Les Templiers & La Kabbale "Le Temps plié, Cavale"

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Les Templiers & La Kabbale Le Temps pliĂŠ, Cavale


Sommaire : Le Sablier : Deux Guerres, en Guerre Le Grimoire : Canal d'Antan La Clé : Diplôme Divin



Un dhampir de guerre, en guerre.


Sommaire Introduction, décor, paysage, le monde… Pitrerie et pitié, la vie et l'éternité. L'au-delà démystifié. L'amour, boisson alcoolisée… Le repos, le travail, la richesse… Système solaire, l'espace psychologique. Une romance, en vers éternels… Vivre l'onde, sans dire, sans parler… Clause dhampirique, votre décision sera ma signature… L'innérance de la vie. En quête, deux vérités…


Introduction, décor, paysage, le monde

"Un soleil couchant l'aurore, bercé dans les draps du jour, Coucher sur l'oreiller de la nuit."

Si c'est un jour où l'on attend un lendemain, dire que demain arrivera et enfin y être, pour finir par parler d'hier. Le futur est un semblant de passé, copié sur le présent, l'avenir se raccroche au temps, le temps passé. Les souvenirs, les images, l'optique que l'on a d'une représentation passée, une idée conçue et réalisée, basée sur un fait déterminé, fini et terminé. Nous donnent l'envie et l'imagination pour un futur à concevoir, voire à déterminer. Le temps n’est pas construit, puisque nous pensons que l'espace vient du néant, poussant vers l'infini, les heures sont factices, le sablier est vide, vide de temps, ce qui fait de l'espace, ce qui nous donne matière à déterminer de quoi demain sera fait. Le temps est une chimère, un mot falsifié, une idée que l'on ne devrait pas prononcer. S'il faut laisser passer, le temps. Ne devrait-on pas d'abord penser au passé, vivre notre présent, pour préparer notre futur, sans se contraindre à ne voir que notre matérialisme, qui fait de nous des esprits conscients, usés par le temps. En laissant passer les détails, en laissant la réflexion s'immuniser du temps, voir plus loin, et faire d'une antériorité, un présent sans futur. Demain n'a plus de sens, et ainsi, le temps d'aujourd’hui prend


tout son sens, laisse place aux idées d'hier et rationnellement, faire de sa vie, de son temps, un présent pleinement vécu. L'avenir ça s'apprend, le présent se vit, le passé s'entreprend. L'âme fait jonction avec le corps, l'esprit prend le dessus et donne conscience. Ce qui fait de l'inconscient une âme prenant vie. L'esprit attend de vivre le moment présent. Juste s'accorder avec soi-même et vivre sa vie. Un peu de contrôle, choisir quoi faire de sa vie. On n'apprend pas à vivre, on apprend ce qu'est la vie, puis on la vit. Le jeu du temps et de l'amour donne à l'espace la vie. Quand à la réflexion, c'est dans l'instantanéité qu'elle se comprend. Ainsi, la rapidité ralentit et s'accélère à souhait. Comme une oscillation, l'amour prend vie, fait du temps une morsure, cicatrice de l'espace et l'esprit l'envie. Un vent pire, des dents firent saigner au temps jadis, cruel passé ayant fait notre présent. Les mots d'aujourd'hui sont lourds, prononcés gravement, accentués des idées du passé, non pas un patois, mais bien une langue morte que l'on entend que si l'esprit est éveillé. Prononcer des mots avec un souffle d'amour dirigé vers une éternité, c'est comme dire : « je vous aime » et mourir pour la même raison…


Une vie réincarnée

J'ai longtemps cherché à comprendre ce que veut dire ce mot: « vie ». Et aujourd'hui, pour ne pas déranger, j'en dis juste que, plusieurs fois, je l'ai vécue. Sans trop épiloguer, j'explique aujourd'hui ma simple réflexion. A savoir si dans ces lignes vous trouverez une tonalité du passé. Vivre pour mourir et mourir pour vivre, voilà des années de passé. Dans ces mots j'ai commencé la réflexion, et déjà bien avancé puisque j’en arrivais à remarquer cette simple suite logique, toujours recommencée… toute une vie d'éternité. L'amour a pris place sur le fil longtemps dénudé, puis retissé, j'offre aujourd'hui mon sentiment dans des lignes monnayées. Parce que pour vivre l'amour, les sentiments font une moitié, la société veut y gagner l'autre moitié bien évidemment... Trouver l'amour aux confins où il serait caché. Vivre pleinement… et évoluer. Sans une majorité de gens pleinement conscients de ce qu'est l'amour, le monde lui-même ne peut évoluer, et l'univers est grand, plein de prospérité. « Daken's land », ce concept doit être assimilé avec subtilité, et de mon chant vous raisonnerez, savoir que les idées et le chemin ainsi influencés, prendra fin avec votre raison. Toujours une explication puis à vous de décider de quoi votre lendemain sera fait. Maintenant devenus observateurs de l'amour et de quelques unes de ses aspérités, tentons d'expliquer ce qu'est la vie en introduisant la question de l'éternité. Pour ne pas fauter, parfois


la haine peut s'amplifier et provoquer des assauts de gaz d'amour vicié. Et puisque la mort est un recours accommodant, mais aussi redondant, nous devrons tous l'apprendre par une simple réflexion. Comment, en quelques lignes, vous expliquer que la mort ne fige pas ce que le corps ne contrôle pas : la psyché.


Une éternité de réincarnation Qu'est ce donc encore ce mot ! « L'éternité ». D'où vient-il ? Quand a-t-il été inventé ? Ou juste, n'a-t-il jamais été compris, erroné ou mal dit. Il nous concerne tous, et même, il nous est associé. Il faut y voir une profondeur, le prononcer avec intérêt pour pendre conscience de sa juste valeur. L'éternité n'a jamais commencé. C'est en l'apprenant que j'ai commencé à aimer, et en la vivant que j'y ai eu un intérêt. Voilà pourquoi je peux, aujourd'hui, lier mon présent à mon passé. Aussi loin puissiez-vous aller, sans trop déranger et dérogeant aux interdits, s'accorder de vivre et savoir qui on est. La vie éternelle, ce n'est pas ne pas mourir, c'est juste toujours revenir et recommencer. Un dhampir s'en est allé, un damphir a recommencé. L'intonation ayant changé, les intentions sont expliquées. Avec sincérité, conscientiser l'amour pour faire d'une génération, une sphère nouvelle et éternelle. Parce que les idées du passé, les Dieux et leurs associés, ne voulant pas révéler que l'univers leur a donné vie. On crée les religions, un mot toujours prononcé de la même manière, si bien qu'il peut envoûter. Puissions-nous faire de notre millénaire ainsi que de leur éternité un big-bang générationnel pour prouver que l'amour aura raison de leur psyché. Les mots "religion", "secte", et "manipuler", aujourd’hui hui riment avec les idées du divin, "création", "amour", et "éternité". Elles ne seront plus qu'un souvenir, quand le dhampir aura crié. Mon amour n'a jamais existé, puisque moi-même je me le suis laissé voler. Et pour dire et faire croire qu'il a été trouvé par le premier l'ayant


ressenti, une guerre sainte a toujours existé. Seulement aujourd'hui, je pose ma haine sur du papier, entonné d'amour et de sincérité. J'ai maintenu ce feu brûlant pendant tellement d'années, damné par les vampires, refusant de le conscientiser, je saigne encore aujourd'hui les âmes vampirisées. Un devoir que je me suis confié, vider les veines de l'énergie frelatée, la haine sous vide des corps atteints de cécité. Mais parlons plutôt des faits, des fées du temps, de l'effet de leur magie. Des sorcières, des sorts d'hier, si l'air n'est pas vicié. Des créatures, non pas imaginaires, mais des êtres humains atteints de la vie que l'on qualifiera de merveilleuse. Les nymphes et les déesses, tous ces mots existent aussi au masculin. S'endormir, et demain s'ouvrir les yeux écarquillés, se rendre compte que l'ésotérisme n'est pas une pseudoscience, mais que la science est un pseudonyme de l'ésotérisme. Faire un feedback ou un rebirth des années passées, attention la transe ne se maîtrise pas, l'énergie accumulée est pesée précisément. Si vous êtes arrivé jusqu'à ces lignes, vous êtes tout simplement en train de revivre.


Pitrerie et pitié, la vie et l'éternité L'effet de la société, les lois, les interdictions, la démocratie construite par des esprits envoûtés, possédés sans même le savoir, des pantins articulés par des baladins ayant autrefois vécu accrochés au bout de ces mêmes fils. Une hiérarchie angélique, là-haut est en faction, pour moi, demain, ma mort sera une guerre déclarée… Seul, l'esprit accroché, l'âme apprivoisée, la conscience stigmatisée, un chemin personnel fidèle à chacun, un chemin de longue haleine. Et, puisque la mort signe avec un stylo de douleur une couleur sombre difficile à discerner, des contrats falsifiés, de toutes petites lignes que même un rapace ne pourrait déchiffrer. Ce jour viendra où l'employeur, celui qui veut m'acheter, rendre ma vie concise, contrôlée, et conditionnée, je parle bien d'un contrat qui vous est lié, mais qui vous est inconnu simplement parce que vous êtes redescendu lobotomisé par les outils de leurs vérités, réincarné sous conditions. « Liberté, égalité, fraternité », cette formule est pertinente, mais bien vite nous a été volé, alors pour récupérer notre passé, notre présent et pour offrir un avenir à chacun de vous, j'écris l'amour. Je vous le donne en milliers d'exemplaires, monnayés pour pouvoir vivre, recréer avec mes idées, des projets longtemps irréalisables, puisque ici-bas la modernité a un flot très peu irrigué, juste quelques gouttes pour des enfants en mal d'amour, des moutons à saigner. Ça tend vers l'infini, dédié à l'éternité. Satan, vous connaissez, des dieux déjà prononcés… Puissions-nous faire de notre temps, plusieurs vies décomposées, non pas revenir apprendre, toujours recommencer… Les esprits apprendront que le corps, est toujours le même, l'un après l'autre, la vie, le temps ayant fait


des rides, crevasses cicatrisées, lignes gravées, revenir pour préciser que cela ne doit pas être contrôlé, mais apprivoisé. Un vampire a su couper, d'un coup de mâchoires dans l'aspérité, le fil d'amour auquel le divin nous a accrochés, laisse, seul don dont nous avons hérité. Les plus félins, bientôt miauleront pour faire tomber les muselières. Mais qu'est-ce donc que la modernité, un coup d'électricité, le coup rend le jus qu'ont fait trembler les mots accentués, vibration, distorsion, tout ça se mélange. Tu as su crevasser ta peau alors sache boire dans le couloir de la mort, et le matérialisme a commencé, que les sphères divines, vides, se sont côtoyées, comme si une bulle pouvait parler. Comme l'eau et la fée, au début le savaient, que propice et fragile, la bulle devient gélule et coque, titan l'aura sûrement apprivoisée. Bien que ma fébrilité et l'épaisseur de mon papier n'ont qu'un seul sens à donner. Pas loin, pour trouver les entrées, sorti de nulle part, les morts se sont servis, et nous comptent. Depuis le temps a cessé, làhaut ils ne prononcent pas, ils fondent des phrases avec une précision nanomifiée. Que voulez-vous savoir ? Je suis venu vous le dire, je n'attendrai pas que la terre tremble, parce que si elle doit se mettre à parler, ce sera pour tous nous tuer. Petit atome génétiquement modifié, nous sommes à l'ombre du système solaire. Ne surtout pas le déprogrammer, sa vitesse pourrait nous convenir lorsque l'absinthe aura tourné, le sens du vers et attention au sens, le vers pourrait casser. Boire un coup, une vertu qui désinhibe, un aphrodisiaque et sans parler, juste déguster le fruit d'un vieux péché. Je disais que Satan, vers l'infini, voulut aller autrefois, seul et désinhiber dans le sens qu'il voulait, Beaucoup le suivent encore aujourd'hui. De la manière dont les dieux fondent le monde, ainsi tourne la terre, et elle est restée


l'esprit incorrompu qui n'a jamais voulu parler.Faire entendre sa voix, ou bien laisser le temps tenir en respect ceux qui la vivent. La terre. La faire vivre, non... La saccager sans prendre en compte ce qu'elle aurait exigé, l'amour, le temps, l'espace et l'éternité, en somme « la vie ». Il a fallu innover, faire de l'art et avec une création, plagier ses idées, donner un nom pour structurer, faisant tomber l'échafaud du voisin, le premier, le dernier devra succomber. L'imaginaire fait notre intelligibilité, nous n'avons pas créé le jour et la nuit, autant qu'un quelconque esprit pourrait modestement faire croire à l'arrêter. Le temps est une notion fracturée, il faut y voir au minimum, une infinie éternité, ne pas compter mais juste faire perdurer, le temps peut conditionner. Le temps d'une horloge donne du temps au temps absolu, l'argent circoncit et donne de la valeur, la valeur de l'argent a su nous faire perdre la tête, et le temps s'est envolé par la fenêtre, jeté le temps, l'argent l'a remplacé. Et c'est cité … D'où vient cette idée, la monnaie a troué nos poches et semé des pièces, des billets, gravés d'un sceau… approprié. Rachetez les faveurs de cette dame, longtemps elle vous a ignoré, séisme, tremblement, les comptes se sont vidés, pour finir par tuer. Sachons nous cacher en elle, pour mieux la contourner. Ici-bas, le temps semble vide, et vite il va, si bien que l'on croit pouvoir le contrôler, le circoncire avec des idées. Les pires vents ont soufflé, ici bas rien ne résiste, les éléments là-haut persistent si bien que la rapidité s'est accélérée, un corps de chair a stoppé l'onde universelle, l'amour intenté. Autrefois on faisait éclater des bombes d'amour, et, sans faire d'humour, les gaz étaient viciés. Laissées dans l'air et non


répertoriées, des munitions sans détonateur, une respiration trop appuyée, en un clin d'œil peuvent vous massacrer. La haine aujourd'hui a détourné des regards, porté les ondes vers le passé, et l'avenir s'est programmé. Le temps ainsi fait, la peur a recommencé et voici le siècle du passé, exacte continuité. Le sang s'échange dans des poches, sème la confusion, les perfusions sont limitées. La peur du vide, du temps, de l'éternité. Et voici le sens du vers qui n'est pas une finalité, un but est une continuité pour faire du temps, une vie incalculable. Parce que l'amour aura raison de nos calculs, et même imaginé un futur pouvant se terminer. Les rêves sont des idées du passé, le futur viendra nous annoncer qu'hier a recommencé. Demain le noir semblera se terminer, des journées de sens, sentir la nuit tomber. Les vents vont se lever et pire, c'est dans l'air qu'ils firent tomber autrefois la foi du haineux, voulant apprivoiser l'amour, sans aspérité, les dents n'auraient pas cassé. Et pour vous dire qu'aujourd'hui encore je réapprends à aimer, des générations se sont passées, le mot "amour" n'a pas changé. La même sonorité pour dire "éternité", l'amour avec sincérité. C'est dans l'air que l'usure se fait, les dents à l'air pour crier sa joie, ouvrir l'éternité, folle normalité. Accroché dans l'aspérité, durcie par un potentiel de nouveauné, l'amour lance au temps le défi de continuer, et par ses mots, le temps a envié l'amour et décidé maintes fois de ne pas arrêter. Pour arrêter, se séparer, créer dans l'onde une fracture, un cœur brisé, le regard porté vers une autre éternité. L'amour s'est envolé. Le temps a changé, l'amour a révélé une vérité longtemps cachée, un dhampir symbiotique sans antidote, juste un virus caché et donc jamais découvert, trop longtemps apprécié puisque désinhibé, la tête tournée, la morsure a l'air du temps et elle n'a rien changé.


Pour mes contemporains, j'aime et je sèmerai. La mort peut arriver, là-haut la ligne de front m'appelle, besoin d'aide et mes mots vont tuer, me couper les ailes, peu servi, c'est égal à la psyché, tant que je vous dis, je pourrai m'envoler. Un spectre a tant voulu, et arriver l'aile déployée, un phœnix l'a instruit, lui a appris à voler. L'âme humaine dans toute sa splendeur, teintée du merveilleux comme de la réalité, l'animal glorifié. Je ne lis pas l'avenir, je ne porte jamais le regard au-delà du présent, les signes nous sont envoyés par-delà les monts et les vallées. Y prêter attention pour ne pas être surpris, la mort pour notre psyché, n'est pas programmée. Des soldats du régiment de haine, l'infanterie de notre malheur, c'est l'amour qui a commandé, le général Glamour devra succomber, lorsque le mal sera teinté. Les samouraïs, kamikazes de l'éternité ont bien compris comment il faut frapper, subitement, sans trop verser dans la déchéance, se relever. Si, plus loin dans le temps, vous entendez parler de ce commandant, et qu'il a succombé, sachez bien que là-haut la guerre est déclarée. Partir pour se battre, sauver notre éternité. Daken's land qu'est-ce que c'est ? Un noyau qui va étrangler, les mécontents vont trembler quand la terre aura parlé. Tenu au silence, parce que l'inconscient écoute, graver des mots sortis de nulle part, un esprit inconnu, un guerrier. À quelle époque lisez-vous ces lignes ? La guerre a trépassé, sans notre présent, notre avenir a su crier les mots vacants, qui a cru qu'on allait se cacher, l'avenir a déjà tant donné. Emporté par le temps, avec ma gueule d'éternité, je suis le présent, vous êtes mon éternité. Et le passé que j'ai voulu tuer, me dit qu'aujourd'hui, je peux hurler, ma haine a terrifié, et l'amour patenté stigmatise ma


renommée. Je suis, le temps de dire que mon passé, mon présent et mon avenir, devront se retrouver, morts pour l'éternité… Une guerre psychologique a déjà commencé, je suis là pour l'éternité, silencieux mais conscientisé, mes mots en guise de contrat falsifié. Une sphère nouvelle à ériger, et d'autres sphères à côtoyer, l'âme out, l'esprit est entré, les réincarnations seront lucides, et limpide sera le flux. L'amour à l'arraché. Le temps présent se fera avec le passé, et l'avenir écoutera pour nous rendre notre divin. Le subconscient devra nous dire, que le génie se cache parce que l'avenir est incertain. Une guerre sainte, une guerre psychologique, l'atome aura raison de la réalité, et le matérialisme réapparaîtra sous des auspices d'universalité. Des guerres pour l'être humain, pour la terre et notre devenir. Construire sur une base, nul est l'air du temps, nul est la composition. On parle de l'univers et vous vivez votre système solaire. Demain la peur vous figera dans vos blockhaus de pierre, sous-sol et tombe de votre esprit. Déserteur de première catégorie. Élite, mascarade et pitrerie. 12 – 09 – 09 12h.40 L'amour attend, chercher l'hameçon tandis que le chasseur attend sa proie… Mourir pour un peu de bonheur, sa muse est conditionnée, l'amour devient l'éternité. Une chasse bien gardée. Les rabatteurs ont su trouver la coupe et l'eau de vérité, l'ont reportée à celui qui, il y a des années, l’avait cachée, pour renommer, mettre l'accent sur leur avenir. Ne pas dire de mots galvaudés, c'est tuer le passé, un chant très singulier.


Des prairies verdoyantes, des montagnes et des vallées, du désert au sol sec, et des sources avalées, sans trop chercher d'où vient le flux, juste ce qu'il contient, avec l'abstrait venant des confins, boire une goutte de temps et tenir l'éternité. Dans nos mains l'espace à peser, le fond et les aspérités, une fraction de seconde, à glorifier. Notre temps a su donner, donnant, donnant, c'est s'arranger et les confins viendront chanter notre amour, notre avenir, notre éternité. Se trouver une place, pousser les affaires de deux voisins, s'y installer et sans trop regarder, juste se faire teinter, pour mieux dégrader, il faut deux couleurs, « elle » l'aura demandé. L'aura d'une couleur d'éternité, du vécu de son passé, de son avenir faisant sa prestance, et de son charisme ayant été conscientisé. L'amour est un mot subtil et plein de vérité. Mal dit ou bien ressenti, il existe encore des gens semant des cailloux sur leur chemin, l'inconscient fonctionnant les yeux fermés, portant sur vos pieds parfois plus d'un baiser. L'amour latent. Jet de pierre et ricochet, onde nouvelle qu'a coulé l'étang de vérité. Source nouvelle, profondément encrée, c'est dans la terre qu'elle va puiser. Ses hommes et leur passé ont su capitaliser, pour faire de demain un futur, et ma triste vérité, l'élite tonique a redoublé de travail pour finaliser un lendemain stigmatisé. À Dieu est votre volonté, à rien vous ne céderez, un avenir bien volontiers… Aux enfants du passé voulant éclairer leur devenir, pourquoi ne pas pousser la porte du désir, l'amour mystifié.


C'est en prenant devant la porte une rose, et en accrochant votre cœur avec votre cavalière, que vous saurez vous amuser, les muses ont tâtonné. L'époque où le son se murmurait a laissé la place aux cris des muses électrifiées. Tant est la surdité, tel est le peuple, les litres de boisson, le chauffage du gosier. Écrié pendant tant d'années, croyant de l'abstrait une onde mal conditionnée faisant du monde une pyramide, un échiquier, que vous croyez. Sans notre amour vous n'existez, pas de destin, même pas repeuplé, sans vous dire la fin, vous trépasserez. Simplement faites de notre avenir, enceinte, la terre, mon devenir. 12 – 09 – 09 17h.05


L'au-delà démystifié Puisque la vie a commencé par l'eau, delà les mers, les montagnes et les vallées. Des Dieux si vieux qu'on a oublié de les appeler, je parle du vent, du feu, de la terre, et c'est coulé par l'eau que ça a commencer. Comme faire du café lorsque l'on reçoit un bienaimé… boire et sentir les pensées. Ces Dieux-là n'ont jamais dit que d'autres allaient arriver, on a juste modifié et structuré, des points d'eau se sont vus appropriés par des esprits, déesse et beauté voulant boire la pureté en sachant qu'il fallait s'y tremper, se tromper de sens, la dame de l'eau, delà les mers, les montagnes et les vallées. L'esprit du vent me l'a soufflé, et brûle encore la bougie de nos soirées, le feu attend et s'éteint après avoir pleuré. Baiser de l'amouré… On parle d'elle souvent, et pour cause, elle m'a élevé, les pieds sur terre, là-haut, la première fois, j'ai trébuché. Ainsi j'ai vu ma première fée, déesse ensorcelée, fait de tendresse, ma cajolée, avec richesse suis reparti. L'au-delà est sans répit, les pauses cigarettes fument mon devenir… Au-delà du monde, des mères, des pères, des nouveaux-nés. Je suis mort avant d'être né, mon avenir, mon associé. La sphère d'intimité, la bulle personnelle attend d'être soupçonnée pour faire sentir sa rondeur, et elle peut tuer, un coup d'électricité. 13 – 09 – 09 0h37 Imaginer ce n’est pas vraiment la réalité. Le réel se base sur l’imaginaire et se créé une idée, concrétise une réalité. La base étant abstraite, certaines idées plus associées au monde


deviennent légendes, mythes ou réalité. L’au-delà est mystifié. Peut-être une relecture et associer l’idée, en deux lignes ce serait vous répéter, l’amour, la vie et l’éternité que les mondes de l’au-delà nous sont ouverts, que la société nous a conditionnés à fermer les barrières et que la richesse nous circoncit. Un bout de papier peut-t-il couper une envie ? Parce que ça a commencé ainsi, voulant s’approprier le monde, créer un moyen de pression, pouvant être contrôlé au centime près. Le temps du sang, des millions de morts, pour quelle raison ? Pour mieux vous conditionner. Sans provisions vous avez cédé, êtes retourné au front, coincé, abruti, lobotomisé, soit mort pour leur éternité. Le vers a cent sens et écrit avec mon sang, le sang du vers a servi puis va tuer parce que toxique le vers assied. Sied bien sur votre vert gazon, le mien pousse vert, l’éternité… Démystifier un mythe, une légende, une réalité pour en parler il faut se voir, s’écouter, apprendre de quelqu’un qui sait. Un mythe c’est une vieille histoire que certains ne veulent plus entendre, pleine de mites et parfois viciée, faire de l’air, le temps d’ouvrir son cœur pour un problème du passé. Résoudre avec le temps et son subjonctif, la patience, des solutions à portée d’idées. Au-delà des mensonges, d'autres ont su dire avec le cœur et ça a payé. La richesse du cœur, ne tarit jamais. Avoir concrétisé l'idée de l’argent, nous demande de donner notre temps, et avoir passé l’idée de la richesse sans avoir donné du temps, un gros problème, devoir payer. L’état du temps, un jeu de société. Refermez ce livre et vous succomberez au temps, mon associé. Mourir au cas où tu penses en avoir dit assez, revenir quand le temps sera passé, l’état du temps fait de l’être humain un rien,


j’y reviendrai. A temps j’y reviens et avec des tas de gens éliminés, parce que le temps de mourir n’est rien, c’est juste au temps de décider quoi faire de son art, légende du passé, aujourd’hui démystifié. Si je m’y prends si bas, des coups dedans l’aspérité des mots bien employés et vous verrez chacun à sa place, son mot à dire vrai, certains devront être réemployés. L’au-delà, nous le cheminerons tous ensemble, pour une seule et même vérité, si ce n’est pas le cas je m’effacerai, laissant place à des maux, que vous ne saurez guérir. Autant le vent porte que l’argent est abstrait. Dans le noir ou sur votre trône l’abri de votre peur, camisolée… Les crises du temps, son caractère, des vers gondolés. Je n’ai plus de temps puisque l’avenir a tenté de me tuer, un signe que j’attendais… Le cygne des lacs a entonné le chant des morts, parce que trop de morts, une sphère nouvelle a commencé. Il m’a pincé si fort que j’ai failli le tuer, la dame du lac a retenti, une claque que j’apprécie. De ne pas l’avoir tué, signe de renouveau, la dame m’a remercié… peut être a-t-il compris que mon cygne attend, donnez de l’amour et une place se fait, il fait du temps une onde romanesque, et laisse à son cou la longueur qu’il faut, tourner l’amour sur l’onde de l’eau, signe à vent coureur d’une guerre psychologique. L'au- delà stagne depuis des années, nous renvoie par milliers tarissant le flot de nouveaux nés, l’avant guerre, ne voulant pas leur dire que les stigmates ne cicatrisent que si l’on dit « paré pour l’éternité ». Des générations d’indigosité, fête troublante, psychose engendrée, cécité terrifiante. Les préparatifs vont bon train, Daken‘s land… et la guerre changera de signification quand vous aurez appris à mourir par amour, les douleurs sont momentanées et pour faire mal en amoindrissant les douleurs il suffit de… Ne voulez vous pas être payé pour mourir d’amour et recommencer à aimer ?


Au-delà des mythes, se fier à celui qui sait. Un tour loupé, que dis-je, autant dire que l’acte se fait avec l’intention insufflée, et j’ai toujours aimé, pour dire que la mort a su m’ouvrir, autant de cœurs ont su souffrir. L’amour a l'arraché. 13-09-09 18h08 L’au-delà, je le vis tous les jours, chaque seconde est une éternité, pas d’heure, pas de calendrier. Et quand j’ouvre les yeux l’horloge sonne, leur temps là-haut est un conditionnel de notre passé, une parallèle, un sens donné… La mort fait passer par ses portes personnelles dans une sphère passée sans sonner. Les cris stridents et les chants singuliers sont le pignon de l‘éternité. Le sansonnet, petit oiseau réputé pour sa chair et tendre l’amuse-bouche, "elle" va regarder et son impression va tant donner, votre vie va succomber, son amour va l’arracher, le petit oiseau s’est arrêté de siffler, la pie l’a entonné. À la croisée des chemins, je me suis arrêté, une fois, la première pour écouter. La pie sans eau, delà les cimes va s’envoler, va porter son cri jusqu’au lac, les cygnes laissant couler l’eau, delà qu'elle pêche un homme aura tiré, et l’eau depuis tout ce temps, la pie l’a volée, au-delà des cimes où l’on s’est arrêté. Le sens donné et puis l‘au-delà, les signes du passé. 14-09-09 23h35 Pour appuyer une dernière fois sur l’au-delà, faire descendre la salive à ceux qui croient gagner la guerre avec un chapelet, une gousse d’ail et pour seule croyance leur « MOI » tout entier.


Seulement le monde et son universalité, boire au cou de son adorée et voler le temps et sa popularité. Redonner le blason, poser l’épée, ce sera aux temps indulgents de décider. Autrefois les gens durent imposer leurs volontés, fini le temps, dégivré le présent et passé la main, ne plus miser sur les livres. Gris ? Moi ? Reposés les sons, vont virevolter sur la cadence des troupes de haine, et des sommes font des lois, c’est pour cela que la pie, dit-on, chante encore au bruit des vagues..., feront de vos contes une histoire. Votre hantise, et, mon amour pour vous, ma hantise de vous voir mourir. Vous êtes entré sans un sou pour payer le passeur et le sens a sonné… L’au-delà vous attend, illumine, attise votre volonté. 14-09-09 0h25 L’attention que j’accorde au monde, prospère est ma solitude, ma tension exulte, demain ma mémoire et ma frénésie vont saturer. Jets de pierres et ricochets, ma main sent le caillou messager glisser, la trajectoire est assurée. L’au-delà est abandonné, trouble passé dans les têtes, et schizophrénie symptôme de la cécité. Prise de conscience, nicotine et alcool font un mélange, une soupe d’amour un peu trop épicée à mon goût l‘amour doit picoter, non pas enflammer sinon s’éteint toute la saveur. Le gout amer de l’eau sans vie ici-bas, sans eau, sans amour… L’amour a des collets, que l’au-delà a tenté de décupler. Ce ne serait pas dire maîtriser, comme déplacer un nid, l’oiseau reconstruira ailleurs sa portée et son rayon… Ici-bas, l’amour a tant donné, que l’homme n’a su qu’en tirer, désespéré, des tonnes de viscères sur les plages, des chemins escarpés.


À la croisée des chemins était postée patience, mère de sûreté... Aujourd’hui les regards s’estompent, un vide plein de haine que l’amour peut remplacer. Les âmes vont saccager le bonheur dont dépendent les gouvernances. C’est un amour à sens unique que l’attention a commandé, sans même avoir à remplacer la haine, la patience d’hier déterminée. L’amour n’a qu’un sens, celui de dire et de n’attendre en retour que, l’impression caractérisée. Même l’éternelle renaissance mise en œuvre est structurée dans l’au-delà, il y a des failles comme sur une toile, interconnectées, sélectionnées, triées, citées. Car chaude est l’atmosphère, la bombe a transité. La sphère d’amour là-bas quand l’onde aura tué, et leur place sans confondre la nécessité et l’utilité d’une divinité en chacun de nous la lumière des temps passés. Une sphère dame du temps, déesse de la terre et l’on devra bâtir, fût-ce l'éden de leur passé ?


L’amour boisson alcoolisée L’absinthe est un péché, un trop plein à supporter. Les frontières font du monde, de l’export à supporter, un trou dans les comptes, les intermédiaires assaisonnés, une facture ! Qui va payer ? Celui qui a l’argent ou les pauvres des quartiers. L’amour à sang, tu as su détruire pour mieux dormir, sache te réveiller de l’éther de Morphée. La vie d’un condamné… boire un coup à la santé d’une élite, un verre de trop et finir au but, à la finalité. Un verre d’amour et sans forcer, brûler l’impensable un mot mis seulement avec le ton… L’absinthe, l’alcool à bruler, l’accident d’un condamné. 15-09-09 19h30 Le rhum antique, l’amour versé, la goutte à ne pas dilapider… ou bien l'absinthe pour qui supportera la vitesse. La terre tourne et le système suit … Mourir peut être un combat pour celui qui n’a su vivre que de la misère des autres. L’alcool ne résout pas les problèmes et l’amour… une boisson ou une épice, un sentiment, un mot. Avec précision et à n’utiliser seulement que quand le besoin a demandé. Et sa source (l’amour) ne rit pas, elle a l’humour matraqueur. À notre époque, sérieuse, consciente, la vie et la source ont cheminé. Je fume du tabac comme le sage fumant ses souvenirs, mes cigarettes sont du temps conditionné avec de l’air de mes souvenirs et j’en crèverai. Mon eau est alcoolisée, tremper ses lèvres dans mes réserves, voler une barrique d’éternité, mon alambic a tant versé, pour


vous tous un verre d’éternité… breuvage de palefrenier. Au fond de mon jardin, à coté du lilas, lire les feuilles cornées, mon destrier, mon associé. Devant mon portail, ne vous fiez pas à sa taille, il aboie pour dispatcher, une caresse, un cou, les pattes d’un boulonnais. Carré, son temps est massacré, l’amour que je lui ai donné, et sa morsure, broie la branche du charme d’à coté, un chien fidèle et apprivoisé. Son nom est « patenté ». Au-dessus de mon territoire, traverse une route de migration des cygnes, pies, pigeons, chouettes et hirondelles. Les oiseaux du monde s’abreuvent parfois dans le bac du destrier. Le chien a vu et aboie son envie, je sors lui tarifé, parce qu’un chien de garde a besoin de rapporter, … son devoir, fidèle à son maître. Je salue le cerf à la lisière de la forêt. Le vent se lève annonçant la pluie, mes réserves conditionnées, mes fleurs vont ouvrir les pages de ma destinée. Je bois au cou de « destinée », imbibée d’absinthe, couchée sur le lit du rire, elle rêve, bientôt le sommeil va l’emporter. L’inconscience de sa venue, le droit de la tuer, je saigne à mon poignet, la porte de son temps à venir. Un dhampir est condamné… Mon jardin a tout autour une barrière électrifiée, des fleurs d’amour, des roses noires chères à mon cœur, ma production est précisée, le mérite à vous donner. De milles branches coupées et bouturées, des familles de rosacées, deux espèces de type inconnu "la Rofanne et la Péclot", font une rose à sens caché « la Blackout ». Avec amour, sa variété est « Lord Daken », au féminin l’année prochaine j’espère pouvoir y mettre un nom. Mon verger un peu plus loin, m’assure des desserts à la pomme, au citron, poire et oranges, d’autres ont pour fonction de sécuriser la récolte, mais reste leur goût sélection du passé : les champignons, les truffes... Ainsi mon territoire abandonné, la nuit, seul, les bêtes


s’endorment au son du râle du dhampir, effet miné. L’aurore se lève toujours lorsque la nuit a fatigué le temps, lorsque la lumière…, l’esprit ouvre les volets. De cent mille éclats…, brûle mon déjeuner. Le café frais, la cigarette au bec, je siffle l’air de l‘oiseau d’à coté. La fenêtre que j’ouvre sans faire tomber le pot de destinée, sans réveiller la chauve souris venant de se poser. Une dernière gorgée, le temps de saigner l’air…, l’oiseau a picoré. Ce jour est un repos, ce soir je reçois au dîner. Le temps que j’ai à donner. Au menu, une recette que j’espère vous garderez et parce que des enfants sont à la table, une carte, convié au repas comme des consciences plusieurs fois recommencées. La simplicité fond dans l’assiette des gourmets, et quand je cuisine, ils ont pris l’apéritif comme un dîner, tant pis, les grands joueront à la table de la gaieté. Champagne, vin du « mont perdu ». Eau de la source « tarifaire » et digestif, whisky dont je ne citerai pas l’âge (peut-être n’étiez-vous pas né). Le poids, son arête, la colonne servant à fabriquer la sauce, broyée, filtrée après avoir macéré dans un breuvage, quenelle de saumon, brochette de vérité. L’agneau cuisant dans le four, ma bonté l’arrose, la peau va griller. Les légumes, assermentés, les pommes de terre, les carottes du jardin, bien garder… l‘appétit vient en mangeant…


Le repos, le travail, la richesse

Depuis que tout a commencé, le repos fait des temps modernes, une magie, merveille du passé. Les sorts d’hier et les amitiés, les liens du temps et le temps va réconcilier. Les vampires seront tués, pour ceux qui choisiront d’aimer, dire au lieu de manipuler la mort, les dents leur seront aiguisées. Le temps dedans, la mort aussi, et les dieux devront ignorer leurs anciennes coutumes, se faire proclamer divinité. Un travail, un devoir que l’on se fait, diriger le monde est là son utilité. Devient-on puissant parce qu’on sectarise une idée ? La puissance est faite du temps que l’on a donné. Certains le savent parce qu’ils ont vécu le matérialisme, d’autres l’ont vécu et ne l'ont jamais fait savoir. Pourtant, je sais que ceuxlà nous aiment pour l’éternité. Pour cela apprivoiser, prendre la parole, se concrétiser, non pas pour recruter mais pour dire à tout le monde, que l’au-delà a transité. Mon cygne vient de passer, sans bruit, juste sur l’eau… Déjà le poulain veut arriver ! Cette nuit, blanche, une bougie brûlera pour l’éternité. Un étalon tant attendu, un travail va commencer. Une soirée où Patenté va surveiller les loups, la forêt et gare aux cons et aux inconscients avec de mauvaises idées. J’explique pourquoi « repos » se trouve avant travail et richesse suit. Le chemin que vous devriez essayer. En montagne, un tour, un col, on redescend dans la vallée. Pas de refuge pour l’esprit, seul le corps est une barrière. Pour certaines choses, il faut revenir et expliquer du début, les fonctions, les motivations, l’inspiration d’un nouveau-né. Mon cheval fera les labours de notre temps, je sèmerai son


travail une fois par an. Mon repos me donne envie de travailler. La société a dysfonctionnement. 17-09-09

20h00

Hier soir en gravant ce point, j’ai pris un licol, celui de celle que je n’ai jamais monté. Elle lit et corne les pages de mon haras. Deux mules à posséder et il a tiré toute la nuit, pas le temps d’en disposer. Au petit matin, il a voulu voir et boire un coup et même dispatcher. Il est venu de ma belle « Ehtemps », il va structurer. Au repas veillé, une bouteille m’a été offerte. Pour servir la belle, nos muses ont consommé du vin tiré, vous dire l’année, après l’avant Jésus Christ. De sang est cette année, l’étiquette presque illisible marquée des siècles, frappée à chaque nouvel état. Je ne vous écris, que les deux millénaires ainsi que du siècle m‘ayant le plus marqué. C’est en même temps ce que la belle a distingué. La provenance que j’ai rajouté, un vin, mon foie très distingué… 18-09-09 19h37 C’est une histoire pour faire rêver, complètement absurde mais pleine de vérité. L’abstrait faisant du temps, une concrétisation de mes idées. Voir ici le pouvoir de la pensée créatrice et de ses réalisations, concrétisé mon irrationnelle réalité. Et demain sera fait. Mon idée de boire au cou de la société, presque parfaite, puisque l’amour s’apprivoise et la haine se laisse, au chenil les chiens du mauvais. À sortir qu’en cas d’extrême nécessité. Pour cela, j’ai tué le premier chiot du père devant ses yeux vides, pour lire dans ses entrailles sa destinée. Il ne baisse pas pour autant le regard, je ne l’ai jamais frappé. Mais chaque fois


que je renifle son passage, je sens qu’il sait que son dernier voyage sera vers ma propriété. Il y a bien longtemps, il s’est sauvé… Je ne cours pas après, je lis dans mon journal par où il est passé. Je me demande même s’il a bien compris que son devoir est de rabattre vers moi le sanglier. Encore cette année pas un seul tué, monts de carcasses découvertes… Peut-être j’aurai dû cacher son fils, lui faire croire que la mort l’avait trompé. Si un jour vous entendez dire qu’un homme dans sa bonté recueillit un chien errant, noir de toute beauté, l’apprivoisant croyant lui donner une nouvelle vie à ses côtés, sachez bien qu’un compagnon chien, chat, oiseau, reptile, un associé, sa peur est de ne pas se faire aimer, son devoir… ses associés. Nous avons tort de monnayer, tout est histoire de choses passées. Tant que la cécité aura raison de nos psychés, l’argent trempera dans le chaudron et vous boirez de l’eau argentée. Le temps et les sociétés, les dirigeants veulent nous contrôler, ficher, trier, conditionner. Nous sommes libres de faire ce qu’ils veulent, notre libre arbitre va bientôt nous être volé… une guerre psychologique. Et ce livre aura tenté de nous sauver. Je mourrai mais je reviendrai, si le travail n’est pas terminé, pour l’amour et pour l’éternité. À votre santé 18-09-09 20h08


Système solaire L’espace psychologique Faire de la place, une nouvelle sphère comme dans un aquarium et, parce que c’est vrai que le luxe c’est l’espace. Pour cela, nous voilà à l’aube d’un nouveau cycle. Je veux faire de mon temps un futur à partager, répartir les richesses. L’objectif est clair et parce qu’un but ne doit pas avoir de finalité mais une continuité, toujours avoir dans l’idée que quand l’espace se fait … le temps s’allonge. Comme certains sont aliénés, mon détonateur kamikaze, bombe humaine, fiole de cyanure et sabre font de mes artifices… Je suis un magicien ailé. Dhampir à ne pas tenter, dingue, schizophrène, douleur réincarnée. J’ai vu passer la mort et j’ai compté sa rapidité d’exécution tant elle croyait me faire souffrir. La corde n’a pas eu raison, le couteau a trop glissé, l’air s’est envolé, seule la lame de l’amour peut me tuer. Je vous le donne en mille, ma hantise est mon amour pour vous. Aimez-vous et donnez au monde un peu de votre temps, chacun de votre côté, psychose et névrose ne sont que des mots de condition, vous êtes bien plus qu’un patient illuminé. Des hommes, des femmes, êtres humains... c ‘est voir le temps passé. Les sphères sont grandes comme les temps donnés. Chaque siècle part côtoyer les millénaires, un potentiel que je vous conte ici sous forme de récit, romanesque. Des idées que je soupçonne ou que l’on me donne, présents d’éternité. J’aimerai tous leur faire une place mais parce que le millénaire a commencé et qu’il m’en faudrait deux pour que vous distinguiez Jésus Christ.


Il vous dirait sûrement que lui-même attend que je meure pour divaguer autour d’un Cabernet. 18-09-09 21 h00 L’universalité. Le temps de distinguer les différentes facettes du monde et donc de l’univers dans toute sa complexité. Le temps et les multitudes d’aspérités qui font du monde un espace psychologique, philosophie de la psyché. Alors philosophie et questions existentielles, propres à chacun, dites d’un sens ou d’un autre, on se retrouve tous au même croisement, peut-être pas au même moment mais ce croisement, ce chemin sans nom, sans panneau indicateur, c’est un choix qui est proposé à votre conscience. Il faudra y voir les signes pour distinguer les sens parce qu’ici pas de points cardinaux, des routes vers l’éternel, je ne vous parle pas non plus d’horizon sauf en regardant derrière vous, peut-être la verticale de votre passé. 20-09-09 19h06


Une romance en vers, éternelle L’éther, l’envers de notre sphère… la terre sphère matérialiste, l’endroit de notre présent. L’éternelle réalité qu’est l’éther, le papier calque de nos consciences, que l’on appelle l’inconscient collectif parce que la première vision est l’oreille attentive. On y distingue qu’une impression de pleine conscience et c’est en l’apprenant que viennent les idées, la capsule capitonnée. Un verre et glou… Une gorgée pour la contenance… Un vers de papier, à l’encre déposée. Dans l’éther nul ne disparaît, mais prend vie, concrétise ses idées venant d’une irrationnelle réalité. L’éther a discerné. Un vers datant, un vers qui console, donne de la contenance et la conscience, somnole. Ce vers, j’ai mis du temps pour le produire. J’en déguste aujourd’hui les récoltes fermentées. Des tartes alcoolisées au jus d’orange fermenté, l’acide pressurisé, production limitée puisque mes animaux raffolent de fruits à l’âme hantée. Mon thé est aussi bon que mon café, à vrai dire c’est un effet miné. Mon thé à la rose, breuvage couleur sombre comme si la plomberie avait lâché. Mais les pétales de couleur veloutés font une osmose entre l’œil et l’aspérité, à boire tiède au risque de brûler votre âme et de prendre sur les genoux votre prochaine tasse de thé. L’éther et les sens font notre matérialisme. Alors boire un vin me semble-t-il, fait du raisin, une réaction chimique et bien pire. Les sens sont en action. Bientôt les ressources tariront et nous brûlerons le reste des gaz. Seuls la chaleur, le vent, au rythme des marées... Toute chose a une essence. Chaque essence n’a pas pour effet l’explosion. Mais l’explosion des sens est un effet miné.


« Elle » est un côté, de l’autre, l’effet miné. Elle ascensionné. C ‘est un sens à sens caché. La femme a depuis toujours regardé l’homme à ses pieds, même si certains l’ont congédiée… peut-être pour la protéger, l’homme est bon et il vrai qu’en regardant le monde, l’histoire et notre passé on serait, je pense, tous capable de mourir pour « Elle » tant qu’elle a de l’amour à nous donner. Mielleuse contribution, juste un vers provenant de ma ruche, un peu plus bas dans la vallée, des champs, des fleurs où mes sens ont explosés. 20-09-09

16h53


Vivre l’onde, sans dire sans parler …

Clause dhampirique, Votre décision sera ma signature


Un dhampir s’est écrié : Pour l’amour… Pour l’éternité. A retenti, seulement la nuit parce que sa peau est malade, ses yeux sont fragiles. Il a dû mourir parfois parce que le matérialisme et les époques différentes crucifient certains projets. Non pas que les idées dhampiriques soient manichéennes mais justement pour incomber une vérité, un vampire ancestral, une dent contre l’humanité. Un vampire conscient ou pas de son état, manipule les psychés. Un dhampir ayant pioché dans les cœurs vampiristes… Le damphir est revenu rendre le précieux au divin. Mais il continue à tuer ceux qui soufflent sur les braises de la haine. Multiple choix incident, et une seule solution déterminante : L’amour éternel ! Cette anecdote du vampire bon dans sa bienséance, du rire jusqu’aux larmes, une morsure qui tue mais pour l’éternel, il devra solutionner sa frustration, faire de son état une condition, non pas faire abstraction du matérialisme mais regarder son reflet et se dire que l’invisible miroir l‘a sûrement déjà tué. Le mou du chat, volé. Les dents sont pointues, plus ou moins, arrondies ou cassées. Là on dit que le vampire est sujet à une antériorité, tout jeune et il devra apprendre ou bien se cacher. Toujours est-il que le vampirisme a eu raison de l’être humain, bien avant que les corps ne sortent des cercueils. Pourquoi aurait-on dit « la mort court vite ». De toute façon les dhampirs ont su courir après la mort, si vite que le feu ne savait plus quoi crépiter. On a dû l’éteindre au cas où, des flammes, serait sorti le mal personnifié. Et l’attente fut longue, il ne s’est pas montré. On aurait brûlé nos abattements qu’il nous aurait ri au nez. Alors revoilà une époque où le vampirisme doit être apprivoisé par ceux qui savent le vivre et le conditionner, du temps dans des sacs


d’aspérité, ficelé avec nos souvenirs que nous seuls pouvons couper. Les chevaliers du ciel, les dhampirs de l’éternel, notre terre ascensionnée. 24-09-09

17h55


L’inhérence de la vie L’inhérence de la vie serait une idée mensongère ? Disons que la vie est encore un doute, que le néant fait peur et que lever les yeux au ciel donnerait envie de vivre. Mourir pour l’éternité. La vie est elle-même, la vie se doit d’être le monde, ainsi la terre tourne. Tuez dans l’œuf l’idée d’un être cloné parce que ce même esprit tuera son associé, ainsi que son reflet, pour servir le mal et faire du monde des êtres dérangés. Psyché caduque comme un vélo à roues carrées. Asseyez-vous et appuyez sur les pédales de l’an « tité » vous comprendrez qu’il est possible d’avancer, seulement vous devrez boire toutes les réserves et pire, conditionner le soleil en faire une bulle pressurisée. Allons nous voguerons vers d’autres lieux, d’autres universalités. La terre ne doit pas disparaître ce sont des énergies renouvelables qui lui procureront son avenir. Et ses nerfs, fossiles, gisements, se renouvelleront quand la Terre sera source bien gardée, capitale de l’être humain et des vampires au sang contaminé. La mouche vous est associée aussi. 24-09-09

18h10


En quête, deux vérités Je vous parlais un peu plus en arrière, de psychologie, philosophie en rapport avec une continuité, but ou objectif. Suite logique qu’a été l’an « tité », la Daken’s land remise au goût du jour avec de nouvelles auspices d’universalité. Je vous ai conté ici ce que le dhampirisme apporte, combattant les mauvaises idées, les injonctions du présent, faisant de la cécité un éveil sans brutalité. Dans le rêve des pensées d’avenir et dans l’imaginaire un passé constructif. Pourquoi deux frères (Abel et Caïn) venus du néant, ou un couple féérique (Ève et Adam) même dans l’éther n’auraient pas supporté ou copulé, ne se seraient pas entretués, saignés sur leurs propres terres ou bien fondés par une alchimie de sentiments. Les religions n’ont jamais eu pour but dans une continuité ou une finalité d’éveiller les consciences, puis les esprits. Rendezvous compte que mes états leur ont laissé la place et qu’elles font des mondes avec des auspices d’invalidité, un syndrome de notre universalité. Il n’est pas envisageable d’enterrer notre passé. Ce serait oublier qui nous sommes. Des guerriers, des combattants marchant, guidés par leur amour, des dhampirs contés ici même sur des lignes en guise de vertuosité. Nous entonnerons l’an « vers » avec des cris de papier fébrile et coupant, incisifs mais précis, parce que vos endroits devront être mieux observés, retravaillés et surtout appréciés. Intéressez-vous, aimez-vous, comprenez-vous. L’amour universel permet la vie éternelle. Ceci ne m’appartient pas. Je conte juste deux vérités que j’ai constatées…



Le Grimoire Canal d'antan


Sommaire Un dhampir, un sens caché Des dhampirs, comme une hôte, terre Le vol d’une déesse, elle m’attend, donner du temps Les étoiles de la guerre


Un dhampir, un sens caché… Si cent sens, cent six sangs, sans circoncire et un seul sang, faisaient un sens caché. Un dhampir sachant donner les sens, à qui voudra ressentir les essences vampiriques, sans avoir peur. Juste pour vivre non pas l’éternité mais pour l’instant la fin d’un monde qui s’est composé de simplicité accompagné par sa cécité. L’éternelle complicité. Les vampires sociopathes, fascinés par leurs états, apparentent bonté et manichéenne psyché suçant les énergies et forçant l’esprit à s’accrocher, serrant les dents ou croquant les aspérités. Boire une coupe de sang et sentir couler une vie abandonnée. Un choix désobligeant et obligatoirement devoir vider le corps de son énergie à ne plus savoir qu’en faire, croire en son pouvoir, et pouvoir donner de l'importance, l'importance de son pouvoir, une illusion propre au vampirisme. Croire que son charisme atteint des sommets, alors que l’abysse rappelle à son fond. Les dhampirs gardant les fonds jusqu’aux sommets, que vous croyez voir une fin, d’un côté ou de l’autre, la chasse s’est terminée lorsque vous avez pris conscience de votre bienséance. Ne restent que les sangs sachant évoluer mais vampirisés, vous vous apercevrez bien vite qu’une chaîne a investi votre esprit. Et accrochez-vous, incarnez la morsure du temps qui passe. Un râle retentira et bien vite les ennuis se feront plus menaçants que jamais. Comme coincé par une force invisible, se rendre compte que l’au-delà a transité. Le dhampirisme pour guider les vampires et pour ne pas fauter car les prises de conscience relevant d’une éphémère réalité pouvant pousser vers une fin


tristement redondante. Ne pas en finir juste parce que l’on s’aperçoit que l’on ne contrôle rien et que personne ne le peut sauf évidemment l’aspérité, les lois cosmiques, l’univers. Les sociétés changeront, notre universalité s’imposera sans même devoir se battre contre des forces infiniment puissantes. Un sens caché ! Ni l'homme, ni la science n’auront raison d’un sens n’ayant jamais existé, l‘omniscience est un sens à bande donnée, les yeux bandés, les oreilles bouchées, la bouche fermée, il y a encore possibilité de s’exprimer. Seulement l’esprit ne peut être contrôlé. Pas même par une machine servant les ondes, les ondes ne choquent pas, l’électricité est universelle et les ondes, les vibrations, vont et viennent sans début sans fin. Le libre arbitre ne sert à rien. Je m’explique. Personne ne s’appartient et vous n’appartenez à personne, s’en remettre à quelqu’un c’est lâcher sa vie, c’est décider de laisser un autre entreprendre pour vous, comme si l’être humain n’était pas doté de l’intelligence. La lâcheté qu’engendre une religion et votre libre arbitre ne sert plus à rien. Quand bien même l’athéisme serait votre condition, votre seule liberté serait de pouvoir disposer… Le libre arbitre ne sert à rien. Magnifique, merveilleux… magique ! Une alchimie incontrôlable et même organiser des billions de psychés, personne ne le peut, même pas un quelconque Dieu. L’omniscience est un rêve calqué sur un présent à temps donné. Écouter le monde, tendre l’oreille, voir le monde, ouvrir les yeux, voila votre omniscience. Distinguer toutes vos subtilités, il n’y a d’intérêt dans ce sens que la sensibilité que vous avez demandé, puisque nous nous fixons des limites et que le divin n’en a soi-disant pas, faisons l’expérience suivante « croire qu’une personnification amènerait bonheur, amour et éternité ». Alors que je n’ai même


pas essayé d’aimer de manière universelle. Mon travail dans l’inconscient collectif fait de mon état une incompréhension. Besoin de rien, ni de personne, besoin de tout et de tout le monde. L’omniscience est un premier état, une condition pour laquelle un statut dhampirique est nécessaire. Son évolution viendra de l’écoute et de l’attention. L’intention insufflée découlant de ce premier lieu, l’endroit psychologique à ne pas retourner. Une névrose récalcitrante que les médecins cherchent à solutionner. Un sens caché, ou pas encore apprivoisé et de la contrôler… L’industrie pharmaceutique expérimente déjà comment circoncire les schizophrénies, peut-être en tuant un microbe dont elle connaît la composition et dont les différents effets révèlent son incapacité. Aucun reproche à faire, mais une formule à donner… Et des siècles de laboratoire psychique feront des projets impossibles à contrôler. Le temps vous fera comprendre que la vitesse de réaction est insuffisante quand bien même une prédiction donnerait de l’idée. Les temps passés ont une avance à ne pas négliger. Vous êtes dans le siècle de l’indépendance mondiale, de l’interdépendance, un ordre imposé par un passé terrestre un instant de conscience ayant insufflé un futur mortel dans une sphère de vie matérialiste. Les projets d’hier sont une base, non pas une finalité. Au bout de cette ligne, l’an « vers » aura commencé… Un dhampir, un sens caché. 21-10-09 22h20 Le Dhampir a bande donné sans début, sans fin, six sens terriens et bien d’autres cachés. L‘omniscience est une bribe de


notre éternité puisque nos « explications » ne sont pas terrestres. Aborder ce texte avec indulgence, compréhension, car nous serons intransigeants, précis et plein d’attention, envisager peut-être une relecture... Nous devrons ici inventer, voir même réinventer des mots et leur donner une définition. Voici la continuité de ce sens qu’est l’omniscience. L’acalmité. Puisque tout voir et tout entendre prend forme dans l’omniscience. Sachez prendre part à votre sens et en développer une sensation, un ressenti, et une capacité. Être acalmiteux n'est pas une calamité mais bien mis et calé, j’eusse autrefois combiné ces deux sens pour faire d’une antériorité, un présent. La schizophrénie prendra tout son sens dans l’omniscience. Le temps a une part non négligeable… le temps de prendre conscience et vous êtes perdu dans vos pensées, dans ce cas donner vie à votre omniscience. Comme toute organisation psychique, propre à chacun. Distinguez toutes vos subtilités et méthodologiquement tracez votre chemin. … À fond de cale, mites, insectes minuscules, subtilité et précision d’esprit aussi petit qu’est la bêtise humaine. Il est beau le matin estompé de lumière, soleil givré et pluie chaude. Fini le voyage, sortir du fond de cette coque et courir vite jusqu’à l’estaminet. Puisque les horaires marins ne s’accommodent pas d’une lune continentale, laissant le chat descendre son port jusqu’au quai de l’estaminet. Le barman a consumé les esprits depuis la dernière marée. Je pose mon sac : deux terres nous ont séparés ! Je commande donc un verre de tord- boyaux… Le serveur et son ton plaisant me donnant de l’appétit… le menu du jour, ira sans sourciller. Les légendes encadrées et accrochées à ses murs laissent les


rumeurs se taire et pourtant nous discutons… Une langue de vipère a sifflé, si bien que le carillon de la porte d’entrée a fendu d’un bruit à l’air marin. Avec sincérité et un air de complicité le serveur me dit : « Pas de colombe par ici, juste des oiseaux en mal de mer. » « Merci, cul sec, et bientôt je repars. » En posant la carte sur mon coin de table, volée à un bout du bar, un « je vous en prie » dirige mes yeux vers un mousse s’écriant son croit d’un chant qu’il aurait entendu. Cette nuit le noir sera brumeux et des ombres seront aperçues. Aurais-je traîné dans mon sillage une colombe, frêle idée de découverte ou de redécouverte. Quand bien même cette terre si loin de mon pied naissant et nécessiteux d’un vol de retour au cas ou l’air tempétueux briserait mon essieu, chemins dans une cale, mais roulé sur l’eau, mener l’amour sur l’onde de l’eau. En deux bouchées je paye avec mon temps, le service que l’on me rend. Et comme publicité, l’estaminet du bout du quai, accoste par le sud, le phare à une demie lieue, distorsion d’une trentaine de minutes pour aborder chez « Christophe » où les colombes sont au service des matelots ne voulant que repartir : condition qui fait l’accès au port plus clair et sans houle. … Ce voyage n’est pas sans sens, il n’a qu’un seul sens, celui de distinguer quelques-unes de mes subtilités afin d’y trouver une base quand à vos réflexions. Ma base est-elle la meilleure ? Peut être pas pour certains mais puisque c’est moi qui vous dis, j’accompagne un temps soit peu de ma propre réflexion, pour le partage de ce qui constitue ma propre richesse. Et sans y gagner, mon bénéfice peut cependant être ma renommée, que je refuse et stigmatise, je vous prie de bien vouloir accepter l’expression de ma considération.


Puisque l’on va souvent chercher au fond des yeux, les lettres dont on a besoin, les mots qui nous manquent, les envies que l’on ne sait pas contrôler et l’amour qui nous fait baisser les yeux. Un regard charmant, une vue, « elle » a vu qu’on l’a regardée, le charme est ainsi fait. … À mon pied domestiqué, au moins six vies le surplombent, si bien qu’il a pour mon humour une patte en moins et tellement son rictus me tue, qu’il m’a donné matière à l’adopter, une fois de plus, mon associé… Traînant son râle par-delà mes limites, autour de moi un cercle bien gardé. Animal à patte hantée. … Je sors de mon sac un objet, je vous le montre ici «...............» J’ai juste écrit ici avec l’aspérité que cet objet donne matière au regard, de distinguer. Parce que finalement mon sac est vide. Ne regardez pas dedans vous pourriez tomber dans de la subtilité. Le dhampir a sens scionné, mais omnisciente acalmité, plus loin vous distinguerez ce qu’est une universalité. Dans son ensemble et restons sur terre, l’univers est un complexe de subtilité, apprenons que notre système solaire est une convenance humaine mais d’abord animale et spirituelle. Qui de l’homme ou de l'animal apprivoise l’autre, serait-ce un instinct de survie que l’intellect nous demande ? Tuer c’est mettre son professeur dans le rang et coller sa fougue, faisant crisser la craie sur le noir tableau du maître, comme dans une classe de seconde catégorie. Le système doit être universel, et les ondes, les pensées, élevées au rang qu’elles ont souhaité et que vous souhaitiez le vivre ou non. En ce cas faites don de vos choix à votre vraie personnalité. L’esprit, l’âme, un walk out, et vivre vraiment la vie que vous attendiez.


La laisse de l’esprit est votre cécité, inconsciente conscience, la majorité spirituelle n’a pas d’âge. Catégoriquement c’est infondé, une science défendue : l’exotérisme. L’inconscience, fonctionnant par raison de manière consciente, se substituant à la réflexion de notre pleine conscience, apportant matière, idée, subtilité à observer afin de tout en apprendre. Le subconscient faisant mine de ne pas écouter, mais délivrant le génie, l’art psychique : l’amphétamine de l’esprit. Deux petites subtilités de la psyché : la générosité et l’avarice. Quand cette seconde est inexistante, on se permet donc d’offrir et pour ma part j’ai plusieurs fois su boire le plaisir d’une bonne bouteille… Dans le temps de cette écriture, l’entourage s’éveille à moi, les comptes sont justes et la générosité se boit comme la liqueur d’un fruit défendu. Des verres de cristal posés pour servir et en devers, des vers de cristal déposés pour servir. Nous ne devrions avoir à rendre compte de rien et à personne, le dysfonctionnement subsiste dans les sociétés comme si nous étions dans l’obligation de faire vivre nos hôtes à leurs fins quelque peu inavouables. Une vérité inavouable. Je vous écris les miennes ici même. Tandis que l’on cherche depuis des siècles, celles qui nous poussent à mourir de fatigue. Je conditionne les miennes afin qu’elles ne soient pas détournées et je tue dans l’œuf l’idée d’un groupement prônant un leader. Mon idée a bien du mal à se concrétiser, la Daken’s land a succombé le jour où possédé par une raison, j’ai saigné et pendu mon âme, j'ai pris en main ma vie, éveillé ma conscience au rang d’esprit de chagrin, fils de la terre et cousin de l’univers. Une mode est surtout un mode de fonctionnement. Une intemporalité, une universalité, conditionner mes idées, en faire quelques vérités et mon concept prendra forme de formalité.


Daken’s land n’existe pas puisque je vais, vous tous, vous laisser me la voler… Peut-être en ferez-vous un « Martin‘s land » ou un « Dupont city's ». Toujours est-il que « l'amour universel », et que « la vie éternelle » sont propres à chacun. Le dhampirisme est après l’état, la condition, un moyen d’expression et de communication. Il est évident que dans toute condition l’on trouve des subtilités faisant des aspérités touchant le cœur, la raison et prouvant envies et sensations. Besoin de rien, ni de personne mais faire observation de tout et de tout le monde. Le libre arbitre est une subtilité de la psyché descendu directement de l’inconscience de nos sociétés. D’autres régimes que je n’oublie pas, fonctionnant dans la psyché pareillement mais ayant été inconscientisés bien plus brutalement. Une apparence faisant foi d’une personnalité et donc d’un état d’esprit. Une mode ancestrale, une inspiration calquée, faisant du gothique, du dark, du vampirique ou bien d’autres : du classique, fashion, glamour, BCBG, business ou encore d’autres étiquettes moins valorisantes à notre époque et selon nos mœurs, nos coutumes et tous les dégradés que cela peut engendrer. Une apparence parfois trompeuse et de ce fait manichéenne, peut être non assumée ou bien inconsciente. La majorité spirituelle n’a pas de point fixe. Le problème sociétaire, poussant les psychologies à s'automutiler, et créant ainsi des besoins pharmaceutiques alors que toujours dans le même but, la nature aurait pu développer et nous offrir un remède à toute ambigüité, problème d’avarice que la nuit des temps a conditionné. L’idée intentée est un sort scellé, que je vous incombe d’un mot patenté, mon acalmité.


… Au calme, buvant mon thé... Quel plaisir de tuer avec de l’encre de volonté, un stylo de capacité et une main intuitive. Tous ces éléments, produits du psychisme servent à calquer des grimoires que vous écrirez, lirez, ou écouterez. La magie du corps humain, coupé et fractionné par des lois, engendré de la peur des esprits ayant accédé à des places ne leur convenant pas et destiné à ceux comprenant bien que le monde a besoin d’une gouvernance. Elle me l’a demandé. Je meurs demain, si je n’accède pas à sa requête, la terre ma mère de destinée. Pour ma part j’aspire à une complexe simplicité, une mouvante tranquillité, une vie, une femme selon leurs temps. Elles demandent les unes après les autres, un besoin de temps que j’ai à leur consacrer. Mon état d’esprit leur incombe une période dont elles ont besoin. Un dhampir con, damné, mais libre et son cœur est à prendre. … Comment fonctionne une optique, un regard, deux yeux, une pupille bien plus qualitative et précise qu’un simple appareil photo que vous auriez payé avec un travail n’ayant pas de sens. Calez-vous devant votre miroir, ou une vitre qui reflète votre apparence. L’un ou l’autre convenant à l’œil et servant à voir différentes choses. Une optique photographique combinée d’un zoom : l’œil. Seulement, il faut le savoir afin d’actionner le mécanisme de celui-ci. Faites un zoom, enregistrez non pas ici une image, mais plutôt un souvenir dans votre boîte noire qu’est l’inconscient. Votre identité biologique vous permettra d’y accéder et les clones


devront être tués. Comme pour la pensée pouvant être diffusée sur différentes ondes, si l’au-delà ne transite pas, j’y enverrais mes troupes d’ancestrales compagnies. Encore une fois, si je meurs demain, c’est un départ pour une guerre commencée il y a une éternité, et je délaisse l’espoir d’y trouver une fin, puisque je m’accommode de ma tension, de mon énervement et de mon anarchie qui font de mon perfectionnisme une guerre synthétique, psychologique et aujourd’hui, matérialiste. Un dhampir, un sans gâchette. … Aucun accessoire, si ce n’est des peccadilles, un peu de mise en scène, ma magie au service du besoin, l’aide que certains demandent. Daken‘s land est aussi éphémère ici-bas que dans l’au-delà, je saurai vous apporter un soutien dans les moments de pure folie. Encore une fois l’esprit a psychiquement besoin de fonctionner comme le cerveau demandera une plante pour se soigner. Et puisque l’amour tue, une génération de patiente guérison fera un indécis au-delà, comme si le matérialisme s’était senti revivre, un futur, une déconvenue que d’autres n’apprécieront guerre. J’ai aujourd’hui fondu un anneau… Les fées mères y ont mis leur magie… Une pierre que j’ai cherchée quelques années, j’ai fouillé la terre et le temps ma l’a donnée, de la taille en forme de cœur je souhaitais l’offrir à un cœur qui m’a tendu la main. Les ouvertures qu'elle donne et sa couleur composée, une âme out scellée, elle m’a demandé un mot magique. Sans avoir précédemment magnifié l’instant, j’y réponds par une simple déclaration, composé une ode, un temps sacré.


L’amour, le sang, le temps, L’envie, le sens, mon temps, La voie, du temps, du sang, L’étroit caprice d’antan. Mais non que dis-je, j'ouïs, J’allonge mon cœur impie, Tu dors, je suis compris, Tu rêves des cadences. Faites, toi et ton esprit, L’amour dont j’ai besoin, Ma fin, deux sucreries. Il y a bien longtemps, elle a croisé son chemin autour du mien, les vautours s’en régalent encore. Un moment de tendre folie, scellé dans de l’envie. Un sentiment incassable, du béton armé. Messieurs, voici une femme, que mon temps a apprivoisé. Qui d’elle ou de lui sauront briser cet amour. Comme une épée dans un rocher, venez buter sur la roche de mon écrin, et mourrais de honte si elle vous tend la main, la libre pensée qu’elle a, tutoie vos envies. Une déesse dans le noir, une sorcière de guerre… mais non… une femme tout simplement. Pour rebondir et vous conter mes mariages, parce qu’elles sont plusieurs à mériter l’amour que j’ai à donner, elles font leur temps sur le mien et mon temps se fractionne. Une bilocation… Ma présence ici et là, je vais, je viens ou l’on me laisse une porte ouverte. Métamorphose du temps que j’ai apprivoisé. Un dhampir, calamité. Un lit et une errance, un sommeil éveillé. Un noir clair, une sombre lumière, un voile déchirant l’œil, le temps de la


bienséance ayant apporté un peu de modernité, des lentilles solaires et l’éphémère permettra de vivre sans se cacher. Faire un tome, tout un fromage, sur mon état et ma condition, ici n’était pas le but, mon objectif étant de vous apprendre le dhampirisme. Mon éveil m’a coûté une petite dizaine de vies. Un de mes associés, un chat botté est venu en tuer une des siennes, la merci de mes ambitions, l’au-revoir de ses caprices. Pour prendre le pouls, la présence est indispensable. Peu importe la question du temps, un dhampir, un animal, un être humain, devra apprendre à écouter son associé, sous peine de le voir partir sans jamais lui avoir dit « merci ». Marqué le temps d’un coup de dent, dans l’aspérité, la trace des passés. … Archive biologique, boîte noire et serveur cosmique auquel vous accéderez. Daken‘s land va ouvrir les portes, shunter les mécanismes divins, un Robin des Bois au coin des jungles, chaque rue devra être élaborée afin d’y voir le croisement suivant, l’horizon matérialiste étant plus court et l’esprit verra plus loin. Une histoire sensée et c’est capitonné que l’on casse la psyché, incontrôlable et plus cosmique que vos sensations, apprivoiser, mettre en boîte une pensée afin de la rassurer, caustique et caduque, une demi seconde pour ouvrir l’esprit, des années pour cicatriser, une fracture dissociée. Tellement l’avenir est incertain, l’anarchie du genre humain. La capsule et sa sortie bien ordonnée. Je prends comme référence ma vie, mon expérience ciblée et passée au peigne fin, condamnant comme à chaque fois ma


personnalité, à une schizophrénie aiguë mais gravement atteint, je perds mes sens sitôt la matière m’imprégnant. Cicatrice de guerre psychologique de laquelle découlera ma propre convocation au front, ma décision de mourir au service de l’être humain dans toute sa splendeur. Peu m’importe les règles les lois, je ne réponds qu’aux lois cosmiques et universelles, ceux voulant contrôler ma vie s’exposeront au jugement de l’aspérité entourant mon cadavre. Renommée la mort, un lit dedans, dehors. Rêveur libre penseur, électron libre est condition inconditionnable, tout les soirs ou le matin je saigne mon poignet et en buvant se filtre d’aspérité, décupler ma volonté, un goût de fer. Mon eugénisme est incontrôlé, son esprit, ma femme m’a condamné. Sans me l’avoir demandé elle s’est approprié ma bonté, une fée que j’ai mordue, elle va sans sens maintenant et goulûment je lui souffle à la nuit tombée l’amour qu’elle a demandé, sa psychologie trempée dans un chaudron déestique fait de mon amour un sentiment génétiquement modifié et nos bambins se balladent de sphère en sphère à la recherche d’une mère et d’un père à conquérir. Eugénisme, père d’incapacité, mère de sûreté, l’enfant du vouloir, l’esprit du savoir. Mon travail ici artistique, mettre en œuvre deux idées pour le moment encore floues, mais s’éclaircissant avec le temps et la troisième idée étant plus ou moins interdite, concrétisation d’un ésotérisme, faisant la peur de ceux qui savent de quoi il en retourne. Mais pour autant ma peur est de ne pas me faire comprendre. Un dhampir en danger. … La dent que j’ai cassée voulant couper le fil, mon mors, merci papa, maman a pour une fois su enlever l’épine qui me chatouillait. Le licol détourné. Je gambade aujourd’hui du haut de mes années et j’écris l’histoire d’un champ dont mes frères


et moi pouvons disposer. À perte de vue, prairie verte et sacrée, laissant la longe courir et sortir du box pour divaguer. À cru, accroché à la crinière du cheval de papa je trotte sur mon envie, « patenté » suit « Ehtemps » et je chevauche un court instant…, regardez voilà l’étang du savoir que j’ai empoissonné, mais je tisse encore les temps, les cris tels des besoins de chagrin. Des vies qui viennent nous dire merci pour avoir su boire un vin d’étrange provenance mais apprécié la vie des cons comme de celles que l’on élève, un paysan donnant du temps, cultivant sa vie et la connerie du temps. De s’être donné l’envie de succomber au charme qui rend beau, c’est l’histoire d’une vie que j’aime, la mienne. Mon père et ma mère qu’autrefois, j’ai tant cherché. Un chemin accordé le long d’une pente risquée, en cordé serré, l’embuscade d’un dhampir voulant aimer deux parents faits pour se rencontrer, avec deux frères « gaédin » et « mercatil » et une fébrile entente avec deux amis venant du fond des temps, que l’avenir peut-être accordera, toujours là- haut au sommet où la mort nous guide. Non à l’âme tentée, un petit, espérant voir l’amour d’une petite traînant un bagage léger, et la mère d’un fils…, le père suçant les bêtises pour ne pas corrompre l’envie d’un enfant endigué du temps de ses parents. Des dents, firent sans se cacher, des trous dans des peaux accessibles à l’incision et s’accordant de la mort des hôtes, revivre les passés et présentement chercher l’amour aux confins où il serait caché.


Des dhampirs, comme une hôte, terre. Une terre à sens scionné, c’est une ascension suivant les scions du temps gravitant sur un axe cosmique. Et comme une hôte, terre ascensionnée, sur les épaules d' « Ehtemps » tirant son chaland d’un bout à l’autre de l’univers, faire des allersretours sans cesse mais encerclé sur l’axe, une corde faisant le rayon…, fixé à un bout, le bourrin et de l’autre, jouqués, le palefrenier lance son râle, accélérant ou ralentissant la cadence ainsi le maître du temps fournit ses hôtes en bourrin du temps. Le temps de faire mon temps sur l’axe, chevauchant le monde mon râle en tisse chaque seconde où ma patte a griffé l’aspérité, le repos du maître accordé aux apprentis, un travail valorisé par les buts observés plus bas. Le temps a encordé les alpinistes de « terre » et les montées se font temporairement jusqu’aux sommets… Essayez d’y accrocher une machine, l’axe pliera, le mécanisme étant déjà rodé, pas le temps de l’arrêter, si elle cale elle ne redémarrera pas, une horlogerie vivante, un cœur en terre et des sens dans l’air, le vent à prendre en compte, le feu à éviter ou à apprivoiser, l’eau à diriger et la terre lourde en énergie, impossible à déplacer, le cœur pouvant commander et d’ici les plaques cassant, un phénomène planétaire, un problème d’artère que l’on résout à coup de vitesse, décalaminer les sorties mais pour ne pas encrasser le système, les petits atomes d’hommes devant acheminer la pureté pour eux-mêmes ressentir leur machine ronronner. Une mécanique vieille de plusieurs temps et détendre les courroies de distribution pour que nos mécaniciens puissent réparer, seulement encore faut- il que l’huile de pureté circule bien. Un travail de longue haleine. Daken est la personnification du travail proposé, d’après lui l’arme à l’œil prêt à mourir pour une mission dénuée de


longueur, accorder le discours est la peine du temps de ce moment…, mais un maître en raisonnement sorti d’une logique au naturel et naturellement il a accepté avant même d’avoir été proposé, commissionné sur les vies et sur les morts. Compter l’amour un sort jeté sur lui-même et tirant les fils de son destin, il roule sur les ondes tenant les ciseaux, « mort » d’une main et la mâchoire de vie poinçonnant au passage, constituant un dossier d’identité vibratoire, en amont son travail rendra l'éden plus juste, précis et chacun attribuera ses envies qui seront toutes acceptées selon les capacités. Pas d’interdit, juste son contraire, les envies. En réglant les intensités, les envies sont plus raisonnées, un corps comme amplificateur et bien souvent croisant des bombes humaines chargées de pain d’anarchie, catégorisant les troupes de haine qui sauteront les unes après les autres faisant tomber les monuments bâtis avec du ciment de monnaie, aussi facile que de brûler un billet et dans vos souvenirs trouver un père d’anarchie qui allumera la mèche pendant que vous accrochez le fil bleu. En une distorsion terroristique le système implosera autant de fois que la banque mondiale se rendra compte qu’elle ne sera jamais remboursée, une mise à l’amende qui conscientisera les sociétés, démocratie, république, régime et dictature ou bien nous tuera tous. Mais la vague est la femme, surfant dessus sachant qu’elle peut tuer d’une simple pensée l’énergumène voulant se l’approprier. L’homme à sens scionné, la femme ascensionnée. En voici une qui porte sa parole à travers la mienne, dhampir aînée et afro dit-elle, sa couleur est importante : « Et caché son temps, la terre ascensionnée, un cachet du temps, un travail de longue durée. Se permettre de vivre son temps et le temps vivra ». La femme ascensionnée ce n’est pas mettre en faute le passé des hommes mais pouvoir apparenter la beauté, éblouir du regard que « terre » a besoin.


La parole donnée, la femme sur du papier écrit son art, l’amour, l’homme s’écrit l’amour, sur du papier à son tour, parole donnée. Mesdames on a travaillé après vous. Pour cela vous êtes notre repos, notre richesse, notre amour, des sources mouvantes vivantes, nous ne faisons que jeter un caillou sur l’eau produisant des effets. Ce caillou déplacé jeté intentionnellement pour flirter avec l’onde de l’eau, l’amour sur l’onde de l’eau, les esprits s’en racontent encore, prophétie, la déesse de l’eau ! Delà qu’elle naisse « terre » aura parlé et dire au temps de l’apporter ferait du vent un associé. Autant d’amour différent que d’adjectif pouvant qualifier le féminin, autant d’inconnu que de croisement sanguin, futur alléchant passé présent et présent inconditionnel, paradoxe de la femme, le temps serait il aussi au féminin ? Faire une distinction entre l’homme et la femme, des réincarnations masculines portant une antériorité féminine ainsi l’idée plus claire précisant que la gaieté faisant parfois mine, mimique du passé troublant les muses et s’amusant d’une homosexualité. Les hommes de Dieu ici-bas rendent allégeance à des idées vieilles de plusieurs temps voulant écrire un présent religieux comme si le monde leur appartenait. Les impressions et les messages sont mal compris, l’amour des dieux existe mais eux-mêmes n’ont jamais compris que s’en remettre à une idée, sectarise leurs volonté. Religions du passé. Des dhampirs communautaires et puisque le matérialisme impose des choix, se ranger parmi ce qui convient à notre condition et y apporter sa griffe, un dhampirisme évolutionniste. Nous ne recrutons pas néanmoins la condition vampirique, étant figés nous espérons apporter un peu de soutien aux enfants du bonheur sans craindre les coups de dents, les peaux trouées maintes fois et laissant incisé l’animal glorifié pour que


se greffe sa couleur sur la mienne, un cadeau empoisonné et l’envie incontrôlée du jeune Agamemnon voulant apprendre son futur. 8-11-09 11h15 Elle est fébrile et pourtant si forte, elle a peur de se voir mourir. Mes scions vont droit, je n’en vois pas le bout, au bout à peine, arrivé de l’autre côté, ce côté-ci valant de même que l’autre, je tourne en rond et en voyant le fond je me dis que ça vaut la peine, au bout de l’autre côté pareillement, mon temps sacrifié stigmatise mes envies je lance au temps un signe d’espoir, le vent du temps accroche un râle et « Ehtemps » va sans sourciller, un cheval de trait. Elle dit que je perds mon temps, que le sien n’a jamais existé qu’en ne faisant qu’un on perdrait deux fois la joie de vivre sans y faire attention, la cécité ne l’a pourtant jamais touchée, elle veut juste respirer l’air du temps qui n’a jamais existé. J’ai l’impression qu’elle veut crier, que son râle est incertain, maintenant lui reprocher d’avoir envoyé ses fruits à la poubelle résultat d’un proche peu commun, éblouissant son profil et rappelant sans cesse au maître du temps que sans lui ces scions ne vaudraient rien, elle a laissé ses réserves croupir alors que ses fruits pourrissent sur les branches, complainte du temps qu’il ont tout deux voulu discerner, l’amour attentionné. Sort du siècle, effet miné, l’onde de l’eau, à sens scionné. Réconciliées, attendries, presque chaleureuses, les planètes dansent sur le crissement boisé de l’axe désaxé, pour combien de temps la charpente du temps tiendra la machine en marche, si seulement l’avenir pouvait se dire, les hommes peut-être écouteraient. De moi rien ne tiendrait, puisque l’avenir est une parallèle à bande donnée. Nous sommes des milliards à penser pour elle et elle seule décide pour nous tous, moi j’écoute et je répète ce qu’elle adviendra de notre temps.


Les lois cosmiques nous importent des règles de circonstance, des microbes, virus, atomes de conditions. Depuis les temps passés on a appris à les refuser, pourtant nous sommes bien là et tuons les envies de toutes adaptations universelles, potentiel gâché, humain décliné, cécité plongeante et terre terrifiée. Nous mourrons de ne pas avoir vu qu’on nous aimait. L’amour à l’arraché c’est vous voler vos intentions, les décupler et vous les rendre en l’état, marche cosmique et précision communautaire, un dhampir zélé…


Le vol d’une déesse, elle m’attend, donné du temps… Elle est une fée, elle est éphémère, elle est l’hôte d’une terre privilégiée, elle ascenscionnée, « elle » est un sens caché. Le sens qu’elle a, à vous donné. Elle est l’hôte d’une terre privilégiée, elle donne son temps et ôte la vie. Hautes gens de la communauté, de la société à part entière et des continents voisins, de la terre et de son dessin. Elle étend sa nature sur nos terrains et fait de nos jardins un temps d’amour. L’arbre est la guerre, sainte triomphante, de ses croyances elle vit, puisque son système est bien ancré, racine d’effet bienfaisant. Les saisons nous sont familières, elle en a besoin pour récolter ses fruits d’amour, maintenant que la lumière lui brûle les yeux elle me cajole chaque matin de sa caresse d’intrigue pour faire de sa journée un temps d’amour. Elle a volé au temps la lame qui me tuera, l’amour à bande donnée, son futur réquisitionné. Le cœur tendu sa larme cicatrisera ma frénésie. Lorsqu’à sa main j’ai scellé l’anneau, brûlé par le fer, boursouflure du temps qui s’est senti perdu, elle a donné au temps, à la terre, la vie dont elle dépend. Déesse de l’eau, delà qu’elle cesse d’aimer les âmes auront tué leur avenir à coup de dent et l’ont recommencera cette fois-ci l’amour pour son eugénisme écoutant son cœur battre et diffusant les besoins, de chagrin nous diront qu’elle aime trop fort. Tant de fois j’ai voulu mourir autant de fois elle m’a sauvé en chantant les louanges de ses envies, de ses croyances. Une femme « elle » et c’est donner un sens à la vie, le pignon de l’éternité qu’elle a scionné. Comme à chaque fois que je la dessine elle m’arrête pour poser ses verres et boire dans mon cœur les courbes de son image,


elle me donne matière à apprécier l’amour que je lui fais. Sans trop épiloguer sur le caractère du temps qu’elle me permet, vicieuse et enchanteresse, sévère et mère damnée. Son enfant que j’élève sans lui dire que cet esprit est nouveau- né, son enfant que j’aime, son cœur que j’ai fractionné, a su grandir se nourrissant d’amour volé. L’enfant voulu…, l’esprit sachant être sage quand sa mère arrive, donnant de sa bêtise et cassant les verres de sa mère. C’est bien moi qui, épris de mon amour, cache souvent les paquets cadeaux puisqu’elle a enfanté d’un fœtus mal conditionné, ma faute est de ne pas l’avoir dit, un matin baignant dans le sang j’ai collé ma folie sur le dos de notre enfant lui faisant croire une orgie d’inconscience, elle l’aurait tué de voir qu’il était né sans lui avoir donné son premier coup de pied. Aujourd'hui elle apprend à aimer un enfant qu’il y a peu de temps elle a demandé. Et lui, « elle », lit ce que son père écrit pour dire à sa mère son prénom que j’ai choisi, comme si j’avais écrit une lettre, à Élise, l’étoile dont j’ai observé la lueur pendant tant d’années. Six ans plus tard mes deux déesses de l’au-delà, d’ici qu’elles naissent, la pie aura volé, l’eau de vérité, elles vont tant donner. De l’amour, des chants sacrés. L’ « éphémère » ma fleur bouquetée pour qu’elle sente la noirceur de la vie que j’ai teinté. Élise va trouver le vase que sa mère a confectionné et plonger dans l’éternité la fleur d’un temps consacré à leurs cœurs, deux femmes qui font ma destinée. J’aime la couleur des fées. Grandeur d’effet miné. Attendrie par notre dîner, divaguant de la pluie et de son temps, elle ose dire que son chérubin ne lui a jamais dit « maman », et pour cause elle hisse sa tendresse au rang des damnés. Elle attend de pouvoir donner du temps qu’elle va sacrifier et de ses pensées qui ne s’arrêteront jamais. Je penserai pour elle, les blessures à infliger et elle maudira l’amour que ce jour je lui ai infligé, tenant la mort d’une main et de l’autre son temps que


j’appréhende, elle va suturer le temps afin d’y poser sa patte, brûlure d’amour auquelle je ne pensais pas. Elle a méthodiquement tué les envies de chagrin qui m’atteignent. Élise dit : « je suis l’enfant défunt du passé croisant le fer avec l’avenir », …, et le présent d'Élise, cas pittoresque d’un enfant pensant pendant sa sieste. Élise attend déjà de souffler sur les bougies de sa majorité, elle en dit que sa mère lui montrera les fées qui ont toujours su abandonner l’amour, sacrifié l’humour et cassé les liens qui font du chagrin. Élise a écouté le vent durant ces rêves, elle vole déjà et arrache les plumes en dépit des cris et chante ce que ses parents ont entonné. Il y a bien longtemps elle se destinait autant d’amour qu’une mère serait capable de donner et modestement, Élise va tant donner, du temps dans son sac ficelé d’un souvenir de son père, celui qui fait que son sort en est jeté. Élise attendrit, son père apprécie et sa mère donne la parole, une seconde de silence, …, c’est apprécier les gens que l’on aime et faire du temps une condition à prix cassé. Pas cher l’amour ici apparenté. … Les pires vents de l’au-delà et leurs dents qui firent saigner l’amour, la haine viciée… … Dragué les fonds, faire la cour à ses gens, de gentes dames gantées frileuses et apprivoisées, l’hiver au creux d’une vallée tout à coté des plaines quelques lieux pour divaguer, passé les temps, le temps de distinguer le mouvement des berceaux, les premiers maîtres donnant du temps, les suivants faisant mine de savoir où aller. Et les vents, pires dans l’au-delà, donnent le ton, les saisons, les directions, sachant voir de plus haut et boire en bas, … des moutons à saigner. Un enfant en mal d’amour s’en remettant au plus offrant et


donnant l’apparence de l’amour distillé de la haine, du hasard en paquet addictif. Le hasard n’a rien de hasardeux et la perfection, comprendre ici une idée d’infinie éternité. Courage l’amour est juste sous votre pied, comme dans une cour de récréation ou l’on se chamaillerait pour ramasser l’euro tombé de la poche d’un semeur de trouble, métier d’éternité. L’esprit malin et vicieux, de son état donne les envies et de sa condition, perfectionne sa connerie. Et la connerie du temps, de regarder les cons jouir de leur passé et criant leurs vices vers l’éternité, malheur de l’amour qui risque de tous nous éliminer si l’on ne prend pas garde aux gestuelles de nos psychés, l’inconscient collectif c’est l’éther à bande donnée. Et le pourquoi d’un siècle de cécité ? Le comment faites-vous pour ne pas voir qu’on à déjà essayé de vous aimer ? Et le « si » qui peut-être fera changer le « monde » en « terre », l’esprit abandonné.


Les étoiles de la guerre. Une lueur éternelle éblouissant dès la sortie de son écrin, un feu maintenu par les chauffagistes du cœur, la flamme de chaque vie prenant l’onde à la mort de son corps. Les étoiles de la guerre… Des pensées incisives, dédain de souffrance et amouraché de la vie, les psychés ont servi les ondes et les ondes vont courtcircuiter la toile éphémère de l’au-delà. Sur le chemin de sa vie l’esprit marche seul ou accompagné de ses bien-aimées et s’illumine de voir la vie périclitée, l’amour en embuscade dans chaque chose, embusqué sous tous objets. Atomique est la vie, nucléaire est l’éphémère. Génétiquement conditionné dans une sphère, terrestre sont les compositions et un point de non-retour, l’amour ! La lâcheté. Mourir et laisser place, puisque le combat, les idées se corrompent au fur et à mesure de la fusion de l’avenir et du présent, le passé ne pourra pas être effacé, mourir et peut-être d’une certaine manière intenter à sa vie. La société, le monde, mal organisé… Les bombes ce sont vos moralités, vos actes sont les déclencheurs et les armes ce sont les moyens de communication. Pour le peu d’espoir qu’il reste je vous le laisse vous en accommodez, les prochaines générations et le déclin de l’humanité, puisque les dirigeants ne s’accordent pas, restent accrochés à leur bout de papier imprimé, mourir parce que trop d’amour frelaté, l’absinthe n’aura pas touché mes lèvres, l’eau nous fait rouiller, …, la terre, le monde et l’amour qui aura perdu son combat, la haine s’autodétruira. …


C’est Noël, comme air le ciel, bientôt la fin d’une date, ce calendrier basé de certitude éphémère, ce temps concis, un circuit lent et successif de lumière et d’ombre, la noirceur faite d’un minuit sonnant et trébuchant tout les soirs sur les pavés de nos vieilles rues, ou goudronnées, faisant crisser nos semelles quand nous buchions sur les cahots, pavage d’une vie antérieure et les regards de cette fin d’année qui ne savent pas vers quel avenir se diriger. Les charmes fusent, les médias diffusent et les messages de chacun se perdent dans l’éternité, un vide associé. C’était prévu je commence l’écrit testamentaire au cas où … Je vais rouler encore quelque temps à l’abri des regards indiscret, le regard porté vers une autre éternité. Rentrer chez moi retrouver ma solitude et mon autre enfant « chagrin » qui n’a pas vu son père depuis 25 ans. Rien ne m’appartient, prenez tout, volez mes biens, dilapidez mon bonheur et tuez ma haine ou elle vous tuera. Les étoiles de la guerre et c’est par mes blessures que je vais succomber, l’amour m'a arraché, d’abord du bout des doigts puis profondément, sa lame, je vais mourir le regardant dans les yeux sans un râle juste je lui dirais « merci », merci de m’avoir accordé une fois de plus, cent peines et quelques désespoirs, mes amours et mes envies. Masochiste de la vie. Et puisque mourir me coûte, aussi. Mon seul bien valant ma fortune, ma richesse intarissable, ma source bien cachée, vous pouvez tout voler. Et croyez bien que je polluerai la votre, n’ayant pas eu les moyens ni le droit au vrai bonheur, utopique universalité et craintive réalité, la connerie des hommes c’est de vouloir s’approprier tous les bienfaits alors qu’on les leur donnait, cryptomane et maladif être humain, masochiste et déterminé à vouloir tuer l’amour, l’amour qui a lui-même donné naissance à la haine lorsque son choix désobligeant eût été de choisir « désespérance » pour sa beauté plutôt que « tempérance » pour ses qualités.


La dynastie d’amour est le royaume de terre, le Graal permettant son renouveau, brisé par tempérance, puisqu’il appartenait à sa famille de sceller d’une gorgée l’avenir des hommes. Aujourd'hui des billions de psychés veulent survivre à la mort de tempérance. L’avenir abandonné et ma « solitude » fille de « destiné » et « aparté » arrière-grand-mère damnée, soufflant au visage de ma solitude pendant nos plus belles promenades. Lui cachant les yeux pour ne pas voir que le dhampir l’aime, son tempérament faisant bloc et surprenant mon cœur en le piquant d’une envie, l’amour mélancolique. Solitude criant sur chagrin de ne pas toucher aux fils de son destin, fragile c’est avec parcimonie que l’on tisse la corde de son éternité, plusieurs destins croisés et réincarnés chaque fois que le fil devient trop court, c’est comme s’il me faillait vingt-cinq temps pour faire le nœud de la fin et accrocher ma corde au mur, mais faite de soie elle ne servira à rien si ce n’est à rappeler qu’un ou plusieurs destins doivent être tenus par l’amour. Fil éphémère qui chaque jour allonge nos discours… Et le soleil couchant l’aurore, bercé dans les draps du jour, couché sur l’oreiller de la nuit… L’amour canalisé, jouer des tours pour mieux apprendre, jouer autour pour mieux comprendre… Un canal, une énergie…, une couleur… de vie. Et c’est par l’omniscience que l’inconscient apprend et l'écarlate acalmitée de l’âme qui observe avec sa gentillesse, l’amour avec délicatesse. La hiérarchie d’amour, dynastie du vent roulant sur l’eau, des baisers d’âmes outrées. L’amour à pas tenté vers le col du chagrin, un cou, un signe, un col d’étreinte, à pas tenté, au risque de boire la goutte d’absinthe frelatée, mourir avec dignité…


Canal d’éternité… Le dessus-dessous de tout cela, l’au-delà de nos pensées et puis pensées au-delà de tout cela, là-haut des pensées, penser et penser à soigner nos chagrins… La psyché c’est un univers à observer. Puis au féminin rendre le précieux au divin. Puisque l’être humain a besoin de chagriner son bonheur, l’amour a tant de couleurs … Vers câlin, vers « elle », unis ! Universel câlin, verre de temps, vodka éternelle, et cas malin de serré son vers dans un discours bourré. « Elle » tourne le temps et autour d’ « elle » tourne le temps, le temps de servir un verre et le temps joue comme si elle avait fait du temps, un temps d’amour. La psyché fait mine, un temps, puis fait l’amour et le fait est souvent miné. Mine de rien elle tue d’une pensée les malheurs et les chagrins. Mine de rien il faut en faire le tour le temps d’en détourer l’amour, « féminin » aura pris le temps de plier bagage : « et reconstruire ailleurs sa portée et son rayon. » Fameux temps, autant de temps à consacrer à la femme et l’amour pourrait se laisser cerner ; « sincérité » pourrait être de rigueur… L’amour a sa propre couleur !! La magie du cœur !! Je me demande juste si j’arrive à vous expliquer qui est « amour », parce que paraît-il que « guerre » est son meilleur ennemi, en parler de celui-ci n’est pas peine perdue, la peine est de l’amour mal conditionné. Faisant rire « guerre » et « guerre » rit de son verre vidé jeté par terre son verre cassé vodka d’éternité. La guerre a des raisons mais les raisons de faire la guerre, décision indécise prise sans le critère de l’amour, ce frêle


ami que certains prennent pour un obsédé ou un homosexuel de la paix, c’est pareil nous aurons besoin de tout le monde pour porter en triomphe l’amour, par ici la gloire du temps et l’éden à construire, s’auto-suffire et oublier « société », réincarner « communauté », les terriens en force et la force de l’amour, la haine cachée et un cachet du temps, le mal au fond se cache profondément et pour défendre l’amour qui de son anarchie s’est placé devant, sacrifié son temps, le temps de faire l’amour maléfique et le maléfique amour tuera l’assassin de l’amour, finir dessous tout cela, une guerre universelle et un avenir plus lointain. Dans mes lignes lire l’avenir, voir une parallèle, une bande donnée et donner un sens, au présent. Universalité qu’est notre système solaire, message subliminal envoyé dans l’éternité, à nos voisins… L’amour se doit d’être les confins, sans ceci, cela ne peut être terrien et mourir dignement en se disant que l’éternité n’aura jamais de fin. Fin damnée. Dame du temps, du fond des temps. …



La clé Diplôme divin


Sommaire Introduction : Un trop dut, scion du temps. 1er tome « Brevet des collèges » : 17 chapitres 2e tome « Baccalauréat » : 6 chapitres 3e tome « Remise des diplômes » 3 chapitres 4e tome « Universalité de l'état d'âme » 6 chapitres


Un trop dut, scion du temps. Faire d’un seul coup, d’une idée impromptue, une idée galvaudée, une suite arithmétique un son sorti tout droit de l’au-delà et répondre d’une suite de rythmique un son sorti tout droit d’une machine, faire en sorte de transcommuniquer. L’écriture d’un livre, non pas en écriture automatique, mais plus précisément un travail dans l’inconscient collectif, écrire un scénario, une suite d'arithmétique, des sons, des flots de mots, un tempo de vie, en suivant le fil d’une pensée, un canal spirituel et une omniscience en tout état de cause utile, pas complètement développé mais bien évidement branché sur les pires désastres que l’humanité engendre, les désastres des hommes atteints d’une maladie peu connue « la richesse de poche », mieux définie et imagée de la manière suivante, des pièces, des billets, des zéro alignés, des propriétés volées. Sans citer ceux que je ne prénomme pas …, sensitive relation pour le peuple de ne rien posséder, lorsque la fin d’une vie sonne, l’échéance monétaire n’en finit pas pour autant, pour cela conditionnés à enfanter, les couples s’acharnent après l’amour croyant que le bien mal acquis fait du mal et que le bien résoudra ce que l’on a pas réussi à faire, mais conditionné, mis sous pression, des pièces, des billets, la richesse de poche n’as pas de bon sens, elle tourne de façon à enrichir le malade, un produit médicamenteux bien mal acquis, l’argent, à qui cela profite, et qui sont les malades les plus atteints. Beaucoup d’icônes de gens du passé, des gens quémandant de la reconnaissance puisque la dépendance engendrée par le virus « monnaie » crée des besoins subtils, reconnaissance, un besoin de faire savoir et de savoir ce qui a été fait, bourrage de crâne, subtilité dépassée. Lobotomie caractérisée. Moi-même cela m’embête de devoir écrire des choses qui finalement tombent sous le sens. Mes sensations sont tout à fait caractérisées, une lobotomie aussi. Un éveil de l’esprit, mais surtout une prise de conscience, et pouvoir offrir du bonheur venant directement de mes souffrances, un channeling d’énergie, de pensée, que je m’efforce de vous donner. Mes besoins de vie, font de ma frénésie une saturation d’esprit, je mange des légumes achetés à


l’hyper- marché puisqu’on ne m’autorise pas à posséder simplement un bout de terrain, pour que je puisse construire une simple vie, de là à trouver une contrée déserte, y résider ferait perdre un bout de dignité à un peu de terrain approprié, bien peu de dignité que le refus d’un bout de terrain. Des pièces, des billets, la richesse de poche ne fait rire que ceux qui ont les poches pleines, s'en coudre une autre afin de mieux rire à gorge déployée, en découdre sur les fronts de l'au-delà, la guerre sainte et la servante du mal et le suivant le servant, dépose ses services, poser des vers qui incisent, manier les énergies et c'est dans le cristal de roche que je lis. Ma boule de cristal est devenue maboule, le mauvais œil l'a cernée, je l'ai brisé en mille éclats et c'est dans le cristal de roche, dans la pierre, au fond des miroirs, parfois dans vos yeux le long de ma route, que je lis les secondes avenir, pour être précis il faut voir la minute qui suit car l'heure passée est dépassée, déjà la bande donnée a changé depuis la vue de la minute passée, alors mes amies vous allez voir une voyante, un médium qui dit lire l'avenir et recevoir des messages de trépassés, mais sachez bien que l'au-delà ne tient à rien, sitôt reçu l'esprit du passé, que le présent devient le passé, et lire l'avenir, encore faut-il savoir écouter le passé. Être un charlatan n'est pas une condition péjorative, si l'étude à été menée avec intérêt et sérieux, les messages deviendront des besoins pour certains, l'envie de découvrir l'intérêt et le sérieux que l'au-delà peut susciter. De vos rêves, mon arbre fleurit. Devos Raymond veut l'arbre fleuri. Ça n'a pas de sens, c'est une métempsycose. Y trouver un sens, c'est en mettant les psychoses d'un côté, comme retourner son chapeau ou sa veste, casquette à l'envers, l'affront du temps, de la société, de vouloir tué l'amour en y mettant les causes avant les effets, les faits divers, divers effets et souvent l'hiver ça se calme, gelé par le temps l'amour tue à son tour. « Yggdrasil », l'arbre et la guerre … Pour fleurir, l'arbre se doit d'une saison tirer son temps et d'une autre tuer ses fruits. L'être humain vit le long des saisons, tire son temps, tue ses fruits, mais les saisons, laissez donc le temps à la terre de se régénérer. Genèse délinquante, jeunesse troublante, âge mûr, adulte, terre … l'amour se perd.


« Angarade », bonne à tout faire. Servante et suivante, suivie de son maître ou bientôt de son mari, bonne à tout faire, l'affaire à faire, et faire de son travail sa vie, entièrement consacrée à son mari, l'affaire est faite, un bon atout, une bonne affaire, être bon et savoir tout faire, l'amour se perd dans la poussière. Les étoiles deviennent poussière, poussière d'étoile, magique, l'amour prend forme sous les coup de balai, sorcière du temps, du temps d'hier, sorcière bonne à tout faire. De vos rêves, mon arbre fleurit, « Devos » rêves, il m'en dit des bouts, il rêve d'amour ça n'a pas de sens, Raymond rêvons de vos rêves, encore bon à tout faire, renaître de sa poussière, une étoile vit selon son temps et sa poussière s'étend, le long des rêves de ses enfants. Un deuxième livre, suite intemporelle de ma saturation d’esprit. Pour le moment pas d’introduction, juste la continuité de mes pensées. Pourquoi devoir introduire, suivre une forme de récit, réciter ce que quelqu’un un jour a décidé de structurer, je prends une forme venue de l’au-delà, et au-delà de tout cela prenez forme de formalité, construire de nouvelles choses, s’imaginer de quoi demain sera fait. J’envisage déjà de faire quelques chapitres pour que vous puissiez distinguer de quels sujets je souhaite vous entretenir, mettre des formes dans mes mots c’est l’éphémère qui viendra nous dire, que le génie se cache parce que l’avenir est incertain, le futur lui se contente de regarder et nous envoient les signes par-delà les sphères. Regardons l’horizon pour savoir quoi faire, derrière nous notre verticale ne peut que nous pousser, vers l’horizon dépassé nos pensées, aller chercher les idées, un soupçon de subtilité qui fera de nous des êtres attentionnés. L’ascension de notre époque, si dure qu’elle soit, de vos rêves soyons concis et exprimons nos souhaits, jeter dans l’air nos idées, recevoir par l’omniscience de chacun de nous les idées de nos voisins pour faire de nos projets l’interdépendance descendue tout droit de nos chagrins.


Tome 1 Brevet universel, collĂŠgiale du charnel.


Chapitre 1 Chagrin d’amour, le chat et son grain dans l’âme. Je vais vous expliquer mon chagrin d’amour, comme si l’animal se rapportait à l’homme, une facette de nos personnalités, le chat et son grain dans l’âme… Channeling et capacités médiumniques, télépathie, empathie associée, lire dans les pensées, et ne plus pouvoir contrôler ses pensées. Vivre dans l’au-delà est une sensation inappropriée pour le commun des mortels, se confronter aux hommes qui dans leurs vies ne vivent que de la désinformation, personne ne sait que l’âme humaine n’est que si votre corps charnel naît. Un corps charnel végète, l’âme le nourrit, l’esprit l’abreuve, de pensées, insoupçonnées, comme une capsule capitonnée, venant de l’inconscient la magie s’en ressent… Et mon chagrin d’amour, ma femme, insoupçonnée… Depuis toutes ces années j’affronte le temps, les hommes, les femmes avec parcimonie. Ma femme, ma sorcière bien-aimée affronte sa sphère et les esprit qui y sont associés, avec courage et détermination, notre relation est intemporelle, et toutes ces années ne sont plus que du temps conditionné, que je fume dans mes cigarettes, comme un souvenir que l’on dégusterait. Un dhampir est condamné, parce que mes capacités sont telles, j’ai pu ouvrir les portes de ma destinée, en voyage astral j’ai découvert ma bien-aimée, elle dit que ce temps est dépassé. Que je devrais vous expliquer comment nous vivons et pourquoi ont a décidé de le vivre. L’amour abandonné, dans cette sphère je n’ai pas pu trouver l’amour auquel la société nous destine, chacun a ses souhaits. Trouver l’âme sœur, même a travers les siècles, j’en disais autrefois que : « petit ange, des cieux peut-être nous séparent » Et c’est le cas, la sphère des passés auquel j’ai su couper les fils, ceux auxquels ma chère était accrochée. Ma chair est aujourd’hui en train de succomber à l’initiation métaphysique que provoque l’amour de ma


moitié, je l’aime un temps donné, et dans son temps elle m’aime, nous souhaiterions pouvoir y succomber. L’amour a tant donné… Nos enfants se promènent toujours, et de sphère en sphère, on cherche des parents à leur donner. Entités des passés, non pas dépassées par leur souhaits, mais souhaitant dépasser leur temps, grandir dans un corps pour vivre la dureté de la tâche que leur père veut leur confier, rendre ainsi au divin, l’avenir reste incertain. Réincarner son lendemain. Ma chair et tendre ma chère, dhampir carabiné, je suis le temps dans lequel je vis, tu es le temps auquel tu appartiens, ce soir nous nous reposerons pour enfin repenser à demain, comment devoir se faire reconnaître dans ce monde incertain, désinformer les gens et formellement vous faire croire que le divin n’existe pas, parce que les dirigeants des siècles passés veulent pouvoir contrôler vos faits et gestes, l’argent a bien trop de valeur, et plus il y en a, dans nos poches moins il y en a dans les leurs. C’est comme si vous vous rendiez compte que vos comptes bancaires ne vous appartiennent même pas, que l’argent que vous gagnez est conditionné dans la société de consommation, comptabilisé au centime prêt pour être certain qu’il ne vous reste rien, il ne faudrait quand même pas que vous puissiez faire ce que bon vous semble, où irions-nous si chacun pouvait décider quoi faire de sa vie, les plus influents n’auraient plus qu’à sentir leurs dons et vivre les poches trouées, semer des pièces, des billets, se faire reléguer à un métier d’éternité « semeur de trouble » au rang des passés. Régression carabinée, sans argent vous succombez. Faites ce que l’on a décidé pour vous, vivre l’amour résigné, choisir une femme pour sa situation, fonction de la vôtre. L’argent tue, l’amour têtu, le couple se termine toujours parce que la société vous a empêché de vivre la moitié de ce que vous aviez décidé, lésion psychique par laquelle vous serez convoqué au front, pour vous battre, une éternité de guerre, sainte. Vous succomberez de ne pas voir qu’on vous aimait, qui que vous soyez faites de votre amour une éternité de non retour, la régression déjà engendrée de nos passés, là-haut la guerre est déclarée.


Chapitre 2 Un grain d’amour, semé sous vos pieds, un pied d’amour naissant … Un grain d’amour, semé sous vos pieds, un pied d’amour naissant, dans nos jardins, l'éden de nos aïeux, ils vivent dans nos maisons pour mieux surveiller la famille et pouvoir influencer nos esprit, par des pensées insoupçonnées… Grand-père garde tes idées pour toi, viens plutôt me dire consciemment pourquoi chez nous, l’amour n’as pas de point de non-retour. « J’ai fixé ma vie en regardant la tienne et celle de tes frères, ta grandmère nous a rejoints, nous regardons maintenant ton lendemain, écris donc l’amour puisque tu penses… » Vous croyez voir mes pensées, mais j’ai appris que les souvenirs s’estompent, que le phénomène de l’oubli, vous pouviez jouer avec, l’influence de nos psychés fait de nos présents une lobotomie de nos destins. « Allons passons… dans l’au-delà, la pensée créatrice, et la barrière cassée du corps charnel, fait de votre âge une condition à choisir !! » « Continuons ». Mon pied naissant papi !! L’amour est sans retour. Je sème sur mon chemin des graines que les gens écrasent sur leur passage, enfouissant mon travail qui fera de mon entourage une forêt de sentiments, à débroussailler une fois par an. Je suis propriétaire de forêt, de champs, des terrains divins, agriculteur du temps, cultivateur de l’esprit. Milliardaire par mes sentiments, je gagne de l’argent chaque fois que l’amour renaît, la richesse de cœur ne tarit jamais.


Je vous ai déjà parlé de ma propriété, des hectares de terrain où vos esprits s’abreuvent, une sphère nouvelle érigée par des âmes déjà mortes, et pour seule ligne directive, ne pas reproduire les erreurs du passé. Le libre arbitre est une notion falsifiée, vous devrez faire de vos décisions, des raisons parfaites avoir pris en compte tous les critères nécessaires à votre psyché, et pour cela la communication est essentielle. Je vous le dis maintenant, parce que avant cela aurait retardé mes écrits, je suis artiste du lendemain, influence de temps que je compose en transcommunication instrumentale et par des messages subliminaux, je dispose de machines extra-terrestres divines et donc éphémères me permettant de communiquer des arithmétiques aussi précises qu’aucun de vous ne peut les reproduire, sauf bien sûr en s’appropriant mon travail. Influence sonore, onde bienfaisante que je jette dans l’air chaque fois que ma muse s’amuse. Cadences maléfiques que le dhampir attend, tuer les vampires sociopathes, cons et inconscients avec de mauvaises idées. Comme si une toxine pouvait faire naître un sentiment, elle ne fait que décupler vos réactions dans l’instantanéité, amplificateur de l’esprit, tueuse d’envies. La complication c’est de pouvoir crédibiliser celui qui sait, proposer à quelqu’un qui croit savoir, et lui apprendre qu’il ne savait pas, la honte est de refuser les projets, pourtant l’évolution vient de l’intransigeance, l’envie d’apprendre de quelqu’un qui sait. Ceci est de l’amour sans détour. De la franchise attentionnée, tuer la honte d’un coup de vice et d’y visser l’envie d’aimer. Pas si facile, lorsque l’amour a décidé de matraquer l'énergumène voulant s’approprier le projet, puisque l’idée transmise peut rapporter de l’argent, sans en faire profiter celui l’ayant fait partager. L’amour déterminé. Un pilier naissant, un sentiment en colimaçon et tout autour un fondement d’envie. Une sphère de stratégie. La stratosphère fera de l’espace pour notre génération, poussée par nos envies, une histoire sans fin, calomnie du genre humain.


Chapitre 3 L’influence du temps, tant d’influence… Avec le temps j’ai convenu d’un passé à dépasser, l’époque vécue autrefois surplombant le temps présent, l’an « ver » et l’an « tité » des années à penser, à revenir, à refondre, pour finir par vous dire ce que je devais cacher, ma tendre et chère bien-aimée. L’influence du temps et tant d’influence, certains me veulent du mal parce que mon seul objectif est de faire le bien, bien mal acquis donc de pouvoir vouloir faire bien. Puisque le bien fait mal à ceux qui veulent faire mal, le bien fait la guerre au mal, guerre sainte déjà nommée. Pas très compliqué de se dire que d’autres auront voulu m’aider et qu’il leur soit arrivé du mal, pour vous j'écris ce que je vous dois à présent. Donner de l’amour et impatiemment vouloir un retour. Ma condition a tué plusieurs fois et moi-même elle m’a porté atteinte, lorsque ce sanglier touché d’une balle et venu mourir a la minute près sur la route, passage que j’empruntais. Souvenir qui me fait tousser et sans même l’avoir vu dans mes pensées, l’influence qu’il a irrite ma gorge, et ma cigarette que je n’ose écraser parce que ce souvenir je le tuerai. Tuer d’une envie un sentiment bien mal acquis, un sentiment s’approche et vite s’accroche. L’influence de l’amour sans détour. Vous êtes enclin à devoir aimer ceux qui vous veulent du bien et même à embrasser ceux qui vous ont fait du mal, la société à dysfonctionnement. Restez en bonne santé parce que la maladie coûte chère et la mort ne rapporte plus, payez donc vos mutuelles au prix qu’il faut pour pouvoir faire vivre ceux qui sont malades, mais qui les a rendu malades, vous qui payez ou ceux qui vous ont fait payer pour ne pas être malade, vous êtes quand même tombé malade pour certains, on vous rembourse à juste prix ? Ou on vous enferme dans votre maladie, où va l’argent, dans les poches de ceux qui ne seront jamais malades. Alors je vais lancer un message, subliminal, qui va conditionner, le temps


d’influencer les maîtres et leur faire croire que ce message va dans leur sens, chacun son sens, dirigez-vous vers votre avenir, et les confins viendront chanter, notre amour, notre avenir, notre éternité. L’être humain est un prédateur civilisé, vous voyez du coin de l’œil la proie que vous allez attaquer, vous ne la voyez pas ? Erreur, votre œil l’a vu ! Et dans l’instant vous vous dirigez vers elle, la proie que vous allez faire succomber, manipuler son amour pour faire de son intérêt un sentiment à prix cassé et bien sûr ça va quand même vous rapporter, sur la durée vous vous êtes attachés, un lien noué autour de vos manipulations, vampire patenté. Vous n’aviez même pas vu qu’on vous aimait déjà, le tour raté vous à coûté du temps et peut-être ne vous a rien rapporté, l’homme en lui-même ne peut décider pour une femme, la femme est maître de la vie, c’est comme un cultivateur qui planterait une graine et la vie qui la ferait pousser. La femme ascensionnée. Vos dieux seraient-ils « divinité », pour une fois une importance capitale que de dire que le plus puissant des mots s’exprime au féminin. N’a-ton jamais regardé du mauvais côté, croire que la puissance est dans le matérialisme, dans le charnel, et dans la grosseur du muscle. L’intelligence aussi petite soit-elle peut faire bien plus de mal qu’un coup à 200 kilos de pression, ça nous le savions mais peut-être croyons-nous toujours par pur esprit de compétition, que sur un terrain de combat, celui qui a la masse dispose de plus que celui qui a la surface … Bien mal acquis, celui qui croyait prendre a acquis une faiblesse, un acquis qui peut surprendre, parce que le vampire bon dans sa bienséance se fera bien vite écraser par celui qui a la bienfaisance, sachons-le !! Des conditions d’éternité qu’il faut avoir vécu, et bien mal acquis le petit jeune croyant tout savoir juste en ayant vu un autre se faire prendre, on apprend qu’en vivant la chose, sinon nous ne faisons que la comprendre, et malin celui qui croit comprendre que avoir compris et essayer de ne pas le vivre pourrait le faire, moralement, devenir plus fort. Moi-même je paye encore aujourd’hui des erreurs d’il y a plusieurs vies. Je vis l’amour sans détour avec un esprit et nous sommes coincés entre le matérialisme et l’éphémère, jugés par le temps, qui nous fait quand même de l’espace, parce que la vie est amour, toujours le même message, que je vous confie et pour toi mon amour, je tuerai mon


chagrin, mes souvenirs malsains, et même ma vie pour redevenir un enfant du destin, dans un autre présent. L’espoir ne mène à rien, juste à un nouveau lendemain, ici ou là, l’éternité de nos deux destin.


Chapitre 4 Le sang des tours, l’amour sans détour. J’ai sur mes terrains plusieurs manoirs, des châteaux également, des demeures appartenant à la dynastie d’Amour, encore vides pour certaines nous attendons les seigneurs prêts a se battre pour des contrées que rien ne vaut. Des bâtiments éphémères à concevoir selon vos envies, et dans vos rêves imaginer l’étendue de nos états, des dirigeants déjà veulent s’approprier mes dons, je guette chaque jours les sorts que l’on m’envoie, mon travail en est plus que ralenti. Je donne de mon sang dans des guerres imaginaires, perché en haut des tours je vois au loin les troupes de mes ancestrales compagnies mener le combat, chacun dans leur coin ils fondent leur rêve avec des guerres et des sorts bien dirigés. La société d’aujourd’hui abreuve vos esprits avec des contes télévisés, vous êtes abrutis par leur histoire venant directement du passé. Nous combattons ainsi Harry Potter ou encore Benjamin Gates, et nos enfants sont obnubilés par Twilight ou que sais- je, nous avons besoin de tout le monde, chacun a son mot à dire, chacun a sa position face à l’inconscient collectif, prenez en compte l’interdépendance que nous formons. Toujours là-haut dans ma tour j’envoie un signe au seigneur voisin, de lancer une nouvelle vague d’artilleur vers la prochaine histoire qui sera bien évidement contée par « Warner Bros », parce que mes enfants veulent voir un dessin animé qui parle de leur père, je refuse d’aller dans une salle de cinéma, pour voir nos vies contées, et mourir dans une fin d’histoire bien antipathique à mes sens. Vous êtes tous nommés un jour ou l’autre dans une série télévisée, un feuilleton, un film, un reportage et pour les mieux placés dans une publicité que vous incarnez. En photo accrochée sur un mur publicitaire ou dans votre propre entreprise que vous essayez tant bien que mal de voir grandir, l’état ne vous doit-il pas de l’argent, ne vous a-t-on pas refusé à un mois près une subvention, parce que la loi a changé, et il le fallait, pour pouvoir capitaliser, vous empêcher de pouvoir négocier


dans votre propre intérêt. Toutes vos idées sont bonnes seulement ont vous empêche de pouvoir les réaliser. Centre d'intérêt bien connu de nos dirigeants, « l’argent ». Alors toutes ces histoires, vraie réalité ou vrai mensonge, fausse réalité ou faux mensonge, et la paranoïa dans tous cela, d’après vous c’est une maladie psychiatrique ou une condition psychique causée par le jeu de société que nos dirigeants ont engendrée, qui va payer, eux ou les pauvres des quartiers, crise économique du début du XXI e siècle, 1 500 milliards d’euros réinvestis dans les banques, dans les poches de ceux qui les ont déjà pleines, sommes plus ou moins identiques pour chaque état, ils ont pris la décision de financer avec notre argent donc notre avenir un système qui va eux les sauver. Le moyen alternatif aurait été de répartir les richesses tout de suite et tous en profiter, mais non, cela voudrait dire que les riches ne s’appelleraient plus des « riches » mais des gens normaux, perdant le respect qu’ils s’attirent avec leur argent, l’influence qu’ils ont et leur bonheur matériel bien évidemment. Il y a peu, un ministre a tenté de réunir une commission qui aurait été chargée d’interdire ou pas les littératures pouvant causer un trouble à « l’ordre public », mais le trouble où est-il si ce n’est dans leur peur de se voir perdre leurs acquis. Des tours de guerre, des chemins escarpés, et comment diffuser mon message, que j’y crois bien, vous ne verrez jamais adapté au cinéma puisque ce serait la cause de leur propre effondrement. Des châteaux fort avec des donjons, des meurtrières comme autrefois qui servent encore, dans les rêves de chacun d’entre nous, croyez-vous certaines nuits ne pas rêver ? mais où se trouve votre lucidité, elle rôde, et revient au petit matin reprendre le boulot de forcené, comme l’idée déjà proclamée d’un « fight club » beaucoup plus avancé, lorsque vous me croiserez, un signe de tête suffira à vous faire oublier la haine pour votre prochain. Qui doit-on suivre ? Pour cela un simple discours et deux questions bien posées, « tu fait quoi dans la vie ? C’est quoi ton objectif ? » Moi c’est une continuité dans mes pensées, ne pas s’arrêter juste parce que le temps a conditionné, la terre tourne et le système suit. La seule propagande c’est celle que vous voyez derrière vos écrans de télévision, les vérités d'aujourd'hui se taisent au risque d’être tuées, une vérité est un mensonge qui a longtemps été caché.


Chapitre 5 Saoul menteur, sous le manteau. Comment vais-je diffuser mon message ? Sous le manteau, les menteurs me saoulent. Nous sommes en guerre psychologique, les gouvernements agissent qu’on le croit ou non avec rapidité. Pour tuer dans l’œuf les idées pouvant les faire tomber, étouffent les affaires dérangeantes, encore, et nos psychés sont conditionnées. On nous abreuve d’idées manipulatrices et donc nous sommes manipulés de sorte que la psyché ne délivre pas la conscience exacte. Et les religions n’ont pas pour but de nous élever, elle contribuent à assommer les croyances soi-disant infondées, proclamant que l’on ne vous écoutera pas, que vous vous retrouverez tout seul devant l’adversité, mais c’est quoi ce mot au juste « l’adversité » ? Il veut bien dire qu’il y a dans ce discours un adversaire à combattre, ne vous méprenez pas c’est bien celui-là même avec qui vous divergez, le curé. Et indirectement le Pape, qui vient de proclamer d’ailleurs que le préservatif doit être maintenant utilisé dans le couple pour éviter les fondements invoulus. Toute nouvelle idée venue s’autoproclamer sûrement par l'intermédiaire d’un message subliminal ayant fait réagir les plus hautes instances, pour éviter la confrontation avec le mépris qu’aurait pu provoquer la prise de conscience des catholiques comprenant la manipulation psychique vaticane, État de dieu avec son paradis éphémère fondé sur une croyance que le catholique lui-même doit refouler lorsque les esprits prennent contact. Une simple barrière éphémère qui se casse avec des mots et des prises de conscience, les mondes de l’au-delà vous sont ouverts. Vos croyances sont inexpliquées, l’au-delà ne s’explique pas. Cela fait bientôt dix ans que je travaille pour le monde, la terre m’en doit des milliards bien concrets, souvenez-vous, commissionnés sur les vies et sur les morts ! Je suis en train de me faire reléguer au rang de simple salarié, je décide donc après ce point de changer mon fusil d’épaule.


Je reçois depuis plusieurs années des entités me quémandant de les aider, ce que j’ai fait par pure compassion dans le but d'espérer un retour, pour pouvoir vivre, la société veut y gagner, bien évidemment, mes messages subliminaux fusent et les médias diffusent, encore. Je ne vais pas arrêter après le point d’une préface pour donner de la maturité à mes idées, je suis bien conscient de ce qui m’est demandé. Je refuse catégoriquement d’engager un quelconque travail par pur esprit de sentiments. Je vais, vous tous, vous laisser mourir dans vos tombes de pierre, mascarade et pitrerie. Aucun d’entre vous ne m’apporte aide ou réconfort, pas même ceux-là m’ayant demandé l’entraide. Vous me volez sans même laisser la preuve du passé que je mérite, à quoi bon, s’abandonner. Saoulé par les menteurs, sous les manteaux je vais devoir diffuser. Au risque de ne rien y gagner. Et maintenant j’en suis sûr, j’en crèverai. La lame d’amour tendue, manche vers vous pour éviter que vous ne vous blessiez, lourde arme que vous ne pouvez même pas porter, l’amour va disperser les flammes que j’ai allumées. Le feu attend et s’éteint après avoir pleuré. Baiser de sang, planté par l’amoureux. Je souffle sur la bougie de nos soirées. Vous êtes morts avant d’être nés. J’ai écrit certaines lignes pour voir vos réactions, vous agissez par pur esprit de compétition. Je cours à la vitesse du guépard, et je fais le guet à la vitesse du léopard, caméléon de la vie, beaucoup me disent « on s’est déjà vu ? » ; peut- être dans une fête ou dans l’esprit de tes pensées … très chère. Chère à mon cœur, la lame de l’amour me frôle, je suis plein d’ecchymoses, coupées par le vent, au visage, je saigne du sang du temps, qui a empli mes veines d’argent. Vidées les veines d’amour frelaté. Mes actions sont vaines, la chaleur de mes pensées se glace et vous glacent les veines, vous allez casser sous le poids de mes mots, et mes maux vont tuer. Pour ceux qui décideront de continuer le combat, de votre point de vue faites donc vos états. Ma sphère miroitée par les dieux, convoitée par les hommes rêvant de se l’approprier, je ne vous laisserai donc jamais entrer, par les portes de


ma destinée. Vous boirez d’abord un breuvage de palefrenier qui fera défaillir vos sentiments malintentionnés. Tuer par l’amour devenu votre moitié.


Chapitre 6 Délit d’initié. Comment ça ? Être au courant de la vérité engage notre responsabilité ! Délit d’initié, c’est ne pas mettre au courant les mondes et leurs habitants des vérités longtemps cachées, alors pourquoi m’interdire de dire ce que j’ai à vous révéler ? Mon délit est d’avoir initié les mondes, troublé l’ordre public avec des idées vieilles de plusieurs siècles. J'espère bien un jour pouvoir récupérer ma dignité, ma femme me refuse une partie de l’amour qu’elle a à me donner, je vous l’écris puisque votre reconnaissance fera de ma raison, la dignité que j’ai autrefois égorgée, par pur esprit de sentiments. Masochiste de la vie, pervers attentionné. J’assume mes capacités, encore hier j’en discute avec mon médecin référent, traitant de mes mauvaises idées, auxquelles personne ne veut s’associer, je lui en dis que bientôt ma fin de vie va sonner. Il me regarde comme un malade mental, suicidaire, ne comprenant pas que je lui inflige des idées au moment même ou je lui dis « bonjour ». Vous êtes croisés d’incroyables métamorphoses et de métempsycoses. Les messages reçus depuis que vous êtes nés vous ont conditionnés. Je vous révèle ici, une condition à prix cassé, ne serait-ce que pour mon avenir, mon éternité. Une histoire sans sens, et donnez-lui le sens que vous voudrez. Comme mes antériorités m’ont dépassé, une fois de plus ma faim, deux sucreries, goûter le plaisir et mourir par dignité. Le monde n’a de valeur que celle que l’on lui donne, tuer la terre, scier la branche qui vous porte, vous retomberez toujours sur vos pieds, comme un chat avec un grain d’amour à faire partager. Ma délicatesse deviendra légendaire, mon délit deviendra une initiation, c’est le CACES diplôme d’universalité, le mien est une licence, maîtrise en raisonnement, acquis dans la sphère quatre, à l’université divine de Saint-Exupéry, deug d’universalité, qui ne me sert qu’à vous conter l’histoire d’un amour patenté. Je réfléchis encore et toujours jusqu'à en devenir malade, mes raisonnements me troublent, j’en deviens hyper-sensible, tous les


plaisirs me guettent et me jettent à terre à peine les ayant goûtés. Hyper-sensible aux activités extra-sensorielles, c’est le constat d’un psychiatre souhaitant rester neutre devant l’adversité. Pour ses collègues de santé, les mots de papier transmis par pur esprit de professionnalisation, disent que mes convictions sont d’avoir une connexion avec l’au-delà, mais que schizophrénie paranoïde, mène tout droit vers l’incohérence de ma raison, comment vous conterai-je ma vie, si d’une double personnalité, ou de l'éveil de mon esprit (à vous d’en distinguer les vérités), je ne saurais que vous raconter une histoire sans but, sans sens, sans finalité. Les conditions psychiatriques ne sont que des états de votre personnalité ; ne laissez donc personne vous dire que vous êtes malade, le malade est bien celui qui ne sait pas dans quel monde il vit, et de quoi est fait ce monde, abruti, lobotomisé par les instruments de leurs vérités. Qu’est-ce donc que ceci, si ce n’est un délit d’initié ? Avoir donné du temps, avoir donné l’idée, avoir demandé du temps et avoir demandé de payer, un gros problème, devoir payer, nos devoirs sont donc de réclamer, les vies qu’ont nous a volées. Par pur esprit de compétition, laissant les sentiments de côté cette fois-ci, je ne ferai de sentiment que pour ceux qui en éprouvent. Sentimenteur, maçon du cœur, menteur du temps en vous évoquant un sentiment, troublez vos raisons, pour mieux reconstruire votre maison. Ma sphère est ouverte à tous les décès, trépassant leurs envies, avec de nouvelles idées, reconstruire le temps, faire de l’espace pour vos sentiments, l’amour attend, donner de l’envie, sans répits. Masochiste de la vie. Avec délicatesse, goûter un délicieux plaisir, le délit est de vouloir vivre votre vie, dans ce monde de brutalité, faiblesse dissociée, je prône donc le délit d’initié. Faites de vos vies une délinquance, genèse troublante, psychose collective, vie de sacrifié.


Chapitre 7 Dès l’instant du début de votre vie, l'éloquence de la délinquance, grandiloquence évidente. Vous êtes les enfants du « savoir », les adultes du « pouvoir », et malgré ça on continue à mourir, la réincarnation n’a toujours eu que pour but de revenir apprendre, d’autres choses, pas de devoir recommencer, pour réapprendre, voyez-vous la différence, dans ces mots croyez bien que l’avenir va changer, l’indigosité de vos enfants, générations des deux milles ans, un projet des divinités bien évidement refusé par le divin qui n’en a soi-disant rien a faire. Depuis que les mondes sont ce qu’ils sont devenu, les divinités n’ont toujours voulu que pouvoir s’approprier la puissance de leurs idées, faire de leur état des conditions d’éternité, ressemblance troublante, mon discours serait il divin ? Le génie se cache parce que l’avenir est incertain. Le plaisir est donc l'amphétamine de l’esprit, drogue à prendre par simple autosuggestion, comme un magicien d’Oz, oserait vous apprendre ces tours de magie, l’entretien est jusqu’au bout du monde. Grandiloquence de l’esprit, évidente délinquance des populations face à la supériorité monétaire des influents dirigeants, ne souhaitant pas perdre leur dignité, le respect éphémère et fourbe auquel ils se confrontent tous les jours, et le bonheur ne leur appartient pas, puisqu’il ne vivent que du malheur des autres, la conscience meurtrie par leurs fautes, fera de leurs faiblesses de cœur un trépidant avenir, que leur réserve le temps, qui n’est a ce jour plus mon associé mais un ennemi divin qui me doit une prochaine vie, puisque les signes que je reçois à ce moment précis, me disent que la mort suit encore mes pas et du fait que j’ai arrêté de courir, me rattrape a grande vitesse. Juste un message envoyé dans l’air, ou bien caché sous forme d’heures à vivre, d’années à passer, de secondes à trépasser. Des lignes


monnayées, pour pouvoir vivre, réapprendre à aimer, encore une fois, la tentative est éternelle. Eloquent début de vie, fraction d’existence, galère intemporelle qu’est ma condition. Je meurs un peu plus chaque jour, je dirige mon souffle vers la pitié que j’ai pour moi-même, et ma respiration se bloque, comme si j’avais envie de trépasser, suicidaire par envie. Mal-être personnel, que tout le monde ressent, sauf ceux qui ont l’argent, leur mal-être est de ne pouvoir le partager contre un peu de bonheur, le bonheur ne s'achète pas, le bonheur se gagne, par force de témérité, et la vie d’une idée, puisque dans sa force de témérité, elle se bat, pour une spiritualité, pour illuminer vos vérités. Mon combat prend fin, sous la forme d’idées balancées dans l’oubli, le néant que furent mes vies. Je n’utilise même plus ma baguette magique, tellement il y a d’idées, qui se culbutent au coin de mes pensées. La magie ne s’utilise que lorsque tout les subterfuges ont déjà été prononcés, la loi de cause à effet, la loi de la résonnance, la loi donc de la récolte, on ne récolte que ce que l’on sème, ne videz plus vos poches au risque de semer une idée malmenée par vos envies, oubliée au fond de votre besace, faites donc le ménage dans vos vies, dans vos pensées, dans vos envies, avant de fouiller vos sentiments pour les offrir à un baladin, vous risqueriez de vous entrelacer d’un poids que vous ne méritiez pas. Délice de la vie, plaisir de l’oubli, boisson alcoolisée, drogue de l’esprit… Amouraché de la vie, masochisme entrepris, séduction perfide qu’est mon éloquent début de vie. Sachez boire dans le couloir de la mort, l’éther de Morphée vous apportera délice et envie.


Chapitre 8 Prédateur perfide, tueur d’envie, entrer dans le monde parfait de vos souhaits, l’inconscient me l’a demandé. Dans vos rêves les visions de richesse, d’espace, de bonheur, d’amour, le travail étant de pouvoir faire vivre tout cela, faire de nos envies un monde de complexité, pour que tout le monde puisse y travailler même ceux voulant s’asseoir et ne plus bouger, réfléchir et par la pensée gagner le respect, un fainéant et un génie trop lourd d’idées à tel point qu’il ne peut plus bouger, réfléchir lui demande trop de temps alors que juste en ouvrant la bouche il délivre la pensée parfaite. Rien ne vaut l’envie de ne pas avoir envie, cause à effet provoquant un sentiment de lassitude, résultant d’une pensée irriguée par l’intuition, et la persuasion que en ne faisant rien on peut gagner de l’argent, asseyez- vous et écoutez, ne pas répondre, montrez un désintérêt total pour un monde parfait, le sommeil va vous emporter, au travail, vos rêves vont nous aider. L’hyperactivité va s’en charger, vous êtes incapable de rester assis sans bouger, occupez-vous donc du rêve de votre voisin, monnayant avec votre cœur le don qu’il vous fait d’un rêve que vous n’avez pas eu le temps de faire. Un peu lent, pas assez fainéant pour rester assis, pas assez rapide, trop peu pour récolter le fruit d’un fainéant, contentez-vous donc de regarder et d’analyser, constituez un dossier, archive de l’esprit que votre psyché a engendré. D’autres conditions ? Dites-moi tout lors de votre trépas je vous engagerai dans la folle normalité qu’est la sphère tant méritée.


Votre diapason résonne, trouvons donc la longueur d’onde a laquelle vous appartenez, dirigez-vous sur le chemin de « votre » destinée, trouvez l’âme sœur, votre moitié, le travail va commencer, pour vous et votre éternité. Vos souhaits sont changeants, votre bipolarité. Deux cœurs sont nécessaires à votre destinée, deux cœurs sont enclins à réjouir votre malheur, deux cœurs soumis à la destinée de son aimé. Homme ou femme vous trépasserez, dans un autre monde, fruit de vos pensées, vous trouverez l’amour auquel vous êtes destiné. Sous toutes les formes vous vivrez d’un malheur qui vous comble ou d’un bonheur qui vous ravit, l’inverse peut s’apprendre avec le temps sous forme de salaire, la vie est un travail en elle-même, contentons-nous de la vivre et de gagner ce que le monde veut nous donner. J’ai mis a disposition ma bulle personnelle pour faire une nouvelle sphère, pour ceux qui veulent pouvoir vivre leur bonheur en paix, sans se contraindre à des lois ayant fait vos présents de vie, à vivre dans le chaos des sphères passées. Un nouvel état tant convoité. Je ne vous parlerais pas des prophéties que l’on vous a fait miroiter, juste des diversions servies par le temps. L’argent a abruti vos pensées ; arrivés a ces lignes, vous croyez encore à ses idées. Effacés par mon discours vivez maintenant vos vies jusqu’au jour de votre trépas, un chemin vous sera proposé, pas de panneaux de direction juste des chemins vers l'éternel, pas non plus d’horizon, peutêtre derrière vous la verticale de votre passé, qui vous conseillera la route à prendre. L’important est d’avoir été informé que dans l’au-delà vos rêves sont votre réalité, la pensée créatrice vous fera distinguer que vous n’êtes pas mort juste pour avoir travaillé pour la société matérialiste, vous avez tout simplement conçu vos vies, au rythme de vos pensées. Vous êtes donc morts pour l'éternité. Entrez dans un monde parfait, celui de vos psychés.


Chapitre 9 Messager de la paix, conteur de l’éternité. Tout est dit. Mais vous souhaitez en savoir plus, encore, lire dans vos pensées. Un jour un homme m’a dit que l’avenir ne doit pas se dire de but en blanc, que l’argent doit être demandé, en échange d’un don, d’une capacité. Cet homme avait dans les pensées, de me soutirer de l’argent, manipuler le fait pour que mes songes soient, attirer vers lui l'intérêt de mon porte-monnaie. Malheureusement le mien était vide, seulement il ne le savait pas, je fais toujours croire à mot passant que mes poches sont pleines de richesse, ce n’est pas ma faute, mon cœur agit avec sincérité, mon honnêteté est de lui avoir dit que je ne peux le payer, cet homme voulait me dire mon avenir, que en le payant il m’apporterait d’autres richesses, que par ses prédictions je gagnerai de la chance et que ma vie serait emplie de bonheur, toujours mon honnêteté lui inspirant ma vie déjà emplie. Cet homme avait besoin d’argent pour vivre et moi aussi, malheureusement il ne voulut pas devenir ami, puisque mon argent lui aurait suffi. Bien mal acquis il perdit l’argent, l’ami, et le bonheur de me ravir d’une prédiction. Son mal-être me suffit, vampire de l’an « nui », vieille âme que j'avais déjà saisie. Avec un don offert par ses ami(e)s, ceux-là même qui étudient comment manipuler les gens, des charlatans. L’histoire d’un temps que je déprécie. Des histoires comme celles-ci je vous en raconterai des milliers tant que j’ai mon mot à dire, d’ailleurs en passant Maupassant aurait pu rire de mon ennui, la tirade était pourtant bien choisie, et mot passant, j’en ris tout seul, Jean est aussi un de mes amis mais lui n’en rit pas il déprécie aussi, pour preuve c’est un ami et il a bien compris, que depuis longtemps je perd mon temps à vous expliquer comment me rire au nez. Dérision et humour noir duquel je meurs de rire, Jean ne rit plus


d’ailleurs il n’en rit que par pure sympathie, sa fourberie m'enrichit, mais sournoisement, je dis que nous devrions nous offrir un repas, un jour ou l’autre viendra. N’est-ce pas ? J'enrichis donc l’esprit des gens, sournois petit esprit des temps. L’étang dans lequel je pêche, mes idées, mes péchés, mais ne pêchez pas pour autant parce que je pêche, d’autres chassent et sont tout aussi contents, l’étang du savoir dans lequel je pêche se trouve dans un marais, et marrez vous, vous ne le trouverez jamais. Je l’ai empoissonné de reptile, poisson dangereux, même le chasseur qui attend sa proie à quelques lieues de mon marais sait bien qu’il ne faut pas s’aventurer sur les terres d’un seigneur malchanceux, au risque de se voir tiré par la connerie de ses envies, mon fusil je vous l’ai dit a changé d’épaule, je suis à la fois droitier et gaucher, blessez-moi d’un côté l’autre vous aura déjà tué, en réalisant que vous avez gagné le duel, vous vous rendrez compte qu’en fait vous avez été touché mortellement, l’esprit, le spectre de l’an « nui », comme si je n’y avait pas vécu. Croire que me demander de l’argent en me faisant croire à une aide que vous n’êtes pas capable d’apporter vous mettrait dans une position inconfortable, comme si une fois le chasseur arrivé au marais se rendait compte qu’il avait perdu sa cartouchière, mais où, dans les mille hectares qu’il vient de traverser, le sol humide a recouvert ses traces de pas, la nuit approche, l’ennui de ne plus savoir à quoi bon pouvoir se fier. Mourir là dans l’ennui avec le souvenir d’une chasse non réglementée, chasser dans le marais d’un seigneur malchanceux, sur le terrain d’un autre ne vous ayant pas autorisé, alors rigolez, marrez-vous avant de trépasser, les histoires qui font peur sont aussi celles qui font avancer, dans le noir la lumière se trouve au fond du cœur, pour peu que vous ayez traversé une contrée éloignée sans avoir demandé la permission de vous y perdre, les chemins sont tous tracés. L’ennui est de ne pouvoir s’y retrouver. Ça n’est pas parce qu’un pêcheur revient bredouille, qu’il n’a pas su utiliser son savoir ; il a peut-être seulement été surveiller son emplacement, l’endroit et le temps ne sont pas toujours d’accord, mettant le prédateur dans une position inconfortable. Dans l’attente, éviter de se faire tirer sa place, au risque de ne plus pouvoir pêcher. Mon marais est réglementé par des hectares de fil électrifié, c’est la moindre des choses lorsque ont y fait


vivre des bêtes féroces, capables de vous manger, une autre fois je vous parlerai de mes dragons. Bêtes et disciplinés.


Chapitre 10 Les drageons de l’arbre du temps et les dragons de l'éternité. « Yggdrasil » pour ceux qui le connaissent, et pour les autres vous vous renseignerez, je n’ai pas pour objectif de raconter les histoires des autres. L’arbre et la guerre, deux guerres en guerre, un dhampir a commencé par se voir accorder des troupes puisque sa vie est faite de guerres, et cette fois-ci deux guerres sont en guerre, une interplanétaire ne suffisant pas, les chefs de guerre se disputent les meilleurs éléments, parce que pour survivre il faut d’une guerre, ne pas mourir. Les éléments les meilleurs sont ceux qui se battent par pur esprit de gain, sinon cela n’aurait pas d'intérêt, être gagnant rapporte, en ce cas précis la vie. Organisons donc nos pensées afin d’y trouver des maîtres en la matière, savoir qui suivre pour mener la guerre, je parle de celle qui est interplanétaire, ne le saviez-vous pas ? Notre système solaire n’est malheureusement pas le seul dans l’univers, il serait compliqué avec la technologie matérialiste d’aller prouver ce propos. Encore que certains cherchent, alors que par simple déduction ils pourraient comprendre que nous sommes donc en guerre. Cela va de soi, mais bien évidemment les gouvernements occultent cette facette du temps, pour garder l’emprunte du temps sur vos vies, ils ont malheureusement besoin d’argent pour financer les projets les plus chers de tous les temps. Et c’est donc par notre interdépendance que tout cela se concrétise. Travaillez un temps puis mourrez, revenez travailler chacun votre tour, on a besoin de tout le monde, un discours paraphrasé de mes messages que je commence à ne plus supporter. Voyez-vous il est plus simple de voler une idée, que de payer celui qui l’a eue, surtout quand le besoin se fait pressant d’avoir de nouvelles idées, surtout lorsqu’on en a pas mais que l’on a l’argent pour la faire vivre « l’idée ». Celui qui a les idées, enfermons-le et pressons-le comme un citron, besoin de ses idées mais de rien d’autre. Sondage de


l’esprit qu’une machine servant les ondes, le climat, pour éviter le dérèglement, peut apporter si l’on prend bien soin d’étouffer tous ceux qui souhaitent révéler à quoi peut servir une machine aussi puissante, que croyez vous ? Que depuis les années 1912 et même avant, les dirigeants n’ont pas tenté d’étudier le paranormal, depuis la nuit des temps, des hommes possèdent des capacités servant à communiquer avec l’au-delà, la désinformation est telle, que ça en devient de l’occultisme, quoi qu’on en dise le plus dur aujourd'hui est de faire entendre son message pour peu que l’on en ait un a faire passer, d’urgence. Et ça n’est plus sous les manteaux que l’on se repassera la propagande mais directement dans les esprits, les prises de conscience se feront bien plus menaçantes que jamais. Les dragons de l'éternité combattront avec ferveur aux côtés des maîtres dignes de servitude. Un dragon reste terré dans sa hutte, parfois pendant un bout d'éternité, et ne sort que lorsque le chasseur se voulant devenir maître, pour chevaucher l’esprit de confiance. Qui mettrait son cœur au service du besoin, un dragon ne se cherche pas, un dragon ne se chasse pas, un dragon s’éprouve, se ressent, se voit. Et sur les ailes de sa confiance vous distinguez les horizons qui jusqu'à présent vous étaient cachés, contés bien souvent dans des histoires sans fin, repoussant toujours au lendemain votre espoir, et la confiance se met a nu, que lorsque le besoin est suffisant, ainsi le dragon déploie ses ailes et tue pour vous par sa chaleur, son râle écarte toutes calomnies, provoquant les déboires de ceux ayant souhaité votre malheur, dans l’air du temps, l’on peut apercevoir l’ombre d’un doute, couple d’amour cité par mes soins, les deux dragons de l'éternité « confiance » et « doute », ne faisant qu’un pour mes désirs et ma propre destinée. Ne vous fiez pas à mes histoires, pensez plutôt aux vôtres cela vous évitera de perdre votre temps, votre argent et votre vie. L’initiation du cœur, spiritualité de l’esprit, guerre sidérale, que sera votre mort, en distinguant à quoi sert votre vie, dites-vous que vous servirez l’éternité dans un combat saint, et sans merci. La vie.


Chapitre 11 Cher humain, chérubin. Toutes ces années, les ans contés sur mon papier, compté par les morts, dans leurs archives, les serveurs cosmiques et les administrations d’état de l’univers, humain, cher humain, chérubin du temps, enfants de la terre, dieu n’est pas votre père, la spiritualité est « vôtre », les dieux sont « nôtres ». Mes enfants, les miens, pas que vous croyez que je vous prends pour mes enfants, lecteur d’impatience, l’indifférence est de vouloir vous mettre au même rang que celui du bonheur. Et donc, mes enfants à qui je m’adresse ici pour retrouver un jour trace de leur père ayant considéré le temps comme une notion permanente de son absence. Mon travail nécessite beaucoup de temps, un jour à un coin de la terre, un autre au bout de l’univers, je règle des affaires qui feront de votre avenir, un passé en devenir, « Guillaume » ne sois pas si intransigeant, ce matin tu me congédies parce que ton cœur souffre du mal dont j’ai souffert il y a bien longtemps, je t’explique simplement que je reproduis mon mal-être, blocage de mes sentiments, que je t’inflige par mon passé, l’avenir est déterminé. Tu as bientôt 9 ans, ta mère veut que je passe ton anniversaire à vos côtés, mais les affaires du temps ne souhaitent plus depuis longtemps, les anniversaires de ses propres enfants, un cadeau sera déposé au pied de ton lit, pour la surprise que tu vivras, un cadeau d’avenir que les autres t’envieront. Une pensée que j'aurai pour toi, si loin sois-tu, ce sentiment je le bois et m’en indiffère, parce que je construis un moral d’acier à mes enfants, souffrir d’un père vivant, longtemps absent. Cher humain, passer votre CACES spirituel, c’est apprendre à conduire un corps charnel vers la lumière, l’illumination de votre cœur, le divin de chacun. Un corps charnel végète, une flamme, une âme l’anime, un esprit l’envie, un spectre l'apprécie. Le jeu de la psyché, le « je », le « moi » et le « surmoi », la conscience, l’inconscience et le subconscient, les psychiatres et les psychologues devraient le savoir ou l’avoir remarqué, que la psyché n’est pas palpable comme un cerveau


que l’on pourrait soigner, la psychiatrie est la médecine de l’âme. J’en suis malade, j’en meurs, d’un traitement aussi puissant qu’il n’a jamais eu que pour effet de faire disparaître mes crises d’angoisses, celles-là mêmes qui provoquent une paranoïa, mais c’est juste une condition que la société engendre, faiblesse de l’âme, de vivre dans un monde extra- terrestre, paranormal, et occultez donc les vérités qui font du monde une merveille de la psyché, décadence physique provoquée par l’indifférence de ceux qui contrôlent le monde, les gens d’argent. Vos conditions, névrose, psychose, sous toutes les formes que vous voudrez, sont des états de l’être humain, alors dire que vous êtes malade c’est vous conditionner dans des archives, celles de l’état d’ « être », classeur cosmique cataloguant les âmes susceptibles d’intervenir directement avec l’au-delà, l'incontrôlable esprit qui pourrait engendrer des peurs chez le commun des mortels, troubler l’ordre public, perdre le contrôle des populations, perdre beaucoup d’argent. Puissance, pouvoir, contrôle, argent, détermination des plus grands psychopathes et sociopathes de l’état d’ « âme », un autre dossier bien caché, celui-là ne sortira jamais, pas comme le dossier des « retraites » que l’on garde pendant des années, le présenter au bon moment, période frêle, faisant comprendre aux psychés inconscientes, qui a le pouvoir de décider. Vous a-t-on demandé, sous forme de référendum ? bien sûr que non, vous n’avez plus aucun pouvoir de décision, le nouvel ordre mondial, prend forme de constatation. Les psychés sont aujourd’hui, à l’heure où je vous parle, contrôlées, vous le remarquerez, de vous-même. Le combat va commencer.


Chapitre 12 Vos pensées valent mieux, combien valent vos pensées, mieux vaut se battre, alors pensez. Voici votre premier combat, pensez vos propres pensées, distinguez celles qui ne sont pas les vôtres, et rendez-vous compte qu’on vous influence, et que l’on vous fait faire … un médecin vous dira, paranoïa. Un message subliminal peut prendre plusieurs formes, dans la rapidité ou dans la lenteur il est tout aussi subliminal et donc influence votre jugement, la société de consommation est basée sur le sublime pour vous faire croire, avez-vous vraiment l’utilité de tout ce que l’on vous fait acheter, la modernité a un flot très peu irrigué. Ils fondent, là-haut, des phrases avec des pensées nanomifiées, assimilez d’abord la dureté de la tâche, et préparez-vous au combat, se battre contre des forces invisibles. N’en voulez pas à votre voisin, même s’il a l’argent et que vous n’en avez pas, expliquez-lui que vos sentiments ne s’achètent pas. Ainsi son argent ne lui servira bientôt plus à rien, si ce n’est à rembourser sa grosse voiture qui le mènera directement dans le gouffre du « bien fait », bienfaisante pensée que de bien faire comprendre, l’argent ne facilite que la descente vers le néant qu’est l’au-delà. Vous n’emportez rien dans votre mort, seule richesse acceptée, le cœur peut se remplir d’un fond sans fond, cela vous fera grandir plus vite, nourri par la gastronomie de l’âme, et en ce dimanche matin je vais d’ailleurs offrir des viennoiseries sorties du four que ma pensée a confectionnées il y a de ça une heure passée. Créer par la pensée, l’énergie pranique se mange, nourrit l’âme mais il faut quand même pour le moment aller bosser, un corps charnel a besoin aussi de déguster, condition d’éternité que de se suffire de la pensée.


D’après vous combien vaut une pensée ? Cela dépend de la forme qu’elle prend, de la forme de l’amour, de la forme d’une idée, de la forme d’une envie… Mais pour être précis c’est la psyché en elle-même qui peut s’acheter, votre propriété intellectuelle. Que la vie vous a donné. D’autres ont su conditionner pour y gagner de l’argent, vous faire naître ou renaître, vous faire mourir, pour y gagner. Vous êtes fiché depuis bien plus longtemps que vous ne le croyez. Derrière chaque âme, chaque corps charnel, un ange, un gardien, un ange gardien, ou un occulteur de vos pensées, pour certains ce sera bien plus dur de reprendre le contrôle de ses pensées. Tout dépend de ce que votre psyché est capable de réaliser, bien souvent, les pauvres des quartiers sont les plus enclins, les plus riches, les plus intelligents, bien que vos pensées sont contrôlées, vous êtes donc relégué au rang d’ancien trépassé, redescendu lobotomisé. Parce que vous êtes devenu dérangeant, trop intelligent, pour un monde de cécité, l’argent a dispensé, l’élite, la mascarade, la pitrerie. L’influent poste d’avenir dont dispose un dirigeant, lui procure pouvoir, force et sentiments, à dispenser au gré de ses envies, et sans répit. La vie tue, par une simple envie, faites attention a vos pensées, un problème peut se créer, par simple intention envers une condition. Certains disent de moi que j’incarne plusieurs prophéties, un cœur est prophétique, nous sommes tous prophètes de notre propre vie. Le poste auquel on se destine, prophétise l’avenir des esprits menant leurs vies, sur le fil de vos croyances, ainsi donc les religions sont nées. Prônées par des entités ayant accédé à des postes de choix, leurs intelligences ont fait leur pouvoir, ils ont donc sectarisé leurs idées, pour en faire des croyances, et beaucoup croient encore au destin qu’on leur prédit. Souvenez-vous, le voyant n’a d’autre intérêt que celui de votre portemonnaie. Parce qu’une vie rapporte, c’est bel et bien l’état du jeu de société qu’engendre les religions, les états, les gouvernements, comme dans un jeu de stratégie ou l’on devrait construire l’avenir pour des millions de psychés, leur procurer des besoins, leur amener les moyens d’y recourir, et ainsi gagner du temps, de l’espace, du pouvoir, des sensations de puissance qui font de la psyché un état de prédilection, de là à prophétiser avec des idées volées, parce qu’on ne peut pas tout avoir, l’argent fait le bonheur éphémère appelé aussi « malheur des


autres » ou dans un autre sens « ma l’heure des hôtes » ce qui veut dire que les heures que vous vivez font le bonheur de ceux qui vous font vivre.


Chapitre 13 Les nombres, les chiffres, numérotation cosmique. Les noms, l’échiquier, citation humaine. Le phénomène de synchronisation, peu connu, mais bien souvent remarqué par bon nombre d’entre vous. Vous vous levez ce matin, il est 08 heure 08, et malheureusement cela ne vous aide pas. Encore que s’ils ont gagné un peu de temps en synchronisant nos faits et gestes, c’est surtout pour celui qui vous synchronise de pouvoir vous laisser marcher sans peur vers le croisement prochain, et de pouvoir interpréter plus facilement votre lendemain, le croisement, la croisée des chemins, sans route sans panneau, crée inévitablement un besoin d’« aide », apportée par celui qui croisera votre chemin à ce moment précis, est-il synchronisé lui aussi, les billions de psychés et de travail d’éternité, permettent de mettre derrière chacun de vous un chien, esprit de lendemain, interprète de la vie, parlant plusieurs langues, aussi un métier, pouvoir diriger un corps atteint de cécité. Et pour vous rassurer, maintenant, je vous conte, le cercle de protection qui fait ma délinquante promenade, deux gardes, trois esprits frappeurs, quatre anges, et mes cinq chiens, toujours trois véhicules stellaires pour déplacer mes envies, pour cela je ne sors qu’en cas de nécessité, on a plusieurs fois essayé de me tuer, mon entreprise et au-deliste, bientôt cinq cent milles esprits travaillent pour la sphère d’amour, ma bulle personnelle que je partage à toutes conditions valant le détour, enclin à faire l’amour. Plus d’une centaine d’activités, entreprise universelle « Daken’s land », les plus importantes en lien avec le matérialisme, protection spirituelleexorcisme, production musicale subliminale, littérature divine … et bien d’autres que je vous citerai au fur et à mesure.


Ainsi certains artistes ici-bas, prônent des messages parlant de moi, ma radio subliminale, fréquence que vous ne trouverez pas tout simplement parce qu’elle est branchée sur toutes les fréquences. Pour peu que je me branche. Omnisciente acalmitée. Bilocation. Vie de condamné. Ça coûte une partie de mon cœur que de vouloir offrir un avenir à vos psychés, ça prend du temps, et ça rapporte bien peu d’argent pour le moment. paraît-il que Maitreya, l’antéchrist, est arrivé, commence à se faire connaître, je vais devoir le combattre voire le tuer, et prenez bien ces lignes comme une menace, la diffamation sera de nier votre vraie utilité, devant un tribunal je peux m’expliquer. Vos prénoms, vos noms de famille, ont tous un sens à distinguer. Peu importe le ton que vous y mettrez pour entendre les vraies consonances, empreinte de votre personnalité.


Chapitre 14 Toc, paranoïa, paranormal, tic tac le temps nous est compté. Les toc, syndrome d’universalité, paranoïa paranormal, comme si vous étiez devenu un malade, patient pour l’éternité, patience vous apprendrez bientôt ce que sont vos tocs. Le système nerveux a besoin de s’exprimer, surtout lorsque la paranormalité des choses commence à subjuguer vos envies, vos sentiments. Vous devenez donc toqué, la limite entre la folie et la raison fait de votre état une condition, l’âme peut être atteinte, l’esprit aussi, comme si l’au-delà n’était pas enclin à des conditions dépassant l’entendement, la perfection a un rôle dans tout cela, sans l’évolution de nos conditions la perfection n’a pas lieu d’être, étudions ensemble, le pourquoi du comment, pour trouver le « qui » et le « parce que », nous indiquant les modes de fonctionnement. La psyché en perpétuel mouvement, les pensées ne s'arrêtant jamais, permettant à l’esprit d’étudier « la condition » humaine, ceci est une pluralité. Si nous distinguions l’au-delà, nous y verrions sans nul doute des dizaines, voir centaines de mouvements à l’instant présent où nos yeux s’ouvrent le matin. Tout au long de la journée vous partageriez votre repas avec toute votre dynastie, l’omniscience parallèle due, de votre psyché. L’imagination à cet instant donné devient la réalité. Ce que vous y voyez est donc votre éternité. Les images, les pensées et discuter maintenant avec votre famille, prenez-vous à rêver de vos voyages dans l’éther, monde parallèle de nos pensées, plateforme cosmique servant la psyché, comme si l’inconscient demandait à l’éphémère les besoins que vous aviez. La paranoïa, c’est tout simplement distinguer beaucoup plus de choses qu’un simple corps atteint de cécité, vous êtes maintenant éveillé. Rassurante envie que vous avez a ce moment que de vouloir apprendre qui vous êtes et ce qui s’offre à vous. Les tocs, deviennent incessants, seulement dites-vous que vous êtes devenu un phénomène pour les esprits vous étudiant, cobaye prouvant


que l’être humain peut bien plus, et indépendamment demander votre indépendance, que l’on ne touche plus par sortilège à votre système nerveux, votre mort peut servir d’expérience pour la formation des esprits entourant votre psyché. Nous sommes donc considérés ici-bas comme des « larves », c’est un pronom qu’ils aiment à donner, le matérialisme et les poupées de leurs destins. De mon point de vue déconditionnée, ce qui fait ma condition et qui a engendré mes entreprises, je refuse que le matérialisme soit une base neutre, pour assouvir leurs abscisses et leurs ordonnées de subtilités, je fonde de nouvelles bases, offrant ainsi au charnel les moyens de vivre pleinement, l’amour et la conscience de l’être, pleine et entière, satisfaction que vous obtiendrez.


Chapitre 15 L’histoire détend, le temps conté dans une histoire sans fin, détendre les esprits. Lorsque vous achetez un objet, votre esprit a décidé de se l’offrir également ou peut-être pas, vous n’en auriez pas la même utilité, mon livre est aussi divin, produit du psychisme de l’être humain, achetez donc avec votre cœur une lecture, poésie du divin, divine lecture à partager avec quelqu’un, vous-même, subliminale envie, fusion de l’esprit. Vous êtes bien avec vous-même, vous parlez d’amour et au même moment vous vous faites l’amour, avec des mots sublimant votre égo. Centrisme de l’âme, égocentrisme auquel chacun a droit, et narcissisme provoquant l’âme, l’esprit devient vôtre, vous fusionnez avec votre génie, celui qui accorde tous les souhaits, une lampe est allumée, ne la frottez pas, Alladin ne viendra pas. Les entités divines proclament des histoires à diffuser, en lien avec notre psychisme, fictions de nos réalités. Pour cela chacun a sa place, dans les histoires contées par le divin ; sorti de nos rêves, l’imaginaire est un lien de communication, l’au-delà nous parle depuis que le monde est monde, pour ceux à qui cela rapporte, occulte les raisons qui font de nos conditions, le génie humain, nous avons tous besoin d’exprimer notre art, penser devient un métier, l’art de vivre. Un rhume s’obtient. Vous avez froid et le changement de température provoque un frisson, un microbe passe, microscopique envie de rester au chaud, réaction physique d’aller se recoucher, sous la couette vous venez de subjuguer la société voulant de vous que vous alliez travailler. Un sort jeté par votre esprit voulant lui aussi un peu de repos, magicien et sorcier de l’au-delà vous avalez un verre d’eau, potion rhumatique, comme faire changer de l’eau en rhum et sans goût sans odeur vous croyez bien avoir avalé de l’eau, l’erreur est de ne pas pouvoir


distinguer l’aspect. Microscopique microbe et aussi une envie pouvant se manipuler sous forme de potion miraculeuse, toutes les maladies se provoquent par un sortilège, plus ou moins dur à prononcer. La psychiatrie est un sortilège sociétal engendré par les gouvernements, votre vision change, vous êtes maintenant la morsure du temps qui passe, dhampir initié. Les vampires ne voulant pas apprendre seront tués par le temps, mon ennemi et associé. L’amitié que j’ai pour le temps se divulgue sous forme de secondes que l’on partage lui et moi, il est donc aussi, parfois, un ennemi que je combats, lorsque ses secondes me tuent, je déconnecte de la sphère où il se trouve, pour rejoindre sa concubine « impatience » qui se trouve de l’autre côté de la barrière, elle me console et me pousse à revenir batailler avec le temps, pour que ma vie ne s'arrête pas d’une simple envie, vouloir suicider mes heures, pâle bonheur. Dans l’univers, le néant. Du néant naît la vie, l’au-delà s’en enrichit, de pouvoir accueillir vos envies tout en restant ami du temps, l’impatience vous attend et brode pour vous l’envie de découvrir les formes que le temps ne veut vous dévoiler. Barrière du corps que le temps a conditionnée, spiritualité incarnée, vous pouvez à présent distinguer l’aspect du temps que j'appréhende, vos subtilités sont faites d'abscisses et d’ordonnées comme sur un graphique avec d’un côté « le temps » et de l’autre « l’impatience », faites le calcul de votre passé, vous êtes au point zéro et ne tient qu’à vous de comptabiliser vos souhaits, concrétiser un lendemain, irrationnelle réalité, pensée en trois dimension. Écran subliminal qui vient de s’allumer dans vos psychés. Télécommander vos besoins, l’Internet ne sert à rien. Branchez-vous sur le serveur cosmique, les archives universelles sont à votre portée, ne vous étonnez pas de vous entendre dire que les accès sont saturés, l’inconscient collectif apprend au même moment, vous êtes tous branchés sur l’onde universelle qu’est l’au-delà. Avenir certain, mourrez demain et votre esprit travaillera vos pensées, vous fusionnerez, l’âme merveilleuse que vous devenez, esprit éternel, cousin de l’univers, folle normalité. Mon livre que vous achetez vous est personnel, vous y avez mis vos pensées, graver sur ces lignes, et relire entre les lignes vous aidera à étudier. Un sortilège que vous avez concocté depuis tout ce temps, lire attentivement un sortilège datant. Grimoire vous appartenant en


espérant que sont aspect de papier puisse traverser le temps, annotation divine, votre expérience privée. Un livre peut se prêter au risque de voir vos idées disséminées, vos souhaits volés ou partagés, avec vos enfants peut-être, et nous le savons bien le temps ne rend pas la monnaie, comme si vous donniez votre concept, en espérant revenir dans le passé pour pouvoir le concrétiser. Le temps peut s’absenter pour vous laisser mariner dans le chaudron de la vie, brûler sous le feu du mal-être, si vous ne comprenez pas que la mort arrête les pensées, pour en faire un psychisme divin, esprit de lendemain, métier universel de pouvoir vivre un bout d’éternité dans l’au-delà.


Chapitre 16 Coupure, incision, mes outils de vérités. Vous êtes bien là, en train de lire une actualité. Programme de raisonnement, ma thèse d’autrefois. Je coupe avec une pensée, une envie, une vision erronée. Je couds avec un fil d’amour, surjet et lorsque vous cicatriserez, l’amour que je vous ai donné ne pourra plus s’envoler, inscrit dans vos pensées. Je peux aussi forger, pour ceux qui ont déjà un moral d’acier. Boursouflure du feu, élément que je manipule avec parcimonie, mon apprenti. Chirurgien de l’esprit, forgeron du temps, maçon du cœur, artiste de l’époque, mes cordes, mon arc, archer de l’espace, artilleur cosmique, général de guerre, généralement j’hurle sur mes officiers, pour éviter que vous ne trépassiez. Bien souvent mes pelotons d'exécution, qui travaillent par envie et non par sentiment, vont se perdre au fin fond des lieux qui font de nos contes des histoires sans lendemain, tuant ainsi des hommes possédant un avenir qui ne nous sert à rien. Accident, veut dire qu’on ne sait pas ce qui s’est passé, vous ne le savez peut-être pas que d’autres savent, il s’est passé des raisons, que des sentiments n’ont pas pu contrôler. Mes patrouilles surveillent les dirigeants, travaillant comme avec des sous-marins s’enfonçant vers des lieux gouvernementaux, et ne remontant jamais, nourris par leurs pensées, pas de famille pour des guerriers forcenés. Certaines de mes compagnies rôdent près des lieux religieux, cimetières, églises, mosquées, ou palais royal qui sont aussi à surveiller. Des fous sont parfois possédés et tuent bien concrètement, les envies de quelquesuns. Psychiatre et philosophe, je trouve toutes les réponses dans le potentiel de vos psychés, l’inconscient collectif et le serveur cosmique du temps. Mes différents métiers me procurent une sensation que vous pouvez imaginer, et avec modestie je vous dis que je ne suis pas plus intelligent que vous, simplement j’ai appris, j’ai poussé la réflexion, un peu plus loin, espoir et croyance, soi-disant ne mènent a rien. L’espoir fait vivre,


les croyances font survivre. La subtilité est de savoir les utiliser au bon moment. Certains se font tuer pour éviter leurs souffrances, parce qu’ils sont plus importants là-haut, il est nécessaire de les bousculer entre les portes d’un autre destin. Beaucoup sont morts à cause de leurs envies. Apprendre à ne plus penser, ne fait que vous protéger des lecteurs divins, métier certain, lire dans nos pensées, esprit de lendemain. Le fil de ma pensée coud donc vos psychés pour pouvoir vous retrouver, au cas où l’on essaierait de vous kidnapper, dans le fond de votre âme se trouve une flamme, un feu servant à communiquer vos envies, mais aussi à allumer vos sentiments, brûlez donc vos vies, papier et livre du destin. Aux feux de la Saint-Jean, vous trouverez tout intérêt à participer. Chacun doit reconsidérer sa propre utilité.


Chapitre 17 Billet d’entrée à l’université, facultés divines, recruteur d’état d’âme. Vous êtes maintenant en fin de droit, l’école touche à sa fin, les portes du collège s'entrouvrent, vous devenez majeur et de ce fait, devez apprendre à divulguer vos pensées. Apprendre tout d’abord à ne plus penser, faire le vide non pas autour de vous mais autour de votre esprit, seul, les pensées s'arrêtent, ne restent que vos envies à contrôler, essayer de ne plus aimer, c’est comme si vous étiez mort, la fin d’un monde, et votre vision se déconnecte, vous passez dans un autre monde, celui de la pensée. Créez maintenant vos souhaits, qui deviendront envie comme par magie et sentiment pour peu que vous les fassiez partager. Trouver un collègue dans un collège universel n’est pas chose aisée, peut-être au rayon où vous avez acheté ce livre, l’ésotérisme vous réserve de bien belles choses, attention un destin peut se tracer sous vos pieds. Vous payez votre programme de raisonnement quelques euros, vous faites votre propre cours, psychique, philosophie d’état. Être soi-même devient maître mot et vous êtes maintenant votre propre maître. Mon cours s'arrête là ou votre raison commence, élève assidu, et téméraire vous êtes devenu. La vie en cadeau, l’avenir enrubanné, votre passé, bilan titanesque de vos ancien maîtres, cachés derrière leurs tableaux faisant crisser la craie chaque fois que leur envie d’argent, se méprend de leurs sentiments. Vous trouverez également dans vos nouvelles envies de quoi assouvir vos besoins, le chagrin est une condition menant indirectement à une nouvelle vie, faites couler les larmes du désespoir, et vos armes sortiront d’elles-mêmes, comme un robot venu du futur, terminateur de votre besoin. C’est un diplôme divin, brevet de votre état, faites donc votre conclusion, votre bilan et attribuez-vous une note, l’envie que vous avez est un bon outil de calcul, l’intensité de vos souhaits pourrait faire


bouger des choses. Vos prochaines lectures seront neutres et vous serez enclin à juger par vous-même, constater d’abord que vous « êtes » un être à part entière avec des capacités psychiques qui vont au-delà des barrières que vous aviez. Si vous avez raté votre première année d’étude personnelle, initiatique, spirituelle, il vous en coûtera le même prix de relire vos lignes ou de perfectionner votre imagination, de repenser les faits, écrivez maintenant le grimoire de votre vie, des pages de souvenir gravé dans votre inconscient, allez chercher votre passé et étudiez-le à nouveau, demain trépassera. Ouvrez-vous à votre avenir, ruban rouge fantasme universel, et symbolique de paix. L’au-delà nous est conté, par des histoires sans fin, la fin du monde, est, dans nos rêves la fin d’un monde, une cécité cité, la cité du bonheur, l'éden de notre passé. Diplôme divin que je viens de vous accorder, patient et déterminé à patienter, malade de vous, maladie d’amour conditionné. J’ai travaillé pour vous, sociologue de l’humanité, économiste patenté, détenant l’éternité, dans le souhait d’être attentionné. Patient déterminé. Concepteur d’envies, ingénieur d’idées, technicien de l’amour, j'attends bien évidement un retour, celui de vous voir réussir, à vivre l’inconditionnel amour interdépendant. Celui que vous avez tant demandé. L’histoire d’un jockey et de son cheval, courant pour le prix d’une éternité. D’un parieur, joueur, et gagnant d’un lot inestimable, le temps, l’espace et l’éternité, l’argent du cœur. Aujourd’hui multimilliardaire, je répands mon argent sur vos bonheurs, dirigeant, maître du temps, influence menaçante quand j’ouvre la bouche, se voir promulguer un discours d’éternité. Conteur, enchanteur, sorcier, magicien à temps plein. J'entends déjà vos discours, cet homme est fou, il a gagné et perd de suite son temps, …, je ne fais que fructifier l’argent, l’amour que vous m’avez donné. Je vous le rends pour que vous en fassiez profiter le monde entier. Faites de votre bonheur un partage évident, sans cela à quoi sert de vouloir en avoir.


Diplômé maintenant, marchez vers le divin lendemain que vous vous offrez, pour quelques euros, monnaie dépassée. Le cœur est une prison dont vous avez la clef, ne la donnez qu’à l’autre moitié, propriétaire de l’autre cellule que vous partagez. N’essayez jamais de vous évader d’une cellule qui n’a pour d’autre mission que celle de vous aimer. Un double de votre clef, pour ouvrir la porte à un autre cœur, quand le copropriétaire partage votre dragon, « confiance » sèmera par « le doute » votre malheur, sauf si ces deux-la sont d’accord. Le cœur a deux raisons d’aimer, la « confiance » et le « doute ». N’engagez pas le malheur à devoir présager. L’amour est un diplôme à posséder, sans cesse devoir réapprendre, les abscisses, les ordonnées, recalculez votre destinée, faites un bilan une fois par an. Programme universitaire universel que vous distinguerez par les années passées.



Histoire sans fin… À demain.


Tome 2 Baccalauréat, lycée de l’esprit, et permis de conduire.


Chapitre 1 Lisser l’esprit, l'entrée au lycée. Vous êtes maintenant dans la cour, des grands esprits se rencontrent, l’avenir se prédit autour des bancs, sur les trottoirs devant les grilles vous faites le commerce de l’esprit divaguant de vos idées, vendu contre un peu de chaleur, l’année commence sous la neige et la glace se casse déjà sous vos pas vers le lycée. L’empreinte de vos pieds, tournés vers votre classe, le professeur attend déjà votre bilan, sous ses yeux votre brevet en forme de souvenir, archives de votre passé. Des dossiers à étudier, vous confier une place dans la classe, à côté de celui ou celle qui sera le titulaire de vos heures perdues, apprendre dans un premier temps que votre bulle se voit mais que votre personnalité se cache, en ce début d’année, apprendre à regarder. Votre troisième œil, doit s’ouvrir. Vous êtes rené sous des hospices d’universalité, pansez vos plaies, nettoyez votre esprit du bizutage collégial, film céciteux levé par votre psyché. Entre vos deux yeux charnels se trouve un point de concentration, un peu au-dessus du nez l’iris de vos pensées, l’œil du savoir, le regard du pouvoir. C’est comme apprendre à un nouveau-né à reconnaître les formes, les couleurs, vos premiers ressentis marqueront votre condition, et le professeur se chargera de guider vos envies vers un métier d’éternité. J'écris ici une histoire fantasmagorique, mais tirée du réel elle est donc fictive, l’irréalité concrète est que cette histoire se base sur des faits que vous allez engendrer, je vais donc vous laisser conter un récit imaginaire, pendant quelques jours, déconnecté de la réalité matérialiste, il vaudra peut-être mieux que vos week-end se chargent d’idées, ou vos vacances de randonnées astrales. Prenez conscience du droit divin. D’un esprit pouvant aimer, d’un aïeul aimant vous suivre, d’un ange gardien voulant discuter. Des objets souvent se déplacent, parce qu’un élément perturbateur a fouillé dans


vos affaires. Vous avez oublié de poser vos habitudes à leurs places respectives, vous avez donc été soumis à contribution. Vous aviez d’autres choses en tête, si bien que votre esprit a pris la suite de vos pensées, et quand vous revenez tout a bougé. La fusion n’est pas si simple, apprenez d’abord à vous connaître, se croiser le matin sans même se dire un mot et pour excuse vous étiez mal réveillé. Un jour vous prendrez votre tasse de café sur les genoux, renversée par l’inconscient, réveillez-vous. La conscience s’endort quand l’inconscient s'éveille, c’est un moyen de vivre chacun de son côté, sans empiéter sur la vie de l’autre, apprenez qu’un être humain a plusieurs corps, chacun dans sa sphère et chacun doit faire satisfaction de cette fusion. Sans cela pas de spiritualité, pas d’illumination, j'entends pas d'intérêt de partager avec soi même, la beauté de l’univers, apprenez de vous-même, vous êtes le meilleur professeur, et vos jugements seront pris avec respect, les autres ne pourront « que » constater. Les juges se feront maîtres des inconditionnements ou mal conditionnés, vous devrez rediriger les pensées. On ne comprend pas toujours ce que veut dire le professeur, c’est par votre recherche personnelle qu’il faudra comprendre et par votre vécu que vous assimilerez. Je n’ai malheureusement pas le temps de diverger sur toutes les idées évoquées. Je vous évoque le programme, citant les grandes lignes avec quelques arguments, quelques exemples, vous êtes aussi amené à rejoindre les premiers rangs, les classes sont grandes et tout au fond vous n’entendez que des balbutiements entrecoupés des raisonnements miteux des titulaires du fond de la classe. Vous avez choisi de changer de place, soyez présent à l'heure de vos devoirs, l’au- delà c’est la vie, mais ça peut également devenir le cercueil de vos passés, endormi par lassitude ou momifié par l’envie d’un premier rang, ayant appris a endormir un esprit malin, se croyant fainéant et plus intelligent, endormi et oubliant de se réveiller par cause d’oubli, phénomène datant de l’an 15 avant Jésus Christ. Lui, avez bien appris, si bien qu’il maîtrisa un don que peu lui envient, donner la mort et rendre la vie, appartient de savoir apprécier l’ennui du rôle soumis à votre personnalité. Divinité. Ne soyez donc pas pressé de voir certains s’endormir sur leurs tables, veille funèbre, funeste matin. Choisir son lendemain.


Chapitre 2 Il faut partir à point, tiret à la ligne, majuscule, ouvrez les guillemets. Il va sans dire que certains n’ont pas fait leurs devoirs, s'arrêter à un point pour donner de la maturité à ses idées. S’endormir avant d’avoir rêvé, et donc rêver pendant son sommeil, les devoirs divins se font avant le réveil de l’esprit, vous ne pensez tout de même pas pouvoir dormir pendant que votre inconscient travaille. Chacun son devoir, lui, l'esprit, a déjà appris depuis tout petit. Le rêve a ainsi donc plusieurs formes, le rêve éveillé, le rêve, ou le cauchemar mais ce dernier est un point de vue tout à fait personnel. Vous symbolisez dans « le rêve » votre destin, votre vie, bilan de la veille, programme du futur. Vous avez dormi et pendant tout ce temps la vie à coulé sous les ponts, la fatigue est une raison, dépassez donc le temps pour faire votre devoir au cours d’après, dans mon cours il faut juste écouter, prenez des notes et votre concentration sera d’écrire ce que je viens de dire, pas d’assimiler le fait. Jetez vos cahiers, le cercle des poètes a disparu lorsque le philosophe est arrivé, vous ferez débat de vos pensées pendant les interstices de ma réflexion. N’est ce pas votre condition, prosélytisme, vous ferez vos lettres d’amour quand vous aurez vécu la vie, de là à rendre un poème didactique, l’offrande s’apprend aussi, ce n’est pas comme le timide qui sait apprivoiser la séduction, lui a eu le temps d’observer. Vous êtes esprit malin et enfermé dans vos contes, pensée à l’éther, mourir coincé, lobotomisé. Je disais donc !! C’est l’heure du déjeuner.


Chapitre 3 Avec un baccalauréat, les envies s’achèvent, les souhaits commencent. Il n’est pas interdit d’en discuter, faire confiance est aussi une subtilité des passés. On n’accorde pas sa confiance du premier coup, même si moi j’ai fait l'expérience du cours que je vais vous donner, j’en dis aujourd’hui qu’à tout bout de champ je donne ma confiance et la reprends après avoir été trahi, ce qui me permet de distinguer les bons fonds, ainsi que les sincérités, les onces d’intensité. Vos mathématiques prennent tout leurs sens, lorsqu’on à appris ce qu’est un esprit, sans cela la vie n’as pas de sens, vous comprenez maintenant pourquoi vous étiez céciteux, parce qu’une élite, vous a endormis. Les illuminatis. Dans mon cours de sorcellerie, vous apprendrez à vous servir de votre baguette. Elle dirige vos doutes, vos satisfactions, actionnés par la pensée. IL n’y a pas de sens pour l’utiliser mais un manche peut servir l’esthétique de vos souhaits. Son bois, sa fabrication, à votre bon sens, achetée ou bien confectionnée, cela permet parfois de mieux pouvoir la cacher, et vous avec. Un sorcier n’a de satisfaction que dans l’ignorance de ses sujets, ne plus penser, ou bien se confronter à la cécité d’un autre qui pourrait aussi vous ensorceler juste par inconscience, prenez garde à l’invisibilité de l’esprit, celle-là même qui vous ennuie. Allons bon, pour la baguette, elle dirige les énergie, que dire de plus, faire utilisation du mal s’apprend par la douleur, votre chemin parsemé d’une couleur sombre et votre destin plongé dans l’oubli, pas complètement endormi, mais votre vie, selon vos souhaits, votre vie et la question de la mort, qui envie tout nos aînés, la sorcellerie et la séduction, jeu malsain de l’âme, voulant apprivoiser d’abord son destin puis envoûter lui-même par ses envies, devient le bourreau des cœurs,


tueur d’envie. Magie pratique, morte envie, souhaits terrifiant, sorcier du temps. L’obscurité dont on entend souvent parler, la force intense du mal, se retrouve également dans le bienfait d’une sorcellerie de mage, être simplement sorcier préjuge de malheur, vous le saviez bien. Préjuger d’un bienfait vous ouvre les portes de la bonté, valorisation de vos souhaits qui ne s’estompent plus, mais se concrétisent, un mage a comme besoin celui d’être humain. Je vois dans vos pensées que certains sont enclins à faire le bien. Je ne tourne jamais le dos à ceux prédisposés de leurs passé, leur mal déterminé.


Chapitre 4 Petit cour d’inhibition. La douleur, la couleur, le souhait… L’odeur, l’envie, la passion. Êtes-vous intéressé par ces idées ? Peu m’importe il faut le savoir, ouvrez grand votre œil, c’est par ici que passent les sentiments. Piquer un cœur d’une envie, pour mieux lui fondre le sortilège, par l’orifice divin, vous saignez l’âme, et cicatrisez aussitôt le besoin prochain. Ne sert à rien d’un rituel, prose jetée dans l’air, asservi par un autre destin, l’utilisation d’un sortilège est toute personnelle, les vieux rituels ne servent qu’à donner de l’importance. Un vampire l’aura demandé. Chaque aspect que vous donnerez à votre tour, sortilège datant cette fois-ci plus utile, vous sera reconnu, comme une signature, j’ai autrefois reçu, je vous en ai déjà parlé, d’un caillou lancé à mon égard, marqué d’une cicatrice au front, je me confonds, dans un film d’actualité. Anecdote, avec pour antidote ma propre condition, qui fait qu’aujourd’hui c’est moi qui vous écris. Ce caillou, avec sa trajectoire courbe, fine relation qui me fait dire que c’était bien visé, j’en suis mort, j'avais treize ans, c’est aussi l’entrée dans l’au-delà conté dans ce film, l’entrée d’Harry au collège. Cela me donne de temps en temps des migraines comme si la mort me parlait. Mais je m’étends bientôt d’un sortilège que je vous conte maintenant, plusieurs fois mon destin a fait peur, aux esprits de lendemain. Mes anges gardiens sont des guerriers à ne pas tenter. Je vous préviens. Premier avertissement. Sévérité et servitude de ma psyché, je peux vous tuer avant même que vous ne soyez né. Asservis par les sentiments, un sorcier tient sa baguette d’une main et de l’autre fait diversion, ça dans l’au-delà tout


le monde le sait, une baguette n’est qu’un instrument, une main est aussi une arme, lancé par l’une ou l’autre, mieux vaux savoir se servir de ses deux endroits, le gauche et le droit. Mon combat est de vous apprendre un métier, puis de vous entraîner au combat, pour que vous mettiez le combat, un jour, à la place de votre métier, la guerre n’attend pas. Vous comprenez ? Bien le bonjour et bienvenue, vous êtes bien venu aujourd’hui pour apprendre, eh bien, bonjour. Le bonsoir viendra, de la langueur monotone des violons de vos passés. La guerre aà trépassée les hommes et votre trépas est passé, recommencez donc la guerre passée. Comme si le problème d’hier était réglé, l’argent réside encore, et sème le trouble, encore. Problème d’inhibition engendré par le passé des passés, nous n’avons pas encore dépassé le présent que les problèmes résident encore, certains se complaisent dans l’idée d’envoyer des moutons au front pour leur bonheur. Les hommes rêvent d’atteindre une condition divine, devenir pour ses contemporains une divinité, en ne faisant pour soi-disant que, le devoir demandé, répondre aux besoins, pour apporter un peu de bonheur, pour apporter cela il faut d’abord se résigner à vivre le sien. Annihiler la peur de perdre son bonheur, lorsque l’argent possède les besoins. Rendre le précieux au divin.


Chapitre 5 Philosophie de la poésie, petit, court, concis. Le sortilège du siège. Sort du siège vacant, S’asseoir pour un moment, Repos bien mérité, Le sortilège datant, Envie de s’asseoir. Maintenant assis sur ton destin, La chaise ne te sert plus à rien, Sors du siège vacant, Le sortilège datant. Assis sur tes envies, Tu laisses la place au vice, Le sortilège datant, Assis sur ton mépris, Mieux vaut un lit. Tu t’endors sur tes idées, Le sommeil vient les emporter, Le sortilège datant, Attend ta réflexion, Pris pour un con. Sort du siège vacant, S’asseoir pour un moment,


Le faible arrive et laisse la place, Le faible a vu et il prend place.


Le sortilège du siège vacant, Apprend au jeune le respect, Le repos bien mérité, Du jeune et de son mépris, Faiblesse d’envie. Sort du siège vacant, L’esprit envie, L’envie de corriger, La respectueuse faiblesse, Du jeune et de son repos bien mérité.


Chapitre 6 Code de conduite. Il est faux de croire qu’il est interdit de pratiquer la magie, la magie relève d’une autorité compétente, l’au-delà. Ainsi les mages et autres sorciers, sont sous surveillance permanente, par des gardiens et anges, hiérarchie au-deliste. Votre attention est de rester concentré, de faire attention à votre concentration, de rester éveillé, un esprit meurt, un autre s’éveille. Comme de sa mort il est, de ta vie il fera. Il était une fois… la fin d'un mythe… le début d'une nouvelle histoire…


Tome 3 Remise des diplĂ´mes.


Chapitre 1 Lexique des esprits, bibliographie des idées sommaires. Narcisse l'amoureuse : l'indifférence fait mal, l'ignorance tue. Aphrodite : elle sent l'avenir, elle sans avenir, sens-la venir. Espérance : une goutte de temps dans mon vers d'antan. Aparthé grand-mère damnée : Angarade prépare le déjeuner, grand-père lit son journal, ce dimanche est fête. Effet de notre magie, faite d'amour. Daken : on distingue la grandeur de l'œuvre d'un artiste dans l'importance de ce qu'il a voulu évoquer, pas dans le nombres de ses actions, un artiste est un salarié du temps, employé pour son art de vivre. Angarade servante : le temps d'atteindre la cuisine, je prends une idée, je la cuisine, la fait cuire, la pimente un peu, la retourne, c'est elle qui sale nos palais, on en discute autour d'un verre. Jésus : autour d'un cabernet, peut-être on en discutera, l'avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt, ton père te l'a déjà dit maintes fois, debout et marche. Temps : j'ai pas le temps excuse-moi ! Doute : j'ai froid, je doute que tu puisses me réchauffer avec une simple idée.


Patience : l'idée prend vie, j'ouvre le clapet du vent, le feu attend un moment, et pleure. La danse de la pluie, communion des éléments. Confiance le deuxième dragon : qui a cru que l'on pouvait parler, tu m’as donné la parole, j'en dis que tu devrais y mettre un point, aie confiance. Daken : un dhampir est né, Narcisse, veux- tu nous dire son nom ? Sorcière de guerre : plutôt mourir que de divulguer une fois de plus mes sentiments. Daken : décembre, il a bientôt trois mois, Elise va-t'en donner le biberon, Mathias attend. Une femme tout simplement : hé hé… c'est moi sa mère, va jouer avec tes futurs parents. Narcisse : tu veux pas m'aider ? Temps : j'ai toujours pas le temps, fais donc tes devoirs, récite ta leçon et va pleurer dans la jupe d'impatience. Impatience : plus tard tu distingueras l'art du temps, tu lui accorderas ta pensée. Aparthé : dialogue de sourd, malentendant de l'amour, vision d'aveugle, penseur de l'amour, muet, pour éviter de dire « je t'aime ». Espérance : j'ai hâte de voir ton père, mon frère. J'espère vous voir plus vite que ce que le temps nous permet.


Gaedin : je parle toujours avant, c'est pas dans l'ordre des choses. Mercatil : je parle toujours le dernier, pour cause, je dresse ma connerie. Pas facile de devoir redresser les vôtres par la même occasion. Daken : tu dois te faire justice, écoute le sage. Papa : vous avez pas un peu fini vos divagations, j'ai du boulot. Aphrodite : quand vous aurez besoin de temps, dites-le moi ! Temps : … Daken : deux sportifs s'engueulent … « mets la barre plus haut, élève le niveau » « ta gueule, enfin je veux dire, tais-toi je crains de ne pas pouvoir y arriver » et à force d'entraînement ils devinrent médaillés olympiques de la connerie. Monologue de mes sentiments : « je m'aime » « moi aussi »


Chapitre 2 Université universelle, Licence d'exploitation, Maîtrise de la réflexion, Deug du raisonnement. J'ai des droits, vous en avez aussi, les miens sont de pouvoir continuer l'étude de l'inconscient collectif, ce qui bloque évidemment certaines actions, celle ici-bas de vouloir me contraindre. Avant de s'engager dans un travail, veillons à pouvoir le réaliser avec quelques capacités, les plus nécessaires à l'inventaire des idées dans un premier temps, puis à la distribution des rôles, plateforme de diffusion cosmique, serveur psychique. L'accès à ces données, peut-être piratées bien évidemment, un certains Jack Sparrow a déjà essayé de me voler, il en fut un temps négligé de ma part. Le combat est aussi derrière vos écrans de télévision, je vous l'ai déjà dit, un tube cathodique ou bien plasma, …, peu importe tant que le courant passe, les messages dépassent l'entendement. Je vous ressers un exemple, vous observer une publicité d'une marque alléchante, vous faisant miroiter une barre de céréales appétissante, et d'un coup vous avez faim, ceci est un message subliminal envoyé à votre conscience, et l'inconscient vous donne faim. L'esprit n'a pas vraiment de pouvoir sur l'inconscience de votre conscience, alors réveillez-vous et prenez conscience de la gravité de la situation, l'influence de ceux qui veulent gagner de l'argent. Si je mène l'étude de la transcommunication et du subliminal, c'est pour vous apprendre à les distinguer, puis pour que vous puissiez les diffuser vous-même, apporter un peu de modernité. Mon flot est irrigué par mes pensées, le jour viendra ou toutes les


vôtres augmenteront le potentiel. Faire des moutons, des vaches à lait. Que vous compreniez bien la différence, vos actions sont vaines, parce qu'une vache se laisse diriger par le bâton. La jungle urbaine deviendra une réalité et vous vous battrez par sentiment d'impunité. On fait sortir de leurs gonds les personnalités, facettes du besoin, céciteux vous êtes, le libre arbitre ne vous sert donc à rien. Faites étude de ce que vous avez appris précédemment. Elle est là l'université de vos besoins. Entrez dans le monde universel de votre psyché.


Chapitre 3 Remise des diplômes. Je suis content de vous voir dans vos plus beaux apparats, je vous remets le droit de penser vos propres pensées, pour mener le combat de l'éternité. Vos décisions seront entièrement dédiées à votre bonheur, imprimez donc vos impressions sous forme d'état. Vous êtes patient et impatient, la lueur dans votre cœur illumine la vie. Le temps et l'espace sont vos amis, ami aussi des autres et donc ennemi du votre. Cela pousse à vous dépasser toujours plus, non pas à vous combattre, il faut battre le temps avec le bâton dont il s'est servi pour vous diriger, vache à lait. Larve de l'esprit, vous êtes maintenant l'astre cosmique dont vous dépendez, animal ou bien condition de votre bout de vie. Propriétaire de vos destins, locataire de l'amour et du divin.


Universalité de l'état d'âme


Procès verbal Cause sociétale au tribunal de petite instance. Je commence ici par faire un point. Le subliminal a envahi nos esprit, nous avons été conditionnés dans un monde structuré par le temps puis l'argent. Les plus riches faisant office de caution face à la pauvreté, pour pouvoir mieux diriger la structure, il faut un minimum d'argent pour pouvoir influencer le destin, sélectionner, ficher, trier et citer, les uns après les autres nous devons aujourd'hui rendre des comptes à ceux qui amassent les richesses, mouton et vache à lait, bêtes conscientisées, industrie de l'humain pour nourrir les grandes instances, je fais donc ici le procès verbal du tribunal des petites instances, petites parce qu'elles sont limitées par l'argent mais bien plus grandes par le mérite, la dignité et surtout par la raison. La première accusation est de n'avoir pas su offrir aux peuples le bonheur dont le monde dépend, bien trop intéressé par l'euphorie que l'argent procure, l'idée de plaider la folie est rejetée avant même d’avoir fait appel à vos droits, les droits divins sont universels et vous le savez bien que vous le savez, bien. Cette première accusation fait front et dirige les faits vers les plus influent dirigeants, également ceux qui font du fond de la société le mal stigmatisé, or noir que sont les trafic gouvernementaux, armes, exclusivité sur des marchés bouchés intentionnellement, et tout ce que cela engendre. Sortez donc les documents top secret et révélez au monde les vérités cachées, vous n'avez aucun droit sur le bonheur du peuple, et pour maintenant vous perdez vos


droits divins de récolter le fruit d'un travail communautaire, politicien conscient de vivre dans un monde ou l'on meurt pour un peu de bonheur. C'est une guerre mondiale, psychologique, que d'être dirigé par des gens qui ont peur de perdre leurs acquis. Apprendre à être soi-même et pouvoir se décrocher d'un système vous menant directement vers la mort de votre âme, vendre ses souhaits au banquier, vendre ses idées au plus offrant, l'offre et la demande ne sont pas surveillées de ce point, puisque personne n'y fait attention et parce que c'est dans les foyers des influents que le débat se déroule. Au Sénat ou au Parlement vous retrouvez vos idées volées, appropriées par nos dirigeants influents. Et qu'est-ce que cela vous a apporté, rien, même pas de pouvoir faire vivre cette idée, le gouvernement n'a pas pour objectif de vous donner ce qui le fait vivre, peu importe le nom du président, sitôt mise en place sa fonction devient une obligation, de prendre les rênes du pays là où elles ont été lâchées, et de cravacher vers le prochain scrutin pour offrir à ses gamins une vie démesurée, qui ne sert à rien, un poste s'obtient par une capacité, pas par une manipulation, il n'y a plus en ce monde de croyance que dans la délivrance, cerné par les états et leurs armées de suicidaires, lobotomisés par les coups de fouet, le raisonnement devient un métier.


Dialogue de sourd, malentendant de l'amour. J'observe avec attention les débats au Parlement, je vois bien dans les mimiques, dans les intentions, que se perd l'amour pour son prochain. L'hypocrisie est maîtresse, la bienséance se respecte, l'humilité s'effondre, la dignité disparaît, et la société tue à chaque seconde. Dire est plus facile que faire, et pour cela, terrorisé, les dirigeants se cachent derrière leur mur de monnaie, pierre d'argent, teinter les vitres du désespoir, blinder la carrosserie du savoir, jungle urbaine, monde moderne. Qui aurait cru que notre passé allait apporter un peu de bonheur, nos ancêtres, nos aïeux se sont battu pour offrir un monde meilleur et ils ont cru au discours intenté de certains dirigeants qui croyaient eux aussi pouvoir rendre au peuple sa dignité. Combien de temps cela a duré ? Quelques dizaines d'années puis bien vite les fils damnés, les sociopathes déchus, sont revenus, ils étaient bien là, cachés sous la couverture du temps, endormis sur l'oreiller des rêves, chauffés par les envies de bonheur du peuple. Relayer les comptes bancaires, les actions boursières, les présidences, élites monétaires qui font du monde un échiquier, les pions sont bien trop souvent sacrifiés et la partie recommence avant même d'avoir été finie, les rois, les reines se replacent, tandis que les tours s'écroulent, des cavaliers meurent et des fous exultent leur fureur, peu importe les tours avec les pions les fous reconstruiront et les cavaliers surveilleront. Les jeux de dames sont bien plus violents mais ne se jouent que entre elles, elles au moins ont pris le soin de combattre leur équivalent.


Le jeu de la société est de faire attention à la surpopulation, à devoir nourrir ceux qui rapportent, et de faire succomber ceux qui sont arrivés là sans trop savoir pourquoi. Voir le monde dans son intégralité, une vision plus grande, pour prendre conscience de l'état de la société, ceci n'est pas donné à tout le monde d'avoir les renseignements qui font de l'inconscient une âme prenant vie.


Le marché du travail, phénomène sensitif, psychisme décadent. Vous êtes stressé, angoissé, tiraillé par l'envie de ne plus travailler que pour gagner des miettes sitôt dépensées. La solution est de réclamer notre dû, comme moi autrefois, je vous ai rendu « un trop dû ». Pas si facile, ne pas faire une demande, mais réclamer, là est la différence pour pouvoir remarquer l'attention que l'on vous accorde. Comme si vous par raison, ne saviez pas ce qui est bon pour vous, se confronter aux instances du pouvoir qui répondront avec directivité et essayeront de vous faire entendre une autre raison. Celle qui va dans leur sens, et au pire vous fera taire, par manque d'un simple bout de papier, ou mieux ce matin moi même, je reçois pour la deuxième fois mon dossier de sécurité sociale que j'avais préalablement complété correctement, avec un petit mot de ma technicienne référente que je ne peux pas joindre directement, autant dire que les informations que l'on nous donne sont justifiées d'une obligation de payer et de rendre des comptes à une société qui ne nous rend même pas le dixième de ce qu’on lui paye. Certains plus riches me diront que je n'ai pas fait les choses comme ils le fallait, évidemment que ceux-là ont l'argent donc n'ont pas le souci de devoir payer sans raison.


Deux guerres, en guerre. Une guerre coûte énormément d'argent, alors lorsque deux guerres sont en guerre, je parle bien des idées qui ont provoqué ces guerres, des dirigeants de l'époque menant au front les troupes d'antan, convoquées par obligation de se battre pour sauver la sphère de leur passé. Cela nous mène directement vers une influence des esprits et donc des consciences d'aujourd'hui, provoquant chez nous une guerre psychologique. Les plus grands prédateurs du temps voulant s'approprier un peu de terrain, et les dieux perdus sous leur pouvoir, pouvoir regarder l'être humain se battre pour se faire sa place, une nouvelle sphère s'est ouverte, c'est prophétique pour vous mais pour d'autres c'est la réalité. Et vous mourrez de ne pas avoir vu qu'on vous aimait. Un dhampir de guerre, en guerre. Deux guerres en guerre, cela provoque de l'indifférence, des sentiments pour ceux qui mènent cette guerre, l'envie de se battre contre de puissantes forces monétaires et influent le flux d'argent qui se passe de compte en compte, de virement en virement, voyez-vous les gouvernements disséminer quelques informations du genre à rendre les vérités, sortir du top secret, des révélations longtemps cachées, lâcher un peu de lest pour mieux conditionner. Je n'écris pas sur un seul sujet, j'écris une interdépendance, des accusations qui se recoupent au fil de mon récit, des sujets qui se racontent à mesure de mes lignes. C'est sorti de nos pensées, branché sur l'inconscient collectif, pesé sur la balance du gravissime et tamisé sur le plateau du relativisme. Une guerre sainte à recommencer, trouver la paix en tuant son voisin, malentendant de l'amour, surdité acquise par l'explosion de ses sentiments, refouler l'envie de partager son repas, mais se donner bonne conscience devant le bénévole qu'un Coluche a


autrefois convaincu pour l'œuvre de l'humanité, comme si le monde nous avait laissé mourir, l'homme a cru pouvoir se l'approprier. Amoureux le premier Dieu croit encore qu’en canalisant vos souhaits..., catholique de quel ordre, peu importe votre rang, vous êtes en train de donner raison à une religion et par ce fait avez donné votre raison au plus offrant, et de ce point l'offre va de soi, la demande vient de vous. Reliquat des temps modernes, statuette maudite, je taille dans vos psychés, les joyaux d'un royaume déçu. De guerre en guerre on se bat, on se tue, on s'entretue, l'interdépendance qui aurait pu faire de nous des esprits illuminés, a perdu son sens le jour ou la Pucelle a attendu son cœur et n'a entendu que son Dieu, sectarisation, vieille dame déçue de voir encore un malheureux seigneur déchu battre les blés, seul, récolter l'amour bientôt sous un linceul. Moisson de saison, mort d'époque, accident du temps, renaissance éternelle. Un dhampir a pour maison, l'esprit de sa passion, juge de ses actes et constate ses faits, il a pour seule mission de tuer l'incompréhension. Une nature est faite de moralité, elle ne change pas sa surface, elle évolue son fond, pour mieux dégrader son apparence, faire sa bienséance, et bienfaisante pensée, de naturaliser les faits, moralité d'effet, actualité pensée.


Jury populaire ou magistrat d'état Juger vous-même de votre vie, maître de votre destin, ou laisser faire une cour pittoresque avec pour seul moyen des règles génériques pour disséquer vos vies selon leurs envies. Le choix de vie, apprendre tout les métiers ou plutôt la base de ce qui a fait tous les métiers indépendants d'aujourd'hui, le choix revient à celui qui décide quoi faire de sa vie, pas cher de monnayer l'influence d'un temps occulté par… les noms n'existent plus, les langues mortes ont réapparu, un chiffre à côté d'une lettre forme un son inaudible, qu'ici-bas on a pas appris à discerner, et les études du subliminal vous apporteront des ambiguïtés que les gouvernements vont tenter de s'approprier. Perruque sur la tête pour donner de la virtuosité à une scène dépassée par l'époque, des habits de théâtre pour valoriser les droits, et plaidoirie cinglante d'une langueur monotone, les violons d'antan sangloteront longuement à l'automne de nos trépas, tiraillé par les meurtrissures des canons à sons annonçant le début de la fin, vous êtes jugé parfois sur une simple acquisition, une vérité longtemps cachée, un mensonge d'état, écologie de l'argent, économie du temps, procès d'une société élitiste ou chacun meurt d'envie, et renaît par chagrin. Naître coûte de l'argent, mourir coûte de l'argent, et l'entre-deux vaut des millions, un travail de longue haleine, un peu de repos pour reprendre son souffle, peu de plaisir pour provoquer l'envie de reprendre le travail, et vous êtes jugé parce que votre faiblesse est de vouloir vivre selon vos choix, plutôt une force pour bien que l'on vous ait donné le moyen de vous en servir, la raison a donné à vos envies les idées pour vous battre, manque l'appréciation qui affûtera vos besoins, et vos mots qui tueront. Faites de votre état une universalité, et l'entrée à l'université d'état d'âme se fait par les portes personnelles d'une sphère ou l'on accueille une personne parce qu'elle a envie et non parce qu'elle a


besoin, vous devrez faire un tour dans les lycées divins où l'on apprend ce que c'est que l'amour, celui-là qui provoque les envies, parce que les besoins sont bien souvent incertains. N'auriez-vous pas raté un cours d'inhibition ? S'arrêter à un point pour donner de la maturité à ses idées.


L'entrée à l'université, le plat à la sortie, le dessert, la vie. Vous êtes acquitté de vos loyers, vous mangerez dans des plats vides un temps, emplis dans un autre par l'énergie pranique qui est un élément, pâte à modeler par la pensée. La magie s'obtient par intention, non par envie ou illusion, ceux-ci provoquent frustration et hypocrisie vers son centrisme, n'oubliez pas que vous vous faites justice par raisonnement (outil de pesage). Le rituel du repas est une étape importante, verser dans un verre sans perdre une goutte comme un musulman servant le thé, de plus haut dans un verre bien plus petit, l'Occident et l'accident des traditions et des cultures, moderniser, faire oublier, l'argent a remplacé le temps, jeté par la fenêtre le temps, et des proverbes meurtriers « ne pas jeter l'argent par les fenêtres » influence déméritée. Pour les plus gourmands, les plus pointilleux, remarquez les petits dessins que vos gestes forment, approchez-vous et distinguez les formes, les visages, fantasmagoriques et psychiques, effets qu'une vie peut provoquer, alors y voir des signes, faites attention à la véracité des faits et à l'effet de la vérité. Les enseignements se raccourcissent mais se remplissent de subtilités, faites de votre devoir un développement personnel.

Fin…


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