule chose qui peut nous sauver, l'amour en chacun de nous. L‘ amour ce n’est pas seulement le romantisme, l'attention ou le respect, C’est aussi l'absentéisme, Qui nous rapproche plus on est loin, L’abstention, qui amplifie les sentiments, Mais aussi, le non-respect, Qui fait qu’on ne se comprend plus, Et qui nous pousse à se redécouvrir sans cesse, C’est l'amour maléfique, l'amour qui fait mal, L’amour qui nous tient au plus profond, Ce que l'on ne peut pas toucher, et que l'on ne voit pas, Le mal est partout et il nous veut du bien, Qui que l'on soit.


L’histoire d’un jeu Je suis là, j’observe, J’apprends, je réitère, j’intensifie, Je marche, je cours, je suis en âge, Je pense à toi, j’aime. J’écoute, je sens, enfin je sais, Que je vis, et pourtant, je meurs, Je suis, j’ai été, je serais, J’ai fait, je fais encore, et je referais, Je pense toujours à toi, j’aime, Je t’appartiens, en tout cas j’essaye, Je vie, je pleure, et j’aime ça, Et pourtant je me meurs, Je pense, je réfléchis, je passe des étapes, Je pense toujours à toi, j’aime ça. Je m’accroche en pensant à tout ça, Je décroche en pensant aussi à ça, Je vis parce que tu es là, Je survis aussi en pensant à toi. Je cherche, je réfléchis, j’écris, J’aime et c’est comme ça que je sais, Que toi aussi tu m’aimes.


Néophyte à l'amour La femme quel enfer, En faire sa flamme, Quelle affaire. Quelques différences, quelques émotions, Il est bien là le tout du monde. Ressentir une émotion, C’est savoir vivre, savoir l'apprécier C’est tout en apprendre, Quelques émotions, Il est bien là le tout du monde. Une émotion, un sentiment, Passer au bon moment, Elle est bien là la différence. Se laisser vivre, sans trop revenir dans le passé Se projeter en partageant le meilleur des sentiments, L’amitié la joie la bonne humeur, Et dans le meilleur des cas l'amour.


On a tous une âme L’âme au fond reste secrète, Pour ceux qui font rien qu’avec leur tête Leurs vies mais bon presque parfaites, C’est alors qu’au fond une âme guette. Je crois c’est con je me répète, Qu’une âme au fond reste là et guette, Pour que ta vie soit presque parfaite, Ton âme c’est con veille sur ta tête. Ces voix qui font de nous des bêtes, Parce qu’on écoute et on répète Ce que nos âmes dictent, les réflexions Ou pose toi une question, ton âme est prête. Sans question, une pause repose, Dédain, et avec pertinence, Réflexe psychologique, Que l'amour attend, Ce qui t’est donné, L’âme… L’âme outrée, forte et sensée, Fera de son temps et de ta vie, Une poésie, un tempo de vie.


On ne sait pas d'où vient ce sentiment que l'on appelle l'amour Si j’écris ces quelques mots, C’est pour toucher les âmes perdues, Certes en quelques phrasés cela reste compliqué. Âme perdue, et si j’en faisais partie, A ce moment précis je ne sais plus, Peut-être un joli poème, Une chute on ne peut plus didactique. Cette fois-ci pas de rime, Mais en y mettant le ton sûrement, De jolis phrasés au bout de ma plume. Dérisoire, mais c’est bizarre, J’aime cela, que d’écrire en vain, Je ne sais pas pourquoi, encore moins pour qui, Mais demain, c’est sûrement pour cela, Je comprendrai ces quelques mots. Je sais une chose, l'amour, Pas si facile, l'amour, Et c’est pour cela que, l'amour, Doit être cultivé, L'amour encore, l'amour toujours, Mais quoi d’autre que l'amour.


On ose rien, le cœur exige tout Bientôt la fin, toujours rien, au début j'en avais plein De cette fonction, la motivation, Je ne dirai pas l'inspiration, Car bel et bien toujours rien. En voilà cinq ce n’est pas grand-chose, Mais avec rien c’est quelque chose, Comment fait-on pour cette chose, Que d’écrire en vain ces quelques proses. Penser à elle ça c’est très bien, Ne pas s’en faire ça ira bien, Après ces lignes on n’en sait rien, L’avenir pour moi c’est écrivain. Pour toi bien sûr petite fleur, Tes yeux je t’assure font mal au cœur, Je ne suis pas sûr de leur couleur, Mais ton regard me laisse d’humeurs, Si un jour on te propose, De lire en vain ces quelques proses, Et j’entends bien faire une pause, petite fleur je suis tout chose. Comment t’écrire en quatre lignes, Ce que des mois me laissent indigne, Laisse-moi encore juste une ligne, pour t'imager ce que j'imagine. Ce serait bien si tout au bout, De ce chemin on retrouve tout, Ces quelques liens qui valent beaucoup, Et surtout toi j’aime comme un fou.


Pas pour cette fois Demain, peut-être bien, Plus loin ça ne m’étonnerait pas, Lorsqu’on pense à cette fin, La mort court sur nos pas. Je suis jeune et je dispose, De cette vie, qui me propose, Une société parfois morose, Avec ses grands airs de jolies choses. Et pourtant il faudra bien, S’émerveiller plus d’une fois, Quand je pense à cette fin, La mort court sur nos pas.


Poème pour elle, un damphir Comme un vol d’oiseaux majestueux Prestigieuse et symbolique telle une colombe, Tu t’en vas et me laisses là. Majestueuse déesse, nymphe d’un autre monde, Qui que tu sois retourne-toi, Et de ton regard ose affronter le mien, Tu sauras alors la vérité, Avec un air de sincérité, quelque chose de prestigieux, Saurais-tu déceler une once de l'intensité, Portée à ton égard, tu t’évapores, Tu t’en vas et me laisses, las. La normalité il faut l'accepter, Soit rester soi-même soit couper ce fil de soie Qui nous sépare de la mort. Soit beaucoup de soi, il faut prendre dessus, Fais donc esprit accroché, survivant des catacombes, Je m’adapte à ton jeu, Esprit rebelle et imprévisible tu te dois, De te démasquer, montrer ton jeu, Te faire cerner par ta moitié, Et ainsi conserver la main mise, Sur la sincérité qui pourrait être de rigueur. Ensorceleuse, déesse de l'amour, tu t'évapores, Tu t’en vas et me laisses, là.


Pour elle, lui et elle si loin ce sentiment Si loin ce sentiment, Et pourtant tous les jours, Dans ce monde infligeant, C’est ce que l'on joue. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, Au coin d’une ruelle, il t’enverra paître. Normal c’est ce que l'on joue, Aussi infidèle qu’est la fidélité, Tu pars et ne reviens pas, La psyché me joue des tours, tu pars et ne reviens jamais. Cette porte ainsi refermée, Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, S’ouvre de l'intérieur, Petite fée ensorceleuse, sauras-tu, Si par hasard je suis en transe, Jouer de ton meilleur morceau, Pour un damphir bien malheureux.


Rendre le précieux au divin Si j’avais du talent, depuis le temps, Peut-être un jour on le saura, Moi même je me pose la question, Encore une fois à quoi ça sert, Que d’écrire en vain ces quelques lignes. C’est dérisoire et un peu rasoir, Mais si j’avais du talent, je crois, Que cela se saurait au bout de ces lignes. J’aime faire ces quelques vers, Qu’un jour on saurait défaire, Ce nœud qui un jour pourrait refaire, Ce que l'on aime faire pour si peu l'amour. J’aimerai faire ces quelques vers, Sans avoir à réfléchir à l'envers, Et toujours devoir réécrire les mêmes chimères, Et comprendre en grandissant, Ce que je devrais refaire. Il faut comprendre qu’il n'y a rien à comprendre, Mais assimiler la dureté de la tâche, Que l'on nous confie et rendre, Le précieux au divin, c’est un peu lâche, Mais dans ce monde qu’il y a-t-il de plus dur, Que d’assimiler la dureté de la tâche...


Si on laissait une place à l'amour Loin de moi c’est ce sentiment, je le bois et m’en indiffère, Pourtant il est là ce sentiment, Un être maléfique s’en est emparé, À quoi bon, s’abandonner. Un long sommeil et l'espace d'un instant, Voilà ce moment, une suprématie, L’éveil d’une vie consciemment morte. Comme un proche il s’en occupe, et comme de sa mort il est, de ta vie il fera. Ange gardien ou démon souterrain, la mort ainsi soit-elle, Je te salis ma rue, de quoi est-tu faite, douleur réalités … Et l'amour c’est bien tout ce qu’il reste, espoir et croyance ne mènent a rien, Le hasard est parfois plus chanceux, bien qu’il ne faille pas y croire. Pour trouver une faille à cette toile, l'âme sœur ne saurait s’y retrouver, Suivre son chemin et laisser une place à l'amour, Le trouver aux confins ou il serrait caché. Être, vous, lui, elle, on finit par elle et elle nous finira tous, Elle, est l'éternité, elle à l’infini, c’est la création, l'être suprême, elle. La vie c’est comme tout si tu n’étais pas là ça ne servirait à rien, Il vaudrait mieux en rester là. Elle, tu nous définis, elle je t’ai choisie, Hélas, deux trèfles dans mon jeu, croisé ton chemin je pourrais être chanceux, N’étant pas joueur mon destin me le rendra, un jour peut-être sur ta route je serais là, Châtiment au mauvais esprit, petit ange des cieux peut-être


nous séparent, Autrefois tu aurais pu être, maintenant serais-tu devenue, À quoi bon chercher l'hameçon quand le chasseur lui, attend sa proie, Tout porte à croire que cette sensation, aussi bizarre qu’est la réalité des circonstances, Que serait-on sans la présente, l'omnisciente !


Si on regardait un peu plus haut Encore une journée pour rien, Cette nuit passée pour rien, Un rêve, incontournable, cohérent, Je me revois dans mon rêve au passé. J’ai conscience de mon absence dans cette société, Meurtri, abruti, lobotomisé. Pouvoir et pouvoir, encore et toujours, Toujours et encore pouvoir être, On est là je crois pour l'éternité. Et quelque part c’est sur quelqu'un, Qui de son œil observateur, De sa main précise et forte, Nous regarde, Et par impunité, Nous aime je crois pour l'éternité...


Deuxième tome

PRÉFACE Trouver l'amour aux confins où il serait caché! Voici 23 textes d'un tome 2, tentant d'expliquer ce qu'est l'amour universel, un début de réflexion. En passant sur les lignes qui me sont plus personnelles qu'explicatives. Je m'aperçois, à cette relecture, que la tâche reste complexe, mais pas sans motivation, je continue les réflexions…


SOMMAIRE L'amour vogue, et elle !!! …Secret, mystère et subtilité. "L'arcane" La soupe à l'amour Gothique romance dhampirique L'éphémère, la fleur Pour vous, très chère, sans prénom, je vous appellerai "Amour" Mon enfant Je t'offre cette rose noire teintée d'amour Princesse Les songes Spirit, tu oses l'idée de la prose Le temps se passe de commentaire Renais, Descartes Vivre au présent, mais le passé… Comprendre et apprécier Tss, tss, tss, chut, maintenant Prendre conscience La maîtrise de la conscience L'occulte passé, l'ésotérique avenir Possessive spiritualité Je t'ai donné l'amour par un baiser de sang L'assassin Cœur déchu


L'amour vogue, et elle ! L'amour d'antan pour elle, Et cette époque, pour elle, C'est au présent que, J'aime pour elle. Si c'est elle l'amour, Et si c'était moi l'âme sœur, Ce pourrait être elle Qui fait l'amour. L'âme sœur, l'amour Elle, elle et moi L'amour vogue, s'aime Se voit, c'est la voie Du cœur, des sentiments Mais pas de la fin D'une histoire, ou commence L'amour, même si le mal est là, l'éternité.


Secret, mystère et subtilité Arcane, tu veux bien te taire Secret, sans te dévoiler Tension arcadique, Tu le sais bien "Secret" ça découle… L'arcane c'est ce que l'on en dit, La tension subsiste entre les deux. Lire la suite tome 3 « tension arcadique »


La soupe à l'amour Cette recette, c'est le goût, Envoûtant qu'est l'amour. Serait-ce donc dans l'optique subliminale, D'un coup de foudre, une étincelle Dans le regard, que l'amour Puiserait sa force. La considération pour l'autre, Juste un regard, la sincérité Confiant à l'amour, sincère à la confiance, tout est là. Cette chose qui intervient lorsque, L'on se croise du regard, L'accroche, cette flamme invisible, Qu'est la femme, un feu brûlant, Qui se doit d'être maintenu à la vie. Mais, amies, la flamme est la femme Très chères, la flamme de l'amour, C'est la femme qui, en elle-même, porte La détonation, l'épice qui intervient, Dans cette recette, le chaudron c'est la vie, Le bouillon réside dans cette prose, À vous d'en cuisiner les différents mélanges, À point, c'est la cuisson. Que votre recette dure, la dégustation se fait, Dans le calme, Que votre première bouchée soit douce !


Gothique romance dhampirique Je suis une rose fanée, un cœur déchiré, Mais j'aime à la folie Toutes les femmes, et toi… Ce soir, j'aimerais te sublimer, petite fleur Éclos dans mes mains, Je te promets que tu ne faneras jamais. Toi, le symbole de la vie, Cœur de braise, flotte, envole-toi, Vers les sommets, et jamais, Ne redescends, si ce n'est pour trouver L'amour que tu as tant cherché. Fleur fanée, rose abandonnée, Noirceur de la vie. Si l'amour N'intervient pas, je crains le pire, Un vampire, une âme éteinte, un esprit accroché Le dhampir saura te réveiller. L'amour! Éclos! À nouveau!!!


L'éphémère, la fleur Si une rose, tu pourrais être, Dans mes mains l'éclosion, dans ma tête, l'amour, Pour toi. Les fleurs seront l'érosion de mon cœur. Point de rime, La justesse des mots, Rythme mes pensées. Fleur, tu es la représentation, De l'âme qui vit en chacun de nous, La rose me sidère, me cajole, C'est comme si tu m'incarnais ! En fait, tu n'es que bonheur, J'hume ton parfum, Ainsi, La gaieté!!! L'amour, ce pourrait être L'amant de la fleur, Plausible réalité


Pour vous, très chère Sans prénom, je vous appellerai "amour" L'amour est immortel, Pour toi, l'immortalité Ne pourra naître que de l'amour. Déesse, ce mot, je te l'incombe. La douce caresse de tes mots, J'entends bien les retrouver, Aussi loin sois-tu, Mon amour latent, Fidèle à ce que je suis, Mon amour je te le dois, Pour la vie, aussi limpide soit-elle, Et pour l'éternité, telle sera la vie. Ah l'amour; à l'amour, mon amour.


Mon enfant L'amour est il intenté ? Ce jour arrivera-t-il ? Si tu le veux. Incompatible amour qu'est le néant, Amour seulement, amour toujours, Pour moi, c'est la vie qui décide, Ce néant qui donne, la vie. Mon enfant, donnera la vie, Comme ce jour où j'écris l'amour. Pour lui, il est, et sera l'amour, Que je m'incombe de lui transmettre. Pour toujours, cette âme, Que j'aimerais, celle de ta parente, Qui sera l'image de ton amour. Amour je t'aime, Amour je te veux, Amour je te dois, Amour, à l'amour.


Je t'offre cette rose noire teintée d'amour Il va sans dire, ma conception de l'amour, Autant dire, mes sentiments, Ne sont point corrompus. Le choix réside en une rose, Elle est noire celle-ci, Son esprit mélancolique, Et impulsif, digne de ce noir, Pétale doux et velouté, Je la caresse avec mes mots, Cela lui plaît, l'amour. Et ce sentiment nouveau qui brûle en moi, Ce baiser volé, est-ce son amour matraqueur? Volontiers, je lui donne une partie de moi, Pour que se greffe sa couleur sur la mienne. Elle me trouble, comble ce manque, Sans même l'avoir effleuré, elle me manque. Ma princesse, ma rose noire, à l'amour.


Princesse Tu sais que je suis, Je sais que tu es, Nous savons, en fait, que nous sommes, Romantiques, et notre amour, Ne le délaissons pas. J'aime pour toi, tu aimes pour moi, Et je sais que ce que l'on vit à deux, C'est cela qui nous fait tenir, Vampire tu es, dhampir je suis, Je t'aime toi, et ce que tu représentes, Et moi, que suis-je de plus, une différence bien ambiguë, Le sang de nos aïeux, Est, et restera ce qu'il est. Pourquoi cette envie de mordre, Pointu est ton sourire, Incisif est le mien. Ton esprit, j'aime ! Ton âme, je sublime ! Ton corps, j'adore. Princesse, je t'aime, Et dans ces mots je te le dis, Plus que dans ma bouche, ton sang coule, Dans mes veines, je te suis, Dans les tiennes j'espère être. Ces quelques phrases en gage d'amour, L'amour encore, l'amour toujours.


Les songes Si toutefois une idée, Se devait d'être un songe, Que serait notre devoir, Si un songe doit tout à l'idée ? Le devoir que l'on se fait, Lorsque l'on songe, C'est de manipuler le fait, Pour que le songe soit. Le soi du songe, Manipulé par l'idée, Devient alors un devoir, Que l'on se doit d'apercevoir. Les songes aperçus, nous donnent de l'idée, Au devoir d'en tirer le savoir. Si les songes sont en soi, l'amour, Nos idées manichéennes font l'amour, Notre devoir est donc d'aimer.


Spirit, tu oses l'idée de la prose Spirit, tu oses l'idée de la prose, Spiritualité, manquement à la perspicacité, Petite chose, te souviens-tu de ces années noires, Le temps de s'endormir, et le rêve t'en fait le souvenir. Si loin l'idée de s'identifier à une personnalité, Juste l'envie de partager un sentiment ancestral, Spirit tu oses, la spiritualité de la prose ? La perspicacité, petite chose, s'en souviendra-t-on si demain, Ces années noires nous ont endormis, Le souvenir est devenu un rêve, spirituose, l'idée de la prose.


Le temps se passe de commentaire Les commentaires se passent bien du temps, J'écris, je commente, et le temps passe. Je n'ai plus assez de temps, Pour les commentaires. Le temps se passe des commentaires, Le temps passe, s'effile, s'égrène, Et je n'ai malheureusement plus le temps, Pour les commentaires. Le moment des commentaires n'est plus, Au fil du temps, je n’attends plus que, Des explications, Les explications ont besoin de temps, Le temps des explications est.


Renais, Descartes L'intuition n'est plus que sentiment, Croisé d'incroyables métamorphoses. J'ai cru, autrefois, engendrer la vie, Je sais aujourd'hui ce qu'est la mort. L'inévitable vision des circuits sociaux, Corrompt la mort dans tous ses états. Les mondes de l'au-delà, Vous sont ouverts, Vos croyances sont inexpliquées, L'au-delà ne s'explique pas, L'au-delà se vit pleinement. Votre réalité s'explique, La nôtre se ressent. Nous sommes le monde, À nous de le vivre spirituellement. Vous croyez voir la vie, Vous ne voyez que la matière, Quand vous verrez la vie, Vous serez peut-être déjà morts ! Éternelle croyance qu'est la vie, Dans tous ses états. L'état de croire en la vie éternelle, Ne peut être atteint, Que dans l'infinie profondeur de l'âme, Qui ne se rejoint que dans les mondes, Où la vie ne naît plus, mais renaît.


Vivre au présent, mais le passé… Cependant, le vivre au présent, Ce n’est pas se présenter au passé, Comme si on l'avait vécu… Si bien que la vie antérieure Aurait trépassé… L'idée naît, grandit, vit, Au présent et au passé, Si bien qu'elle lui appartient, Ce n'est que l'engendrer. L'idée naissante d'une entité, Vivant au passé, Engendre la vie, Et une suite de conséquences. L'idée naît, grandit, vit Au passé comme au présent, Si bien qu'elle lui appartient, Ce n'est que l'engendrer. Dans sa force de témérité, L'idée se bat, Contre les fausses idées. La vie d'une idée, c'est bien plus qu'un combat, Une spiritualité.


Comprendre et apprécier On sait si on apprécie, Pourtant l'appréciation, Se laisse aller, Le long d'un fil de soie. Aussi, si on apprend, C'est parce que ce fil, A la capacité et la force, De résister à l'appréciation. Si ce n'est pas le cas, Et bien entendu, Le soi disant Soi, se casse. C'est que, en soi, la logique, Peut faire l'apologie, D'une compréhension bien appréciée, Car comprendre, c'est apprécier, Mais seulement lorsque l'objet de la compréhension, Devient un centre d'intérêt.


Tss, tss, tss, (sheentaou) Si les mondes sont ce que l'on croit, Alors la vie n'est pas. Car la vie n'est pas le monde, La vie est elle-même, Elle est pour nous, ce que le monde, Se doit d'être. Mais pas la subtilité de ce que l'on sait, Juste la vérité inavouable.


Prendre conscience La conscience, c'est comme, Le moment présent, On le sait, sur le moment, Puis après, on s'en souvient. Prendre conscience de quelque chose, C'est comme réaliser ce que l'on, Savait déjà, mais auquel on ne faisait, Pas attention. Mais parfois, mieux vaux ne plus, Penser, et attendre un jour prochain, Que l'on apprenne le conscient. Car l'inconscient sait ce que le, Subconscient lui a appris, alors lorsqu'on, Prend conscience de ça, on préférerait, Rester inconscient, pour ne pas savoir. On se dit, à cet instant présent, que la Pensée a plusieurs formes, et que réside, Dans nos têtes, un esprit qui anime notre Conscience, c'est notre âme. Quelque chose de magique est en chacun de nous, La flamme de la vie.


La maîtrise de la conscience C'est un flot ininterrompu de pensées, d'idées, insoupçonné, sous forme de capsule capitonnée, à laquelle on aurait affecté une sortie bien ordonnée, venant de l'inconscient, la magie s'en ressent. Parfois, le flot se fait mauvais, lorsque les idées sont infondées, par conséquent, le doute et les questions se bousculent, déstabilisent l'inconscient. Comme posé sur une bascule, le doute pèse plus lourd qu'une question, la conscience (outil de pesage) marquant au passage que la question amène le doute (l'inverse est aussi de rigueur), mais lorsque dans cet ordre, la pensée est donnée, la magie alors prononcée, le doute laisse place à des conclusions, état de constatation. Une simple réflexion, la magie du corps humain!! J'espère que ce texte éveillera votre conscience. Bien que dérisoire, mais pas illusoire, cette idée vaut bien plus qu'une simple réflexion, la base étant l'ouverture de l'esprit sur le monde, le partage du savoir, et un peu de pouvoir sur les choses.


L'occulte passé, l'ésotérique avenir L'adolescence est improbable, L'avenir, mon avenir, est fort possible. Les idées d'aujourd'hui sont mes réflexions D'hier et mon lendemain se fait plus beau. Mais dans cette vie de ténèbres, sombre Douleur que nous inflige l'exotérique, Non pour rationaliser une réalité, mais plutôt Pour enfouir le passé. Mon adolescence est improbable, Dépassée par l'époque, le temps. L'avenir est fort possible, Rattrapé par les consciences.


L'irrationnelle spiritualité Possessive spiritualité Comme la magie d'un instant qui nous possède, La spiritualité se consacre à une vie Possédée par l'influence de l'esprit. L'esprit, caricature de l'au-delà, Comme si nos pensées résultaient d'une Fin en soi. Vouloir s'initier à la spiritualité Mène inévitablement sur le chemin Complexe de l'esprit, notre esprit. L'au-delà est un monde de complexité Où l'esprit apprend de tout ce qu'il voit De ce qu'il entend et ressent. Possessive spiritualité, c'est une Expression de communication, la base De tout ce qui touche à l'esprit. Possessive parce qu'elle fait partie Intégrante de chacun de nous et qu'elle nous possède.


Je t'ai donné l'amour par un baiser de sang Ce moment où tu t'es offerte, J'en ai profité pour te donner l'amour, L'amour d'un dhampir assoiffé De spiritualité, une partie de moi, Offerte à jamais, sauras-tu En faire bon usage… Un baiser de sang. J'ai décidé, ce jour, de te pénétrer De mon amour, ces quelques centimètres Qui font que tu es, maintenant, À ton tour, la morsure du temps qui passe, Je t'ai offert la vie, vampire, Le pouvoir… Un baiser de sang. Protège-toi de toute maladie, vampire, Sinon ton pouvoir est caduc, Le pouvoir d'être aimé à jamais, Vampire, l'éternelle renaissance, Hard-core relation que de s'abandonner, À quelqu'un que l'on ne connaît guère, Je t'ai offert Un baiser de sang.


L'assassin Comme par habitude, Je fais les choses, pour mon malheur, C'est une déconvenue de le constater, Mon esprit est malheureux, Depuis ma première grosse déception, Mon cœur a durci, Et l'amour s'acharne à vouloir Me rendre heureux. J'ai tué ma muse, à force de malheur. Je suis un assassin au cœur dur, On me dit beau, mais mon apparence Est un présage de malheur. Je séquestre mon enfance, Je suis un assassin au cœur dur. Demain sera fait des idées d'aujourd'hui, Le destin est ainsi. Ma pensée ne délivrera pas l'enfance erronée, Et mon adolescence a suivi le chemin que l'on Ne peut effacer. De quoi demain sera fait ? Je suis un assassin au cœur dur.


Cœur déchu L'instant, année, passé, Ouvert passablement. Moment passé, donner Fermer constamment. Couchée sur du papier L'empreinte n'a pas séché, Pour mieux t'absorber Je compte mes déboires, L'instantanéité… Écrit à s'en perdre la tête, Je perds mes vers, les nœuds s'entrechoquent Renaît, sens… On franchira les cieux, Fut, si on le veut, J'en perds mes sens, Renaît vers les nœuds…


Troisième tome

Sommaire L'entretien est jusqu'au bout du monde Tension arcadique L'amour est l'oscillation de la vie Deux fleurs teintées pour l'éternité. Un regard, une envie… L'amour sans effort. Embrasse-moi ou je te déclare la guerre. Absolument… Mes dents firent des coupures (incision dhampirique) Politique morbide, l'amour à causer…


L'entretien est jusqu'au bout du monde. D'où es-tu ? Je suis d'ici, Et, d'ailleurs, on vient de là-bas, Pourquoi ne pas s'y retrouver, Fût-ce possible? L'amour? Pourquoi pas, la vie !! Sans détour, à dix lieues Pourrait-on, si on le veut L'amour possible!! Les questions sont vaines Et le sang, ainsi coule… Ressens-tu dans tes saignées, La chaleur de mes pensées. Fût-ce possible ? L'amour ?


Tension arcadique L'amour mental L'amour menthe à l'eau L'amour menteur La maîtrise du mensonge, L'amour nous veut du bien. Et l'arcane qui dit que, Le mensonge est une subtilité De l'amour. Pensée, ça prend une forme, La forme d'un cœur, peut-être, Avant tout la forme du cœur, Et des sentiments, l'amour, Avant tout… Le secret de l'amour, Est une subtilité de la confiance, La confiance est un mensonge, L'arcane dit que l'amour, Est amour… Le mensonge est une subtilité, De l'arcane… Et l'arcane dit… L'amour est un secret, Qui doit être diffusé À tous ceux qui aiment ou qui ont aimé…


L'amour est l'oscillation de la vie Il a fallu du temps, Pour comprendre l'amour, Autant de temps pour réussir à aimer, Le temps ne naît pas de l'amour, L'amour est né de la vie. La vie est une création De l'amour à pleins poumons. Faire de sa respiration, Un souffle d'éternité, Une éternité d'amour, Est une vie de possibilité. Mais il n’est pas impossible d'aimer, L’amour est dans l'instant. La vie d'une création, C'est un monde de complexité, Où l'amour prend forme, De deux cœurs et d'éternité. Vivre par amour, Et accepter la complexité, C'est comprendre le temps, Et quand on doit aimer. L'amour est amour, Une vie d'associés…


Deux fleurs teintées… pour l'éternité L'amour à deux, Parti pris, chacun son Soi, Et notre lendemain se fait plus beau. Chacun son soi-disant amour, Parce qu'on aime tous différemment, Le parti pris, ce n'est qu'apprécier, Ce que l'autre représente. Matérialiser l'amour, C'est rendre possible, L'irrationalité… de l'idée. Vivre un rêve, porté par la complexité, Du rêve abandonné, L'amour renaît, Sans passer par l'irrationnelle réalité. L'amour se concrétise, La fleur l'incarnera, L'idée sera teintée. L'amour, dit sociétal !!! Parce qu'un regard, un baiser, Un moment d'intimité, échangé, Même sans engagement, aura teinté Votre personnalité…


Un regard, une envie (Dans ses yeux, j'ai vu ma paternité Je me suis permis de la consoler.) Si on associe la vie à l'amour, Et, correctement, rationaliser l'idée, fût-ce possible ? De quoi l'amour est né ? De la vie… Alors pourquoi la vivre, si c'est pour refuser d'aimer… Par vengeance on croit se faire justice, Comme si notre "Soi" nous en voulait, Auriez-vous déjà essayé d'aimer ? Ou seulement avez-vous cru pouvoir posséder, L'amour de votre moitié. Une des subtilités de l'amour, étant de vouloir s'appartenir, Se marier et enfin fonder… S'apprendre et se comprendre, C'est teinter un bout d'éternité. S'appartenir et fonder, c'est marier deux couleurs, Et en faire une éternité. Une éternité d'amour, une vie de possibilités, Comprendre l'amour, c'est essayer d'aimer. S'offrir du temps, pouvoir laisser passer, L'espace se fait, le temps s'allonge, l'amour renaît. Un cœur confond, l'idée précoce du mensonge se faisant sincérité. Alors patience, maîtresse du mensonge, Et sincérité, prêtresse de la vérité. L'idée est intentée, à vous d'en profiter.


L'amour sans effort L'amour universel Ou l'idée d'aimer la raison, Plutôt que de s'abandonner, À la triste réalité. Parfois l'amour se vit seul, C'est pour mieux s'apprendre. Pour mieux se comprendre, Il faut le vivre à deux. La solitude mène à la frustration, Ou l'idée de s'absenter, Un futur esseulé, Un amour stigmatisé... La recherche du bonheur, L'amour est une solution, Ne pas être capable d'aimer, C'est solutionner sa frustration. L'ego est accroché, Chaque moitié sans confondre, Les possibles réalités, Du moins ne s'effondrent. Tout peut être aimé, Tous peuvent être aimés, Peut-être une vérité, Ou juste la réalité.


Embrasse-moi… ou je te déclare la guerre Quand on parle d'amour, Ce n'est pas sans en comprendre le sens, Que de dire: "j'aime", et laisser faire cette idée. L'idée d'aimer, et de croiser son sang, Sans perdre de vue, qu'une histoire renaît, Dire une vérité: "je t'aime", et laisser passer… Juste se confondre, projeter un sentiment, Une onde universelle, pour ainsi contaminer, Un virus ancestral, et pour anecdote, Il n’y a pas d'antidote. L'amour subtil et malicieux, Écrasant la haine et le mépris, Une attitude que la méchanceté, ne peut ignorer. Au fond une flamme brûle, Son gaz est de l'amour, Celui qui tente de la souffler, prend le risque de tous nous tuer…


Absolument… Ça se complique, lorsque l'on aime, On dit qu'on ne compte pas, Mais la vérité est bien moins compliquée, Je vais tenter de l'expliquer, Dans l'absolu… Monde de friction, tentative, distorsion, Et l'abnégation ou faire abstraction, Du vécu, des moments tant attendus, La liberté pour faire l'appointement, Absolument… Sans dire, sans faire d'engagement, Juste rêver, faire du temps, Un absolu d'éternité, un instant décomposé, Et faire de l'espace, une faction, Mobilisé et sans regret… Je dis "amour", Vous dites "éternité", Je répète "amour", Et vous devriez le remarquer, Ces deux mots sont liés, Serait-ce si compliqué, dans l'absolu, De ne pas compter. Une éternité galvaudée… Un mot si long, qu'on ne peut le répéter, Qu'avec sincérité, amour et facilité.


Mes dents firent des coupures (Incision dhampirique) Sans compter sur soi-même, Un amour est impossible, L'amour sans effort, N'est pas certain d'être… Pour une femme, l'amour, doigt tendu, La main prête, scellée par un anneau, D'énergie entrelacée, une communion, Qui sait être… On a associé le mot "mariage", Teinté et fondu, l'anneau n'a pas Deux couleurs, puissent s'aimer ? L'amour ici, je vous l'incombe. Sussiez-vous le faire, la tentative, Est éternelle. Puisque ce mot est devenu Idée, a pris de l'espace et fait son Temps. Fût-ce possible d'être parce que L'amour est ? Une question qui s'envole, une nuit à rêver, Ne pas dormir, est-ce avoir perdu son temps, Le temps de l'idée ayant existé, le souvenir...


Politique morbide, l'amour à causer… L'atmosphère est chargée d'électricité, Autant dire que le temps fait de l'espace. Pour faire de l'espace, il faut du temps, Une surcharge d'énergie. L'amour est ici-bas, une énergie, Que l'on ne connaît guère, Ce n’est pas faute d'avoir fait la guerre, Pour s'apprécier, "la haine" en fut un Dicton, l'amour n'a pas bougé. L'amour guérit, mais ne cause pas la Guerre, Le passé a eu son flot, des Troupes de haine où l'amour était caché. Les souvenirs reviennent, le flot est Incessant, l'esprit s'abreuve comme Des bêtes conscientisées, les raisons Font d'une société, un mal stigmatisé. L'amour en guise de régime, dissocié Mais sociétal, l'amour renaît… Tentez de ne pas tous nous tuer, Une vie de possibilités Plausible réalité.


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