Maître Lasky dans « Le zoo de l'esprit »
Dix sept textes tirés de plusieurs années de pratique du BDSM. Ces propos sont tirés d'un blog tenu donc pendant une période d'expérimentation de sa sociabilité. Maître Lasky n'est autre que le fruit d'une idée fantasmagorique mis en œuvre sur un principe libidinale. Là où la cérébralité est mise en exergue et met en lumière les aspects du quotidien. Il existe bien plus d'une cinquantaine de nuance... J'en suis convaincu vous ferez votre propre expérience de la vie.
Quelle humiliation... L'air d'un con. Suis-je un Dragueur ?? Draguer = Creuser, nettoyer en profondeur !! De manière plus Global je suis plutôt enclin à faire la cour aux dames qu'elles soit vénales ou perfides, par expériences je sais qu'elles sont quoi qu'il en soi seul, ainsi qu'aux demoiselles esseulée, fraîche, immature et j'y ai un grand intérêt en tant que maître et professeur fesseur. Suis-je un coureur de Jupon ?? non seulement lorsqu'un jupon soulever par le vent n'est pas tenue par une main innocente, il est rarement facile de ne pas se laisser tenté d'y glisser un œil pour fendre d'un sous vêtement absent. Infantilisation ?? Une dames seul à l'esprit d'un grand enfant qui fantasmerai de ses souvenirs gamin, de ses 17 ans, fraîche et vêtu légèrement. Les culottes roses avec des petits cœurs me font fondre, comme d'un abricot emballer, une première primeur. Un fruit qu'il faut tout de même choisir pour sa fermeté, sa chair fraîche donc, et tout juste à maturité, pour qu'une fois dans l'assiette il fonde sous la langue. Je creuse ça m'arrive, l'information, mais jamais un cœur, je suis pêcheur, je sonde, le fond, je prend la mesure, j'accroche un mot, je lance à la crié, à la volé, je me vend, je me donne contre un vent, une brise, une bise, un baiser trop souvent volé. Sur l'étalage de là ou l'on fait notre petit marché, mes fruits, des essence rares, comestible et quelques uns piquant, les venimeux ont d'utilité sociale que les potions, filtre, infusion, ... aux effets dévastateur. Méfiez-vous de l'eau qui dort. Méfiez vous du Professeur.
Moins de bruit au fond de la classe !!!?? Ceux du premier rang souhaiterez apprendre ce que vous avez déjà expérimentez, pour cela finalement que vous avez redoublez ??? Alors redoublez d'effort plutôt que de continuer à perdre votre temps prétextant tout savoir, que faites vous là ?? allez vous-en, si vous pensée mieux, si vous pensée trop fort, si vous vouliez vous auriez put... Vous n'avez que perdu du temps et vous nous le faites savoir que trop souvent en criant bon vent, bon grès, malgré tout ça je vous le dit et je vous le vend... Du vent !! Draguer est un métier de jeune vivant soyez seigneur, devenez au demeurant gentil avec la gente qui vous tiens, le féminin, l'avenir ne tiens qu'à celles qui fera de vous un rien, un tout, un homme, simplement. Un bon vivant avec de bonne manière chacun à sa façon de toute façon elles sont nombreuses et elles ont gagnée depuis longtemps... Le droit de s'approprier, le terrain que vous avez semé c'est elles qui récolteront les fruits et vous qui les vendraient. Entreprendre de vivre à deux c'est avant tout se donner sans rien n'attendre en retour parce que tout, lui appartient. Comment vous le dire, vous n'êtes rien, vous êtes un tout uniquement parce qu'elle vous appartient, un peu, mais surtout parce que vous n'êtes rien sans elle, sans ailes, sans toit, sans toi. A deux mains... se prendre en main. A demain !!
L'Absente, L’Absinthe, La Fée Verte ! Si quelqu'un se prénomme, se pseudonyme Anselme qu'elle se manifeste ?! Sans quoi Anthelme fera valoir nos droits lorsqu'elle arrivera. Cette féerie qui à faits de nous des bêtes, sauvages. Les ravages du temps et le cryptage des maux qui nous font. Inconsciemment je révèle une magie biscornu. Je donne à pensée alors qu'ont me fustige de tous les mots. Nous prenons du plaisir à ceci quand cela nous ronge. En songe et en réalité, les faits se font. Les Fée se font-elle chagrine à chaque fois, qu'une utopie est révéler ?? S’asseoir au fond et écouter les maîtres de sagesse. Pensée à vous avant tout, pensée à tout avant de vous donner. La cire brûler, les nœuds entrelacés, les chaînes, qui nous maintiennent. Ahhhhh la vie ! Lacérez moi par dépit et dénigrez moi par ennuie. Je vous le dit, vous êtes les hôtes, ceux qui font ma vie. Si ça vous ennuie, prenez cette Amour, aux creux de vos mains, et offrez le à qui vous voudrez. Je ne suis là que par dépit, moi aussi. A la votre... J'ai envie de vous tellement vous me saouler mais je ne vacillerai pas, ma flamme est incandescente.
Attention Message filtré !! Un soir alors que nous étions nombreux, accolés les uns aux autres, Alcoolisé pour les uns enfumés pour les autres, que sais-je si certains... Droguer par nos émotions à sentir que nos sentiments, Piquer par nos souhaits le bras enrouler par ce fil qui glace le sang. Les cordes qui nous maintiennent attachés, comme des grimpeur en haut lieu. En rang serré celui qui devance et ceux qui ferme la marche, tranquille. Les croches, les demi-croches, les affinités, Raisonnent et c'est d'un chant commun, celui des possibles. Que devrions nous attendre de la vie, Le piano qui se joue de nous, Des touches hantées, le pied sur la pédale, c'est gaie. Les rythmes, les rites, les lieux, les Dieu. Un Dimanche blanc soyeux, soyons fou, Dit-ont de nous, un dicton sablé, Qui croque sous la dents et nos effets en société. Le sable fin, enfin le Sablier, ça y'est ça coule, le lâcher prise. Chamane vertueux et ses valeurs qui le font riche, Parce qu'il possède du temps et qu'il en donne à profusion. Les perfusions sont limités parce que les patients sont impatient. Dans la salle, l'attente se fait longue, les queues aussi.
De plus en plus profonde, les gorges, ces crevasses qui amassent, Et ramassent en dedans, la pluie le vent, les coups dur, les coups de va et vient. Par la porosité ambiante, morose sont les envies, muqueuses détrempées, Ça coule, le sable y est, enfin ça y est, Le Sablier. Il vient d'ailleurs, il va dans l'eau et d'ailleurs au delà, Il se baigne à la lisère de la forêt dans un Lac ou Les Dames n'osent y mètrent les pieds. Un étang qui détend, une baignade pittoresque, il marche le long des rives, Et dérive avec le vent. Le Sablier qui s'égraine, ses graines autrefois semé. L'enfant du désir, désir latent. Juvénile parce qu'à trente ans passé, Il sais qu'il va, en devenir. Se grandir, se passé du rien. S'apprendre et se tourner autour, Se comprendre puis, s'aimer.
Mon bijou... Ma décision. Elle est Switch mais ne le sait pas encore, elle as voulut être dominé, prise en main puis s'est ravisé... nue à la fenêtre elle me disait que "non"... que "oui" elle prenait des décisions hâtives. Elle aurait voulu essayer ça puis ceci, ont en discuter, je la titiller, elle aimer ça, puis s'est ravisé. Elle prenait des décisions, puis s'est envolée... Elle m'as laissé là, las. Elle m'as goulûment avalé, puis elle as aimé recommencer. Je lui disais que non mais il lui fallait comprendre alors je prenais le temps de lui expliquer. Elle était nue à mes côtés. Enfin elle prenait les décisions et continuer à me les briser, mon bijou si précieux. Elle aurait du écouter, je lui donner la direction, elle as tout casser, brisé, milles morceaux de mon bijou elle en as fait. Elle est Switch et d'ailleurs quelques mois après ne le sait toujours pas. Elle veut encore et toujours... les yeux vers le bas... elle prend ses propres décisions. Ne veut pas m'écouter... Je la revois nue dans les cabinets. Je n'ose pas décrocher mon combiné elle me reprocherais de ne pas l'avoir prise en main, d'avoir fauté. Mais c'était sa décision... Elle n'entend pas les cris d'amour... elle ne verra pas l'écrit de mes sentiments que j'avais à lui faire partager. Je n'ai même pas à en décider... Mon bijou regarder dont ce qu'elle en as fait... Elle brille pour moi c'est un souvenir précieux... il s'est brisé. Six mois que je n'ai pas écrit... je ne vous ai donc pas dit... une fois de plus ont m'as brisé. Mon bijou c'est "elle" que je souhaitais combler. Elle m'as dit que "non" un souvenir d'hier, "elle" m'as dit que non je ne suis pas maître de mes décisions. Frapper plus fort ou laisser des marques indélébile, le temps l'aurait rendu amer,
fébrile. Pour la rendre heureuse et docile j'ai préférer lui rendre sa liberté... et puis après tout c'est elle qui as décider. Elle prend ses propres décisions sans écouter, elle entend juste le souvenir d'hier, l'image imparfaite d'une fessée bien mérité au-quelle elle as eu droit mais dont elle ne s'est pas donné l'accès, mettre sa main au creux de la mienne... puis lui donner la direction. Moi je me suis laissé tenter. Mon bijou est de nouveau sur le marché, prenez ce temps si précieux pour apprendre à vous laisser Dominé avant de dire "je veux..." "Je souhaite..." je voudrai..." puis enfin prendre la décision de ne pas acquiescé aux désirs de celui qui veux vous emmener vers de nouveaux horizons, passionnés. Mon bijou n'est pas à vendre, ni à acheter, il faut miser sur son avenir, investir son potentiel, le polir poliment, le choyer tendrement, lui donner matière à être fière et complaisant. La seul et unique décision qu'il reste à prendre c'est de s'abandonner, non pas baisser les bras mais relever le menton, courber l'échine, monter sur ses hauts talons. Se donner et s'abandonner... vers d'autres horizons, passionnés. Mon bijou... mes envies, mes passions... mes décisions... c'est mérité !! Maintenant il va falloir cravaché... Allons à l'encontre d'autres traîtrises et trahison, un cœur brisé c'est remplacer un hôte par son autre. Toujours veiller, faire attention lorsque l'un et l'autre cherche le mieux dans vos imperfections, la roue de secours, le meilleurs ami(e)s qui là/le baise lorsque vous êtes au charbon prétextant toujours : "il/elle à quelques imperfections" "il/elle ne le saura jamais" Une caverne visitée par quelqu'un d'autre laisse des traces que le propriétaire reconnaît à tous les coups. C'est comme se servir de son gourdin pour débroussailler un terrain voisin, après l'effort le réconfort... comment se dire ou se laisser entendre que son hôte n'as pas de besoin, pas d'effort
à faire s'il n'accepte même plus le réconfort que vous lui procuriez... une anguille sous roche. Quand il y a un doute c'est parce qu'il n'y a en réalité que des certitudes. Mon bijou... Ma décision.
Les signes, l'avenir et les dessous Indignent J'ai encore fais la bêtise de croire que... J'ai pris du Plaisir. J'ai refusé aussi, quelle méchanceté... ça m'as fais souffrir. J'ai appris que l'ont pouvaient vivre... Le néant. J'ai surpris d'autres le faire... En riant. J'ai cicatrisé depuis. Tu m'as dit que... J'ai souris. Tu m'as fais tant de... J'ai saigné. Tu m'as montré la vie... Le néant. Tu disais des autres... des calomnies. Tu as dû soigner tes plaies, cicatrisé, depuis. Il nous donné l'absolution... Ton cœur. Il nous montré le chemin... L'avenir. Il me faisait mentir... Puis plus rien. Il m'as surpris... De bonheur. Il à cicatrisé depuis, mon malheur. Nous devions aller... L'infini. Nous aurions pu... Revenir. Nous cacherons... Nos peurs. Nous entonnerons... Nos Ardeurs. Nous sommes déjà... Finis. "Vous", Mademoiselle ??!! "Ils" nous regardent. Les signes du bonheur. Oiseau de Malheur.
Choix multiples... ma déraison En réalité je ne court pas après le temps. C'est lui qui me rattrape constamment. Je ne court pas après quoi que ce soit ou qui que ce soit. C'est avec le temps, que constamment, ont s'entremêlent. Le féminin du temps, c'est faire de l'espace et prendre sa place. En somme, la vie. Elle incarne mes années, Désincarne mon malheur, Invoque tout le "temps" que l'espace me fait. Elle arrive, s'assoie, attend, puis s'en va, las d'avoir vécu. Là à ce moment c'est un instant précieux, Qui va trop vite et qui dure si peu. Comme si l'espace que l'ont s'est fait, N'avait pas pris une ride, le temps passe, s'efface, il disparaît. Le Féminin du Temps, je cherche à lui donner vie. Je ne court pas après lui, Je ne court après quoi que ce soit ni qui que ce soit, En sommes... La vie incarne mes années. Le Féminin sacrée...
Si tu passe devant chez moi !!? Ont se fait toujours une idée de la réalité ne considérant pas qu'en vérité elle est déformée. On attend le super-héros, son héroïne celui/celle qui nous donnera vie. On se dit qu'une fois attrapé(e) on va le/la mettre en cage, une bonne fois pour toute et qui plus est, pour l’Éternité. Voilà la seul réalité... La vérité à reconsidérer. Le quotidien des ménages Français, leurs cinq à sept pas franchement désopilant. Les trois coup vite fait inscrit sur le semainier, le frigo qui s'ouvre et se referme et le troisième samedi du mois où l'ont sait qu'il va falloir être au Top... Parce que la quinzaine est déjà dépenser, c'est à la maison dans un recoin de son monde, que s'apprête à vivre l'extase d'un moment toujours bien trop court, l'orgasme que Madame à demandée. Expressément, accessoirement, rudement, tendrement aussi au début bien entendu. Et il faut se faire à cette idée !! Bander sur ordonnance, à la commande. Celui qui sait qu'après tant d'années Madame sera toujours aussi séduisante, il sait également que, seul, dans son froque, Mister Super-Héros n'est pas toujours du même avis bien qu'il se languit d'avoir au lit son Héroïne. Sentir si la journée s'est bien passer puis finir par quand même le demandé pour ne pas qu'elle hurle son manque d'attention. Se rapprocher pour qu'elle puisse, à son tour, sentir la domination, toutes les situation qui auraient pu nous faire flancher. Mister Super-Héros à demi-molle sais bien faire savoir lui aussi lorsqu'il y a de l'inattention. Un manque de considération, la réalité des faits, la seul vérité.
Madame ne se soumet pas, nous lui soumettons les idées du débat. Elle décide de la vérité à observée et dans la réalité nous mettons à contribution ce qu'elle aura décider et que nous aurions valider, expressément, accessoirement mais surtout tendrement au début, bien entendu. Poussez-vous je fais le ménage devant ma porte, je passe un coup de balai, il n'est pas midi mais ça ne saurait tarder. Autant de proverbe que ce que le vent emporte le temps. Tant de principe de vie, autant en philosophie. Madame attend mais est-ce qu'elle sait seulement qu'en moi sommeil un super-Héros. Parfois laid, tantôt beau, sur du papier glacé ont voient tout le temps le reflet d'une fausse réalité, en photo et, mis en scène, c'est parfait j’achète. Le prix à payer de la dur réalité des faits. Tantôt bon ou plutôt mauvais en moyenne c'est trois minutes que cela me prend pour vider... mes valises. Je m'attache vite, je déteint rapidement. Je râle souvent, éternel insatisfait, perfectionniste et persévérant. Madame devra se rendre compte du temps que j'ai à lui offrir c'est un cadeau, un présent. Un patient, impatient. Et puisque ma notoriété laisse à désirée est-ce qu'elle saura dominé la situation ???!! Plus aucun doute... Elle attend aussi quelque part, là où se perd se tas d'années. Un refrain, j'avoue, l'une d'entre elle me l'as soufflée.
Le monologue du Vagin. Vous connaissez ce titre il as était à l'affiche il y a quelques années... Voici ce que j'en dit. C'est elle qui nous attire vers son centre, au creux de ses seins, entre ses jambes, c'est elle qui nous parle d'un temps qu'elle as connue puis aura demandée à ce qu'on en parle plus. Elle fait le monologue nous n'avons même pas le besoin d'en dire plus. Elle regarde de tous côté puis s'aperçoit qu'elle plaît toujours. Comme tout à chacun elle fait son marché. Elles prennent le temps, elles nous accordent de l'espace, puis elles disent que nous n'avons pas su y prendre place. Elles regardent de tous côtés, elles prennent le temps et mieux elles disent ne pas avoir vu... jusqu'à ce qu'elle disparaissent. Elles donnent un sens nouveau, elles trouvent Monsieur attirant, elles trouvent en ces hommes, les autres..., elles cherches les défauts, elles disent avoir donner de l'intention, un réel manque d'attention. Elles veulent du sentiment, de l'émotion... Lorsque l'un d'entre nous en éprouve il se fait fustiger, mettre de côté, elles veulent être pute, salope de celui qu'elles auront choisit. Autant je met la femme au centre de mes intérêts qu'elles prennent un malin plaisir à me rendre invisible, indifférente, mal intentionnée, il y a encore quelques années j'étais le transitoire, la passade, le en attendant d'avoir mieux. Aujourd'hui ce que je ressent ce n'est pas du sentiment c'est de la solitude celle là qu'on appel l'absente, solitude, inexistante, malencontreuse, inespérée. Elles regardent de tous côtés et s'accorde du parfait, celui qui paraît, ceux qui quelques mois après disparaissent vite fait. Elles se plaignent de ne pas avoir déméritées...
Le vagin, bon ou mauvais, nous ont évoquent qu'un trou c'est un trou mais c'est aussi et surtout le fait qu'elles ne s'exprime quasiment jamais, parce qu'en trois minutes c'est vite fait, les valises posées, les sacoches vidées. Y ajouter quoi ?? des crochets, des cordes, de la chaleur, de la douceur... Ce qu'elles veulent c'est dominé bien plus que lorsqu'elles évoquent un accord dans le fait de se soumettre, elles veulent décider de tout. Dans un jeu elles diraient pouvoir baisser les yeux, la femme domine le monde. Elle ont un sens que Monsieur n'as pas, celui là, le sixième. Elles ont le pouvoir de dialoguer et même plus... de tenir un monologue avec leurs vagin. Pendant que nous, nous ne faisions attention à rien. Nous n'avons même pas la décence... Messieurs ??!! Ce qu'elles veulent c'est que nous leurs donnions un sens. De la reconnaissance.
Ma Domination, ma Cérébralité. Ce ne sont pas seulement des mots qui font des phrases, qui donnent un effet. C'est parce qu'entrer au plus profond des choses, faire se dilater les pupilles, faire couler une larme. S'introduire délicatement, pourquoi pas brutalement par moment. Secouer, s'accrocher, gémir, tiré les rideaux, replacer le matelas, donner matière et sortir de ses gongs. Lâcher prise, se laisser aller, ne plus se sentir pisser.... Ce n'est pas seulement des maux qui font des faits qui donnent aux actes de l'importance. C'est parce que s'initié aux choses de l'esprit, écarquiller les yeux, voir plus profondément, celui ou celle qui apparaît. Introduire en soit, des idées qui aurons un effet, puis brutalement s'accrocher, secouer, gémir d'autant d’intérêt. Quel mal y aurait-il à donner forme à la matière, sortir du fond, laisser la porte entre-ouverte lorsque l'on va pisser. C'est donner de son temps, c'est s'abandonner, se rendre compte... Il paraît évident que... il apparaît là... il dit pouvoir donner de l'effet. Posés ses petits doigt potelés sur les courbes de son corps, manipulés ses verbes avec tant d'importance, lui rendre la moitié de son temps puis délicatement posé son destin entre ses mains. Choisir son chemin... c'est donner au temps, le temps de se faire de l'espace. Quand l'espace se fait le temps s'allonge. Sur l'oreiller de nos nuits, dans les débats sans fin, dans les ébats humides, au fin fond d'une histoire... Vivre demain.
Bandé... Les yeux. Ne rien voir, ne rien savoir, c'est subir l'étreinte folle du temps qui vous secoue. Les idées, les envies vont et viennent sans arrêt. On aimerait ne pas être celui qui dans la débandade, se ronge le frein. Quand le temps ne fait pas défaut il fait de l'effet. La patiente, impatiente, qui cherche à fuir l’auscultation primaire. Qui sait qu'elle n'as pas le choix, elle devra à son tour mené l'opération pour ne pas subir non sans délectation, ...
Mes désirs inachevés. Vous auriez une suggestion ?? A propos de cette image suggestive !! J'ai longtemps cru qu'astiquer son manche constituer une part importante de ma Libido, Il est "oui" évident que part pur soucis d'hygiène il faille le faire parce que quoi qu'il en soi lorsque je ne le faisais pas, mes rêves s'en charger. Le matin en découvrant mes ébats nocturnes, souillé par tant de rêverie là où les plus belles contreparties m'était proposées... La Libido... Même manger devient salace et phallique. A un âge ou faire l'amour constitue en réalité la transcription de "bonne baise" trois soir par semaine, ce qui définit également l'humeur du lendemain n'est-il pas ?? Trouver son/sa partenaire, d'un soir, du moment ou pour plus longtemps est d'une complexité... Alors que chaque jours sur le chemin qui mène de chez vous à chez eux, se trouve des sourires, des idées saugrenues, des fantasmes en ébullition, des désirs inassouvis. On se satisfait d'un rien parfois... Puis c'est dans les "draps" de Morphée que nous sont proposées les plus belles contreparties. Des rêveries... Qui font vivre nos fantasmes jusqu'à ce qu'ils soit assouvient ou refoulés.
Ticket de Métro - Ticket d'Entrée Avant de pouvoir y insérer ta fougue, Et à chaque fois que tu là croise, Il réside dans nos regards une intention d'entrée. Comme si chacun d'entre nous détenait le Ticket. Ce ticket qu'elles arborent fièrement lorsqu'elles se dénudent, C'est aussi une envie de prendre chère, Pour un ticket au final si peu onéreux. Les hommes ont cette tendances à croire, Qu'à chaque profil reconnaissable, Chaque fois qu'une opportunité semble être viable, L'Entrée ne se trouve qu'à quelques encablures. Un sourire, un ton mielleux, un regard approbateur, Comme si le Métro s'était arrêter devant lui, Chanceux et fantasmagorique, L'imaginaire débordant, Le pieu dressé d'un désir ardent. Au poil je dirai... C'est avec toute la fougue d'un mâle désireux, Qu'elle se dresse, fière, la tête haute, Un hochement de tête et les cheveux au vent, Désaprouvant d'un claquement de cils, Avec un regard de braise. Son parfum, une longue traîné sur son passage, Et au loin tu n'aperçoit plus que l'arrière train, Qui tourne, au loin. Les portes du désirs ainsi refermées, Le Ticket à la main, l'entrée refusée, Comme dans une fourmilière tu aperçoit déjà, Le train suivant. Avoir vu venir le train, Ne veut pas dire qu'il y aura de la place. S’asseoir sur ses envies, la tête basse,
Le Ticket à la main et sous le bras, Ou entre les jambes, son désirs à assouvir. Tiens voilà un autre Train, C'est au Poil, Pile - Poil !!
Les Passions Destructrices. J'y ai mis du miens lorsqu'elle n'en avait que faire, J'ai fais preuve de bonne foi, elle, l'était de mauvaise, Le groupe ne permettait pas se rapprochement, Jalousie, possessivité, envieux, mal intentionné, La direction que j'ai donnée. Plusieurs années ont permis cet écart, Jolie dans son cœur, je vois son fond, Au fond elle ne subjugue pas les calomnies, Elle s'écarte, se retourne, cligne des yeux, Elle regarde toujours dans ma direction. Lorsque nous évoquons l'avenir, Sans pour autant y faire de projet, Elle laisse entendre qu'elle as encore besoin, En présentielle mais ce plat et d'une tonitruante, tonicité. C'est sa direction, sa décision. C'est souffrir, c'est accepter, c'est aimer, C'est pour cela et comme cela que tout à commencer. Ma directrice et ses décisions. Ma bien aimé et chère collègue, Au travail je suis un forcené, Con, damné mais libre et mon cœur... apprendre. La Direction qu'elle m'a donné, C'est d'être là sans rien attendre. C'est de l'aimer pour ce qu'elle est.
Enchaîné. La distance (entre deux êtres) est un frein seulement quand le moteur (l'amour) n'est pas assez puissant. Il faut aussi veillez à y mettre du carburant (la passion). Lubrifié tous ces rouages. Et manié la machine avec beaucoup d'attention et de bonne intention. Quand on cherche une âme à joindre, adjoindre deux bout de fil de Soi(e), s’asseoir et attendre. L'alchimie du sentiment. Ce qu'il y a de merveilleux à observer le vide c'est qu'il s'agit là d'un creux à remplir du tout provenant d'un rien que l'on à tenté de construire. La Vie ne née pas. Elle vient du confins et ne confondez pas le jour et la nuit. Fondé votre bonheur avec une once de malheur, sans ça, deux extrémité ne peuvent se rejoindre. Deux corps Gras ne colle pas. Il glisse. Debout l'Homme écoute et laisse couler de toute son âme, le jus du fruit défendu. Elle, attend de pouvoir appréhendé l'avenir, de lui passer la corde autour du coup avec son nœud qui coule. Au devant de toutes les incompréhension qui font que deux âmes se cherchent et derrière les calomnies de ceux qui tentent d'effacer les traces qui mènent l'un, à l'autre. Une alchimie dont le spectateur devient chien. Lorsque quelque chose doit se faire, il se fait. Deux cœur peuvent se noué si bien qu'un nœud se défait aussi facilement, en tirant un peu vers Soi, un fil de Soie. La vie ne tient qu'à Soi, à un Fil... Au fil du temps et à l'épaisseur des draps. La Volupté, la Passion, l'épaisseur et la longueur de la chaîne qui nous raccroche à la vie.
Chaud et humide à la fois. Le Forgerons n'attend pas patiemment que la forge soit à température, il attise les braise de son foyer jusqu'à pouvoir effectuer son dur labeur. Frapper le fer ardemment jusqu'à ce qu'il pli. Que dire d'un être qui de manière constante attise son feu, Le cœur bat la chamade parce qu'il sait que son oeuvre doit être faite. Dans le temps et dans l'espace que nous occupons, Chacun à son rôle, son devoir, sa place, Le Cœur... apprendre. Parce qu'enchaîner à tant de galère, Bonder par le monde, Accrocher au fil de la vie, Encorder dans un combat quotidien. Le Cœur... apprendre. En tout temps, les êtres le savent, Inconsciemment ils veulent devenir, lorsque la plupart du temps ils oublient, de venir. En effet dans un espace commun, il s’agite... l'être. Un Cœur... apprendre. C'est un métier que de vivre. Une cours d'école, la vie. Où les êtres s'aiment et se haïssent, Accrocher à son Soi, cherchant un Toit. Pour qu'ils disent de "nous", vous. Un cœur à prendre.
Dévêtu... Est-ce que pour voir il faut nécessairement être vu ? Au poker, non !! La vie paraît-il serait une partie de Poker !? Est-ce qu'être vu permet de voir sous un angle différent, de vivre les choses différemment ?? Au sein de sa communauté, en société !! Voir serait le début de "savoir". La racine même... et chacun sa personnalité, sa vérité. Doit-on s'exposer, être vu, évoquer son savoir et demander à voir ?? Chacun vie sa propre réalité et dans les faits, ceci est un acte volontaire. Voir, être vu, vouloir, savoir, pouvoir, avoir... être. Doit-on jouer le jeu de la vie ?? Le "moi" en son âme et conscience parce que ce second le "je". Se trouve "Surmoi" la plupart du temps mais c'est inconscient. Dans ce jeu réside des règles. Elles sont codifiées. Par respect l'être apprend et prend, Ensuite il rend et lorsqu'il donne, Le Don de Soi n'est pas de la charité. C'est un sacrement, assurément. Avec sincérité, je vous le dit... Ne le dite à personne, Vous êtes vivant. Passionnément. A chacun son Soi, lui, elle... Moi je, moi je... Moi je cherche un "toi", avec des ailes, Pour m'envoler. Tendre Baiser.
A la recherche d'un profil qui n'existe pas. Nous sommes tous hypothétiquement et probablement des gens bien. Gentil, attentionné et à l'écoute de son autre. Dominant ou Dominé... Ce n'est qu'un Jeu du quotidien, A savoir qui aura raison, quelle vérité s'imposera au dessus de l'autre. Dans les Jeux d'addiction là où la sexualité s'exprime, Tendre vers... ou bien cravaché sur... C'est donc dans la communauté que l'on éblouie, Notre plaisir, nos passions et puis notre bonheur d'être à deux. Se mettre en quête d'un profil type qui finalement n'existe pas. Alors qu'est-ce qui réunie deux personnalité ? Ce n'est pas parce que lui à un fouet bleu !! C'est parce que ses mots ton frappés et ton laissés une équimose. Tu choisi de tendre la main vers cette personne, Parce qu'au bout sa tendresse "oui" !! Mais s'attendre à ce qu'il tende vers quelqu'un d'autre. Est-ce ça être deux ?? Créer du souvenir, créer du sentiment, Frappé fort au bon moment au bon endroit. Sentir dans ses phrases, vibrer par ses mots, Transporter par la chaleur du verbe, Immerger dans ses intentions, c'est mot dire. Maudire les autres et ne pas dire sans ressentiment, Évoquer momentanément que... être deux c'est une envie, par passion,
Maudire les instants ou l’inattention, Nous a fait perdre le fil. Le fil de Soi avec un peu de toi. Enquête sur un profil suspect, Une personnalité qui pourrait, qui devrait, Ces gens qui pue le bonheur. J'adore ton odeur, écarte toi, Enfile un peu de toi en moi. Donne moi tout ce que tu as. Je te veux toi. Singulièrement et "nous" au singulier !!