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Fabian Congera a comparu mercredi après-midi par visioconférence au palais de justice de Saint-Hyacinthe pour faire face à des accusations de tentative de meurtre et de voies de fait graves. Les gestes sont survenus mercredi en début de nuit à l’égard d’une femme dans un appartement de l’avenue Saint-Dominique, à Saint-Hyacinthe.
Âgé de 56 ans, l’homme a dû répondre aux enquêteurs en matinée mercredi. Sa comparution a été retardée de quelques minutes pour donner le temps aux enquêteurs de prélever ses empreintes digitales. Un interprète a été demandé en salle de cour pour la séance puisque Congela ne parle ni français ni anglais. Il se trouvait au poste de police de la Sûreté du Québec dans le quartier Sainte-Rosalie au moment de comparaître.
L’accusé comparaîtra de nouveau le 4 novembre par visioconférence pour son enquête sous caution. Il est représenté par Me Audrey Bachand pour toute la durée des procédures.
Selon la porte-parole aux communications de la Sûreté du Québec, AudreyAnne Bilodeau, la victime se trouve dans un « état stable, mais pas hors de danger ». La femme âgée dans la quarantaine a été rapidement transportée à l’hôpital pour soigner des blessures sérieuses à l’abdomen et à la tête.
Il est encore tôt pour connaître le lien qui unissait les deux adultes au moment où le drame est survenu. Les autorités ont été alertées vers 1 h du matin par un adolescent qui se trouvait lui aussi à l’intérieur de l’appartement. Il s’agirait du fils de la victime.
Une altercation entre les deux individus serait à l’origine du drame. Le suspect aurait tenté par lui-même de se rendre au poste de police de Saint-Hyacinthe, mais les policiers ont procédé à son arrestation aux coins de la rue Dessaulles et de l’avenue de la Concorde Nord après avoir établi un périmètre de recherches.
Des enquêteurs des crimes majeurs étaient présents sur les lieux de l’agression en début de journée mercredi pour
Je résume. Grossièrement. Québec solidaire et le Parti québécois refusent de prêter serment au roi. Le président de l’Assemblée nationale, François Paradis, réplique : « C’est ça qui est ça pis les ceuzes qui sont pas contents, ben qu’y s’en vont. Prêtez serment, sans ça… » « Sans ça quoi? », demandent candidement à l’unisson Gabriel Nadeau-Dubois et Paul Saint-Pierre Plamondon. Paradis, drette comme un doigt brandi leur répondit : « Sans ça, la sergente d’armes sera légitimée de vous expulser! » Des députés élus expulsés comme des pas propres de téléréalité. Imaginez la scène s’ils résistent. Paul Saint-Pierre Plamondon se fait pogner par le califourchon et la sergente d’armes qui tente ensuite de menotter Gabriel Nadeau-Dubois, mais Sol Zanetti et Pascal Bérubé lui font le coup de la corde à linge et Manon Massé saute du troisième câble pour faire la prise du petit paquet sur François Paradis. Royal Rumble à Québec!
C’est un scénario moins burlesque que la réalité. Actuellement, le Roi d’Angleterre et chef de l’Église anglicane empêche une partie de la population québécoise d’être représentée dans sa propre assemblée et, pour changer ça, suffit juste d’un peu de courage, du liquid paper et souffler deux trois secondes sur un vieux papier de 1867… sorte de contrat flou, qu’on n’a jamais signé d’ailleurs.
On dira de prêter serment sans y croire pour ensuite changer la loi. Mais accepter que le premier acte officiel de nos élus soit un serment d’hypocrite, ça part mal la patente. Invoquer qu’il y a plus urgent est un faux argument qui ne fait que nous autoriser à étirer le temps qu’on va mettre pour traiter cette mycose des ongles constitutionnelle. Faites comme dans l’annonce, réglez ça tu-suite.
«Marché immobilier et inflation : assisterons-nous bientôt au retour des reprises de maisons?
Nombre total de votes enregistrés : 182 Selon le relevé effectué mercredi à 16 h
Nous ne compilons que les réponses d’internautes pour ce sondage qui n’a pas de valeur ou de prétention scientifique.
Répondez-nous sur notre site Internet www.lecourrier.qc.ca Voici la question de cette semaine :
L’ancien directeur général du CLD Les Maskoutains et de la Cité de la biotechnologie agroalimentaire et vétérinaire était de passage récemment au Centre de congrès de Saint-Hyacinthe à l’occasion du congrès annuel de l’Association des professionnels en développement économique au Québec. Mario de Tilly (à gauche) n’est pas reparti les mains vides vers la Mauricie, où il dirige depuis 2015 Innovation et Développement économique Trois-Rivières, puisqu’il a mérité le prix Carrière exceptionnelle 2022
Le destin aura voulu que M. de Tilly reçoive cet honneur dans la ville où il a œuvré pendant 22 ans et seulement quelques jours avant le décès de Léandre Dion , idéateur de la Cité de la biotechnologie à qui M. de Tilly a donné naissance. On se souviendra que ce dernier a démissionné et quitté ses fonctions en 2014, au milieu d’une crise de gouvernance au sein des deux entités économiques qu’il dirigeait.
Ce semble être le jour de la marmotte au sein de l’équipe de direction du Cégep de Saint-Hyacinthe où on rapporte un nouveau départ. La directrice adjointe à la Direction des études quittera ses fonctions le 4 novembre afin de relever de nouveaux défis. Christine Lord était en poste depuis l’an dernier. Pour pallier ce départ et éviter les bris de services, le collège a annoncé des changements à la Direction des études et une série de promotions à l’interne.
Dans la même veine, le parti municipal Saint-Hyacinthe unie continue d’être bien implanté au Cégep de SaintHyacinthe. Candidate dans le district Hertel–Notre-Dame à la dernière élection, Annabelle T. Palardy vient d’être promue au poste d’aide pédagogique individuelle aux Services à l’élève.
Même s’il s’affiche dans la continuité de l’ancien conseil municipal, le maire de Saint-Hyacinthe, André Beauregard, qui fêtera son premier anniversaire à la mairie, a tout de même tenu à mettre sa couleur en laissant une grande place aux conseillers municipaux, au risque de se retrouver sur une pente glissante.
Le 7 novembre, cela fera un an qu’il a obtenu la confiance de la population maskoutaine pour devenir premier magistrat. Il avait réalisé trois mandats en tant que conseiller du district Douville avant de tenter sa chance à la mairie de Saint-Hyacinthe.
« C’est complètement différent. En tant que conseiller, on n’a pas tout le temps l’information en temps réel. Ça passe par l’administration et le maire. Je m’attendais à ce que ce soit une job plus exigeante que celle de conseiller. Et effectivement, ça l’est. J’aime ça aller aux événements et aux activités. Je réponds souvent oui aux invitations. Je suis très présent et j’aime ça », mentionne-t-il. Dès son assermentation le 12 novembre 2021, le maire Beauregard a annoncé vouloir laisser une plus grande place aux conseillers municipaux. « On m’en remercie d’ailleurs. Les conseillers ont plus de temps pour répondre aux citoyens. Ce n’est pas juste le maire ou la direction qui doit répondre. Ça peut être glissant dans certains cas, mais ça vient avec l’opportunité de débattre. On n’est pas une équipe politique, mais le but est de prendre les meilleures décisions », souligne-t-il.
Les discussions se sont enflammées en séance du conseil à quelques reprises au cours des derniers mois, dont une fois où
le ton a monté entre deux conseillers et le maire au sujet de la disparition de la bretelle en dessous du pont Barsalou. Pour M. Beauregard, les débats demeurent sains en général.
« Il y avait aussi des débats à l’époque de Claude Corbeil ou de Claude Bernier. On apprend avec le temps. Dans les plénières, il y a toujours eu des débats. Ils sont toujours sains. C’est dans le but de faire avancer les dossiers dans le meilleur sens. Chacun a droit à sa position et à son point de vue. C’est normal qu’on ne soit pas tous d’accord. On ne vient pas tous du même milieu. »
Dans l’optique d’impliquer davantage tous les membres du conseil, les élus se sont réunis au printemps pour élaborer les priorités 2022-2025 sous le thème « SaintHyacinthe, engagée dans un avenir durable ». Cette démarche, qui a été réalisée pour une première fois à Saint-Hyacinthe, est l’une des plus grandes fiertés du maire au terme de sa première année.
« On a pu prioriser des choses. On a décidé de réaliser des projets qu’on a sur la table depuis longtemps et de faire des choix. Il y a des choses intéressantes qu’on ne pourra pas réaliser dans le présent mandat. On a priorisé la promenade Gérard-Côté et le pôle culturel. L’autre problématique, c’est l’inflation. On le voit quand on donne de nouveaux contrats. C’est souvent 10 %, 30 % ou même 40 % d’augmentation. Tout coûte plus cher », ajoute-t-il.
Les maquettes des premières phases de la promenade Gérard-Côté ont été dévoilées. Bien que des élus eussent mentionné une volonté de réduire la facture, la Ville a confirmé viser encore un budget de 33 M$.
« Certaines choses ont été épurées pour permettre de baisser les coûts. On va y aller par phase. On essaie d’aller chercher d’autres subventions de Québec et d’Ottawa. Certaines choses ont été simplifiées. On avait donné comme consigne à la firme que le projet ait un effet “wow”, mais à moindre coût. Les professionnels ont travaillé dans ce sens-là », poursuit le maire.
À plusieurs reprises, André Beauregard a interpellé les gouvernements provincial et fédéral pour qu’ils injectent plus d’argent dans des projets municipaux. « Je le répète souvent, reconnaît-il. J’ai de très bonnes relations autant avec SimonPierre Savard-Tremblay [fédéral] que Chantal Soucy [provincial]. Tout comme nous, ils travaillent beaucoup pour aider Saint-Hyacinthe. Je sens une très grande collaboration de leur part. »
Dans les premiers dossiers de son mandat, on se rappelle l’achat de l’aéroport de Saint-Hyacinthe par un organisme à but non lucratif (OBNL). Quelques semaines avant son élection, la Ville avait renoncé à acheter les installations. Le nouveau conseil municipal a choisi de conclure une entente qui prévoit une aide financière de 2 M$ sur 20 ans et l’engagement de la Ville à assumer un prêt représentant la moitié des investissements pour la réfection de l’aéroport.
« Les détracteurs nous disaient que l’aéroport avait une vocation essentiellement récréotouristique, mais ce n’est pas ce qui nous a été démontré. Je suis convaincu qu’on a trouvé la meilleure solution avec la création de l’OBNL. On les aide. Ils travaillent très fort bénévolement. Si on avait acheté l’aéroport,
cela aurait coûté plus cher », maintient M. Beauregard.
Ce dernier assure que toutes les décisions sont prises en considérant la capacité de payer des contribuables. Le plafond symbolique de la dette à l’ensemble de la population a été fixé à 92 M$. « On le garde toujours en tête. C’est ce qui nous guide dans nos décisions. On garde le cap sur le 92 M$. »
La prochaine année se déroulera dans l’esprit de la continuité. Le conseil municipal se concentrera sur les dossiers déjà sur la table tout en restant à l’affût des opportunités et des programmes de subvention. « On a un conseil municipal réfléchi. Il travaille le mieux possible ensemble. C’est ce qui fait la force de notre conseil municipal. J’essaie d’être le chef d’orchestre, de donner la parole et de faire les meilleurs choix possible », conclut le maire de Saint-Hyacinthe.
Cela fait bientôt un an que Claude Corbeil a laissé sa place à la mairie de SaintHyacinthe. De retour dans les champs, il demeure serein avec sa décision.
Bien qu’il s’ennuie du contact direct avec la population, il affirme être heureux d’être de retour sur sa ferme dans le quartier Sainte-Rosalie. C’est d’ailleurs au volant de son tracteur qu’il a accepté de répondre à quelques questions.
Même s’il a quitté le milieu politique après deux mandats, il poursuit son implication. Il en avait d’ailleurs glissé un mot lorsqu’il a quitté ses fonctions de premier magistrat. On a pu d’ailleurs le côtoyer à différents événements, que ce soit lors de l’élection de la députée Chantal Soucy ou à l’activité pour souligner la retraite du directeur général des Galeries St-Hyacinthe. Claude Corbeil a aussi accepté la présidence d’honneur de la campagne de financement visant les grands donateurs qui permettra d’acheter du mobilier et de l’équipement pour la nouvelle bibliothèque T.-A.-St-Germain. La Ferme Copor, dont il est propriétaire, a fait un don de 15 000 $ à cette collecte de fonds l’été dernier.
« Je me suis tellement impliqué que je ne me cacherai pas chez nous, c’est clair. L’actualité m’intéresse. Les choses qui se passent m’intéressent. C’est important pour moi. J’ai toujours été curieux et intéressé à ce qui se passe dans la région », a-til souligné.
De ses propres mots, il suit de près l’actualité locale, mais n’osera jamais commenter les décisions du nouveau conseil municipal. Il ne jouera pas à la belle-mère, assure-t-il. « J’ai décidé de ne pas renouveler mon mandat. Il y a des gens qui ont pris la place. C’est correct. Ils font le travail et c’est bien fait. Je suis mal placé pour commenter. Ce n’est pas ma place ni mon rôle. »
Le directeur général de la Ville de SaintHyacinthe, Louis Bilodeau, a annoncé prendre sa retraite à la fin de l’année 2022 après 15 années à la direction générale de la Ville. Claude Corbeil n’avait que de bons mots pour celui qu’il a côtoyé pendant huit ans. « Ce fut un privilège de travailler avec Louis Bilodeau. C’est un homme compétent qui connaît ses dossiers. Il a fait avancer la Ville de façon extraordinaire. Je lui souhaite une belle retraite », a mentionné M. Corbeil.
Ce dernier a aussi salué la nomination de Chantal Frigon qui prendra la relève
dès le 1er janvier. Elle occupait la direction générale adjointe jusqu’au 31 octobre. « Elle a fait cheminer la Ville. Elle a toutes
les compétentes pour occuper la direction générale. Je lui souhaite bien du succès pour la suite. »
Encore active et présente sur la scène municipale, la cheffe du parti politique Saint-Hyacinthe unie, Marijo Demers, assure que le parti est toujours aussi pertinent près d’un an après l’élection municipale du 7 novembre 2021. Elle reconnaît quelques bons coups du conseil municipal actuel, mais se montre plus critique sur d’autres dossiers, particulièrement ceux touchant à l’environnement.
Des ex-candidats à l’élection municipale ont interpellé à plusieurs reprises les élus en séance du conseil municipal et ont publié des lettres d’opinion dans le COURRIER. « Un an après, notre plan politique nous apparaît tout à fait pertinent, notamment concernant la canopée et la promenade. Tout ça prend tout son sens. Les engagements pris en 2021 sont encore là », affirme Marijo Demers.
À commencer par la mise en place du premier budget participatif de la Ville de Saint-Hyacinthe, le nouveau conseil a emprunté cette idée à la plateforme de Saint-Hyacinthe unie. Mme Demers soutient que la première édition a présenté quelques lacunes, dont le budget limité de 50 000 $.
« On se réjouit que le conseil actuel se soit inspiré de la plateforme de SaintHyacinthe unie. C’était une première mouture intéressante basée sur le développement durable. Le dépôt de projets était réservé aux jeunes de 13 à 31 ans, ce qui était un beau clin d’œil à la jeunesse, mais la votation était très restrictive. C’était aussi les jeunes de 13 à 31 ans qui pouvaient voter. Je pense qu’on peut avoir 50 ans ou 70 ans et tout à fait voter sur un
projet porté par la jeunesse. Je suis curieuse de connaître le taux de participation », soutient Mme Demers.
La cheffe du parti souligne plusieurs bons coups mis en place par la nouvelle administration, que ce soit la campagne de sensibilisation pour diminuer la consommation d’eau dans le cadre des travaux à la station de pompage Pratte ou encore la mise en place d’un projet pilote sur le déneigement écologique cet hiver.
La jeunesse a toujours été au cœur des engagements du parti politique. En avril, l’aile jeunesse de Saint-Hyacinthe unie a remis une pétition regroupant 225 signatures aux élus en demandant d’intensifier les actions environnementales. « La pétition a été dûment reçue. Après ça, est-ce que le conseil a donné suite? Cela n’a pas été fait. Je trouve un peu spécial qu’on dise, d’un côté, qu’on se soucie de la jeunesse avec le budget participatif, mais que, de l’autre, on ne donne pas de suite lorsque la jeunesse se déplace en conseil municipal, ce qui, on s’entend, n’arrive pas souvent », se désole-t-elle.
L’aile jeunesse demandait, entre autres, de multiplier les actions visant la conservation des milieux naturels et l’augmentation de la végétation en se basant sur l’indice de canopée. La Ville de Saint-Hyacinthe a dévoilé récemment la première étude sur l’indice de canopée sur son territoire.
« Je suis beaucoup moins optimiste que le maire Beauregard. Au moins, on a un portrait clair. On connaît les districts où on doit mettre plus d’efforts. Saint-Hyacinthe doit donner un coup de barre. Quand je dis que le programme de Saint-Hyacinthe
La cheffe du parti Saint-Hyacinthe unie, Marijo Demers, avait terminé tout juste derrière le maire André Beauregard à l’élection municipale 2021. Photothèque | Le Courrier ©
unie prend tout son sens, c’est un bon exemple. On a plein de solutions dans notre besace pour augmenter la canopée. On n’a pas élaboré cette plateforme-là dans un esprit partisan », ajoute-t-elle.
Le dossier de la canopée l’amène d’ailleurs à aborder la question entourant la préservation du boisé Castelneau près du Cégep de Saint-Hyacinthe. Déjà, de nombreux arbres ont été coupés pour aménager le deuxième accès vers l’établissement scolaire inauguré à l’été. Dans le boisé actuel, plusieurs terrains appartiennent au Groupe Robin qui envisage d’y construire des habitations dédiées aux étudiants.
Mme Demers s’inquiète de l’épée de Damoclès suspendue au-dessus de ce boisé. Dans nos pages, le maire de Saint-Hyacinthe, André Beauregard, avait souligné que ce boisé n’était pas
particulièrement beau puisqu’on y trouve un marécage. « Peut-être que ses critères à lui sont différents. Les mots sont importants. Si on se met à dévaloriser avec des mots les derniers milieux humides qu’on a, on a un problème. »
Le nouveau conseil municipal a fixé le plafond symbolique de la dette à l’ensemble de la population à 92 M$, soit 12 M$ de plus que ce qui avait été établi par l’ancien conseil municipal en 2015. « Dans le passé, Saint-Hyacinthe a déjà joué dans le mauvais film du surendettement. Un endettement difficile à juguler, c’est toujours une crainte. »
La gestion de la promenade Gérard-Côté et du dossier de l’aéroport de SaintHyacinthe fait craindre un surendettement, selon Marijo Demers.
Le restaurant Le Chalet, une institution maskoutaine de repas faits maison située sur le boulevard Laurier Ouest, a accueilli pour une dernière fois sa fidèle clientèle en grand nombre le 30 octobre.
Le propriétaire, Luc Rainville, vit un certain deuil, mais il se rappellera toujours le plaisir que ce travail lui a apporté. Il profitera de son temps libre pour se reposer et se pencher sur de nouveaux projets. Le bâtiment et le terrain qui étaient en vente depuis plusieurs années ont été acquis par Jean-François Riendeau qui le transformera en un magasin de planches à pagaie.
La transaction a été officialisée un vendredi il y a trois semaines après des démarches très rapides ayant seulement duré deux semaines. Les employés ont été avisés le dimanche suivant. Ils ont été un peu surpris, mais s’y attendaient tout de même, selon M. Rainville, car l’homme d’affaires de 67 ans leur avait dit que c’était en vente et qu’il fermerait au maximum à ses 70 ans.
Les clients, eux, l’ont appris dans les jours qui ont suivi et par l’entremise d’une publicité à la une du Clairon du 25 octobre. « Je trouve ça difficile parce que c’est comme une famille », affirme-til. Toutefois, celui qui travaillait plus de 60 heures par semaine et les jours fériés, soit environ 340 jours par année, est heu-
PETITE HISTOIRELe restaurant Le Chalet a vu le jour en 1961 sur la rue des Cascades. C’est le père de Luc Rainville qui l’a acheté en 1966. Toutefois, c’était le rêve de sa mère, Agnès Viens, de devenir serveuse et le meilleur moyen de le faire était d’acheter un restaurant. Aujourd’hui âgée de 88 ans, elle était encore très impliquée jusqu’à la fin à la cuisine. Le restaurant a ensuite déménagé en 1969 à l’endroit actuel quand Le Clairon a eu besoin du terrain. C’est carrément la bâtisse qui s’est promenée dans les rues de Saint-Hyacinthe, une procédure assez impressionnante.
Luc Rainville a commencé par travailler les fins de semaine alors qu’il étudiait à l’Université d’Ottawa pour devenir professeur. Toutefois, lors d’un stage, il a réalisé que ce n’était pas fait pour lui et a demandé à sa mère si elle cherchait toujours un employé à temps plein. De plus, avec l’élection au Québec du Parti québécois avec René Lévesque à sa tête en 1976, il ne se sentait plus à sa place à Ottawa. Il raconte d’ailleurs que lorsque René Lévesque travaillait au Clairon, il venait écrire ses articles au restaurant. Plusieurs autres personnalités y ont dégusté un bon repas au fil des ans comme Janine Sutto, Ginette Reno, Jacques Létourneau, Michel Tremblay et Gaétan Labrèche. La plupart étaient professeurs à l’École de théâtre du Cégep de Saint-Hyacinthe, qui se trouve non loin du restaurant.
Pour en revenir à Luc Rainville, il a commencé officiellement comme serveur en 1977. Au début, il se faisait intimider par les hommes, car ils étaient surpris de ne
pas se faire servir par une jeune fille. Bien qu’il remarque que les mentalités ont évolué en ce sens, l’étiquette et les bonnes manières se sont, pour leur part, perdues avec le temps, selon l’ancien propriétaire.
Le bâtiment a été agrandi en 1984 et il ne reste maintenant que les poutres d’origine. C’est aussi autour des années 1990 que le restaurant a été ouvert la nuit pendant une quinzaine d’années. Luc Rainville a acheté le restaurant en 2002 de sa mère. Au cours des 56 ans de service, quatre générations de familles maskoutaines ont été servies.
Maintenant libéré de ses obligations, M. Rainville a tout laissé sauf ses recettes. Certains clients les lui ont demandées, mais il songe à développer une usine de crêpes. D’autres produits typiques du restaurant pourraient aussi s’ajouter à la production comme les confitures et les betteraves.
Celui qui a toujours été passionné de politique et qui s’est d’ailleurs présenté pour le Parti libéral du Canada en 2015 aimerait également faire une maîtrise en sciences politiques. Toutefois, cela attendra quelques mois, le temps qu’il reprenne des forces.
La fermeture partielle du tunnel LouisHippolyte-La Fontaine depuis le 31 octobre jusqu’en novembre 2025 occasionne des maux de tête aux camionneurs de Saint-Hyacinthe et des environs. Les compagnies de transport doivent redoubler d’ingéniosité pour trouver des solutions pour éviter la congestion monstre engendrée par les travaux.
Le directeur des opérations et de la flotte chez Groupe Goyette à SaintHyacinthe, Jean-François Bourbeau, indique qu’il vérifie désormais avec ses clients s’il peut livrer la nuit. De plus, il est actuellement à la recherche d’une cour sécurisée dans l’arrondissement d’Anjou pour y laisser les remorques pendant la nuit. Il envisage aussi de laisser en tout temps un employé basé à Montréal qui pourrait faire les livraisons sur l’île dans le jour, mais l’inconvénient est qu’aucun de ses employés n’habite dans la métropole.
Le port de Montréal est l’endroit où environ 80 % des livraisons sont effectuées et il est difficilement accessible par d’autres chemins. Il prévoit donc une hausse de 50 % des pertes de temps en plus d’une augmentation fulgurante des coûts.
Trois de ses chauffeurs réguliers ainsi que douze s’occupant des conteneurs se rendent régulièrement sur l’île de Montréal sur un total de 74. L’entreprise en comptait deux ou trois de plus avant le printemps, mais ils ont décidé de ne plus faire ce trajet à présent. « Les gars sont anxieux et inquiets. Certains disent qu’ils vont prendre leur retraite, mais ça n’arrivera pas », affirme M. Bourbeau. Il déplore qu’aucune mesure ne soit prévue par le gouvernement pour l’industrie du transport outre que de tenter de diminuer le nombre de voitures pour faire place aux camions.
Pour sa part, Marc-Antoine Petit, viceprésident et propriétaire de Transport Petit à Sainte-Hélène-de-Bagot, n’a pas constaté une importante congestion le 31 octobre, mais il se demande si cela n’était pas attribuable à un possible télétravail en raison de l’Halloween. En effet, la situation était tout autre le 1er novembre. Il explique que deux importants clients de l’entreprise se trouvent à Montréal, soit Kraft et Saputo, et qu’il a fallu 2 h 30 à un de ses camionneurs pour se rendre de Saputo au tunnel entre 5 h et 7 h du matin, alors que le trajet prend 4 minutes sans congestion et 1 h au maximum avec une circulation dense. Compte tenu des circonstances, la compagnie laisse des citernes alimentaires en tout temps chez ces deux clients afin de faire du préremplissage. Il est aussi dans les plans qu’un camion reste sur l’île en permanence. M. Petit indique que les camionneurs qui font de la longue distance, par exemple en Ontario, sont les plus inquiets puisqu’ils sont payés au kilomètre. Toutefois, l’entreprise prévoit de les payer plutôt à l’heure entre SaintHyacinthe et Montréal. De plus, pour ce qui est des livraisons qui partent de chez un client situé à Notre-Dame-du-BonConseil vers Montréal, l’autoroute 40 sera recommandée.
« Personne n’est de bonne humeur. Ce sera l’enfer pour les trois prochaines années. Laisser le tunnel aux transporteurs serait l’idéal », lance Marc-Antoine Petit.
Le directeur général d’ACAM Transport à Saint-Hyacinthe, Marcel Bonneau, considère que c’est sortir du tunnel qui est le plus complexe puisqu’il y a juste une voie d’ouverte. Vers 11 h 30, le 1er novembre, un de ses camions était en direction du tunnel La Fontaine pour atteindre la Rive-Sud et roulait à seulement 5 km/h environ. Pour les clients situés dans le secteur de Repentigny, le plan B est d’emprunter l’autoroute 40 et de passer par Trois-Rivières. Le traversier n’était pas une bonne solution en raison du
coût d’environ 50 $ et des délais fréquents. Des discussions sont aussi en cours pour que des remorques soient laissées chez les clients pour permettre aux chauffeurs qui arrivent de Toronto de repartir rapidement.
Chez Transport Nalaco de Jefo Logistique à Saint-Hyacinthe, les clients sont invités à utiliser le service de transbordement avec accès à la voie ferrée pour la réception et l’expédition de leurs marchandises.
Une bonne personne. Voilà le compliment ultime que je peux faire à quelqu’un. Il s’applique parfaitement à Léandre Dion, l’ancien député péquiste de SaintHyacinthe de 1994 à 2007. Oui, il était une bonne personne et il a été un bon député. Effacé, mais efficace et assurément apprécié comme en font foi ses trois mandats.
Un concert d’éloges, c’est ce à quoi il a eu droit depuis l’annonce de son décès au cours du récent week-end. Et ce ne sont pas des éloges forcés. Je vous mets au défi de trouver la trace de quelqu’un qui n’aimait pas Léandre Dion. Mission impossible.
Le Léandre Dion que j’ai connu et souvent interviewé au cours de ma carrière était un homme intéressé et toujours intéressant. Généreux de son temps, de ses mots et de ses réflexions sur la politique, sur Saint-Hyacinthe et sur la vie en général. En politique, il aura été un bon soldat, même s’il avait le bagage, l’étoffe et l’envergure des généraux. Par modestie et par fidélité au parti, il a toujours accepté sans sourciller les rôles politiques de moindre envergure que ses chefs lui ont confiés.
Et des chefs au PQ, ce n’est pas ça qui a manqué pendant les années Dion, une période effervescente sur la scène politique québécoise et au PQ. Entre 1994 et 2007, M. Dion a connu quatre chefs, soit Jacques Parizeau, Bernard Landry, Lucien Bouchard et André Boisclair. Le premier a été le plus grand, le second celui qu’il a le plus apprécié, le troisième le plus charismatique, mais pas le plus grand démocrate une fois le vote passé, et le dernier? « André Boisclair, que dire? », m’avait-il simplement répondu dans une grande entrevue bilan de carrière en novembre 2007. Pince-sans-rire en plus!
Il me disait d’ailleurs avoir toujours eu de la difficulté « à bien passer » dans les médias. « Ça n’a jamais été facile pour moi, car je n’ai jamais été bon dans les clips, les formules-chocs. Je suis bon
pour expliquer, mais c’est moins accrocheur. » Oui, Léandre Dion était avant tout un pédagogue qui aimait prendre le temps de réfléchir et prendre le temps de bien dire les choses. Il était articulé, posé et pertinent. Quand on regarde de près son parcours personnel en dehors de la politique, on ne peut faire autrement que de se trouver un brin paresseux en regard de ce que Léandre Dion a pu accomplir dans sa vie, lui qui a entre autres été prêtre missionnaire, enseignant, apiculteur, conseiller municipal, commissaire au MAPAQ, auteur et surtout père de famille et grand-père aimant. Voilà une récolte on ne peut plus fructueuse.
Parlant de ça, certains, dont son ami Émilien Pelletier, croient qu’il n’a pas été reconnu à sa juste valeur pour sa contribution à l’essor de Saint-Hyacinthe.
À cet effet, on aurait tort de résumer le legs du politicien à l’émergence de la Cité de la biotechnologie agroalimentaire et vétérinaire de Saint-Hyacinthe, une idée phare et lumineuse de son programme électoral de 1998. Il faut aussi lui reconnaître des batailles politiques en coulisses pour faire progresser des dossiers porteurs comme ceux du Centre des arts Juliette-Lassonde, de la Faculté de médecine vétérinaire, de l’échangeur Pinard et de la réhabilitation, voire la décontamination, de l’Hôpital Honoré-Mercier.
Et parmi ses réalisations plus modestes, j’aime à rappeler qu’il a aussi contribué au lancement d’une belle carrière journalistique. C’est Léandre Dion qui m’avait en effet remis en mains propres les données gouvernementales sur les retombées du Plan Paillé à Saint-Hyacinthe. Ce geste a été le point de départ d’un dossier qui m’a valu mon premier Prix Judith-Jasmin en 1997, récompensant le meilleur reportage long de l’année au Québec, tous médias et médiums confondus. Parlant de récompense, il faudra maintenant songer à honorer la mémoire de Léandre Dion. À cet effet, je crois utile de reproduire un extrait de l’entrevue bilan publiée il y a de ça 15 ans déjà.
« Concernant la Cité de la biotechnologie, j’ai fait ma part et, pour cela, on peut dire que j’ai fait quelque chose de bien. Elle se bâtit peu à peu, mais il est maintenant temps que la Ville de SaintHyacinthe investisse dans son image et en fasse un parc de prestige. Il faut la rendre invitante et attrayante avec un grand parc, un jardin ou une fontaine. »
Et pourquoi pas un buste de bronze au milieu du futur parc Léandre-Dion?
À la suite du décès de Léandre Dion, on a fait écho au fait que M. Dion a été député de Saint-Hyacinthe pendant 13 ans, un sommet depuis le départ de T.-D. Bouchard en 1944. Un autre record digne de mention est pourtant en voie d’être établi plus discrètement sur la scène politique maskoutaine. Bernard Barré franchit ces jours-ci le cap des 34 ans de carrière continue en tant que coloré conseiller municipal du district La Providence. Selon ses recherches, Bernard vient de battre l’ancienne marque détenue par l’illustre Casimir Dessaulles. Ce nouveau record devrait tenir très très longtemps.
Comme vous pouvez le voir et le lire dans votre COURRIER, un arbitre de football a été blessé lors d’une agression survenue lors du match disputé à Saint-Hyacinthe, samedi dernier, entre les Lauréats du Cégep de Saint-Hyacinthe et le Noir et Or de Valleyfield. De la violence verbale et physique contre un officiel, cela n’a pas sa place, jamais, peu importe le sport. Mince consolation, le partisan concerné n’était pas de l’équipe locale. En conséquence de tout cela, le prochain match entre les deux formations sera disputé sous surveillance policière. Les gens ne vont vraiment pas bien...
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Chers Canadiens, le temps est venu de garder votre sang-froid. Il n’y a pas lieu de paniquer face aux menaces de Facebook de bloquer le partage de contenu de nouvelles.
Limiter le pouvoir des grandes entreprises technologiques est un défi, certes, mais la bonne nouvelle, c’est qu’une mobilisation se met en place dans le monde entier.
L’Australie a connu le blocage des contenus des nouvelles par Facebook au moment où le gouvernement australien était sur le point d’introduire des lois similaires à la Loi sur les nouvelles en ligne canadienne.
Lorsque Facebook a « désamié l’Australie » en février 2021, de nombreux Australiens ont été frustrés et des politiciens de tous bords ont exprimé leur colère, mais cela n’a pas empêché le gouvernement australien de tenir face à des adversaires puissants et d’adopter le premier code de négociation des médias d’information au monde (News Media Bargaining Code) une semaine plus tard.
Tout comme le News Media Bargaining Code en Australie, la Loi sur les nouvelles en ligne vise à remédier à un déséquilibre dans les négociations entre les médias et les géants de la technologie. Facebook et Google profitent depuis des années de l’inclusion de contenus de nouvelles sur leurs plateformes. L’intervention du gouvernement est le seul mécanisme qui les obligera à s’asseoir à la table des négociations pour payer pour les nouvelles et les informations qui apportent une valeur ajoutée à leurs activités.
Le Code australien a été établi en réponse aux préoccupations des petits et grands médias concernant l’impact des grandes plateformes numériques sur les médias australiens et les marchés publicitaires locaux.
Nous sommes conscients qu’il ne s’agit pas d’un problème propre à l’Australie. À l’échelle mondiale, le pouvoir de marché de Facebook et de Google, avec leur technologie publicitaire sophistiquée et leur
envergure considérable, perturbe et décime les médias locaux depuis au moins une décennie. Nous avons tous été témoins de la disparition des audiences et des emplois dans les salles de rédaction, ainsi que le rythme alarmant de la perte de revenus publicitaires.
J’ai travaillé à l’élaboration du News Media Bargaining Code australien alors que celui-ci évoluait d’une politique de concurrence à une réforme microéconomique de premier plan. Facebook a toujours soutenu que la présence de nouvelles sur sa plateforme n’avait aucune valeur économique et a affirmé que la loi « comprenait fondamentalement mal la relation entre notre plateforme et les éditeurs ». Google a même affirmé que le Code était « inapplicable ».
Malgré l’indignation des grandes entreprises technologiques, le Code s’est avéré être un succès pour les petits et grands médias australiens. Il s’avère réalisable et efficace.
Peu après l’entrée en vigueur du Code, la plupart des grandes entreprises médiatiques australiennes ont conclu des accords lucratifs avec Google et Facebook, dont la valeur totale est estimée à près de 200 millions de dollars australiens.
Le Code n’a pas bouleversé Internet, et il a montré qu’il était possible de limi-
ter la domination des plateformes sur le marché.
Il a fallu un peu plus de temps pour que les petits éditeurs indépendants puissent s’asseoir à la table des négociations, mais nous y sommes finalement parvenus, avec Google.
En novembre 2021, la Minderoo Foundation a réuni un groupe de 24 petits éditeurs indépendants pour négocier collectivement avec Google et Facebook. Nombre d’entre eux sont des éditeurs de très petites tailles ou familiaux, opérant dans des communautés rurales, des zones urbaines périphériques, des communautés multiculturelles et LGBTQI+, et certains offrent un journalisme d’intérêt public axé sur les arts, la science et l’environnement.
Avant notre intervention, ces éditeurs d’intérêt public ne parvenaient pas à dialoguer avec les plateformes. Nos efforts de négociation collective ont mis fin à l’aveuglement volontaire. Facebook nous a rapidement écartés au motif qu’il disposait de programmes de subventions pour les petits éditeurs, mais Google est venu à la table et a négocié avec nous.
Il a fallu six mois de négociations en allerretour, mais tous nos petits éditeurs ont obtenu des accords et des fonds de Google.
Le Code australien a été conçu pour aider à soutenir la durabilité du journalisme d’intérêt public en Australie. Les médias qui remplissent une fonction d’intérêt public et emploient des personnes se présentent sous toutes les formes et toutes les tailles. Le Code et nos efforts de négociation collective ont donné des résultats positifs pour les petites entreprises de presse en Australie.
Plus que jamais, nous avons besoin de l’information locale pour instaurer la confiance, combattre la désinformation et renforcer notre démocratie.
À vous de jouer, chers Canadiens!
Le moment est venu de faire face aux menaces des grandes entreprises technologiques et d’adopter une loi pour sauver vos médias d’information locaux.
Emma McDonald, responsable des relations gouvernementales à la Minderoo Foundation
Minderoo Foundation est une organisation philanthropique australienne. De 2019 à 2021, Emma McDonald a été conseillère politique principale auprès de l’honorable Paul Fletcher MP, l’ancien ministre australien des Communications.
Comme bien des Maskoutaines et des Maskoutains, j’ai été attristé par l’annonce du décès de l’ancien député de Saint-Hyacinthe à l’Assemblée nationale Léandre Dion. Ayant eu le privilège, pendant quelques années, de travailler à ses côtés comme membre de son personnel politique, j’ai souhaité joindre ma voix aux témoignages de reconnaissance qui se multiplient depuis quelques jours.
Je garde un souvenir exceptionnel de nos années de collaboration qui m’ont permis de connaître ses grandes qualités personnelles et professionnelles : son incroyable gentillesse, son sens de la compassion et de l’empathie, son intérêt véritable pour les gens, son intégrité sans faille et sa grande fidélité à ses convictions. Mais plus que toute autre chose, je me souviendrai de Léandre Dion pour sa détermination et l’énergie qu’il a consacrées à faire de Saint-Hyacinthe un haut lieu de l’innovation de la filière agroalimentaire et vétérinaire.
La Cité de la biotechnologie agroalimentaire et vétérinaire, dont on lui attri-
bue la paternité à juste titre, est sans aucun doute le projet phare de sa carrière politique.
Ce projet, dont il a lancé l’idée lors de sa campagne de 1998, était pour lui beaucoup plus qu’un véhicule politique. Il y attachait personnellement une haute importance. Bien sûr, pour l’impulsion économique qu’il allait donner à notre région, mais surtout, répétait-il toujours, pour les emplois de haute qualité dont pourraient bénéficier la prochaine génération de jeunes professionnels et les marchés qu’elle pourrait ouvrir à nos producteurs agricoles.
Ainsi, la Cité, il l’a idéalisée et conceptualisée. Il y a travaillé avec acharnement, mobilisant les milieux politique et économique, aux niveaux local et national afin d’en assurer sa concrétisation. Le « leadership » de son projet, il n’a pas hésité à le partager avec d’autres qui épousaient sa vision au risque de s’effacer un peu. Sa préoccupation était les résultats avant sa propre visibilité. D’ailleurs, les réussites du parc technologique, il les a partagées aussi, refusant toujours de prendre le mérite pour lui seul.
Faut-il le rappeler, la Cité de la biotechnologie, telle qu’imaginée par Léandre Dion, a généré en moins de 20 ans plus d’un milliard d’investissements publics et privés dans notre milieu, attiré une quarantaine d’entreprises innovantes, en plus de créer près de 3000 nouveaux emplois de haut niveau. Elle a mérité de nombreuses reconnaissances internationales et suscite l’intérêt d’acteurs des filières agroalimentaire et vétérinaire du monde entier. Il y a de quoi être fiers... et reconnaissants!
Peu de politiciens peuvent se targuer d’avoir laissé à leur communauté un legs aussi puissant, ayant un impact aussi significatif sur son ADN économique et dont les retombées seront exponentielles et se feront sentir sur plusieurs décennies. C’est l’apanage des hommes et des femmes publics ayant de la vision, et Léandre en avait. Plus de 15 ans après son retrait de la vie politique, il ne manquait d’ailleurs pas une occasion de partager ses idées aux personnes aujourd’hui chargées du développement du parc technologique, dont j’ai le plaisir de faire partie. Toujours pertinents et avisés, ses conseils me manqueront.
Le Courrier invite les lecteurs à faire connaître leurs opinions et il accordera une attention spéciale aux textes traitant des questions locales ou régionales. Les lettres doivent être courtes et précises. Chaque lettre doit obligatoirement être signée de la main de son auteur qui en assume l’entière responsabilité. Celui-ci doit aussi fournir les indications relatives à son nom au complet, adresse et numéro de téléphone, afin de faciliter toute communication si nécessaire. Le Courrier se réserve le droit d’abréger les lettres.
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Bien sûr, aujourd’hui, l’heure est au recueillement et aux témoignages de sympathie envers les membres de la famille de Léandre Dion. Mais je formule le souhait que, plus tôt que tard, la marque que ce dernier a laissée dans la communauté maskoutaine et le rôle qu’il a joué pour faire entrer notre région dans la nouvelle économie soient gravés dans le marbre. Et pourquoi pas au cœur de la Cité de la biotechnologie, ce parc technologique qui est sans aucun doute l’un des héritages les plus précieux de sa carrière politique.
Salut Léandre!
Donovan St-Hilaire, Saint-Hyacinthe
Une violente collision entre deux véhicules est survenue lundi, en fin d’après-midi, à l’intersection du boulevard Laurier et du chemin du Grand Rang sur la route 116 à la hauteur de Sainte-Marie-Madeleine.
Le choc a été violent, comme en fait foi l’état des véhicules. Selon la porte-parole
des blessures mineures, selon la SQ.
Les circonstances entourant l’accident restent inconnues.
Un autre accident s’était produit sur la route 116 la semaine dernière, dans la nuit du 25 au 26 octobre. Un véhicule se trouvant en sens inverse de la circulation est entré en collision avec une autre automobile, peu après 0 h 30, sur le boulevard Laurier, à Sainte-Madeleine. Les deux conducteurs ont été blessés légèrement. Un homme a été arrêté et conduit au centre hospitalier pour se soumettre à un
Après plusieurs années d’attente, le maire de Saint-Pie, Mario-St-Pierre, se réjouit que le ministère des Transports du Québec (MTQ) ait ajouté récemment le nom de Saint-Pie sur les pancartes de la sortie numéro 123, portant le nom de Grand Rang, sur l’autoroute 20. Une autre pancarte portant le nom de la ville a également été ajoutée à La Présentation. Les automobilistes peuvent l’apercevoir à proximité de la voie d’accès pour l’autoroute à cette hauteur. La députée provinciale de Saint-Hyacinthe, Chantal Soucy, a pris la pose à côté de cette dernière. Elle travaille sur le dossier depuis qu’elle est en fonction, soit depuis 2014. Elle est allée au bout du projet à la demande des élus, mais explique la longueur des délais par le fait que le dossier n’était pas classé prioritaire au MTQ. Photo gracieuseté
L’homme politique, qui était avant tout un homme de cœur, Léandre Dion s’est éteint dans la nuit du 29 au 30 octobre, entouré de ses proches. L’ex-député péquiste de Saint-Hyacinthe aura laissé sa marque dans la région par sa bienveillance et son amour du Québec.
Il est décédé à l’âge de 85 ans d’une rupture d’anévrisme. L’homme politique était connu pour sa gentillesse, sa bienveillance et son empathie. « Léandre était un homme d’une grande humanité. Il portait en lui des valeurs de bienveillance, de compassion et de générosité. Il accordait une grande importance aux gens qu’il rencontrait », dit sa fille Hélène Dion.
Léandre Dion a profité de sa retraite jusqu’à ses derniers moments. Il apprenait d’ailleurs le portugais afin de pouvoir voyager avec sa tendre épouse Estelle Huot. « Il était très inspirant. Jusqu’à la fin de sa vie, il apprenait une nouvelle langue parce qu’il voulait voyager éventuellement au Portugal avec Estelle. À 85 ans, c’est fou de se dire qu’on n’arrête pas d’apprendre parce qu’on vieillit », ajoute Hélène Dion, qui a accepté de parler au nom de sa mère.
« C’est difficile pour Estelle. C’est son grand amour qui vient de partir. Elle tient à ce qu’on se rappelle de l’amour de Léandre pour le Québec, pour la langue française, pour le pays, et je ne parle pas du Canada, et pour la culture québécoise. Il a beaucoup donné pour le Québec et pour sa famille », poursuit-elle.
Léandre Dion est né à Sainte-Apollinede-Patton le 13 juillet 1937. Il a entre autres été prêtre missionnaire, enseignant, apiculteur, président de la Fédération québécoise des apiculteurs du
Québec et commissaire à la Commission de protection du territoire agricole du Québec (CPTAQ).
Il a commencé sa carrière politique en tant que conseiller municipal à SaintLiboire au début des années 1980. Par la suite, il s’est impliqué au Parti québécois. Il s’est présenté comme candidat pour la première fois en 1994 et a gagné son pari. Il est ainsi devenu député de Saint-Hyacinthe sous les couleurs du Parti québécois. Il sera en poste jusqu’en 2007, année où il perdra son siège aux mains de l’adéquiste Claude L’Écuyer.
« Il était très ouvert sur le monde et les cultures. C’était un souverainiste. C’était son grand projet politique. Il le faisait toujours d’une façon très ouverte, accueillante et inclusive », souligne Donovan St-Hilaire, de SaintHyacinthe Technopole.
M. Dion possédait une grande culture générale autant au niveau politique que philosophique ou culturel, ajoute M. StHilaire. Les voyages entre l’Assemblée nationale à Québec et Saint-Hyacinthe étaient toujours intéressants, dit-il. M. StHilaire considère d’ailleurs Léandre Dion comme son mentor. Ce dernier l’avait recruté en tant qu’attaché de presse au début des années 2000 alors qu’il sortait à peine de l’université.
« En politique, il y a parfois des tensions avec des gens qui ne partagent pas nos idées. Avec M. Dion, c’était toujours dans le respect. C’était difficile de faire autrement avec la gentillesse du personnage. Ça fait cliché, mais il avait aussi un très grand sens éthique. Je lui ai souvent dit comme conseiller politique que telle position, par exemple, n’était pas très rentable électoralement. Il me répondait toujours : “La vérité et la justice ont leurs droits. Si ça me coûte des appuis, on argumentera avec eux.” Ce n’était pas une personne de coup d’éclat, mais toujours
fidèle à ses idées au risque de déplaire », se remémore-t-il.
SON LEGSM. St-Hilaire a quitté l’équipe de Léandre Dion pour travailler au CLD Les Maskoutains (aujourd’hui Saint-Hyacinthe Technopole) afin de développer la Cité de la biotechnologie agroalimentaire et vétérinaire de Saint-Hyacinthe. C’est d’ailleurs l’un des grands héritages de M. Dion à la région, soutient-il.
Léandre Dion avait fait l’engagement de créer un parc technologique durant la campagne électorale de 1988 pour obtenir son deuxième mandat. L’ex-député a réussi à convaincre le gouvernement du Québec de céder une banque de terrains du MAPAQ au parc technologique en devenir. Même après sa retraite de la sphère publique, Léandre Dion est resté un allié du projet. Saint-Hyacinthe Technopole lui a d’ailleurs décerné le Prix de la Technopole en 2018 dans le cadre du 15e anniversaire de la fondation de la Cité.
« C’est un projet fantastique qui était visionnaire à l’époque et qui l’est toujours. On voit aujourd’hui que cette vision qu’il a eue en 1998 a donné des résultats. Aujourd’hui, la Cité, c’est une trentaine d’entreprises installées et 3000 emplois directs. L’an passé, on a dépassé le milliard d’investissements publics et privés injectés dans la Cité. »
Le maire de Saint-Hyacinthe, André Beauregard, décrit d’ailleurs Léandre Dion comme un grand politicien qui s’est beaucoup impliqué pour la région. « C’était un chic type, un homme gentil. On n’a pas encore parlé de comment la Ville pourrait lui rendre hommage. On a énormément de noms en attente au comité de toponymie, mais M. Dion risque de se retrouver parmi les premiers de la liste. Il pourrait y avoir quelque chose, comme une rue ou un
parc, à son nom dans la Cité de la biotechnologie. »
Outre sa conjointe Estelle, M. Dion laisse dans le deuil ses enfants, Michel, Hélène et Mireille, ainsi que huit petits-enfants.
J’ai appris avec beaucoup de tristesse le décès de Léandre Dion, fier Québécois, fier Maskoutain, qui fut député péquiste de SaintHyacinthe à l’Assemblée nationale de 1994 à 2007. J’offre mes plus sincères condoléances à ses proches. Toute une région est en deuil. L’implication de Léandre dans la circonscription, en tant que député, était exemplaire. Il a assurément laissé sa marque. Un autre grand indépendantiste nous quitte sans avoir vu naître le pays du Québec. À nous d’honorer leur mémoire en terminant le travail. »
Simon-Pierre Savard-Tremblay, député bloquiste de Saint-Hyacinthe–Bagot
Ma sympathie à sa famille et spécialement à Estelle pour le départ de Léandre, cet homme plein d’attentions pour toutes les personnes qu’il côtoyait. Comme député, il a été une personne fidèle dans tous ses engagements. Mon cher Léandre, repose en paix en présence de Jésus. »
Jacques Beauséjour, ancien député d’Iberville
Une triste nouvelle. Saint-Hyacinthe lui doit beaucoup! Plus que toute autre chose, ses efforts pour faire entrer la région dans la nouvelle économie en mettant en place, ici, un écosystème d’innovation agroalimentaire d’envergure mondiale. Merci pour tout monsieur Dion!! Toutes mes sympathies à sa famille! »
Donovan St-Hilaire, responsable des communications de Saint-Hyacinthe Technopole et ancien employé politique de Léandre Dion
Toutes mes condoléances à sa famille et à ses amis. Léandre était un homme de cœur pour sa communauté, un sage avec beaucoup d’écoute, un député qui certainement a fait reconnaître la région de Saint-Hyacinthe comme nul autre ne l’avait fait avant lui… Merci à Léandre, un grand Québécois. »
Le départ d’un grand homme. Léandre Dion m’a appris beaucoup. Il m’a aidé à redéfinir ma vision de la famille et de la politique. Un homme au grand cœur, une oreille à l’écoute et d’une sagesse infinie. Un grand-père exceptionnel, un homme dévoué à sa famille et à sa communauté. Merci pour toutes ces belles années, les bed-in, les fêtes, les conseils et ta présence. J’envoie de l’amour à la famille et à toi Estelle. Veille sur nous. » Victor Varacalli, artiste et ancien gendre de Léandre Dion
Jean Lemonde, ancien président du CLSC des Maskoutains et du RSRY
Nos sympathies Estelle. J’ai eu le privilège de travailler avec Léandre de manière plus étroite de 1994 à 2003 et je peux témoigner de l’énergie qu’il a déployée au développement de l’éducation supérieure dans notre région. Il était un homme de vision et c’était à la fois très stimulant et très agréable de travailler avec lui à des projets communs. Merci Léandre et merci à toi Estelle d’avoir accepté de le partager avec sa communauté. »
Serge Cloutier, ancien directeur général du Cégep de Saint-Hyacinthe
Francine et moi offrons nos plus sincères condoléances à toute la famille éprouvée par ce décès que nous n’attendions pas, spécialement à Estelle, une grande amie. Comme député, Léandre a laissé sa marque dans la circonscription et quand j’ai décidé de me présenter à l’investiture du PQ Saint-Hyacinthe, il m’a épaulé et prodigué des conseils qui m’ont grandement aidé à devenir député de Saint-Hyacinthe à mon tour. Je viens de perdre un ami et un homme de convictions profondes pour le Québec. »
Émilien Pelletier, ancien député péquiste de Saint-Hyacinthe
Chère Estelle, Léandre était de ceux qu’on imagine éternels. Il nous aura tous influencés de façon très positive, collectivement comme personnellement. Meilleures pensées à vous tous. »
Claire Gagné, conseillère municipale de la Ville de Saint-Hyacinthe
Léandre Dion a remporté trois élections comme candidat du Parti québécois. Il a représenté et défendu les intérêts de la circonscription de Saint-Hyacinthe de 1994 à 2007. On le voit ici à son arrivée triomphale en compagnie de son épouse lors de la soirée électorale d’avril 2003. Ce sera son troisième et dernier mandat. Photothèque
Apprécié par les citoyennes et les citoyens, il a contribué au développement de la région par la mobilisation de ressources de l’État pour des projets d’envergure et par la création de la Cité de la biotechnologie. Il exerçait un leadership moderne et pratiquait l’intelligence émotionnelle bien avant que ce soit la mode. C’était un homme bon. Il était un modèle. Nous continuions de nous voir assez fréquemment. Il me manquera et il manquera à plusieurs. Mes sympathies et l’expression de toute mon affection à la famille. »
C’est avec surprise et émoi que ceux et celles qui ont côtoyé Léandre Dion au cours de sa vie et de sa carrière politique ont réagi à l’annonce de son décès survenu dimanche à l’âge de 85 ans.
Émilien Pelletier a suivi ses traces en devenant à son tour député péquiste de Saint-Hyacinthe en décembre 2008, après le court règne d’un peu plus d’un an et demi de l’adéquiste Claude L’Écuyer. M. Pelletier a occupé le poste de député de Saint-Hyacinthe de 2008 à 2014, moment où il a été défait par la députée actuelle Chantal Soucy. Il considère Léandre Dion comme étant son père spirituel. « Quand j’avais des questions politiques, je l’appelais. C’était quelqu’un de sage et j’ai pris exemple sur lui », affirme-t-il.
En tant qu’homme politique, il se souviendra de Léandre Dion comme d’un homme qui prenait à cœur ce qu’il faisait et comme un érudit intellectuel qui pouvait discourir pendant plus d’une heure à l’Assemblée nationale sans se fatiguer.
Selon Émilien Pelletier, Léandre Dion n’a pas reçu suffisamment les mérites pour ses réalisations sur le territoire de Saint-Hyacinthe. La Cité de la biotechnologie agroalimentaire et vétérinaire de Saint-Hyacinthe, qui fêtera ses 20 ans l’an prochain, a vu le jour grâce à son travail acharné, notamment avec le directeur général du Centre local de développement (CLD) Les Maskoutains de l’époque, Mario de Tilly. M. Pelletier rappelle aussi que Léandre Dion a contribué aux démarches pour la création du Centre des arts Juliette-Lassonde alors qu’il était au pouvoir. M. Pelletier croit qu’un bâtiment situé au cœur de la Cité ou encore une rue devrait porter le nom de Léandre Dion.
Pour ce qui est de l’homme derrière le politicien, Émilien Pelletier note que Léandre Dion s’intéressait à tout et n’avait pas de limites. Il cite quelques exemples comme ses cours de sculpture et de portugais ainsi que l’écriture d’un
roman. Il considère aussi qu’il a su évoluer avec le temps. Au-delà de la culture générale, c’est son intérêt pour les humains qui primait. « Il était très près de la famille et reconnaissait bien aussi les gens. Il allait au-devant d’eux et était toujours disponible et chaleureux », raconte-t-il.
Mario de Tilly, l’ancien directeur général du CLD, se dit très fier d’avoir travaillé avec Léandre Dion à la réalisation de la Cité. Selon lui, le projet n’aurait jamais pu voir le jour sans l’appui des décideurs et M. Dion était le mieux placé pour faire le lien entre le terrain et les instances gouvernementales. Son apport a donc été incommensurable. « J’ai un souvenir non seulement d’amitié très grande envers cet homme, mais aussi d’un homme qui a fait beaucoup pour sa communauté. C’était un homme très professionnel et pugnace », déclare-t-il. Il gardera le souvenir d’un homme chaleureux que tout le monde respectait et aimait. Il ne lui connaissait aucun ennemi.
Bernard Barré, conseiller municipal depuis 34 ans à Saint-Hyacinthe, a fait la lutte à Léandre Dion pour l’investiture péquiste dans Saint-Hyacinthe en 1992 et a perdu au deuxième tour. Il le qualifie de gentilhomme qui a fait du bon travail et a toujours été disponible pour les gens. « C’était tellement un bon gars que j’avais peur de lui », rigole-t-il.
La députée caquiste Chantal Soucy l’a côtoyé à quelques occasions, notamment lors du 15e anniversaire de la Cité en 2018, projet pour lequel elle souligne sa contribution. D’ailleurs, SaintHyacinthe Technopole a décerné, lors de ces festivités, une édition spéciale de son Prix de la Technopole à Léandre Dion, à Claude Bernier et à Mario de Tilly, considérés comme les fondateurs du parc technologique. Mme Soucy souligne avoir toujours eu des discussions cordiales avec M. Dion et a souligné son grand respect pour les gens qui s’impliquent en politique comme Léandre Dion qui y a consacré 13 ans et même plus de sa vie. Elle le considère comme un homme de conviction qui a notamment contribué à la victoire du oui par 4000 voix dans le comté au référendum de 1995.
David Bousquet, maire suppléant de la Ville de Saint-Hyacinthe, a lancé la campagne du Coquelicot et a annoncé la tenue, le dimanche 6 novembre,
oublier que des soldats canadiens sont morts au combat. C’est pourquoi la fleur du coquelicot nous remémore ce symbole du “Souvenir”. Merci à toutes ces person-
toucha la région en janvier 1998 et, plus récemment, la participation du 6e bataillon du Royal 22e Régiment à l’Opération LASER au plus fort de la pandémie.
La campagne de financement, pendant curer un coquelicot afin de soutenir les actions menées par la légion d’honneur,
La cérémonie du jour du Souvenir se
Le dentiste est un professionnel de la santé qui voit à la prévention et aux soins des affections de la bouche, de la dentition, des maxillaires et des tissus avoisinants. Selon le patient rencontré, il effectue divers tests diagnostiques (ex. : radiographies) afin de pouvoir identifier tout signe de maladie, de blessure ou de malformation et d’entreprendre les actions nécessaires pour corriger le problème. Il veille également à conseiller ses patients en matière d’hygiène dentaire au quotidien et les informe sur les traitements dont ils ont ou auront besoin, le cas échéant.
Selon ses aptitudes et ses goûts, le dentiste peut se spécialiser dans un domaine spécifique de la santé buccale et dentaire. Il peut s’agir, par exemple, de la chirurgie buccale et maxillofaciale, de la dentisterie pédiatrique, de l’orthodontie, de la parodontie ou de la prosthodontie. Dans tous les cas, le professionnel se doit de posséder une excellente dextérité manuelle, une grande curiosité scientifique, un bon jugement et une facilité à communiquer avec les autres et à vulgariser des informations complexes.
Le métier de dentiste évolue au rythme des avancées technologiques. Les appareils et les équipements employés dans l’exercice de ses fonctions se renouvellent continuellement, et ce, dans le but de pouvoir offrir des services toujours plus efficaces et performants. Les dentistes demeurent ainsi en constant apprentissage (congrès, formations, etc.) afin d’amé
liorer leurs méthodes et de maîtriser l’utilisation de nouveaux équipements à la fine pointe de la technologie. Le perfectionnement est d’ailleurs indispensable à l’exercice de la profession.
Le dentiste œuvre principalement dans des cabinets privés, mais aussi au sein d’hôpitaux, de CHSLD, d’organismes internationaux ou d’universités, notamment. En tout temps, sa priorité demeure la santé de ses patients!
Le métier de denturologiste consiste à fabriquer, à poser et à ajuster des prothèses dentaires partielles ou complètes. Pour ce faire, il examine son client, évalue ses besoins en matière de santé et d’esthétique, puis procède à la production en laboratoire. Il doit aussi parfois réparer, modifier et entretenir des prothèses.
Contrairement au dentiste, le denturologiste n’a pas besoin d’études universitaires, puisque son expertise gravite autour de la conception de prothèses et non de la médecine dentaire. Il est toutefois régulièrement appelé à collaborer avec les dentistes et doit donc avoir de la facilité à travailler en équipe. En tant que professionnel des soins buccodentaires, il doit avoir un bon esprit d’analyse, le souci du détail et un grand sens des responsabilités. Du fait qu’il est en contact fréquent avec le public, il doit faire preuve de respect, de patience, d’empathie et d’écoute, d’autant plus qu’une part considérable de sa clientèle est constituée de personnes âgées.
Grâce à la recherche et au développement dans son domaine, le denturologiste dispose d’une boîte à outils toujours plus sophistiquée, tant pour les examens que pour l’élaboration des prothèses. Par exemple, des appareils lui permettent de mesurer la force de mastication ou d’effectuer la numérisation tridimensionnelle des gencives. Des logiciels spécialisés lui donnent également la possibilité de simuler la fabrication de la prothèse en faisant virtuel
lement l’essai de dents dont la taille et la forme répondront parfaitement aux besoins du client. En plus de faciliter la pratique de la denturologie, ces technologies offrent un produit final dont l’esthétique et le confort s’améliorent constamment.
Vous avez reçu une offre d’emploi, mais le salaire qu’on vous propose est trop bas? Voici quelques informations qui vous aideront à négocier ce montant à la hausse.
L’entreprise fixe la rémunération de ses employés en fonction de certains critères. Parmi ceux-ci se retrouve l’équité interne, où votre salaire doit être raisonnable en comparaison de celui des autres membres de l’équipe occupant la même fonction et ayant plus d’ancienneté. On retrouve aussi l’urgence de l’entreprise à vouloir combler le poste et son budget.
Vous avez nettement plus de chances de voir votre négociation aboutir positivement si vous
cessus de recrutement s’étire en longueur ou que l’on vous donne l’impression d’être dans une liste d’attente, vous êtes probablement un deuxième, voire un troisième choix et votre tentative pourrait se transformer en échec.
Certains éléments, comme le nombre de semaines de vacances ou d’heures de travail, restent difficilement secrets et peuvent susciter le mécontentement ou la jalousie des collègues. Il est donc judicieux de miser sur des aspects qui demeureront confidentiels. En optant pour ceux-ci, vous serez plus susceptible de les obtenir. Il s’agit du salaire (s’il préserve l’équité) et du matériel (ordinateur ou téléphone payé), notamment.
Quelle que soit votre proposition, terminez celle-ci par une question ouverte (ex. : « Qu’en
En tant qu’immigrant au Québec, vous aurez probablement un parcours laborieux à suivre avant de pouvoir pratiquer votre métier comme vous le faisiez dans votre pays d’origine. Cela est d’autant plus vrai dans des secteurs d’activité en particulier et pour certains postes où les exigences sont extrêmement précises. Le transfert de compétences peut, entre-temps, vous permettre de relancer votre carrière sans recommencer à zéro.
Analysez vos expériences passées pour déterminer les compétences et les qualités que vous possédez et faites-en une liste. Lorsqu’une offre d’emploi attire votre attention, lisez-la attentivement afin de repérer les compétences recherchées. Voyez celles qui cadrent avec votre propre expérience et servez-vous d’elles pour créer un pont avec le poste à combler.
Certains programmes (ex. : RAC) sont conçus spécialement pour comparer les compétences et les acquis obtenus dans votre pays d’origine avec ceux exigés dans votre pays d’accueil. Ils vous permettent de décrocher un diplôme que vous pourrez facilement utiliser lors de votre recherche d’emploi, et ce, dans votre domaine de prédilection. Votre titre, cependant, pourrait être différent.
Selon votre désir, vous pourriez opter pour une formation courte vous permettant de postuler pour un métier connexe dans votre domaine. Vous pourriez également aller chercher les unités manquantes pour obtenir un diplôme dans la Belle Province ou effectuer les examens requis pour avoir vos licences.
Vous ne savez pas par où commencer? Rencontrez un conseiller en orientation ou un recruteur pour discuter de votre situation!
Les gestionnaires ont un rôle important à jouer pour s’assurer que leurs stages bénéficient autant aux étudiants qu’à l’entreprise. Voici quelques conseils pour concevoir un programme de stage efficace.
1. Créez une description des postes Les stagiaires arrivent souvent dans une entreprise avec peu ou pas d’expérience professionnelle. En l’absence de directives précises, ils risquent d’échouer. Définissez donc clairement leur rôle, leurs responsabilités et vos attentes avant le début du stage.
2. Effectuez des évaluations de performance Celles-ci permettent à vos stagiaires d’apprendre et de devenir plus productifs durant leur passage dans votre entreprise. Misez sur les commentaires constructifs pour que ceux-ci
sachent ce qu’ils font de bien et ce qu’ils doivent améliorer.
3. Trouvez des mentors
Un mentor motive ses protégés en leur fournissant un accompagnement et un soutien réguliers. Il peut être d’une aide précieuse pour les stagiaires inexpérimentés qui ne connaissent pas les règles internes de l’organisation. Désignez des personnes qui, selon vous, pourraient donner à vos stagiaires les conseils dont ils ont besoin ou, le cas échéant, soyez vous-même un mentor.
4.
Les étudiants se sentiront plus investis dans votre organisation et plus motivés s’ils sont invités à vos évènements sociaux. Si votre entreprise contribue à des activités bénévoles, encouragez vos stagiaires à y prendre part.
Enfin, gardez vos stagiaires occupés en leur confiant des missions à court et à long terme.
Bien que les études et les expériences de travail soient importantes pour décrocher un emploi, le bénévolat peut également vous donner un avantage sur les autres candidats.
1. Il vous fait acquérir de l’expérience et des compétences : lorsque vous faites du bénévolat, vous pouvez avoir à traiter directement avec des clients, des fournisseurs et des membres du conseil d’administration d’une organisation. Vous pouvez aussi être amené à apprendre de nouveaux programmes informatiques ou à faire des présentations. Le bénévolat vous permet d’acquérir des compétences en tous genres que vous pourrez mettre à profit quand vous postulerez pour un emploi rémunéré.
2. Il vous prépare au processus de candidature : la plupart des organisations demandent aux bénévoles potentiels de remplir un formulaire de candidature et de participer à une entrevue. En outre, certaines exigent un permis de conduire et une vérification des antécédents judiciaires. En passant par ce processus, vous saurez à quoi vous
attendre lorsque vous postulerez pour un emploi dans votre domaine.
3. Il contribue à élargir votre réseau : lorsque vous faites du bénévolat, vous rencontrez de nouvelles personnes et agrandissez votre réseau d’amis et de connaissances. Il est utile de conserver les coordonnées de vos collègues, des membres du conseil d’administration, des clients et des fournisseurs. Ceux-ci pourraient éventuellement vous aider à obtenir l’emploi devos rêves.
4. Il vous permet d’avoir des références : il est difficile d’obtenir des références sans expérience professionnelle. Cependant, une référence provenant d’un organisme à but non lucratif ou communautaire, par exemple, est tout aussi valable que celle d’un employeur.
Surtout, assurez-vous d’inscrire votre engagement bénévole dans votre curriculum vitae. Indiquez le titre et la description des tâches, des exemples de vos activités, les compétences que vous avez acquises et vos réalisations.
Expliquez également comment votre expérience est liée à l’emploi que vous convoitez.
Dans un contexte de pénurie de main-d’œuvre, les travailleurs qualifiés sont souvent sollicités par des agences de recrutement qui leur présentent des offres toutes plus alléchantes les unes que les autres. Et si vos employés vivent des déceptions au travail, ils peuvent être tentés d’aller voir si l’herbe est plus verte dans la cour du voisin… Comment assurer la rétention de vos talents?Voici quelques pistes à envisager.
En tant que gestionnaire, si vous ne parlez jamais à vos employés, vous ne pouvez pas savoir comment ils se sentent. Planifiez donc des réunions avec eux afin d’en apprendre plus sur les éléments qui les rendent heureux et les autres qui les frustrent, par exemple. Soyez à l’écoute de leurs propositions, car de petits changements peuvent parfois faire la différence entre rester en poste et remettre sa démission.
Les employeurs d’aujourd’hui doivent faire preuve de flexibilité. Avec la pandémie, notamment, plusieurs entreprises ont adopté le télétravail. Ainsi, si vos employés les plus doués préfèrent cette méthode, mais que vous exigez leur présence au bureau, ils risquent fort de chercher un emploi qui leur permettra de profiter de cette formule. De plus, s’ils ont de jeunes enfants, proposez-leur d’ajuster leur horaire en fonction de celui de la garderie, par exemple.
Les employés performants qui manquent de défis finiront par s’ennuyer. Si une promotion est possible ou que certaines tâches peuvent être modifiées pour augmenter leur niveau de motivation, n’hé sitez pas à en discuter avec eux. Le cas échéant, vous pourriez également les inscrire à des formations qui les intéressent. En outre, prenez soin de souligner leurs bons coups, car la
reconnaissance est d’une importance capitale!
Bref, en faisant preuve d’écoute, d’ouverture et de gratitude envers votre précieux personnel, vous décuplerez vos chances de le retenir.
Letélétravail,quinecessedegagnerenpopularité,présente l’avantage de pouvoir recruter des talents quel que soit l’endroit où ils se situent géographiquement.Votre entreprise accueillera prochainement un nouvel employé en télétravail?Voici comment faire.
• Parlez de l’entreprise : décrivez de vive voix sa mission, ses valeurs et toute autre information permettant de développer le sentiment d’appartenance.
• Présentez vos outils : faites une démonstration des outils (logiciels, plateformes, etc.) que vous utilisez au quotidien pour que votre employé puisse se familiariser avec eux et que son inté-
• Proposez du mentorat : celui-ci permet à l’employé de créer des liens avec ses collègues et de le mettre à l’aise. Indiquez-lui aussi les personnes à qui se référer en cas de besoin.
• Présentez l’équipe : organisez une première rencontre pour présenter l’ensemble de l’équipe en réservant un moment un peu plus long pour les collègues directs.
• Faites des suivis : vos retours ou ceux des collègues immédiats sont importants dans les premières semaines pour que l’employé puisse s’ajuster. Il doit notamment se sentir libre de poser des questions
« Choisissez un travail que vous aimez et vous n’aurez pas à travailler un seul jour de votre vie », disait Confucius.Vous êtes à la recherche de l’emploi de vos rêves, mais ne savez pas par où commencer?Voici quelques conseils pour vous guider.
• Ciblez vos passions : déterminez vos principaux champs d’intérêt en vous posant
les bonnes questions. Quels sites Web visitez-vous lorsque vous voulez vous détendre? Quels types de films ou de livres préférez-vous? À quand remonte la dernière fois où vous avez fourni un effort supplémentaire pour un projet personnel ou professionnel? Vos réponses sauront vous éclairer sur ce qui vous plaît vraiment.
• Évitez de songer à l’aspect financier : si vous vous concentrez trop sur les attentes salariales, vous risquez de passer à côté de carrières qui vous conviendraient parfaitement. Imaginez donc quelle serait votre vie si vous n’aviez pas d’engagements financiers. Que feriez-vous? Vous constaterez peut-être que vous seriez prêt à travailler de plus longues heures pour un salaire réduit si vous étiez dans un environnement motivant qui cadre avec vos préférences.
• Demandez conseil à vos proches : vos amis et votre famille sont ceux qui vous connaissent le mieux. Par conséquent, sollicitez leur avis sur l’emploi idéal qu’ils envisageraient pour vous. Ils peuvent déceler des qualités que vous sous-estimez, comme parler en public ou cuisiner. En outre, rencontrer un conseiller en orientation peut vous aider à examiner des secteurs ou des rôles que vous auriez peut-être négligés.
• Connaissez vos préférences : si vous aimez être à l’extérieur dans la nature, vous ne trouverez peut-être pas un emploi de bureau épanouissant… En revanche, si vous tenez à avoir vos soirées et vos fins de semaine libres, un poste du lundi au vendredi pourrait convenir à votre style de vie. Une fois que vous connaîtrez mieux vos besoins et désirs, faites du bénévolat, suivez
des cours ou obtenez des certifications dans les domaines qui vous plaisent.
Effectuez ensuite des recherches sur les entreprises et les possibilités d’emploi dans les secteurs qui vous intéressent.
Il est probablement l’un des grands véhicules que je préfère, ce Lincoln Navigator. Attention, je ne dis pas qu’il est un must absolu, et qu’on doit conserver à tout prix de grands VUS de cette dimension. Mais tant qu’à l’offrir, aussi bien que ce soit agréable. Dans ce domaine, le Navigator coche toutes les cases, sauf peut-être celle de l’économie à la pompe.
Car au-delà de sa taille titanesque, il faut bien l’avouer, le Lincoln Navigator est un véhicule offrant luxe, confort et conduite sans reproche. Lincoln le sait bien d’ailleurs et, à l’exception d’une version encore plus longue – car oui on propose un Navigator L –, le véhicule ne dispose que d’une seule mouture. Pas besoin de plus quand on offre tout sous le même toit.
Mécaniquement, le Lincoln Navigator est simple : un gros moteur 6 cylindres de 3,5 litres turbo développant quelque 440 chevaux et 510 livres-pied de couple. Le tout est marié à une transmission automatique 10 rapports et à un rouage intégral de série.
Le grand Navigator prend son rôle utilitaire au sérieux puisqu’il propose une capacité de remorquage de 8300 livres et son espace intérieur, caverneux rien de moins, mise sur un coffre de 546 litres avec les banquettes relevées. Le tout abaissé laisse plutôt place à 2925 litres de marchandises, avec un hayon à ouverture automatique. Je l’avoue, il s’agit ici d’un élément pratique surtout quand vous vous approchez les bras bien remplis. Le seuil de chargement est un peu élevé, mais rien de difficile, même pour quelqu’un de taille moyenne comme moi.
On apprécie aussi, évidemment, les boutons qui permettent d’abaisser électriquement les deuxième et troisième rangées du véhicule, vous permettant ainsi de gérer l’espace de chargement disponible.
Enfin, petit détail qui a son importance, malgré ses dimensions et son poids, le Lincoln Navigator est capable d’accélérations surprenantes (0-100 km/h en moins de 7 secondes) et propose une sonorité ajustée électroniquement pour qu’elle ressemble à celle d’un moteur 8 cylindres.
La réalité cependant, c’est que c’est dans l’habitacle que le Navigator se distingue. Oui, les rivaux comme le Cadillac Escalade et le Jeep Grand Wagoneer offrent un ensemble moderne et technologique. Le Navigator, lui, mélange à la fois le classique et le contemporain. Il offre une gamme imposante de technologies, dans un emballage qui transpire davantage la bourgeoisie que la science-fiction.
Ne vous méprenez pas : le Navigator a beau concéder quelques dimensions aux écrans de ses rivaux, il n’en demeure pas moins tout à fait à la hauteur. Au centre de la planche de bord, un écran de 13,2 pouces (qui a grandi depuis les dernières années) abrite désormais le système SYNC4 et ses capacités de mise à jour par la voie des airs.
Il ajoute aussi un système audio Revel à 28 haut-parleurs qui réussit à envahir l’habitacle au-delà de toute espérance. Concrètement, il peut aisément faire vibrer le cœur des occupants, mais aussi les fenêtres du cockpit tellement sa puissance est grande, sans compromis sur la qualité.
Tout ce système se commande avec l’écran tactile ou avec des commandes vocales bien réussies. Pour ajouter au look, le Navigator propose aussi des animations supplémentaires, comme des galaxies d’étoiles scintillantes qui suivent les aiguilles du compteur de vitesse, logé au plein cœur du tableau de bord de 12 pouces, devant le conducteur.
Sans oublier la symphonie musicale qui s’active dès qu’on allume ou éteint le moteur, et les éclairages qui donnent au véhicule un aspect chic. Ajoutez à cela des commandes avec écran tactile logées aussi aux places arrière, et vous aurez une idée complète en matière de confort.
Dans le domaine de la sécurité aussi, le Navigator excelle. Il propose la liste entière des aides à la conduite Copilot360, allant du régulateur de vitesse adaptatif à l’aide au maintien en voie. Il offre aussi le système ActiveGlide, un système qui vous permet de laisser le véhicule se diriger de lui-même sur les routes prédéterminées. Pas besoin de chercher, le Navigator vous avise lui-même qu’il est temps de se mettre en mode « aide à la conduite ». Spacieux et luxueux, le Lincoln Navigator impressionne par sa prestance, sa vivacité… et son échelle de prix dont la base est de 108 000 $ environ. Mais dans un marché où le maître de la catégorie s’appelle Cadillac Escalade, le Lincoln fait presque figure d’aubaine.
Souper spaghetti le vendredi 4 novembre, de 17 h à 20 h, à la salle des Chevaliers, au 1025, rang Saint-Simon. Coût : 13 $, 6 $ (6 à 12 ans). Infos : 450 795-6232.
Le vendredi 4 novembre, de 19 h à 20 h, à la cathédrale de Saint-Hyacinthe.
Méchoui au profit de la fabrique le dimanche 6 novembre, à 11 h 30, au Pavillon des Loisirs, au 548, rue SaintDominique. Coût : 25 $, 12 $ (6 à 12 ans), gratuit (moins de 6 ans). Billets en vente au presbytère (450 773-0233), chez Coiffe-Ongle, au Vidéo-Bronzage SaintDominique, auprès des marguilliers, de Marielle Lemay et de Rollande Chagnon.
Après-midi de musique pour danse en ligne sociale et country le dimanche 6 novembre, de 13 h à 16 h 30, aux Loisirs Notre-Dame, au 2860, rue Saint-Prosper. Coût : 10 $. Infos : Jean-Rock Latour au 450 771-8717.
Déjeuner familial le dimanche 6 novembre, de 9 h à 11 h, au local des Chevaliers, au 13510, avenue de l’Église. Coût : 10 $, moitié prix pour les enfants. Infos ou réservations de groupe : 450 799-9803.
Début des inscriptions pour les activités du mois de décembre, en personne ou par téléphone, dès le mardi 8 novembre à 13 h. Des activités portant sur les thèmes de l’alimentation, de création de calendriers ou
pour venir célébrer avec nous avant notre départ pour les fêtes sont à l’horaire. Infos : 450 252-0010 ou infocfaes@gmail.com.
Rencontre le mardi 8 novembre, à 13 h 30, au Centre communautaire Douville, au 5065, rue Gouin. Ces rencontres sont organisées pour permettre la fraternisation et l’échange entre les personnes vivant avec un handicap visuel (non-voyant, mi-voyant et tout autre handicap de la vue). Infos : Suzanne Poitras au 450 252-5624 ou France Ledoux au 450 799-4207.
Réunion le mercredi 9 novembre, à 13 h 30, au 301, rue Notre-Dame. Tricot-jasette tous les jeudis, de 13 h à 15 h, à la bibliothèque située au 309, rue Notre-Dame.
AQDR RICHELIEU-YAMASKA
Déjeuner-rencontre le mardi 15 novembre, dès 8 h, au Restaurant Lussier, au 2005, rue Saint-Pierre Ouest à Saint-Hyacinthe. Sujet : séance d’information concernant la Caisse Desjardins et son programme « Maître de sa vie et de ses biens » et « La fraude et les arnaques expliquées par la policière communautaire ». Gratuite pour les membres, 10 $ pour les non-membres ou 20 $ pour être membre pour l’année. Inscription obligatoire avant le 11 novembre au 450 518-3795 ou aqdrry16@gmail.com.
DIOCÈSE DE SAINT-HYACINTHE
Visite guidée de la cathédrale et atelier de fabrication de tire Sainte-Catherine le
vendredi 25 novembre, de 14 h à 16 h, à la cathédrale de Saint-Hyacinthe. Animation par Daniel Girouard personnifiant Mgr L.-Z. Moreau. Coût : 10 $ / personne ou 20 $ / famille. Réservation : patrimoine @ecdsh.org avant le 20 novembre.
Souper bœuf bourguignon le samedi 26 novembre, à 18 h, au 2090, boul. Laframboise. Coût : 25 $ comprenant une soirée dansante avec musicien country. Billets en vente par téléphone au 514 2490328 ou au 450 501-0508.
Belle occasion de socialiser et d’échanger tous les samedis, à 9 h, au restaurant Casa Flora, face aux Galeries St-Hyacinthe. Infos : Jeanne au 450 261-6771.
Bingo tous les dimanches, ouverture des portes à 17 h. Service de cantine disponible. Plusieurs prix à gagner. Infos : Amélie Faille au 450 773-7711 ou coordination@ loisirslaprovidence.ca. Pétanque intérieure tous les lundis et les mercredis dès 13 h. Prix de participation en argent. Coût : 2 $ (léger goûter inclus). Whist tous les jeudis dès 13 h. Coût : 3 $ (léger goûter inclus). Prix de participation en argent. Infos : Ernest et Louise au 450 778-1214. Cours de danse avec Micheline Gaudette comme professeure. Plusieurs groupes et niveaux sont offerts. Coût : 6 $ / cours. Infos : Micheline au 450 778-7594 ou Ernest et Louise au 450 778-1214.
C’est sous le thème « Allez-y, trahissez votre âge! » que se tenait la 13e édition du Salon FADOQ Région RichelieuYamaska, le 6 octobre aux Galeries StHyacinthe. Après plus de deux années d’attente, cette activité marquait également la relance des activités au sein des clubs affiliés à la FADOQ.
Les quelque 8000 visiteurs ont pu découvrir une soixantaine d’exposants provenant des milieux communautaire, gouvernemental, de loisirs, de services, etc. proposant leurs services dédiés aux personnes de 50 ans et plus. Tout au long de la journée, des conférenciers ont animé des rencontres sur des sujets tout aussi variés que les voyages, la santé, les services financiers et bien plus encore.
Une équipe d’Ambulances SaintHyacinthe, une division de Dessercom, composée de paramédicaux, de formateurs et d’étudiants, était aussi présente et a offert une formation intitulée « Héros en trente » lors de laquelle une centaine de personnes ont appris les gestes essentiels pour sauver une vie.
Le maire de la Ville de Saint-Hyacinthe, André Beauregard, a aussi profité du Salon pour souligner le 50e anniversaire de la FADOQ Région Richelieu-Yamaska.
« En cette date anniversaire, je vous réitère le soutien de la Ville de Saint-Hyacinthe dans vos activités, vos services et ces batailles que vous menez pour le bien des plus âgés d’entre nous. Grâce à vous et aux nombreux organismes qui gravitent autour de vous, nous restons informés, actifs et épaulés et pouvons vieillir le plus en bonne santé et le plus heureux possible », a-t-il déclaré.
« Le succès de cet événement est d’une part d’avoir mobilisé une soixantaine d’exposants partageant l’objectif commun d’améliorer la qualité de vie des personnes de 50 ans et plus et d’autre part d’avoir pu promouvoir les multiples privilèges et rabais dont bénéficient les membres de la FADOQ », a pour sa part affirmé avec fierté André Beaumont, président de la FADOQ Richelieu-Yamaska.
L’équipe de la FADOQ RichelieuYamaska, sous la direction générale de Nicole Deutsch, remercie les partenaires du Salon, soit la Ville de Saint-Hyacinthe, les Galeries St-Hyacinthe, le Cinéma RGFM ainsi que le journal Le Courrier de Saint-Hyacinthe. Grâce à leur soutien et leur collaboration, il a été possible de disposer des équipements et de l’espace pour la mise en place ainsi que de la visibilité essentielle à la réalisation du Salon. La FADOQ souligne également le travail des bénévoles qui sont venus prêter main forte.
À la suite de la réussite du Salon 2022, la FADOQ a déjà annoncé la tenue d’une 14e édition à l’automne 2023.
Les activités se déroulent au centre des loisirs, au 5065, rue Gouin. Bingo les jeudis 3, 10 et 24 novembre, à 18 h 45. Ouverture des portes à 17 h.
Les activités se déroulent au 5925, av. Pinard. Pratique de danse en ligne avec Michel et Gaétane le mercredi, à 13 h 30. Coût : 7 $. Tournoi de crible le jeudi 3 novembre, à 13 h. Inscription : 3 $ et bourses aux 5 premiers. Palet américain et jeux de cartes variés. Cours de danse en ligne avec Gaétane Boulet le lundi 7 novembre : débutants à 18 h et intermédiaires à 19 h 30. Les billets sont en vente pour notre souper traditionnel des fêtes le samedi 10 décembre. Coût : 40 $ membres Aquinois et 43 $ non-membres. Infos : Jacqueline Baron au 450 418-7008.
Dernier bingo avant les fêtes le mercredi 16 novembre, à 19 h. Souper des fêtes le samedi 26 novembre, à 17 h, à la salle des Chavaliers, au 155, rue Saint-Étienne. Repas chaud, prix de présence et musique de Michel Lapointe. Billets en vente auprès des membres de la direction au coût de 40 $.
FADOQ SAINT-DOMINIQUE
Vie active tous les lundis, de 9 h 30 à 10 h 30. Gratuit, aucune inscription requise. Jeux divers les mardis, de 13 h 30 à 16 h 30. Bingo le lundi 14 novembre, à 19 h, au sous-sol de l’église. La crieuse sera Louise Morissette.
Les activités se déroulent à la salle municipale, au 390, rue Notre-Dame. Danse le samedi 12 novembre, à 19 h 45. Infos : Serge Brunelle au 450 794-2007. Bingo le mercredi 16 novembre, à 19 h. Infos : Michel Desroches au 450 794-2228.
Bingo les samedis 5-19 et 26 novembre, à 13 h, au sous-sol de l’église, au 885, rue Saint-Pierre Ouest (porte 1). Ouverture des portes à 12 h 15.
Dîner de Noël le dimanche 27 novembre, à la salle communautaire. Coût : 30 $. Musique et animation par Pierre Armstrong. Réservation : Murielle au 450 549-2248 ou Madeleine au 450 549-2064.
Les activités se déroulent au Centre Rosalie-Papineau. Danse avec Yvan et Yvonne le samedi 5 novembre, à 19 h 15. Bingo le lundi 7 novembre, à 17 h. On fête la Sainte-Catherine le jeudi 24 novembre, dès 13 h 30, avec parties de Whist et souper. Infos : Denise Lussier au 450 799-3586 ou Jean-Guy Letarte au 450 799-4682.
Les activités se déroulent au 2710, av. Beauparlant, pavillon Jefo. Danse le samedi 5 novembre, à 19 h 30, avec la musique de Michel Lapointe, buffet en fin de soirée. Coût : 12 $. Bingo le mardi 8 novembre, à 19 h, ouverture des portes à 17 h. Infos : Cécile Gévry au 450 888-3054.
1-1/2 rue Gauthier pour novembre, 550$/mois, chauffé/éclairé, semi-meublé, calme, non-fumeur, Appellez/textez 450-773-0107
2-1/2, secteur Douville. Cuisinière/réfrigérateur, service buanderie, déneigement inclus. Électricité non-incluse. Idéal personne seule/non-fumeuse, pas d’animaux, 425$/mois, libre immédiatement; 450-774-2711.
VENTE Antiquités dimanche 6 novembre, de 9h à 15h, Saint-Hyacinthe, 5250 Gérard-Côté, secteur Sainte-Rosalie. Entrée gratuite. Informations: C.Joyal: 450-796-4893.
BOIS de chauffage en 8 pieds 819-398-7535.
MARCHES d’escalier plaqués chêne, dim: 39x10x2 pouces. Prix: 7$/marche 450-549-5870
MATÉRIEL onduline, feuilles pour murs ou toitures, 48po. L. x 79po. H. couleur neutre, prix: 16.50$/feuille, également quantité de clous, couleurs assortie disponible 450-261-6384
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Ô Saint-Jude, apôtre et martyr, dont le mérite est si grand et les miracles si nombreux, vous qui êtes parent avec JésusChrist, intercesseur fidèle dont la protection est invoquée de tous en temps de misère. Du fond du coeur, j’implore votre bonté et je vous supplie humblement de venir à mon aide, vous qui avez reçu un si grand pouvoir de Dieu. Répondez à ma prière car mon besoin est urgent. En retour, je promets de faire connaître votre nom et de le faire invoquer. Trois Notre Père, trois Je Vous Salue Marie et trois Gloire soit au Père. Saint-Jude, priez pour nous et pour tous ceux qui invoquent votre bonté. On doit promettre de faire publier cette neuvaine. On ne connaît encore personne qui n’ait pas été exaucé par cette neuvaine. La plublication est promise.
Alexandre Aubr y alexandre.aubry@norja.net www.norja.net 514 640-8648
Du 21 mars au 20 avril
De grands succès en vue au travail! Il y aura une abondance de clients à servir, ce qui vous apportera un revenu supplémentaire. Vous découvrirez une pratique de nature spirituelle ou un mode de vie conforme à vos convictions.
Du 21 avril au 20 mai
Prêtez plus attention aux délais et vous arriverez à terminer vos tâches dans les temps prescrits. Rien ne sert de courir, il faut partir à point, dit-on! Un voyage se pla- nifiera spontanément et rien ne vous fera plus plaisir.
Du 21 mai au 21 juin
Même si votre choix est fait, vous pouvez toujours prendre encore quelques jours avant de rendre une décision finale. De nouvelles informations pourraient jeter un nouvel éclairage sur la situation.
Du 22 juin au 22 juillet
Pour éviter les brûlements d’estomac, il serait bon de changer quelque peu votre alimentation et de vous détendre. La santé et le moral exigent un équilibre entre les habitudes de vie et votre état psychique.
Du 23 juillet au 23 août
Votre douce moitié aura sûrement une attention toute spéciale à votre endroit. Un peu d’anxiété pourrait se faire sentir après des examens médicaux et ce sera un peu plus long que prévu avant d’obtenir les résultats.
Du 24 août au 22 septembre
Votre leadership est appelé en renfort : vous occuperez la chaise du patron pendant ses vacances. Vous pourriez également remplacer un collègue pendant une période indéterminée en raison d’un problème de santé.
Du 23 septembre au 23 octobre L’idée d’une escapade en famille s’organise. Certains détails prendront beaucoup plus de temps que prévu à régler. De nombreux déplacements sont à prévoir; ils vous feront apprécier davantage le confort à la maison.
Du 24 octobre au 22 novembre
Ce sera avec facilité que vous réussirez à joindre un grand nombre de personnes. On vous sollicitera pour un évènement nécessitant vos talents pour la communication, l’organisation et la négociation.
Du 23 novembre au 21 décembre
Des heures supplémentaires vous attendent au bureau. Heureusement, elles seront généreusement récompensées après l’ajustement de votre horaire en fonction de celles-ci. Vous vous gâterez amplement par la suite.
Du 22 décembre au 20 janvier
Il y aura enfin de l’action après une période d’inertie. Proches et amis vous mettront au défi d’une manière ou d’une autre. Vous obtiendrez les fonds pour un projet spécial ou pour vous accorder plus de luxe.
Du 21 janvier au 19 février
Vous aurez l’impression de faire du surplace, mais, sans prévenir, tout débloquera trop rapidement. Vous ouvrirez la porte à un nouveau défi. Surveillez vos factures; l’erreur est humaine, mais ce n’est pas à vous d’en subir les conséquences.
Du 20 février au 20 mars
Votre équipe et vous-même accomplirez un brillant exploit. De plus, vous recevrez une récompense ou une mention honorifique devant une foule, rehaussant ainsi estime personnelle et confiance en soi.
Vous souvenez-vous du métier que vous vouliez exercer lorsque vous étiez enfant? Pompier, ballerine, infirmière ou super héros dans l’armée? Dans la plupart des cas, notre préférence pour l’une de ces professions a été déterminée par ce que nous connaissons, par notre entourage ou encore par ce qui est valorisé dans notre société. Ainsi, c’est rempli d’espoir que vous avez entrepris des études, secondaires, professionnelles ou autre. Vous aviez alors l’idée que votre parcours vous mènerait, ultimement, à occuper l’emploi de vos rêves. Mais voilà que, tranquillement, des obstacles se sont présentés sur votre route et vous ont obligés à revoir votre projet de gagne-pain. Vous êtes anéanti. Votre carrière est remise en question. Mais qu’allez-vous devenir? Après avoir fait l’analyse de tout ce que vous auriez pu faire différemment, vous en arrivez toujours à la même conclusion et vous êtes dans une impasse! Et si votre sélection professionnelle n’était pas celle qui correspondait vraiment à la personne que vous êtes…
Cette question, comme conseiller(ère) d’orientation, nous l’entendons régulièrement dans nos bureaux. Mais faire le bon choix, c’est quoi en réalité? Pour la plupart des gens, cela représente les choses que l’on aime, les attentes que l’on a face à notre ave-
nir, les aspirations de notre entourage qui ne souhaite que le meilleur pour nous ou encore qui comblera notre besoin d’estime de soi et celui de reconnaissance sociale. Quand on vous demande quelles sont les aptitudes que vous avez pour exercer ce métier, est-il difficile pour vous d’argumenter et d’être convaincant? Pourquoi? Peutêtre parce que ce choix ne vient pas de ce que vous connaissez de vous à travers ce boulot, mais plutôt de ce que le marché du travail semble offrir. Il est peut-être temps de revenir à l’essentiel, à votre vraie nature…
Si vous n’avez pas pu exercer votre profession de rêve, c’est peut-être parce que les exigences du métier en question n’étaient pas en accord avec qui vous êtes. C’est comme lorsque vous magasinez un chandail trop petit pour vous : malgré tous vos efforts, ce vêtement ne vous fera jamais comme un gant. Pendant ce temps, vous ne voyez pas celui d’à côté qui a la taille parfaite, mais qui au premier abord, ne vous attire pas et qui vous obligerait à sortir de votre zone de confort.
Sortir de notre zone de confort demande de l’ouverture et de la bienveillance. Laissezvous le temps de faire le deuil de votre premier choix, de gérer vos émotions et les scénarios catastrophes que vous concevez et qui s’en suivent. Prenez aussi le temps de
vous questionner sur ce qui est important pour vous et comment vous voulez que cela se traduise concrètement par l’entremise du travail. Vous pourrez ainsi mieux vous affirmer à travers ces nouvelles options que vous découvrirez et qui vous ressembleront sans doute davantage.
La clef de ce travail sur soi est de traduire nos pensées par des actions concrètes. Commencez par aller chercher toutes les informations nécessaires à l’atteinte de votre objectif. Cela pourrait être par exemple la lecture de monographies professionnelles, le visionnement de capsules vidéos, des visites exploratoires. Évaluez ensuite les options. Il a y sans doute des avantages et des inconvénients pour chacune d’elle. Cette analyse vous permettra d’envisager les compromis que vous aurez peut-être à faire, tout en identifiant de nouveaux défis à surmonter. Établissez un échéancier. Cela vous évitera de vous décourager et de voir le processus amorcé plus gros qu’il ne l’est vrai-
ment. Par la suite, il sera temps de procéder à votre inscription à un programme de formation adapté à vous en vue de l’obtention du diplôme convoité, si tel est votre souhait, et d’atteindre vos nouvelles visées professionnelles.
Pour découvrir la profession qui collera parfaitement à vous, il important de sortir des sentiers battus et d’aller à la rencontre de l’inconnu. Avec les bons outils et une préparation adéquate, il est tout à fait possible d’y arriver! Sachez que les Services d’accueil, de références, de conseil et d’accompagnement (SARCA) vous offrent gratuitement du soutien pour entamer ce travail d’introspection par le biais du processus d’orientation et trouver le plan B qui vous permettra de vous réaliser personnellement et professionnellement. N’hésitez pas à communiquer avec nous, ce sera un plaisir de vous rencontrer!
Karine Maynard, c.o.
Centre de services scolaire de Saint-Hyacinthe Services d’accueil, de référence, de conseil et d’accompagnement — SARCA Centre de formation des Maskoutains
450 773-8401, poste 6503 sarca@cssh.qc.c
température maximale a atteint 26,2 °C, éclipsant l’ancien record pour un 26 octobre qui était 21,7 °C en 1963.
Nous avons connu un début de semaine avec encore des températures plus douces que la normale. Par contre, les nuages étaient au rendez-vous avec de faibles précipitations sous forme de bruine durant quelques heures pour l’arrivée de novembre. Le soleil a rapidement été de retour en milieu de semaine après quelques heures de brouillard dans la nuit de mardi à mercredi.
Pour le reste de la semaine, la présence d’une vaste zone de haute pression sur la côte est américaine maintiendra une circulation d’air très doux du sud-ouest. Le beau temps sera au rendez-vous avec de nombreuses heures de soleil et des températures nettement au-dessus de la normale. Pour le prochain week-end, les températures maximales frôleront les 20 °C chaque jour. Le beau temps persistera pour la première moitié du week-end suivi d’un temps pluvieux pour la journée de dimanche.
À long terme, le beau temps sera de retour en début de semaine et persistera durant plusieurs jours. Les températures seront plus fraîches en début de semaine, puis augmenteront de nouveau jusqu’au 11 novembre.
La dernière semaine complète d’octobre, soit celle du 23 au 29 octobre, a connu des températures nettement au-dessus de la normale saisonnière avec une température moyenne de 12,7 °C, soit près de 5 °C supérieurs à la normale hebdomadaire. D’ailleurs, il s’agit de la semaine la plus douce depuis celle du 25 septembre au 1er octobre.
Les températures les plus clémentes ont été observées dans la première moitié de la semaine avec quatre journées consécutives avec des températures maximales supérieures à 21 °C. La journée du 26 octobre a connu la température la plus chaude de la période établissant un nouveau record de chaleur. En effet, la
Durant la période la plus douce, la température est demeurée supérieure à 25 °C durant quatre heures consécutives dans l’après-midi du 26 octobre et, à l’opposé, durant la période la plus froide, la température est demeurée inférieure à 0 °C durant sept heures consécutives dans la nuit du 29 octobre. Les deux dernières nuits ont enregistré des températures sous le point de congélation.
La semaine a été plutôt sèche avec une seule journée avec des précipitations mesurables pour une hauteur totale de 4 mm de pluie durant la soirée du 26 octobre. Toutes les journées ont bénéficié du soleil et les trois dernières journées ont enregistré plus de 8 heures de soleil quotidiennement. L’ensoleillement total de la semaine a été de 49 heures, soit la deuxième semaine la plus ensoleillée du mois d’octobre.
La vitesse moyenne du vent a été de 5 km/h et la journée du 27 octobre a été la plus venteuse avec une vitesse moyenne de 12 km/h avec des rafales à près de 50 km/h du secteur O-NO en fin de nuit. Le vent dominant a soufflé du secteur sud durant près de 32 heures.
- La température moyenne des trente dernières années en novembre est de 2,4 °C, soit 7 °C plus froids que le mois d’octobre.
- La température moyenne journalière est de 0 °C et 10 °C au début du mois, puis elle sera à la baisse pour atteindre à la fin du mois -4 °C et 2 °C.
- En moyenne, durant le mois de novembre, les températures extrêmes varient entre -11 °C et 17 °C.
- Les précipitations moyennes sont de 68 mm de pluie et de 14 cm de neige.
- Le mois de novembre le plus pluvieux est celui de 1983 avec 188 mm de pluie.
- Le mois de novembre le plus enneigé est celui de 1892 avec 66 cm de neige.
- Durant les 25 dernières années, l’ensoleillement moyen du mois se situe à 82 heures.
- Le mois de novembre le plus ensoleillé est celui de 2012 avec 127,8 heures.
- En novembre, les journées vont raccourcir de 1 h 09 en clarté, soit 40 minutes le matin et 29 minutes en après-midi.
ARPIN, Lucien (Saint-Hyacinthe
DION, Léandre (Saint-Hyacinthe)
FOURNIER, André (Saint-Hyacinthe)
GAUDREAULT, Gilles Sr (Saint-Hyacinthe)
JOUBERT, Jean-Paul (Saint-Hyacinthe)
LAPOINTE, (Savoie), Madeleine (Saint-Hyacinthe)
LARAMÉE, Huguette (Saint-Hyacinthe)
PARÉ, (Daigneault), Fernande (Saint-Hyacinthe)
PHANEUF, Paul-Émile (Saint-Hyacinthe)
ARPIN LucienAu CISSSME pavillon Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe, le 26 octobre 2022 est décédé, M. Lucien Arpin, à l’âge de 87 ans.
Outre son épouse, Mme Lilianne Lapierre, le défunt laisse dans le deuil son fils : Michel (Chantal Pothier), sa petite-fille : Mylène (Daniel Bouchard), ses arrière-petitsenfants : Isaac, Mélodie et Léa. Il laisse également une sœur : Rita (feu Denis Bousquet), ses beaux-frères et bellessœurs : Gabriel Lapierre (Francine Champagne), Réjean Lapierre (Louise Caron), Clément Breton (feu Réjeanne Lapierre), ainsi que ses neveux et nièces, autres parents et amis. M. Lucien Arpin sera exposé, le vendredi 4 novembre de 14 h à 17 h, de 19 h à 22 h et le samedi 5 novembre dès 9 h au 2775, av. Bourdages Nord Saint-Hyacinthe (près de l’École Saint-Joseph) www.ubaldlalime.com Les funérailles seront célébrées, le samedi 5 novembre à 10 h 30, en l’église de SaintJoseph, suivies de la mise en crypte au Mausolée Lalime.
DION Léandre À Saint-Hyacinthe, le 30 octobre 2022 est décédé, M. Léandre Dion, à l’âge de 85 ans.
Léandre laisse dans le deuil son épouse Estelle Huot; ses enfants : Michel Dion, Hélène Dion (Patrice Lavoie) Mireille Dion (Steve Bonin); ses petits-enfants : Nicolas Bonin, Léonard Bonin, Philippe Bonin, Malcolm Varacalli (et son père Victor Varacalli), Charlie Dion et Marine Dion (et leur mère Marie-Michèle Lalonde). Il laisse également ses sœurs et frères, beaux-frères et belles-sœurs, neveux et nièces, ainsi que de nombreux amis. Le personnel de la Résidence funéraire Maska offre à la famille ses plus sincères condoléances et la remercie pour sa confiance. La famille recevra vos condoléances, le samedi 12 novembre de 9 h à 12 h à la
MASKA
5325, boul. Laurier Ouest Saint-Hyacinthe www.rfmaska.coop
Une cérémonie religieuse sera célébrée le jour même à 13 h, à la Cathédrale SaintHyacinthe-le-Confesseur, 1900, rue Girouard Ouest, Saint-Hyacinthe, suivie de l’inhumation au cimetière de la Cathédrale, 1075, rue Girouard Est, SaintHyacinthe, Qc.
André
À Saint-Hyacinthe, le 27 octobre 2022 est décédé, M. André Fournier, à l’âge de 69 ans.
Il était l’époux de Mme Rita Provost.
Le défunt laisse dans le deuil ses enfants : Geneviève (Patrick Chaussé), Benoit (Julie Beauregard), Danny (Audrey Couture) et Marie-Pier (Jimmy Parent), ses petits-enfants : Samuel, Félix, Marie-Alice, Arthur, Will, Matt, James et Victor-Élie, ses frères et sœurs : Jean-Maurice (Lise Jodoin), Yves, Suzanne (Laurent Gendreau), Mario (Louise Laplante), Jacques, Nicole, Robert (Judy Wright), François (Céline Larivière), autres parents et amis. La famille de M. André Fournier recevra les condoléances, le jeudi 3 novembre de 19 h à 22 h et le vendredi 4 novembre dès 9 h 30 au
Gilles Sr Au CISSSME pavillon Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe, le 13 octobre 2022, est décédé, M. Gilles Gaudreault Sr, agronome et passionné de pêche à l’âge de 86 ans, natif de Montréal.
Époux de Béatrice Lacoste, père de Gilles Jr. (Francine Bousquet), Richard, Louise (Richard Hamelin), France (Francois Douyon), Martine, grand-père de Geneviève (Jimmy Lachance), Stéphanie (Dominic Robidoux), Sébastien (Marie-Pier Houle), Jessica (Benoit Dion jr), Marie-Pier (Antoni Parent) et Nicolas Gasse, Mathieu et Audrey Lapalme, arrière-grand-père de Rose, Amy, Mélodie, Benjamin, Laurie, Camille, Eugénie, Amélia et Julien. Il laisse également ses frères, sœurs et amis. Le personnel de la Résidence funéraire Maska offre à la famille ses plus sincères condoléances et la remercie pour sa confiance. Selon ses dernières volontés, il n’y aura pas d’exposition ou de cérémonie. Sous la direction de la
Les funérailles auront lieu le vendredi 4 novembre à 10 h 30, en l’église de Sainte-Rosalie, suivies de l’inhumation au cimetière paroissial.
5325, boul. Laurier Ouest Saint-Hyacinthe www.rfmaska.coop
JOUBERT Jean-Paul Au CISSSME pavillon Honoré-Mercier de Saint-Hyacinthe, le 24 octobre 2022 est décédé, M. Jean-Paul Joubert, à l’âge de 92 ans, autrefois d’Upton.
Il était l’époux de feu Rachel Savoie. Le défunt laisse dans le deuil ses enfants : feu Michel (Nicole Larrivière); Manon (Régis Boulay); Sylvain (Brigitte Levac); Johanne; Lucie (Ramon Rodriguez); Lyne (Luc Ouellette) et Nathalie; ses petitsenfants: Martin (Émilie); feu PierreLuc; Rémi (Meggie); Pascale; Mélanie (Pierre); Guillaume (Joëlle); David (Amandine); Émilie (Jean-Philippe); Julien (Audrey); Élisabeth; Justine (Jean-Olivier); Lola et ses arrièrepetits-enfants : Maélie; Christophe; Émile; Évelyne; Cédric; Emma; Antoine; Nathan; Étienne; Éliot et Robin. Il laisse également plusieurs beaux-frères et belles-sœurs, neveux et nièces, autres parents et amis. M. Jean-Paul Joubert a été incinéré au Crématoire Lalime. En guise de sympathies, des dons à la Fondation Honoré-Mercier seraient appréciés directement en ligne www. fondationhonoremercier.com sinon des formulaires seront disponibles au salon funéraire. La famille de M. Joubert recevra vos condoléances, le vendredi 11 novembre de 14 h à 16 h et de 19 h à 21 h
Madeleine
À Saint-Hyacinthe, le 23 octobre 2022 est décédée, Mme Madeleine Lapointe, à l’âge de 69 ans.
Fille de feu Lucien Lapointe et feu Magella Brodeur. Elle était l’épouse de M. Germain Savoie. La défunte laisse dans le deuil ses enfants : Alain (Johanne Long), Serge et Sylvain (Valérie Rousseau), ses petits-enfants : Frédérick Domingue-Savoie, MarkAntoine Domingue-Savoie, Samuel Savoie, Maxime Savoie, Alexis Savoie-Arseneault, Amélie Savoie et Alexandre Savoie. Elle laisse également ses deux sœurs : Nicole Lapointe (Luc Berthiaume) et Hélène Lapointe (Stéphane Garon), ainsi que d’autres parents et amis. La famille remercie le personnel de l’Hôtel-Dieu de Saint-Hyacinthe pour les bons soins prodigués. La famille de madame Madeleine Lapointe recevra les condoléances, le samedi 12 novembre à 13 h au
DAIGNEAULT Fernande
À Saint-Hyacinthe, le 25 octobre 2022 est décédée, Mme Fernande Paré, à l’âge de 92 ans et 9 mois.
Épouse de feu M. Dorès Daigneault. Elle laisse dans le deuil ses enfants : André (Lise Gaudette), Huguette, Bernard (Dyane Fournier), Denis (Sylvie Beaudoin) et Michel (Huguette Dépeault), ses petits-enfants : Sébastien (Véronique Martel), feu Frédérick, feu Amélie, Philippe, LizaMarie (Rodolphe Kénol-Maurasse), ses arrière-petits-enfants : Roseline et Elliot Daigneault, Olivia, Léo et Clara Kénol-Maurasse, ses bellessœurs : Réjeanne Trottier (feu Marcel Paré) et Lucille Daudelin (feu Réal Daigneault). Elle était également la sœur de feu Gérard, feu Georgette et feu Monique. Elle laisse de nombreux neveux et nièces, ainsi que de nombreux autres parents et amis. La famille désire remercier le personnel du CISSSME pavillon Hôtel-Dieu (Unité du Marché) pour le soutien et les bons soins prodigués. Le personnel de la Résidence funéraire Maska offre à la famille ses plus sincères condoléances et la remercie pour sa confiance. La famille recevra vos condoléances, le samedi 5 novembre de 8 h 30 à 11 h à la
Paul-Émile À Saint-Hyacinthe, le 12 avril 2020 est décédé, M. Paul-Émile Phaneuf, à l’âge de 93 ans.
Il est parti rejoindre son épouse bienaimée, Mme Jeannine Laprade. La pandémie et les mesures sanitaires nous ont empêchés jusqu’à ce jour de célébrer la vie de notre père. M. Phaneuf laisse dans le deuil ses enfants : Nicole (Jacques Le François), Jean-Claude (Isabelle Burney), Sylvain (Judith Asselin) et Louise (Gaston Lemay), ses petits-enfants : Alain, Dominique, Martin, Mylène et Dominic; ses arrière-petits-enfants : Nathan, Émile, Mélina, Jacob, Anabelle, Vincent et Charly, ainsi que de nombreux neveux et nièces. Des dons à la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC seraient appréciés. La famille recevra les condoléances, le vendredi 4 novembre de 19 h à 21 h et le samedi 5 novembre de 10 h à 11 h à la
1115, rue Girouard Ouest Saint-Hyacinthe
1325, rue Girouard Est Saint-Hyacinthe www.ubaldlalime.com
Une liturgie de la parole sera célébrée, le jour même à 15 h, en la chapelle du Mausolée.
Huguette À Saint-Hyacinthe, le 31 octobre 2022 est décédé, Mme Huguette Laramée, à l’âge de 81 ans.
RÉSIDENCE FUNÉRAIRE MASKA 5325, boul. Laurier Ouest Saint-Hyacinthe Une cérémonie hommage sera célébrée le jour même à 11 h, en la chapelle de la résidence, suivie de l’inhumation au cimetière de Saint-Pie.
Une liturgie de la Parole aura lieu le samedi 5 novembre à 11 h, en la chapelle du salon et disponible pour webdiffusion sur le www.maisonfunerairemongeau.com. L’urne sera ensuite déposée au Columbarium de la Résidence funéraire Mongeau.
2775,
www.ubaldlalime.com
Le samedi 12 novembre, la famille recevra vos condoléances à partir de 9 h 30, en l’église Saint-Éphrem d’Upton et les funérailles seront célébrées à 10 h 30, suivies de l’inhumation au cimetière paroissial.
Épouse de feu M. Gilles Laramée. Elle laisse dans le deuil ses filles : Jocelyne (Daniel Brunelle), Agathe (Robert Morel), Sylvie et Guylaine (Stéphan Patenaude), ses petitsenfants : David, Karine, Marie-Anne et feu Stanislas, Julie et Francis, MarieLou, ainsi que Maxime et Noémie, ses arrière-petits-enfants, sa sœur : Diane (Pierre Gauthier), ses neveux et nièces, ainsi que de nombreux autres parents et amis. La famille désire remercier le personnel du CISSSME pavillon Honoré-Mercier pour le soutien et les bons soins prodigués. En mémoire de madame et en guise de sympathie, la famille vous propose de faire un don à la Fondation ou l’Association de leur choix. Le personnel de la Résidence funéraire Maska offre à la famille ses plus sincères condoléances et la remercie pour sa confiance. La famille recevra vos condoléances, le vendredi 11 novembre de 12 h à 15 h à la
FUNÉRAIRE MASKA 5325, boul. Laurier Ouest Saint-Hyacinthe Une cérémonie hommage sera célébrée le jour même à 15 h, en la chapelle de la résidence, suivie de l’inhumation au cimetière la Cathédrale.
qui était
Saviez-vous que le jeune René Lévesque d’à peine 25 ans avait été chroniqueur de cinéma pour Le Clairon de SaintHyacinthe, chaque semaine, pendant deux années, de 1947 à 1949? Peu de gens se souvenaient de ce pan de la vie du grand homme politique. Oubliées et restées dans l’ombre depuis des décennies, ces 88 chroniques refont maintenant surface dans le recueil Lumières vives, lancé le 1er novembre, jour du 35e anniversaire du décès de René Lévesque.
Le professeur de cinéma de l’Université Laval, Jean-Pierre Sirois-Trahan, signe l’édition de ce recueil, publié aux Éditions du Boréal. Il s’est intéressé à cette facette méconnue de René Lévesque après qu’un ami lui eut envoyé une critique d’un film d’Orson Welles, trouvée au hasard, en lui demandant si c’était vraiment « le » René Lévesque qui la signait.
« En fouillant, je suis tombé sur toutes ces chroniques-là », raconte M. Sirois-Trahan en entrevue avec LE COURRIER, à l’occasion du lancement qui s’est tenu mardi à la Cinémathèque québécoise, à Montréal.
« Les gens en cinéma savaient que Lévesque avait fait quelques chroniques sur des films québécois, mais personne ne savait toutefois qu’il avait écrit pendant deux ans une chronique substantielle chaque semaine [dans Le Clairon de Saint-Hyacinthe]. C’est vraiment une découverte. Ceux qui s’intéressaient à l’aspect politique de Lévesque le savaient, mais ça ne les intéressait sûrement pas autant que les gens en cinéma [donc c’est resté dans l’oubli]. »
Même l’éditeur actuel du Courrier de Saint-Hyacinthe et du Clairon de Saint-Hyacinthe, Benoit Chartier, qui a offert gracieusement les droits des chroniques pour la conception de l’ouvrage, avoue qu’il ignorait l’existence de ces chroniques de cinéma. Il avait toutefois un souvenir indélébile des chroniques politiques que René Lévesque avait signées un peu plus tard, à la fin des années 60, dans Le Clairon.
« C’est une autre preuve que SaintHyacinthe a été un berceau important de la presse écrite au Québec », souligne-t-il.
À l’époque, Le Clairon était un rival du Courrier de Saint-Hyacinthe . L’exmaire de Saint-Hyacinthe, TélesphoreDamien Bouchard, en était le directeur et le propriétaire.
À travers tout le travail de recherche qui a été fait pour cet ouvrage, un mystère demeure toutefois entier : pourquoi et comment René Lévesque, qui habitait à Montréal à ce moment, s’estil retrouvé à écrire pour Le Clairon? Personne ne le sait vraiment. On retrace toutefois qu’en plus de Saint-Hyacinthe, Le Clairon était publié dans les grands centres sous les noms Clairon-Montréal et Clairon-Québec.
« C’est un journal qui était très libéral et très frondeur par rapport au conservatisme, donc c’était un match parfait. Il y avait inévitablement des atomes crochus entre le journal et René Lévesque », analyse néanmoins le professeur de cinéma. À travers ces chroniques, on découvre en René Lévesque un critique à la plume éblouissante, au style singulier, à l’ironie mordante et un brin fantaisiste, énumère Jean-Pierre Sirois-Trahan.
« Il a été l’un des premiers critiques modernes, sinon le premier au Québec. On se rend compte en le lisant que c’est un écrivain au sens plein du terme. Il avait vraiment une plume incroyable. Son point de vue sur le cinéma était très avancé. On lit chez lui des trucs qu’on va lire 10 ans plus tard. Il accueille la moder-
nité et il a un point de vue très informé sur le cinéma. »
Claude Lévesque, fils de l’ancien premier ministre du Québec et ancien journaliste au Devoir, ignorait lui aussi le passé de critique de cinéma de son père. Il faut dire que les chroniques qu’il a signées étaient parues avant sa naissance.
« Pour moi, c’était une surprise totale. Je le savais cinéphile, oui, mais moyennement. Je ne savais pas qu’il était cinéphile à ce point. Dans la vie, on évolue, donc peut-être que le cinéma l’intéressait particulièrement à cette époque. »
La sortie du livre survient en pleine « Année Lévesque » alors que différentes initiatives sont déployées depuis juin pour souligner le 100 e anniversaire de naissance de cette figure marquante du Québec. En lien avec le recueil Lumières vives, la Cinémathèque québécoise consacrera d’ailleurs une programmation spéciale en décembre aux films qui ont fait l’objet de critiques de René Lévesque.
« Même si vous n’avez pas vu les films qu’il critique, ses descriptions sont tellement visuelles qu’on réussit à voir les films sans les avoir vus », conclut JeanPierre Sirois-Trahan.
Luce Dufault n’en sera pas à son premier passage à Saint-Hyacinthe avec la tournée pour son album Dire combien je t’aime. Sauf que pour son retour au Centre des arts JulietteLassonde, le jeudi 10 novembre, elle sera accompagnée cette fois d’un quatuor à cordes en plus de ses musiciens habituels.
Cela s’inscrit en continuité avec l’esprit qui se dégage du neuvième album de l’interprète, lancé à l’aube de la pandémie – le 6 mars 2020 – après une absence de sept ans sur disque. Les cordes sont omniprésentes sur cet opus et accompagnent à merveille la voix chaleureuse de l’interprète.
Il s’agit d’un véritable bonheur pour Luce Dufault d’être enveloppée de la sorte par ces instruments puissants sur scène, de la même manière qu’elle l’a été en studio. C’est même la première fois dans sa carrière qu’elle se permet – et qu’on lui permet – d’ajouter un quatuor à cordes lors de certaines représentations d’une tournée.
« Quand le quatuor à cordes est embarqué sur scène avec nous la première fois, j’ai eu de la misère à chanter durant le test de son. Ça me scie en deux. C’est tellement beau », lance-t-elle dans un entretien téléphonique accordé au COURRIER.
« [La présence du quatuor sur scène] fait en sorte que ça porte vraiment les couleurs de l’album et ça vient aussi teinter les anciennes chansons qu’on joue »,
poursuit celle qui habite tout près, à Saint-Denis-sur-Richelieu.
Plus de la moitié des chansons qui se trouvent sur Dire combien je t’aime sont jouées dans la première portion du spectacle et elles s’enchaînent dans le même ordre que sur le disque, souligne Luce Dufault.
« C’est Michel Poirier, le metteur en scène du spectacle, qui est arrivé avec cette idée. C’est quelque chose que je rêvais de faire depuis toujours, mais je ne me serais jamais donné la permission de faire ça avant. Je me disais que les gens allaient penser que, ça y est, elle ne pense pas à son public, mais oui, c’est possible de le faire. Ça dépend toujours de la façon dont c’est présenté. Des mélodies et des bouts d’une chanson que les gens connaissent viennent raccommoder tout ça. Puis, dans la deuxième partie, on retourne 30 ans en arrière et les gens vont connaître toutes les chansons. C’est un mélange de tout ça. »
Luce Dufault l’affirme elle-même : elle ne s’est jamais sentie aussi libre sur scène que pour la tournée qu’elle défend présentement. Une libération qu’elle doit au metteur en scène Michel Poirier, dit-elle.
Jusque-là, elle avait toujours refusé de travailler avec un metteur en scène dans ses projets personnels, de peur de perdre sa liberté justement. Mais cette rencontre est venue changer la donne. « Finalement, ça m’a donné une liberté que je n’avais pas depuis des années », raconte l’interprète.
« Avant, je me retrouvais à monter le show et je devais valider moi-même les idées dont je n’étais pas convaincue. Finalement, je portais quelque chose qui n’était pas tout à fait assumé, ajoute-telle, sans cacher ses doutes et ses remises en question. Je me rends compte, en travaillant avec Michel, que j’avais justement besoin que quelqu’un me permette d’avoir ce recul-là avec ce que je dis sur scène. Il est là pour me valider et pour m’aiguiller. Quand j’arrive sur scène, le show est là et je n’ai qu’à m’abandonner à ce qu’on a monté, tandis qu’avant, chaque soir, je me demandais si c’était correct. Là, je ne pense plus à ça. »
En plus de venir présenter son propre spectacle, Luce Dufault remontera sur la scène du Centre des arts JulietteLassonde le jeudi 1 er décembre dans le cadre de la tournée Noël une tradition en chanson, aux côtés de Johanne Blouin, de Joe Bocan, de Martine St-Clair et de Shirley Théroux, notamment. Elle renoue avec l’expérience après l’avoir vécue l’an dernier.
« Pour la première fois, je vais faire une vraie chanson de Noël, lance-t-elle avec fierté. Je suis un peu timide face aux chansons de Noël. J’ai toujours trouvé que je n’avais pas la voix pour faire ça. Mais je me rends compte qu’il y en a qui n’exigent pas des notes qui ne se peuvent pas. L’an dernier, j’avais fait seulement des chansons dans l’esprit de Noël, mais cette année, je fais deux vraies chansons de Noël et d’autres qui sont dans l’esprit de Noël. »
Marc Hervieux est un homme de parole. Après avoir vu le spectacle-bénéfice de Noël qu’il devait faire à l’église de SaintPie être reporté trois années consécutives, le populaire chanteur sera fidèle au poste le 26 novembre en montant sur scène pour livrer le spectacle qu’il avait promis.
Son spectacle devait avoir lieu en 2019 au départ. La chute d’un des clochers de l’église de Saint-Pie, par des forts vents, avait forcé son report une première fois, à quelques semaines d’avis. Par la suite, les conditions liées à la pandémie n’ont pas permis de tenir le spectacle. Mais cette fois, ce sera la bonne, assure le ténor.
« Il y a eu tellement d’imprévus. Tout est arrivé! J’avais promis d’être là, je suis toujours là », a lancé Marc Hervieux en entrevue téléphonique avec LE COURRIER.
L’organisatrice du concert-bénéfice, Madeleine Ravenelle, se réjouit de renouer avec la tradition qu’elle a instaurée pour aider à préserver l’église de Saint-Pie. Il s’agira de la 9 e édition du concert-bénéfice, un rendez-vous auquel
Marc Hervieux avait déjà participé en 2015.
« Il a été très gentil. Il a compris la situation », a-t-elle souligné en évoquant les nombreux reports.
Mme Ravenelle espère maintenant que les spectateurs seront, eux aussi, au rendez-vous en grand nombre sur les bancs de l’église qui peut accueillir jusqu’à 800 personnes. À travers les nombreux reports, elle craint que ceux qui ont conservé leurs billets depuis trois ans pensent à tort que le spectacle n’aura pas lieu. « Il y a des gens qui ne se souviennent plus qu’ils ont des billets. Il faut leur rappeler que le spectacle aura enfin lieu cette année, le 26 novembre, et que leurs billets seront encore bons », a-t-elle insisté.
Pour l’occasion, Marc Hervieux optera pour une formule intimiste qui permettra d’entendre toute la puissance de sa voix.
« Les spectacles que je fais dans les églises en formule piano-voix sont tous un peu uniques, a affirmé le chanteur. Sur un lutrin, j’ai un iPad dans lequel je mets une cinquantaine de titres de chanson et je pige dans la liste en y allant avec
l’ambiance de la salle. C’est une formule qui permet ça. »
Le ténor pigera entre autres au sein des albums de sa trilogie Nostalgia conclue avec la parution de Nostalgia Noël en décembre dernier. « Même si c’est un spectacle de Noël, je ne fais pas que des chansons de Noël. Ça fait du bien aussi d’entendre des chansons qui sortent de ce répertoire. Mais je fais quand même attention de choisir des chansons qui sont dans le thème du temps des fêtes, du partage et de l’amour. »
Au fil des années, le concert-bénéfice de l’église de Saint-Pie a accueilli plusieurs grands artistes comme Tocadéo, Gregory Charles, Richard Abel et Johanne Blouin. Et chaque fois, les spectateurs ont vécu une expérience magique, en son et en lumières, a soutenu l’organisatrice. « Nous avons une acoustique extraordinaire dans notre église. Les mélomanes le disent. »
Les billets pour le spectacle de Marc Hervieux à l’église de Saint-Pie sont en vente au coût de 45 $. Il est possible de les acheter en contactant Madeleine Ravenelle au 450 772-2641. Tous les billets achetés en 2019 seront honorés. Les profits du spectacle seront versés à la fabrique de Saint-Pie.
La comédie musicale RockofAges a vu le jour en 2005, combinant les classiques du rock des années 80 et la démesure associée à cette décennie. Après Québec et Trois-Rivières, c’est au tour de Montréal d’accueillir la mouture québécoise de ce spectacle aussi flamboyant qu’entraînant.
Cette version met de l’avant le talent de 13 comédiens, chanteurs et danseurs, incluant Lunou Zucchini, originaire de Saint-Denis-sur-Richelieu, dont le talent a été mis en lumière durant Star Académie en 2021. Elle joue le rôle de Sherrie, une jeune femme qui quitte son Kansas natal pour devenir actrice à Hollywood. « Sherrie est une fille à la fois naïve et très courageuse, qui n’a pas peur de défoncer des portes pour avoir ce qu’elle veut », explique Lunou au sujet de son personnage qui démontre un côté très caricatural tout au long de sa performance. « Dans ce show, on ne se prend vraiment pas au sérieux! »
Dans Rock of Ages, Sherrie fait rapidement face à la dure réalité de Hollywood, mais tombe amoureuse de l’aspirante star du rock Drew (Jordan Donoghue), qui
Stacee Jaxx (Rémi Chassé) dans l’équation viendra brouiller les cartes entre les deux tourtereaux pendant que des promoteurs allemands essaient de faire démolir le bar Bourbon Room, où l’essentiel de l’action prend place. L’histoire est somme toute simple, mais la qualité de la narration et l’enrobage prennent vite le dessus.
Si Lunou Zucchini reconnaît avoir trouvé plus difficile de combiner le chant à la danse dans des numéros souvent très physiques et chorégraphiés au quart de tour, il faut dire que ça n’a pas trop paru à l’occasion de la première montréalaise de Rock of Ages, présentée le 27 octobre. C’est plutôt la mise en scène parfois très dense et les numéros de groupe éclatants (quoique parfois chaotiques au point de ne plus savoir où donner de la tête) qui retiennent l’attention.
Le metteur en scène originaire de SainteHélène-de-Bagot, Joël Legendre, a amené une saveur toute particulière à la version québécoise : si la version originale s’amusait déjà beaucoup avec le quatrième mur, le narrateur, interprété par l’excellent Tommy Joubert, vole le spectacle à plusieurs reprises en nous rappelant que, même si on assiste à ce spectacle en 2022, lités étaient bien différentes et où à peu
près tout semblait encore permis. « Quand on est venu me chercher pour la mise en scène, je ne connaissais pas du tout Rock of Ages. Mais j’ai vite compris que c’était une comédie musicale à prendre au deuxième degré, qui se moque un peu des années 80 comme des comédies musicales », raconte Joël Legendre. Il a misé sur beaucoup d’autodérision et a encouragé les acteurs à incorporer dans le texte final les erreurs qu’ils ont faites pendant les répétitions, ajoutant au ridicule du spectacle. Il note aussi que le spectacle n’a « rien à voir » avec le film de Rock of Ages qui a vu le jour en 2012.
Le résultat est d’ailleurs très réussi. Les rappels subtils (ou pas) du contexte historique, les clins d’œil à l’actualité, les grossièretés tellement évidentes qu’il est impossible de les prendre au premier degré et même les acteurs qui semblent décrocher de leur rôle le temps d’une seconde, tous les ingrédients y sont pour passer une belle soirée, y compris pour ceux qui ne sont pas des habitués des comédies musicales et de leurs codes. « Avec le quatrième mur que franchit le narrateur, on chevauche la réalité de 1987 et de 2022, avec la réalité du #metoo qui existe aujourd’hui. Mais Tommy Joubert est tellement sympathique que ça prend trois secondes et les gens sont conquis. Il a le charisme pour faire passer ces messages », soutient le metteur en scène.
Le répertoire de Rock of Ages n’est certainement pas étranger au succès qu’il connaît. Cette comédie musicale de type « jukebox » est un feu roulant de succès (de Journey, Bon Jovi, Twisted Sister ou Pat Benatar pour n’en nommer que quelques-uns) qui ont marqué les esprits depuis plus d’une trentaine d’années. D’ailleurs, les interprètes principaux n’étaient même pas nés quand ces classiques du rock ont été enregistrés, mais cela ne les a pas empêchés de se les approprier avec brio sur scène.
« Les chansons, tout le monde les connaît, mais je dirais à ceux qui auraient encore une réticence que l’humour a le dessus sur le rock. On a fait un spectacle éclatant, avec du bling-bling et des paillettes, une nostalgie heureuse qui nous ramène à une époque de démesure totale : un show qui fait du bien », sou-
tient Joël Legendre. Un avis partagé par Lunou Zucchini. « C’est un spectacle éclaté et pétillant qui vaut la peine pour ceux qui ne l’ont pas encore vu à Québec ou à Trois-Rivières », ajoute celle qui a constaté un bel engouement partout où le spectacle a été présenté jusqu’à présent. Rock of Ages est encore présenté à l’Espace Saint-Denis, à Montréal, les 3 et 4 novembre.
L’intérêt de la Dionysienne Lunou Zucchini pour le théâtre musical est bien connu depuis longtemps, mais sa participation à Rock of Ages a confirmé ses intuitions. « Travailler sur ce spectacle avec une si belle équipe, ça a été un vrai coup de cœur pour moi et de vraies amitiés sont nées de ce projet. » Souhaite-t-elle poursuivre dans cette voie si la vie le lui permet? « Tellement, tellement, tellement! Je sens que je suis à ma place », répondelle sans hésiter.
Une fois que l’aventure Rock of Ages sera terminée, Lunou risque d’être très sollicitée pour d’autres projets. Au moment de l’entrevue, elle ne pouvait pas encore dévoiler les détails de ce qui l’attend, mais elle a laissé entendre que ceux qui la suivent verront passer de bonnes nouvelles dans les prochains mois. À suivre!
RÈGLES DU JEU : compléter la grille avec les chiffres de 1 à 9 de façon à ce que chacun d’eux se retrouve une seule fois dans chaque rangée, chaque colonne et chaque bloc de neuf cases, délimité par le trait foncé.
1. Caractère de ce qui est conforme au dogme. 11.Se plante dans le sable. 12.Jette. 14.(S’)efforcer de. 16.Nage dans l’étang. 17.La barbe faite. 18.Se fait avant le retour. 19.Argent. 20.Sable calcaire. 23.Coule en Suisse. 24.Trois fois. 26.Petite plante lacustre. 28.Ultraléger motorisé. 30.Canton suisse. 31.Division d’une règle. 32.Amour-propre. 35.Inséparable du yin. 37.Tenu attaché. 38.Ils administrent. 41.Sans déguisement. 42.Périmée. 43.Mûrement médité et préparé. 45.Possède. 46.Énoncé considéré indépendamment de la vérité ou de la fausseté de son contenu sémantique. 47.Servent à attacher.
1. Qui est en exploitation. 2. Effet désastreux. 3. Diablement. 4. Appartements des femmes, chez les musulmans. 5. Ancienne armée. 6. Méfiances. 7. Encourage le torero. 8. C’est-à-dire. 9. Prénom. 10.Os plat. 13.Célèbre verger. 15.Protester. 21.Affectionne. 22.Duper quelqu’un. 25.Rêche. 27.Célèbre paquebot. 29.Consultée. 31.Fixent le cours de. 33.Itinéraire. 34.Puits naturel. 36.Période de douze mois. 39.Mauvaise nourriture. 40.Divisions d’une partie. 42.Situé. 44.Chiffres romains.
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Une altercation entre un parent et un arbitre d’expérience a mis fin abruptement au dernier match de la saison régulière de l’équipe de football des Lauréats du Cégep de SaintHyacinthe, samedi soir, contre le Noir et Or du Collège de Valleyfield. Une situation rarement vue dans le sport étudiant au Québec.
L’incident est survenu à la mi-temps, quelques instants après une décision controversée qui a privé le Noir et Or d’un touché. Le pointage était alors de 10 à 10. À sa sortie du terrain, pour retourner au vestiaire, l’arbitre a été agressé verbalement par un partisan du Noir et Or et des coups ont été lancés. L’officiel – dont le nom n’a pas été partagé – est tombé au sol et il est resté étendu de longues secondes avant de réussir à se relever, visiblement ébranlé. Il aurait d’ailleurs subi des blessures, dont une commotion cérébrale, ont indiqué différentes sources.
Les policiers de la Sûreté du Québec ont été appelés à se rendre sur place et ils ont rencontré de nombreux témoins de la scène. Entre-temps, l’arbitre a été amené jusqu’au vestiaire où il a pu recevoir une assistance médicale.
Selon ce qu’il a été possible d’apprendre, le parent en question plaide qu’il a été la première personne agressée dans cette histoire. Une plainte croisée a d’ailleurs été déposée, a confirmé la Sûreté du Québec. Le parent a donc porté plainte contre l’arbitre, puis une plainte a été déposée contre le partisan du Noir et Or. Les deux hommes ont été
arrêtés, puis remis en liberté sous certaines conditions. Le dossier se trouve maintenant entre les mains du Directeur des poursuites criminelles et pénales pour déterminer si des accusations seront portées contre l’un ou l’autre à la lumière des informations récoltées par les policiers. Ce processus peut prendre plusieurs semaines.
Près d’une heure après l’incident, il a été annoncé que le match – disputé à haute intensité jusque-là – se terminait ainsi et qu’il allait être annulé au calendrier.
Le jeu controversé en question est survenu avec 13 secondes à écouler au 2e quart. Le Noir et Or croyait avoir marqué son deuxième touché du match sur une faufilade du quart-arrière. Le ballon a toutefois été échappé au même moment où le quart-arrière franchissait la ligne des buts, puis il a été récupéré par les Lauréats. Dans le feu de l’action, les arbitres ont déterminé qu’il s’agissait d’un revirement en faveur des Lauréats et qu’il n’y avait donc pas de touché. Cet appel a été vivement contesté par les entraîneurs du Noir et Or au cours d’une discussion animée avec l’officiel en question. Une pénalité de conduite antisportive a été décernée à l’un des entraîneurs. Celui-ci est toutefois retourné vers le vestiaire sans riposter davantage. Dans les instants qui ont suivi, l’agression est survenue.
« Depuis huit ans que je suis en poste, c’est la première fois qu’une telle situation se produit, a commenté le président-directeur général du RSEQ, Gustave Roel, en entrevue avec LE COURRIER.
On a eu à gérer de la violence verbale […], mais de la violence physique comme ça,
pour nous, c’est une première, et ce, autant pour le réseau scolaire que collégial et universitaire. »
Le RSEQ a d’ailleurs fait front commun avec le Cégep de Saint-Hyacinthe et le Cégep de Valleyfield au lendemain de l’incident pour rappeler qu’« aucun geste de violence ne peut être toléré ».
Heureusement, la situation n’a pas dégénéré davantage. La foule présente s’est dispersée de façon civilisée et les deux équipes ont montré leur entière collaboration.
« Les deux équipes se sont comportées de façon exemplaire. Ce n’est pas une problématique de joueurs ni d’entraîneurs. C’est une intervention externe qui
a fait en sorte qu’on a dû annuler le match », a noté M. Roel.
L’arbitre agressé est un officiel vétéran qui est en poste depuis 1995, a indiqué le directeur général de Football Québec, Steve Duchesneau. « [Il] s’implique beaucoup au sein de l’organisation de l’arbitrage », a-t-il ajouté, affirmant ne pas lui connaître de tache à son dossier.
Un autre incident avait été répertorié au Québec cet été dans le monde du football alors qu’un parent, qui agissait comme chaîneur bénévole, a lancé son poteau de désignation des essais sur un arbitre. « Ce sont les deux seuls incidents cette année et même depuis plusieurs années », a souligné M. Duchesneau.
Aussi ironique qu’improbable, l’annulation du match entre les Lauréats et le Noir et Or fera en sorte que les deux équipes s’affronteront au premier tour des séries éliminatoires, samedi soir, à 19 h 30, au Cégep de Saint-Hyacinthe. Des mesures de sécurité exceptionnelles seront prises.
Par voie de communiqué, il a été confirmé qu’une présence policière sera assurée pour cette deuxième confrontation en deux semaines entre les deux équipes.
« Les institutions offrent leur pleine collaboration afin de mettre en place toutes les actions requises dans le but de maintenir un environnement sécuritaire
et respectueux, malgré cette situation déplorable », ont fait savoir le RSEQ et les cégeps de Saint-Hyacinthe et de Valleyfield au lendemain de l’incident.
Si un gagnant avait été désigné samedi dernier, cette confrontation n’aurait possiblement pas eu lieu puisque le portrait du classement aurait été différent. Mais l’annulation de cette partie a fait en sorte que les Lauréats ont terminé au 4e rang de la division 2, tout juste devant le Noir et Or qui a suivi au 5e rang.
Sans surprise, le Cégep de SaintHyacinthe a indiqué qu’il « n’a pas l’intention de laisser [le parent impliqué dans l’agression] assister au match s’il se présente ». M.P.D.
L’équipe de rugby féminin à 12 des Lauréats du Cégep de Saint-Hyacinthe a remporté, dimanche après-midi, le premier titre de sa jeune histoire. En finale régionale de la conférence NordEst, disputée en sol maskoutain, elle a signé une victoire de 36 à 32 contre les Élans du Cégep Garneau, mettant fin du même coup à un règne de sept ans du club de Québec.
Une première demie presque parfaite a mené à ce triomphe des Lauréats. La formation maskoutaine avait une avance de 31 à 10 à la mi-temps. Les joueuses des Élans sont revenues de l’arrière en deuxième demie avec une poussée de 22 points, mais les Lauréats ont tenu le fort, malgré une baisse d’énergie, et ont réussi à garder leur avance jusqu’à la toute fin pour mettre la main sur la bannière remise à l’équipe championne.
La vétérane Marianne Boucher Abelson a connu un fort match du côté des Lauréats avec trois essais réussis et trois transformations. Camille Arvin-Bérod a ajouté deux essais, puis Laurie Bourque avait ouvert le pointage avec le premier essai de cette finale.
Les Élans ont laissé de précieux points –six au total – sur le terrain alors qu’elles ont raté trois de leurs cinq transformations. Elles ont complété le pointage avec un botté de trois points.
Garneau est passé bien près de compléter la remontée et de prendre les devants pour la première fois du match dans les dernières minutes de jeu, mais la défen-
coup d’énergie et de force, mais on a eu un petit relâchement par la suite, comme on le voit souvent au rugby. On a été patientes et on est restées calmes en défensive pour reprendre le ballon. Depuis le début de la saison, on a une mentalité de force et d’agressivité et ça s’est remarqué aujourd’hui. Je suis vraiment fière de nous », a commenté la Dionysienne Camille Arvin-Bérod en entrevue avec LE COURRIER après la victoire.
Il s’agit d’un véritable tour de force de la part des Lauréats de s’imposer de la sorte contre un programme aussi bien établi que celui des Élans, et ce, à leur deuxième saison d’existence seulement.
perdu en demi-finale. Cette année, notre objectif était de nous rendre en finale. Avant le match, le mot d’ordre était d’avoir du plaisir. La signification de battre Garneau dans des circonstances comme ça, où on a connu une grosse première demie et qu’on a dû contenir leur remontée, c’est juste magique. »
« Les filles étaient très concentrées pour lancer le match. Il y a avait une belle énergie, a ajouté l’entraîneur-chef, Nicolas Dubé-Mercier. Nos joueuses sont très soudées. Elles étaient prêtes à faire face à ce défi. Il y a eu un relâchement en milieu de match, mais elles ont terminé la rencontre comme il le fallait. »
Cette consécration est venue conclure une saison de rêve de la part des Lauréats. rang de la ligue de rugby à 12 au sein de la conférence Nord-Est avec une fiche de quatre victoires et un revers en saison régulière. Elle a présenté la meilleure attaque et la meilleure défensive du circuit.
Pour voir plus de photos du match :
Sans avoir subi la moindre défaite cet automne, l’équipe de flag football féminin des Lauréats du Cégep de SaintHyacinthe a mis la min sur le premier titre de son histoire, dimanche, grâce à une victoire de 26 à 12 contre les Diablos du Cégep de Trois-Rivières en finale régionale de la section Nord-Est.
L’exploit a été réalisé au complexe sportif René-Perron, à Shawinigan, où se tenait le tournoi éliminatoire. Les Lauréats, favoris pour l’emporter en vertu de leur 1re place au classement général, ont mené la rencontre d’un bout à l’autre.
La troupe de Kevin Farrese a ouvert la marque dès le 1 er quart sur un touché d’Émilie Papillon. Les Diablos ont riposté au 2e quart avec six points, mais Saint-Hyacinthe a ajouté deux autres touchés, d’Aude Garand et d’Annabella Carbonneau, pour retourner au vestiaire avec une avance de 19 à 6 à la mi-temps. Chaque équipe a ajouté un touché en deuxième demie.
En demi-finale, plus tôt dans la journée, les Lauréats ont été dominants contre les Dragons du Collège Laflèche avec un gain
de 61 à 0. Six joueuses différentes ont inscrit un touché. Trois des neuf touchés ont été l’affaire de Matysse Sévigny, puis Aude Garand en a inscrit deux à son tour. Saint-Hyacinthe a été la seule équipe de la section Nord-Est à ne pas subir de défaite en saison régulière. Elle a présenté un dossier de neuf victoires et un match nul. Ce match nul était survenu contre les Diablos, que les Lauréats ont retrouvés en finale. La formation maskoutaine a été tout simplement dominante avec 351 points marqués et seulement 40 points accordés à ses adversaires avant les séries.
Le succès des Lauréats s’est poursuivi en soccer. Les deux équipes de l’organisation, chez les gars et chez les filles, ont obtenu leur laissez-passer pour le championnat provincial collégial de division 2 qui sera disputé à Trois-Rivières la fin de semaine prochaine.
Dans son parcours, l’équipe masculine a même été sacrée championne de la conférence Nord-Est samedi. Elle a enchaîné des victoires de 1 à 0 contre les
pionne
Titans du Cégep de Limoilou et de 3 à 1 contre les Faucons du Cégep de Lévis pour mettre la main sur ce titre. Une semaine plus tôt, les Lauréats avaient dû passer par les matchs de barrage éliminatoire pour se qualifier pour le championnat de conférence. En demifinale provinciale, ce samedi, SaintHyacinthe sera opposée aux Griffons du Cégep de l’Outaouais.
De son côté, l’équipe féminine a encaissé son premier revers de l’année en finale de la conférence Nord-Est. Elle a baissé pavillon 5 à 1 face aux Diablos du Cégep de Trois-Rivières. Les deux équipes finalistes étaient toutefois qualifiées de facto pour le championnat provincial. Les joueuses des Lauréats auront rendez-vous avec les Blues du Collège Dawson en demi-finale provinciale samedi matin.
La série de revers des Lauréats du Cégep de Saint-Hyacinthe a été freinée samedi lors du Showcase de la ligue collégiale de hockey masculin du RSEQ, tenu à Sherbrooke. La formation maskoutaine l’a emporté 5 à 4 contre les Dynamiques du Cégep de Sainte-Foy pour renouer avec la victoire après avoir enregistré des défaites à ses cinq matchs précédents.
En avance 4 à 3 après deux périodes, les Lauréats ont ajouté un but dans un filet désert avec un peu plus d’une minute à jouer pour faire 5 à 3. Habituellement anodin, ce jeu a fait la différence puisque les Dynamiques ont réussi à marquer un quatrième but dans les toutes dernières secondes du match.
Dans la victoire, Émilien Charron, Édouard Trépanier, Kevin André Blanchette et Gabriel Laflamme ont marqué pour les Lauréats, tout comme Félix Loranger qui inscrivait son premier but de la campagne. La 1re période a été disputée à vive allure, les deux équipes s’échangeant les devants, mais Saint-
Hyacinthe en est ressortie avec une avance de 3 à 2. La troupe de Martin Russell n’a plus tiré de l’arrière par la suite, malgré les ripostes des Dynamiques.
En plus de contribuer à la victoire des siens samedi, Édouard Trépanier a brillé dans la défaite, la veille, alors que les Lauréats se sont inclinés 5 à 2 contre les Filons du Cégep de Thetford dans leur autre match du Showcase.
L’attaquant a réalisé un doublé qui a permis à la formation maskoutaine de surmonter un retard de 3 à 0 pour se rapprocher à un seul but d’écart en début de 3e période. Les Filons ont toutefois résisté à cette poussée et ils ont même rajouté deux buts, dont un dans un filet désert, pour confirmer leur deuxième victoire en autant de semaines face aux Lauréats.
Les deux équipes se retrouveront d’ailleurs pour une troisième semaine consécutive vendredi soir, à 19 h 30, au Stade L.-P.-Gaucher. Un autre défi de taille attendra les Lauréats dimanche alors qu’ils rendront visite aux meneurs du classement général, les Jeannois du Collège d’Alma.
Les joueurs des Gaulois de SaintHyacinthe ont inscrit 12 buts en deux parties la fin de semaine dernière au Stade L.-P.-Gaucher. Portée par ce réveil de l’attaque, l’équipe maskoutaine a signé des victoires de 7 à 5 contre le Rousseau-Royal de Laval-Montréal, vendredi, et de 5 à 1 contre les Riverains du Collège Charles-Lemoyne, dimanche.
Sept joueurs différents ont trouvé le fond du filet durant cette séquence pour les Gaulois. Trois d’entre eux ont marqué
dans les deux matchs, soit Xavier Lacoste (trois buts), Pierre-Olivier Denis (deux buts) et Samuel Beauchemin (deux buts et une passe).
Saint-Hyacinthe s’est imposée rapidement face aux Riverains, prenant une avance de 4 à 0 après une seule période de jeu. L’unique réplique de ses rivaux de la division Tacks est survenue en milieu de 2e période lorsque Zachary Deleau a profité d’un avantage numérique pour battre le gardien Rémi Cloutier. Ce dernier a repoussé 29 lancers dans la victoire.
Deux jours plus tôt, les Gaulois avaient dû livrer une lutte de tous les instants
pour sortir vainqueurs de leur duel face au Rousseau-Royal. Même si la formation maskoutaine a mené du début à la fin, Laval-Montréal n’était jamais bien loin, créant l’égalité ou réduisant l’écart à un seul but à plusieurs reprises.
La troupe de Jean-Philippe Sansfaçon a été particulièrement opportuniste en avantage numérique en 3e période avec trois buts en avantage numérique. Deux buts en pareille situation lui ont permis de prendre l’avance 6 à 3, mais les visiteurs ont riposté avec deux autres buts pour recoller 6 à 5. Le capitaine Émile Dubois a inscrit le but d’assurance avec
deux minutes à écouler, encore une fois en avantage numérique.
Les Gaulois concluront leur séquence de sept parties consécutives à domicile en affrontant les Forestiers d’Amos dans un programme double, samedi et dimanche. Exceptionnellement, les Gaulois joueront ces matchs à Boucherville (samedi, à 19 h, au Centre des glaces Gilles-Chabot) et à Varennes (dimanche, à 13 h, au Sportplex de l’Énergie) pour mousser l’équipe M18 AAA dans ces villes qui font partie de son bassin de recrutement.
Dimanche
Samedi 17 septembre Défaite 3-1
Dimanche 18 septembre Défaite 5-2 à Sorel-Tracy
Vendredi 23 septembre Défaite 6-2 à Collège Laflèche
Samedi 24 septembre Victoire 4-2 à Sainte-Foy
Samedi 1er octobre Victoire 7-3 à Abitibi-Témiscamingue
Dimanche 2 octobre Victoire 9-4 à Abitibi-Témiscamingue
Samedi 8 octobre Victoire 1-0 vs André-Laurendeau
Dimanche 9 octobre Victoire 7-2 à Champlain St. Lawrence
Samedi 15 octobre Défaite 5-2 vs Sorel-Tracy
Dimanche 16 octobre Défaite 6-1 à Saint-Laurent
Vendredi 21 octobre Défaite 4-2 à Thetford
Dimanche 23 octobre Défaite 3-2 (TB) vs Alma
DATE
Vendredi 28 octobre Défaite 5-2 vs Thetford*
Samedi 29 octobre Victoire 5-4 vs Sainte-Foy*
Vendredi 4 novembre 19 h 30 vs Thetford
Dimanche 6 novembre 13 h 00 à Alma
Dimanche 13 novembre 14 h 00 vs Alma
Samedi 19 novembre 14 h 00 vs Abitibi-Témiscamingue
Samedi 26 novembre 14 h 00 vs Champlain St. Lawrence
Vendredi 2 décembre 20 h 00 à Champlain Lennoxville
Samedi 10 décembre 14 h 00 vs Lionel-Groulx
Dimanche 11 décembre 15 h 30 à Outaouais
Vendredi 13 janvier 14 h 00 à Champlain St. Lawrence *Match
Vendredi 20 janvier 19 h 30 vs Outaouais
Samedi 21 janvier 19 h 00 vs Sainte-Foy
Vendredi 27 janvier 19 h 30 vs Outaouais
Samedi 4 février 14 h 00 vs Champlain Lennoxville
Vendredi 10 février 19 h 30 vs Champlain Lennoxville
Dimanche 12 février 14 h 40 à Lionel-Groulx
Samedi 18 février 16 h 00 à Sorel-Tracy
Dimanche 19 février 14 h 15 à Laflèche
Vendredi 24 février 19 h 30 à Saint-Laurent
Samedi 25 février 14 h 00 vs André-Laurendeau
Vendredi 3 mars 19 h 30 vs Laflèche
Dimanche 5 mars 14 h 00 vs Saint-Laurent
Vendredi 2 septembre Victoire 5-2 à Magog
Dimanche 4 septembre Victoire 4-1 à Laval-Montréal
Vendredi 9 septembre Défaite 7-1 à Jonquière
Samedi 10 septembre Victoire 5-1 à Jonquière
Vendredi 16 septembre Défaite 5-3 à Lévis
Dimanche 18 septembre Victoire 2-1 à Châteauguay
Vendredi 23 septembre Victoire 6-3 à Magog
Dimanche 25 septembre Victoire 9-0 à Gatineau
Vendredi 30 septembre Défaite 6-2 à Trois-Rivières
Mercredi 5 octobre Défaite 3-2 à Collège Charles-Lemoyne
Mercredi 12 octobre Défaite 3-2 à Lac Saint-Louis
Vendredi 14 octobre Victoire 7-1 vs Lac Saint-Louis
Dimanche 16 octobre Défaite 9-4 vs Magog
Vendredi 21 octobre Défaite 3-2 vs Trois-Rivières
Vendredi 28 octobre Victoire 7-5 vs Laval-Montréal
Dimanche 30 octobre Victoire 5-1 vs Collège Charles-Lemoyne
Samedi 5 novembre 19 h 00 vs Amos (à Boucherville)
Dimanche 6 novembre 13 h 00 vs Amos (à Varennes)
Mercredi 9 novembre 11 h 45 à Collège Charles-Lemoyne
Vendredi 11 novembre 19 h 00 vs Collège Esther-Blondin
Samedi 12 novembre 15 h 00 à Lac Saint-Louis
Dimanche 20 novembre 13 h 00 vs Châteauguay
Mercredi 23 novembre 14 h 00 vs Collège Charles-Lemoyne
Vendredi 25 novembre 19 h 30 vs Saint-Eustache (à Sorel)
Dimanche 27 novembre 13 h 00 vs Gatineau
Vendredi 2 décembre 19 h 15 à Saint-Eustache
Dimanche 4 décembre 13 h 00 vs Lac Saint-Louis
Vendredi 9 décembre 19 h 00 vs Châteauguay
Dimanche 11 décembre 13 h 00 vs Magog
Vendredi 13 janvier 19 h 00 à Magog
Vendredi 20 janvier 19 h 05 à Châteauguay
Dimanche 22 janvier 13 h 00 vs Lac Saint-Louis
Mercredi 25 janvier 18 h 30 vs Collège Esther-Blondin
Samedi 28 janvier 13 h 00 vs Collège Notre-Dame
Dimanche 29 janvier 13 h 00 vs Lévis
Vendredi 3 février 19 h 30 à Collège Charles-Lemoyne
Dimanche 5 février 13 h 00 vs Séminaire Saint-François
Mercredi 8 février 13 h 00 vs Châteauguay
Vendredi 10 février 19 h 00 à Séminaire Saint-François
Samedi 11 février 13 h 00 à Collège Notre-Dame